[RP] L'Océan... Vers le grand Bleu

Kronembourg

Les deux bouricôts, les deux vaches et le sanglier avaient indiqué à Kro le chemin de la plage qu'il avait presque oublié.
Autrefois les habitants de Blaye venaient s'y retrouver pour échanger quelques paroles tout en caressant le sable blanc, promener leurs pensées, leurs impressions, parfois même ils participaient à des jeux ou venaient ici sifflotter quelques airs de musique qu'ils avaient dans la tête.

L'océan n'avait presque pas changé.
Les vagues glaciales et tumultueuses de l'hiver avaient laissé place à de calmes ondulations printanières ; l'horizon, lointain, était toujours aussi fascinant.

Lentement, la nuit coulissait vers le grand théâtre de son règne.

Kro s'arrêta un instant pour contempler la splendeur de l'infini face à lui. En cet instant Diia lui manquait plus que jamais, lui qui l'aimait infiniment ... aussi, hésitant à rentrer, il décida de l'attendre ici, en compagnie de leur petite famille.
Tout au long de leur voyage il avait espéré cette intimité avec elle. Les surprises de la vie avaient fait que ce soit en rentrant chez eux que les deux amoureux devaient enfin se retrouver seuls.

Tant de villes parcourues si vite qu'ils les avaient à peine regardées, oubliant parfois même de se regarder eux-mêmes face à la précipitation chaque soir de refaire leurs bagages pour de nouveaux voyages nocturnes.
Diia lui manquait, oui, Diia et Kro lui manquaient éperduement.

Le grand homme s'assit au beau milieu de l'immense plage déserte, le regard rêveur, revoyant dans sa mémoire le merveilleux visage de sa princesse.
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Aysun

Sans trouver Kro chez eux au retour de sa découverte du matin. Aradiia se dirigea d’un pas rapide et décidé vers la plage.
Autrefois elle y avait fait une rencontre insolite dont elle se souvenait encore. Le rappel de cet étranger accostant sur la plage se fit précis dans sa mémoire.
Elle se glissa dans sa cape serrée sur les épaules réflexe après un perceptible frisson.

Le bruit incessant des vagues s’échouant sur la plage dans un fracas se faisant plus proche a mesure qu’elle avançait.
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Le vent leva ses caresses brutales frôlant la surface de sa peau et pénétrait sans pudeur sous sa cape. Une bataille engagée elle marcha comme happée par l’immensité qu’elle aperçu devant elle.
Les yeux fixés sur l’horizon, elle se laissa porté un court instant regardant le soleil se coucher. Il avait trouvé sa couche et revenait chaque soir se noyer dans la mer cristalline, elle qui ondulait de ses formes graciles et changeantes.

Aradiia ne se laissait pas prendre à son jeu, et parcouru des yeux le banc de sable. Le dernier rempart usé avant la vaste étendue captivante.

Au loin se formait un groupe de silhouettes, dont une se tenant parfaitement immobile et imperturbable face à la mer. Les autres gesticulaient autour tel des feux follets.
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Son cœur s’emballa tandis que les traits de son visage épousèrent les rayons orangés du soleil offrant plus qu’un maigre reflet sur l’eau.

Elle savait que c’était lui, Aradiia partit vers lui à toutes enjambées.
Kro !! Kro… attends moi !!
Chacun de ses mots mouraient autour d’elle coupés par le vent.

Sa folle course bras tendus pris fin dans les bras de son fiancé ou elle trouva refuge.
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Kronembourg

La nuit s'enfonçait inexorablement dans les voiles obscurs de sa souveraineté implacable.
Les vagues si calmes il y a encore quelques heures s'agitaient à présent, poussés par le souffle puissant d'un vent fievreux. Kro recouvrit le petit ânon avec la couverture qu'il avait apporté lorsqu'il avait décidé de venir jusqu'ici.
Le froid s'engouffrait dans sa chemise qui ne cessait d'onduler, malmenée par des bourrasques soudaines qui par acoups venaient tourmenter ce paysage pourtant si paisible durant la journée.

Puis soudain, il l'aperçut. Approchant telle une vision féérique au beau milieu de la nuit.
Plus belle, plus envoûtante encore ce soir qu'elle ne l'avait probablement jamais été.

