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[RP] Le jardin des amoureux

pnj
Ciji enfin de retour à blaye, entra dans son jardin elle se dirigea vers la cascade.
Elle était fatiguée de ce long voyage. Elle savait que Oz était là, en l'attendant, elle s'allongea dans l'herbe et s'endormit paisiblement, elle sentait sa présence et entendait ses paroles :

Dors ne réveille pas tes yeux d'océan
Dors laisse ton âme libre
Aux désirs que tu crois
Garde ta flamme vive
Je serai toujours là
Même si tu ne me vois pas
Dors ma petite fée, mon cœur, mon ange
Oz66
Oz entendis du bruit derierre lui
il lui semblait que quelqu un ete allonge dans l herbe
il s approcha doucement
et la il apercut ciji allonge dans l herbe
elle devait etre fatiguee de son voyages
il hota ca cape et la deposa sur elle pour pas qu elle prenne froid
enfin te revoilla ciji
dit il dans un soupir
Bridgess1961
Bridgess ne trouvait pas le sommeil ces jours ci, très tard ou très tôt le temps elle le sait pas, seulement tous dormaient et certains étaient déjà partis au labour.
Elle eue sont besoin de la nature faire surfasse et repris la route vers le jardin.
Elle entra en serrant son châle trop frais pour la saison, En marchant elle retrouva le calme que lui prodiguait le jardin.

*Tout change pourtant ici tout s'embellit.*

Elle réalisa que même la température d'automne ne faisait qu'embellir le paysage sans déranger à son bien-être.
Elle longea donc le chemin de son habitude, les cèdres et le bassin aux nenuphars,elle vit le saule et la tonelle, puis se decida pour le chêne et alla s'y asseoir et s'appuya contre le tronc solide.

Ayant passer une partie de la nuit a reflechir sans trouver de réponse, une chanson lui vient en tête.




-Oui je me demande?
Kronembourg
Fuir. Fuir et disparaître. Non comme l'animal traqué mais comme le prédateur qui dans un ultime remord fait volte-face à sa proie.

Au dehors il gelait terriblement, la pleine lune dans le ciel devenait presque transparente. On vit une silhouette filer dans la nuit.
L'homme était arrivé bouillonnant dans le jardin, torse nu d'où s'échappaient des vapeurs animales, les mains et les doigts glacés. Mais son esprit entrait dans une chaleur si lourde au contraste des piqures du froid qu'il éprouvait presque des vertiges de chaleur.
Vertiges de chaleur ou peut-être de colère, l'important était de fuir.

Ainsi le Barbu Bourru, le BB comme on le surnommait, détalait comme un diable à travers le jardin. L'oeil fou de ne même plus comprendre pourquoi il en était arrivé là.
Autour de lui, des arbres en forme de grands bambous se haussaient puis s'entremêlaient en échangeant leurs feuilles dans des attitudes chancelantes d'amants déchus. Plus bas, les premières ronces de l'automne taillées en fers de lance s'offraient en maîtresses au grand Bourru, s'arrachant en elle-mêmes pour lui saisir les jambes et l'embrasser sous la violence de leurs caresses sanglantes.

Fuir, courir encore. Comme au lever du drapeau au sortir d'un grand sommeil. Ne plus comprendre ce qu'il faut faire. Le faire parce qu'il faut le faire.
Aux quatre angles s'enfoncer dans une obscurité où se distinguait une débauche de feuilles et de branches plus furieuse encore. Sentir ses muscles se tendre et continuer l'effort au delà de son corps.

A souffle rompu Kro se savait déjà perdu. Une farandole d'herbes vivantes dansait autour de lui, formant des rideaux opaques de bras élancés qui sans fin se rejoignaient dans des spasmes d'amour, se cherchaient, s'enroulaient puis se rejetaient les uns les autres pour mieux se retrouver ensuite.

