[RP] Eglise de Bayonne

Kahlan.

Enfin séparé de sa "siamoise" kahlan se détendit et respira profondément afin de retrouver son calme. Se retournant sur son banc elle entendit un léger craquement et vu quelques plumes tomber a ses pieds... Grimaçant elle leva les yeux au ciel puis se pencha afin de les ramasser. Malheureusement elle ne réussit qu'à agrandir l'ouverture de son beau petit coussin laissant moult plumes tomber, certaines s'envolant au gré des courants d'air...
Se maudissant intérieurement elle resta figée afin de ne pas exagérer les dégâts... cette solution bien qu'ingénieuse n'eut pas les effets escomptés et le coussin si bien garni se retrouva bien plat tout a coup.

S'excusant mille fois alentours elle regarda le désastre à ses pieds... cette fois-ci il était certain que les lieux de cultes ne lui portaient point chance... Ça fusion avec Solore n'était qu' à peine réglée que déjà les astres lui infligaient un nouveau fléau ... A l'avenir elle laisserait les plumes sur les pauvres volatiles et se contenterait de laine de mouton vierge voilà tout...Enfin il lui fallait maintenant trouver un moyen de cacher au mieux les dégâts.. S'avisant de petit casier sous les banc elle poussa le tout de son pied. Puis s'avisa que personne n'ai découvert son infortune ...

Voyant Solore à nouveau plongée dans la contemplation de la cérémonie ... enfin dormir debout quoi... elle surprit du coin de l'œil une plume nichée dans la tignasse à Lilou. Avançant sa main vers la chevelure foncée de la jeune femme elle attrapa la plume et la retira d'un geste maladroit lui tirant pas là même une mèche de cheveux. Grimaçant elle se retourna derechef et fit mine de rien le regard fixé sur le l'abside du bâtiment. Un sourire naissant au coin des lèvres...

Pounamu

Peu habituée aux églises et aux cérémonies en général, Pounamu avait en outre une telle agitation plus ou moins silencieuse autour d'elle, qu'elle en avait bien du mal à suivre les discours de celle qui semblait orchestrer l'affaire...
Pourtant, certaines choses arrivèrent jusqu'à elle et elle essaya de comprendre:
Les amis? ah, oui, ça je suis d'accord, on en a bien besoin!
Par contre, là, je ne comprends plus: moi, on m'a toujours encouragée à pêcher, ça rend intelligent, c'est bien pour le village et tout ça... Mais finalement, il ne faudrait pas??
Elle en était à ces questions sans réponses lorsqu'une plume sortie d'on ne sait où vint lui chatouiller les narines et elle sentit l'éternuement la gagner...

Michoumichou

mimi rentra dans l eglise alla priee resta assez lontemg pour se receullir et parit en courent

Bubull

Je reconnais en Dieu le moteur du monde,
la pensée suprême et la cause efficiente et finale du monde.
Je reconnais l'Eglise Aristotélicienne comme mon guide dans
la connaissance de Dieu, et je jure de lui rester fidèle ainsi
qu'à son autorité, seule représentante sur terre de l'Etre divin.
J'accepte tout cela de ma propre volonté pour le salut
de mon âme en vue de ma résurrection près de Dieu
dans la contemplation éternelle de sa Beauté.
Je désire que mon nom apparaisse comme baptisé
et serviteur de Dieu tout puissant.

Zouzouille

Bubull ayant récité sans la moindre hésitation et à voix très claire et après mûre reflexion le serment, il ne restait plus qu’à passer à la suite…

Parfait ! Maintenant, que tout le monde reprenne en chœur notre Credo.

Solore

Entend Monseigneur Zouzouille les inciter à dire le crédo et d'une voix claire énonce :

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'aprés avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN

Ecoute les voix qui se mêlent à la sienne avec ferveur.

Michoumichou

MIMI RENTRA ET RECITA Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'aprés avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle. AMEN
_________________

Kahlan.

Ne prêtant attention à lilou qui la regardait en coin elle entendit parler d'un crédo...
Prise d'un peu de panique elle regarda alentour pour savoir ce que cela était! Et entendit Mimi et Solore entamé une récitation aristotélicienne... Ne sachant comment faire elle récita en répétant chaque phrase de ses amies un peu en décalé malheureusement ...

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,

Créateur du Ciel et de la Terre,

Des Enfers et du Paradis,

Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,

le fils de Nicomaque et de Phaetis,

envoyé pour enseigner la sagesse

et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,

Né de Maria et de Giosep.

Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.

C'est ainsi qu'aprés avoir souffert sous Ponce,

Il est mort dans le martyr pour nous sauver.

Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;

En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;

En la communion des Saints;

En la rémission des péchés

En la Vie Eternelle.

AMEN

Enfin fini elle essuya une goute qui perlait à son front et regarda si personne n'avait remarqué qu'elle imitait à la perfection les intonations de Solore...

Mag2701

A la demande de Monseigneur, Mag s'exécuta.

Solore

Entend comme un écho qui lui revient, sourit en regardant la nuque blonde devant elle et après avoir dit Amen, s’approche de l’oreille gauche de Kahlan et y murmure :

- Bien, bien … C’est le premier pas vers la rémission de tes péchés, Kahlan !

Se redresse et écoute le silence qui emplit l’église après la prière psalmodiée par les croyants.
Attend patiemment, la suite de la cérémonie, tout en ne quittant pas Kahlan du regard.

Lilou_corsu

Aprés m'avoir arraché une méche de cheveux, je vis kahlan qui commencé à reciter "un credo". Je me sentais mal a l'aise d'un coup, perdu et ne sachant que faire. D'une voix basse je mimais mes amis.

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'aprés avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN

Kahlan.

Voyant lilou désespéré elle aussi, entrain de terminer son crédo, Kahlan entendit un bourdonnement a son oreille...

Citation:

- Bien, bien … C’est le premier pas vers la rémission de tes péchés, Kahlan !

Grimaçant de plus belle ...Mais tout de même le plus discrètement possible ... Elle ronchonna en sourdine

Mes péchés... mes péchés... pis si je voulais les garder moi!!

Croisant les bras sur sa poitrine elle fit une moue vexée ... Pas sur qu'elle retournerais de si peu dans une église...Après tout le baptême n'était pas envisagé et le mariage encore moins...
Sentant le regarde de Solore peser sur elle, elle se pencha légèrement et fit mine d'éternuer, faisant voler une gerbe de plume sur la belle brunette assis juste derrière elle... Puis se dit à elle même :

Voilà un péché qui risque d'être dur à pardonner.. excuse moi Aristote mais c'était trop tentant!!

Souriant pour elle même elle continua de regarder la cérémonie faisant mine d'être des plus intéressée...

Azoura

azoura poussa doucement la porte de l'église et alla s'asseoir au fin fond de la salle,d'ou il pouvait observer en toute discrétion les personnes devant lui
Et puis une petite prière ne pouvait pas lui faire de mal....

Solore

Ne fait pas attention à la porte qui s'ouvre derrière elle, étonnée puis toute amusée de voir s'envoler un nuage léger de plumes au dessus de la tête de Kahlan.

L'une d'elles, plus ténue sans doute ou d'humeur plus aventureuse, virevoltait au dessus des autres et retint son attention. La suit des yeux dans sa douce descente vers le sommet du crâne de la Blonde et d'un bond se lève et souffle dessus doucement, la faisant changer de direction vers Liloo, qui elle le sait reste vigilante envers ses deux turbulentes voisines.

En profite pour glisser à l'oreille de Kahlan :

- Plumes blanches ? Je les pensais noires en enfer !

S'assied satisfaite et observe la petite plume qui continue son voyage vers Liloo.

Bubull

Bubull s'aperçut qu'il réciter le crédot, alors il leva la voix doucement avec l'air sur mais en restant toujours très timide.

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'aprés avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN

Eglise de Bayonne

Riwenn

Riwenn savait très bien que personne n'officierait ce dimanche puisque sa douce épouse, diaconesse de la cité bayonnaise, avait décidé de prendre du repos suite à sa grossesse...

Cependant, leur foi à lui comme à elle ne faillirait jamais. Voilà pourquoi il la délaissa quelques instants sur la couche familial pour aller prier quelques brefs instants à l'église du village.

Il entra dans la bastisse, se signa dans le bénitier et s'assit quelques minutes sur un banc au fond de l'édifice, près de la porte d'entrée.

Il murmura de nombreuses prières, parmi lesquelles celles où il demanda à Artistote de prendre soin de son épouse et son futur enfant, de prendre soin de leur amour, de prendre soin de Baïona, etc

Une fois les chuchotis vers le Très-Haut terminés, il se retira et alla retrouver sa bien-aimée.

_________________

Chipolata

...
Entrant dans le lieu saint pour tenter de se recueillir et de se calmer de toutes les fariboles qu'elle pouvait entendre au village, Chipo, malgré elle, ne pouvait s'empêcher de fredonner intérieurement une comptine de son enfance...

"Sur la grand' place de l'église, paysannes et paysans,
La grenouille avec la commère
Le bedeau avec monsieur l'Maire...
S'en racontent des histoires,
balivernes, faits notoires...
Celui-ci, celui-là, patati, patata lalalalalaaaaaaa

Et la cloche sonne,
Midi carillonne,
et les oiseaux dans le buisson
gazouillent leurs chansons ! "

Chipo se dit qu'il était vraiment temps qu'elle se concentre un peu...
Quand...
Elle explosa de rire en voyant Riwenn tripatouiller des deux mains dans le bénitier fleurant bon la poissonnerie !!!
Elle tenta bien d'en avertir le maître de l'Estaminet, qui tellement recueilli semblait ne s'être aperçu de rien, mais le "psssstttt" qu'elle tentait de souffler pour attirer son attention, se transforma en un affreux gargarisme !
Prise d'un honteux fou rire, Chipo ne put que prendre la fuite, en tentant de faire le moins de vacarme possible...
...

Michoumichou

mimi rentra dans leglise il y avais personne elle se mie a priee comme jamais elle resta plus dune heures et sortir le coeur leger

pnj

Anita croisa Mimi. Elle lui fit un signe leger de la tete et rentra. Elle s'asseya et se mit à prier. Elle marmonner la priere que l'on faisait dans son pays. Puis fit la priere française.
Elle sortit la pensée moins lourde.

Morpion79

Il est tard se dit morpion je ne sais pas si les portes seront ouvertes.
elle entre par la porte sur le coté et se rend dans l'allée du fond, après avoir barboter dans le bénitier.
Elle s'asseoit sur le banc et se met à prier.

Si tu brûles de fièvre,
Il est la Source qui rafraîchit ;

Si tu es oppressé par tes fautes,
Il est la Délivrance ;

Si tu as besoin d’aide,
Il est la Force ;

Si tu as peur de la mort,
Il est la Vie ;

Si tu désires le ciel,
Il est la Voie ;

Si tu fuis les ténèbres,
Il est la Lumière ;

Si tu as besoin de nourriture,
Il est l’Aliment.

Aristote est grand
Christos est bon
Ménage ma peine
Donne moi la force
Pour continuer
Amen

Et aussi doucement qu'elle est arrivée, elle repart par la porte de côté
Dehors le ciel est chargé de nuages il va sans doute encore neiger ce soir............

Jyc

En pleine pastorale, Le bossu se dit qu'il était temps pour lui de venir à l'Eglise.

Il avait lu les préceptes transmis par son Eveque et une petite prière ne pouvait que l'aider à conforter ses choix.

Il se met a genoux et entame sa prière.

Oh Tres Haut écoute ma prière,
Toi qui créa le monde par une simple pensé, Toi qui nous choisit comme ta créature préférée.
Toi qui nous envoya Aristote et Christos pour nous guider.
Par les Archanges et les saints aristocliens entend ma prière.

Bayonne est possédée par le Sans Nom, les hommes devienent fous.
Ils ont oublié les 12 préceptes de Saint Benoit

1) Un seul Dieu tu adoreras et aimeras parfaitement.
2)Son Saint Nom tu respecteras, fuyant blasphême et faux serment.
3)Le jour du Seigneur garderas, en servant Dieu dévotement.
4)Tes père et mère honoreras, tes supérieurs pareillement.
5)Meurtre et scandale éviteras, haine et colère Identiquement.
6)La pureté observeras, en tes actes soigneusement.
7)Le bien d'autrui tu ne prendras, ni retiendras injustement.
8)La médisance bannira, et le mensonge également
9)En pensées, désirs, veillera à rester pur entièrement.
10)Bien d'autrui ne convoiteras pour l'avoir malhonnêtement.
11)Foi et Raison te guiderons simultanéement.
12)Seuls Aristote et Christos tu loueras, évitant les faux prophètes.

Le Sans Nom les a écarté de ton chemin, tes représentants assurent même les sacrements à ces impies.
Protège Bayonne, une nouvelle Oanylone est en train de naître ici sous l'impulsion des suppots du Sans Nom.

Ecoute ma prière et fait Oh Très Haut que tes foudres s'abattent sur eux et les détruisent à jamais.

Fait que Bayonne redevienne la ville que j'ai connu à sa naissance et non point ce cloaque pestilentiel qu'elle devient.

Je te dédie cette prière Oh Très Haut, pour que cette ville redevienne Ta ville.
Puisses tu protéger ma futur épouse Dame Chipolata, mes amis, notre futur Maire Diabolique et tous nos amis. Que soient jetés dans l'oublie et les flammes de l'enfer ceux qui ne suivent pas ta voie.

Donne nous la force de les combattre, que Ton Nom soit à jamais loué.

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'aprés avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN
_________________
La plume est plus forte que le glaive.
Propriétaire de la taverne "Aux repris de justesse" à Bayonne.

pnj

Api poussa la porte grincante de l'église. Il connaissait bien les lieux. D'ailleurs, un jour il fit si froid qu'il vint se refugier sous le regard de Dieu. Le maison de Dieu était aussi le sienne, et cela le réconfortait.

Ces derniers jours, Api ressentait la ville divisée et ses habitants comme electrisés à cause des élections municipales qui approchaient. C'est ainsi qu'avant d'assister à la messe, il fit une prière pour Bayonne.

Bayonne, cité radieuse au pied des Pyrénées,
Aujourd’hui ton humeur se voile d’amertume.
Regarde avec regret tes enfants s’éloigner,
Bayonnais d’adoption mais Nîmois de naissance.
Envisageons sereins, l’avenir, chers amis.
Soupirs, deuil passager, dissipons cette écume.

Qu'aristote soit notre guide, Amen.

Puis il s'assit au premier rang, en attendant la messe.

Trolline

Trolline en ce jour dominical et après plusieurs jours d’absence dans sa terre d’accueil se rendit à L’église. Elle fut surprise de constater qu’il n’y avait point de messe et que l’église était vide. Elle prit place sur un banc et regarda en direction du Très-Haut et commença à prier.

Mon Très-Haut,
Je te demande de bien accueillir mon grand amour à tes côtés. Je sais très bien qu’il n’a pas été tout au long de sa vie irréprochable mais je peux te confirmer qu’il avait le sens du partage. J’espère également que le jour quand tu m’appelleras j’aurais l’occasion de le retrouver.

Je souhaiterais également que tu fasses quelque chose pour mon village, les habitants se déchirent entre eux et cela me peine beaucoup.

Les larmes coulant le long de ses joues, elle récita le Credo :

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant
Créateur du Ciel et de la Terre,
Juge de notre âme à l’heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l’Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C’est ainsi qu’après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort et ressuscité dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l’attendait Aristote et siège à la droite du Très-Haut.

Je crois en l’Action Divine ;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible ;
En la communion des Saints ;
En la rémission des pêchés
En la vie Eternelle

Amen

Eprouvée par cette prière, Trolline se rendit à sa maison se reposer.

Anzeme

En ce dimanche de grisaille, Anzeme est venu là, se recueuillir, prier.
Trop de violence et de méchanceté l'entourait.
Lui qui a toujours oeuvré pour le bien des Bayonnais ne comprend plus, il est perdu.
Après avoir mis sa main dans le bénitier, il s'est signé, puis c'est installé là,entre deux rangs de bancs.
Après s'être longuement recueilli, il s'est agenouillé pour implorer, il est resté longtemps là à prier encore, espérant que tout ça allait se calmer.
Puis, sans se retourner, il a quitté l'église discrètement comme il y est entré.
_________________

pnj

Moorcock arriva dans l'eglise au bras de sa douce. Depuis qu'il était Maire de Bayonne, il n'avait pas manqué une messe ou l'occasion de venir se recueillir en ces lieux chargés de la presence du divin.
Ils entrèrent et saluèrent les quelques personnes presentes. Dame Trolline, dont il connaissait l'histoire et qui avait bien du courage, Anzeme, toujours disponible et peiné par les bouleversements récents, Messire Api...que l'on revoyait sur Bayonne depuis quelques temps...

Il s'agenouilla pour faire le signe de croix et s'installa dans une travée pour commencer à prier...

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant
Créateur du Ciel et de la Terre,
Juge de notre âme à l’heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l’Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C’est ainsi qu’après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort et ressuscité dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l’attendait Aristote et siège à la droite du Très-Haut.

Je crois en l’Action Divine ;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible ;
En la communion des Saints ;
En la rémission des pêchés
En la vie Eternelle

Amen

pnj

Arte s'installa comme à son habitude aux côtés de son mari après elle aussi s'être signée et pria longuement. Puis salua dame Trolline qui se tenait non loin d'eux , et voulu saluer Anzeme mais il repartait déjà donc elle s'assit et glissa sa main dans celle de Moor en le regardant tendrement.

Morpion79

ce dimanche etait exceptionnel, le soleil avait pointé le bout de son nez. Il faisait frais morpion releva son col.
Elle entra dans l'eglise en saluant anzeme qui sortait puis arte et son epoux.
Elle s'installa sur un banc et se mit à prier.
elle aperçu Api non loin d'elle , au premier rang, mais n'osa pas le déranger dans sa méditation.
elle se reconcentra sur sa prière en attendant la messe.

pnj

Anita vint de même prier pour se soulager sa conscience de tous ces conflit incessants. Elle croisa Anzeme qui partait. Elle salua Moor et Arté puis s'installa pour prier non loin de Dame Morpion.

Jyc

Le Bossu sitot les résultats des votes connus, après être allé féliciter la nouvelle Dame Mairesse, s'en vint à l'Eglise remercier le Très Haut.

Il es étonné de voir autant de monde en ces lieux...L'Evêque refusait de nommer un nouveau curé à Bayonne estimant que les Bayonnais n'étaient pas de bons Aristocliens...il n'avais jamais vu d'Eglise avec autant de va et vient.

Aristote, Christos, par les Archanges et tous les Saints, apportez ma prière au Très Haut.
En ce jour, je le remercie, moi, pauvre non baptisé de Son Eglise d'avoir écouté mes prières et d'avoir sauvé Bayonne du Sans Nom.

Le combat fut rude mais néanmoins victorieux. Le Bien un fois de plus a triomphé du mal.

Oh Très Haut, dans ta grande miséricorde ramène la paix en Bayonne, guide tes brebis égarées vers ta sagesse et fait que Bayonne redevienne après ce mois de chaos La ville de gascogne.

Protège Dame Maire Diabolique qui va avoir du travail à chsser les marchands de Ton Temple. Guide là par ta sagesse pour quelle soit forte et n'entende pas les sirènes du Sans Nom.

Protège mes amis qui ont sut vaincre leur peur et dénoncer la Bête qui sommellait en Bayonne.
Protège nos champs, nos échopes, nos enfants nés et à naître.
Veille sur ma futur épouse Dame Chipolata.

Il reste receuilli un long moment puis quitte ces lieux Saints.
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La plume est plus forte que le glaive.
Propriétaire de la taverne "Aux repris de justesse" à Bayonne.

Michoumichou

mimi arriva t vue de loin jcv partir elle rentra et pria un long moment et resta la plus deux de heures et partir soulagee

Mordicus

Mordicus passa devant l'église du village mais n'y entra pas...Bien que ce soit un bel édifice, il faisait beaucoup d'ombre à l'astre du jour...

Mordicus ne croyais pas en ce Seigneur que tant de gens prient...cependant il respecte leur croyance et se surprend parfois même à l'implorer en sachant qu'implorer une porte aurait le même effet...

Comment peut on croire en une entité qui a fait couler le sang de millier de personnes, qui a forgé l'esprit des homme aussi belliqueux! Comment peut on croire en cette entité en voyant ses amis rongés par le chagrin et la déception?!

C'est une question sans réponse pour Mordicus, qui lui pioche sa joie dans son cœur et celui de ses amis...

pnj

ici

Michoumichou

mimi rentra a leglise elle avais le coeur leger bientot bientot pensa t elle elle pria pendant 1 heure fie sortir toute la tristesse de son coeur et se remplie de joie car elle etait en comunion avec le tres haut une fois remplie de sagesse mimi sortir en se signant et avec la paix interieur et surtout avec un large sourir sur son avenir radieux

Zhuyanzhang

Zhu entra dans l église afin de pouvoir s entretenir avec le maistre des lieux, il devait fini son catéchisme, pour pouvoir se marier, il s avança donc vers l hotel et chercha se qui pourrait ressemblé a un cureton, il vit un homme au loin dans la nef et Zhu l interpella

Escusez moi mais ou ce trouve l abbé qui ger cette paroisse?
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Amyr

Amyr aussi rentra dans l'église, il fallait qu'il soit baptiser pour se marier

Quelqu'un sait qui est le remplaçant du curé?

Zhuyanzhang

Citation:

Quelqu'un sait qui est le remplaçant du curé?

A ses paroles Zhu se retourna donc et vi Amyr, qu il avait deja croisé

Vous aussi vous cherché l Abbé de cette demeure, vide d ailleurs, pour une église j ai vu plus fréquentée, mais hélas j ai bien l impression que point de cureton traine dans les parages, personne nada!

A mon grand regret je dois dire, si quelqu un pouvait nous éclairé sur qui est le maistre des lieux?
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Mag2701

Se rendant à l'église, Mag entendit 2 hommes qu'elle connaissait chercher un curé.

Messire, excusez moi de me méler à votre conversation.... J'ai cru entendre que vous cherchiez notre curé...
Malheureusement depuis le départ de notre regretté Oroch, nous n'en avons plus...
Nous avons une diaconèsse Dame Reine.Soleil, mais celle-ci est en voyage je crois et ne dois rentrer que vers le 15 janvier.
Vous pouvez toujours vous rendre à l'évéché rencontrer Monseigneur Zouzouille si vous avez une demande particulière...
Je vous donne son adresse.

Elle griffonna sur un bout de papier de papier une adresse qu'elle remit aux 2 hommes ( http://archeveche-auch-rr.forumpro.fr/index.htm )

Voila Messire

Puis elle entra dans l'église et s'agenouilla pour prier Aristote.

Anzeme

A leur tour, Anzeme et Noupi, arrivent à l'église pour s'y recueillir.
Ensemble, ils entrent dans l'église, se signent après avoir plongé la main chacun leur tour dans le bénitier, puis, prennent place parmi les fidels pour prier.
Prier pour des jours meilleurs, prier pour la paix, pour l'amour et la fraternité.
Après un très long moment passé à se recueillir, à prier, le couple quitte l'église pour retourner vaquer à leurs occupations.
_________________

Solore

Solore pénétra dans l'église, frôla de son majeur l'eau bénite puis fit le signe de croix. Elle s'installa comme à son habitude, près du pilier et tout en regardant fixement l'autel pria pour tous ceux qu'elle connaissait.

_calypso_

Ypso entra pour la première fois dans cette église. Elle s'assit au fond, un peu isolée. Elle remercia le ciel de lui avoir donné de leurs nouvelles. Elle pria pour eux.

Morpion79

Qu'il faisait gris aujourd'hui.
Dame Morpion se rendait a l'eglise prier Aristote. Sur son chemin elle ne rencontre personne et s'étonne que cette situation perdudre.
Elle rentre , se signe avec l'eau bénite et se met pas très loin de solore qu'elle salue avec un gran sourire.
Elle s'installe et se recueille.

[img]Viens, Esprit créateur,
Visite l’âme de Tes fidèles,
emplis de la grâce d’en-haut
les coeurs que Tu as créé.
Toi qu’on appelle Conseiller,
Don du Dieu Très Haut,
Source vive, Feu, Charité,
Invisible Consécration.
Tu es l’Esprit aux sept Dons,
Le doigt de la main du Père,
L’Esprit de Vérité promis par le Père,
C’est toi qui inspire nos paroles.

Allume en nous Ta flamme,
emplis d’Amour nos coeurs,
affermis toujours de ta force,
la faiblesse de nos corps,
Repousse l’Adversaire au loin,
donnes-nous Ta paix sans retard,
pour que sous Ta conduite et Ton conseil,
nous évitions tout mal et toute erreur.

Une fois achevée sa prière elle resta encore un moment a se recueillir.

[/img]

Michoumichou

mimi rentra a l eglise et se mie a genoux et pria pour lili pour quelle revienne en vie car son amour damo etait tres triste et mimi aussi faite que lili revienne parmi nous mimi pria pendant 2 heures et sortir de l eglise le coeur lourd

Kassie

Avant d'aller pecher ,Kassie decida d'aller prier en l'eglise du village, elle penetra dans l'enceinte sainte, s'agenouilla , se signa et alla prier pour les gens qu'elle aimait ainsi que pour ses ennemis.....Apres quelques prieres elle repartit le coeur moins lourd mais interrogatif devait elle penser au bapteme?
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Loktar

loktar tout emitouflé se rendit à l'église d'un pas lourd et pesé. il poussa la grand porte rompant le silence des lieux à demi éclairés. aprés les déférances usuelles à nos saints et amis disparus il prit place en fonds tête baissée.

Suffisemment recceuilli il joigni ses mains par imitation .. comme il avait vu faire ..celà devait avoir un sens...une idée qu'il ignorait encore mais qui resurgit dans les moments difficile de son existence.

Par Aristote, seraient-ton devenus si vieux, si calmes que nous ne saurions moins vivre bien en compagnie de nos proches ?

Serait-on devenus si hautains parfois que l'on en oubliât nos difficiles jeunes pas!

Par nos diparus ,nos freres et amis ..qu' aucune de nos memoires ne faillisse et pour eviter que l'on en gardât qu'un souvenir trop diffus se rappeler souvent nos meilleurs moments... pauvre milili !

Par nos gens qui montrent l'exemple que forces soient rendues et tracas oubliés un instant..sur un chemin ...le chemin où jadis il convenait de faire pousser des fleurs pour y bien vivre...et qui devint tant sinueux que les fleurs y sont piétinées jusqu'à oublier...oublier que c'etait même des fleurs!

Pour l'avenir ...protege tes plus humbles enfants de Bayonne ..leur innocence n'a pas d'égal!..quant aux plus hauts lieux de nos cours ,où aucun n'a vraiment coeur à sentir ces fleurs fannées ...je ne puis dire mots ...ce serait trop déplacé

Il s'inclina et aprés quelques minutes silencieuses repartit en veillant de bien refermer la grand porte.

Damocles

Damo avait un voyage a faire, et depuis la perte de lili , ilne savait plus ou il se situait dans ses croyance....il en voulait au ciel, de lui avoir pris sont amour .;son si grand si bel amour...Machinalement ses pas le gudaient vers l'église..;il s'arreta ...releva la tete..devant lui l'église...il hesita un instant et finalment poussa la lourde porte de l'entrée..il avança et s'assit au dernier rang pres de l'allée..Damo n'avait jamais prié...il regarda devant lui..voulu parler..mais aucun son ne put sortir....une larme coula...il se leva et s'en alla...
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ne croyez pas en ce qu'ils disent mais croyez en ce qu'ils font

Michoumichou

mimi arriva a l eglise et pria pour que bayonnne redevient comme avent mimi etait triste de voir la mechantee des gens la medisances mimi pria pour que tout rentre dans l ordres et partit en courannt

Michoumichou

mimi retouna a leglise elle avais envie de tue une personne mais elle savais que cetait pas bien alor elle pria pour que cette colere sorte delle et quant ce fue fait elle etait apaisee et sortir en courent
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Azoura

Azoura passa devant l'église comme souvent d'ailleur, sauf que cette fois ci , il décida d'y entrer.
Il voulait communier avec le puissant,se faire pardonnez ses fautes, ses manquements.
Il baissa la tête, se signa puis pria.
Après c'être repenti, il alluma un cierge et s'en alla

Mag2701

Mag entra dans l'église, se signa , s'agenouilla et pria.... puis osa une demande qu'elle espérait voir exaucer

Mon Dieu, veillez sur lui ...

Une larme s'échappa qu'elle essuya rapidement d'un revers de main... Elle se signa et sortit de l'église

Solore

Prit le parchemin et le cloua sur la porte, bien en vue de tous les fidèles.

Citation:

Aux peuples et aux nations,
A la fidèle communauté aristotélicienne,
Aux comtes et aux princes du royaume de France.

Voilà bientôt trois années que Sa Majesté Lévan III de Normandie était sacrée et couronnée
roi de France en la cathédrale de Reims. Dans l’un de nos essais, nous disions que le sacre
était le « privilège des souverains accordé par la Sainte Eglise, représentante de Dieu sur terre »
et qu’il « conférait au monarque une légitimité et un caractère divin, distinguant celui-ci des
autres fidèles. Désigné comme le lieutenant de Dieu sur terre, le monarque sacré doit régir les
peuples selon la sagesse et non la puissance, rendre la justice en toute équité, protéger la Foi
et l’Eglise, pourchasser les hérétiques et élever plus haut encore la gloire de notre Seigneur
tout-puissant. »

Régir les peuples et les conduire, tel un père, mais aussi choisir le juste chemin sur lequel il
les mènera. Et n’est-ce pas là la mission qu’il remplit en partant pour la Normandie à la
rencontre des autorités bretonnes ? C’est pourquoi, l’épiscopat français et moi-même, en tant
qu’archevêque de Reims, invitons les autorités du royaume de France à assister, en présence
de Sa Majesté, au Te Deum qui sera donné en la Cathédrale de Paris pour l’anniversaire du
sacre, mais aussi afin de placer sous les meilleurs auspices le départ pour le Mont Saint
Michel de notre roi, où une lourde tâche l’attend.

« Par le sang, il (le roi) est désigné comme le successeur de son aïeule, véhiculant un
patrimoine millénaire et un héritage au service de Dieu, par l’Eglise, il est oint, assimilé à la
nature d’un évêque, par Dieu, à travers Son institution, il est reconnu comme le légitime
héritier du trône terrestre du Tout-Puissant sur lequel désormais il se pose et incarne sa
puissance absolue encensée d’un caractère divin et parfait. Le monarque est l’image de Dieu.
Vertu, puissance et perfection se personnifient en lui. » Puissiez-vous assister à cette
cérémonie en hommage à notre monarque ! Nous profiterons par ailleurs de l’office pour nous
souvenir de notre défunte reine en priant pour son âme.

La cérémonie se déroulera le XXII janvier de l’an de grâce MCVLVII en la cathédrale de
Paris sous le coup de 16 heures. L’entrée des invités se fera au cours de la matinée et des
heures précédant la cérémonie*.

Pour l’épiscopat de Reims,
Aaron de Nagan, Cardinal-Archevêque de Reims.

Pour la Maison Ecclésiastique de France,
Muad Dib, Grand Aumônier de France.

Fait à Rome, le XIX janvier de l'an de grâce MCDLVII.

*Le sujet sera ouvert le 21 en journée afin de laisser le temps aux différents personnages conviés d'arriver en la cathédrale de Paris (Forum2 > Ville de Paris > Notre-Dame)

Morpion79

Un petit peu de temps devant elle ;morpion bien enmitouflée se presse vers l'église pour s'y recueillir.
Elle s'arrête a la porte et voit un parchemin, alors elle se met a le lire.

hummm se dit-elle, voila chose intéressante mais hélas je trouve que cette céremonie tombe mal. Les élections approche et meme si on vote avant le temps d'arriver a Paris et la cérémonie pfiut.. envolée.
Oh quel dommage!!!!!
Voyons, non je pense que moi je ne peux pas y aller mais il aura bien d'autres fidèles a ma place.

Et elle entra après avoir tremper ses doigts dans l'eau bénite. Elle s'installa au centre sur un banc pour y prier en joignant ses mains devant son visage et un sourire aux lèvres.
Elle pria pour notre reine et le monarque

Azoura

azoura passa faire une tit prière,il déposa à l'entrée sa pancarte ...VOTEZ...O P I U M..

entra et se dirigea vers l'hôtel ou il pria et alluma une bougie
c'est avec un air serein qu'il sorti de l'édifice

Catherinedaragon

Tot le matin , alors que catherine se rendait au marché pour vendre ses sacs de blé, elle passa devant l'Eglise.
Elle decida qu'elle entrerait , il y avait longtemps , a sa grande honte, qu'elle n'y s'etait plus rendue.

Elle se signa, s'agenouilla, puis repensa a ces dernieres semaines, esperant n'avoir pas trop commis de pechés.

Alors qu'elle etait plongée dans ses prieres, esperant le bien de ses amis et le sien, elle se rendit compte qu'elle etait deja dans ce lieu sacré depuis plus d'une demi heure!!
Elle allait etre en retard, elle ne trouverait plus de travail, si elle continuait !

Elle se releva, se dirigea vers la sortie en se prometant de revenir ici quand sa journée de dure labeur serait finie. Elle avait oubliée a quel point la maison du Seigneur rechauffait les coeurs.

Mag2701

Après avoir lu le message de Monseigneur Zouzouille, Mag se dirigea vers l'église de Bayonne et afficha le message.

Le baptême de Mimi a lieu a la cathédrale. Venez nombreux vous joindre a elle pour ce grand jour qui la verra entrer dans la famille Aristotélicienne.

http://archeveche-auch-rr.forumpro.fr/la-cathedrale-de-bazas-f5/bapteme-de-michoumichou-t791.htm

Puis elle poussa la porte, se signa et se mit à prier...

Morpion79

Morpion rentra dans l'église se signa et alla s"asseoir.
Elle serra ses mains l'une contre l'autre et se mit à prier.

Puisses tu faire de ce jour seigneur le jour de grâce
Quand soudain tu rappelle a toi des hommes bons....
On ne peut que se sentir petit et grand a la fois dans l'unnivers
Que tu as creer
Mais s'il te plait exhausse ma prière et conduis moi
sur ton chemin que je sois pret de toi
Que je puisse sentir la confiance m'envahir
que je sente ta main me guider vers le monde.

près s'etre signée, morpion se leva et sortit. Sentant son coeur libre et léger par cette prière .

Amyr

Amyr qui avait suivit des études pour devenir diacre entra dans la salle où il avait failli travailler. Toujours comme la première fois qu'il y était entré. Il vit les cierges et alla en allumer un. Il fit une courte prière prit repartit sans dire un moi
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Azoura

azoura entra,se signa et alla s'asseoir pour prier un peu
prier pour les gens qui sont dans le malheur..
pour ceux qui souffrent....
ceux frappé par la mort...volontaire où non.....
prier pour le pardon de ses fautes......amen

azoura se leva et quitta l'édifice

Michoumichou

mùimi arriva et entra dans cette eglis quelle aimais temps et pria oui elle etait batisee et heureuse avec son homme elle rentrera ici pour son mariage avec cet parents et sa maraine mag et set amies amis mimi pria et sortir normalement
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pnj

San entra pour la première fois dans l'édifice appelé église. Il alla se mettre sur un banc, et, vérifiant qu'il n'y avait personne, il se mit a parler :

"Heu...Bonjour Dieu...ça va ? Tu sais, j'crois pas beaucoup a toi, mais...mais j'viens quand même. Parce que, tu vois, tu as le privilège des mariages, et...Et je suis amoureux d'une femme. Elle...Elle s'appelle Mellyna et elle est formidable. il faut que je me fasse baptiser pour...pour me marier..;Donc voilà."

San sourit,puis il se leva.

"Merci, et a plus tard !"

Il quitta alors l'église.

pnj

Anita s'assit sur un banc non loin de personne inconnue... Elle croisa les mains et commenca à prier pour une personne qui lui était tres chere :
Mon dieu toi qui a pouvoir sur les mortels pourquoi faire une guerre où ils mourront si guerre tu fais proteje-le !

Anita se levat et sorti une perle d'eau au coin de l'oeil...

Kassie

Kassie entra anéantie dans l'Eglise, elle n'avait pas dormie de la nuit, elle se signa, se dirigea vers les cierges afin d'en faire bruler un, deposa un petit ecu pour les mendiants puis alla s'assoir sur un banc dans un recoin de l'eglise....
Elle regarda les vitraux et se mit à pleurer, elle se mit à repenser à ses premieres lecture de sa pastorale et pensa à lui, lui qui l'avait trahi, lui qui lui avait donné un coup de couteau dans le dos......Tout en pensant , elle serra les poings de colere

Aristote, pourquoi a t'il fait cela? Pourquoi il m'a trahi? POurquoi me le retires tu de ma vie ? Pourquoi n'ai je pas le droit au bonheur comme les autres?

Elle desserra ses poings, mit un coup sur le banc, s'essuya les yeux, se leva , regarda en direction de la Sacristie , secoua sa tete de degout et sortit de l'Eglise le coeur moins lourd mais avec autant de colere voir pire.....
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Anzeme

En ce dimanche, le tavernier des zamours entre à son tour se recueillir.
Lui qui vient d'être accusé de lâcheté par Prangarde pour n'être pas parti là bas en Guyenne tuer des innocents et envaillir leur terre.
Après s'être signé, il rejoint un banc au font de l'église et se recueil longuement.

Je crois en le Très-Haut tout puissant, Créateur du Ciel et de la Terre, Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.

AMEN

Après avoir à voix basse récité son crédo, il rajouta

Toi le tout puissant, protège nos frères et nos soeurs qui sont au combat
Fait entendre raison à ceux qui sont partis envahir la Guyenne
Protège les Guyannais des coups ennemis
Dit à nos femmes et à nos hommes de revenir ici chez eux protéger les leurs
Et délivre les du mal

Amen

Puis il resta là à se recuellir longuement, avant de se signer de nouveau pour retourner dans sa taverne où ses nombreux amis l'attendait sûrement.
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Cannelle

Sur le chemin qui la mena à l'église, la donà croisa la donà von Wittelsbach. Elle semblait effondrée . Passant prés d'elle, Cannelle posa la main sur son épaule d'un geste qu'elle espérait réconfortant . Cape abaissée , mais la tête néanmoins couverte , la donà entra dans l'édifice à pas feutrés . Elle fut étonné du peu de personnes présentes.

Elle prit place , se recueilli, pria pour la Gascogne car elle était en bien mauvaise posture .Tous les efforts fournis par les diplomates qui l'avaient précédés et ceux présents ont été anéanties par la folie de certains .

Elle pria pour qu'Aristote ait pitié de nos âmes , puis rejoignit sa demeure .
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Azoura

Par une journée comme un autre,azoura ce dit qu'il serait bien de communier avec le très haut
C'est les bras chargé de pancartes
...V O T E Z...K A S S I E...
qu'il se rendit à l'église
Il posa ses pancartes,entra et pria pour les malheureuses victimes de cette guerre...
C'est le coeur un peu soulagé mais sans plus qu'il sortit de l'édifice
Il repris son chemin tout en se disant:
""et si cela venait à tourner encore plus mal..je serais obligé de prendre les armes pour défendre ma Bayonne !!!""
Il disparu à la lisière du bois

pnj

Anita arriva s'assit et resta un long, très long moments à prier pour tout ceux qui vot se battre pour une guyenne inconnue à ses yeux elel pria particulierement pour Pran qui fendait le coeur de Kassie et surtout remplissait la taverne d'eau car Pran...

Anita se releva alluma un cierge et sortit les larmes aux yeux !

Morpion79

En chemin pour l'église.
Morpion laissait couler les larmes, rien ne pouvait l'apaiser. Ces hommes sont fous, répétait-elle, mais qu'est-ce qui pourrait bien les arretes?
Elle espérait que la prière la soulagerait et lui donnerait des réponses .

Elle entra dans l'église, trempa sa main et se signa, puis se dirigea vers un banc. Elle s'installe et se mets à prier.

Elle sentait son coeur s'apaiser doucement et ses prières étaient pour son amour qui n'a pas ete epargné par la bétise de ces hommes guerriers.
Après un petit moment, elle se senti mieux elle ne pleurait plus, il restait juste un gout amer dans sa gorge. Elle se releva et sortit de l'église, là le soleil l'aveugla, elle avait passé une matinée là et le soleil allait bientôt se coucher.

Morpion79

Il était très tôt et le brouillard était là.
Elle entre dans l'eglise et se signe.

Puis elle s'installe et prie pour son amour mais aussi pour tous ceux que cette guerre n'épargne pas.