Il se tourna vers elle, le coeur battant à tout rompre, fasciné par cette façon qui n'appartenait qu'à elle de se mouvoir ; cette façon si légère, immatérielle, presque surnaturelle d'apporter l'univers à elle, de faire oublier tout ce qui existait autour d'elle.

Deux ombres prises au contre-jour des reflets de la lune sur l'océan ... deux ombres si difficilement séparables l'une de l'autre, deux ombres qui n'aspiraient qu'à se fondre et se mélanger à jamais.

Diia l'appelait.
Au son de sa voix les jambes du soldat se mirent à trembler ; troublé, tellement épris de sa princesse que bien souvent il s'en trouvait paralysé, comme si l'avènement de leur amour lui faisait plus peur encore que toutes les guerres qu'il avait traversées, toute la misère humaine qu'il avait vu et connu à travers les villes du Royaume.
Sans doute Kro l'aimait-il trop.
Elle était une telle pierre précieuse à ses yeux,elle méritait tellement ce qu'il existait de mieux que le géant se tourmentait souvent lui-même de la seule hantise de la perdre.

Diia restait un tel mystère pour lui, une telle forêt à découvrir.

Lorsqu'elle posa les mains sur lui il crut un instant que la foudre d'un orage venait juste de le frapper. Mais non, il s'agissait juste du toucher magique de leurs peaux enfin réunies un soir de printemps dans le petit village de Blaye.
Kro y avait connu Diia, c'est également là qu'il l'avait aimée. Et aujourd'hui plus amoureux d'elle que jamais, sur cette plage, il posa les yeux sur elle et se perdit un instant dans leur trouble.

Il avait tant de chose à lui dire encore, tant de moments à partager avec elle. Son côté bourru l'empêchait bien souvent de s'exprimer autant qu'il le souhaitait mais ce soir, cette nuit, avant que Diia ne parte au couvent, il éprouvait l'irresistible envie de lui parler.
Il prononça ces quelques mots en espérant que le vent ne les emporteraient pas au loin.

D'ici peu tu vas partir et je veux te donner rendez-vous ici, sur cette plage, pour le soir de ton retour. Je t'attendrai.

Il parcourut un instant chaque contour de son visage comme pour le graver dans sa mémoire à jamais.

Je voudrais te donner quelque chose avant que tu ne t'en ailles, quelque chose que j'aurais dû te donner il y a bien longtemps mais... les évènements ont fait que le moment ne s'est jamais présenté.

Il sortit de sa poche un morceau de tissus qu'il avait précieusement gardé jusqu'alors et le lui présenta d'une main temblante. De ce tissu il ôta une bague qu'il lui dévoila timidement.

Je voudrais que tu emportes cette bague avec toi chez les soeurs et que nous soyons... officiellement fiancés, puisqu'il semble que nous fassions tout dans les règles.

Il lui adressa un sourire complice, ses yeux proches de la couleur de l'océan innondant les siens d'un amour sans faille. Derrière eux, les rouleaux des vagues continuaient à se déchaîner sur plage.
La nuit leur appartenait. Kro espérait que bientôt, l'éternité la remplacerait.

Puis soudain l'homme recouvra ses esprits et, sans perdre le sourire, il posa un genoux à terre et tomba aux pieds de sa princesse.
Kro prit délicatement la main de Diia et glissa la bague le long de son doigt.

Aradiaa, acceptes-tu de devenir ma femme ? Veux tu officiellement te fiancer à moi ce soir ?

L'attente de la réponse, pas si évidente pour lui, le poussa dans les méandres d'un état d'inquiétude sans précédent. Alors il caressa sa main et, le coeur plus tremblant que jamais, l'effleura doucement avec sa bouche.
Il crut même, en approchant ses lèvres de cette main tant désirée, que la foudre venait le frapper une nouvelle fois.
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pnj

L’océan...

Des années qu'elle en rêvait.
Du haut de ses 23 ans, Bandida avait l’impression de n’avoir toujours fait que rêver. Non pas qu'elle soit une rêveuse par nature, mais... la réalité des choses, parfois vous poussait à vous retrancher derrière des images idylliques, des choses qu'on imagine, simplement pour se raccrocher à la vie, à un espoir.
Arrivée là, sur cette plage quasiment déserte, elle soupira.
Enfin, un de ses rêves s'accomplissait. Le début peut être d'une série. Sans y croire vraiment malgré tout.
Les entrailles nouées, comme chaque jour, chaque heure, chaque minute, chaque seconde de sa vie depuis quelques mois.
Elle prit conscience alors, que réaliser un de ses rêves n'enlevait rien à ce qu'on pouvait porter en soi de chagrin et de douleur.