Le froid, à travers ses morsure, lui brûlait le torse et le dos. Mais Kro s'enfonçait encore dans sa cavale effreinée, griffé par les branches, aveuglé par la nuit, pris de cauchemars dans lesquels il entendait encore sa voix d'homme assouvi, ses soupirs d'extase, ses rires avec elle.

Fuir, fuir et oublier. Ne plus lui faire de mal. Redevenir le féroce qui sommeille et qui sait vivre sans personne. Ne plus ouvrir aucun courrier, rester sourd. Déserter les tavernes, avancer seulement droit devant, toujours plus loin sous cette lune qui bougeait au fur et à mesure de la nuit, tournant, déplaçant les reflets, animant le drame de sa lumière changeante.

Dans sa course folle Kro se croyait parfois secoué d'un tremblement de terre, comme si le sol lui-même, dans une crise de rage, eut éclaté en sanglots. Mais Kro serrait encore la machoire, refusant ses sens aux senteurs âcres et profondes du bassin des amoureux, là où de longues tiges mauves, blanches, rouges s'offraient aux yeux des amants, là où s'exhalaient mille parfums de fleurs et de verdure, mélangeant leurs notes subtiles à des odeurs fruitées, que seuls les amoureux ont le droit de respirer.

Il stoppa sa course au plus profond du jardin. Essoufflé et transpirant à chaque parcelle de son corps, entouré d'une fourure d'arbres noirs le mettant à l'abri de la moindre rencontre.
Là, il pourrait tuer le BB. Là il redeviendrait Kronembourg le Soldat Sanguinaire. Là il oublierait sans doute, le temps d'un départ prochain, ce que signifie l'expression "être fou amoureux d'une femme".
Aradiia
Aradiia prise d’insomnies comme presque chaque nuit, voulu aller voir la lune au jardin.
La nuit était brumeuse et humide et surtout le froid glaciale brûlait sa peau.
Elle marcha emmitouflée dans sa grande cape noire. Se dirigeant comme happer vers le jardin. Les pas faisaient crissés la neige immaculée sous elle.
Son âme entière remplie de son amour pour Kro l’étouffait, mais il était tard dans la nuit, lui devait sûrement dormir comme un bébé au chaud, pensait elle.

La rage et le désespoir donnaient à son visage une couleur étrange et inquiétante. Serait elle entrain de devenir folle?


Au détour d’une clairière, elle l’aperçu…

Elle ! Qu’elle cherchait du regard, fière et haute dans le ciel et qui semblait lui parler comme pour l’apaiser.
Comme un murmure délicat à peine perceptible….
« Ronces et marécages, le jeu des feux follets comme une question oubliée
Et au coeur sombre des bois les plus reculés, l'ombre d'un désir sublimé. »


Puis Aradiia murmura à son tour,


http://fr.youtube.com/watch?v=OkbCzwUNJ3A&feature=related

-Lune, reine de la nuit… Guide mes pas !
Ne soit pas si cruelle…

Ces choses dont on ne guérit pas, portés en soi pour toujours !
Le temps passé, lisse t’il l’effroi ?


Sans avoir de réponse, dans un silence noir. Elle frissonna se figeant sur place, ses jambes ne la portaient plus.Une pensée tragique voulait entrer.
« Sublimé l’épreuve…la dépassée… l’oubliée…. »

Agitant sa tète frénétiquement. Elle attrapa dans sa bouche une mèche de cheveux qu’elle mordit avec force, mais ne sentant aucune douleur ses larmes se mirent à couler.

Elle se laissa choir dans la neige sous sa cape qui tomba lentement sur elle, se refusant d’aller plus loin.
Elle se tenait là, comme une pierre sombre et abandonnée dans la blancheur vierge du tapis.