Le froid mord même dans l'eglise, elle remonte son col, et après s'etre signée elle sort aussi silencieusement qu'elle était entrée.
Morpion se dirige vers son champs pour vérifier que le froid n'empechera pas sa prochaine récolte de venir.

Morpion79

Encore du brouillard ce matin mais c'est surement que le soleil va sortir et rechauffer nos coeurs. Ils en ont besoin avec les evenements de ces derniers jours.
Morpion entra dans l'eglise avec quelques fleurs a la main.
Elle venait se recueillir et prier pour tous, les blesses leurs familles, les morts et les biens pensant aussi.
Prier , la prière est pour tous meme si on est en colère . Pas de jugement, c'est le role d'Aristote le jugement ..... pas le notre.
Elle joint ses mains et se recueille ainsi un bon moment.

Misteart

Misteart entra dans l'eglise un endroit ou elle ne rentre jamais car elle méprisait ce lieu, lui faisait peur sans l'affirmer. Elle respira une bonne fois et s'avanca dans l'eglise. Elle venait ici pour se renseigner, pour se marier, comment procede t on? Elle avanca et attendit.

pnj

Anita arriva. Elle n'avait pas grand chose à prier, ni ne revait de meilleur recolte... Non elle venait faire un tour, priait pour elle ne sait quoi ne la dérangeait pas... Dieu n'était pas son ami mais quelqu'un qu'y lui plaisait... Comment avait-il réussi à dominer toute la race humaine hein ? Seule un grand tyran ou un dictateur pouvait faire ça.. heuresement qu'il s'était appaisé !!

Elle regarda Miste. Un sourire au lèvres.... Ahh le mariage, le lien s'acré... Mist haïssait l'eglise, Anita haïssait le mariage enfin le sien n'arriverait jamais mais si on veut se marier hallelujah !!

Elle s'assit et pria pendant quelques minutes en esperant interieurement que la parole de dieu lui dirait comme il a executer cet exploie....

Mag2701

Mag se rendit à l'église pour prier. Elle vit Anita en prière et Mist qui cherchait des renseignements.

Mist, si je peux me permettre...
Pour un mariage, tu dois d'abord être baptisée et faire ta pastorale.
Comme nous n'avons pas de curé, nous devons aller à la cathédrale

Puis Mag alla s'assoir et se plongea dans sa prière

Michoumichou

mimi arriva et vie sa marraine mag alla a cote d elle et pria

pnj

Adrien qui comme sa mere n'aimait pas ce lieu y vint pour voir a quoi cela ressembler.

Michoumichou

mimi regarda drein et lui dit ici cet pour priee banane mimi pris drein par la main et le mena a vec elle priee .
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Mag2701

En entrant dans l'église, Mag jeta un regard au tas de ruines qui fut un presbytère. Explosion et incendie avaient eu raison de l'édifice...

"Comment ai- je pu oublier que la ville n'avait plus de presbytère...? Où logerait le prochain curé de notre ville ...? Il allait falloir trouver une réponse rapidement... très rapidement... Quel accueil allons nous lui faire? On ne peut lui demander de s'installer dans un tas de ruines quand même..? Reste à retapper la batisse, le temps presse..."

Elle poussa la porte et alluma un cierge ramené par Kahlan, puis elle se plongea dans sa prière

Solore

Entre doucement dans l'église. Elle l'a désertée depuis un long moment ... depuis la mort de Chia, en fait ...

Aperçoit une silhouette qu'elle reconnait immédiatement. Mag est là, priant pour le retour sain et sauf de son mari. La Lorraine ... pas la porte à côté et les risques sur les routes bien grands.

S'agenouille et prie pour Chia, Fredmalkav et Galaëlle et Marina leur bébé. Prie mais sent la colère monter alors que cela devrait l'apaiser. Sa mère disait toujours que ceux que l'on aimait devenait poussières d'étoiles ... Oui, fallait mieux penser cela que de les imaginer pourrissant en terre.

Pense à Firmin et Everyl et envoie une prière vers eux ... Où sont-il donc, les enfants de Chiabrena ? Plus à Agen, elle le sait ... Quelque part sur les routes avec Allalona ... Tiens, une petite prière pour Allalona, ça fera de mal à personne.

Qui a t'elle oublié ?

Cherche un moment, entend Mag toussoter ... Et allez ! Une pour Mag, Elfik et leur petite fille.

Et pendant qu'elle y est, une pour Condemned, ça ne lui fera pas de mal non plus à ce mécréant.

Se relève, fait rapidement son signe de croix ... c'était pas encore le moment de revenir ... peut-être qu'avec l'arrivée du nouveau curé cela ira mieux ... L'espère mais a un doute là dessus aussi.

Michoumichou

mimi rentra avec son amour de bul mimi etait tres emu car .......... bul pris la main de son amour et dit viend on vas sassoir ici ils prierenr en silene et apres sotir de l eglise apaisee tu sais bul je taime mon amour.et ils partir mais dans la mains
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pnj

Anita arriva dans l'église a on ne sait quelle heure. Elle s'assit sur un banc et pria. Elle ne savait pas pour qui ainsi que pourquoi mais elle pria quelques heure qui lui parurent étrangement très courtes. Prier elle savait le faire, savoir pourquoi elle prier beaucoup moins mais l'important était de prier notre dieu !

Solore

Radieuse, et sur la demande de Mimi, annonce à tous que cette soirée va être exceptionnelle pour une certaine personne ... Se râcle la gorge discrètement et d'une voix assurée :

- Amies et amis de Bubull et Mimi, ce soir après 20 heures, Bul entrera dans la grande famille aristolicienne par la voie du bâptème. Venez-y donc nombreux, ils comptent tous deux sur vous.

Sourit à Mimi et lui murmure :

- Voilà qui est fait !^^

Michoumichou

mimi sauta dans les bras de solore et lembrassa tres fort merci solore bul apprecira ce geste merci pour lui

Bubull

En ce jour de grande joie Bubull avance devant l'autel, et attend le sacrements.

Kahlan.

L'heure du baptême approchait et mimi lui avait bien dit d'être à l'heure c'est pourquoi elle se présenta devant l'église afin d'assister a son premier Baptême.

Entrant dans l'église elle ne vit pas encore foule et resta bien dans le fond ne voulant déranger les préparations...
Après avoir posé son arrière train sur un banc en bois ele se releva et y déposa un petit coussins qu'elle s'était confectionné au cas ou!

Maintenant bien à l'aise elle regarda les lieux et parcouru chaque centimetre carré du regard... se disant que les lieux de cultes étaient les plus ornés de tous...

Puis tout a coup elle vit Bubull s'avancer vers l'autel et se fixa sur la cérémonie

Macpherson

Macpherson entre dans l'église vétu de ses plus beaux habits pour assister au bapteme de Bubull, il s'agenouilla fit une prière en attendant son arrivé.

pnj

Anita passa la tête par la porte pour verifier de ne pas être la première et entra voyant Kahlan ainsi que Bul le futur baptisé (le plus important en clair). Elle s'assit seule a part en se demandant si dieu lui permettait réellement d'entrer dans son lieu. Puis elle se concentra sur un pli de sa tenue ésperant que personne ne remarquerait la tache de miel qui persistait a rester.

Lilou_corsu

je rentre pour la premiere fois dans l'eglise, il ne fait pas tres chaud, je vois bul devant l'autel pour sa préparation.
je m'avance doucement, je vois kahlan assise pas loin de moi, je vais le rejoindre.

Bah dit donc, apparement nous sommes les premiéres!

Je m'assoie, et attend!

Kahlan.

Voyant lilou approcher elle sourit en entendant :

Bah dit donc, apparemment nous sommes les premières!

souriant en coin elle présenta le monde qui arrivait petit a petit dans l'église et posa un doigts sur ses lèvres...

Michoumichou

mimi toute blanc vetue dit bonjour a tout le monde et vas sassoir et regarde son amour qui et debout et qui attent mimi avais les larmes au yeux de voir son hamour la debout tremblent mimi lui dit de loin je suis pres de toi cheri tu vas voir ca vas bien se passee

Mag2701

Mag arriva devant l'église, un peu essouflée...
Puis elle entra espérant ne pas être en retard.
Elle vit déja un petit groupe d'amis assemblés et apercut Bul tout devant. Elle alla le rejoindre.

Bonsoir Bul, désolée pour le retard.

Puis elle s'assit à ses côtés en attendant l'arrivée de Monseigneur Zouzouille

Bubull

Bul salua Mag qui l'avait rejoind et s'assied à coté d'elle en attendant Monseigneur Zouzouille.

Mag2701

Sentant le jeune Bul un peu tendu, Mag lui murmure.

Allez, ne t'en fais pas. Tout ira bien...
Le baptême est une fête, c'est avec joie que toute la communauté va t'accueillir, tu n'as rien à craindre

Bubull

Bul lui répondit, d'un air tout stressé:
c'est long, je comprend pas
Et Bul continu de craindre le retard.

Pounamu

Pounamu entra pour la tout première fois dans l'église: il fallait bien une occasion comme celle-là pour qu'elle se décide! Elle avait eu peur d'être un peu en retard, mais, apparemment, la cérémonie n'avait pas encore commencé.
Elle fit un petit sourire à Bul et Mimi et se faufila sans oser faire trop de bruit jusqu'au banc de Lilou et Kahlan. Elle se dit que, finalement, ce n'était peut-être pas le genre d'endroit pour les danses et applaudissements de ces derniers temps...
Elle donc fit un petit signe silencieux aux deux autres jeunes filles et s'assit discrètement pour attendre de voir ce qui allait se passer (et si, finalement, il y aurait des danses...)

Solore

Se glisse silencieusement sur la pointe des pieds jusqu'à un banc où elle prend place en essayant de faire le moins de bruit possible, tout en ne lâchant pas du regard Mimi et Bul.

Sourit à Mag et à tout ceux qui la regardent, honteuse de son retard. Fixe la chevelure blonde de sa voisine de devant ... Tiens, tiens, Kahlan ! Se redresse et jette un coup d'oeil rapide vers les mains de celle-ci ... Avait-elle osé ? N'y voit rien et sourit à la belle blonde ...

Reporte son attention vers Bubull et Mimi.

pnj

Adrien étant là depuis le début, vit solore arrivée et sourit.
Solore avait très peu de défaut mais le retard était le principal.
Adrien reporta son attention sur Bubull et Mimi, le sourire au levres.

Solore

Commence à s'agiter et à soupirer en regardant en l'air, en suivant la ligne d'un pilier, lui prend une envie folle de tirer sur les magnifiques cheveux de la blonde assise devant elle, avance une main, se retient et soudain se penche légèrement en avant pour voir Adrien, lui adresse un sourire et un petit signe de la main. Le fixe et articule silencieusement :

- Que se passe -t'il ? Où est le curé ?

Attend patiemment une réponse en fronçant les sourcils, toute attention maintenue vers Adrien.

Lilou_corsu

L'eglise se remplit de plus en plus, mais je commencais a perdre un peu patience, je sourit a poun qui venait juste de nous rejoindre. je mis un coup de coude a kahlan en lui montrant les cierges du doigt. je lui fis un clin d'oeil.
Mais que pouvez bien faire le curé? aurait oublié notre cher bul?
Je m'efforcais de ne pas faire de bêtises comme à me habitudes mais pourrais-je tenir encore longtemps?

Solore

Guette sur le visage d'Adrien une réponse qui tarde à venir, se penche un peu plus, retient d'une main son col qui lentement se déplace sur son épaule et continue de lui parler en silence :

- Elle fait quoi, Monseigneur Zouzouille ? Bul s'est trompé de jour ?

Scrute le visage d'Adrien qui visiblement ne comprend rien et se penche encore un peu plus, frôle la blonde chevelure de Kahlan de la sienne, en a un sursaut qui la déséquilibre, se redresse brusquement et reste soudain en arrêt au milieu de son mouvement ... une épingle retenant ses cheveux relevés, prise dans ceux de Kahlan.

N'ose plus faire un geste et reste pralysée, prise au piège par les longs cheveux de Kahlan.

Michoumichou

mimi le......

Bubull

Bul voyait qu'il y avait beaucoup de monde venu pour son baptême, ils étaient vraiment très nombreux. Il se leva, se tourna vers eux et leur dit "merci, merci à tous d'être venu, cela me touche beaucoup". Puis il se rassied.

Zouzouille

Rho, ce garçon, une vrai calamité. Elle lui avait demandé de la lever pour vepre et là voilà fort en retard.
Rapidement, elle se passe de l'eau sur le visage, tire ses cheveux en arrière afin de donner un peu de tenue à sa personne avant d'enfiler rapidement sa tenue de cérémonie.
Tonitruante dans l'escalier, elle sort de l'auberge au pas de course pour aller en direction de l'Eglise où les bayonnais doivent l'attendre.

Entrant dans l'édifice, elle remarque avec honte et rougeur sur les joues, qu'elle était bien en retard. Elle passe sur le côté pour ne pas se faire trop remarquer avant d'arriver devant le futur baptisé et de lui dire.

Adishatz mon fils !
Je suis désolée, je commence de suite

Sur l'autel, la providence voulue qu'il y ait déja son matériel de cérémonie, sans doute un sacristain bienveillant.
Elle s'éclaircit la voix avant de commencer le sacrement

Mes frères, mes sœurs, bienvenue à vous en cette journée de liesse !
Nous sommes donc tous réunis aujourd’hui afin d’accueillir Bubull dans la grande famille Aristotélicienne. Par le saint sacrement du baptême, il s’avancera sur le chemin de l’Illumination de son âme, chemin qui le conduira jusqu’au Paradis solaire.

Bubull a choisi d’être accompagné par vous, Dauna Mag2701, comme marraine.

Dauna Mag2701, voulez-vous être la marraine de Bubull ?

Confirmez-vous qu’il est ici de par sa propre volonté pour rejoindre la famille aristotélicienne par le baptême. Et que sa décision est réfléchie et sincère ? Le seconderez-vous sur le long et ardu chemin de la foi ?

Mag2701

Monseigneur Zouzouille l'appela, elle se leva et lui répondit.

Oui, je veux être la marrainne de Bubull.

Par son baptême, il souhaite rejoindre la famille Aristotélicienne. Cet acte a été murement réfléchi et sa décision est sincère.

Je ferai de mon mieux pour le guider sur le chemin de la foi

Zouzouille

A présent que la marraine avait acté sa position, il était temps de passer à la suite. L'officiante poursuivit la cérémonie.
La vois vibrante d'émotion Zouzouille remercia la jeune femme pour sa déclaration et se tournant vers Bubull continua.

Mon fils, vous avez souhaité rejoindre notre communauté de la foi aristotélicienne. Désirez quitter le monde purement matérialiste et vous joindre au Très-Haut par la révélation et, par cet acte, être lavé de vos pêchés, et en cet acte vous avez grandi !

Le prélat sourit, se remémorant la ferveur que le jeune homme manifestait depuis plusieurs semaines. Elle poursuivit donc la cérémonie en récitant le sermon du baptême.

Citation:

"L'amitié est ce qu'il y a de plus nécessaire pour vivre. Car sans amis, personne ne choisirait de vivre, eut-il tous les autres biens. Et dans la pauvreté comme dans toute autre infortune, les hommes pensent que les amis sont l'unique refuge. L'amitié d'ailleurs est un secours aux jeunes gens pour les préserver de l'erreur ; aux vieillards, pour leur assurer des soins et suppléer à leur manque d'activité dû à la faiblesse ; à ceux enfin qui sont dans la fleur de l'âge, pour les inciter aux nobles actions, car on est alors plus capable à la fois de penser et d'agir"

Ce baptême est pour vous, Bubull, le premier pas qui vous mènera vers le Paradis. Mais il vous faudra encore suivre par vous-même ce long chemin vers la perfection par la prière et en mettant en oeuvre chaque jour cette amitié envers vos frères et sœurs. Car telle est la Parole de Dieu transmise par Posuys d’Alexandrie.

Citation:

"Le baptême permet à la vertu de racheter le péché, permet à l’amour de vaincre l’acédie. Un vertueux qui n’est pas baptisé ne se verra pas effacer ses fautes, car Je n’ai pas béni son entrée dans la communauté de Mes fidèles. Mais ne crois pas que le fait d’être baptisé t’autorise à pécher sans vergogne. Ce sacrement n’est que le moyen de vivre dans la vertu. Mais tous ceux qui n’ont pas été baptisés, qu’ils soient enfants ou adultes, si ils n’ont absolument jamais péché, pourront de même accéder au Paradis.”

En espérant que ce court extrait vous aura bien fait comprendre à tous ici présents la valeur de ce sacrement, mais aussi le fait que c’est l’ensemble de vos actes, au cours de votre vie qui entrera en ligne de compte le jour où vous serez face à notre Créateur. Maintenant, Bubull, le temps est venu de prêter serment d’allégeance à l’Eglise Aristotélicienne. Répètez simplement après moi ce serment

Kahlan.

La cérémonie venait de débuter ... la patiente des gens enfin récompensé..
Mais ne comprenant pas ce qui se passait Kahlan sentit comme un poids dans sa chevelure.. un poids que dit elle une masse énorme!! Essayant d'étouffer ses remontrances elle chuchota tout bas à Solore ... Ça ne pouvait être qu'elle évidemment!

Non mais oh mes beaux cheveux!! Fait quelque chose j'vois plus rien!

Essayant désespérément de retrouver un semblant de calme elle étouffa un fou rire naissant...
Tapotant l'arrière de son crane elle sentit un méli mélo de cheveux sentant bien que certain de devait pas être à elle...

Non mais Solore comment t'as réussis ton affaire là??

Cherchant désespérément de sa main gauche la raison de cette fusion impromptue elle se trémoussa sur le banc le coussin glissant petit à petit...
Seules elles n'y arriveraient pas .. il leur fallait de l'aide .. Car il devenait de plus en plus dure de ne pas éclater d'un rire clair... ET elle savait que si elle gachait la cérémonie Mimi leur en voudrait à mort!

Solore

Entend la porte de l'église s'ouvrir puis se refermer et un pas rapide sur le côté de l'église. Ah ! Du nouveau !

Essaie de jeter un coup d'oeil sur la silhouette qui passe rapidement mais n'ose relever la tête de peur d'emmener avec elle les faux cheveux de la belle Kahlan (^^). Enfin, en est-elle presque persuadée en les voyant si brillants, si souple, si doux ... et si blonds !

Est tentée un instant de vérifier si ses soupçons sont fondés ... tire légèrement, sent un résistance ... N'ose aller plus loin , reste immobile tête brune contre tête blonde, attendant que la belle réagisse.

Attend, attend en terrible posture en écoutant Monseigneur Zouzouille commencer la cérémonie et prie pour que Kahlan ne se relève pas d'un coup. Murmure :

- Kahlan ! Nous ressemblons à des soeurs siamoises accrochées par la tête ... Aide-moi ![/b]

Entend :

Citation:

[b]Non mais Solore comment t'as réussis ton affaire là??

Ah ! La bonne question ! Mais venant de Kahlan, cela ne l'étonne guère.

Sent que la blonde retient un fou rire et se dit qu'il y a péril en l'église.

- J’en sais rien, mais demande de l’aide et vite, sinon … je coupe !

Cherche à taton son sac dans lequel, elle espère trouver une paire de ciseaux.

Lilou_corsu

Mon seigneur Zouzouille venanit d'entrer dans l'église, son discours commenca et je me concentrais su son discours mais des mouvements venant d'à côté me fit turné la tête.

Mais, rhooo, mais vous faites quoi la?

Je vit la chevelure de Kahlan et de Solore s'entreméler et discretement j'essayais de les delivrer. Avec l'autre main, je me cachais la bouche pour atténuer mes rires.

Arrêtez de bouger, on va se faire remarquer! haaa, voila!

Je regardais les deux femmes avec un sourire, puis me reconcentra sur la ceremonie.

Kahlan.

Pounamu

Michoumichou

mimi rentra dans l eglise alla priee resta assez lontemg pour se receullir et parit en courent

Bubull

Zouzouille

Solore

Michoumichou

Kahlan.

Mag2701

A la demande de Monseigneur, Mag s'exécuta.

Solore

Lilou_corsu

Kahlan.

Voyant lilou désespéré elle aussi, entrain de terminer son crédo, Kahlan entendit un bourdonnement a son oreille...

Citation:

- Bien, bien … C’est le premier pas vers la rémission de tes péchés, Kahlan !

Azoura

Solore

Bubull

Pounamu

Pounamu avait du mal à se retenir de rire en voyant Kahlan entourée de plumes en suspension, mais elle ne fit pas de bruit pour ne pas déranger la cérémonie. D'ailleurs, elle ne comprenait pas grand-chose à ce que tout le monde récitait et préférait se taire et écouter plutôt que de dire des bêtises et de se retrouver seule à chantonner des paroles inconnues...

Michoumichou

[size=12][color=indigo]mimi
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Lilou_corsu

Je faisias tout mon possible pour garder ma concentration, mais les deux incorrigibles me faisaient perdre le file de la ceremonie. Je regardais poun, elle paraissait toute aussi perdu que moi, quand tout d'un coup, une plume venue d'ou je ne sais ou, me caressa les narines, et je ne pus me retenir.

Achtoummmm

Embarrassée, je glissa sur le banc pour me cacher, esperant que personne m'avait entendu!

C'est toi ca encore kahlan!! pffff

Zouzouille

Zouzouille invita ensuite Bubullà s'approcher du baptistère où elle s'était rendue pendant le récit du Crédo. Le prélat prit une coupe et la plongea dans le bassin. Elle indiqua au jeune homme à se pencher et lui versa un peu d'eau sur le front

Bubull, je te baptise au nom de l’Eglise Aristotélicienne et au nom du Très Haut, pour l’amitié de tous les Saints et pour l’amour du Père de l’humanité.

Sois le bienvenue, mon fils, dans la communauté de l’Être d'en-haut.

Je te remets maintenant ce cierge allumé qui représente ton âme purifiée.

Ainsi que cette médaille qui symbolise la parole d’Aristote et que tu pourra désormais porter chaque jour sur toi.

Michoumichou

[color=brown][size=24]mimi
_________________

Solore

Les regarde passer devant leurs amis sans un regard, sans un sourire et sans un merci ... Sourit néanmoins et se dit que rien ne changera Mimi !^^

Pense qu'il est grand temps de rejoindre la mairie et tirant sur les longs cheveux blonds qui la narguent :

- Allez ! Au travail Kahlan ! Le bâptème est terminé et il faudra revenir nettoyer tout ça !

Montre d'un geste large les plumes qui jonchent les pierres au sol et après un bisou à Liloo et pounalu, l'entraîne vers la Mairie.

Mellyna

Melly était dans un coin à écouter sans rien dire, étant arrivé en retard elle voulait pas déranger.

Elle était heureuse pour mimi elle pouvait enfin ce marier.
Une fois fini elle se leva et filicita bul.

Félicitation futur beau frère.

Melly sortit de l'église avec tout le monde.

Pounamu

Un coup d'œil à droite (Mimi très fière qui sort au bras de Bul), un coup d'œil à gauche (Solore qui a l'air de gronder Kahlan: l'aurait-elle mérité?...) ... Apparemment, c'est terminé! Décidément, Pounamu n'a pas tout compris, mais tout semble s'être bien passé pour Bul, alors...
Elle se dirige vers la porte majestueuse du l'édifice, derrière le baptisé et sa suite.

Michoumichou

[color=darkblue][size=24]mim]
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Solore

Eclate de rire et se dit que Mimi est vraiment formidâââââââble ! Lire dans ses pensées .... vraiment, rien ne changerait Mimi !

Passe près d'elle, lui fait un très gros bisou et lui sourit malicieuse :

- En avant pour le mariage, alors !

Quitte le lieu saint en riant aux éclats et s'en va d'une humeur joyeuse vers la Mairie.

Azoura

Azoura se retira aussi dicrètement qu'il n'était rentré...

Kahlan.

Grimaçant en regardant par terre Kahlan écoutait Solore soupirant de joie que tout cela soit fini... Bien sur qu'elle allait nettoyer un de ses quatre mais là pour l'instant elle n'en avait pas la moindre envie et puis Solore ne lui en laissait pas le choix de toute manière..

Toujours tiré par sa chevelure flamboyante ... Elle entendit dans tout le brouhaha le mot travail et Mairie! Et S'exclama :

Oh oui oui oui j'ai un millier d'idées a vous proposer!!!

Se tournant malgré la poigne de cheveux que tenait la brunette elle continua d'avancer rapidement saluant au passage mimi et félicitant Bull! Elle n'en eu qu'a peine le temps, Solore ayant apparemment oublié qu'elle tenait toujours une bonne poignée de la pilosité de Kahlan...

Et ainsi dans une gerbe de plume blanches et grises elle avança d'un pas décidé vers la Mairie.. enfin d'un pas de Solore surtout!

pnj

Le gras Anselin était comme toujours dans un coin de l'eglise où il venait souvent pour les cantiques regardant du coin de l'oeil les nouveaux baptisés
Jainkoaren bildotsa,
Zuk kentzen duzu munduko bekatua
Urrikal Jauna ..

Maintenant il fallait rentrer , en passant par l'auberge pourquoi pas

Lilou_corsu

Apres la cérémonie, je restais un peu, j'avais besoin de m'entretenir avec l'Eternel.
Dans le silence je m'aperçu de la beautéds lieux, prenant soin, d'observer chaques détaille.
Aprez quelques minutes de priéres, j'alluma un cierge et sorti.
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Xavier0690

voila quelque temps que xavier n'était plus entrer dans cette église et aujourd'hui il y allait pour assister a la messe

Solore

Entre, se signe et va se mettre près de son pilier préféré. Se recueille et prie pour les êtres chers qui ne sont plus et pour ceux qui sont et qu'elle ne voient plus.

Voit que Xav est enfin de retour de Mont de Marsan est en est heureuse, cela annoncerait-il le retour des autres aussi ? L'espère très fort ...

Profite de l'obscurité apaisante de l'église en attendant le début de la messe.

Michoumichou

mimi, rentra dans l eglise et se signa et allas sasoir et pria elle voulais que la c.. anita lui lache la grappe car cetait un fleau cette fille ci on pouvai appelee ca une fille une ca...co... plutot mimi sortit de' leglise soulagee
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Michoumichou

mimi rentra et alla s assoir elle pria pour que le calamar d anita lui lache la grappe car cetait un fleau cette .... meme pas de nom pour la decrire enfin mimi sortir alegee .....

Solore

Ne l'espérait plus, mais fut enfin très heureuse de pouvoir afficher sur la porte de l'église les bans du mariage de Mimi et Bul.

Cedrin

Cédrin sortait de la taverne, ce dimanche avait été riche en émotion pour elle. Passant devant le parvis de l'église, elle se dit qu'il y avait bien longtemps qu'elle n'avait pas prié.....elle poussa les lourdes portes et entra pour se recueillir;

Elle s'agenouilla et étant toute seule dans la bâtisse elle se mit à prier à haute voix :

Aristote, je vous remercie....oui, je vous remercie de permettre à la pauvre femme que je suis d'avoir chaque jour le plaisir de voir sa famille s'agrandir...

Je vous remercie pour la bienveillance et la franchise de mes amis
Je vous remercie pour la bonne santé de mes enfants et de mon tendre.
Je vous remercie de donner à mes filles, des compagnons charmants
Je vous remercie d'avoir mis sur la route de mimi, le petit lul
je vous remercie de veiller à l'union prochaine de mimi et bull, le 5 mai
Je vous remercie de veiller à lepied et athé, à damo et sa belle qui sont loin

Je vous remercie de m'accorder encore un peu de vie pour voir grandir et évoluer Melly et tommy, Mimi et bull, et leur fils adoptif lul, ma pétiote, harry, adélliac sans oublier léo qui est loin...veillez sur eux
Veillez sur mon lok, le compagnon de ma vie, celui qui m'aide et me soutien chaque jour, qui nourrit tout ce beau monde aussi et plus encore...
veillez à ce que les tavernes fassent le plein et que la bière ne manque point
Veillez à ce que la nive coule toujours paisiblement sur bayonne
Veillez sur les bayonnais et les bayonnaises

euh.......un petit truc aussi... vous pouvez m'aider à trouver un charpentier pas trop cher et efficace pour me faire une tablée digne de ce nom? je crois qu'il va y en avoir besoin!!

Cédrin se levant fit un signe de la main en direction de l'autel, elle avait peu de manières et n'y connaissait pas grand chose en protocole aristolicien....elle n'était même pas baptisée....mais très sincère, et somme toute respectueuse, elle s'adressait au très haut comme s'il était un ami bienveillant, alors tout naturellment elle le saluait, comme pour lui dire à la semaine prochaine, on se boit une chopine à l'occas?

Elle sortit de l'église, souriante, comme à l'accoutumée
Une journée de labeur l'attendait

Michoumichou

mimi

Dimaro

Dimaro était arrivé la veille à Bayonne, une charmante ville en soi. Il avait été voir sa Muman et son ami Fedorus dès son arrivé avec Lora et les petit n'enfants. Visitant quelque peu le bourg, il s'arrêta devant l'église. C'était donc ici qu'il allait officier, Diacre qu'il était, pour la cérémonie du baptême. Il avait requit les clés auprès de la municipalité et ouvrit la grande porte qui grinça quelque peu au passage.

L'édifice était grand, parsemé de vitraux, des allées monotones de bancs en bois vernis s'étalaient le long de la nef. Dimaro pénétra dans l'enceinte de la battisse religieuse et se dirigea vers le cœur jetant un œil de-ci de-là. Cela faisait bien longtemps que les lieux n'avaient pas été habités au vu de la poussière qui s'était déposée. Il chercha un balai et commença a rendre plus présentable la chose.

Une fois le ménage fait, il manda au carillonneur de faire sonner les cloches pour annoncer le début de la cérémonie. Puis s'en alla vers l'hôtel pour préparer sa prêche.

Les cloches se mirent à sonner
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Fedorus

Fédorus arriva sur le parvis de l'église. Il l'a contempla de l'extérieur. Elle l'impressionnait, lui qui n'avait guère l'habitude de fréquenter ces lieux.

Mais aujourd'hui était un grand jour pour lui, il allait être baptisé par son ami Dimaro qu'il connaissait de longue date.
Il avait fait le voyage de Mayenne avec Lora, ma marraine et amie.

Fédorus était content de les avoir retrouvé mais était quelque peu stressé par ce qui allait se passer.

Heureusement, sa fiancée, la très belle Mu l'accompagnait dans cette cérémonie.

Il franchit le seuil de l'église.
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Mu1ere

Comment ne pas être émue en ce jour?!
Elle était là, au coté de l'homme qu'elle aimait, l'accompagnant dans ce merveilleux choix dont il lui avait fait la surprise.
Elle se sentait légère a ses cotés.
Ce baptême au delà du fait qu'il entrait dans cette si grande famille de nôtre belle église, était aussi la promesse d'autres évènements qui devraient suivre et qui la comblait de joie.
Mais pour l'heure, elle le regardait a l'entrée de ce bel endroit, qu'elle s'était promis de re-fleurir un jour.
Le soleil passait par la porte et luisait dans ses cheveux, ce qui lui donnait comme une aura...elle y vit un signe?...peut être.
Elle voyait cet homme, qu'elle savait avoir un grand avenir se diriger vers l'église...lui si peu prompt dans ce genre de démarche.
Elle l'aimait et c'était tout ce qui comptait.

Ce jour était une joie sans fin pour elle, car ses n'enfants avaient fait le voyage jusque eux rien que pour cette occasion. Enfin elle les voyait, les touchait.
Heureuse d'être la grand Muman de la petite Adelaïs et de Tristan, enfants de Lora et Volpel. Elle restait admirative devant leurs chemins respectifs.
Elle était fière d'avoir passé le bâton a des gens de qualités.

Aujourd'hui ils étaient tous là pour Fedorus et Mu attendait un signe pour avancer plus en avant dans cette belle église...
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(ban en construction)

Lora1

Lora arriva en courant a l’église, elle pensa être en retard quand elle vit fedorus et Mu entrer.

Elle était un peu stressé mais respira une grande bouffée d’air, entra et salua tous le monde.

Elle attendait un signe de Dim pour s’approcher.
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Dimaro

Dimaro accueilli ses amis à bras ouvert, les invitant à s'approcher plus près de l'hôtel et du baptistère. Il leurs sourit avant de prendre la parole.

Bonjour à toutes et à tous,

Nous sommes réunit en ce jour pour le baptême de messire Fedorus ! Celui-ci a choisit dame Lora pour l'accompagner en tant que marraine vers la maison du Très-Haut. Je vous demande donc d'aprocher.

Le Diacre blondinet vint à leur rencontre puis repris.

Tout d'abord, messire Fedorus, priez avec moi votre pardon afin de vous lavez de tous vos pécher avant votre ascension.

En Coeur a écrit:

"Je confesse à Dieu tout-puissant,
je reconnais devant mes frères
que j'ai péché en pensée, en parole,
par action et par omission;
oui, j'ai vraiment péché.
C'est pourquoi je supplie Aristote et Christos,
les archanges et tous les Saints,
et vous aussi mes frères,
de prier pour moi le Créateur

Que le Tout Puissant nous fasse miséricorde,
qu'il nous pardonne nos péchés
et nous conduise à la vie éternelle
dans le paradis solaire.
Amen."

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Fedorus

Fédorus écouta attentivement ce qui était dit, jeta un coup d'œil à sa marraine pour se rassurer puis un autre complice à sa chérie et récita :

Je confesse à Dieu tout-puissant,
je reconnais devant mes frères
que j'ai péché en pensée, en parole,
par action et par omission;
oui, j'ai vraiment péché.
C'est pourquoi je supplie Aristote et Christos,
les archanges et tous les Saints,
et vous aussi mes frères,
de prier pour moi le Créateur

Que le Tout Puissant nous fasse miséricorde,
qu'il nous pardonne nos péchés
et nous conduise à la vie éternelle
dans le paradis solaire.
Amen.
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Dimaro

Dimaro sourit a Fedorus se voulant rassurant, puis se tourna vers Lora.

Maintenant, je sollicite également la présence de la marraine afin de réciter en cœur le crédo aristotélicien. Celui-ci est le récit sacré représentatif de notre Église Aristotélicienne, chantez le fièrement !

Il s'entoura de Fedorus et de Lora puis récita le crédo avec eux.

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Lora1

Lora s’approcha regarda dim et fedorus et récita le credo

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Fedorus

Fédorus entonna à son tour :

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Mu1ere

Elle était juste derrière lui et ne le quittait pas.
Elle garderait cet instant en elle, comme une joie profonde...elle décida de réciter le credo avec eux...

Son émotion était a son comble.
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(ban en construction)

Dimaro

Souriant à son amie Lora il repris de plus belle la cérémonie.

Maintenant, si la marraine souhaite lire un extrait du livre des vertu, le lutrin est à vous pour exprimer ce vos souhaits envers Fedorus.
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Lora1

Lora s’approche du lutrin et lit

« Nous sommes certes enchaînées à la matière, certes soumis à ses lois,
mais notre but est de tendre vers Toi, l’Esprit Éternel et Parfait.
Donc, selon moi, le sens que Tu as donné à la vie est l’amour.” Alors
Dieu dit: “Humain, puisque tu es le seul à avoir compris ce qu’était
l’amour, Je fais de tes semblables Mes enfants. Ainsi, tu sais que le
talent de ton espèce est sa capacité à M’aimer et à aimer tes semblables. Les autres espèces ne savent aimer qu’elles-mêmes. »
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Dimaro

Dimaro remercia Lora, puis sourit au catéchumène. Il le guida et l'invita a s'approcher du baptistaire.

Très bien, merci. Nous allons pouvoir commencer la cérémonie a proprement dit.

Mais avant laissez-moi vous rappeler ce qu'est la religion Aristotélicienne et en quoi s'engage Fedorus en ce jour.

Fedorus va entrer aujourd'hui dans la communauté des fidèles aristotéliciens tel que dans la famille du Très-haut. Chaque fidèles se doit de prier et d'avoir la foi afin que son âme en soit illuminée. Le chemin sera rude, mais vous pourrez compter sur cette famille pour vous accompagner vers le chemin de la purification et de la vertu. Aimer le Seigneur et détaché vous de votre précédente vision matérielle du monde pour atteindre le monde des Idées. Si votre route de fidèle aristotélicien est vertueuse, vous serez assuré de votre entré au paradis aux côtés du Très-haut et des Saints.

Si c'est bien ainsi que vous concevez votre entrée dans la Maison de Dieu, nous pouvons poursuivre la cérémonie.

Dimaro guida le catéchumène à s'approcher du baptistaire et lui demanda de réciter le serment d'allégeance à l'Église aristotélicienne.

Réciter après moi le serment d'allégeance Aristotélicien, symbole de votre volonté.

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Fedorus

Fédorus, très fier en regardant Mu :

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Dimaro

Dimaro pris ensuite l'eau bénite et aspergea Fedorus en déclarant:

Je te baptise au nom de l’Eglise
Aristotélicienne et au nom du Très Haut, pour l’amitié de tous les
Saints et pour l’amour du Père de l’humanité

Dimaro tendit un cierge au baptisé et lui dit:

Prend ce cierge et illumine exemplairement ton chemin de vertu. Tu es dorénavant un membre fidèle de Dieu. Sache guider tes pas et ceux de tes amis vers le reflet du Très-Haut et le Paradis s'ouvrira a toi, comme à tous les baptisé vertueux. Mais prend garde à la Créature sans nom, car si tu t'égard, seul les portes des enfers te seront ouvertes.

Dimaro pris ensuite le médaillon des baptisés Aristotéliciens et lui remis en main propre.

Voici le symbole de ton engagement. Porte le fièrement.

Dimaro apposa sa griffe sur le vélin et lui tendit.

Voici également le certificat de ce baptême.

Chère fidèles et témoins du baptême, vous pouvez dès à présent venir féliciter Fedorus pour son entré au sein de notre Famille Aristotélicienne.

FELICITATION MON AMI !!.
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Fedorus

Fédorus était très ému par la très belle cérémonie de son ami Dimaro et l'en remercia vivement.

Il regarda sa médaille et sa chérie et eut l'envie de verser une larme...
Il se tourna vers Mu et mit un genou à terre en la regardant dans les yeux et :

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Mu1ere

Heureuse, oui cette cérémonie avait été magnifique et comme a son habitude Dimaro avait "lentement" donné le meilleur de son savoir.
Elle gardait les yeux grands ouverts sur son Fedorus et écoutait chacun de ses mots.
Elle pensait l'avenir...
Lui et elle réunis et ou unis...elle y pensait depuis quelques temps. Cette question, cette réflexion sur sa capacité a prendre époux. A s'unir a l'homme qu'elle aimait.
Aujourd'hui plus rien n'était impossible, elle savait qu'un jour viendrait où il faudrait répondre a la demande de son Fedo.
Elle savait que aujourd'hui, tous deux y étaient préparés.

Elle entendit Dimaro réciter le serment d' allégeance Aristotélicien et Fedorus le dire a son tour. Elle avait presque envie d'applaudire!
Quand Dimaro remis sa médaille et son certificat a Fedorus, elle eu une larmette de bonheur qui coula sur sa joue.
La joie qu'elle ressentie a ce moment pour son fiancé, était immence.

Elle voulait aller le félicité, quand tout a coup... son fiancé se tourna vers elle et se mit a genou...

Quelle attention, quelle poésie dans le geste.
Elle regardait cet homme qu'elle aimait, se déclarer devant elle avec un visage heureux et déterminé.
Elle avait pensé a tout cela au cours de la cérémonie, elle était certaine d'elle et sur de lui.Et là il fallait lui répondre, car il était au bout de sa demande.
Elle regarda ses n'enfants, Dimaro et Lora avec un grand sourire. Quand son regard se reposa sur Fedorus ...heureuse elle répondit avec des étoiles pleins les yeux;

Oui mon chéri, avec le plus grand plaisir!
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(ban en construction)

Lora1

Lora allait faire la bise a Fedorus quand celui-ci sortir un bout de parchemin. Elle s’arrêta et le regarda se mettre à genoux au pied de Mu.

Mu lui jeta un coup d’œil a Dim puis a elle et répondit un OUI à Fedorus.
Lora était contente. Elle alla les embrasser tous les deux.
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Fedorus

Fédorus attendit la réponse de sa belle avec une joie non dissimulée et explosa de bonheur quand il entendit le "OUI" de Mu.

Il l'a prit dans ses bras, la serra très fort et l'embrassa tendrement.
Il lui susurra dans l'oreille.

Je t'aime tant ma chérie. Nous serons le couple le plus heureux qui puisse exister et je fais le vœu secret que notre future union se concrétise le plus rapidement possible par un heureux événement...

Il embrassa Lora qui venait le féliciter.