Approchant des vagues qui lentement venaient mourir sur le sable elle regarda longuement le sac et le ressac de cet océan qu'elle avait tant attendu de voir. En silence... mais sentant monter en elle quelque chose qu'elle n'avait pu laisser s'évacuer depuis longtemps.
Relevant la tête, et laissant le vent balayer les quelques mèches qui lui couvraient le visage, elle fixa l'horizon, là bas, loin... très loin, là où parait il, il n'y a plus rien. Là encore, les minutes s’écoulèrent, le vent printanier bruissant dans ses oreilles, faisant voler ses cheveux dans son dos. L’air était pur. Son cœur ne l’était plus.

Se laissant tomber à genoux sur le sable, là, juste au bord de l’eau, elle trempa ses mains dans cette magnificence qui aurait dû la combler de bonheur. Ça n’était pas le cas. Elle s’en foutait, maintenant qu’elle y était. Les embruns venant lui picoter le visage, l’eau venant jusqu’à ses genoux lui était insignifiants.
Quand donc, quand donc pourrait-elle à nouveau sourire à ce qui l’entoure ? Quand prendrait-elle plaisir aux petites choses de la vie, comme elle le faisait… avant.
Un bruit sourd monta lentement de sa gorge, qu’elle ne put maitriser… et dans un tourbillon d’eau salée, venue, elle, de ses yeux, elle hurla à la face de la mer son dépit, son chagrin, sa lâcheté de ne pouvoir en finir elle-même avec la vie.
Son hurlement, ce cri de douleur intense s’essouffla, en même temps que ses poumons se vidèrent de l’air qui la gardait en vie.
Elle se retrouva les genoux dans l’eau, les yeux baissés sur le sable qui portait toute l’eau du monde, vidée.
Guérirait-elle un jour ? Trouverait-elle en ce village de bord d’océan suffisamment d’humanité pour reprendre gout à la vie ? Finirait elle par aller se perdre sur les chemins, attendant qu’une bande de brigands ou qu’une armée en mode faucheuse vienne lui prendre ce qu’elle hésitait à se retirer elle-même ? Sa pauvre vie…

Relevant la tête, regardant de chaque côté d’elle, elle aperçut par endroits quelques promeneurs solitaires, ou pas, qui chacun devaient trainer avec eux des morceaux de vie pas forcément agréables non plus… mais certainement aussi de grands moments de joie. Pourquoi n’y avait elle pas droit aussi elle ? à la joie, au bonheur ? Pourquoi sa vie n’avait elle été qu’un enchevêtrement de mauvaises nouvelles, de séparations, de douleurs, de morts…

Se laissant tomber sur le sable, allongée comme une enfant dans le ventre de sa mère, elle écouta ainsi l’océan pendant de longues minutes, puis se laissant bercer par le bruit des vagues, elle finit par s’endormir ainsi… les pieds dans l’eau et la tête loin, très loin… vers ce qui aurait dû faire son bonheur…
On pouvait lire sur son visage endormi non pas la sérénité de celle qui se repose, mais la douleur, qui, jusque dans son sommeil venait la tarauder, la titiller, la tuer à petit feu.

pnj

Froid – stupeur

Il fait froid lorsqu’elle ouvre les yeux. L’océan l’a bercée de son ressac et de son vent salin toute la nuit. Les pieds sont trempés, les jambes aussi. Sa maigre chemise colle à sa peau, mélangée de sable et d’eau. Ses cheveux sont emmêlés par le vent qui les a ballotés durant son sommeil, par le sable qui s’y est agglutiné, porté lui aussi par le vent.

Puis elle s’aperçoit que l’eau est loin.
Et c’est ainsi qu’elle découvre les marées. L’inquiétude tout d’abord. Qu’avait on bien pu faire de toute cette eau ? Et puis…
Elle se lève pour découvrir autour d’elle des gens qui ramassent des choses dont elle ignore même l’existence. Elle s’approche observe, note quelques coquillages et autres choses étranges amassés dans des baquets.
Silencieuse et discrète, elle navigue ainsi de bachotte en bachotte, plissant parfois le nez à la vue de certains poissons ou coquillages peu ragoutants. Et finit par s’éloigner.
Assise au plus haut de la plage, de son petit baluchon qu’elle porte sur l’épaule, elle sort une miche de pain qu’elle mange lentement, tremblante de froid, en spéculant sur la manière dont tous ces gens allaient bien pouvoir manger ce qu’ils ramassent.
Déjà peu encline à la nourriture, elle se trouve pour le coup totalement dépourvue d’appétit. Range les trois quarts de sa miche de pain restante et continue à contempler ce qui l’entoure.