-On est glacés, on est perdus, les cœurs déséquilibrés ne battent plus pareil. NON !!!!!!!!!!!
Oz66
Ciji semblee dormir profondement
lorsque un bruit sourd de tourna l attention de oz

il releva la tete et vit KRO courrir a perdre halleine

que peux l faire la dans cette tenue il a l air boulverse
Kronembourg
Le feu avait peiné à prendre mais Kro avait appris à survivre dans des conditions difficiles.
A la lueur des flammes, tandis qu'il déposait quelques morceaux de bois à faire secher pour le reste de la nuit, il regarda un instant les lucioles qui virevoltaient autour de lui.

Des images s'imposèrent à son esprit. Leur dernier feu de cheminée, non pas celui d'hier où ils avaient chauffé leurs serviettes car ils n'arrêtaient pas de glisser, mais celui juste avant.
Celui juste avant où Kro avait connu le bonheur lorsqu'il l'avait recouverte de ses bras, à l'aube d'une nuit féérique où il s'était enivré d'elle comme le diable heureux qu'il était.
Ils s'étaient serrés l'un contre l'autre, moîtes tous les deux, sans point trop parler ; les mots à ce stade de la nuit ayant perdu leur importance...

Kro ferma les yeux. La route serait longue demain. On ne sait jamais trop où l'on s'aventure lorsque l'on est soi-même perdu.
On ignore aussi ce que l'on devient quand le regard de l'autre a perdu de sa confiance.

La course l'avait calmé, Kro était résolu à présent.
Une vie de brigand ne pouvait être pire qu'une vie d'amoureux transi. Au moins les passants, on voit à peine leurs visages...ils disparaissent comme de sombres anonymes et ne vous laissent pas le moindre sentiment... voilà ce qu'il fallait.
Blesser les autres peut-être pour panser ses propres blessures. Kro savait où s'adresser.
L'esprit en proie à mille tourments, il se coucha sur le dos, yeux grand ouverts, écrasant les feuilles gelées de l'automne, lançant un regard vers la lune, songeant aux seuls instants de douceur qu'il ait jamais connu.
Aradiia
Aradiia s’engourdissait par le froid, les frissons qui la parcouraient l’empêchaient de penser. La nuit l’enveloppait de son manteau comme les bras de son aimé sans qu’elle ne puisse à présent réagir.
Ses membres la piquaient tant que la douleur insoutenable la fit revenir à elle.

Elle se releva avec peine il fallait qu’elle marche pour sentir le sang couler à nouveau dans ses veines. Ses pas se faisaient lourds, les marques sur la neige dessinaient des serpents derrière elle.


Marcher …marcher encore !


La nuit se faisait de plus en plus sombre seul le visage de Kro lui souriant la hantait, le besoin d’être auprès de lui, dans ses bras accueillants et protecteurs.
Celui à qui elle avait dit oui pour toujours…Dont elle était éperdument amoureuse. Son odeur, sa chaleur son amour tout lui manquait à en mourir.

Comment avait elle pu douter un seul instant de lui, LUI sans lui elle n'était plus rien!

Devant elle, des enchevêtrements de branches et de racines de hautes herbes qui rendaient son parcours difficile, elle s’engouffra dans les bois.

Au loin, elle aperçu une faible lumière, un lumière mouvante rouge orangée.
Un feu, pensa t’elle.
Qui pouvais être là, à cette heure de la nuit ? Au fond des bois.

Elle devait savoir et s’approcher encore. Ne regardant que la lumière devant elle, Aradiia trébucha sur une racine et s’accrocha à une branche pour ne pas tomber.
Cela fit un bruit sec dans la nuit et la figea sur place. Attendant un instant, elle tendit l’oreille puis s’avança pas à pas.

Le feu se trouvait à présent tout proche, elle entendait son crépitement et de grandes flammes dansaient laissant s’échapper des morceaux de bois enflammés.
Mais soudain, elle vit allongé sur le sol une masse comme une forme humaine. Aradiia ne pu retenir un cri, terrorisée.