Merci Lora encore de votre présence, à toi et Dim, cela me touche beaucoup et je suis particulièrement content que vous ayez été témoin de ma demande de mariage à votre Muman.

Se tournant vers Dim :

Allez, Dim laisses tomber le vin de messe. Allons fêter çà dignement en taverne ^^
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Mu1ere

Ses pieds ne touchaient plus le sol et pourtant sa main ne lâchait pas celle de son Fedorus Amoureux.
Quand il lui répondit, elle entendu le message et réfléchie a ce que pouvait être un heureux évènement dans leur vie. Mu se dit ...et pourquoi pas!?
Ses pieds du coup était encore plus loin du sol, tant son bonheur était grand mais la main persistait a tenir celle de son Fedorus ^^!

Enfin le bonheur allait être complet.
Elle regarda ses n'enfants, les joues roses de joie et de bonheur...Elle les embrassa pour les remercier d'avoir été là avec eux en ce si beau jour.
Mu sourit a tout ceux qui voulaient bien voir ce sourire éclatant et suivie tout le monde béatement en taverne, où la fête serait a son comble.
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(ban en construction)

Lilou_corsu

Aujourd'hui fut un grand jour pour Al et moi, nous allons nous faire baptiser.
Après m'avoir fait une petite beauté et enfilée ma belle robe, je sortait de chez moi en direction de la ville. Al devait sortir de sa retraite aujourd'hui, mais à quel moment je ne sais pas vraiment.
J'arrive devant la porte de l'église, regarde autour de moi et prend une grande respiration avant de pénétrer dans l'enceinte du monument.

L'église était vide, je m'avançais jusqu'à la première rangée de bancs. En attendant que le monde arrive, je me suis mise à méditer.
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Anna295

Anna entre doucement dans l'église et s'approche de Lilou.

Alors ça y est c'est le grand jour? La derniere étape avant le grand saut avec Al? Je suis d tout coeur avec toi ma petite ch... Lilou!

Anna alla alors s'assoir dans le fond pour assister à son premier baptème!
Elle etait curieuse de savoir comment cela allait se passer. Qui sait peut etre elle aussi passerait elle un jour par là?

Anna attendit donc que l'église se remplisse de tous les amis de Lilou et de Al.

Chipolata

Chipo entre à son tour, toute surprise de se retrouver ici après si longtemps... faut dire qu'on a pas été aidé au niveau curé... pfff...

Se glisse entre les bancs telle une souris et va rejoindre Anna...
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Bubull

Bubull poussa légèrement la porte afin de pouvoir y glisser un oeil furtif pourvoir qui était déjà là. S'apercevant qu'il était dans les premiers, il fit presque demi tour mais se dit qu'il fallait mieux arriver un peu plus tôt qu'un peu plus tard. Il faut dire qu'il s'était lavé et coiffé pour l'occasion.
Il entra donc timidement dans l'église et vit sa douce Anna. Il alla s'installer à coté d'elle et l'embrassa discrètement avant de lui dire:

Je vais saluer Lilou et je reviens.

Bul se leva, avança jusqu'à Lilou pour la saluer et la féliciter.

Bonjour Lilou, je suis venu te dire à quel point j'étais content pour vous.

Bul retourna vite au fond près d'Anna et la prit dans ses bras.

Zouzouille

Zouzouille avait fait grande route. Pour se consoler, le temps était de la partie. Ni trop chaud pour ne pas coller à la banquette, ni trop de pluie à rendre morose le voyage.
Ainsi, donc, la voilà qui était de retour à Bayonne !
Elle se rappellait bien de ce village, seconde habitante de celui-ci après Hermitpanet, elle y avait vécu un temps, en tant que Vicaire. Elle avait changé de village après pour être curéde Dax.
L'Eglise ne semblait pas avoir changé.
La porte de sa voiture s'ouvrit, le prélat descendit les marches aidée d'un homme de main. Défroissant sa robe du plat de la main, une fois les pieds sur le plancher des vaches, elle entreprit d'entrer dans l'édifice.
Si elle avait fait la route, c'était pour célébrer un sacrement. Enfin, deux ...

L'edifice religieux avait déjà accueilli quelques personnes, elle les salua une à une tout en se dirigeant vers la dauna du jour à qui elle dit.

Adishatz ma fille !
Comment vous-sentez vous ?
Dès que vous êtes prets, je le suis aussi.

Lilou_corsu

L'église se remplissait un peu et après avoir discuter quelques peu avec mes amis, Zouzouille fit son entré.

_Bonjour ma mère, je vais bien mais j'avoue que j'ai un peu le trac! Pour commencer? Heu...Al ne devrait pas tarder à revenir de sa retraite...pfff, il est jamais à l'heure! Mu1ere devrait arriver aussi, donc pourquoi pas commencer....
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Mu1ere

Elle arrivait alors que l'église se remplissait doucement.
Visiblement Al n'était pas encore là.
Elle vit Lilou et alla lui signifié rapidement qu'elle était là et lui colla un beau zou sur la joue droite en lui souriant.

Tout va bien se passer ma Lilou aujourd'hui, ne soit pas inquiète, ce jour est le tiens et il sera beau.
Tu va entrer dans une grande famille et celle ci deviendra ta noblesse d'âme et ta nourriture pour l'esprit.
Dés que j'aurais salué tout le monde, je me mettrais là a gauche sur le premier rang, derrière toi.

Elle sourit a Lilou en lui caressant légèrement le visage.
Elle savait a quel point l'attente pouvait être agaçante et puis le trac de vouloir bien faire pour que ça se passe bien.
Elle se souvenait de ce jour là, si important pour elle.

Elle partie saluer Anna et Bul, chipolata, et elle imaginait que la dame qu'elle ne connaissait pas fut la mère dont on lui avait tant parlé.
Elle partie a sa rencontre afin de la saluer et de faire sa connaissance.

Bien le bonjour ma mère, je suis Mu1ere de Bayonne.
Je suis ici en qualité de marraine de nôtre future baptisée Lilouchou.
Je suivrais vos instructions.
Elle lui sourit.

Elle pensait que tout le monde devait attendre Al et qu'il ne tarderais surement pas, aussi elle sortie d'un sac qui ne la quittait pas un joli bouquet de fleurs, qu'elle souhaitait mettre dans le pot d'eau sur l'autel, juste avant que ne commence le baptême.

Elle resta auprès de la mère, étant certaine ainsi de ne rien louper.
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(ban en construction)

Lora1

Lora avait entendu parler de baptême et se dirigea vers l’église ou elle avait mis les pieds la dernière fois pour Fedorus.

Elle entra, elle salua tout le monde et s’installa en arrière pour ne pas trop déranger la cérémonie.
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Solore

Se présente devant l'église de Bayonne, replace rapidement sa mèche de cheveux et pousse la porte le plus doucement possible afin de ne pas déranger la cérémonie en cours.

Toujours en retard, elle ne changera jamais ... Toujours à courir de droite et de gauche mais là, elle va prendre le temps et profiter du baptême de Lilouchou.

Se glisse sur un banc, toujours celui à côté du pilier et reste attentive à tout ce qu'il se passe.

Zouzouille

Ses quelques pas à travers l'allée centrale, afin de rejoindre l'autel, lui firent croiser regards, visages connus, sourires et autres humeurs. Des 'Adishatz' par ci, des 'Adishatz' par là et hop.
Lilouchou répondit à sa question le plus naturellement possible, et ses remarques la firent sourire.

La moitié des indispensables étaient sur place, on pouvait donc commencer. De toute façon, le blabla d'inauguration ferait sans doute arriver l'homme de la situation.
La marraine de l'interressée vint la saluer, le prélat répondit avec courtoisie et vit d'un bon oeil qu'on égaie l'autel assez morne, elle le reconnait elle même ...

Se plaçant derrière, l'officiante se racla la gorge de manière délicate et discrète avant de s'exprimer ainsi.

Mes très chères soeurs, mes très chers frères,

C'est avec une immense joie que je vous accueille en ce Jeudi 20 aout de l'an 1457 en notre charmante Eglise de Bayonne.

Nous sommes réunis ici aujourd'hui afin d'entourer Lilouchou et Al.kolik qui après avoir suivi une pastorale ont librement décidé de demander le baptême. Il s'agit d'une nouvelle étape dans leurs vies et ils seront accompagnés dans cette dernière par le Très Haut, qui ne l'oublions pas, veille sur chacun de ses enfants.

Commençons tout d'abord par demander pardon :

Misteart

Misteart arrivait à l'église pour le baptème de Lilou dont elle avait pris connaissance sur le relevé. Son amie n'en avait pas vraiment parler. Misteart ne savait pas trop pourquoi, mais elle ne voulait pas rater cela. En entrant, Misteart entendit que la cérémonie avait commencé. Elle voyait des personnes qu'elle connaissait et amis. Elle partit sur la droite et s'avanca assez près pour ne rien manquer de la cérémonie. Elle prit place et vit Lilou devant, pas très loin. Elle écoutait maintenant attentivement.
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L'art et rien que l'art, nous avons l'art pour ne point mourir de la vérité.

Mu1ere

Elle vit la mère se diriger vers le fond de l'église et se douta que la cérémonie allait commencée.
Al n'était toujours point là et elle pouvait lire l'inquiétude de Lilou sur son visage.
Elle partie s'assoir aussitôt sur le premier banc comme elle l'avait promis a Lilou. Elle écoutait les paroles de la mère et se mit a prier.

Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.

Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.
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(ban en construction)

Lilou_corsu

Monseigneur Zouzouille avait commençait la cérémonie. J'entendis la porte s'ouvrir, jetant un coup d'oeil rapide, je vis Mist rentrer. J'étais contente de la voir mais j'aurais préféré voir Al. Malgré le fait qu'il doit se faire baptiser avec moi, j'avais surtout besoin de sa présence et de son soutien, je commençais à m'inquiéter de son retard, les moines le retiendraient-il? Serait-il malade? Un tas que questions résonnaient dans ma tête mais j'essayais de me concentrer. Je répété les paroles de Zouzouille sans vraiment savoir si c'était le chemin a suivre.

Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.

Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.
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Al.kolik

je sortis de ma retraite et je me dirigeas tel une furie dans l'église. La porte se refermant dans un fracas, tout les regards se tournèrent dans ma direction.
Je salua l'assemblée en inclinant la tête, fis une révérence a Zouizouille et vins m'asseoir près de ma douce. Elle se pencha vers moi et murmura:

_ mon coeur, j'ai prévenu noupi pour toi

Je devins rouge comme un coquelicot

Solore

- Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action ...

Est interrompue par le claquement de la grosse porte, se retourne au et voit Al, marcher vivement vers l'autel, où se trouve Lilou et Monseigneur Zouzouille. Continue machinalement en le suivant des yeux :

... Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

Zouzouille

Dans son exercice de diction, bien rarement elle avait été interrompue. Soit, c' était ici pour une bonne cause. L'homme du jour venait de faire son apparition et voilà une nouvelle qui ne manquerait pas de ravir et rassurer les inquiets.
Pour l'heure, il était temps de se confesser, le prélat poursuivait donc pour, une fois cela fait, poursuivre la cérémonie.

Le baptême est une première étape dans la vie spirituelle de tout Aristotélicien. Il donne au nouveau croyant les prémisses de l'amitié Aristotélicienne parfaite. Cette amitié est encore en puissance et demande à être développée par un contact avec Dieu dans la prière et les sacrements, et aussi par le témoignage de douceur et de compassion avec les autres.
"L'Amitié Aristotélicienne" au sens large, est une communauté de vie.
Le baptême introduit le fidèle dans une union avec les autres baptisé et une communion avec les Saints.
Le baptême introduit donc dans une famille divine et humaine. Divine car il met en relation avec Dieu. Humaine car il intègre dans la société humaine de l'Eglise Aristotélicienne.
Méditons ces paroles se référant à l'amitié, extraites de l'Ethique à Nicomaque :

"L'amitié est ce qu'il y a de plus nécessaire pour vivre. Car sans amis personne ne choisirait de vivre, eût-il tous les autres biens. Et dans la pauvreté comme dans toute autre infortune, les hommes pensent que les amis sont l'unique refuge. L'amitié d'ailleurs est un secours aux jeunes gens pour les préserver de l'erreur; aux vieillards, pour leur assurer des soins et suppléer à leur manque d'activité dû à la faiblesse; à ceux enfin qui sont dans la fleur de l'âge, pour les inciter aux nobles actions, car on est alors plus capables à la fois de penser et d'agir". Tout est dit dans ce texte : l'amitié est vitale quelque soit sa fortune ou son âge. Sans l'amitié, nous ne sommes rien. Qu'importe l'argent, les titres, la gloire ou la jeunesse si nous sommes sommes seuls. Qu'importe le succès ou la réussite si nous n'avons personne avec qui les partager.
L'entrée dans cette grande et belle communauté qu'est la communauté aristotélicienne est un pas vers cette amitié nécessaire à une vie épanouie en intégrant le nouveau venu à une grande famille.

Feuilletant alors son livre des Vertus comme on le ferait avec un vieux cahier de recettes, embarrassée de ne trouver la page adéquate, l'officiante, de mémoire, demanda à l'un puis l'autre des fidèles

Lilouchou, confirmes-tu vouloir librement faire partie de l'Eglise Aristotélicienne?
Lilouchou, désires-tu recevoir le sacrement du baptême et ainsi entrer dans la communauté Aristotélicienne ?
Lilouchou, es-tu prête à servir le Très-Haut et Son Eglise en toute circonstance?

Après la dauna, c'était à lo messer de répondre à ces questions. Aussi, elle se tourna en sa direction.

Al.kolik, confirmes-tu vouloir librement faire partie de l'Eglise Aristotélicienne?
Al.kolik, désires-tu recevoir le sacrement du baptême et ainsi entrer dans la communauté Aristotélicienne ?
Al.kolik, es-tu prêt à servir le Très-Haut et Son Eglise en toute circonstance?

Si vous répondez affirmativement à ces questions, il sera alors temps pour vous de prêter allégeance.
Et Zouzouille de leur tendre son livre pour qu'il lise le serment.

Lilou_corsu

Al finit par arriver à l'église, très discrètement comme toujours mais mon coeur était soulagé. Le voyant rouge comme une fraise des bois, je me doutais qu'il fut mal à l'aise de son retard, je lui pris donc la main, lui adressant un clin d'oeil discret.
Avalant les paroles de Monseigneur Zouzouille, il se pouvait bien que ma bouche soit béate.

Oui Monseigneur, j'ai fait le choix de faire partie de l'église Aristotélicienne, désirant recevoir le sacrement du baptême et ainsi entrer dans la communauté Aristotélicienne. Je suis prête à servir le Très Haut et son Eglise et cela en toute circonstance.

Après avoir répondu, je prêter serment d'allégeance.

Je reconnais en Dieu le moteur du monde, la pense suprême et la cause efficiente et finale du monde.
Je reconnais l'Église Aristotélicienne comme mon guide dans la connaissance de Dieu, et je jure de lui rester ainsi qu'à son autorité, seule représentante sur terre et de l'être divin.
J'accepte tout cela de ma propre volonté pour le salut de mon âme en vue de ma résurrection près de Dieu dans la contemplation éternelle de Sa Beauté.
Je désire que mon nom apparaisse comme baptisé et serviteur de Dieu tout puissant.
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Noupi54

noupi arriva essouflé devant l'eglise, en colere apres al, qui avait oublié de la prevenir et de ce faite elle etait en retard pour le baptême

pff a t on deja vu une marraine en retard, je le retiens ce lui la il va savoir comment je m'appelle.

elle defroissa sa robe et entra sur la pointe des pieds dans l'eglise, la ceremonie avait deja bien commencé, elle s avanca doucement, et s'installa a coté de son filleul.
elle saluat de la tete monseigneur zouzouille et sourit a lilou. puis regarda al de travers... le regard qu'elle lui jeta lui en disait long sur ce qui l'attendait apres la ceremonie....
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Al.kolik

je vis arriver ma futur marraine, elle était visiblement quelque peu contrariée. Le regard qu'elle posa sur moi rajouta encore a ma confusion, j'allais me faire remonter les braies jusqu'en dessous des aisselles après la cérémonie.

Je prit un air stoïque et répondit au prélat :

_Oui pareils que lilou, que rajouter de plus, sinon que le baptême est la concrétisation du désir que j'ai de faire partie de la grande famille des Aristotéliciens. Je veux vivre dans le respect de notre église et de nos deux prophètes.

Je reprit la prière en prêtant allégeance:

_Je reconnais en dieu le moteur du monde, la pensée suprême et la cause efficiente et finale du monde.
Je reconnais l'Église Aristotélicienne comme mon guide dans la connaissance de dieu, et je jure de lui rester ainsi qu'à son autorité, seule représentante sur terre et de l'être divin.
J'accepte tout cela de ma propre volonté pour le salut de mon âme en vue de ma résurrection près de dieu dans la contemplation éternelle de sa beauté.
Je désire que mon nom apparaisse comme baptisé et serviteur de dieu tout puissant.

Zouzouille

Malgrè les petites contrariétés du début, les visages avaient retrouvé un peu de quiété. Rasserénés, ils se livraient à l'exercice du serment avec détermination et joie. L'Eveque était, en son fort intérieur, ravie de ce spectacle qui lui était offert.

Après les deux futurs membres de la grande Famille Aristotélicienne, c'était au tour des deux marraines de préter serment. Elles s'engager sur un chemin ardu qu'est celui de conseiller en toutes occasions le nouveau baptisé. Toutes deux s'engageaient à donner d'elles même sans jamais faillir à leur devoir.

Se tournant successivement vers les marraines, elle demanda, à d'abord, puis à Noupi.

Mu1ere , en tant que marraine de Lilouchou, acceptes-tu de l'aider, de la soutenir, et de l'orienter dans sa vie de tous les jours et dans la foi ? Acceptes-tu de la guider sur le chemin de la Vraie Foi?

Noupi, en tant que marraine de Al.kolik, acceptes-tu de l'aider, de le soutenir, et de l'orienter dans sa vie de tous les jours et dans la foi ? Acceptes-tu de le guider sur le chemin de la Vraie Foi?

Zouzouille se faisait silencieuse en attendant les deux réponses.

Mu1ere

Al était arrivé pile poil pour réciter son crédo et Mu vit le visage de Lilou se détendre.
Elle récita en elle même le crédo qu'elle aimait tant, elle pensa a Lora qu'elle avait vue entrer et qui devait certainement le réciter dans sa tête aussi.
Quand elle fût interpellée par la mère, elle se leva s'approcha de Lilou et dit:

Oui ma mère, en tant que marraine de Lilouchou, j'accepte de l'aider, de la soutenir, et de l'orienter dans sa vie de tous les jours et dans la foi!
J'accepte également de la guider sur le chemin de la Vraie Foi!

Elle savait qu'elle ne faillirait pas.
Elle aimait beaucoup Lilou et Al aussi bien sur...mais elle avait une tendresse particulière pour sa future filleule.
Elle resta debout aux cotés de Lilou.
Elle était heureuse que Lilou entra dans la grande famille de la générosité, de l'amitié et de l'acceptation de l'autre, qu'était celle de la famille Aristotélicienne.
Elle souriait.
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(ban en construction)

Noupi54

apres avoir repris ses esprits, noupi souffla et se concentra sur les paroles de monseigneur zouzouille et repata apres mu les paroles de monseigneur
elle avait toujours eu une tendresse pour al, et aujourd'hui elle etait fiere d'etre a ces cotés.

en tant que marraine d al.kolik, j'accepte de l'aider, de le soutenir, et de l'orienter dans sa vie de tous les jours et dans la foi!
J'accepte également de le guider sur le chemin de la Vraie Foi!

et dans sa tete noupi se dit, la premiere chose que je ferais pour le guider c'est de lui mettre un pied au derriere pour m'avoir oublié....

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Zouzouille

Les marraine s'étaient exprimées, le prélat sourit alors de contentement.
Elle leur fit un geste, comme pour leur indiquer de la suivre en direction du baptistère.

Elle invita alors successivement Lilouchou et Al.Kolik à se pencher au dessus de la vasque. Elle se saisit d'une coupelle qu'elle plongea dans l'eau puis en désversa le contenu sur le visage des futurs baptisés. Elle déclara solennellement et par deux fois :
Par cette plongée dans l'eau, je vous purifie de vos fautes passées.

Elle prononça alors les paroles rituelles :
Je te baptise au nom de l’Eglise Aristotélicienne et au nom du Très Haut, pour l’amitié de tous les Saints et pour l’amour du Père de l’humanité.
Ainsi vous voilà purifiés par la grâce du tout-puissant. Vos fautes sont pardonnées. Vos âmes sont libérées des craintes de l'enfer lunaire, pour peu que vos vies soient vertueuses.

L'officiante revint alors vers l'autel en compagnie des deux nouveaux purifiés. Elle prit un cierge, l'alluma et le lui tendit, puis renouvella l'opération pour Al.Kolik disant :

Par cette lumière que je vous confie au nom de la communauté aristotélicienne, je vous invite à suivre les préceptes de Christos et d'Aristote. Vous voici désormais éclairés par la Lumière du Très-Haut.
Restez sur le chemin de la vertu, servez Dieu ou vous retomberez dans l'obscurité, vulnérable aux tentations et aux vices.

Elle leur remit enfin un second objet:

Voici la médaille des baptisés. Elle symbolise votre appartenance à notre Sainte-Eglise ainsi que votre engagement dans notre Communauté.

Enfin dans une dernière parole
Bienvenue dans la famille Aristotélicienne mes enfants.

Lilou_corsu

La cérémonie se déroulait désormais du mieux que possible. Al et moi venions d'être purifié de nos fautes et nous avons reçu les présents de Monseigneur Zouzouille. Je regardais Al avec tout l'amour que j'ai pour lui.
Nous faisions parti de la communauté Aristotélicienne.
Je me retournais vers Mu1ere et d'un sourire, la remercier pour sa présence et son soutien....merci!
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Al.kolik

j'appréciais moyennant que la purification se fasse avec de l'eau, j'aurais préféré un liquide plus alcoolisé. Mais je ne pouvais dérogé a la tradition, me voilà donc baptisé, un pas vers les liens sacré du mariage. Je pris la main de ma promisse, je la sentais heureuse et comblée. Noupi n'était pas loin de nous, malgré l'humeur taciturne qu'elle affichait, je sentais bien qu'elle était fier de n'avoir pour filleul, c'était une suite logique d'une longue amitié entre nous. j'inclinais la tête vers elle en signe de remerciement.

Agnia

Agnia découvrait Bayonne. Elle avait souvent entendu parlé de cette ville mais c'était la première fois qu'elle y mettait les pieds. Elle s'amusait d'un rien et était émerveillée de tout. Pourtant le voyage avait été long et sa grossesse se faisait sentir. Peu lui importait, le choix qu'elle avait fait elle ne le regrettait pas, oh ça non!

Après avoir un peu déambulé dans les rues, elle se rendit directement à l'église, là elle se sentait toujours chez elle.

Elle entra dans la fraîcheur du bâtiment et alla s'asseoir tout près de la statue d'Aristote, les mains posées sur son ventre.

Dans un murmure, elle se mit à prier:

Aristote, vous m'avez accordé le plus grand des bonheurs, je vous en prie veillez sur lui et donnez lui la paix. Vous qui avez été d'une grande sagesse, aidez-moi à être à ses côtés.

Elle sourit et jeta un coup d'oeil à son ventre rond.

Et par pitié, faites qu'il sorte rapidement celui-là, je n'en peux plus!! et j'en ai marre de ne plus pouvoir courir partout et me saouler comme bon me semble!

Elle regarda la statue et resta là, un long moment, à goûter la sérénité de l'instant.

Amyr

Amyr venait faire une petite prière. Il devait se faire pardonner par le Très-Haut pour ses fautes commises il y a longtemps. Il ouvrit la grande porte, mais l'échappa...

BANNNGGGGGG

Il regarda autour de lui, les joues rouges, gêné.

Héhé, désolé, je venais juste pour une prière...

Il s'installa sur un banc au fond de l'église, récitant à voix basse le crédo
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Amyr

Depuis une semaine, Amyr essayait d'aller à l'église chaque jours, récitant le credo. Il alla s'asseoir comme à chaque fois sur le dernier banc, près du confessionnal. Récitant encore une fois le crédo à voix basse:

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'aprés avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés;
En la Vie Eternelle.

AMEN

Il sorti de la petite chapelle en faisant son signe de croix.
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sampieru_corsu

sampieru penetre dans la magnifique église de bayonne.
le corse se dirige devant l'hotel, et comme pour le catenacciu, se couche a plat ventre, face contre le sol, et les bras en croix....

salve cristus
salve aristote
salve nostra regina santa
pigli cun te
lu mo figliolu dariu
chi lu sipia felice
aiuta sully, che lu capischi chi so micca falzu

DAMI PACE DAMI PACE

il se releve, se signe en aristotélicien

et sort de l'église
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Watelse

Malgré son air imperturbable, Georges Léonard Watelse se remettait difficilement du souvenir de sa défunte femme. Souvenir ravivé par la chicanerie Place des rumeurs. Un frisson le parcourut lorsqu’il franchit la barrière du cimetière. Trente deux années le séparaient de sa dernière visite. Toute une partie de sa vie à essayer vainement de tourner la page. Cependant, certains événements à venir ne lui permettait plus de reporter ad vitam eternam ce sinistre pèlerinage.

Il salua sèchement quelques visiteurs au passage même si de nouveaux locataires complétaient désormais l’alignement de tombes. L’ému personnage enleva sa coiffe et s’avance vers la dernière demeure de son épouse, l’épitaphe lui tournant le dos mais dont il se souvenait encore mot pour mot :

Citation:

« La femme, de par sa naissance, n’a ni vertu, ni honneur
Et doit, jusqu’à sa mort, rattraper cette divine erreur
Ainsi Blanche Watelse, conscience coupable, préféra à la lumière l’ombre
Et observa de son vécu un silence rédempteur… de tombe »

Il contourne la pierre … et hurle, sa voix montant crescendo à chaque nouvelle injure prononcée :

La GARCE ! La CHIENNE! Elle me trompe ! Qui ose… ? La peste que cette femme volage ! Qui ?! Qui ?! Qui fleurette avec feue mon épouse ?!! Que je lui torde le cou, que je mange ses tripes en bouillie ! Que je dépèce ses attributs fureteurs. Et ELLE !!!! Je vais la désosser, et planter son crâne de Marie-Madeleine, de fille de joie en haut d’un pic, non ! En haut du clocher de l’église bien en vu de tous ! Qu’elle goûte à la honte autant que moi !!! Qui ??!! QUI ?!!! Dites-moi QUI ?!!!

Il rageait maintenant, crachant sur cette tombe si longtemps chérie. Son visage rouge de désir de vengeance aurait effrayé tout à chacun, mais non : des Bayonnais accouraient, au contraire, tantôt inquiets de temps de fureur, tantôt curieux à l’affut d’un ragot croustillant.

QUI ?!!!
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Solore

QUI ?!!!

Une voix d'homme ! Une voix déformée par la colère !
Cri qui l' accueille au moment ou elle franchit le seuil de l'église.

Inquiète, contourne l'édifice, allonge le pas, se dirige vers le cimetière et voit la silhouette de Messire Watelse qui gesticule devant une tombe. S'arrête, pétrifiée, entend sans les comprendre les paroles lancées d'un air rageur. N'ose s'avancer ... Et si le Sieur, était devenu fou ... Ne sait que faire, jette un coup d'oeil aux personnes qui sortent rapidement, lançant des regards effrayés vers l'homme.

Mais que se passe-il donc ? Prend une large respiration et le coeur battant la chamade, s'approche :

- Messire Watelse ? Qu'avez-vous ? Auriez-vous quelques soucis ? Puis-je vous aider ?

Prudente, reste à quelques pas de Sieur Watelse, hésitant à s'avancer.

Anna295

Anna arriva également en courant. Alors qu'elle se dirigeait vers sa taverne les cri rageurs de l'homme rencontré sur la plage du village lui avaient fait herrisser les cheveux sur la tête....

rhaaaaa que se passe t il encore? pour que des cris de la sorte passent par la bouche d'un homme il fallait au moins qu'il ai trouvé une sepulture ouverte....

Elle vit alors que Solore était elle aussi là. Elle interrogeait messir Watelse sur les raisons de ce remu ménage dans le cimetiere.

Anna jetta un coup d'oeil rapide autour d'elle et ne vit rien d'anormal. Tout tait à sa place... chaque tombe servait de repos éternel dans ce carré tranquil et sous les rayon du soleil de Bayonne.

Elle se mit donc face à celui qui voulait reveiller les morts avec ces cris...

M'enfin! Que vous arrive t il donc messer? Pourquoi tout ce bruit? Ne savez vous donc pas que l'on derange pas nos morts? Il doit bien vous arriver quelque chose de terrible...

Nous, femmes de Bayonne , pouvons nous vous etre d'une quelquonque utilité?

Fronçant les sourcil et le regardant du haut de sa petite taille elle mit les mains sur les hanches, en attente d'une explication.

Elle se disait en meme temps que si l'explication ne la contentais pas le basard serait encore plus grand! Le messer n'aurait qu'à bien se tenir pour endurer sa colère!

Alors?

Watelse

Georges Léonard Watelse ne faisait que peu de cas des femmes autour de lui. Il martelait maintenant lentement son front contre la pierre tombale. Elle pouvaient babiller, ces femmes, elles pouvaient glauser, causer, raconter sornettes et mensonges... Sa femme l'avait bien fait avant elles, tout cela. Comme si l'instint immuable des descendantes de Vénus demeurrait, immuable, selon les époques. Le mensonge. La tromperie. L'hypocrisie.

Il jeta un coup d'oeil derrière son épaule. Le cercle de Bayonnais et Bayonnaise autour de lui s'épaississait. Un soupir lasse.

Puis, un geste violent balayant le bouquet posé sur la tombe. Les pétales volèrent de toute part, explosant en même temps que les mots jaillissait de sa bouche grimaçante.

Elle me TROMPE.. Depuis tout ce temps...

Sa voix se coupa en un hoquet de dépit et de rancoeur.

Tout ce temps où je la pleurs... Où je la chérissais...

Il saisit son coutelat et railla la tombe de tout son long du plus fort qu'il le pouvait. Puis se tournant vers les dames qui le regardaient, attendant veinement une explication:

Elle a un amant. Il lui apporte des fleurs... Sur sa tombe. Un bouquet de fleurs... Il lui conte fleurette... Et elle... La galeuse... Elle répond à ses ardeurs...

Ses yeux opaques fixait une vague ombre près d'un arbre non loin de lui.

RESTE SOUS TERRE AVEC CE GALANT, ROUCHIE! VA T'EN DONC SALIR TON NOM ET LE MIEN AVEC CE CUEILLEUR DE CAPUCINES!!

Et il s'élança vers l'ombre, en un élan si passionné de colère, qu'il se prit le tronc de front.

Et tomba à terre.
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Anna295

Anna écouta messer Watelse se plaindre de la sorte de son épouse défunte et meme tempeter! Sornettes! les femmes ne sont pas ainsi! et la sienne encore moins qu'une autre maintenant qu'elle est sous terre!

Des fleurs? vous faites ce remu ménage pour des fleurs sur une tombe?

Elle regarda la tombe et l'homme qui ne l'ecoutait pas et puis encore la tombe...

Ne vous mettez pas en colère pour si peu. comment voulez vous qu'une femme morte et reposant dans notre cimetiere puisse vous tromper?

Il ne l'écoutait decidemment pas tout à sa colère... La tombe etait maintenant abimée et lui... Se prit l'arbre le plus proche en pleine face!

elle se precipita pour l'aider et voir si il etait encore conscient... c'est que le choc avait été rude, en proportion avec la colère de l'homme.

je suis infirmière de l'armée messer Watelse! ne bougez pas! que je puisse vous examiner.... et puis ne tempetez pas comme ça! N'avez vous pas remarqué que toutes les tombes du cimetiere etaient fleuries? Nous avons un benet qui s'occuppe de cela pour nos citoyens....

Agenouillée près de lui elle regardait ses yeux pour tenter de savoir si le coup aurait des conséquences.

Solore

Citation:

Elle me TROMPE.. Depuis tout ce temps...

Lève les sourcils ! Ne bouge pas mais porte les yeux sur l’homme, sur la tombe puis sur l’homme à nouveau, quelque peu ébahie. N’ose croire que l’homme parle de son épouse enterrée depuis si longtemps … « Elle me trompe … depuis tout ce temps » paroles étranges, étrange personnage. Mais que veut-il dire par là ? Est-ce les paroles d’un esprit dérangé ? Une douleur trop intense serait-elle en train de lui faire perdre raison ?

Revers d’une main rageuse, qui envoie à quelques coudées, le bouquet de fleurs posé sur la pierre. Fronce maintenant les sourcils et s’avance de quelques pas entre les tombes. Regard machinal qui se porte sur celle de la femme incriminée, puis sur le mari furieux qui tente d’abîmer la pierre en un geste désespéré.

- Calmez-vous Sieur Watelse ! Mais que racontez-vous là ? Vous déraisonnez !

S’approche de l’homme et alors qu’elle allait lui poser sa main sur l’avant-bras en un geste apaisant :

Citation:

Elle a un amant. Il lui apporte des fleurs... Sur sa tombe. Un bouquet de fleurs... Il lui conte fleurette... Et elle... La galeuse... Elle répond à ses ardeurs...

Regarde les Bayonnais qui assistent à la scène, entend les murmures des femmes, quelques gloussements mêlés aux rires retenus des hommes. Leur jette un regard, retient elle même un sourire et portant vivement la main devant sa bouche, toussote pendant que l’homme les prend tous à témoin et se met à invectiver sa femme. Tente de le ramener à la raison :

- Sieur Watelse, je vais vous ramener chez …

N’a guère le temps de temps d’en dire plus que le voici parti en grandes enjambées furieuses, ne voyant pas l’arbre devant lui dans lequel il se cogne. S’élance en le voyant tomber, devancée par une Anna qui de suite, se retrouve auprès de lui, inquiète.

Lysee

Lysée était un peu perdu dans ce nouveau village qu'elle ne connaissait pas, et où elle venait d'arriver. Ne sachant que faire, elle vagabonda dans les rues, observant où se trouvait tel et tel bâtiment pour ne pas se perdre plus tard. Une fois sa ronde terminé, elle s'assit contre un mur en mangeant un morceau de pain puis remarqua le bâtiment en face d'elle.

-une église ? pensa-t-elle a voix haute.

Elle la regarda intrigué pendant un instant: elle n'avait jamais pris le temps d'en observer une vraiment, et sa mère lui avait toujours dis que les saints étaient des gens stupides et sans intérêt. Elle regarda un instant autour d'elle, se demanda si elle avait le droit d'entrer dans ce bâtiment: elle n'était pas baptisé. Elle hésite encore un instant puis s'approcha a pas de loup jusqu'à ce qu'un homme sortit en trombe et se cogne contre un arbre. Sans hésité elle se précipita vers lui pour l'aider.

-Messire, vous allez bien ?

Elle rosit légèrement, elle devait avoir l'air stupide d'aider un homme qu'elle ne connaissait même pas. Une femme arriva alors pour l'aider et elle s'écarta d'un air gêné.

Watelse

Un gémissement suivi d'une mélopée de plaintes :
A moi... à moi! Sottes greluche, ne voyez vous pas que je me meurs?!
Un râle:
Elle m'a abandonné, la filoute...

Il saisit la main d'Anna, comme s'il tordait le cou d'une vulgaire poule.
Je saigne, je tremble... Serait-ce la fin de mes jours?!

Et l'homme gémit encore éxagérement. Il se tortille. Il pousse de légers cris de souffrances feintes. Soudain, une jeune femme s'avance et ses yeux s'illuminent d'un feu nouveau, un feu démenciel. Il s'élance vers elle, titubant:

Maaaaaaaaaaaa proooooooooomise! Ma dulcinée! La vivante qui doit laver les pêcher de la défunte...

Il saisit quelques fleurs qu'il venait d'arracher de la tombe de la Blanche et lui fourre dans le décolleté. Il empoigne sa taille fermement comme un chien qui a enfin prise sur le frêle lapin qu'il chassait, ses yeux fous fixant les prunelles de l'ingénue.

Demain sera le jour de nos espousailles, et le essuiera l'affront de Blanche! Raaaaaaa Blanche, si je la trouve, je l'égorge comme la truie qu'elle est!
_________________

Anna295

Anna concentrée sur Messer Watelse ne vit pas la jeune femme s'approcher d'eux. Elle entendit à peine Solore s'inquiéter de l'état mental de celui qui mettait tant de trouble dans le cimetière.
Elle entendit bien vaguement l'appel à l'aide de Messer George Watelse...
Sottes greluches lui traversa bien rapidement l'esprit mais elle ne pensa pas à s'y arreter. Cette pensée fut tout de suite stoppée par une vive et soudaine douleur à la main.

Jettant un oeil sur celle ci elle se rendit compte que c'etait Watelse qui la serrait à lui en faire craquer les os. Il demandait si ses derniers jours etaient arrivés...

Aucunemment Messer! quand je vois avec quelle force vous me saisissez! Je doute que ce soit le dernier sursaut du moribond! Cessez donc de geindre de la sorte, j'ai l'impression d'avoir devant moi un cochon que l'on égorge...

A peine ces derniers mots prononcés elle le vit s'élancer vers une jeune fille, fleurs en main.

Mais.. Mais ... il fonce droit vers son decolleté ! le malotru!C'est une honte!!!!

Messer! Vous n'etes pas en taverne là! Veuillez mesurer vos ardeurs je vous prie! Vous dites qu'elle est votre promise? Cela reste encore à prouver! Veuillez vous écarter de cette jeune personne que nous fassions connaissance! Et surtout par Aristote! Calmez vous donc un peu! Restez digne!

Se tournant vers Solore

Il perd la raison? il faut le mettre en securité! et pour lui et pour les Bayonnais! Ne peut on le faire arreter par mesure de sécurité?

Elle réalisat soudain que si la jeune femme était bien la promise... il allait falloir la soutenir pour supporter un homme pareil. La pauvre enfant n'avait pas l'air capable de vivre un enfer pareil, avec ce visage ingénu et ces yeux innocents...

Lysee

Lysée regarde les gens, et l'homme qui disait qu'il était agonisant et proche de la mort. Il ne le semblait pas cela dit, et ne fut pas la seule a le remarqué, car la femme qu'il avait empoigné doutait elle aussi. Tout se passa trop vite pour elle, et elle n'en avait pas l'habitude. Sa mère lui avait toujours dit de fuir les gens bruyants, car ils apportaient la discorde et le grondement du seigneur. C'était la seule fois où Azina lui avait parlé de Dieu. Cela était-il vrai ? Et eux était-ce assez bruyant pour qu'elle puisse les ignorer ?

-Je...

Elle rougit légèrement et lança un regard a la femme qui était devant elle.

-Puis-je vous être d'une aide quelconque ? Bredouilla-t-elle a voix basse, mais suffisamment haut pour qu'elle puisse l'entendre. Je m'appelle Lysée.

Elle se demanda si elle devait prendre garde à l'homme qui semblait un peu étrange à son gout, et qui venait de faire un geste totalement déplacé.Elle retira les fleurs de son décolleté et les remit dans les mains de...

-Et quel est votre nom à vous ?

Solore

Accroupie au côté de Sieur Watelse, ignore maintenant la foule qui s’est encore approchée de l’homme étalé par terre. Ignore aussi les murmures et les mots désagréables envers Sieur Watelse et s’empresse de lui défaire son col pendant qu’Anna continue de lui parler.

Observe l’homme attentivement et retient à peine une grimace de douleur lorsqu’il se met à serrer la main de Anna très fort. Hou, que ça doit faire mal ! Mais non, notre vaillant lieutenant de l’Ost en a vu d’autre, et la voici qui réagit en infirmière sur un champ de bataille.

Ecoute l’homme qui délire, qui se précipite vers une timide jeune femme et lui glisse le bouquet de fleurs cassées entre les deux seins. Ne perd pas de vue l’homme, écoute ses paroles et soudain est prise d’un doute affreux. Regarde la tombe de Blanche Watelse et se demande … Non ! Non, non ! Cela ne serait pas possible !

Hoche la tête aux dernières paroles de Anna. L’homme va bel et bien finir enfermé s’il continue.

Ne peux s’empêcher de jeter à nouveau un coup d’œil sur la tombe … L’homme est-il vraiment fou ou … cette façon qu’il a de parler de sa femme comme si elle était encore vivante, la dérange fortement.

Se demande ce qu’en pense vraiment Anna. Quelque chose lui semble étrange et la vue de la pauvre fille accaparée par Watelse ne lui laisse présager rien de bon.

Se penche vers la pierre tombale et pense tout haut :

- Etes-vous bien là, Dame Blanche Watelse ?