Toute cette eau, où a-t-elle bien pu passer ? Elle a connu les lacs, les rivières, les étangs, les ruisseaux, les lavoirs même… et toujours l’eau était là. Filante ou dormante, mais toujours présente. L’eau pouvait donc disparaitre, mourir aussi…
Elle aurait aimé ne pas dormir, veiller l’océan pour l’empêcher de mourir. Elle aurait suivi l’eau, l’aurait retenue, aurait fabriqué des barrages… mais ne l’aurait pas laissé partir ainsi.

A peine découvert, et déjà disparu.

Pourquoi donc les gens cueillaient ils leurs trucs gluants sans s’inquiéter de l’absence de l’océan ? pourquoi ne notait-elle aucun mouvement de panique ?
Tout semblait tellement calme et paisible… les gens sont ils donc fous pour ne pas réagir à l'horreur quand elle se déroule sous leurs yeux?
D’un regard un peu bouleversé elle cherche à interpeler quelqu’un, l’alerter.. il faut prévenir la maréchaussée, le maire, faire quelque chose..
Mais personne ne remarque la présence de la tremblante et pitoyable Bandida. Là au milieu de cette grande plage, elle n’est qu’un coquillage parmi tant d’autres. Un grain de sable dans un sablier qui n’arrête jamais de couler.
Alors elle se lève, consciente que là où elle s’inquiète, les autres s’adaptent, se font à l’idée que…
Le baluchon reprend place sur son épaule, et elle jette un dernier regard là où la veille l’océan était venu l’accueillir de ses vagues caressantes. Elle reviendra. On ne laisse pas mourir dans l’indifférence. Elle trouvera au village quelques fleurs qu’elle viendra jeter ici en souvenir de ce rêve qui fut le sien.
Puis part à la recherche d’un endroit où se sécher. Une taverne certainement, là où un feu brulera peut être encore dans une cheminée. Elle ne parlera pas de son inquiétude. Elle en a déjà tellement en elle. Une de plus ne changera rien.
Mais elle reviendra…

Aysun

[un peu avant, sur le sable]

Le son particulièrement doux et tremblant de sa voix la fit frissonner, Kro la regardait avec l’intensité d’un homme passionné qu’elle ne voulait point décevoir, elle lui donnerait son âme à cet instant.

D'ici peu tu vas partir et je veux te donner rendez-vous ici, sur cette plage, pour le soir de ton retour. Je t'attendrai.

Le vent toujours plus menaçant gonflait sa cape et redoublait dans les vagues argent, balayant des nuages de sables par rafales.
Elle gardait les yeux sur Kro ne voulant pas penser aux prochains jours qui allaient les séparer. Sa voix se fondit dans la sienne.

Je serais là, mon amour je te promets.
Elle caressa avec le dos de sa main la joue froide et humide de son amoureux et lui lança un regard conciliant.

Tu sais que le temps n’a presque pas d’emprise sur nous et il mûrit toutes choses, c’est ce qui me fait tenir loin de toi.

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Aradiia souriait en pensant qu’elle ne comptait plus les jours ni les nuits de bonheur qu’elle avait connu avec Kro.
Certes les disputes les avaient déchiré jusqu’au désespoir souvent les laissant dans l’incompréhension mais pour mieux les reconstruirent comme installant leur si précieux amour dans un lit à la charpente robuste et infaillible. Bien au chaud !
Depuis le moment ou ils s’étaient croisés pour la première fois, elle n’envisageait pas le chemin sans lui.

Je voudrais te donner quelque chose avant que tu ne t'en ailles, quelque chose que j'aurais dû te donner il y a bien longtemps mais... les évènements ont fait que le moment ne s'est jamais présenté.

La jeune femme s’approcha de son aimé qui un genou a terre devant elle lui dévoilait devant ses yeux et sans plus tarder lui passa un anneau au doigt lui murmurant ces paroles.