Reculant d’un pas elle resta là devant.
pnj
ha quel belle journée de fin de d'automne froid, mais l'air pur lui sera bénéfique, et différente de la poussière de la mine de pierre, et Francine décida de passer par le jardin.


Quel magnifie panorama s’ouvrait a ses yeux, avancant d'un pas rapide, Francine y déposa sur son chemin 2 petites pierres mythique qu'elle avait pris soin de bien polir.

Et le froid l'oubligait a accélérer, pour aller se rechauffer chez elle.
Kronembourg
La bête, toujours allongée sur le dos, gardait les yeux grands ouverts. Les dernières lucioles en vie dansaient encore autour du feu crépitant, comme dans un rite macabre et meurtrier dont chacun connaissait l'issue.

Devant ses yeux, toujours la lune. Des souvenirs de guerre, de corps lacérés aux champs de bataille sur lesquels marchaient les armées de Guyenne. En rang, les bottes maculées du sang de l'ennemi.

Puis les promesses d'une femme. Ils allaient s'amuser sur les grands noeuds. Suspense de journées jamais identiques et discussions grivoises dans les repaires entre initiés en fin de soirée. Semer la terreur dans les villes, créer des bagares en taverne...

Mais gravé en lui le visage d'une autre femme, sa princesse Aradiia, son ange qu'il aimait par dessus tout.
Kro lui avait fait tant de mal. Au fond de lui il se perdait encore dans la sensualité de ses gestes et la maladresse de ses mots, dans leurs partages, leurs morsures et leurs fou-rires.
Tant d'émotions partagées en si peu de temps, ce temps qui lui échappait complètement aujourd'hui...

Un bruit de branche craquée vint se mêler au crépitement du feu. Kro se redressa, aux aguets, ramassant son épée qu'il brandit droit devant son torse nu. Puis un cri de femme en danger, probablement égarée dans ces bois, le ramena pour de bon à la réalité.
Il s'approcha comme une bête tremblante en maintenant son épée en avant, s'enfonçant dans le chemin par lequel il était arrivé, guidé par une ombre féminine qu'il distinguait de plus en plus nettement.

Kro savait au fond de lui que c'était elle... ce ne pouvait être qu'elle. Il n'y avait qu'elle pour risquer sa vie au fin fond du bois perdu derrière les jardins.
Sans un mot il lâcha son épée et vint vers elle, la trouvant grelotante, magnifique sous sa cape. Il lui tendit la main, espérant qu'elle la prenne, sentant déjà son coeur s'emballer plus vite que ne tournait le vent entre leurs deux ombres.
Aradiia
La masse se leva et prit forme humaine, grande et massive, une épée à la main.
Hésitante Aradiia voulait fuir se sentant à présent menacée. Mais elle ne bougeait pas, seul de petits tremblements lui secouaient son corps raidi. Malgré la bise qui giflait ses joues, elle sentit des gouttes de sueur perlées sur son front. Elle resserrait ses points bleuis sur sa cape, regardant la forme approchée l’épée brandissant vers elle.

C’était la silhouette d’un homme de guerre sachant attaquer et se défendre ! Cela se voyait et terrifiait Aradiia. En s’approchant elle devina à présent. Un homme à moitié nu se tenait devant elle près à bondir.
Elle le reconnu soudainement quand il lâcha l’épée, la silhouette se transforma, s’arrondie s’affaissa presque, pour devenir l’ombre si familière de son Kro.
Dans un bruit sourd l’épée tomba dans la neige. Elle ne regarda que la main de l’homme qui s’avança vers elle.
Elle lui posa doucement la tienne et la resserra le plus fort qu’elle pu. S’avançant elle ouvrit sa cape, la passa non sans mal aux dessus de ses épaules en se hissant sur la pointes des pieds.
Sa gorge serrée, elle rapprocha sa tète vers le cœur de son aimé.
Oz66
Oz s apprêtait à partir lorsque qu’un cri de femme le fit sursauter
Quel es se cri de femme par cette nuit froide se demande oz
Intrigue et son devoir de sergent le décide a l allez vers la direction des cris