Puis se rapproche de Anna, lui murmure :

- Trente ans ... Ca fait loin, mais nous devrions en retrouver trace dans le registre des décès ...

--Firmin.

Il l’agrippait comme s’il en était le propriétaire, de cet être gracieux et fragile à la fois. Firmin fulminait – un adolescent fulmine très rapidement… période agitée que celle-là – devant ce spectacle. Il n’était pas arrivé depuis une semaine à Bayonne que déjà il apprenait à y reconnaître les personnes infréquentables : ce vieux moustique aux cheveux gris, aux yeux hagards et aux gestes brutaux.

Firmin fonça vers la jeune fille qui se débattait et plongea tête la première dans le torse de son agresseur.

Vous…a…. vous…

Pas un mot ne sortit de sa bouche. Étonnamment, au lieu de se comporter comme tout jeune coq vainqueur, le jeune héros restait sans voix, immobilisé par la timidité. Il savait bien comment plaire aux jeunes femmes en montrant ses muscles, en paradant et en souriant. Mais lorsqu’il s’agissait de parler, le fils de feue Chiabrena, restait inexpérimenté.

Gêné de ce silence, Firmin dévoila ses jambes poilues tout juste musclées, bomba le torse, et gonfla ses biceps. La jeune fille, sans nul doute, tomberait à genoux devant son héros, et s’émoustillerait de tant de virilité apparente.

--Mathusin.

Mathusin avait mal à ses chausses. Plusieurs lieues le séparaient maintenant de Niort. Plusieurs jours où il avait du supporter le silence de la jeune femme qui l’accompagnait. Elle ne lui parlait pas. Elle ne gémissait pas. Elle se comportait comme une frêle poupée sans âme, sans nulle vie à l’intérieur. Il était heureux de pouvoir enfin se séparer de sa morne compagnie, pour frayer avec d’autres pouilleuses moins prudes et moins timorée dans les bordels et tavernes de la ville. Bayonne… Pourquoi son maitre avait-il souhaité y retourner après de si longues années ? Voilà une question qui restait depuis plusieurs mois sans réponse. Mathusin avait connu son maitre non loin de Lyon, près de sept ans auparavant. A l’époque, Georges Léonard Watelse passait son temps à lire d’obscurs parchemins dans un coin des archives du duché. Mathusin était à l’époque apprenti copieur dans cette même administration. Le curieux personnage lui avait confié « entreprendre le tour d’Europe des Archives ». Nul n’a jamais su ce qu’il y cherchait sans cesse, à s’en user les yeux à la faible lueur des bougies.

Un matin, Mathusin l’avait trouvé, agité dans la salle des archives, les yeux fiévreux de l’homme qui n’a pas dormi de la nuit. Celui-ci s’était précipité vers le copieur de parchemin : « J’ai enfin une piste… enfin ! » Il avait de suite repris contenance. « Je vais pouvoir reprendre vie, prendre revanche, reprendre ma dignité, et enfin donner un descendant à ma lignée ».

Watelse lui mit un parchemin dans les mains : « Je vous engage : 400 écus chaque mois, et dix fois plus si vous accomplissez votre mission. Trouvez moi ma promise, voici son nom… Je m’en vais pendant ce temps, me rendre justice. » Voici comment, d’apprenti copieur il était devenu homme de main, investigateur par-delà les contrées.

Bayonne. Le point final de sa mission. La promise, Ellya de la Duranxie trouverait bientôt place auprès de Georges Léonard Watelse.

Un tumulte venant du cimetière. Mathusin fit un détour vers l’église où, il aperçut avec étonnement un jeune gringalet foncer contre son Maitre et fier comme un coq de son méfait, parader devant une jouvencelle.

Maitre !

Il courut à lui, et sortit son épée pour faire payer de sa vie, le jeune idiot.

Lysee

Lysée se sentais stupide tout d'un coup, d'être passer par près du cimetière. Pourquoi n'avait-elle pas écouté sa mère ? Pourquoi ne s'était-elle pas éloigné des gens qu'elle pouvait juger bruyant, malotru. "Mais ma mère aimait ce genre de personne"... Cette pensée lui traversa l'esprit et elle eu l'impression qu'on la jetais dans une rivière glacée. Mais à peine fut-elle sortit de ses pensées qu'un jeune homme c'était précipité contre l'autre personne pour lui rentré dans le ventre.

-Non mais.. ça ne va pas ?

Elle hésita un instant mais à peine avait-elle fait un pas qu'un autre homme c'était écrié "Maitre" et avait sortit son épée. Par simple réflexe elle laissa tomber sa dague dans sa main et se mit devant le jeune homme au cas où quelque chose de stupide arriverait. Le personnage à l'épée devait être un élève du Malotru qu'une femme avait, lui semble-t-il, appelé Watelse. Elle se sentait ridicule face à ces gens, légèrement plus petite, et avec une simple dague. Mais il ne fallait pas sous estimer les petites choses. C'était les plus habiles d'après sa mère.

- Mais que vous arrive-t-il à tous ? Sur quel village de fou suis-je tombé ?

Solore

Ferme les yeux lorsqu'elle voit Firmin, foncer tête baisser sur Sieur Watelse.

Par Aristote, mais que lui passe t'il par la tête ! Le voilà qui se prend maintenant pour le défenseur des pauvres jeunes filles de Bayonne. Il va falloir qu'elle lui en touche deux mots ... Ou plutôt Condemned, lui, saura trouver des mots d'hommes pour expliquer à Firmin ...

Devient rouge de confusion lorsqu'elle le voit remonter ses braies, le plus haut possible, dénudant des mollets blancs à peine plus velus que son jeune menton et moulant par contre, ce qui aurait du rester plus invisible .

Ouvre la bouche mais préfère la refermer sans mot dire devant la ridicule attitude de son neveu ... Et le voici qui maintenant bombe du torse achevant de se ridiculiser à jamais devant tout Bayonne réuni. Le coquelet se pavane devant une petite poulette bien plus hardie que lui.

Hoche la tête doucement, la main posée devant sa bouche. Honte suprême .. La voici qui de son frêle corps, lui fait un bouclier. Petite mais pas peureuse ... Mais, qui est l'homme qui s'avance en criant "Maître !" ... Regarde Watelse qui pour le moment ne dit mot.

Mais qui êtes-vous vraiment Messire ?

Observe son benêt de neveu en soupirant et se dit qu'il faudra bien que jeunesse se passe, mais pourvu qu'elle passe vite ...

--Firmin.

Firmin se trouva vite nez à nez avec la pointe d'une lame. Puis nez au dos de la jeune fille qui s'interposait entre lui et l'origine du danger. Il se sent bête, le Firmin à ce moment-là. La belle jeune fille ouvre la bouche pour faire part de son étonnement:

- Mais que vous arrive-t-il à tous ? Sur quel village de fou suis-je tombé ?

Il répond, sottement:

Fou de vous, tout le monde doit l'être...

Le voici qui se trouve un talent de romantique enjôleur. Il s'est trouvé un destin de Don Juan : il passerait sa vie à honorer de ses paroles la beauté des femmes. Et il souhaite fanfaronner en poursuivant sa prose qu'il veut élégante!

Et j'ai l'âme au bout de cette lame qui va m'embrocher le coeur comme le porcelet quand on va le faire cuir au feu de la cheminée...

Bof. Piètre résultat. L'inspiration se tarit. Pas grave, tout est affaire d'entrainement. Pendant ce temps, son assaillant le regarde incrédule. Et le vieillard arrogant était toujours à terre.

Watelse

Mathusin! Là! Il regarde autour : pas de femme. Sa fiancée aurait-elle pris la poudre d'escampette?

Une épée? Un duel? Un regard vers la tombe.

Un peu de tenue, Mathusin! Voyons! Pas devant ma femme!

Georges Léonard Watelse se releva difficilement, épousseta son manteau et replaça son chapeau. Puis il fit baisser la garde de son serviteur d'un geste qui n'admettrait aucune réplique.

Encore un autre regard aux alentours.

Et surtout pas d'esclandre devant ma future épouse.. qui se fait désirer... Allons la chercher.

Ses yeux notèrent les sourcils froncés de la mairesse. Avait-elle des soupçons? Watelse ressentit pour une fois depuis bien longtemps, de l'angoisse que tout soit mis au jour. Mais qui irait déterrer une morte? Ces pauvres petits croyants n'iraient pas réveiller une décédée dans son repos éternel. Bien heureusement...

Il fit mine de partir, puis soudain se retourna vers la toute jeune fille qu'il avait confondu quelques instants auparavant:

Donzelle, mes excuses de m'être fourvoyer. Mes yeux un moment se sont obscurcis d'un voile épais. Mais je vois plus clair à présent et ne peux vous confondre: Vous êtes trop grosse, et trop quelconque pour être mienne!
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Lysee

Lysée ferma les yeux une seconde, puis rangea sa dague et s'inclina légèrement devant cet homme qu'elle détesterai presque maintenant.

-Ne vous inquiétez pas, je n'aurai pas voulu de vous non plus. Votre arrogance ferai fuir n'importe qu'elle femme, et vous semblez lâche comme une autruche. De plus vous parlez à une morte, vous êtes égocentrique, et vous faites semblant d'être aimable.

Elle lui lança un regard de déception franche: le personnage était trop...

-N'essayez pas de faire croire ce que vous n'êtes pas ! Vous êtes un lourdeau, un rustre. Et vous ne méritez aucunement l'attention que tout le monde vous porte.

Elle se retourna du côté du jeune homme qu'elle avait essayé de protéger.

-Quand à vous merci, mais je n'aime pas les compliments. C'est bon pour les autres femmes, celle qui rêve d'amour et d'aventure, et je suis bien au dessus de sa.

Des frissons lui parcourait le corps, elle se sentait en colère, et prête à frapper n'importe qui. Comment elle avait pu vouloir entrer dans l'église, ou dans le cimetière ? Pourquoi avoir voulu secourir ce Watelse qui ne le mérite certainement pas.
Elle posa son dos contre le tronc d'un arbre proche et regarda les nuages. Elle voulait connaitre la suite de cette histoire, tout en ayant peur.

Solore

Proche de Anna, elle ne perdait ni un mot ni un geste de la scène qui se déroulait devant eux.
Watelse sembla retrouver peu à peu ses esprits et la fixa longuement. Elle soutint son regard et il lui sembla voir un peu d'affolement dans les yeux de l'homme. Tout cela se passa très vite et pendant que Watelse parlait à son homme de mains, qui menaçait Firmin de son épée. Attrapa le jeune homme par le dos de sa chemise :

- Viens-là, toi ! Et cesse de faire le fada !

Le tire vivement en arrière, mais ce benêt emmouraché se cramponne à la jeune file qui lui fait écran de son corps.

- Firmin ! Laisse-la ! Mais veux-tu la lâcher !

Tape sur les mains de l'adolescent qui a empoigné la taille de la jeune demoiselle et qui se serre maintenant contre elle, lui débitant des fadaises.

Relève sa jupe et lui envoie un magistral coup de pied dans les fesses.

- Et ce n'est que le premier d'une longue série, Firmin !

Se dit qu'elle va se promener maintenant avec un bâton de vacher, le fessier de l'adolescent étant peut-être un peu haut pour son pied.

Citation:

-Quand à vous merci, mais je n'aime pas les compliments. C'est bon pour les autres femmes, celle qui rêve d'amour et d'aventure, et je suis bien au dessus de sa.

Soupire ... Le jeune homme en entendrait d'autres ...

Lysee

Lysée regarda passer la dame, et celui qu'elle avait appelé "Firmin", se demandant si elle avait été dur avec le jeune homme ou non. Il ne restait plus que ce "Watelse", son valet Mathusin, ou une autre dame qui s'appelait si sa mémoire ne lui jouait pas des tours, Anna. Les premiers ayant fait mine de partir et la dame n'ayant pas bouger, elle se risque a demander d'un air glacial:

-En fin de compte, puis-je entrer dans cette église ou non ? Et est-il possible de se faire baptiser ici ?

Elle entendit la façon dont elle avait dit les choses et après avoir retrouvé son calme, reprit d'une voix légère et plutôt faible:

-S'il vous plait...?

Watelse

Georges Watelse grinça des dents. On ne le laissait donc jamais tranquille! Mathusin s'occupait ailleurs de ramener son destrier. Aucun moyen donc, de lui déléguer la tâche de répondre à cette jeune oie venue à Bayonne compléter la basse-cour pourtant déjà en surpeuplement.

Pour un baptême, il faut un curé. Et que ferait un curé dans une ville où l'on confond taverne et bordel, et que les femmes étalent leurs charmes insolents dans des étuves...?

Sur ce, satisfait de n'avoir pas aidé la nouvelle venue, il tourna les talons retrouver Mathusin, accueillir comme il se doit sa future épouse. Un regard derrière son épaules vers la tombe. Un frisson et des lèvres qui se pincent. Il s'en fut.

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Lysee

Lysée respira un bon coup, puis après une seconde de réflexion elle rejoignit l'homme, et lui mit une gifle.

-Vous, vous n'êtes pas vraiment un sujet a prendre en exemple. De plus je ne suis jamais allé dans les étuves, je laisse ce "plaisir", elle insista sur le mot, aux femmes qui aime exhiber leur corps a n'importe qui. Ce n'es pas parce que vous vous croyez au dessus des autres que vous l'êtes, alors vous avez intérêt a me parler sur un autre ton.

Elle lui remit une énorme gifle qui claqua et lui laissa sur la joue une marque rouge, puis le laissa partir tandis qu'elle retournait du côté du cimetière.

Watelse

Watelse reçut le soufflet, et un moment ne moufeta mot:

Qui est votre père? Vous a t'il appris que les hommes frappent plus fort que les femmes?

Et il agrippa la chevelure de l'écervelée gamine et l'entraina dans l'église. Puis la poussa dans le confessionnal. Enfin, il prit la place du curé dans l'autre compartiment:

Allez donc, confessez vous ou je vous donne fessée. Je veux votre vie confessée sur le champ.Allez!

Son ton était sans appel.

Dites moi : votre famille, qui est-ce? Mariée? Combien de bâtard sortis de vos cuisses?.. Parlez! Ce que Watelse veut, il a!

Mathusin bloquait maintenant l'entrée du confessionnal. Aucun moyen de piste ne restait à la jeune fille.
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Lysee

Lysée se frotta doucement le crâne, puis hésita un instant avant de répondre a cet homme:

-Ma mère se nomme Azina, elle est Normande, tout comme mon père...

Elle hésita un instant.

-...mon père Idromir, qui fut élu maire plusieurs fois, il fut aussi président de l'assemblée du peuple et conseillé ducal. Et pardonnez moi, mais je n'ai jamais eu un seul enfant, et je ne suis pas pressé. En fait pour tout dire, je suis encore vierge. Cela vous va ?

Elle se demanda pendant un instant s'il elle pouvait partir mais se retint, ce personnage l'intéressé, il était bien différent de toutes les personnes qu'elle connaissait. Elle croisa les bras et attendit la suite des questions. Après tout, tant qu'a dévoiler sa vie, autant y aller une fois pour toute.

Lilou_corsu

Lilou qui avait vu de loin a scène du cimetière, n'avait pas eu l'envie de s'intéresser à ces broutilles! Elle se dirigea vers l'église pour prier et méditer sur ses fautes...demander pardon.
L'église était silencieuse quand soudain un raffut terrible raisonna dans l'enceinte du lieu. Lilou vit ce bougre arrogant qui tenait une femme par les cheveux, entrant dans le confessionnal....un autre homme suivait derrière, bloquant la porte.
Lilou se leva d'un bond, outrée par ce manque de respect, elle parti en direction du lieu de confesse.

Mais que faites vous?! Vous n'avez vraiment aucune gêne!!! Vous êtes dans une église ici pas dans un tribunal, libérez donc cette jeune fille! On aura tout vu, une séquestration dans une église!!

Devant le porte du confessionnal, Lilou s'adressait à cette chose portant un chapeau et au visage ridé.

Et VOUS, vous vous prenez pour QUI pour salir la place d'un homme de foi, VOUS qui n'avez même pas de coeur! Que Dieu vous pardonne pour cet outrage!

La colère lui bouillonnait le sang de plus en plus.

De plus, VOUS qui dénigré les femmes, Vous faites un sacré numéro pour qu'elles VOUS remarquent!! Sortez dont de cette église que je puisse vous cracher au visage!!
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Solore

Toute à ses réflexions, et après un dernier regard posé au nom inscrit sur la pierre tombale, quitte le cimetière en traînant derrière elle, un Firmin les yeux dans le vague et le sourire niais aux lèvres.

Une idée fixe ! Le registre des décès !

Entre dans la bâtisse et après une génuflexion rapide et un signe de croix bâclé, se dirige à grands pas vers la pièce réservée normalement au curé. Lâche son neveu avant d’y entrer :

- Reste là, Firmin !

Et sans autre parole et sans un regard pour le garçon, y entre et ouvre le grand placard qui s’y trouve. En sort le registre tout en calculant approximativement l’année de la mort de Blanche Watelse … 1457 moins trente …
1427 ! Ca fait un bail …

En tourne une à une les pages, lorsque la forte voix de Watelse suivie de … mais oui, c’est la voix de Lilou ! Ecoute et fronce les sourcils. Ne comprend pas ce qu’il se dit, les voix résonnant dans l’église et pense soudain à Firmin :

- Pétard ! Firmin ! Mais qu’a-t-il encore inventé !

Sort en trombe et se dirige vivement vers le confessionnal auprès duquel Firmin est déjà.

Regarde Lilou puis le jeune homme sévèrement :

- Ah non ! Pas Lilou ! Mais je vais t'attacher si ça continue !

--Firmin.

Belle... Belle.... C'est un mot inventé pour .... Elle... Belle... Belle...

Voilà les seuls mots qui s'entrechoquaient dans la tête de cet énamouré. Il ne faisait même pas attention à la mauvaise humeur de sa tante. Ni à la froideur de l'église. Il ne se douta pas un instant que Tante Solore l'eut quitté un instant. Ses yeux avait trouvé une nouvelle idole à couvrir de son regard: une belle brune qui hurlait sur le malotru au chapeau assis dans le confessionnal : serait-il prêtre? Un bien mauvais prêtre alors...

Il se retourna : sa tante hurlait maintenant contre lui.

Vite! Se cacher! Une jupe! Celle de la brunette en colère! Et hop... Il faisait bon là-dessous! ...

--Stive

un endroit qui empeste l'odeur de l'ennemi, des gens du peuple étaient partout et la vu était désagréable pour sa grâce...

Mon Dieu et dire que la bâtarde était nommée abbesse pour remplacer un coureur de jupon... bruler cette église ne suffirait pas pour purifier l'endroit

il donna son chapeau a son valet car la maison du seigneur mérite le respect comme même. et lui ordonna de l'attendre dehors.

il pris place devant l'autel, s'agenouilla et murmura une petite prière :

Seigneur clément, Aie pitié d'eux, donne moi la force pour tenir Marie dans mes mains, la force pour en finir si besoin, et la force de me retenir si ta justice est faite ainsi. Pardonne mes hommes pour leur péchés ils ne savaient pas.

il se leva pour explorer les lieux et savoir de quoi il s'agissait

Watelse

La jeune femme dans le confessionnal semblait assez obéissante et répondait à chaque question. Watelse avait bien noté certaines bravades dans ses réponses, mais il ne les releva pas : une femelle apprend petit à petit la soumission totale.

Du bruit, une autre digne représentante du sexe faible ouvrit la porte du confessionnal et le dévisagea avant de l'asséner d'insultes, toute plus farfelues les une que les autres.

Il se leva, hautain, et grinça une réponse alors que la Mairesse s'approchait, lui aprennant par le même coup le nom de l'infecte dame:

Lilou? C'est bien comme ça que vous vous nommez, petite sotte? Sachez que je ne recherche pas l'attention de vous autres petites greluches, et je dirais même que chacun de vos regards, chacune de vos vaines tentatives pour attirer MON attention, me dégoutent au plus haut point....

Il aurait poursuivit si le jeune abruti venu de l'extérieur ne s'était faufilé sous les jupons de la femme.

... Et bien, vous m'avez l'air d'une bien sale petite coquine! Un si jeune garçon! C'est bien vous qui devriez avoir honte de pervertir la jeunesse masculine dans la maison du Seigneur!! C'est bien vous qui devriez demander pardon, à genoux, à Aristote!!

Watelse, dors et déjà, s'estimait vainqueur: Homme, 1/ Femme : 0.

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--Ordeon

Ordéon se baladait dans les rues de Bayonne, où il avait aménager il y a peu avec sa grande sœur. Il avait 16 ans, mais ses yeux charmeurs, et ses cheveux mi-roux mi-châtains avec son teint légèrement mat, héritage de sa mère, lui donnait au moins quatre années de plus.
Il se baladait donc et essayé de retrouver son chemin et en même temps celle qui l'éduquait, quand il arriva près d'un grand bâtiment qu'il supposa être l'église. Il détestait ce bâtiment, et tout ceux qui croyait en dieu. De loin il pouvait voir des gens prier sur des bancs et il murmura entre ses dents:

-Tsss .. La prière, c'est le dernier refuge d'un lâche.

Il s'apprêtait a repartir quand il passa près du cimetière et aperçu un homme, avec un chapeau et quelques rides au moins, tirer sur les cheveux de sa sœur et l'emmener à l'intérieur du bâtiment. Et elle, avec sa gentillesse, se laisser trainer ainsi par les cheveux, et obéir aux ordres de l'homme lui ordonnant de répondre a ses questions dans le confessionnal. Il se précipita dans l'église, ses pas résonnant sur le sol glacé de l'église, sans s'apercevoir d'un autre garçon se cachant sous les jupes d'une femme, puis sauta sur l'homme avec le chapeau et l'étrangla de toute ses forces. Mais il le savait, il ne faisait pas le poids. Il relâcha son emprise et attrapa la dague de sa chère sœur puis la fit glisser sous le coup de ce sale monstre.

-Osez toucher à Lysée et je jure devant Dieu que je vous tue.

Il se sentait ridicule mais s'en fichait, c'était dit. Il était sur que tout le monde le regardait, ou du moins sa sœur.

Lilou_corsu

Toujours en train de bougonner contre le vieillard, Lilou senti quelques chose se glisser dans ses jupons. En sursautant, elle releva un peu sa robe et pris le jeune garçon par une oreille et le releva.

Mais que fais tu, caché dans mes jupons jeune coq?? Tu n'as pas trouvé meilleur cachette?!

Tirant toujours l'oreille du juvénile, elle se tourna vers Solore.

Ce voyeur t'appartiens-il??

Repoussant le jeune homme d'un coup de pied aux fesses, Lilou s'apprêtait à partir quand elle repensa à l'homme nauséabonde. Elle fit demi-tour, lui fit face et lui cracha un beau glaire en plein visage.
Sans mot dire, Lilou quitta l'église sourire aux coin des lèvres....
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Solore

- Firmin !

Hurle le plus doucement possible le nom de son neveu et tente de le rattraper au moment où il se glisse sous les jupes de Lilou.

En est rouge de honte et de confusion

- Pardon Lilou ! Viens par ici, toi !

L'attrape par le pied et tire. Heureusement que Lilou l'éjecte ...

- Deux coups de pieds aux fesses en quelque minutes! Tu fais fort Firmin ! Bravo !

Ne puet s'empêcher de grimacer lorsque Watelse reçoit le crachat de Lilou et arrête un jeune homme qui le menace d'une dague :

- Une arme ? Une arme dans la maison du Seigneur ? Voyons Jeune Homme, rangez cela et vite fait !

Entend un bruit de pas et se retourne vers le nouvel arrivant, murmure :

- Décidemment, l'église devient place de marché !

Regarde tous les protagonistes et leur conseille d'aller régler leurs affaires dehors et jette un coup d'oeil vers la pièce où l'attend le registre. Il faut qu'elle sache ...

Lysee

Lysée regardait la scène d'un air las: le jeune Firmin se cachant sous les jupes de la femme appelé Lilou, et dame Solore tirant le pied de celui-ci, puis son petit frère Ordéon attrapant sa dague et la pointant sous le cou de l'homme, Watelse, puis le cracha qu'il reçu, et enfin le nouvel arrivant qui n'avait pas l'air lui non plus très sympathique. Elle resta neutre jusqu'à ce qu'elle entende une voix dire:

Citation:

- Une arme ? Une arme dans la maison du Seigneur ? Voyons Jeune Homme, rangez cela et vite fait !

Elle tira Ordéon par l'épaule et repris sa dague puis la rangea dans sa manche, avant de lui dire d'un air hautain:

-Excuse toi Ordéon. A cet homme car lui ne t'as rien fait, à cette femme car tu n'avais pas a dégainer cela ici et à moi car c'est mon arme et non la tienne garnement.

Son demi frère le regarda d'un air triste et elle prit un air dur qui ne resta pas longtemps sur son visage. Au bout de quelques secondes elle lui ébouriffa sa touffe de cheveux et lui fit un léger sourire puis posa sa main sur son épaule avant de se retourner vers le confessionnal.

-Bon... Avez vous d'autres questions vous... hum.. Messire Watelse, c'est ça ?

Elle avait maintenant un doux sourire assez difficile a effacer malgré les évènements.

--Ordeon

Ordéon pesta contre la dame qui l'avait vu, ne pouvait-elle pas s'occuper de ses affaires celle là ? Elle ressemblait à une sorcière, et pourtant elle semblait être une femme d'église. Soudain elle sentit sa sœur lui empoigner l'épaule si fort qu'il faillit se mettre à genoux devant elle mais il se retint par simple dignité. Lysée lui demandait de s'excuser, et il baissa la tête d'un air triste avant de dire:

-Pardonnez moi de vous avoir étrangler, et vous avoir envoyé des menaces de mort. Je n'ai pas réfléchis avant d'agir et je vous présente mes excuses.

Il se tourna ensuite vers la sorcière toujours la tête baissé puis dit à voix basse:

-Pardonnez moi d'avoir sorti une arme dans la maison de Dieu. Il hésita un instant. Et pardonnez moi d'avoir pensé que vous ressembliez à une sorcière.

Puis il se tourna vers sa sœur et reprit d'une voix faible, à peine audible:

-Pardonne moi ma sœur d'avoir pris ta dague sans ton autorisation, et de plus dans cette église, pour la brandir devant cet homme. J'ai agi sottement et je te demande de me pardonner.

Il releva un instant la tête et aperçu le regard dur de sa sœur et eut l'envie de pleurer. Jamais il ne s'était senti aussi faible. Il sentit le regard souriant de Lysée et sa main posé sur son épaule d'un air protecteur. Il ne put s'en empêcher, il se blottit contre elle, lui fit un câlin, pour lui montrer à quel point elle comptait pour lui. Puis il prit sa main dans la sienne et se tourna vers le messire qui l'avait maltraité.

Solore

Regarde longuement le jeune garçon et ouvre de grands yeux ébahis lorsqu'elle entend :

Citation:

... Et pardonnez moi d'avoir pensé que vous ressembliez à une sorcière.

Porte aussitôt la main à son nez afin de savoir si verrue ne lui était pas venue d'un coup. Passe discrètement la main sur son menton ... Rien, pas une verrue, pas un poil et pas de menton en galoche. Ne comprend pas ce qui peut la faire ressembler à une sorcière ... Elle est encore jeune pourtant ...

Lance un regard pas très avenant vers Firmin

... Plus pour très longtemps si ce vaurien continue.

Observe la jeune fille pendant qu'elle force son frère à leur faire des excuses puis s'adressant au jeune garçon avec un sourire :

- Je suis Solore, Maire de Bayonne ...

S'approche de son oreille et lui murmure :

... et peut-être as tu raison ... qui sait !

Lui fait un sourire, avise un homme qu'elle ne connait pas et le salue ainsi que les autres d'un bref signe de la tête et tourne les talons, pressée de retourner auprès du registre.

Fait soudain demi-tour, attrape Firmin par la manche et le tire derrière elle.

Lysee

Lysée regarda longuement la porte de l'église d'un air distrait, elle n'était pas vraiment pressé de partir. Elle lança un regard rapide à son frère, et fut étonné qu'il n'ai plus l'air d'avoir 20, ni 16 ans, mais on aurait dis plutôt un garçon de 14 ans tout au plus. Elle sentit l'étreinte de son frère et la lui rendit avec un sourire, puis, elle lui fit signe de sortir ou d'attendre sur un banc pendant qu'elle lançait un regard au valet Mathusin, qui se décala pour la laisser entrer dans le confessionnal. Elle attendit un instant avant de dire:

-Vous vous appelez sir Watelse ou non ? Et j'attends toujours vos questions moi, alors si vous n'avez pas fini votre interrogatoire je vous prie de le finir ou me laisser partir.

Elle fit un air accablé, cet homme était vraiment un idiot qui ne pensait qu'à sa petite personne. Amusant néanmoins, dans l'absolu.

Watelse

De cet interrogatoire, G.L.Watelse voulait tirer certaines conclusions. En voyant la jeune femme, il l'avait tout de suite pris pour sa promise. Quoi de plus pertinent alors de lier sa réelle promise et la donzelle par un lien quelconque. Si la première venait à dépérir, l'autre prendrait bien vite sa place, et ce faisant, Watelse ne serait plus jamais veuf. La "roue de secours" montrait quelques impatiences, mais Watelse estimait qu'à cet âge "on a tôt fait de les briser, ces démones":

Je cherche une dame de compagnie pour ma promise, Ellya de la Duranxie . Vous avez sensiblement le même âge, et même si vous ne semblez point avoir développé les mêmes qualités hautement appréciées chez les nobles, il est rassurant de contempler votre calme et votre acceptation partielle devant les hommes: d'autres péronnelles m'auraient déjà volé dans les plumes depuis belle lurette! Votre prix sera le mien, je ne suis pas à traiter mes gens comme des esclaves, fussent-elles par malchance femelles. Il faudra néanmoins réduire dès à présent votre caquetage, vous me ruinez les oreilles, et risquez d'ennuyer Madame Watelse.

Il n'était à douter, pour Watelse, que son offre était d'un extraordinaire non refusable : quel prestige, quelle gloire de servir sa famille!
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Lysee

Lysée regarda l'homme dans les yeux pendant quelques instants, peut être quelques secondes, avant de se mettre a lui rire au nez.

-Est-ce une blague ? Vous voulez que je vous serve ? Comme une servante ? Et en étant payé ?

Elle avança vers l'homme, et se mit devant lui, les mains sur les hanches, en lui lançant un regard noir, puis après l'avoir bien observé pour voir s'il plaisantait ou non, elle du admettre qu'il était d'un sérieux plutôt inquiétant.

-Je n'ai pas la noblesse de certain, néanmoins je sais rester un tant sois peu, digne. Or voyez vous, si vous aviez grandit chez des gens normaux comme moi, vous sauriez qu'on ne m'achète pas. Si vous voulez que je vous rende service messire, ce sera gratuitement, et j'aurai à cœur de le faire. Je vie pour servir les autres, et nous pour leur arracher leur bien comme une sangsue. Me suis-je bien fait comprendre ?

Elle croisa les bras, puis termina:

-Je serai ravi de vous aider, mais sa sera gratuitement.

Solore

Entend la voix forte de Sieur Watelse, mais n’en a cure. Il fallait qu’elle trouve ! Vite !

Entre de nouveau dans la pièce et se penche sur le grand registre dont elle tourne les pages une à une, les écritures changeant au fil du temps et des curés …
Reconnait au passage celle du Père Oroch, « cet imposture de Curé » comme l’appelait Condemned. Rit silencieusement à ce souvenir … Le curé le plus drôle et le plus spécial qu’ait eu Bayonne, mais on ne s’ennuyait jamais avec lui ! Secoue la tête, toute à ses souvenirs …

Ah ! 1429 … Tourne quelques pages … Tant de morts cette année-là ? En tourne encore quelques-unes, suivant de son index chaque nom, chacun le rapprochant sûrement de Dame Watelse. Tourne encore une page, puis une autre … 1428 …Décembre … descend le doigt lentement … puis le remonte doucement sur la page de gauche … Novembre … Sent son cœur qui s’affole … Ca y est, elle est là ! Soudain fébrile, lit les quelques lignes :

En ce jour de 21 Novembre 1428, le corps sans vie de Dame Blanche, Douce épouse de Sieur George Léonard Watelse a été retrouvée sur le sentier des dunes menant à Bayonne et mise sous la protection du Très-Haut en ce même jour.

Tourne la page avant, lut le décès de la personne précédente, relut celui de Blanche, puis le suivant … Fronce soudain les sourcils … Vérifie rapidement qu’ils se trouvent sur tous les autres actes … Oui ! Ils sont là, sauf sur celui de Dame Watelse !

Referme le registre, le replace dans l’armoire dont elle referme les portes et le dos appuyé dessus, se force à reprendre une respiration régulière et essaie de réfléchir calmement.

--Ordeon

Ordéon écoutait d'une oreille, et fut prit de colère quand il entendit l'homme proposé a sa sœur de devenir son esclave. Il croisa les bras et continua d'écouter la conversation et sa sœur proposant de travailler pour lui gratuitement. Il sentit un frisson glacé lui traverser le corps, et hérissant ses cheveux, puis d'un bon il se leva et tira sa sœur par le bras pour l'écarter de l'infâme bonhomme.

-Mais es-tu folle Lysée ? Quitte a travailler pour cet homme, demande au moins de l'argent, ne serait-ce que pour ta dignité, et pour montrer que tu défendra tes droits et ton honneur. jusqu'au bout. Tu ne va quand même pas te laisser faire par ce vieux sénile qui veux se servir de toi comme si tu étais son esclave ? Ce n'es pas parce que tu es ma demi-sœur que cela m'empêche de te protéger contre des hommes tel que celui-là.

Il la tira un peu plus par le bras, avec une tel force qu'il aurait pu lui casser les poignets, mais il lâcha vite sa prise quand il aperçu une main arriver avec une telle vitesse sur sa joue qu'il fut précipité au sol, à un mètre au moins de sa sœur. Celle-ci lui avait mis une gifle dont il était sur de se souvenir toute sa vie et même après.

Watelse

Aux dires de la gamine, Watelse se gaussa : une gueuse à son service, et aucun sou à débourser.

Aux protestations du gamin, Watelse ricane. Un autre esclave en devenir. Esclave des femmes. Il avait une de ces envies de lui cracher dessus son dégout...

Gratuitement vous dites? A ce moment là, je ne peux qu'acquiescer, mais ne saurais imposer votre horrible bavardage à Madame Watelse, si elle ne vous souffre! Vous passerez donc dans notre demeure dans la semaine, que je vous la présente, et nous verrons bien si votre présence lui donne de l'urticaire. Ou pas.

Watelse se fit plus sérieux et plus dur de ton:

Mais quoiqu'il sorte de votre bouche de vipère, je ne VEUX en aucun cas que vous entachiez sa pureté de votre bave, de vos insinuations sur la liberté des sexe, et de l'équité entre toute personne: Il n'y a qu'un Ordre: La femme reste à genoux devant l'homme, et le gueux baise les pieds de son seigneur.

Watelse ponctua ses dernières paroles d'un geste hautain lui signifiant de s'en aller.

Que ma volonté soit faite... Mon serviteur viendra vous quérir. ... Et n'amenez en aucun cas votre chien... ajouta-t'il désignant du menton le demi-frère de Lysée.

hrp: Désolé pour le contretemps de cette réponse. Au plaisir de vous lire toujours... LJD Watelse
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Lysee

Lysée n'aimait pas la façon dont lui avait parlé l'homme, autant a elle qu'a son frère. Elle remarqua que le Sir Watelse avait une irrépressible envie de lui cracher au visage, quand a Ordéon lui, on aurait dit qu'il voulait simplement le voir rotir en enfer dans les plus terribles souffrances, ce qu'elle pensa aussi pendant un cour instant. Alors que l'homme semblait vouloir partir, elle le retint par l'épaule, sachant parfaitement que celui ci en serai dégouté, puis dit d'un air hautain:

-Je n'ai rien dis sur l'équité des sexes. Je serai une femme soumise à l'homme que j'aimerai, mais pour le moment...

Elle écarta les bras d'un air disant "j'ai la vie devant moi pour trouver quelqu'un."

-Mais vous, vous ne méritez pas qu'on sois a vos genoux. De plus vous pouvez me traiter de tout les noms, mais pas mon frère. Donc non Sir Watelse, je ne travaillerai pas pour vous, pas avant que vous ayez appris la politesse. Et si vous recommencez a insulter Ordéon, je vous jure que vous vous prendrez une raclée dont vous vous souviendrai toute votre vie... enfin pour le peu qu'il vous reste a vivre vu votre age avancé.

Elle attrapa Ordéon par le bras, le releva, sortit de son sac une pommade pour sa joue rouge, puis sortit la tête haute, mais le regard sombre.

Watelse

Watelse commença par s'épousseter du bout des doigts sa veste élégante que les pattes de l'oie blanche avait ternie. L'arrogance de la fillette lui faisait penser à ces derniers cris des condamnés avant qu'on les égorge. C'était d'ailleurs la destinée de plus de la moitié des gueux qui croisait le chemin de G.L.Watelse. La piaffeuse ne ferait certainement pas exception à la règle, avec un tel irrespect des grandes gens et un mépris total des règles de convenance devant un homme tel que Georges Léonard Watelse.

Néanmoins, Georges Léonard Watelse n’avait cure de ces bisbilles sans but.

Il se sentait en veine. Il prendrait bientôt femme, et retrouverait par là, et par d’autres biais plus cachés, toute sa dignité d’homme. Seule la pugnacité de la mairesse le préoccupait : ses derniers débordements au cimetière avait mis le doute sur son passé, et il ne pouvait que se douter qu’elle irait lui chercher noiseries à ce sujet. Un coup d'œil vers la sacristie où elle s'est enfermée.

Il crie, sans prendre garde à la présence de Lysée et de son frère, ni de l'écho de sa voie dans la nef, multipliant par dizaine ses exclamations:

Que diable ! Je ne crains rien d’une femelle. Et si elle en appelle aux juridictions religieuses pour trancher sur mon sort, je me ferai maitre d’un nouveau dogme.

Et voici le mégalomane rêvant d’une nouvelle religion où il tiendrait fièrement la place de demi-Dieu sur Terre:

Demi-Dieu ? Non ! Soyons fou, Georges ! s’écria t’il , ignorant avec dédain, le regard d'un Aristote de pierre près de lui. Soyons fou ! répéta t’il, parlant de lui-même comme d'un autre, une entité sacrée. Faisons de Georges un Dieu vivant, il ne fait jamais rien à demi…

Plus bas:

Ah Douce Ellya… Vous auriez l’honneur de toucher à mes divins muscles ! M’honorant de caresses autant que de gratitudes…

Un soupir. Son visage respirait la joie. Un sourire presque niais aux lèvres il commença à inventer au fil de l’eau les premiers commandements de son dogme, les récitant tout haut, déambulant parmi les bancs :

« Courir aux poules et aux oies blanches tu ne devras point
A moins que cela ne soit pour en apporter une cuisse au Dieu Watelse »

« La femelle ne parlera que pour citer louange à son Dieu et mari
Dont elle devra masser les doux pieds après un long chemin entrepris »
…

Se pourrait-il qu’il ait trouvé sa vocation, si tard dans le cours de sa vie ?
Tiens, voilà quelqu’un à qui faire part de ses projets. Il l’accosta.

HRP: que celui qui veut que Watelse l'accoste, vienne.. Il serait ravi de lui tailler bavette.
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Anna295

Anna entra dans l'église de Bayonne afin de tenter d'y trouver Monseigneur Zouzouille à propos de sa pastorale en cours.
Ayant poussé la porte son regard se porta aux alentours. Pas de Zouzouille!

Elle s'avançat donc le long de la nef pour atteindre le confessional, sait on jamais peut être est elle en train de soulager des consciences....
Son regard fut attiré par la personne qui lui donnait le plus de frissons d'horreur à Bayonne, mais la politesse voulait qu'elle le salut tout de même.

Adishatz Messer Watelse! Vous sentez vous mieux? Etes vous calmé?
J'ose esperer que vous avez trouvé la sérénité dans notre église...

L'examinant de plus près, et malgrés la penombre environnante, elle remarqua la mine enjouée de l'homme.
Se demandant bien quel coup pendable il pouvait encore mijoter dans sa tête tortueuse, elle attendit toutefois la réponse.
Elle se tenait prête à réagir, sentant l'épée à son coté, la langue prête à répondre à une nouvelle follie.

(hrp : j'ai été un peu longue et peut etre esperiez vous quelqu'un d'autre...)

Watelse

La grande bringue à la croupe large l’aborde avant même que Georges Léonard Watelse n’ouvre les lèvres.

Me calmer? Moi? Georges Léonard Watelse garde toujours osn calme. Un être divin regarde avec mansuétude toutes les créatures aussi bêtes et insipides soient-elles… du moment qu’elles Me servent avec le plus grand dévouement.

Watelse s’allonge sur un banc.

Massez ! Massez, vous dis-je ! Massez votre maitre, votre dieu vivant!

Son corps se trouvait ainsi bien bas tandis que son esprit communiquait avec l’Ailleurs. Il bavardait gaiement avec Aphrodite, déesse de l’amour, qui, plus il la regardait, ressemblait à s’y méprendre au roi Levan. Il gambadait maintenant parmi les nuages, le bourru Héphaïstos accroché solidement à sa taille, essayant de dépasser le rapide Osiris sur son chariot de feu. Tous les dieux anciens, même Toutatis, s’étaient réuni autour du plus Grand, le plus respectable des Respectés, le plus honorable des Honorés, le plus puissant des Puissants… le dieu suprême Watelse. Applaudissements par-ci, lancées de fleurs par là. Son torse n’en finissait pas de se bomber de fierté et d’égo en pleine expansion.

Il ouvre les yeux dans une église silencieuse.

Seriez-vous dure de la feuille, mamelle ambulante ?!

HRP: Attendre quelqu'un d'autre? Non, vient celui qui veut jouer, voilà tout.

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Solore

Regarde depuis un moment, Anna et Sieur Watelse en pleine discussion. Celui-ci, soudain, défait ses bottes et s’allonge sur le banc. Mais que va-t-il encore nous faire, cet énergumène ?

S’avance vers eux, plus à réfléchir sur ce qu’elle a lu ou plutôt pas lu sur le registre. Regarde Anna qui semble ne plus vouloir riposter, puis s’infiltrant entre le banc où est allongé Watelse et le suivant, penche son visage au dessus du sien.

L’observe sans mot dire. L’homme est en extase, les yeux dans le vague et le sourire aux lèvres. L’homme pourrait être beau, s’il n’arborait sans cesse cet air dédaigneux, cette arrogance, ce sourire méprisant. Soudain, le voici qui, d’une voix forte :

Massez ! Massez, vous dis-je ! Massez votre maitre, votre dieu vivant!

Lui pose alors, la main sur l’épaule et se penchant encore plus vers lui, ses lèvres affleurant l’oreille de Watelse, lui murmure :

- Qu’est-il arrivé à Dame Blanche, Sieur Watelse ?

Relève légèrement le buste et avant que l’autre n’ait pu répondre, à peine plus fort que sa première question :

- Certaines choses me troublent … mais je trouverai

- Attache un moment son regard à celui de l’homme et sans plus en attendre, se redresse et va rejoindre Anna dans l’allée. Le regarde silencieusement et se demande si à Bayonne, quelqu’un à souvenir de Dame Watelse … Va aller chercher aussi au bureau de police … Il doit bien y avoir trace de cet accident … En était-ce un ...

Anna295

Anna regarde quelque peu éberluée le sieur Watelse qui lui demande de lui masser les pieds. Elle n'en revient pas d'une telle demande et dans une église en plus!

Elle se dit qu'il faut être bien dérangé de la tête pour faire une demande pareil à un lieutenant de l'Ost, et dans un lieu tel que celui ci.

Et puis petit à petit les paroles entendues entrent dans son cerveau et font leur chemin... Il a parlé de lui comme d'un être divin? Se croit il vraiment au dessus des autres?

Je constate que vous deraisonnez encore Messer... ou alors c'est que vous avez oublié la très sainte inquisition... Vous devriez garder pour vous des follies de la sorte. Sans compter que vous profanez ce lieu en parlant ainsi...

Elle regarde ses pieds débottés, fronce le nez eut égard à l'odeur mais n'en fait aucun commentaire.

Vous voulez vraiment que moi, je vous masse les pieds?
Il est temps pour vous de reprendre femme, je le concède... Cela vous apporterais surement un peu de sagesse, vous en manquez tout particulièrement ces temps ci!

Un Dieu? Mais comment un homme tel que lui, qui ne sait se maitriser, pourrait etre un Dieu? Il semble plutot ressembler à un homme, avec tous ses défauts...fièreté mal placée, vindicatif, tout sauf altruiste et indulgent.... Un homme perfectible comme tous les autres...

Et physiquement? comment pourrait elle s'exclamer au premier regard Ecce Homo?
Non, auncun doute là dessus Messer Georges Léonard Watelse devra bien d'une façon ou d'une autre se rendre compte qu'il ne vaut pas mieux qu'un autre... Bref il est largement dans la moyenne et l'avis d'Anna le pousserais même plutôt dans la moyenne basse.
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Semper fidelis...

Misteart

Misteart venait a l'église non pas pour y prier... mais pour y rencontrer un gérant,.. celui qui s'occupe des morts.. de les envoyer dans leur dernières demeures. Misteart se devait de préparer ces enterrements afin de leur rendre un dernier hommage. Elle entre alors dans l"église discretement. Elle y contourne alors par la droite pour ne pas se faire reperer de ses amis presents en train de discuter et des autres croyants. Elle cherche donc après divers affiches ou tout renseignement a ce sujet. Ne trouvant rien elle se permet donc de se rendre au petit bureau ou peut etre elle y trouvera quelqu'un. Elle frappe donc a la porte et attend sagement tout en scrutant ce qui se passait autour d'elle.
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L'art et rien que l'art, nous avons l'art pour ne point mourir de la vérité.

Solore

Se retourne au bruit de la porte qui s'ouvre et suit des yeux la silhouette de Mist qui se dirige vers la sacristie, qui frappe à la porte et qui attend devant.

Laissant Watelse et Anna à leur conversation, se dirige vers Misteart. Lui parle à voix basse.

- Il n'y a personne à l'intérieur ... Nous n'avons plus de curé depuis fort longtemps,ni diacre, ni sacristain, ni bedeau ... Qui cherches-tu exactement ?

Lysee

Lysée se baladait comme à son habitude sur les chemins, croisant des gens, essayant de retenir leur visage, une chose qu'elle détestait mais qu'elle devait faire, simplement pour se rappeler des personnes à qui elle s'adresse. Il était vrai qu'elle n'était pas sorti de chez elle ces derniers temps, trop occupé à travailler dans son champ ou a faire des gâteaux. Elle se dirigeait donc sans grande conviction vers l'église où elle avait été il y a peu de temps. Elle espéra ne pas croisé le Sieur Watelse qui l'avait réellement ennuyé la dernière fois.

-Foutaises. C'est la seule personne qui m'ai vraiment distraite jusqu'à présent, pensa-t-elle à voix haute.

Elle regarda autour d'elle, ravi que personne ne l'ai entendu, et entra dans l'église d'un air discret. Cette fois son frère ne pourrait pas venir la déranger, trop occupé a manger des tartes au pomme, et elle pourrait donc méditer sans vraiment être déranger. C'est au bout de quelques secondes qu'elle aperçu le Watelse.

-Oh non pas encore lui.

Elle mit une main sur sa bouche, se maudissant elle même d'avoir encore une fois pensé a voix haute, et doucement elle se dirigea vers le banc le plus éloigné du Sieur et s'assit pour méditer à voix basse cette fois-ci.
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Misteart

Misteart vit Solore s'approchait d'elle. Elle l'attend alors et l'écoute. Personne ici? comment va t - elle faire? Elle demande alors a Solore.

Et bien voila je m'occupe de l'enterrement de Morpion. Et donc je me dois de venir ici, meme si moi je n'aime pas ca, mais la je le fais pour elle. Alors je voudrai savoir comment ca se passe pour les enterrements, et quand je pourrai le faire car la il faut vraiment la mettre en terre. Puis je faire une ceremonie ici? et puis-je savoir a quel endroit on pourrait la placer dans le cimetiere?

Misteart ne parlait pas trop fort, elle esperait que Solore l'aide a resoudre ce detail.
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L'art et rien que l'art, nous avons l'art pour ne point mourir de la vérité.

Solore

- Morpion ? Mais quand est-elle décédée ?

Pendant quelle pose cette question, réfléchit rapidement à la demande inhabituelle de Misteart.

- Te souviens-tu de l'enterrement de Opium ? Elle avait été informelle et pourtant, nous nous en souvenons toutes. Pourquoi ne pas faire la même chose pour Morpion et lorsque nous aurons un prêtre ou un diacre, nous ferons dire une messe à sa mémoire. Qu'en penses-tu ?

Misteart

Misteart tentait de se souvenir d'u jour où elle a été vérifié le corps. Sans pouvoir donner la date exacte Misteart pu lui répondre tout de meme.

Elle est décedée depuis 4jours. Enfin c'est ce que j'en ai conclu. Bon tu as raison je vais l'enterrer informellement vu que l'on a personne pour la messe. Mais il faudra faire une liste des personnes qui nous ont quitté pour ne pas oublier leur hommage. Merci du renseignement, je m'en vais donc l'enterrer.

Misteart remercie Solore et quitte l'église en direction du dispensaire.
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L'art et rien que l'art, nous avons l'art pour ne point mourir de la vérité.

Watelse

L’église n’avait sans doute jamais eu autant de monde. Une autre venue. Une autre femme. Pouah ! Mais Bayonne n’avait-elle que des femmes en son sein ?

Et ni des mieux éduquées, ni des plus accueillantes les unes que les autres: La mairesse cherchait des noiseries dans son passé malgré ses avertissements « polis » en taverne ; la petite jeunette, Lysée, s’en venant semblait ne plus vouloir se passer de sa présence malgré l’air dégouté qu’elle simulait… Watelse ne pouvait s’empêcher de penser qu’elle aurait été une serviable bonniche, accroupie à frotter le sol de sa demeure ; l’ancienne tribun ne se révélait pas un talent de masseuses, et faisait preuve d’une grande mauvaise volonté à plaire au Sieur Watelse ; quant à la dernière, elle ne faisait que chuchoter à l’oreille de la garce Solore, conspirant avec elle contre le beau Sir certainement. Et voilà qu'elle s'en allait. Pas trop tôt.

A la douanière qui lui cherchait querelle :

Petiote, vous semblez bien brave pour votre âge et votre sexe, mais croyez bien que je retiens ma gifle qui vous ferait ravaler votre morgue… Vous avez besoin d’un maitre, d’un homme, d’un porteur de canne vous intimant le respect des valeurs masculines, un guide ! Aristote était homme, comme le Très-Haut, et le pape ! Voyez vous-même les guides spirituels porteur d’attributs virils !

Se retournant vers Solore qui n’en finissait pas en chuchotis douteux :

Vous de même, arriviste infâme, souilleuse de réputation sans vergogne, laissez donc ma Blanche où qu’elle soit ! Ou vous tâterez de ma canne !!

Ne la laissant pas répondre, il se tourna vers Lysée :

Et Vous souillure, qui ne pipez mot, sans parents, sans attache, sans passé, … qui préfère l’oisiveté, assisté par la générosité idiote d’autrui que gagner soi-même sa croute par son labeur…. Vous venez certainement en ce lieu saint quêter pitance en tendant la paume plutôt qu’en levant le petit doigt devant le labeur… Ma proposition est toujours ouverte à un changement de volonté de votre part : Je vous paye. Vous frotterez mes biens jusqu’à ce que cela luise de mille feux, à l’image de mon esprit éclaire ceux qui m’entourent…
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Anna295

Anna le regarda de haut puisqu'il etait toujours allongé.
La main sur la poignée de son épée qu'elle ne sortirait pas dans un lieu consacré, elle serrait le poing pour ne pas céder à son envie de le frapper.

Adressez vous donc à moi sur un autre ton je vous prie Messer.
Nous n'avons pas gardé les oies ensemble et l'uniforme que je porte mérite un minimum de respect.
Si vous n'en avez pas pour la personne qui est dedans, vous vous devez au moins de vous fendre d'un peu de ce respect pour l'Ost.
Sans parler des galons de lieutenant que j' ai.

Quand à mon seul maitre possible, je ne vois qu'un superieur pour tenir ce rôle. Ce que vous ne semblez pas etre le moins du monde, vous n'avez pas la prestence de l'homme habitué à porter un uniforme...

Elle regarde sa posture. Il ressemble plus en effet à un sac de farine avachit qu'à un officier... peut etre l'age en fait... qui peut savoir ce que les ravages du temps font sur les etres sans panache?

Elle avait écouté jusqu'au bout la tirade de Georges Leonard Watelse.
Cet homme ne pouvait il donc pas croiser une représentente de la gente feminine sans l'honnir d'injures? et cette tendance à tout ramener aux attributs masculins...

Vous avez un problème avec votre propre animal ma parole!
Voulez vous une consultation médicale d'un membre de l'Ost de Gascogne? je promets de ne pas rire, ni meme d'afficher le degout qu'il m'inspirera certainement...
On regarde ça rapidement, que vous soyez rassuré sur ça normalité une bonne fois pour toute, afin que cela n'occuppe plus votre esprit à ce point.

Peut être ensuite aurons nous la chance de ne plus vous entendre parler ainsi à notre maire ou aux jeunes filles innocentes qui ont le malheur de passer à votre portée.

Vous vous comparez à des hommes qui sont bien au dessus de vous ou moi... Aristote , le Très Haut et même le pape! Ce sont des hommes de bien!
Et vous que faites vous , vous, pour le bien de la communauté?

Elle le toisa encore et attendit calmement une réponse... parfois utiliser les mots de façon si abondente lui laissait le temps de ne pas réagir avec violence.
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Semper fidelis...

Xavier0690

xavier entra dans l'église la capuche rabaisser sur la tête car la pluie était plutôt mouillante. il y aperçu Anna qui avais l'aire plutôt énerver a coter d'elle un dame qu'il ne connaissait pas et un homme qui regardait les gens des haut comme si il était un roi la vue de se type le fit sourire.
un peut plus loin il vis sa sœur qui discutait avec soly
xavier se dirigea vers anna qui semblait très énerver

- ça va anna ?que ce passe t'il ?
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Watelse

Enfin un homme! Cela manquait de poils par ici.. Bien que la barbe naissante de Dame Solore pourrait ravir n'importe quel barbier local!
Anna, elle, préférait lancer encore de vaines piques qui ne touchait guère l'homme dans la force de l'âge et à l'égo démesuré. Par ailleurs, il se plaisait à croire qu'à se fâcher ainsi, elle perdait toute chance de deviner, à l'inverse de la mairesse, le passé de Sieur Watelse... Et ses plans futurs. "Que la chienne grogne, elle n'en devient que plus inoffensive, " se dit-il.

Lysée avait perdu sa langue, ou bien réfléchissait elle de nouveau à sa proposition plus qu'honnête et honorable?

Jeune homme, vous me voyez bien heureux de vous rencontrer, car votre odeur respire l'homme, le vrai. Je me nomme Georges Léonard Watelse, grande figure locale de Bayonne. Sûrement avez-vous déjà entendu parlé de moi. Je suis si... inoubliable... Vous êtes?
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Lilou_corsu

L'église étant avant tout un lieu de prière et de recueillement, Lilou passa les portes et s'avança vers l'autel sans faire attention à ce qu'il se passait.
Faisant le signe aristotélicien devant l'autel elle s'assit sur le banc le plus proche et pria.

O seigneur, protegez mes amis et mon compagnon.
Protégez les de la menace qui gronde
Protégez tous ces soldats qui vont se battre tantôt pour la liberté de la Gascogne et pour votre gloire Seigneur.
Donnez leur la force et le courage de vaincre l'envahisseur.

O Seigneur, protégez également l'enfant que je porte en moi. Donnez lui force et santé.
Merci Seigneur de m'avoir écouté.

Lilou se leva, refit la signe et pris la direction de la sortie. La main sur son ventre, elle espérait que sa prière fut entendu.
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Solore

Passe près du capitaine et lui plaque un bisou sur la joue

- Ca va, toi ?

Puis, regarde longuement Sieur Watelse. L'homme semble mal à l'aise lorsque l'on parle de son passé ... Mais que chercher ... Ne se fait-elle pas des idées ? Non, quelque chose s'est passé il y a trente ans et que Watelse ne veut pas que l'on déterre. Se fait-elle des idées ? Où chercher ? Par quoi commencer ? Que chercher ?

C'est pensive, qu'elle quitte l'église. Fait quelque pas sur le parvis et soudain, part d'un bon pas vers le bureau du Lieutenant de Police. Elle va chercher dans les archives ! C'est ça, les archives ! ... Pourvu que "l'incident" soit inscrit sur un registre ... Mais trente ans ... Pourvu qu'il y est encore un registre ...

Baisse la tête contre le vent de mer qui s'engouffre entre les ruelles et presse le pas, tout en serrant son châle, plus serré, autour de ses épaules.

Lysee

Lysée regardait les gens d'un air détendu, fermant les yeux, joignant ses mains, et commençant par prier pour sa famille, pour ses parents, et son frère. Mais en tendant l'oreille elle put entendre les grognements du Sieur Watelse qui lançait des quolibets a n'importe qui. Celui ci après quelques phrases, se tourna vers elle pour continuer ses grommellements.

- Vous savez Messire, je ne réclame pas pitance moi. C'est juste que je me suis attaché à ce lieu, elle fit un geste pour représenter cette église, car je ne me rappelle pas en avoir vu de près avant. De plus je travail beaucoup dans mon champ, je n'ai donc pas le loisir de venir ici et j'aimerai bien profiter de ces maigres instant que vous prenez me semble-t-il, plaisir a gâcher par votre mauvaise humeur.

Elle ferma les yeux quelques secondes pour se détendre et rejoignit ses mains avant de reprendre:

-Je suppose que c'est trop vous demander à vous, Sir Watelse, mais si vous le souhaitez vous pouvez me tutoyer. Vous devez savoir que le vouvoiement est dans un sens, une marque de respect. Mais vu la façon dont vous me parlez, on dirait que ce n'est pas indispensable.

Elle lui fit un léger signe de tête pour le saluer et referma les yeux pour reprendre sa prière.
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Xavier0690

xavier se tourna vers l'homme et le salua d'un signe de tête

je suis Xavier de la Linda chevalier de la compagnie du dragon noir, maître charpentier, propriétaire du navire qui crèche au port.
que ce passe t'il ici ?

il sentait de la nervosité dans l'aire de ce lieu saint
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Xavier0690

xavier regarda dehors et vit que le soleil désandait dans le ciel, il avais des chose a faire c'était ça dernière soirée a Bayonne avent longtemps

-je vous laisse j'ai des chose a faire

xavier les quitta et alla au centre de l'église devant la crois, il s'agenouilla avec humilier et se recueilli devant dieu, lui demandant de veiller sur sa famille et ses amie pendant son absence, il lui demanda aussi de lui permettre de revenir un jour a Bayonne.
ensuite xavier s'en alla vers son navire
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Lysee

Lysée avait regardé l'homme du coin de l'oeil, en haussant les sourcils d'un air dédaigneux. Elle ne savait pas pourquoi mais elle n'aimait pas cet homme, ce Xavier, même si elle avait une toute petite idée. Elle haussa les épaules quand il parti, puis pensa qu'elle détestait les gens qui énonce leurs titres de cette sorte. C'était des gens plutôt prétentieux, qui, ne sachant afficher d'autres qualités, préfère montrer leur appartenance au monde. Elle se tourna vers le Watelse avant de dire:

-Bon hé bien, avez vous perdu votre langue Sir Watelse ?

Elle avait eu un ton impérieux qu'elle se détestait, et elle sentait ses traits se durcir. Ne comprenant pas sa colère, elle reposa les yeux sur le dossier du banc devant elle, avec un regard assassin, et elle sentit la colère la quitter petit à petit.
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Solore

Profite d'être en ce lieu et va, comme elle le lui a promis, et mets deux cierges.

Y pense très très fort et croise les doigts ... et tente de ne pas écouter ce qu'il se dit un peu lus loin.

Watelse

Appuyé contre un pilier de pierre, WatelseNon, non, Damoiselle, je n'ai pas perdu ma langue. Mais je vous contemplais dans vos prières et je me disais: "Ah! qu'il est doux, une femme silencieuse... je goûte ce moment paisible"... Même si nous savons tous que vos prières sont la plupart du temps remplies de futilités telles que :

Il prit une voix de gamine niaise :

" ô grand Aristote, faites que je puisse m'acheter cette belle robe, rouge comme Satan, dans la vitrine de la Rue des Coquettes..."

Poussant l'imitation à son comble, il rentre dans les aigus et joins les mains avec une ferveur ridicule:

"ô Majetueux Aristote, faites qu'un beau prince pose les yeux sur moi, fasse battre mon coeur et me couvre de bisous et de bijoux!!"

Reprenant son souffle de vieillard, sa dignité d'homme, et sa canne comme appui, il conclut:

Non, Damoiselle Lysée, je n'ai pas perdu ma langue... Mais je souhaiterais que vous perdiez la-vôtre dans vos prières... Car finalement, même votre silence religieux hurle de faidaise!
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Lysee

Lysée, presque pas réflexe, haussa les sourcils d'un air dédaigneux et lança un regard interrogateur à Sir Watelse:

-Vous voyez Messire, vous avez une si mauvaise image des femmes, que vous oubliez que certaine sont un tant sois peu intelligente. Je ne prie point pour avoir des robes, des bijoux ou des verroteries, et encore moins pour avoir un homme.

Elle avait gardé les mains croisés, et continuait de toiser le Sieur avec un regard mélancolique, mais elle fit vite disparaitre cet air là, sachant que cela pourrait être un prétexte pour que l'homme trouve encore à redire d'elle.

-Si vous voulez savoir, je prie pour ma mère et mon père, en espérant qu'ils aillent bien, ou bien pour mon demi-frère, le "chien" comme vous l'avez surnommé il y a peu de temps. Mais venant de vous, je me demande si ce ne sont pas des futilités aussi...

Elle referma les yeux et recommença a prier le plus calmement possible.
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Mag2701

Après de longues semaines passées chez les soeurs, Mag s'accordait une petite trêve dans ces longues (trop longues) réflexions.
Elle savait qu'elle devrait retourner au couvent quelques temps avant de pouvoir enfin reprendre sa petite vie à Bayonne. Elle avait traversé la ville et vu quelques changements déja... Elle espèrait tant revoir sa fille, son époux et ses amis qu'en passant devant l'église, elle ne put s'empêcher d'entrer...
Elle poussa la porte et se dirigea vers le petit autel des causes perdues pour y déposer un cierge "1 suffirait-il...? " Elle sourit envoyant qu'un cierge brulait déja "surement Solore..., 1 par jour ca serait surement mieux... en s'y mettant tous..."
Entendant des voix, elle se retourna et aperçut ... des visages inconnus. Surement les nouveaux venus dont lui avait parlé Solore...
"Revenons à nos moutons, sinon Aristote ne t'ouvrira jamais les portes et tu seras condamnée a finir tes jours au couvent..."
Elle s'agenouilla et se plongea dans sa prière au Très Haut.

Oh toi le Très Haut, si tu pouvais dénouer les noeuds dans les fils du réseau de la toile d'araignée qui m'oblige a rester au couvent...
C'est pas que j'aime pas les nonnes, mais ici j'ai aussi une fille et un mari... Et ils me manquent tous les 2 sans parler de mes amis....
Je sais bien qu'il faut être patiente, mais combien de temps...?

"Ca devrait suffir pour aujourd'hui... En route vers le hameau, en espérant qu'il soit toujours debout...

Madcat

Cela faisait déjà plusieurs jours que Madcat était arrivée à Bayonne avec sa fille. Leur déménagement s'était fait sans encombre et elles avaient pris contact avec leurs amis bayonnais. Il ne restait qu'à faire une visite à l'église pour prier Aristote et leur installation à Bayonne serait un fait accompli. Elle poussa la lourde porte, qui grinça légèrement, mais pas assez pour faire remarquer son entrée. Plusieurs personnes étaient là, fort occupées à leurs dévotions. * sans doute pas toutes* pensa Madcat avec un petit sourire en coin. En marchant sur la pointe des pieds, elle passa entre les rangées de bancs et choisit la place qui lui était habituelle dans une église, dans un coin sombre derrière un pilier. Elle se signa avant de s'asseoir, joignit les mains et se plongea dans une prière, qui, bien que muette, n'en était pas moins fervente.
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Aimedefos

Aimé rentre dans l'église presque sur la pointe des pieds, intimidé.
il pose son baluchon dans un coin. A peine assis, il repense aux péripéties de ces dernières semaines, à son voyage
Sur! tout à bien commencer...
Sur! tout à mal finit...
il joint ses mains et après une lente respiration, récite

A drugarez Doue, te diwall me. Falc'het gant an Ankoù, kariadez...te repuin hi. Diwall ni bev, Diwall ni bev.

il se signe et s'en va, soucieux mais confiant

Lysee

Cela faisait longtemps que Lysée n'avait pas était à l'église, mais depuis quelques temps pourtant, une chose la préoccupait et elle voulait confier cela a Dieu. Elle passa la grande porte, et après avoir comme à son habitude examiné le bâtiment, elle alla s'assoir a la place où elle était les fois précédentes. Joignant les mains, et fermant les yeux, elle récita à voix a peine audible:

Deus in adjutorium meum intende
Agnus Dei
qui tollis peccata mundi
dona nobis pacem

Elle savait pourquoi elle disait sa, et ce n'était pas des paroles dites au hasard. Elle les répéta plusieurs fois, espérant que sa prière soit entendu, puis elle leva la tête et regarde le plafond un instant, avant de reposer le regard sur le dossier du banc devant elle. Puis elle soupira et referma les yeux avant de dire d'une voix éteinte:

-Amen.
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Aimedefos

Aimé chargé par ses sacs court avec peine jusqu'à l'église. Arrivé à la porte, il reprends son souffle, pose ses affaires et se poste devant l'autel. D'un geste brusque, il s'agenouille. Il prie les yeux fermés et marmonne
A drugarez Doue, te diwall me, diwall Pat, diwall Loola. Selaou me
Se relève. Reprenant ses sacs à la sortie, il se retourne une dernière fois vers l'autel et dit
Selaou me, a drugarez Doue

Mu1ere

Mu arriva a l'église sa sacoche en bandoulière et son cœur remplit d'espoirs.
La pauvre église avait mal vécu ces années de solitude ou quelques cérémonies l'avait animée. Mu repéra des toiles d'araignée entre les poutres et le sol était jonché de boue. Qu'a cela ne tienne, sa charrette garée devant la porte contenait tout ce qu'il fallait.
Elle commença par dépoussiérer la croix Aristotélicienne et le reste se fit avec le plaisir qu'elle avait imaginé.

Une fois tout cela fini, elle sortit ses livres qu'elle déposa sur l'autel.
Elle alla s'assoir sur un banc.Elle avait prit le livre des vertus, au chapitre de "la création", elle commença a lire "Les Créatures"...
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(ban en construction)

_ermeline_

la Bâtisse imposante, le parvis désert. La Blonde restait assise en face de la maison d'Aristote pensive.
L'était bien grosse cette maison là par rapport aux autres! Devait y avoir au moins tous les sans abris et les vas nu pieds de la ville.
Mais même pas, elle paraissait vide.

Pensive, les jambes se balançant dans le vide elle regardait les quelques allées et venues dans cet édifice.

Paraissait froid , terne et gris ... pas un lieu pour le plaisir ça . Plutôt un lie triste, sans bruit ...

Elle était sceptique la gamine quant à l'utilité qu'une telle chose existe... peut être plus tard en comprendrait elle la signification.

Pour l'heure, elle retrouva le chemin des tavernes où le partage de certaines choses lui tenait à coeur .
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Oroch

-Au nom du clément, cette église n'est pas encore brulée ?!
c'est pas grave j'y veillerais personnellement annonça le clerc avec un sourire narquois

-Mais monseigneur, Rome va poursuivre pour destruction des biens de l'église.. et puis.. et puis les villageois ne connaissant pas vos intentions vont mal réagir. répondit le valet du clerc

-heuuuu ! ce que tu peux être rabat-joie quand tu t'y met, mais t'as raison je brulerais juste les bancs, la croix, l'autel ... et on en fera d'autres. Ah oui les rideaux je les aimes pas. je vais pas officier dans un endroit pareil !

-Vous êtes sage monseigneur !

-pffff ! va ! commence par arracher les rideaux ! je sors les bancs on fera un jolie feu de camp

-est ce que mon seigneur envisage de déterrer le second trésor de Bayonne ?

-.....

plus tard

monseigneur on allumera avec du vin ou on utilisera le ... interrompu par le clerc

idiot comme toujours les rideaux sont suffisant. dit il en jetant un petite flamme sur le tas de bric-à-brac, placer un peu loin devant l'église, donnant naissance a un grand feu !

le clerc ne semblait pas être amusé ce qui étonnât le valet

-Monseigneur on ajoute quelque chose ? on brule l'église ensuite ?
-non aide moi a entré les nouveaux bancs on fixera les rideaux et la croix plus tard mon épaule me fait mal
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Lilou_corsu

Lilou se dirigeais vers la mairie avec son fils dans le couffin quand elle vit au feu près de l'église. Elle s'y hâta un peu terrifiée à cette idée.
Arrivée devant l'édifice, elle resta à distance pour ne pas accommoder le nourrisson et parla fort aux hommes présents.

Mais Messieurs que faites vous??? Vous n'avez pas honte, c'est un sacrilège!!! Qui êtes vous??

Les yeux écarquillés, Lilou ne savait pas trop quoi faire ni qui prévenir...
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Oroch

Qui suis-je ? en riant .
moi je suis moi, le fameux moi ! alors laissez-nous travailler on a des bancs à remplacer ! termina le clerc son discours en ignorant la dame

le valet lui par contre s'arrêta excusez le ! c'est monseigneur Oroch de XHAARD il est de mauvaise humeur ce matin, mais sinon c'est une personne très sympathique

tu viens ou dois-je terminé tout seul beugla Oroch

excusez moi, on a une décoration a refaire, et votre bébé doit pas réster la près de la fumée c'est pas bien !

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Aellfall

Une odeur de fumée comme de celle qui attire les gens puis les regards, la jeune femme se rendit ni une ni deux dans la direction d'où semblait provenir l'odeur puis vit doucement la fumée légèrement noirâtre au dessus des toits des maisons, elle contourna la rue pour aller voir de plus près encore. Arrivé près de l'église elle fit une moue de déception en voyant un joli brasier dehors puis fermement décider de voir de quoi il retourne s'approcha.

Il y avait des gens dont la Bourgmestre du village et son petit. Un autre qui semblait coincé et un second qui avait l'air fort mécontent ou de mauvaise humeur. Elle se pointa devant la mairesse un sourire en coin.

Bonjour Dame ! Je ne savais pas qu'il y avait une fête au village. Joli le feu de joie !
C'est pour l'arrivée de votre petit ? Vous devriez peut être vous éloigné un petit peu...enfin pour le bébé...Elle observa dans le brasier des objets puis ajouta : Nettoyage on dirait, je me trompe ? Un petit coup de main ?

Elle se tût, laissant aux autres le temps de répondre, voilà que ça lui reprenait un vrai moulin a paroles. Aellfall attendit sagement de voir puis au pire retournerait chez elle ou finirait sa promenade, mais la curiosité aidant elle avait envie de savoir ce qui se passait vraiment.
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Solore

Etait en train de refermer la fenêtre de sa maison lorsque une odeur de feu la prend au nez. Se penche vers la rue et voit un épais rideau de fumée ne provenance de l'église. Ferme bien la fenêtre et descend en trombe les escalier.

- Cond, il y a le feu à l'église ! Si ça se propage, Bayonne ne sera plus que cendres ce soir !

Attrape son châle et se met à courir vers l'édifice, heureusement à quelques pas de chez elle.

Y voit Lilou et la jeune femme vu au cadastre dont elle ne se souvient plus du nom. S'approche d'elles et regarde dans un silence catastrophé, brûler les bancs et les rideaux et entend :

Citation:

excusez le ! c'est monseigneur Oroch de XHAARD il est de mauvaise humeur ce matin, mais sinon c'est une personne très sympathique

Pose sa main sur sa bouche et murmure :

- Le Père Oroch ... ici ... il est devenu complètement fou ...

Oroch

le cureton lâcha un banc puis lui donna un coup de botte pour le poussé a l'intérieur
-Monseigneur c'est du bois pas du fer on risque de l'abimer, on va pas rechanger les banc encore y a plus de bois

Tu la ferme !! Mon église est debout moi qui voulait la rebâtir ! des bestioles mangeaient mes bancs et mes rideaux étaient hideux et sales et la une folle me crie dessus et ignore même qui je suis !

De grâce ! c'est le bourgmestre monseigneur et vous êtes parti avant son arrivé, excusez son ignorance. et puis on a pas avisé avant de faire ça, les gens ont droit de se poser des questions. un moment d'hésitation puis il demanda c'est la venu de votre...

le curé avança en vitesse vers le jeune valet, le pris du colle de son chemiser de la main droite et un banc de l'autre main et tirez les deux vers l'intérieur de l'église, qu'il ferma en donnant un coup de pied sec a la porte. il balança le banc et souleva le valet qui avait l'aire de mal respiré

un mot sur ma fille, un mot sur le trésor de Bayonne, un mot sur quoique se soit et je te tue de ses mains avant de bruler toute la cité avec toi ... COMPRIS !!

voyons qu'il a du mal pour répondre le clerc lâcha le jeune qui aussitôt repondit

com ... compris !

Bien on a du travail a terminé
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_ermeline_

[ Mettre le feu à ... ]

En taverne elle devise sur le paraitre et non le devenir mais le plaisir ou plutôt les plaisirs ... comme à son habitude,n elle s'en lasse pas encore.
Les jambes allongées, cuisses qui reposent sur le fauteuil d'en face, celui avec un coussin épais, elle regarde par la fenêtre et reste un moment interdite sur le mot : miel.

Faut dire que plus tôt elle a embrassé le Prince au bois dormant qui est resté endormi, ce qui l'a limite vexée mais les lèvres de miel sont restées .....

De la fumée là bas, du côté de l'église . Son voisin parle de feu de feuilles ... beaucoup de feuilles donc . C'est en sortant de la taverne, qu'elle vit que ce n'était point des feuilles .
Et puis ... c'était grand comme brasier , avec du monde tout autour. C'était pas la Saint Jean pourtant!

Tiens son Prince au bois dormant qui gesticule dans tous les sens ... et qui crie fort de surcroit. Il a fini par se réveiller! Tant mieux . Alors de son lieu de prédilection , le muret en face de l'église, elle vient observer, son séant bien calé

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Oroch

En ouvrant la porte il ressenti une chaleur infernale. Mais le curé à malgré lui exquis un large sourire : un chef d'œuvre de destruction luisait devant lui avec un éclat rouge... Maintenant que le bois brule de feu, tout est a son gout.

il Ôta sa chemise, laissant paraitre la croix dorée sur un corps en sueur quelque marques d'entailles profondes et blessures d'épées.... Ainsi pour la première fois le curé montra sa croix de baptême !

-Yoda prépare toi on brulera peut être quelque chose d'autre ! bien que cela me parait suffisant pour aujourd'hui, mon appétit est ouvert murmura le clerc très paisiblement, un calme qui rappela trop de souvenirs a son serviteur

A ce rythme on mourra tous avant la prochaine lunepensa le valet !

l'envie de contempler ce feu était irrésistible, le temps s'arrêta et le monde autour était néant a ses yeux.
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Lysee

Lysee se dirigeait d'un pas décidé vers l'église, histoire se détendre. Elle en avait marre de la mine, de son demi frère, de son champs, et des personnes qu'elle côtoyait de temps à autre. A sa grande surprise, un petit feu c'était fait devant l'église, et elle s'approcha rapidement pour voir ce qui se passait. Elle fit de grand yeux, ouvrit légèrement la bouche, puis après quelques instant de silence elle se tourna vers un homme et son valet et et s'écria:

-Mais qu'est-ce que vous faite vous ? Et qui êtes vous ?

Elle s'approcha un peu plus du feu, examinant le plus prudemment possible les bancs et les rideaux en flammes qui formaient a eux seuls un beau brasier.

-Je savais pas que les bancs prenaient aussi vite, pensa-t-elle à haute voix.

Elle regarda les autres personnes présentes sur la place: elle reconnu dame Lilouchou et dame Solore, et aperçu deux personnes qu'elle ne connaissait pas. D'un geste imperceptible elle attrape une de ses mèches de cheveux et la caressa comme pour se remonter le moral, même si faire un feu de joie avec les bancs de l'église ne devrait pas lui importer.
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Lilou_corsu

Lilou regardait l'homme hautain et marmonna: Il va se prendre un coup de balai celui la...

Bon si vous comptez pas bruler la porte, j'ai une annonce à y afficher!!

A l'aide d'un clou, Lilou accrocha un parchemin sur la porte de l'édifice et s'en alla avec son couffin direction la mairie.

http://cistercien.forumactif.com/forum.htm
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Oroch

Oroch avança paisiblement, très calme, avec le même sourire et le même regard fascine qui ne quitte pas les flammes . Il s'arrête devant Lysee, mentir sera de nier qu'il a pas eu 'envie de la jeté dans le brasier sauf qu'il s'est controler pour repondre :

Oroch de Xhaard, ancien curé du village et clerc ordonné, ancien plein de chose dans plusieurs endroits.... fillette qui êtes vous ?ah je fait le ménage dans cette église on viens de changer les bancs puis on verra ce que ca donne pour le reste, un coup de main peut être ? son attitude était amicale mais avec un tel regard sur le feu ce calme seraient ils interprété comme tel ?

il se retourne pour voir l'affiche et se pose une question : vous avez l'accord du clerc du village ? il arrache le papier et regarde l'adresse de près puis se demande s'il devra jeté dans le feu ou pas

monseigneur laisser moi le raccroché interrompit le valet dans sa profonde réflexion
vas y fait !
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Lysee

Lysée lança un regard si brulant à ce Oroch qu'elle se demandait comment il faisait pour ne pas prendre flamme comme les bancs qui étaient derrière lui. Elle fini par croiser les bras avant de dire le plus calmement possible:

-J'accepterai de vous aider étant donné que je n'ai rien d'autre à faire... et je me nomme Lysée.

Puis après un instant d'hésitation elle reprit:

-Mais si vous me traitez encore une fois de fillette je jure devant Dieu que je vous tue et que je fais du pâté pour les animaux avec votre corps.

Elle tourna son regard vers le feu, les bras toujours croisés, et contempla les flammes. Elle sentit son regard redevenir normal, son humeur apaisé par la chaleur que procurait les bancs et les rideaux qui brulaient.
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Oroch

éclatant avec un rire l'homme d'église sort de son calme pour montré un visage gai.

vous ne manquez pas de cran, me tuer haaa, prenez donc place dans la longue file d'attente. mais je retire le mot, vous êtes bien plus belle et mure pour être une fillette.

regarde la demoiselle qui observe les flammes,

on dirait que le spectacle des feux vous plait ! mais nous avons du travail je rentre ajuster les bancs; a vous de voir ce que vous pouvez faire. dit il
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Lysee

Elle soupira, puis décida de suivre l'homme pour voir ce qu'il faisait exactement en essayant de faire la même chose. Décidément, cette ville n'abritait que des fous ou quoi ? Ou alors juste les églises. Après tout c'était ici qu'elle avait rencontré le vieux, et maintenant ce Oroch.

-Oui, je suppose que je ne dois pas être la seule à souhaiter votre mort, généralement les menaces sa arrive vite. Pour ce que je peux vous aider...

Elle observa longuement le personnage...

-Ha vous de me dire mon boulot, je n'ai pas l'habitude de réaménager les églises moi, j'ai pas que sa a faire de ma vie généralement.
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_ermeline_

De son point d'observation, la Blondinette les regardait se mettre en 4, voir se plier pour faire sortir des choses de l'église .. pas pour le feu de la Saint Jean mais un feu de joie.

Peut être une nouvelle façon d'attirer du monde en l'église, allez savoir ! Où alors c'était un rite qu'elle ne connaissait point en bonne non Aristotélicienne.

Bon tout semblait fini... l'Homme au gout de miel rentrait en l'église ... peut être le moment pour toutes ses questions qu'elle avait, curieuse de nature mais peu expansive.

Elle glissa de son muret, se râpa légèrement le séant et tout en se le frottant et grimaçant elle se dirigea vers le feu de joie puis Oroch . Inclinaison de la tête vers la p'tite Damoiselle puis un :

B'jour .

Heu dites moi .... "père" . Elle grimaça légèrement , ce mot étant douloureux en sa bouche .

J'dois v'nir ou pas maintenant? ou j'attends que la nuit tombe?
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Oroch

le curé hausse les épaules en regardant Lysée puis s'adressant a son valet :

on lui donne de quoi nous apporté a mangé ? ca fait un moment que j'ai pas mangé un jambon !

monseigneur vous savez mieux que moi qu'elle n'acceptera pas...

tu m'agace, rigolé ne fait pas parti de ta formation je présume ?