A travers ronces et fourrée il aperçu une lueur jaunâtre et des bruits de crépitement comme un feu de camp

Il pensant à des brigands

Doucement il s approcha et la qu’elle surprise KRO et Aradiia main dans la main c est sur ils étaient fait l un pour l autre ses deux la

Oz décida de rebrousser chemin ma place n étais pas ici

En faisant volte face un bruit au sommet d un arbre attira son attention

Mais oui oz se frotta les yeux une fois puis deux

Se pinça même

La sur une branche s été bien cupidon prés a envoyé une flèche vers les deux amoureux
Kronembourg
Au coeur de la tempête les arbres s'enchevêtraient en dessinant des formes étranges de bras suppliants.
Les branches déchaînées se balançaient sous l'emprise du vent furieux qui par bourrasques précipitait de violentes chutes de neige, tournoyant autour des deux corps unis par le toucher de leurs mains.
Au loin on entendait des hurlements de chiens, de loups, peut-être ceux des hommes du guet qui par la nuit s'en allaient chasser les brigands.

Face à Diia, face à sa Divine, Kro croyait encore à une apparition. L'animal qui sommeillait en lui ne pouvait se résoudre à cette rencontre inespérée.
Celle par qui tous ses désirs prenaient vie, celle qui d'un geste transformait la bête en homme s'était perdue ici, au beau milieu de la tempête, guidée par un instinct surnaturel.

Lorsque Aradiia ouvrit sa cape pour venir l'entourer d'un geste d'une beauté féérique, Kro lui prit la taille et la serra très fort dans ses bras. Elle posa doucement sa tête contre son coeur, c'est alors qu'il prit conscience de toute la chaleur qu'elle apportait dans sa vie. Probable qu'il serait mort sous la neige si elle n'était pas venue le trouver. Probable que la bête se serait tuée d'elle-même, prise à son propre piège dans ces bois perdus.

Kro releva le visage de Diia, il sentait son corps transi grelotter contre le sien mais fou de désir, il ne pensait qu'à l'embrasser et se griser de son visage, la toucher, ses joues, sa gorge, son nez, l'embrasser encore.
Un instant il voulut tomber à ses genoux, lui supplier son pardon pour tout le mal qu'il lui avait fait, mais il n'avait la force que de saisir ses mains et de croiser leurs doigts tout en continuant de perdre ses yeux dans les siens.

Peut-être allait-il quand même mourir, envahi trop longtemps par la tempête de froid qui s'était abattue sur Blaye. Peut-être la bête avait-elle gagné finalement. Mais Kro en cet instant ce ne s'en souciait guère, il tenait contre son corps la femme la plus désirable au monde et le reste, comparé à elle, avait perdu toute son importance.
pnj
Ciji entra dans le jardin, rien n'avait changé, tout était magnifique, les fleurs, les allées de gravier et de terre battue ratissées comme des oeuvres d'art, les tapis de verdure scintillants, les petites haies taillées en douces vagues, elle regardait tout avec amour.

Assise sur un banc, elle pensait à lui, à tous ces voyages qu’ils avaient entrepris, surtout à quel point elle l’aimait.

Depuis son retour à Blaye, elle venait chaque jour pendant des heures l'attendre en espérant le voir arriver
Piquant
Après avoir fait le nécessaire dans leur village d'origine, Piquant avait entrepris le voyage vers Blaye afin de retrouver celle qui depuis toujours faisait battre son coeur. Il ne l'avait pas vu depuis de longues semaines, mais il savait qu'elle vivait des momments difficiles et s'en voulait de ne pas être présent.

Dès son arrivé, il se dirigea vers le fameux jardin, car il savait qu'il retrouverai sa belle dans ce délicieux endroit. Il était sur d'une chose, ils s'installeraient ici et demanderai à Ciji sa main.
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