-....

jeune fille on a besoin de nouveaux rideaux et un gout féminin aussi raffiné que le tien nous sera utile, Solore est couturière et je pense que tu en connais d'autre

soudain Dame erma apparait volant un sourire au clerc

la confession une fois vous aurez un curé, s'il y en a pas a ce moment la je vous confesse quand vous le voudrez bien ! donc revenez dans une semaine ?
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Solore

Citation:

jeune fille on a besoin de nouveaux rideaux et un gout féminin aussi raffiné que le tien nous sera utile, Solore est couturière et je pense que tu en connais d'autre

Comme il y allait l'ancien curé de Bayonne ! A peine revenu et on entendait plus que lui ...

Le regarde donner ses ordres à la petite Lysée et lui fait "non" de la tête. Du travail, elle en a déjà bien assez. Et elle le connait, le curé ! Il va venir sans arrêt surveiller le travail, dire que c'est très joli et que oui mais non .... et il faudra faire et refaire. Exigeant et tatillon, sourire enjôleur et le mot doux mais implacable.

Regarde les restes en braises de ce qui était bien utile aux Bayonnais venant à la messe.

La messe ? Il y a tellement longtemps qu'il n'y en a pas eu de messe à Bayonne. Le bedaud sonne plus les cloches par habitude que pour appeler à venir prier. Se demande s'il va y avoir messe ce dimanche ...

Oroch

après un bon feu il faut une bonne messe, tel était l'idée que Oroch faisait d'un bon dimanche.
faudra dire que la messe sans chemise était une idée originale, mais pour ne pas faire des maries jaloux le curé renfila sa chemise.

Yoda ! les cloches et pas trop fort ! si ca sonne 5 fois je te coupe le pousse !

Ding...ding .... Ding Ding

après avoir toussoter le clerc demanda l'attention pour sa messe

Votre attention la messe sera abrégé pour raison de fatigue, mon long voyage et l'aménagement de l'église... bref c'est une histoire :

Un fermier trouve son cheval malade. Il fait venir le homme très sage connu pour soigner les animaux .
Ced ernier lui dit que le cheval est infecté par un mal très contagieux et qu'il vaprescrire un remède. Si le remède n'a pas agi dans les trois jours, il
faudra abattre le cheval pour éviter que les autres animaux meurt .

Le mouton de la ferme, qui a tout entendu, va trouver le cheval et lui dit :« Fais un effort, lève-toi » Mais le cheval est trop malade.
Le deuxième jour, même chose, le mouton dit au cheval : « Fais un effort, lève-toi». Mais le cheval est encore trop malade.
Le troisième jour, le mouton dit :« Fais un effort, lève-toi, sinon ils vont t'abattre aujourd'hui. » Le remède n'a toujours pas fait d'effet, mais dans un dernier sursaut, grâce aux conseils du mouton, le cheval arrive à se lever devant le fermier et le vétérinaire.
Le fermier, tout content, dit : « Pour fêter l'événement, on va égorger le Mouton ».

Moralité : Ne te mêle jamais de ce qui ne te regarde pas... on peut aussi dire que si le destin s'acharne sur quelqu'un, ne vous mêlez pas trop, il risque de s'acharner sur vous aussi.

marquant un long moment d'attente Ceci dit il faudra pas mélanger cela au principe morale de venir en aide au prochain chose qu'on évoquera surement dans de future messe, donc retenez bien qu'il faudra être bien prudent ! ajout a il avec le sourire

allez une prière ca fera pas de mal aussi.

[b]pour l'âme de Anna et son future ... cherchant le mot..bâtard ?
mon seigneur on peux bien dire bébé ou enfant murmura le valet
et son future enfant qu'il grandit dans le bien et le bonheur de connaitre la foi lui !

pour lilou et sam le couple et leur petit bata...euh ..enfant un beau mariage
pour Esma qu'elel trouve plaisir a la source de son désir et que dieu la comble par le bonheur
Grandelf que dieu le grade
Solore... elle a toute mes prière, pour la clarté de l'esprit la sagesse, l'amie qu'elle est personne ne le est avant ne le sera pas après elle que ses soucis soient maudit par le destin et par Dieu
hidy dyeu ly prysyrvy du mauyx y donny dy dysyply pory aprendry ly mouty
Aellfall pour que l'ange reprend sa place dans les cieux avec ses ailes
Mag la magnifique ....Ma prière est une pensée.
Zakarine, le repos avant la joie entre temps et l'amour pour toujours.
lysée. que dieu garde l'enfant dans son cœur et donen la force et la sagesse a la femme

Messe sponsorisé par :
-le vin rouge de bordeaux ... marque déposé ... "pour une vie toute saoule"
-boulangerie pain griller : "jamais le petit-déjeuné n'était aussi bon"

Amen allez arrachez vous fesses de mes bancs et de chez moi on a du travaille a finir ! avec le rire
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Zakarine

Zakarine avait reconnu le son de cloches du Père Oroch. Elle se précipita en direction de l'église et lorsqu'elle franchit le seuil la messe avait déjà commencé.

Elle alla s'asseoir discrètement sur un banc et souriait au curé en lui faisant un geste de la main, en signe d'excuse ...
Oroch priait pour différentes personnes Bayonnaises et elle tout à coup, elle entendit son nom.

"Zakarine, le repos avant la joie entre temps et l'amour pour toujours."

Elle en était toute émue. Elle savait que c'était les derniers jours passés en sa compagnie et elle voulait en profiter au maximum ...
Mais l'heure n'était pas encore aux adieux, mais à la prière. Elle se recueillit donc en priant pour sa famille au loin et tous ses amis ...

La messe terminée, elle alla le rejoindre pour le saluer en lui faisant une bise (c'était la salutation préférée de ce cher Clerc...

) et se dirigea vers les tavernes.
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Lilou_corsu

Lilou qui était de l'église, écoutait cette messe plutôt originale tout comme l'homme qui l'officialisait à vrai dire.
Lilou grimaça des dents en entendant les paroles du curton.

Citation:

pour lilou et sam le couple et leur petit bata...euh ..enfant un beau mariage

Bâtard qu'il voulait dire...bâtard?!? Quoi qu'il en soit, cet enfant était le fruit de l'amour et ceci était bien plus important qu'une quelconque désignation.
L'enfant commençait à chouiner, apparemment cette messe lui avait plus que très peu et Lilou sorti avec le couffin pour déranger personne.
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Lysee

Lysée écouta avec une assez grande attention la messe: elle n'y avait jamais assisté auparavant, ses parents étant trop occupés pour les y emmener. Même dans l'église où elle fut abandonné par son père lui semblait-il, elle n'avait pas ça. Elle soupira en repensant à ça puis continua d'écouter Oroch le curé, jusqu'à ce qu'elle entende une phrase lui étant destiné:

Citation:

lysée. que dieu garde l'enfant dans son cœur et donne la force et la sagesse a la femme

Elle adressa un léger sourire au curé pour le remercier puis médita peu de temps sur la façon dont c'était présenté cette messe: elle ne savait pas qu'on pouvait faire de la pub ou être sponsorisé. En fait elle savait pas grand chose des églises, elle ignorait qu'on pouvait les refaire pour les rendre plus habitable. C'est pas fait pour être habitable, c'est fait pour puer le vieux et l'humidité se dit-elle.

-Bon on va bosser c'est ça ?
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Solore

Elle était là, toujours à côté de son pilier préféré, un peu en retrait et cachée. Elle les voyait arriver les uns après les autres. Entendit le petit cri du bébé de Lilou et toucha sa poche. Elle y avait glissé le cadeau de naisance qu'elle voulait lui amener, certaine qu'elle la verrait à l'église.

Ecoute le Père Oroch. C''est lui qui lui qui l'avait menée vers l'église, elle qui comme Condemned ne pensait jamais en franchir le seuil. Lui et ses messes peu communes. Jamais elle n'en avait entendu d'autres de semblables et d'ailleurs, se demande s'il y en a eu de nombreuses après son départ.

Lève sourcils d'étonnement lorsqu'il parle d'elle, le remercie silencieusement " Que Dieu vous entende Mon Père".

Mu1ere

Mu arriva a l'église de Bayonne.
Elle n'étais pas venue depuis quelques temps car depuis quelques jours, elle veillait un être cher non loin de Bayonne qui était on ne peut plus malade. Elle lisait les livres que lui avait donné son professeur de séminaire entre deux.

Et voila que arrivée là pour préparer l'église pour son ordination, car Monseigneur l'avait prévenu de sa visite Lundi pour officier, elle ne reconnaissait pratiquement pas les lieux!
Tout avait changé!

Elle regarda l'église qu'elle avait du mal a reconnaitre et se dit qu'elle avait du travail pour une bonne partie de l'après midi.
Elle vit sur l'autel un reste de vin de messe... On a dit la messe ici!? Mais qui??? Monseigneur lui avait pourtant dit qu'il n'y avait aucun représentant de l'église a Bayonne et qu'il souhaitait qu'elle s'en occupa.

Mu ne comprenait plus, s'était évident! Elle décida qu'elle en parlerait a Monseigneur dés qu'elle le verrait mais pour le moment, l'heure était au ménage et a la remise en état de l'église.
Le matin même elle était allée cueillir de jolies marguerites blanches qu'elle avait trouvé si belles et en avait fait un bouquet pour l'autel.

Hum...l'effet des fleurs lui plaisait... simples mais si jolies.
Elle débarrassa la bouteille qui restait sur l'autel...décidément, quelque chose cloche ici... et la remplaça par un vin des hautes terres de Gascogne qu'elle avait trouvé en se promenant. Surement plus fruité et plus sirupeux que ce dernier mais tellement plus gouteux pour une telle occasion.
Elle regarda le tout et il lui semblait que cela convenait. Le sol a balayer et laver et ce sera parfait! Dit-elle parlant a elle seule.

Une fois la tâche accomplie, elle se dirigea vers un banc, qu'elle trouva de belle allure, s'y assit et ouvrit au chapitre IV, le livre de la Création en attendant la venue de Monseigneur.
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(ban en construction)

Godgaby

Gabriel venait d'arriver à Bayonne. Depuis que son cousin avait fait ses déplacement en groupe même si c'était des conseillers, il avait décidé de se faire escorter également. C'est donc pas moins de trois soldat, soit une grosse parti de l'Ost gascon, qui l'avait accompagné sur la dangereuse route entre Dax et Bayonne.

L'escorte avait été professionnelle, et en plus tout le monde était arrivé sans se perdre. Mise à part le petit détour que le Duc avait voulu faire pour admirer le paysages. Ils avaient néanmoins du affronter quelques dangers, une horde de sauvage oiseaux s'étaient envolé devant eux alors que Gabriel satisfaisait une envie pressante, souillant ses chausses devant l'effet de surprise de cet adversaire indiscipliné.

Arrivé dans la belle cité de Bayonne, qu'il surnommé amoureusement "le trou du cul de Gascogne", jusqu'à ce que son cousin lui fasse remarque le passage qu'il y avait par là, il se rendit directement à l'Eglise.

Une légère odeur de bruler flottait dans l'air quand il pénétra dans le bâtiment, pourtant très propre.

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Oroch

Rhooooo on va encore a l'église, encore ce bâtiment hideuuuuuux ! Mais j'ai envie de le bruler que de le donné a cette novice !

Mais monseigneur, l'évêque en a décidé ainsi, laissez la faire ses preuves avant de la juger; et puis ... et puis vous avez votre nouveau poste ?

Bla bla bla. allez vite tu a dis que l'escorte du duc se dirige vers l'église !

une fois a l'intérieur il découvre qu'il est arrivé en retard dame Mu1ére et Gabriel y étaient.

Monseigneur ! quel bon vent nous amène un prestigieux visiteur dans le cul de sac ou nous vivons !
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Mu1ere

Mu avait dévorée les livres avec un plaisir qu'elle ne connaissait pas.
Mais Monseigneur faisait son entrée et elle eut juste le temps de rentrer les livres et d'aller lui souhaiter le bonsoir et la bienvenue avec un large sourire.
Comme je suis heureuse de vous voir Monseigneur.
Bayonne la belle va se mettre en fête de recevoir un des illustre représentant de son Église.

Elle ne paniquait pas, elle était rassurée par la présence de celui qui l'avait tant aidé et dirigé.
Ai-je des choses a savoir Monseigneur, avant que la cérémonie ne commence?

Quand elle vit faire son entrée oroch et son serviteur qui le suivait tel son ombre.
Son sourire ne la quittait pas, elle avait appris a apprécier l'humour du clerc en taverne.
Le sourire qu'elle affichait était aussi un signe de son contentement de le voir a cette ordination.
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(ban en construction)

Godgaby

Gabriel venait d'entrer dans l'Église et il en fut surpris. Lui qui avait l'habitude de Dax ou ses seuls amis étaient les souris, voila qu'il y avait des êtres vivants dans les lieux.

Très vite, Mu s'avança vers lui.

Je suis navré de vous avoir fait attendre, un contre temps sur la route.

Regarde l'état de ses chausses

Gênant contretemps. mais je sui slà et nous allons pouvoir commencer. Ne vous en faite pas, il n'y a rien de particulier à savoir, si ce n'est que ce sera la première fois que je procède à une ordination et que je vous prie de m'excuser par avance si cette cérémonie s'annonce... un peu hésitante.

Avant de pouvoir poursuivre, une voix s'éleva, venant de derrière lui.

Père Oroch, ravi de vous voir. Et bien je viens pour donner un curé à cette ville. Curé que, j'en suis sur, vous aurez à cœur d'aider si besoin est.

Faisant un signe vers Mu.

Si vous me permettez de vous présenter notre futur curé de Bayonne. Mais je parle je parle et le temps tourne, mettons nous à l'œuvre.

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Lilou_corsu

Lilou savait que sa marraine allait se faire ordonnée et elle ne voulait pas rater ça! Ayant pris soin de nourrir et changer son fils avant pour éviter qu'on l'entende brayer, Lilou l'emmena avec elle...Sam et elle voulaient que cet enfant soit ouvert à tout avec une soif de connaissance et une ordination était une bonne occasion de commencer.

Lilou ouvrit doucement les portes de l'église et en entrant elle vit que ce n'avait pas encore commencé. Un peu gênée, elle salua les deux hommes et fit un grand sourire à Mu.

C'est en silence qu'elle alla s'assoir sur un banc en attendant le début de la cérémonie.
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Lora1

Elle savait que cela ferait plaisir a Mu si elle pouvait être présente a l’église a ce moment précis.

Elle prit les enfants et alla à l’église en entrant elle vit un messire qui la fit sourire. Elle pensait à la petite bêtise qu’elle avait encore faite mais alla tout de même le saluer.

Bonjour, messi…. Monseig… duc…. Enfin Godbaby

Elle n’était plus à ca prés maintenant.

Salua aussi Mu et alla s’installer prés de Lilou
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Anna295

Anna entre dans l'église à pas de loups, tentant de se faire discrète. Le père Oroch avait suffisamment fait parler d'elle à la dernière messe pour qu'elle tente de n pas se faire remarquer...

Elle s'assit donc à l'écart , posa ses mains sur ses genoux et attendit comme tout le monde que les choses commencent.

Elle vit Lilou couvant son fils du regard, Lora près d'elle. Avec un petit signe de la main elle les salua.

Quel meilleurs endroit qu'une église pour penser à sa vie, à ce qu'elle en avait fait , ce qu'elle en faisait et ce qu'elle en ferait dans l'avenir... elle se plongea donc dans ses pensées... Heureusement qu'elle pouvait compter sur le soutien de ses amis...
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Semper fidelis...

Mu1ere

Elle regarda oroch que Monseigneur avait salué, elle lui donna un sourire entendu.
Elle avait laissée Monseigneur allé se préparer, quand ses amies firent leur entrée. Mu allait d'un pas pressent les saluées.
Elle déposa un doux baiser sur le front du petit Batti.
Quelle douceur de voir ses amies!
Son n' enfant Lora, qu'elle serra dans ses bras. Elle embrassa également avec joie, Tristan et sa sœur qu'elle n'avait pas vu depuis bien trop longtemps.

Mu se dit que ces derniers temps elle avait été bien trop occupée!
Ensuite, elle partit s'assoir sur le banc du premier rang, serrant sa croix Aristotélicienne dans sa main, attendant que Monseigneur soit prêt a officier.
Rien ne pourrait gâcher cette si belle journée!
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Godgaby

Les bayonnais s'étaient spontanément rendu à l'église sans même s'être fait sonner les cloches. Quelle belle ville, pieuse la journée et ivre la nuit, une ville vivante dynamique, etc.

Oh et puis non, pas la peine de passer de la pommade, une ville est une ville et personne ne peut lire dans ses pensées pour savoir ce qu'il croit vraiment après tout.

Faisant face aux ouailles, il commença la cérémonie

Mes biens chères frères, sœurs, enfants, pères et tout autre appellation d'origine contrôlé, je suis très heureux de me trouver parmi vous. Je vais profiter de l'occasion qui nous est donné aujourd'hui, une occasion particulière et peu commune, pour purifier un peu vos âmes de pécheur.

Tout comme le nouveau curé sera un renouveau pour la ville, une page vierge de la vie religieuse de la cité, il est important que les fidèles bayonnais soient de même.

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Mu1ere

Lorsque Monseigneur apparut, Mu eut comme un coup de chaud.
Alors c'est maintenant, en cet instant?! se dit-elle.
Elle avait attendu ce moment depuis si longtemps. Le bon sens lui avait fait vaincre ses peurs et son trac et elle pensait ardemment depuis le début de son séminaire, qu'elle avait été idiote d'attendre jusque là!

Elle pensa rougissante que Sam et Bul lui manquait.
Elle aurait du sonner les cloches, elle en était persuadées.
Les n'enfants n'étaient pas là, occupés a leurs tâches Royale et ou comtale. Ils lui manquaient, c'était sur!
Erwelyn serait arrivée trop tard de toute façon! Pensa t-elle avec regret.
Elle se retourna pour être certaine que Lora était toujours a sa place avec les enfants et ses amies. Elle eut un sourire en voyant que le petit Battistu s'était endormi dans les bras de sa jeune mère.

Quand Monseigneur commença a parler, elle s'arrêta de penser et l'écouta.
Elle baissa la tête, ferma les yeux et répéta.

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Lilou_corsu

C'est auprès de ses amies que Lilou se mit à prier et demander pardon.

Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

Lilou regardait son fils, les yeux grand ouverts mais d'un sage exemplaire. Elle souriait et releva la tête pour observer Mu dans cette étape importante de sa vie.
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--Battistu

C'est dans les bras de sa mère que Batti observait tout ce qui l'entourait. A cet âge, on avait tout à découvrir.

C'est où qu'on est? C'est grand ici et il fait froid...Brrrrrrrphhhh....Oooooh des fenêtres avec plein de couleurs...
Oh tiens maman, elle me sourit tout le temps maman....aller je vais lui répondre....et hop voila.... elle est contente.
Elle dit quoi maman la? Dieu? C'est qui lui? Il est au courant papa?

C'est après toutes ces questions existentielles que Batti s'endormit dans les bras de sa mère.

Godgaby

Gabriel profita du moment de recueillement pour jeter un oeil sur ses notes. Puis il se redressa et brisa le silence fragile qui s'était installé.

Aujourd'hui est donc un jour particulier car je vais procéder à une ordination à la prêtrise. C'est un jour particulier pour moi aussi puisque ce sera la première cérémonie de ce genre que je fais. Dame Mu va ainsi servir notre Seigneur de la plus grande des façons qui soit en se consacrant entièrement à lui et à élever l'âme de Ses enfants.

Ma fille, avant d'être ordonné prêtre, il convient que tu déclares devant l'assemblée ton intention de recevoir cette charge. Veux-tu être consacré à la prêtrise de l'Église Aristotelicienne ?

Attendans la réponse, il poursuivit.

Veux-tu accomplir ta mission de prêtre avec charité et simplicité de cœur, pour aider ton évêque, et faire progresser le peuple aristotelicien ?

Il faut bien entendu répondre aux deux question séparément mais si je pose chaque question une à une on y est encore à la noel donc je fais une petite accélération ^^.

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Oroch

soupire d'ennui... son ordination remonte si loin qu'il s'en souvient plus ! Doucement un regard froid envahi le clerc marquant le début de son désintérêt a l'ordination.

en suite ses yeux devenaient lourds..dormir sur son banc était si facile avec le calme de la cérémonie. son chapeau sur la tête le curé se disait : personne n'allait s'en rendre compte

durant sa petite escapade au monde du rêves Oroch afficha un visage souriant

Son rêve était si beau si délicieux qu'un incendie qui pourrais dévorer toute Bayonne, bien qu'il n'avez rêver que de quelque personnes en particulier

réveiller par quelqu'un ou quelque chose le clerc leva son visage et observa que la cérémonie se déroule toujours aussi calmement et pensa :
"peut être que c'est le moment pour bruler cette église et pimenté cette cérémonie, de toute façon je doute être nommé ce soir ! "
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Mu1ere

Elle se leva, fit un demi tour, de façon a être vue de tous.
Elle attendit que Monseigneur finisse et enchaina:

Oui Monseigneur, je déclare ici devant tous, que je suis sur de vouloir être prêtre.
Je souhaite accomplir ma mission de prêtre avec charité et simplicité de cœur, pour aider mon évêque, et faire progresser le peuple aristotélicien!

Son cœur battait mais elle était heureuse de prononcer ces vœux là, elle vivait le plus beau jour de sa vie, entrer de plein pied, dans le cœur de l'Église Aristotélicienne.
Elle regarda tour a tour Monseigneur et ces ami(e)s, sérieuse et concentrée, attendant la suite de la célébration.
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(ban en construction)

Zakarine

Les rues de Bayonne n'étaient pas très fréquentées. Le vent soufflait et le ciel était gris.
Zakarine s'emmitoufla dans sa cape et se dirigea vers l'église assister à l'ordination de Dame Mu1ere dont elle avait fait la connaissance en taverne ...

Elle pénétra dans le lieu saint, elle vit plein de gens qui lui étaient étrangers à l'intérieur. Néanmoins elle salua les quelques personnes connues et elle s'assit sur un banc au fond tout en écoutant religieusement Monseigneur Godgaby et Dame Mu1ere.

Elle en profita pour prier pour sa famille, ses amis et pour elle-même.
Elle avait prit une résolution qui serait sans très difficile à tenir, mais serait le seul moyen de se protéger ...

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'aprés avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN

Une fois sa prière terminée, elle attendit la fin de la cérémonie avant de ressortir de l'église sans un bruit ...
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Erwelyn

A peine les poneys roses avaient mis pied à terre en la ville de Bayonne que Lynette attacha Tralala pour se précipiter à l’église. Déjà, ça faisait fort longtemps qu’elle n’y avait pas mis les pieds pour confesser ses pêchés. Elle avait en tête un petit feu de camp parti dans une taverne limousine (traduire : une taverne enflammée à cause de popeuh grillés à l’alcool) et une flopée de jurons quand on lui était rentré dedans avec une barque sur le lac de la Rochelle. Oh, il devait bien y’en avoir d’autre mais là pour le coup, elle ne les avait plus en tête. Et puis, ces deux là suffisaient.
Mais cette raison était infime comparé à ce qui était en train de se passer à l’église. Un jour important pour son amie, sa filleule, leur muman à tous.

C’est donc avec le feu aux fesses qu’elle se mit à courir avant de faire demi-tour pour expliquer la situation aux ponettes.

Les filles, faut que j’aille à l’église !

Regards suspicieux.

Oui, j’ai un futur curé… euh comment on dit pour une femme ? Curette ? ‘Fin j’ai une curette à voir !

Regards encore plus appuyés.

J’vous expliquerai ! D’ici là allez boire !

Ça, elles avaient compris. Chacun partit donc de son côté et Erwelyn se mit à courir comme une dératée.
Arrivée sur le parvis de l’église, elle monta les marches quatre à quatre et poussa doucement la porte, espérant n’avoir rien manqué. Mu n’avait aucune idée de sa présence à Bayonne, elle la croyait encore en Poitou. Mais les poneys avaient parcouru la route à grande vitesse et elle avait pu arriver à temps.
C’est donc un grand sourire aux lèvres et le plus discrètement du monde qu’elle s’installa sur un banc du fond, observant avec attention la suite de la cérémonie.
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Le risque, c'est la vie même. On ne peut risquer que sa vie.
Et si on ne la risque pas, on ne vit pas.

Mu1ere

Mu commençait a se demander si son ordination allait finir un jour!
Monseigneur/Duc, sans cesse dérangé par les pages de la capitale pour le tenir informé des derniers évènements, était au four et au moulin.
Elle commençait a tortiller ses doigts dans tous les sens, quand la porte dans un craquement a peine perceptible se fit entendre.

Mu machinalement tourna la tête et vit une hallucination! Ça ne pouvait être que cela, car dans le cas contraire, comment une de ses n'enfants, pouvait-elle être là souriante au fond de l'église et marcher vers les bancs?!
Un sourire bête se dessina sur son visage, elle ferma tout d'abord ses yeux, les frotta, pour finir de regarder encore vers la dite hallucination.

Mais oui! C'était bien elle! Erwelyn était là!
Mu, lui fit un sourire jusqu'aux oreilles, trépignant d'impatience en regardant tour a tour Monseigneur, Lora et erwelyn.
Essayant de se calmer, elle regarda Monseigneur occupé qu'il était, et approcha de sa sacoche, fouilla et en sortie un morceau de cuir qui enfermait quelque chose.

Elle le sorti, puis, regardant erwelyn lui fit voir discrètement, en levant le paquet, précieux a ses yeux.
Elle avait gardé ce présent que lui avait donné sa marraine et n'enfant le jour de son baptême. Il l'avait toujours suivit depuis. Ils avaient fait une si longue route ensemble et rencontrés tant de gens. Mu avait faillit tomber dans une embuscade une fois sur le chemin qui menait a Bayonne et avait risqué gros pour revenir prendre l'objet mais rien n'aurait pu l'en dissuader!

Quelle surprise lui avait fait là Erwelyn! Comme sa joie était complète d'avoir ses deux n'enfants et marraine a son ordination!
Rien ne pourrait venir gâcher sa journée...a part peut-être les murmures qu'elle entendait un peu du coté de Monseigneur/Duc.
Mais pour l'instant, elle voulait son cœur a la joie.
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(ban en construction)

Godgaby

Un petit mot à droite, un petit mot à gauche, un au centre, oui bon on allez pas y arriver à ce rythme là. On en était où? Ah oui réponse positive, on pouvait poursuivre.

Aussi vous le dis-je, il ne faut pas que vous pensiez que cela ne nous touchera pas et...

Hum c'est son discours sur le Béarn ça, mauvais papier. Fichtre, ou est rangé la suite. Ah si, les éléments.

Face à la flamme du brasier qui monte vers le ciel, promets-tu de vivre en communion avec l'oeuvre de Christos ainsi que dans le respect et l'obéissance de la hiérarchie de notre Sainte Église Aristotélicienne ?

Attends la réponse.

Que le Feu aristotélicien purifie et donne bénédiction à ce serviteur du Très-Haut !

Face à la pierre taillée, socle fondateur sur lequel repose toute l'architecture de l'édifice de notre Sainte Eglise Aristotélicienne, veux-tu consacrer ta vie à suivre le chemin illustré par les paroles d'Aristote ? Promets-tu de vivre en communion avec tes collègues dans le respect et l’obéissance de la Foi et de notre dogme pour la vie ?

Attends la réponse.

Que la Terre aristotélicienne purifie et donne bénédiction à ce serviteur du Très-Haut !

Face à l'odeur de l'encens qui chasse les mauvaises émanations, promets-tu de respecter de tout ton coeur, de toute ton âme et sans aucune restriction mentale les préceptes du droit canonique de notre Sainte Eglise Aristotélicienne ? Promets-tu d'aider les enfants de Dieu à échapper à l’Enfer lunaire en les éloignant de toute hétérodoxie ?

Attends la réponse.

Que l'Air aristotélicien purifie et donne bénédiction à ce serviteur du Très-Haut !

Face à l'eau symbole de pureté, promets-tu de partager de tout ton coeur, de toute ton âme et sans aucune restriction mentale les préceptes de l'éthique aristotélicienne qui consiste principalement à trouver le juste milieu entre abstinence et débauche ? Promets-tu de tout ton coeur, de toute ton âme et sans aucune restriction mentale de refuser de sombrer dans le péché en cultivant les vertus et en luttant contre les vices ?

Attends la réponse.

Que l'Eau aristotélicienne purifie et donne bénédiction à ce serviteur du Très-Haut !

Gabriel invite alors Mu a se mettre à genoux

Béni ton serviteur, Ô Très-Haut et octroi lui ta protection et ta faveur.

Une grosse fournée d'un coup pour ne pas y passer toute notre vie. Désolé pour ce week end j'étais... en week end. Quoi qu'il en soit voila, chaque question doit avoir une réponse, pas une réponse unique. Et pour finir il faut que le candidat récite le crédo et je passe à la suite ^^

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Mu1ere

Tout a coup la voix de Monseigneur se fit a nouveau entendre. Mu se ressaisit, éclaircit légèrement sa voix, hum hum.
Elle attendit ensuite que Monseigneur ait fini de lui poser toutes les questions et répéta.

-Face à la flamme du brasier qui monte vers le ciel, promets-tu de vivre en communion avec l'œuvre de Christos ainsi que dans le respect et l'obéissance de la hiérarchie de notre Sainte Église Aristotélicienne ?

Elle se souvenait des cours au Monastère, où son professeur avait abordé le sujet et sa réponse avait été on ne peut plus claire, car sa réflexion avait durée un an.
Elle répondit d'un air satisfait et heureux:
Oui Monseigneur, Face a ce brasier et devant tous ici, je promets, de vivre en communion avec l'œuvre de Christos ainsi que dans le respect et l'obéissance de la hiérarchie de notre Sainte Église Aristotélicienne!

Que le Feu aristotélicien purifie et donne bénédiction à ce serviteur du Très-Haut !

Face à la pierre taillée, socle fondateur sur lequel repose toute l'architecture de l'édifice de notre Sainte Église Aristotélicienne, veux-tu consacrer ta vie à suivre le chemin illustré par les paroles d'Aristote ? Promets-tu de vivre en communion avec tes collègues dans le respect et l’obéissance de la Foi et de notre dogme pour la vie.

Sa foi avait parfois été éprouvé puisque sa réflexion avait durée si longtemps mais a chaque fois elle était ressortit de ces épreuve sa foi renforcée. Oui elle voulait tout cela!
Regardant tour a tour ses amies et Monseigneur, elle sourit un instant et reprit après lui:
Je promet ici devant vous tous que je respecterais tout ce que représente nôtre Église Aristotélicienne.
Moi Mu1ere, Aristotélicienne, je veux consacrer ma vie à suivre le chemin illustré par les paroles d'Aristote! Je promets de vivre en communion avec mes collègues dans le respect et l’obéissance de la Foi et de notre dogme pour la vie!

Que la Terre aristotélicienne purifie et donne bénédiction à ce serviteur du Très-Haut !

Face à l'odeur de l'encens qui chasse les mauvaises émanations, promets-tu de respecter de tout ton cœur, de toute ton âme et sans aucune restriction mentale les préceptes du droit canonique de notre Sainte Église Aristotélicienne ? Promets-tu d'aider les enfants de Dieu à échapper à l’Enfer lunaire en les éloignant de toute hétérodoxie?

Là, elle était sure d'elle, car c'était aussi pour cela qu'elle était là aujourd'hui!

Face à l'odeur de l'encens qui chasse les mauvaises émanations, oui je promets devant vous tous de respecter de tout mon cœur, de toute mon âme et sans aucune restriction mentale les préceptes du droit canonique de notre Sainte Église Aristotélicienne!
Je promets d'aider les enfants de Dieu à échapper à l’Enfer lunaire en les éloignant de toute hétérodoxie!

Que l'Air aristotélicien purifie et donne bénédiction à ce serviteur du Très-Haut !

Face à l'eau symbole de pureté, promets-tu de partager de tout ton cœur, de toute ton âme et sans aucune restriction mentale les préceptes de l'éthique aristotélicienne qui consiste principalement à trouver le juste milieu entre abstinence et débauche ? Promets-tu de tout ton cœur, de toute ton âme et sans aucune restriction mentale de refuser de sombrer dans le péché en cultivant les vertus et en luttant contre les vices ?

Elle sentit tout a coup l'odeur des fleurs sur l'Autel de l'Église et constata une agréable détente de son être. Mais elle se ressaisit car elle devait répondre a Monseigneur, pour une fois qu'il n'était pas dérangé, elle en profitait. Mais cette odeur si douce, si agréable, si velouté... elle dut faire un réel effort de concentration pour ne pas être détournée de sa réponse.

Devant vous tous ici présents, Face à l'eau symbole de pureté, je promets de partager de tout mon cœur, de toute mon âme et sans aucune restriction mentale les préceptes de l'éthique aristotélicienne qui consiste principalement à trouver le juste milieu entre abstinence et débauche!
Je promets de tout mon cœur, de toute mon âme et sans aucune restriction mentale de refuser de sombrer dans le péché en cultivant les vertus et en luttant contre les vices!

Que l'Eau aristotélicienne purifie et donne bénédiction à ce serviteur du Très-Haut !

Elle écouta encore Monseigneur, puis celui-ci lui demanda de se mettre a genoux, ce qu'elle fit. Une fois a genoux, Mu mit ses mains en prière.[/b]

Béni ton serviteur, Ô Très-Haut et octroi lui ta protection et ta faveur.

Comme elle l'avait compris, Mu récita le crédo qu'elle aimait tant. A cet instant elle pensa a Lora, qui aimait tant comme elle ce Crédo et qui devait être heureuse, comme elle, de l'entendre enfin dans cette Église.

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés;
En la Vie Éternelle.

AMEN

Mu était heureuse et avait récité sans faillir.
Elle attendrait la suite mais son regard croisa celui de Lora. Ce fut plus fort qu'elle. Elle serra sa médaille Aristotélicienne, dans ses mains jointes en prière et attendit que Monseigneur reprit avant de bouger quoi que ce soit.

(Désolée pour la réponse tardive mais des impératifs urgents hrp m'en ont empêchés. Merci de comprendre^^.)
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(ban en construction)

Erwelyn

Zut raté, l’ouïe fine de Mu l’avait fait se retourner. Elle lui fit un signe discret, heureuse de la voir en si bonne forme et souriante. Il faut dire que c’était un jour sacrément important pour sa filleule. Après la surprise qu’elle vit dans les yeux de son amie à sa vue, celle-ci partit en direction de sa besace pour farfouiller à l’intérieur. Curieuse, elle regardait chaque mouvement de Mu et en resta bouche bée quand elle vit ce qu’elle en sortit.
Les lèvres pincées, elle sentit une émotion bizarre l’envahir. La dernière fois qu’elle avait vu Mu, elle lui avait offert ce paquet, juste après leurs deux baptêmes. Depuis, elle n’avait pas arrêté de se déplacer, allant jusqu’en Provence, et sa filleule était venue s’installer ici, dans le sud est, les séparant de plusieurs centaines de lieues. Sa main gauche se porta directement au doigt qui portait la bague offerte par Mu le jour du mariage de Lora et Volpel. Que de souvenirs, que de temps passé. A chaque fois, elle avait du mal à se dire que tant de mois s’étaient écoulés.
Avec un sourire plein d’émotion, elle regarda Mu et le paquet, pressée de pouvoir la serrer dans ses bras.

Puis, Monseigneur reprit, et le plus solennellement du monde, sa filleule répondit à toutes les question posées. Lorsque vint le moment de réciter le credo, Erwelyn le murmura également, priant pour que Mu ait trouvé là sa voie, et qu’elle soit enfin en paix avec elle même et heureuse.
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Le risque, c'est la vie même. On ne peut risquer que sa vie.
Et si on ne la risque pas, on ne vit pas.

Lora1

Lora suivait la cérémonie en regardant le petit de lilou qui regardait partout. Quand elle entendit les autres réciter son credo elle le fit aussi.

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Madcat

Madcat avait décidé d'aller dire une prière et de méditer à l'église. Elle avait rencontré Dame Mu en taverne et cette rencontre lui avait rappelé qu'elle n'était allée à l'église qu'une fois depuis son arrivée à Bayonne. Elle monta les quelques marches qui la séparaient de la porte monumentale du saint lieu. Elle poussa doucement le lourd vantail, craignant d'entendre un grincement qui dérangerait les participants à la cérémonie qui se déroulait à l'intérieur. Mais les gonds étaient sans doute bien huilés car la porte s'ouvrit en silence et Mad put se glisser dans l'église et s'asseoir sur un banc bien dissimulé derrière un pilier, sans se faire remarquer. Les assistants récitaient le credo. Mad aperçut, non loin d'elle, Lora qui remuait les lèvres, sûrement occupée à murmurer son credo sans bruit. Elle décida de faire de même et commença à voix très basse:

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.mahaut.

Nerveuse, elle lissa sa chemise et tenta d'ôter quelques poussières pour se donner une contenance une fois entrée dans l'église. Bon, c'était sensé être le grand jour. Sauf si elle s'était plantée de date. Ou qu'elle avait mal compris. Le genre de choses qui arrivent quand on boit tout en prenant un rendez-vous.
Quelques personnes étaient dans l'église, absorbées dans leurs prières. Elle sentit confusément qu'elle devait faire pareil. S'asseyant en bout de rangée vers le milieu des bancs, elle regarda autour d'elle, un peu désemparée. Ils récitaient sûrement le crédo. Sauf que le crédo, ben... Elle avait du mal à le retenir en entier. Et vu qu'ils ne chuchotaient pas, pas moyen d'écouter et de répéter. Joignant les mains, elle ferma les yeux pour essayer de se souvenir.

*concentre toi Mahaut, tu l'as déjà entendu, voyons... Je crois en Dieu, le très haut tout puissant, créateur du ciel et de la terre, des enfers et du paradis, juge de notre âme à l'heure de notre mort. Voilààààà, t'as le début !*

Souriante, elle leva la tête vers un vitrail. Un pas de plus vers le baptême.

*et hop ! C'était pas si dur à force de traîner dans les églises. Je me demande s'ils ont à manger ici... Et à boire ! Lotx a parlé de vin de messe, il faut que je trouve le vin de messe. Non, la suite d'abord. Alors, c'est le moment où on parle d'Aristote. Ben je crois en Aristote, son prophète , fils de grecs, là... Nicomaque et Marjolaine, nan cpaça... Nicomaque et Phaetis. Un truc comme ça. Envoyé pour... Pour ? Ah oui pour enseigner la sagesse et les lois divines de l'univers aux hommes égarés. Ou aux brebis, je sais plus. Bon, après y'a Christos machin, là. Raaah mais Odoacre ne voulait pas en entendre parler, de lui, j'le connais mal ce passage... Je vais le sauter, hein, pardon Christos, m'en veux pas, j'l'apprendrai mais plus tard parce que là j'ai baptême et tout.*

Elle fit un petit signe de la main pour s'excuser tout en tentant à un hypothétique Christos des gestes pour expliquer qu'ils se donneraient rendez-vous pour ça, pourquoi pas autour d'un verre, que merci, qu'il était sympa, qu'elle s'en souviendrait etc.
Bon, la dernière partie. Là où on parle de Rome, l'église unie et tout le tralala. Ça la faisait toujours marrer ce passage. Néanmoins, elle se retint de rire, laissant seulement paraître un nouveau petit sourire.

*bon bon bon... Normalement, là, je dis un truc genre "je crois en l'action directe. Non, divine, l'action divine. Voilà. En la Sainte Eglise aristotélicienne romaine, une et indivisible, même que je vais aller me battre pour elle alors, hein, si c'est pas un signe de respect, ça... en la communion des saints. Fastoche, j'en suis une, je communie souvent. Et en la rémission des péchés. C'est plutôt bien, ça. Ah, et en la vie éternelle. Ouais, trop forte, Mahaut, t'auras droit à 2 bouteilles ce soir.*

Elle rouvrit les yeux et relacha ses mains en regardant autour d'elle. Il manquait un truc. Pourtant, elle avait tout retenu ou presque ! Mais non, objectivement, il manquait un truc. Elle zieuta autour d'elle. Toujours pas d'indices. Elle se tritura les mains. Ah oui, les mains ! Le truc final ! Rejoignant ses doigts, elle prononça fermement un retentissant :

Amen !

Ouais, elle était prête.
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Godgaby

Gabriel était vraiment à ce qu'il faisait, il s'amusait presque de cette cérémonie si particulière, la prochaine fois il faudrait qu'il fasse ça de nuit, l'ambiance serait meilleure.

Mu entama le crédo, un petit sourire de l'évêque, il faudrait quand même qu'il l'apprenne un jour. L'avantage d'être curé c'était de pouvoir demandé aux autres de le réciter et donc de ne pas à avoir à le faire soi même.

Il s'approche et pose ses mains sur la tête de Mu.

Que l'Ether aristotélicien achève lui-même en toi ce que les autres éléments ont débutés. Frères, avec tous les saints qui intercèdent pour nous, confions à la miséricorde de Dieu celui qu'il a choisi comme prêtre.

Par l'imposition de mes mains et l'Ether aristotélicien, reçoit les pouvoirs de ton ministère et guide les fidèles aristotéliciens par l'exemple de Christos et d'Aristote afin de les aider à accéder au Paradis solaire.

Petite pause, cassant l'ambiance solennelle. Fouille dans ses poches, il a encore oublié de les vider, c'est un tel bordel qu'une chatte n'y retrouverait pas ses petits, mais il finit par en sortir ce qu'il cherche.

Reçoit ce jour la médaille symbolisant ta nouvelle condition.

Relève-toi Mu, prêtre de la Sainte Église Aristotélicienne et présente-toi à tes nouvelles ouailles.

Et voila c'est fini ^^. Je suis un peu long je sais, mais prêtre officiellement nommé et tout et tout, félicitation.

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Mu1ere

Elle reçu les bénédictions de Monseigneur avec sérieux et plénitude.
Elle recueillit la médaille Aristotélicienne avec curiosité.
Elle la regarda en tous sens et trouva certaines différences avec celle qu'elle possédait déjà.
Elle aurait certainement des questions a poser sur le sujet a son professeur Tully.
Elle était enfin nommée Abbesse et ça lui plaisait.

Elle remercia Monseigneur mais regretta que son Professeur ne put être là pour la cérémonie.
Elle se tourna alors vers ses amies, toutes présentes.
Elle souhaitait aller fêter cela en taverne et elles ne se firent pas prier.
Elle retourna vite fait vers Monseigneur et lui fit la même proposition...mais suivrait-il?
Elle en doutait, au sus du travail colossal qui attendait l'homme.

Elle sourit a Madcat, qu'elle avait vu arrivée et qu'elle convia a rejoindre le petit groupe.
Elles prirent la direction de la taverne, toutes en cœur, laissant ainsi la place a Oroch pour la célébration du baptême dont il lui avait parlé.

Mais le temps se couvrait, il fallait faire vite pour ne pas finir trempées jusqu'aux os.
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(ban en construction)

--Yoda

Mauvaise journée pour un baptême, mauvaise journée pour la pèche, mais le pauvre valet devait supporté tout cela.

Mon Dieu ! Il manquait plus que lui en tant que vicaire, la j'aurais le travaille de plusieurs paroisses et lui le plaisir et le mérite de la tache ! quelle injustice !

voyons que l'ordination de l'abbesse est achevé , il couru la félicité avec milles expression de joies, Yoda était sincère, car au moins avec une abbesse dans les parages, monseigneur Oroch n'allait pas faire comme chez lui.

c'est a ce moment la qu'il se rendit compte qu'il était en retard pour faire sonner les cloches, quatre coups pas un de plus !

Ding...ding .... Ding Ding

Baptême de dame Mahaut ! baptême de dame Mahaut ! annonça le jeune valet

Oroch

sa canne a pèche sur l'épaule gauche et un sceau plein de poissons a droite . ca sentait pas mauvais car c'était bien du frais, mais le poisson reste du poisson avec une forte odeur.

Haaaa enfin c'est terminé moi qui pensait qu'on allait vous enterrer ici avant d'en finir ! félicitation abbesse plein de messe de bonheur et de mariages a célébré ! riant et agitant le sceau qui dégagez ses odeurs dans tout la salle.

a ce moment les cloche frappez !

Ding...ding .... Ding Ding

et puis quoaaa ! arrête, arrête veux-tu ma mort ? je t'avais dis avant mon arrivée Yoda, descend ! toujours agacé par l'horrible bruit des cloches !

il déposa le sceau près de l'autel la canne dedans et se rendit a l'intérieur, pour changer ses habits et se parfumer... de belles rencontres étaient en perspective.

Yoda accueil tout le monde et fait ce qu'il faut, je suis de retour !
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.mahaut.

Assise dans une taverne, elle vidait consciencieusement ses chopes. La première pour se réchauffer, la deuxième pour se donner du courage, la troisième pour se remémorer pourquoi elle faisait ça, la quatrième en hommage à sa quête de noblesse, etc.
Vint un moment où elle finit par oublier pourquoi elle en était venue à boire, mais elle s'en fichait. Bercée dans son état éthylique préféré, elle regardait le plafond en souriant.

*DING*

C'est marrant, ici, ils sonnent les vêpres.

*DING*

Ou alors c'est les mâtines, quelle heure il est ?

*DING*

Pourquoi je suis toute seule ici, ils sont où, tous ?

*DING*

OH PUTAIZE, LE BAPTÊME !

Se relevant en vitesse, elle se dirigea vers la porte. Après s'être vautrée une bonne demi douzaine de fois elle parvint à ouvrir la poignée et se dirigea à grands pas vacillants vers l'église.

Baptême de dame Mahaut ! baptême de dame Mahaut !

OUAIS, OUAIS ! Chuis *hips* CHUIS LAAAA !

Elle arriva devant l'église et tenta de se recoiffer. Fallait tâcher de pas se rater pour l'entrée. Avoir l'air noble. Et aristotélicienne.
Elle se vautra sur la petite marche.

Quelle idée de mettre une marche derrière une porte, non mais on n'a pas idée... Bon, je suis là ! Je suis prête. *hips* Allez à jacta, heste. J'ai jamais su ce que ça voulait dire.

Il restait un truc... un détail, hein, mais ça la chiffonnait... dans son courrier, Lotx avait dit "Alors pour Sainte Boulasse, l'évêque y m'avait dit qu'elle buvait tout le temps et qu'elle mettait jamais d'habits...". si c'était le moyen pour qu'on reconnaisse qu'elle était sainte, y'avait pas à tortiller, il fallait le faire.
Sous les yeux médusés des croyants, elle commença à retirer sa cape, puis sa veste et enfin ses braies. Lotx avait pas précisé pour les bottes mais par précaution, elle les enleva quand même.

Putaize *hips* il faut froiiiid !

Voilà, elle n'était qu'en chemise. (sans pantaloooooon) Elle prit ses affaires sous le bras et s'avança devant l'autel sur la pointe des pieds.

Franchement, *hips* faudrait inventer un système de *hips* chauffage au sol, on se caille, là. Bon, voilà, je suis prête. *hips* On peut boire pour se réchauffer ?
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Oroch

de retour a la salle le curé commença sa cérémonie par le rituel traditionnel de la bise aux dames et le salut de loin aux messires. il passa en revu tout les visage féminins non complexé par son statu de clerc, des joues sèches lui donnais des envie de se gratter mais les belles joues ... ce qui importe c'est que c'était un rite a respecté !

Soudain...

bonté divine c'est quoi cette beauté en haillon ? le curé pouvais pas la quitté du regard

Monseigneur c'est Mahaut elle a...
Rien mis ... ca c'est du baptême !
non monseigneur elle est ...
Magnifique comme elle est
Non elle pensais que ...
je serais séduit elle a raison
arfff non le cerlc
tu me dérange va t 'en je prend le relais maintenant

En ce jour du 05 décembre 1457, j’ai l'immense joie d’offrir la chance à Mahaut de se rapprocher d’Aristote par son baptême.

Au travers de cette cérémonie, Notre amie a exprimé la volonté de se rapprocher de la vérité, va rentrer dans la communauté des croyants de notre Sainte Eglise Aristotélicienne.

Si le baptême est un acte tout à fait naturel dans notre Aristotélicienne époque, celui-ci permet a cette fidèle de voir son âme illuminée par la foi, de joindre le temporel au spirituel, et d’agir sous l’observation et la bienveillance d’Aristote.

Le baptême signifie surtout pour elle le début de sa purification, et son entré dans une nouvelle ère sous les auspices divines.

a ce moment bien précis Oroch trouva le temps très lent ! alors il accéléra la cadence

sa venue régulière à la messe lui apportera , bla bla bonheur et bla bla bla rapprochement vers Aristote... etc etc
son âme sera sauvée... bref on connais la suite .

Mahaut maintenant approche-toi du baptistère, et marche sereinement qu'on admire votre beauté ... se reprend... intérieure et vers ta bientôt nouvelle grande famille aristotélicienne.
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.mahaut.

Le plan se déroulait sans accrocs... On ne l'avait même pas virée comme une malpropre ni rien, pour une fois. Satisfaite, elle balança ses affaires sur une chaise et ne garda que sa bouteille à la main. Elle s'avança avec plus ou moins de rectitude vers l'autel.

Bonjouuuur ! Ne me *hips* dites rien ! C'est du vin, là bas ? Hein, c'est ça, c'est du vin hein ? *hips* Ca vous dérange *hips* pas si j'y goûte ? nan mais c'est qu'il fait un froid de chépaquoi, là et bon...

Elle monta à côté du type qui parlait. Ça devait être un officiel, un truc comme ça. Elle empoigna la coupe et but une grande rasade.

Fameux ! C'est *hips* c'est du bon produit ! Y'a pas à dire, j'veux connaître *hips* vos producteurs ! C'est réservé aux baptisés, c'est ça ? Tenez mon père, finissez la coupe, chuis pour le *hips* partage, toussa, aristato... aristélici... ben chuis croyante quoi. Santé !

Elle refit un pas en arrière, remanqua se vautrer et chercha sa marraine des yeux. En retard, elle était encore en retard. Elle avait sûrement dû chercher une tenue parfaite pour le baptême "oune tenoue espectaculaire".

Regardant dans la foule qui la fixait de façon pas très aristotélicienne pour le coup, elle tenta un :

Isaaaa ?

Ouiiiii ! J'arrive ma chérie ! Je suis coincée derrière un gros tas de graisse qui bave et... Commence sans moi, j'arrive !

Bon, elle était là, c'était le principal. Mahaut regarda Oroch.

Alors ! ma famille aristotélicienne... wouah j'ai réussi à le dire ! est là donc c'est bon. Spasse quoi *hips* après ?
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Oroch

ben rien on va dire que ce jour de baptême, mais aussi jour de fête pour tous les fidèles ! dit le clerc en tapant la main de l'ivrogne signalant que le vin c'est pour la fin !

il invita ensuite Mahaut , sa marraine, à rester debout, face à l’assistance, pendant la lecture du Livre des vertus, c'était clairement une tache pénible pour l'a fille au haillon, ivre. mais c'était aussi un spectacle beau a voir.

Mes chers paroissiennes et paroissiens, voilà un passage du Livre que je cite systématiquement pour les baptêmes que j'officie, et ce n'est pas sans raison ! je trouve ce passage de toute beauté, et je pense qu'il a une signification importante. Je pense également qu'il est parfaitement approprié au baptême. Vous l'avez déjà entendu, je n’en doute pas , mais notre futurs baptisés, qui ne connaissent pas beaucoup le Livre des Vertus dans lequel elle va j'en suis sûr se plonger.

Il prit son livre de vertu

Lecture du Livre des Vertus –Livre 1, L’Eclipse- Partie VII, le PARADIS a écrit:

Citation:

Alors, sept grandes paires d’ailes magnifiques s’étendirent. Ils s’approchèrent du bord et se laissèrent tomber. Je hurlai de terreur, mais mon cri s’étouffa lorsque les Archanges redressèrent leur vol et s’envolèrent vers la soleil. Je pus voir sous moi l’ensemble de la lune et me promis intérieurement, si l’occasion m’en était donnée, de toujours vivre dans la vertu, suivant les préceptes d’Aristote et de Christos, afin de ne jamais plus retourner dans un endroit aussi sordide. Galadrielle me lança un sourire complice et me dit: “C’est bien. Tu as pris une judicieuse décision. Puissent les autres vivants faire la même.”

S’adressant au futur baptisée :

As-tu compris le sens de ce texte ?

Souhaites-tu être baptisé et devenir un enfant, une fidèle de notre bien-aimé Aristote ? Es-tu certaine de vouloir prendre la judicieuse décision de toujours vivre dans la vertu et tout ce qui va avec ?

si tu veux pas je vais pas t'en vouloir fillette, mais je mettrais le feu partout, ca sera un bon prétexte et l'abbesse ne m'en voudra pas lui dit il a voix basse
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.mahaut.

Oroch sortit un livre. Elle ne put s'empêcher de grimacer. Les trucs dans les livres c'était beau, hein. Mais c''était lourd aussi. Trèèèèèèès lourd. Et Anatole n'était pas là alors que c'était clairement sa tâche de s'occuper des paperasseries. Fermant les yeux, elle se prépara à prendre le livre. Mais rien ne vint. Elle rouvrit les yeux.

Aaaaah, il lit un truc ! C'est pas pour moi !

Le soupir de soulagement aurait pu monter sous la voute si les commentaires de l'assistance ne venaient pas troubler la euh... beauté émouvante de l'instant.

Mamaaaan ! Pourquoi elle a pas de vêtements la daaaame ?
Une honte ! un scandale !
Ah moi je trouve pas... Elle arrive ici comme elle est venue au monde...
Malotru !
Dites, de dos, elle a une sacrée paire de fesses hein...
Mamaaaaan ! Papa il a dit "fesses" !
*bruit de claque*
Si c'est ça, je pars me mettre sur le côté. On pourra voir de profil, pis avec la lumière des bougies, ça fera peut-être contre jour...
*vaste déplacement de l'assistance masculine sur les abords de l'autel*
Papaaa ! Maman elle est partie chez mamie !
J'avais raison, ça fait contre jour.
Faites voir ! Oh purée... Donc c'est des vrais ! On se demandait en taverne la dernière fois... y'a pas de rembourrage !
Nan mais elle est jeune, hein, à c'tâge là ça tient tout seul !

Elle se demandait de quoi ils parlaient. Qu'est-ce qui pouvait bien tenir tout seul ? Sa bouteille ? Elle chercha Isa des yeux mais impossible de la trouver. Par contre, il y avait un seau avec des poissons à côté. Discrètement, pendant la lecture du passage, elle rapprocha le seau et empoigna un poisson bien visqueux.

As-tu compris le sens de ce texte ?

Hein ? Ben euh... Oui, naturellement !

Souhaites-tu être baptisé et devenir un enfant, une fidèle de notre bien-aimé Aristote ? Es-tu certaine de vouloir prendre la judicieuse décision de toujours vivre dans la vertu et tout ce qui va avec ?

Ha ben oui. *hips* Obligé, hein ? Chuis vertueuse, moi !

Regard noir vers l'assistance.

Le premier qui fait une remarque se mange le poisson en pleine tarte.

si tu veux pas je vais pas t'en vouloir fillette, mais je mettrais le feu partout, ça sera un bon prétexte et l'abbesse ne m'en voudra pas.

Elle le regarda, interloquée.

Vous aussi vous avez froid mon père ?
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Oroch

bon on était ou ? ah oui c'est bon, je vais bien distrait en observant les courbes de Mahaut

Yod ! la dame parait-il a fait l'objet d'une farce d'un de mes confrères. Ramène lui de quoi se couvrir, les vêtements de vagabond ne supportent pas une telle saison.

après que l'ivrogne s'est revêtue, il continua sa lecture.

Citation:

Lorsqu’il se trouva face à Christos, le Centurion le regarda dans les yeux, intensément et assez longuement. Lorsque soudain, il ôta son casque et s’agenouilla en embrassant la robe de notre messie.

« Maître, supplia-t-il, à la plus grande surprise du Tribun, je voudrais vous suivre et faire partie de cette communauté de fidèles. Comment dois-je faire ? Je sais que je suis pécheur et que j’ai servi un mauvais maître, mais je t’en prie dis-moi comment me faire pardonner ! »
Alors Christos le releva et sous le regard médusé des romains, il prononça ces mots :
«Pécheur, je te le dis, tu viens de faire la première chose que les fidèles devront faire ; se montrer humble et confesser leurs péchés. Ainsi, si ton repentir est sincère, Dieu te pardonnera. »
Christos se tourna vers ses apôtres, et continua :
«Et vous, que les fautes commises par vos ouailles leurs soient pardonnées si elles viennent les confesser à vos oreilles, et qu’elles sont prêtes à en faire pénitence. »
Alors, Christos s’approcha de la fontaine, et dit encore au Centurion :
«Par la grâce de l’éternel, je vais te laver de tes péchés, te ceignant d’eau, source de vie. »
Et Christos plongea ses mains jointes sous le jet de la fontaine. Il aspergea la figure du Centurion de cette eau en chuchotant ces paroles :
« Seigneur, daigne laver cet homme de ses péché, et lui donner ainsi une nouvelle naissance parmi les croyants ! Au nom du Très Haut. Amen»

après cette lecture assez ennuyeuse comme il la trouve , mais utile pour enseigner quelque valeur moral aux gens honnêtes, aussi rare qu'il le sont, il posa d'autre question a l'ivrogne

Reconnais tu avoir pêché, et regrettes-tu ta vie de pêcheur?
T'engages-tu à aimer le Très Haut autant qu'il t'aime ?

si oui récite ce credo

Citation:

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'aprés avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN

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.mahaut.

Bon, il avait du comprendre le sens de la remarque. Faisant un signe discret, il envoya un clerc ramener ses vêtements à Mahaut.

Oh merci ! Nan parce que bon, c'est la règle, je comprends bien mais c'est un coup à se chopper la mort, ça... On est en décembre vous savez et...

Le clerc lui fit signe de se taire. Tout en se rhabillant, elle écouta l'autre lecture. On y parlait de pêche. Elle reprit en main le poisson, ça lui semblait être la bonne chose à faire. L'officiel se retourna vers elle et posa la question fatale :

Reconnais tu avoir pêché, et regrettes-tu ta vie de pêcheur?
T'engages-tu à aimer le Très Haut autant qu'il t'aime ?

Oui mon père, j'ai pêché, j'ai beaucoup pêché. Et je le regrette, profondément.

Ben oui, elle avait pêché mais du coup, elle avait du aller sur le lac, et c'était plein d'eau, donc très désagréable.

Et oui, je m'engage à aimer le Très Haut, autant qu'il m'aime !

*Et ça c'est pas rien, vu que je suis une sainte, donc il m'adore à fond, le Très Haut.*

Elle se garda d'évoquer ce petit point à voix haute et s'appliqua à réciter le crédo. Finalement, c'était pas si dur, en plus elle l'avait révisé le jour d'avant.

Elle reprit en souriant :

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'aprés avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN
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Oroch

riant il poursuivit la cérémonie

Je te baptise Mahiaut au nom de l’Eglise Aristotélicienne et au nom du Très Haut, pour l’amitié de tous les Saints et pour l’amour du Père de l’humanité.

Oroch alluma un cierge pour qu’elle port par son exemple la lumière aux autres… leur rappelant le respect du au dogme sous peine d’excommunication ou de brûler en enfer. l'idée de l'enfer raviva l'idée de bruler tout l'endroit, l'absence de rideaux toujours en confection le démotivait car ca sera facile a eteindre sinon....

Il tendit le cierge de à a marraine, Isabelle , et lui dit :

Tiens, remets ce cierge à ta filleul. En lui remettant ce cierge, tu t'engage à l'aider dans son apprentissage vers l'amour d'Aristote. Cette lumière, que tu lui remets, est celle de ton exemple vertueux. Soyez en digne tout les deux. et pas de bêtise
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.mahaut.

Voilà, c'était parfait. Totalement parfait ! Elle était...

Je te baptise Mahiaut au nom de l’Eglise Aristotélicienne et au nom du Très Haut, pour l’amitié de tous les Saints et pour l’amour du Père de l’humanité.

MAHIAUT ?? Il l'avait appelée Mahiaut ?? Alors là non. Elle voulait bien venir à moitié à poil, faire semblant d'être aristotélicienne et tout mais ça, non ! Bouillonnant, elle le laissa continuer et vérifia que la petite main d'Isa attrapait bien le cierge. Une fois la chose faite, elle se permit enfin d'exploser. Parce qu'il ne fallait pas déconner, elle s'appelait...

MAHAUT ! C'EST MAHAUT ! C'est pourtant pas dur ! MA ! comme euh... ben MA... et HAUT comme en haut ! MA-HAUT ! Nan mais c'est bien des hommes, ça ! Mauhaut, Miahaut, Mahiaut ! Comme si c'était dur à retenir ! Mais même moi j'y arrive ! Nan mais j'y crois pas... Je fais tout bien, et vous, juste quand il faut bien dire mon nom, paf, vous ratez ! En plus j'ai super froid ! Et je veux finir le vin !

Du coin de l'oeil, elle vit le clerc s'avancer pour protéger le vin de messe. Ou alors pour la faire taire. Peu importait, c'était insupportable de toute façon. Sans même réfléchir, elle jeta le poisson sur le clerc.

Ce qui est marrant quand on y réfléchit bien, c'est qu'elle n'avait même pas pensé qu'elle pouvait mal viser. Et pourtant, elle n'avait jamais été très douée pour le travail de précision, hein... Alors complètement bourrée, vous pensez... Figée, comme au ralenti, elle vit le poisson s'élever dans les airs, atteindre une apogée et redescendre tout aussi lentement, quoique de façon bien plus catastrophique, vers... Oroch.

Quand il fut indéniable que ce dernier s'était mangé le poisson en pleine face, elle attrapa sa cape et ses bottes.

Alors euh...Voilà voilà... C'est pas tout ça mais on n'est pas d'ici... on va... ISA COURS !!!!

Bousculant l'assistance médusée, elle courut aussi vite que possible quand on est complètement pétée en espérant qu'Isa la suivait.
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Isabel_de_mendoza

Isabel avait mis un temps fou pour choisir le tenue du baptême...
Être la marraine de Mahaut ce n'était pas une mince affaire et il fallait être parfaite...

Malheureusement, bien que sa toilette était magnifique (un discret jaune canari) le tout restait sans essor du au pas écarté de l'ibère...

M.ierda, ce truc pique énormément...Rhaaaaaaa,ça gratte...

Elle avait décidé donc de se cacher derrière un énorme messire bien vieux d'ailleurs tout en faissant savoir à Mahaut qu'elle était là....

Malgré quelques libertés prises par sa filleule, le tout se déroulait anormalement bien...

Pis, elle aimait bien le curé, fallait dire qu'Isabel avait une affection particulière pour tous ceux qui n'accordaient jamais le participe à l'auxiliaire, avaient une coiffure hors du commun et s'auto pressentaient comme un escroc...

Tiens, remets ce cierge à ta filleul. En lui remettant ce cierge, tu t'engage à l'aider dans son apprentissage vers l'amour d'Aristote. Cette lumière, que tu lui remets, est celle de ton exemple vertueux. Soyez en digne tout les deux. et pas de bêtise

M.ierda, m.ierda, fichtre, je n'arriverai jamais à temps pour l'attraper....
Rhaaaaaa, ça gratte...
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Oroch

l'art de contenir les ivrognes, faut écrire des livres pour ça. Oroch avait des idée mais ne voulais points les appliqué car c'etait plus amusant et divertissant de voir les troupes de mahaut semer la panic dans le lieu de culte. Mais la un poisson frai tombe du ciel le clerc s'est mis doucement en dessous pour se justifié !

Hors de Mon église Bâtarde des Nobles ! avec un ton de colère bien improvisée

il pris la médaille en or pour les baptêmes et la jeté en force... boom! en plein dans le mille un archer ne perd jamais la main alors !
ca va lui fait mal quelque jours ça !riant

Monseigneur elle est baptisée ? questionna le valet

oui une fois elle aura pris la médaille répondit Oroch ayant repris vite son calme

bon fait la communion Yoda je m'en vais termina le curé levant son sceau de poisson et sa canne
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Zakarine

Zakarine n'était pour plus très longtemps en visite à Bayonne. En fait, c'était même le dernier dimanche qu'elle passait ici.

Elle assista à un drôle de baptême dont elle se souviendra longtemps ... la baptisée *hipsait* comme ce n'était pas permis!

Assise sur un banc, elle récita à son tour le credo à vois basse

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'aprés avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN

Une fois la cérémonie terminée, elle alla rejoindre Mahaut pour la féliciter, bien qu'elle ne la connaissait pas .
Oroch s'apprêtait à partir et la rouquine trégorroise l'appela et lui courut après ...

Orooooooch ! Attends-moi s'il te plait !!!
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.mahaut.

Isaaaa ! T'as bien pris le cierge hein ?

Tout en courant... non, bon, en se dépêchant vers la sortie, en se prenant les pieds dans les bancs, en s'accrochant aux piliers, en tombant parce que le sol n'est pas droit etc., elle tenta de se retourner pour apercevoir sa marraine.
Courir, ce n'est pas franchement le plus simple quand on a trop bu. Un début de nausée la fit s'arrêter. Ben elle n'aurait qu'à dire qu'elle attendait Isa. Elle se retourna en entendant :

Hors de Mon église Bâtarde des Nobles !

Elle ne put s'empêcher d'afficher un sourire niais. Ouais. Bâtarde de noble. La classe intégrale. Dommage, ce fut à cet instant là qu'elle se mangea la médaille en plein dans l'œil gauche.

AIEUUUUUUUUUUU ! Tain ça fait mal euuuuuuh ! C'est quoi ?

En tâtonnant, elle parvint à mettre la main sur la médaille.

A moitié en pleurant, à moitié en jubilant d'enfin avoir la médaille, elle sortit en rampant de l'église.

Isaaaa ! T'es vivante ?
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Orkaange7876

[Dans la taverne en face de l'église...]

Non mais Anatole, vous galégez là... Pour un écrivain public, zetes affreusement nul en orthographe
Si vous le dites.. c'est sur que vous êtes particulièremet bon juge vous..
Ben évidemment, j'ai de l'instruction moua môôôôsieur.. Oubliez pas à qui vous parlez
Ha nan j'oublie pas... Si seulement je pouvais
Ben ouais oubliez pas, sinon je pense que vous allez finir dans un cul de basse fosse si j'dis tout à presque père
Et vous savez ce que ça veut dire ce mot compliqué là??
Ben évidemment Anatole.. ça veut dire que vous serez pris par les catins de la fosse jusqu'à ce que mort s'ensuive.. Notez que j'la trouve un peu douce cette mort, pour un crétin comme vous..

DIIIING DOOOONG BLAAAAANNGG DIIING...
Rhaaaa... Spas possible ces curés, faut toujours qu'ils se fassent remarquer.. Et aristote par ci, aristote par là, et gnagna gni et gnagnagna... Ca me rappelle que d'habitude je choisis jamais la taverne près de l'église, sauf quand on va boire avec Doudinet.. Rappelez moi ce que je fous là Anatole??
Ben.. zétiez sensée boire juste un chtit verre pour vous donner du courage avant d'aller assister au baptème de lvot' double en rose.. Notez bien que là c'est la sonnerie de la sortie hein?? l'avez un peu raté vot' baptème.. 'fin celui de l'autre malade j'veux dire
HAN.. FOUTREDIEU DE CORNECUL.. MAHAUT... LE BAPTEME.. ANATOLE VOUS ETES DEFINITIVEMENT UN CRETIN.. J'Y VAIS L'ADDITION EST POUR VOUS EVIDEMMENT

Trois vautrages et deux insultes plus tard: une tornade rose et verte se ruait sur le parvis de l'église, insultant copieusement les pauvres clampins qui sortaient de la messe pour se ruer sur Mahaut et Isabel, éclatant en sanglots (longs des violons de l'automne, évidemment... Je sais j'la fais tout le temps celle là mais j'laime bien.. Pis je fais ce que je veux d'abeur, cest moua qui écrit)

MAOOOO MA CHERIIIIIIIIIEEEEUH.. HIHIHIHIHI.. Comme c'est émouvant, te voilà baptisée... j'étais au fond de l'église pour ne pas troubler la paix et la sérénité de ce lieu.. taisez vous Anatole, sinon vous etes un homme mort... C'est beauuuuuuu, tu vas pouvoir te marier.. *snif snif*.. c'est le roudoudou de toi qui va être content.. CAALIIIIIIIIINN... BIISSOUUUUUUUUUUUUU
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Quand on est plus de quatre on est une bande de cons. A fortiori, moins de deux, c'est l'idéal.

Mu1ere

Elle arriva dans cette Église qu'elle aimait tant et la considéra comme jamais. Bientôt une autre Église verrait le jour car celle ci devenait bien trop petite pour l'ensemble des bayonnais, elle en avait prit conscience mais ne s'y faisait point.

Elle fit le tour de chaque banc, chaque pilier et lorsqu'elle arriva devant l'Autel, elle se dit que ce serait sa première messe en ce lieu qu'elle aimait mais la dernière également.
Elle prit le temps de réunir les textes préparés, et d'attendre un peu que les bayonnais se lèvent de leur soirée bien arrosée et ou bien vécue.

La tristesse lui vient quand elle pensa au mariage de Lilou auquel elle n'avait pu assister comme elle l'aurait voulu. Celui-ci devait être annulé pour fautes d'annonces. Elle pensa a sa filleule et a son ami, qui ne devait pas bien comprendre ce qui leur arrivait.

Mu pensa que le moment de sonner les cloches était venu.
Arrivé a la corde, elle la regarda avec un sourire, elle avait toujours rêvé de tendre le chanvre! Elle postillonna dans ses mains, se saisie de la corde épaisse et tressée serré et sonna tout ce qu'elle pu pour que tout Bayonne entende que la messe allait être dite.

Elle lâcha la corde, regarda ses mains qui avaient imprimé le dessin du tressage, les frotta et avec un sourire de satisfaction s'en retourna a l'Autel.
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(ban en construction)

Lora1

En ce dimanche matin, Lora avait pris sa fille et alla voir s’il y avait une messe. A peine passer le coin de la rue que les clochent se mirent à sonner.

Elle rentra dans l’église salua sa m’uman et alla s’assoir pour l’écouter.
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_heloise_

Alors qu'Héloïse marchait en direction du port, elle entendit les cloches sonner. Elle regarda en direction de l'église, et dans un éclair de lucidité, réagit qu'on était dimanche.
Elle fit donc le chemin inverse pour se rendre à la messe. Devant la porte de l'église elle posa son filet, et franchit la porte, laissée ouverte à l'attention des paroissien.
Vu que c'était la première fois qu'elle entrait dans cette église, elle était un peu timide, et s'assit en attendant l'office, au fond à droite.

Xavier0690

xavier était de retour a bayonne depuis hier et cela fessait longtemps qu'il n'avais plus mis les pied dans cette église.
il profita de la messe du matin pour y aller. en y entrant il vi Mu qui fessait la cérémonie un peut plus loin il vit aussi lora.
il y avais une dame qu'il ne connaissait pas.
il les salua de la tête et alla s'assoir dans le fond se recueillir en silence
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Mu1ere

Elle regarda les bayonnais se presser sur les bancs.
Mais son regard fut attiré par une paroissienne qui lui était inconnue. Elle la salua de l'Autel et décida qu'elle irait la voir a la fin de la messe.

Ensuite, elle fouilla dans la sacristie pour trouver des cierges qu'elle plaça aux endroits qui avaient besoin de lumière.
Elle déposa le livre des vertus sur le pupitre qu'elle avait apporté.
Tout était prêt...restait à attendre l'arrivée, peut-être, des fidèles qui viendraient écouter sa première messe.

Mu ne cessait de se remémorer les paroles qu’elle devrait prononcer plus tard en appelant la médiation et au dialogue, entre les frères Aristotéliciens…
La Paix serait le thème de cette messe, les réflexions s'inspirant de Ottobismarck.

Pendant ce temps-là, les Bayonnais ou les visiteurs, arrivèrent petit à petit dans l'église, timidement, il faut bien l'avouer.
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(ban en construction)

--.tristan

Il c’était levé plus tard ce matin mais les clochent de l’église lui rappeler qu’il avait promis a sa maman que ce rendre a l’église.

Il se prépara et s’y rendit en courant.

Bonjour maman, désoler je suis en retard.

Godevin

[color=green]apré une nuit reposante j'avais déçidé de me rendre a l'église de bayonne pour assiter a la messe, pas par trop de croyance car je ne crois pas, mais j'aime beaucoup la beauté de ses édifices, et j'adore assisté aux messes dans le sud du royaume, et qui sait peut-etre un jour ils me convaincront. je suis allé voir si Marylune était réveillé "oui elle l'était, le petit jérome ausssi, elle accepta de venir avec moi"donc nous nous sommes dirigés vers l'église de bayonne.

Arrivés devant l'entrée quelques badauds étaient devant, moi et mary le petit jérome dans ses bras entrèrent dans l'église, mary fit son signe de croix en trempant son doigt dans le bénitier, et puis ont se dirigea vers un banc qui était libre.

Je pensais

Citation:

"quelle est jolie cette église, ses vitraux pleins de couleurs, ses arches sculptés comme il faut"

je pris la main de mary et la serra bien fort, je pensais que peut-etre un jour après le voyage je me déçiderais a me faire baptiser, pour pouvoir épouser ma belle, car un mariage c'est joli dans une église; enfin ont verra.

Les orgues se mirent a jouer, messire le curé fit son entrée, et commença a nous parler en nous souhaitant la bienvenue a tous. moi et mary ont se regardaient tendrement en se rapprochant un peu main dans la main, le peti jérome regardait émerveillé les vitraux.

et la messe commença.[/color]
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Mu1ere

Elle vit un couple entrer avec un enfant, des gens qu'elle ne connaissait point. Elle leur fit un sourire comme pour leur souhaiter la bienvenue, heureuse de voir du monde pour la messe.
Elle s'attendait a voir la nouvelle mairesse, élue il y avait peu mais se dit que était celle-ci était sans doute retardée a la mairie.

Après un moment, elle s'avança...
Mes frères et sœurs, bienvenue à vous dans la maison du Très Haut pour cette première messe à Bayonne.

Elle les regarda tous autant qu'elle le pouvait, comme si elle voulait marquer en son esprit ce moment unique pour elle.
Puis, elle reprit la messe.
Mes frères et sœurs, entrons, à présent en communion en demandant pardon au Très Haut pour toutes nos mauvaises actions.

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(ban en construction)

_heloise_

Héloïse reprit à l'invitation de dame Mu, le "Je confesse à Dieu"... Ne connaissant pas toutes les paroles, cela donne
.....à Dieu Tout Puissant,
........................Saints
... tous mes amis
.................oup pêché
.................................ion
............................Saints
.....................................
.................................moi
..........Haut.........orde....ardon
.......lution, et la rémission de tous nos péchés

Mu1ere

Mes frères et sœurs, entrons, à présent en communion en demandant pardon au Très Haut pour toutes nos mauvaises actions.
Elle joignit ses mains et récita avec les fidèles le crédo qu'elle aimait tant et qui elle le savait, avait ses émules.

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(ban en construction)

Lora1

Lora le récita à son tour

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Lilou_corsu

Lilou arriva un peu en retard, Batti en faisait qu'à sa tête ce matin la! Entrant un peu essoufflée, elle s'assit près de l'autel avec son fils dans les bras. Elle récita la prière.

Je confesse à Dieu tout puissant, à tous
les Saints et à vous aussi, mes Amis, parce que j'ai beaucoup péché, en
pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes amis de prier le Créateur pour moi.
Que le Très-Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

Puis vient le tour du Credo qu'elle récita à la suite.

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés;
En la Vie Éternelle.

AMEN

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Mu1ere

Mes frères, mes sœurs...elle prit un temps de pause le temps que tout le monde l'écoute.
Je voudrai vous parler en ce jour dominical, du Livre des Vertus, au chapitre 7 de la Création.
Elle prit une inspiration et commença la lecture du texte choisi.

Citation:

Dieu ne répondit pas à la créature qui avait fait l’apologie de la domination du fort par le faible.

Il se tourna vers un groupe de créatures. C’était justement celui qui faisait partie de l’espèce humaine et qui avait parcouru le monde. Dieu savait que ce groupe se croyait rejeté par Lui. Ces humains pensaient être privés de tout talent. Ils estimaient être mis à l’écart de la création du fait de leur prétendue infériorité. Mais, parmi eux, l’humain qui portait le nom d’Oane détenait, sans en être sûr, la réponse à la question posée par le Très Haut.

Car Oane doutait. Il regardait souvent les étoiles, espérant voir Dieu. Il aimait le Très Haut d’un amour sincère, mais ne savait pas si cela était le véritable sens de la vie. Il voulait bien donner sa réponse, mais il était considéré comme faible d’esprit par son groupe et personne ne voulait le laisser parler. Mais Dieu était omnipotent. Il avait écouté le groupe d’humains se plaindre. Mais surtout, Il avait perçu l’amour et le doute dans le coeur d’Oane.

Alors, depuis le ciel, un rayon de lumière se fit et vint nimber Oane. Toutes les créatures furent ébahies, admirant la douce lumière qui auréolait l’humain. Elles s’écartèrent alors, le laissant seul face à Dieu. Il contempla son corps enluminé d’un regard plein de curiosité. Puis il se tourna vers les membres de son groupe. Pour la première fois de sa vie, il put voir dans leur regard non pas du mépris mais du respect.

Et Dieu lui demanda: “Et toi, l’humain, n’as-tu rien à Me répondre? J’ai ici convoqué toute Ma création pour trouver celui qui donnera la juste réponse à Ma question. Tu es venu et tu n’as pas répondu. Alors, maintenant, Je te somme de le faire!”. Alors, Oane, terrifié par le ton sévère de son créateur, leva les yeux vers Lui et, d’un ton hésitant, dit: “Mais, ô Très Haut, je ne sais si ma réponse est juste...”. Et Dieu lui ordonna: “Parle et je te le dirai!”.

Alors, Oane répondit: “Tu as certes fait Tes créatures se nourrissant les unes des autres. Il leur faut chasser et tuer pour se nourrir. De même, il leur faut se battre pour défendre sa vie. Mais il n’y a pas de fort ni de faible. Personne ne rabaisse ni ne piétine les autres. Nous sommes tous unis dans la vie et nous sommes tous Tes humbles serviteurs. Car Tu es notre créateur.”

“C’est pour cela que Tu as donné des talents plus beaux les uns que les autres à toutes Tes créatures. Chacune d’elles a sa place dans Ta création. Son talent permet à chacune d’elles de la trouver. De ce fait, il n’y a pas de créature préférée de Toi, ô Très Haut. Nous sommes toutes pareillement aimées par Toi et nous nous devons tous t’aimer en retour. Car, sans Toi, nous n’existerions pas. Tu nous a créé alors que rien ne t’y obligeait et nous nous devons de t’aimer pour te remercier de ce geste.”

“Nous sommes certes enchaînées à la matière, certes soumis à ses lois, mais notre but est de tendre vers Toi, l’Esprit Éternel et Parfait. Donc, selon moi, le sens que Tu as donné à la vie est l’amour.” Alors Dieu dit: “Humain, puisque tu es le seul à avoir compris ce qu’était l’amour, Je fais de tes semblables Mes enfants. Ainsi, tu sais que le talent de ton espèce est sa capacité à M’aimer et à aimer tes semblables. Les autres espèces ne savent aimer qu’elles-mêmes.

Mes frères, mes soeurs...Oane, celui qui est mis à l'écart, celui que l'on dit faible d'esprit, c'est lui que Dieu interroge ! Et c'est lui qui répond ce que Dieu désirait entendre !
"“Tu as certes fait Tes créatures se nourrissant les unes des autres. Il leur faut chasser et tuer pour se nourrir. De même, il leur faut se battre pour défendre sa vie. Mais il n’y a pas de fort ni de faible. Personne ne rabaisse ni ne piétine les autres. Nous sommes tous unis dans la vie et nous sommes tous Tes humbles serviteurs. Car Tu es notre créateur.”"
Il n'y a pas de fort, pas de faible...Nous sommes tous égaux, unis, ensemble dans la même vie ! Dieu est notre Créateur et il nous aime !
Oui, Dieu nous aime, il aime chacun de nous et il nous demande de nous aimer, nous aussi, comme lui nous aime.
""le sens que Tu as donné à la vie est l’amour.”"
Le sens de la vie, c'est l'amour.

Arrivée a la fin du texte, elle prit une grande inspiration, bu une grande gorgée du verre d'eau mit a coté du livre, regarda les fidèles bayonnais présents, dans lesquels elle reconnue Lilou sa filleule a qui elle sourit tristement, ce fut plus fort qu'elle.
Elle joignit de nouveau ses main et dit...

Oane l'a bien compris, lui, le rejeté des siens !
Et Dieu est fier de lui...Et grâce à Oane, nous sommes, nous, aujourd'hui, dans cette église, les enfants bien-aimés de Dieu, le Créateur !
Il nous faut aimer Dieu et nous aimer les uns les autres, mes frères et mes soeurs !
Acceptons de n'être que témoins d'amour.
Laissons les péchés et les tentations, oublions l'envie, la haine, la jalousie...oublions ce qui noircit notre âme et restons, devenons enfants de Dieu !
Véritables témoins de l'amour de notre Dieu pour nous, ses enfants.
Oui, mes frères et mes sœurs...soyons l'amour, nous-mêmes, pour les autres et pour notre Créateur.

Tel notre Créateur, regardons-nous, oublions nos rancœurs, ne nous entredéchirons pas entre nous, mais restons forts et fiers de notre grande amitié.
Rappelons-nous les sages paroles d'Oane "Mais il n’y a pas de fort ni de faible. Personne ne rabaisse ni ne piétine les autres. Nous sommes tous unis dans la vie et nous sommes tous Tes humbles serviteurs. Car Tu es notre créateur". Qu'elles deviennent notre raison de vivre!

Aussi, c'est dans un esprit de vraie fraternité que je voudrais vous inviter à venir partager le pain de l'amitié.
Puissions-nous, un jour prochain, partager ce pain avec nos frères qui aujourd'hui pensent que nous envahir est bien pour nous.
Frères et sœurs, unis dans un même amour, prenons part à ce partage.

Elle partagea le pain et le vin avec tous les paroissiens.
Une fois le partage fini, elle reposa l'assiette et la coupe de vin, se tourna vers l'assemblée, avança devant l'Autel et invita les paroissiens:

Prions pour que les hommes sachent continuer a vivre selon les dessins de Dieu.
Prions pour que l'Amour et l'Amitié envahissent nos cœurs.
Prions et demandons à Dieu de nous bénir.
Amen.

Je vous bénis au nom du Très-Haut, d’Aristote et de Christos.
Amen
Allez dans l’Amitié Aristotélicienne !
A dimanche prochain.

Je voudrais aussi vous faire savoir que dorénavant, toutes célébrations baptême, mariage, funérailles peuvent avoir lieu à Bayonne.
Prenez contact avec moi pour entamer une pastorale.

Enfin, certaines personnes qui ont déjà terminé cette pastorale pourront être baptisées dans les jours qui viennent.

Elle alla vite a l'entrée de l'Église afin d'y saluer les paroissiens.
Elle était bien contente de son office, car tout s'était bien déroulé et elle espérait que le message était passé.
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(ban en construction)

Oroch

Observant la messe jusqu'a la fin , le clerc pria avec les croyant attendant la fin

il remis un plis a l'abbesse

Droit canon a écrit:

- Article 10 bis : Les bans doivent être publiés par les deux parties, dans l’église Res Parendo de la paroisse de résidence In Gratebus des fiancés , ou de chacune d’elles si ils n’ont pas le même domicile.

- Article 6 ter : Tout mariage dans un autre lieu doit se faire avec l'accord préalable de l'évêque en charge du diocèse de résidence des fiancés ou à défaut de la fiancée, ainsi que celui du prélat responsable du lieu souhaité.

et puis ajouta, n'oublie pas d'ajouté leur nom aux registres, j'ai pas eu le temps de vérifié a Rome.

il se retourna pour s'en aller, et il constat avant de partir: Bonne messe !
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Lora1

Elle était un peu perdu, elle avait emmaillotait le bébé d’Anna qui n’était plus en vie. Elle espérait que Mu pourrait l’aider.

En entrant dans l’église, elle appela MU… MU

Ce ne sait pas que fait de ce petit Corp, pourrait-on lui faire une cérémonie pour qu’il puisse reposée en paix.

Lora ne savait pas si cela était possible mais …avoir un endroit où se recueillir serait bien pour la maman.
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Zakarine

Zakarine finissait sa ballade dans Bayonne. Elle ne pouvait pas ne pas aller à l'église ...

Arrivée devant, elle observa le bel édifice et se dit que ça aurait été quand même dommage de le brûler ... Sacré Oroch, va!

Elle pénétra dans le lieu de culte, s'assit sur un banc et se recueillit. Elle pria pour la bonne santé de sa famille et celle de ses amis.
Une fois sa prière terminée, elle ressortit de l'église et se retourna une dernière fois, sourit.

Adieu, Bayonne!

Sa besace sur l'épaule, elle marcha vers la route et partit.

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Anna295

Epuisée par le peu de chemin qu'elle avait parcouru dans les rues de Bayonne, Anna arriva dans l'Église. Elle posa la main sur un des bancs pour reprendre un peu contenance.

Ses yeux cherchaient autour d'elle un visage connu. Elle vit de dos son amie Lo et se douta qu'elle devait porter l'enfant. Elle s'approcha donc à pas lents et en silence. Une fois juste derrière elle, la jeune femme poussa un soupir et dans un murmure s'adressa à Lo.

Lo? est-ce que je peux?... Je...

Elle tendit les bras vers le petit paquet et lui découvrit le visage. un être si petit et si délicat... Un garçon qui aurait dut s'appeler Julius. Il ne vivrait jamais et la vie n'aurait pas le temps de lui apprendre que c'est si dure d'être ici bas...

Elle lui caressa la joue d'un geste tendre du bout des doigts. Lui fit un sourire comme si il pouvait la voire et finit par le poser contre son coeur.

Mu est elle là? J'aurais aimé lui confier et le confier à l'Église...

Cherchant du regard le soutient de son amie Mu, elle ne le trouva pas. Elle tenta donc d'appeler.

Mu? tu es là? quelqu'un?!!!! j'ai besoin de quelqu'un!
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Semper fidelis...

Lora1

Elle se retourna qu’elle entendit la porte de l’église grincer et vit apparaitre Anna.

Lora la regarda et l’invita à s’assoir et lui tendit le petit qu’elle avait dans les bras. Elle savait que cela allait être du a son amie de faire son deuil mais … elle était sur qu’elle en trouverait le courage et qu’avec le temps elle aurait surement un autre enfant qu’elle pourra tenir dans ses bras. Pour le moment il fallait trouver Mu pour savoir comme on pouvait faire pour que ce petit repose en paix.

Je ne sais pas où est Mu, j’étais venu lui demande de l’aide afin que l’on puisse enterrer ton fils. Je sais que ce moment est très dur pour toi, je suis là pour d’aider.
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Oroch

Oroch était présent lui, entrain de rangez a la cave la livraison de vin. a sa monté en surface il remarqua deux silhouettes féminines.

Excusez nous, l'abbesse est absente en voyage chez nos moines pour une formation religieuse. je la remplace vous .... Ah Anna, viens viens dans mes bras j'ai appris la triste nouvelle, viens ma fille !

perdre un enfant le clerc le comprenait bien, cette partie de notre âme qui s'envole, ce vide et cette absence d'émotion, que provoque le chagrin et l'amertume.

que puis je faire pour toi ma fille ? je remplace mu... ah l'enterrement. on peut bien le faire ici. tu es baptisée ? juste pour annexer le nom de l'enfant au tien aux registres ?
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Anna295

La jeune femme vit Oroch remonter de la cave et lui tend les bras. Elle s'approcha donc de lui tendit sa main libre pour trouver un peu de réconfort. La présence de Lo, celle d'Oroch en ces lieux apaisants était pour beaucoup dans le calme qu'elle arrivait à garder.

Oui je suis baptisée... je te donne mon certificat que j'ai toujours dans ma besace... attends je vais le trouver!

Elle lache donc sa main et la plonge dans la besace qu'elle porte toujours avec elle. Elle en sort un parchemin qu'elle tend à Oroch.

je te remercie de faire ça pour moi. Le plus vite sera le mieux...
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Semper fidelis...

Atirenna

Le destrier était à bout de souffle, la course avait été longue, Mont de Marsan, Dax, Orthez, Dax et enfin Bayonne pour retrouver Anna, mais rien ne l'aurait empêchée de venir la retrouver.

Elle avait rencontré quelqu'un devant le dispensaire qui l'avait dirigé à l'église... les soins de Lilou et Lora avaient remis sur pieds la douce Anna, celle-ci s'était éclipsée pour s'occuper de l'enterrement de son enfant...

Ati poussait une dernière fois sa monture sur le parvis de l'édifice Aristotélicien, sautant alors qu'il n'avait pas stoppé sa course et entrant tel un éclair, le coeur battant et le regard brillant en ces murs saints...

Le regard de la chancelière balayait de son regard l'espace de prière à la recherche de son amie... elle la trouva non loin en discussion accompagnée de personnes qu'elle ne voyait pas vraiment, mais la silhouette d'Anna, elle, elle l'aurait reconnue entre mille...

Son pas était affirmé et elle se dirigea sans réfléchir plus vers elle, se figeant dans son dos et posant sa main sur son épaule... sa voix se fit à peine plus forte qu'un murmure et elle ne parvint pas à retenir les larmes qui perlaient déjà sur ses joues rougies par le froid !

Anna.... je.... je suis là !!!
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Merci de tout mon coeur à Sabwoody

Anna295

anna se retourna au son de la voix de son amie Ati. Pas besoin de scruter pour savoir que c'était elle qui avait accourue pour la soutenir. Cette voix reconnaissable entre toutes! Elle était venu malgré ses obligations pour être avec elle dans ce moment difficil.

Ati?... Je suis contente que tu sois là! Je... Nous... allons faire l'enterrement de Julius et je suis touchée que tu sois avec moi.....
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Semper fidelis...

Atirenna

Sa voix était tremblante, son regard triste et désespéré, Anna avait passé ces dures épreuves avec un courage inégalable. Devant elle, Ati reconnaissait la femme merveilleuse et forte, mais elle voyait aussi cette lueur qu'elle voulait cacher, ce petit coin sombre aux milieu de ces étoiles...

Atirenna resterait auprès d'elle et Anna le savait, l'enterrement se ferait aussi en sa présence et rien ni personne ne l'aurait empêché de veiller sur son amie, l'aider et l'assister en cette lourde tâche que serait d'accompagner Julius dans sa dernière demeure... aux côtés de ses enfants... son Tsuzuki, sa petite Marie et Ysendrin...

Ma belle Anna... rien ni personne ne m'aurait empêché de venir auprès de toi... et je resterais là pour te soutenir... je... je suis si désolée... vraiment !

Ati prit son amie dans ses bras, la serrant comme une soeur... se voulant rassurante et se rassurant elle même en la sachant en vie...
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Merci de tout mon coeur à Sabwoody

Anna295

Anna sut tout de suite qu'elle ne pouvait donner le change à Ati. Celle ci ayant déjà perdu ses enfants, elle vit tout de suite que malgré les apparences cela n'allait pas. Son amie avait trop de tact pour le faire savoir mais rien que ses yeux lui apportèrent un peu de réconfort.

Après une accolade amicale, la jeune femme se tourna de nouveau vers Oroch pour qu'ils puissent prendre les dispositions nécessaires ensemble. elle le regarda donc en attente de la suite.. peut être y avait il des choses à faire... elle était trop perdue pour penser elle même aux détails et attendait d'être guidée.
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Semper fidelis...

Atirenna

Le silence d'Anna esn disait long, elles étaient réconfortées par leur retrouvailles, puis dans ce même silence imposant, elles attendaient ensemble dans ces murs froids aux odeurs d'encens et de cires fondues...

Atirenna restait près d'elle, figée et réceptive à ce qui l'entourait, Anna s'était tournée vers l'homme qui semblait être l'homme d'église, et par courtoisie, la Chancelière le salua respectueusement...

L'endroit était austère, peu de personnes étaient là à prier, les temps étaient à la guerre au Béarn et aux difficultés à maintenir l'équilibre de certaines frontières...
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Merci de tout mon coeur à Sabwoody

Lilou_corsu

Avant de se diriger vers l'église, une dernière fois, Lilou avait nettoyé et désinfecté la chambre du dispensaire, maculé du sang de son amie.
Même si avant la naissance de leur fils, Sam et Lilou avaient décidé d'emmener Battistu partout la où ils allaient mais ce moment n'était pas approprié. Par respect du deuil de son amie et du souhait de ne pas confronter la mort à un être aussi petit et fragile, Lilou laissa la garde de son fils à sa petite voisine.

Lilou était arrivée devant l'église et dans un soupire poussa la porte de l'édifice. Ignorant poliment Oroch, elle salua ses amies d'un hochement de tête et s'assit sur un banc. Lilou pensait à des tas de choses, comme par exemple que ça serait la dernière fois qu'elle viendrait s'assoir dans ce lieux.
Lilou regardait Anna, respectueuse de sa force de caractère et de son courage mais Lilou savait que cet événement lui laisserait une cicatrice à vie, une âme blessée. Combien de temps pourra t-elle cacher sa douleur? Seul le temps pourra nous le dire.

C'est silencieuse que Lilou attendait la cérémonie.
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Atirenna

Lilou était entrée en silence, Ati ne s'était pas rendue compte de suite de sa présence, quand enfin elle la vit, la belle se dirigea vers elle pour attendre l'office, Anna les rejoindrait plus tard, mais en attendant elle posa sa main sur celle de son autre amie, la serrant comme pour lui dire qu'elle était là...

Anna était soucieuse, certainement que le prêtre devait se préparer, ou lui annoncer ce qu'il y avait lieu de faire... le temps était à la prière pour les jeunes femmes... et Atirenna se demandait si Bull avait été informé de cette horrible nouvelle, Anna avait tant besoin de soutient, même le sien serait important...
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Merci de tout mon coeur à Sabwoody

Oroch

Le clerc pris le parchemin, c'était conforme, il pouvait alors faire l'enterrement du l'enfant. Une cérémonie puis le passage au cimetière.

Monseigneur il n'est pas baptisé il n'a pas le droit a l 'enterrement dans un lieu aristotélicien ! avança le valet
non fiston, il est encore un nourrisson, il déroge a la règle. avança le curé
mais un bâtard avec tout mon respect
tu veux servir de nourriture a un bucher, j'ai envie d'en bruler quelques uns
Non...et murmura qu'il soit béni du divin celui qui te brulera
tu disais ?
qu'il soit maudit du divin celui que tu brulera
fait sonné les cloches on a une messe a réaliser

il demanda a son valet de dépose le couffin sur près de l'autel. sortir les bougies

Bienvenue, la présence de Bayonne dans ces moments difficiles sera le support de Dame Anna pour surmonter cette dure épreuve. Aujourd'hui il y aura une messe d'enterrement de son enfant.

Citation:

Le curé :Après tous nos regards qui ont croisé le sien, qu’il puisse enfin voir le tiens seigneur.
Les fidèles : Seigneur ne détourne pas ton regard de notre ami.

Le curé : Après l’amitié qu’il a reçu et qui a guidé sa vie, accorde lui l’amitié ultime qu’et la tienne Seigneur.
Les fidèles : Seigneur ne détourne pas ton regard de notre ami.

Le curé : Après les peines et les larmes qui ont obscurci sa vie, illumine sa route pour l’éternité.
Les fidèles : Seigneur ne détourne pas ton regard de notre ami.

Le curé : Seigneur, nous tournons vers toi nos espoirs à l’heure où disparaît le corps de l’ami qui nous est cher.
Accorde-nous l’espérance de le revoir auprès de Toi pour les siècles des siècles.

Tous : Amen

si quelqu'un souhaite intervenir après qu'il dépose un cierge près du couffin du bébé. c'est la coutume.
la messe va pas durer plus que la journée

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Mu1ere

Elle revenait enfin a Bayonne quand elle entendit sonner les cloches de l'Église. Elle se dit que Oroch avait prit sa suite sans problèmes.
Mais elle rencontra en route Lora qui lui raconta de quoi il retournait.
Mu eut a peine le temps de poser ses affaires a la taverne municipale, qu'elle prit le chemin de l'Église a grand pas, l'air triste et abattu.

Ses pensées allèrent toutes vers son amie Anna, qu'elle imaginait dans une grande peine.
Elle arriva sur le parvis, y salua quelques fidèles puis entra dans l'Église, où elle alla saluer Oroch et le remercier pour l'avoir remplacer si vite au pied levé.
Elle pensa qu'elle irait voir Anna dés que possible.
Elle partit en direction du petit cercueil et déposa un cierge sur le portant prévu a cet effet.

Ensuite, elle alla s'assoir sur un des banc, joignit ses mains et pria avec Oroch.

Citation:

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(ban en construction)

Lilou_corsu

Lilou se leva attristée et avança vers l'autel pour allumer un cierge. Elle ferma les yeux quelques instant pour dire adieu à cet être si petit. En repartant, Lilou s'arrêta à hauteur d'Anna, posant sa main sur son épaule.
Ne sachant que dire, car rien ne pourrait la consoler, Lilou baissa la tête et repartit s'assoir, laissant une larme s'échapper sur sa joue.
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Oroch

de nombreux cierge allumé par les fidèles avant que le curé n'allume le sien

"L’Amitié est la lumière du monde c’est la flamme qui réchauffe notre cœur.
Quelle éclaire maintenant la route de cet enfant qui le conduit maintenant au Royaume de Dieu !"

un silence puis le clerc poursuivit

"Mon enfant nous déposons cette croix aristotélicienne sur ton cercueil.
Cette croix est le signe qui relie Aristote et Christos, qu'elle soit pour toi signe de salut et de vie éternelle".

déposant la croix de baptême au fond du couffin .

valet apporta la corbeille de l’amitié pendant que LE clerc citait

"nous déposons ces présent sur ton cercueil, signe de notre amitié, signe de notre prière, signe de notre cœur".

un long silence régna que le curé décida d'interrompre par un discours improvisé sur le sir.

"Cet enterrement nous rappelle plusieurs choses :
- Le souvenir d'une Ame aristotélicien qui vient de nous quitter. D'un nourrisson pur. Qui était entouré de tendresse par Dieu. Qui a fait, ou non, l'expérience de cette tendresse.
Nous voici nombreux dans cette chapelle, autour de l'enfant de notre sœur Dame Anna, pour prendre conscience de ce lien d'amour qui l'a toujours uni a Dieu, qui unit Dieu à chacun de nous, à tout instant.
- La mort viendra pour chacun de nous. pour les uns tôt, pour les autres plus tard. Pour les uns dans leur jeunesse, pour d'autres dans leur vieillesse.
Dieu nous prévient : "Soyez prêts, soyez toujours prêts car vous ne savez ni le jour ni l'heure".
Aristote nous a guidé et Christos nous invite à prendre exemple sur lui, à trouver notre joie à vivre pour les autres, à aimer comme ils nous ont aimés.
Notre présence ici est prière. Nous invoquons Aristote qu’il mesure les péchés de notre frère et que Christos intercède auprès du divin pour qu’il le reçoive en son Paradis.

Joignant ses deux mains, il se dressa face au défunt

Confessons à Dieu, dans le silence de nos pensée, nos péchés, afin que nous puissions être pardonnés. guidé par sa lumière vers un chemin de vérité qui nous mènera a son paradis

Amen
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Atirenna

De nombreuses bougies laissaient perdre ce parfum de cire chaude, l'encens mêlé y laissait une atmosphère apaisante, alors que Lilou réconfortait d'une main silencieuse la douce Anna dans ces moments de peine profonde... Ati en fit de même, en en éclairant une près de l'enfant... baissant les yeux et priant pour que son âme soit accompagnée de ses propres enfants, afin qu'il ne se retrouve pas seul auprès du très haut, puis sa main se posa de la même manière sur l'épaule de son amie, sans exprimer de mots futiles, sachant qu'elle comprendrait qu'elle aussi était là, comme ses amies qui avaient su l'entourer de leurs bons soins affectifs !

Retournant sur le banc, elle resta un instant debout pour la suite de l'office, ses mains étaient jointes et son regard fermé, cherchant au fond d'elle même les phrases qui sauraient justifier une prière afin que le très haut prenne avec lui cette petite âme qui n'avait pas eut la joie de connaitre la vie, et le bonheur d'être le fils d'une femme merveilleuse...

la suite de la messe se fit dans le silence des paroissiens, laissant l'officier de cette église prêcher et bénir Julius... toute la peine qui régnait dans ces murs était palpable, le coeur de tous battait à l'unisson avec celui de la mère, cette mère qui n'avait de regard que pour son enfant partit trop tôt !
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Merci de tout mon coeur à Sabwoody

Anna295

Anna vivait cette cérémonie comme dans un brouillard. Ses amis étaient là, mais elle n'avait yeux que pour le couffin ou se trouvait son Julius...
Une main amicale sur son épaule, un sourire de compassion une présence, tout cela glissait sur elle comme si elle se trouvait seule dans l'église.

Elle marmonnait les paroles qu'il fallait au moment ou il fallait mais son esprit et son coeur étaient concentrés sur cette petite forme. Elle se leva au moment opportun pour faire une lecture. Oroch lui tendit le livre et c'est avec toute la peine du monde qu'elle accomplit la tache qui lui revenait.

L’éclipse VII: Le Paradis a écrit:

Citation:

Nous nous approchâmes si près de l’astre divin que des flammes de plusieurs lieues de long nous frôlèrent. Je me demandai si je n’allais pas partager avec les sept Archanges une bien funeste fin. Mais Michel, sur lequel j’étais toujours juché, me dit: “N’aie crainte et regarde.”. Je vis alors les flammes qui couvraient le soleil s’ouvrir, pour laisser place à un magnifique spectacle. Sous cette couche brûlante se trouvait ce dont j’avais entendu parler depuis ma plus tendre enfance, sans jamais savoir ce en quoi cela consistait : le Paradis!

Nous atterrîmes dans un lieu magique. Tout était baigné d’une douce lumière. Où que je regardais, je ne trouvais pas la moindre obscurité. A perte de vue, il n’y avait ni habitation, ni la moindre construction. Ceux qui avaient faim se servaient sur les arbres fruitiers. Ceux qui appréciaient les plaisirs de la détente s’allongeaient dans l’herbe. Des enfants jouaient innocemment, riant et courant à travers les hautes herbes

Elle retourna ensuite à sa place, les épaules voûtées sur son chagrin. Des pensées si noires tournaient dans sa tête. Il était temps pour elle d'aller voir sur les routes des royaumes si elle pouvait au moins alléger un peu le fardeau qui pesait sur ses épaules si frêles. Oui il était temps de faire quelque chose.

Se redressant elle avait pris une décision. Elle allait se remettre sur pied physiquement puis aller chercher ailleurs un peu d'apaisement. Elle écouta donc le reste de la cérémonie un peu plus sereinement.
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Semper fidelis...

Oroch

Merci dame Anna , une lecture émouvante qui nous rappel que notre enfant pur qui mérite ce paradis . nos prière comptent pour lui car Dieu est dans sa clémence ne châtiera pas une âme pure homme aimer de tous.

"Nous allons maintenant confier à la terre le corps de notre fils dans ce lieu où reposent déjà tant de défunts de nos familles. Le moment est venu de lui dire "à Dieu".
C'est un moment de tristesse, mais il faut que l'espérance reste forte en nous. car nous espérons le revoir quand Dieu nous réunira, dans la joie de son Royaume.
Recueillons-nous en pensant à tout ce que nous avons vécu avec Julius, à ce qu'il est pour nous, à ce qu'il est pour Dieu."

prenant une chope, il versa de l'eau sur son couffin pour le lavé comme un baptême.

"Cette eau, souvenir de ton baptême,
nous rappelle que Dieu a fait de toi son enfant.
Qu'il te reçoive aujourd'hui dans sa Paix !"
[i]
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Anna295

La jeune femme écouta tristement Oroch terminer sa messe. Son esprit si décidé pour son avenir était en conflit avec ce que lui disait son coeur. Comment laisser derrière elle ce fils qu'elle a sentit grandir en elle mais qui n'a vécut qu'un instant? et par sa faute en plus, son inconscience et sa façon de vouloir faire trop vite....

Elle s'approcha donc du couffin lorsqu'elle fut sure et certaine qu'Oroch avait achevé. Elle le saisit, la mort dans l'âme. Elle ne serait plus jamais la même. Le portant dans ses bras elle tenta de ne pas regarder le petit visage qui semblait si serein. Si elle le faisait, nul doute qu'elle finirait par verser des larmes de chagrin qu'elle ne pouvait pas montrer aux autres... Non pas par fierté, mais parce qu'elle ne voulait pas de la compassion des autres. Elle était de toute façon seule avec son chagrin.

Ell sortit donc de l'église sous les regards, portant le fardeau qui peserait toujours sur son coeur.Se dirigeant vers le petit cimetiere elle s'occupa donc seule de le deposer dans le trou qui avait déjà été creusé. La fosse etait si petite! Que le Très Haut lui pardonne mais lorsqu'elle posa l'enfant au fond elle versa les larmes qu'elle retenait jusque là.

Elle pria pour son enfant. Qu'il rejoigne le paradis, lui qui n'avait pas vécut, qui n'avait rien fait de mal, qui resterait à jamais avec une âme sans tache. Elle s'agenouilla pres de la tombe en attendant que la personne qui avait creusé referme la tombe sur l'enfant qu'elle aurait cherit jusqu'à la fin de ses jours.
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Semper fidelis...

Atirenna

L'office semblait terminé, le silence était la chose la plus pesante qui puisse s'instaurer en cet édifice, la tension était telle que personne n'osait s'approcher, Anna saisit le bébé, le regard vide et perdu, mais ses pas déterminés, emportant le petit corps à sa dernière demeure...

Ati suivait le pas avec Lilou et les autres personnes qui avaient assisté à la messe, les mots étaient inutiles et rien ne remplacerait ce silence qui voulait par lui seul en dire long... la marche d'Anna se termina devant la dernière demeure de Julius, un simple trou qui devait être pour lui son lit ad vitam eternam...

Alors qu'elle gardait les yeux sur la petite âme sans vie, emmitouflée dans ces couvertures brodées, Anna laissa perdre un flot de sanglots qui arracha les larmes de l'assemblée... le visage d'Atirenna caché par ses mains, n'avait pu contenir sa tristesse, perdue dans ce désarroi que fut la perte des enfants qui étaient les siens, noyée dans le malheur qui avait atteint le coeur de son amie...

La détresse d'une mère est avant tout celle du très haut, on n'accepte pas la perte d'un enfant, et le temps ne fait qu'accroitre la douleur par son absence !!!

Le petit corps se recouvrait peu à peu de cette terre, Bayonne garderait le petit dans son ventre, et Anna voulait quitter le lieu qui lui avait apporté autant de peine... Ce fut un déchirement que de voir la mère devant son avenir de solitude à supporter cette douleur en l'absence de son seul fils !

Atirenna s'avança vers cette terre fraichement retournée, à peine posée pour le couvrir, murmura une petite prière en y posant une rose blanche, ainsi qu'une petite chaine au médaillon d'Aristote, qu'elle fit glisser sous l'amas de terre avant qu'il ne fut entièrement recouvert et embrassa le front de son amie...

Ses bras l'entourèrent enfin, comme une mère ou une soeur qui voulait partager sa peine et s'en retourna à sa place, sans mot dire... laissant le reste des amis s'exprimer en cette heure où les adieux étaient de mise...
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Merci de tout mon coeur à Sabwoody

Watelse

Georges Léonard Watelse tenait d'un corbeau croisé sur le chemin, une bien triste nouvelle. La mort d'un jeune enfant lui rappelait trop l'enfant qu'il ne connaissait pas, qui n'était peut être déjà plus. Il se souvint aussi de la cérémonie d'enterrement il y a trente ans, ...enfin, de cette fausse cérémonie religieuse où il avait fait passé le corps d'une mendiante pour celui de sa femme dans le cercueil. Cette femme qui avait fui avec son enfant dans le ventre. Peste. Il ne lui pardonnait pas encore.

C'était au temps où la famille Watelse rayonnait encore sur Bayonne La Belle. Et maintes gens avaient fait le chemin pour lui témoigner, à lui, Georges, premier du nom de la haute famille, sa profonde sympathie.

Il y avait parmi eux, une vieille femme. La mère Truie, l'appelait-on alors. Plus de famille: décimé par les famines répétées. Plus de dents de devant: elle ne parlait plus que par borborygmes. C'est pourtant de cet être crasseux qu'il dut son plus grand réconfort. Dans sa main, en passant, elle avait glissé un bout de branche de laurier.

Relevant son chapeau de devant ses yeux, et jaillissant doucement de l'ombre dans lequel il s'était bien gardé de ne pas sortir alors que le corps disparaissait sous la terre, il prit la main d'Anna, sans un mot, et lui glissa le même objet. Séché par le temps.

Sachant bien qu'elle ne comprendrait pas, il lui souffla dans le creux de l'oreille.

Pour Nous, le laurier est symbole de toute renaissance. Votre enfant renaitra aussi heureux qu'il l'était avec vous.

Voilà, ce que par grognements, la vieille Cathare lui avait rappelé ce jour là.

Il referma le poing d'Anna, espérant lui témoigner son soutien, mais surtout en cachant rapidement dans sa paume féminine ce qui pourrait le compromettre devant un curé ou un Aristolicien convaincu.
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Atirenna

Une bien triste journée qui venait de s'achever, Atirenna était réconfortée par le soutien que pouvaient apporter chacun en cette rude épreuve à son amie Anna, et elle esquissa un sourire au milieu de ses larmes en voyant Watelse faire de même...

La peine se lisait aussi dans son regard et dans ses gestes, et ce fut d'un regard gratifiant qu'elle le salua discrètement... elle avait eu par le passé à correspondre avec cet homme, ils avaient été tous deux courtois en leurs missives respectives, et en tout cela elle le remerciait intérieurement...

Tous étant égaux devant la douleur, devant la mort, ainsi que la disparition d'êtres chers... Ati avait les yeux rougis et le coeur meurtrit par tant de souvenirs, ceux ci revenant à sa mémoire à chaque fois qu'elle entrait en un cimetière, ou encore sur le parvis de ces édifices religieux qui abritaient tant de prières, avec ce doute de savoir, si celles ci étaient entendues !

Le temps était au départ, la Chancelière devait reprendre la route et Xavier avait promis de prendre soin de son amie en son absence, aussi elle espérait que les amis d'Anna encore sur Bayonne veilleraient à son moral, ce afin de la soutenir de leur mieux, car on sait que rien ne peut effacer telle souffrance !

Atirenna s'avança d'Anna, la prit encore dans ses bras et la serra.... dans un souffle, comme un murmure, la belle se pencha à son oreille, après avoir déposé un baiser sur sa joue...

Ma belle Anna... je connais ton épreuve pour l'avoir passé trois fois, la vie n'est que ce qu'elle veut être et nous ne sommes rien... nous sommes obligés de suivre ce qui est écrit dans le livre que le très haut à écrit, fussent ils bons ou mauvais, les écrits restent... l'avenir est en partie ce que nous souhaiterions en faire et désespérément nous tentons de nous accrocher à ce que nous pensons de bon... je serais toujours là pour toi... je dois partir ce soir... mais je reviendrais à un seul de tes appels...

La Dame, la mine atterrée, se dirigea vers son destrier, se tournant une dernière fois vers Anna... elle la vit entourée de ceux qui se voulaient proches, puis elle grimpa le coeur gros sur sa monture avant de partir à vive allure vers les chemins qui mènent à Mont de Marsan !!!!
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Merci de tout mon coeur à Sabwoody

Anna295

Anna toujours agenouillée devant la tombe de Julius qui se refermait doucement devant ses yeux ne voyait même plus les larmes qui lui brouillaient les yeux.

Elle ne remarqua pas tout de suite l'homme qui sortit de l'ombre furtivement. Ce n'est que lorsqu'elle sentit sa main saisie qu'elle leva les yeux et vit Messer Watelse. Du revers de la main les larmes furent essuyées.
Elle reconnut dans les yeux de l'homme avec qui elle avait put avoir un jour des chicanes bien innocentes , qu'il connaissait d'une certaine façon la douleur qu'elle ressentait elle même.
Elle sentit dans sa main glacée ce qu'il y avait glissé et ne comprit pas. Elle entendit ses paroles d'espoir qui peut être un jour trouveraient un écho au fond d'elle. Il referma ses doigts sur la branche de laurier. Elle répondit à ce geste par un demi sourire dans lequel elle espérait avoir mis ses remerciements pour ce soutient inattendu, cette discrétion en accord sa propre douleur...
Elle mit donc le présent dans sa besace et se promis de le mettre en sureté rapidement.

Son amie Atirenna, celle qui avait accouru dès que la nouvelle s'était répandue, celle qui serait toujours là pour porter secours même contre sa propre volonté, la pris dans ses bras pour un au revoir. Quelques paroles réconfortantes, et la voilà qui repars vers sa destinée.

Anna le vit comme un signe. Il fallait qu'elle fasse de même. Courageusement il faudrait surmonter les épreuves dans la solitude. Même si de toute part on avait tenté de la briser elle n'avait jamais que ployé. Ce dernier coup venant cette fois du destin, elle le surmonterait coûte que coûte et elle referait sa vie. Sans homme sûrement puisqu'ils ne sont pas dignes de confiance et avec très peu d'amis, puisque hommes ou femmes ils trahissent eux aussi parfois. Sa devise toujours gravée au fond de son coeur: Semper fidelis!

La jeune femme s'éloigna donc après un dernier coup d'oeil à la tombe. Celle ci resterait sûrement nue de toute inscription à part un prénom, son enfant n'étant pas autre chose finalement qu'un bâtard aux yeux de l'Église....
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Semper fidelis...

Lora1

Lora était restée assez discret, elle savait que pour le moment Anna avait besoin de se retrouver. Elle s’approcha de la tombe du petit et y déposa quelques fleurs.

Lora ne se laissa pas aller, elle devait être forte pour son amie qui avait besoin d’elle malgré ses souffrance, elle n’avait rien dit en ville seule Mu et une amie était au courant du chagrin qu’elle portait en elle.

Elle s’éloigna et alla passer son bras au tour d’Anna afin de la soutenir et lui montrait qu’elle était là si elle en avait besoin.
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Michoumichou

mimi et son mari arrivent aleglis et priee .mimi regardee leglise de son enfance et navais pas changee . elles prias avec son epoux
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Roronoa

Roro était content d'être arrivé dans la ville qui avait vu naitre la femme de sa vie.
Roro entra dans l'église main dans la main avec son épouse et ils prièrent, remerciant Dieu pour leur bonheur.

Une fois terminé Roro déposa un léger baiser sur les lèvres de sa douce et lui dit une tendre "je t'aime"
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Bubull

Bull approchait de la tombe de son son fils Julius avec son amie Lilou. Il vit la tombe saisie la mai de son amie.

Excuse moi !

Bull lui lâcha la main et lui dit:

Je pensais pas que ça m'arriverai un jour, et maintenant que ça m'arrive, j'ai le coeur brisé.

Bull laissa couler une larme avec une petite prière, puis s'en alla.

Nounours31

Nounours arriva pres de l'église, lieu qu'il ne fréquentait presque jamais.
Mais ce n'était pas l'édifice religieux qui l'interessait. Il venait pour la tombe du petit d'Anna et Bull.
Malgré les problemes que ces deux la avaient rencontré, ils avaient failli avoir un enfant. Bien que tous ces problemes l'eut attristé, Nounours avait quand même préparé a sa maniere l'arrivée du petit avec une certaine joie bien dissimulée...
Il vit Bull s'éloigner et s'arretta, le temps qu'il s'éloigne. Il voulait être seul. Une fois Bull parti, il s'approcha de la tombe et murmura dans sa barbe :

"Je t'aurais consideré comme un neveu..."

Il posa un petit lion en bois qu'il avait sculpté dans son atelier pour le petit Julius, ainsi qu'une fleur et soupira... Il resta quelques instants a se poser des questions existentielles, mais les repoussa tres vite avant de chopper une méningite, puis s'en alla...
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Lilou_corsu

Lilou arriva avec Bull devant la tombe de Julius. La période était difficile pour certains d'entre eux.
Attristée devant la tombe, Lilou se remémorait ces dernières semaines, les yeux remplis de larmes qu'elle s'efforçait de garder.
Serrant la main de Bull, ils repartirent tous les deux en silence.
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Madcat

Dimanche, c'était de nouveau Dimanche! Mad était étonnée de la rapidité du temps qui passe. On n'était que de passage sur cette terre et le voyage se faisait si vite, qu'à peine arrivé on devait déjà repartir. Mad, résolument mélancolique par cette froide journée de Janvier, gravit les marches qui menaient à la grande porte de l'église, poussa le lourd battant et pénétra dans le sanctuaire, où un seul cierge allumé éclairait faiblement l'autel. Elle se glissa sans bruit derrière un pilier et s'assit sur son banc habituel, à l'abri des regards des autres fidèles. Quoique ce matin là elle n'eût pas à craindre les regards indiscrets, Bayonne dormait sous un manteau blanc et les Bayonnais n'avaient pas quitté la chaleur de leur foyer. Mad ferma les yeux, joignit les mains et se plongea dans la prière... ou plutôt la méditation...
Un long moment passa, dans le silence feutré, parfumé à l'encens, de l'église. Mad poussa un soupir et se leva, il était temps de retourner aux affaires terrestres, la ville avait besoin de son maire. Elle sortit dans le froid glacial, où tout semblait figé, et prit le chemin de la mairie, tête baissée contre le vent qui semblait vouloir l'empêcher d'avancer.
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Watelse

Georges Léonard Watelse n'était pas de confession aristotélicienne. Ce secret bien caché, il espérait le garder au plus profond de lui-même, afin de se protéger d'attaques d'hommes d'églises à l'esprit si souvent étriqué. Ce n'était donc pas pour prier qu'il se dirigea vers l'église.

La tempête blanche l'empêchait d'y voir clair sur le trajet. C'est ainsi que le vent le projeta sur la mairesse, Dame Madcat. Grognon, il siffla, plus glacé que le vent d'hiver:

Dame ouvrez donc vos paupières quand vous gambadez dans un temps semblables! Vous avez failli faire mourir le plus ancien habitant de votre chère ville...

Il distingua alors les traces de pas dans la neige que la mairesse venait de tracer pas à pas: elle venait de l'église.

Peut-être avons-nous pensé à la même chose... Je m'en venais à l'église pour m'assurer que l'édifice serait l'endroit le plus sûr et le plus solide pour accueillir les Bayonnais en cas d'attaque de brigands. Une place forte pour les protéger. Pour nous protéger tous...Et du clocher, nous pouvons voir fort loin leur arrivée... Peut-être serait-il judicieux de regrouper des vivres dans l'église et de préparer la population à rejoindre cette place sûre... Enfin, voilà ce que pense le vieux de la vieille de Bayonne...
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Madcat

Mad marchait contre le vent, qui lui soufflait de gros flocons de neige dans la figure. Elle avançait sans trop savoir où elle allait, ou plutôt elle fonçait tête baissée, les yeux à demi fermés pour ne pas être aveuglée. Soudain un obstacle inattendu se dressa en travers de son chemin. Elle ne se rendit tout d'abord pas compte de la nature de l'obstacle, mais la voix bougonne et mécontente du Sieur Watelse la renseigna bien vite.

Citation:

Dame ouvrez donc vos paupières quand vous gambadez dans un temps semblables! Vous avez failli faire mourir le plus ancien habitant de votre chère ville...

Complètement déséquilibrée par la collision, Madcat, pour ne pas tomber, s'accrocha au manteau du vieil homme tout en s'excusant copieusement de son manque d'attention.

Oh, Messire Watelse, je suis désolée, je ne vois rien du tout dans cette tempête et l'on m'attend à la mairie, devant le regard furieux qui la toisait, Mad s'empressa de lâcher le manteau et de reculer d'un pas.
Soyez assuré que je n'en voulais point à votre vie!

Cependant la voix et le visage du vieillard se firent moins désagréables quand il se mit à expliquer pourquoi il se trouvait dehors, à deux pas de l'église, par ce temps épouvantable. Il pensait même que Mad était là pour les mêmes raisons.

Citation:

Peut-être serait-il judicieux de regrouper des vivres dans l'église et de préparer la population à rejoindre cette place sûre... Enfin, voilà ce que pense le vieux de la vieille de Bayonne...

Je vous avoue, Messire, que je n'étais point venue pour cela, mais votre idée est excellente. Depuis que les églises existent, elles sont un lieu de recueillement certes, mais aussi un refuge pour tous les malheureux cherchant à fuir un éventuel danger. Notre église est vaste, solide et sa porte est suffisamment épaisse pour résister à l'assaut d'un bélier. Je vais de ce pas avertir les conseillers qu'il faut songer à y entreposer de la nourriture et de l'eau en quantité suffisante pour soutenir un siège. Je vous salue, Messire, ne restez pas trop longtemps dehors. A votre âge un mauvais refroidissement est vite attrapé et il est très difficile de s'en remettre.

Après cette recommandation, Mad resserra sa cape autour des ses épaules, remit son capuchon, qui avait glissé pendant la conversation, et repartit lutter contre les attaques des rafales de neige, qui menaçaient de la renverser.
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