Aradiaa, acceptes-tu de devenir ma femme ? Veux tu officiellement te fiancer à moi ce soir ?

Elle perdait pied ses chausses s’enfonçant dans le sable, elle du se s’accrocher a ses fermes épaules.
Aradiia l’enlaça de ses longs bras autour de son cou, comme pour se laisser porter elle avait besoin de le sentir contre elle. Elle posa sa joue contre son épaule et le serra très fort. Elle fixa la bague que venait de lui offrir Kro et fermant les yeux l’embrassa fiévreusement laissant coulé une larme chaude sur sa joue.

Elle la sécha d’un revers de sa manche et respira l’air marin délicatement mélangé avec l’odeur si familière de son amoureux. Elle vivait dans une plénitude le moment présent.
Sa gorge sèche lui piquait et elle du faire un effort pour sortir le OUI je le veux depuis toujours Kro! Tant attendu.

Elle sourit timidement et le pria de se lever en l’aidant.Son petit cœur battait à tout rompre dans sa poitrine et elle du faire un effort pour se tenir droite toute seule face à lui. La nuit les avait envahit complètement, elle se hissa comme dans le jardin sur la pointes des pieds pour envelopper kro avec sa longue cape.

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Ils marchèrent serré l’un contre l’autre un long moment sans rien dire, juste heureux d’être là l’un pour l’autre.
Au loin la silhouette d’une femme s’éloignait parcourant elle aussi la plage si riche de Blaye.

Aradiia s’arrêta pour embrasser passionnément Kro elle lui tendit ses lèvres qui s’unirent aux siennes dans un très long baiser. Puis elle le couvrit de multitudes de caresses et sans mot dire se tourna pour s’enfuir vers le couvent en courant.

[Plusieurs jours plus tard]

Un peu amaigri, mais avide de retourner sur la plage.
Elle quitta le couvent d’un pas pressé, la douce journée et le soleil presque au zénith appelait le printemps qui laissait de partout ses traces dans la campagne. La nature revivait et elle aussi.
Elle prie un brin d’herbe dans sa bouche et en suça la sève toute neuve.
Elle rejoint la plage sans même se rendre compte du temps écoulé et trouva au même endroit la grande silhouette sur la plage. Comme il y a quelques jours elle se mit à courir vers lui en l’appelant de toutes ses forces.
Il l’attendait en regardant l’océan.
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Elle se tenait tout près de lui, le bruits des vagues avait eu raison de sa voix et s’approchant encore elle lui posa délicatement ses mains froides sur les yeux sans mot dire.

Heidan

Le grand air du large et l'épervier avaient ramené Heidan vers les côtes de la Guyenne, non loin des plages de Bordeaux-la-Grande.
Le naufragé se dressait fier, la chemise ouverte et offerte au vent de l'Atlantique-Nord.
La plate-forme Celtique et ses émulations tempêtueues semblables aux rages qui habitaient les peuplades des terres mouvementées de la sombre Côte Ouest du Royaume de France assombrissaient les pensées de cet habitant venu dailleurs.
Qui sait ce qu'il allait trouver ici après son évasion et tous ces mois de reclusion où il n'avait connu qu'un seul ami resté sauvage à ce jour comme lui-même l'était toujours resté.

Maintenu sur son frele esquif de bois le naufragé avait suvécu à tous les dangers de l'océan : Une seule idée en tête raisonnant en son esprit comme une obsession brutale et immédiate qu'il fallait assouvir au plus vite : Elle.

Loin des yeux rêveurs des habitants de ce duché déchu il se créa son île, là tout en bas des cryptes qu'il avait aperçues en arrivant, là bien à l'ombre du reste du monde.

D'un souffle impératif Heidan siffla l'épervier.
Satan lui-même du haut de la lune l'aperçut.
Le rapace arqua un sublime demi-tour dans le ciel ; dessinant une arabesque surprenante dans le noir profond des nuits de Blaye, puis piqua du nez vers son Maître. Depuis tout ce temps passé avec son étrange compagnon de voyage tous les deux avaient appris à s'aprivoiser. Une sorte de courant-d'air glacial se forma entre l'homme et l'oiseau.

Grand, puissant et sûr de lui, hypnotisant le rapace avec ses grands yeux d'acier, Heidan leva le bras afin que l'épervier se pose sur lui.
Meurtri dans sa chair l'homme masqua sa faiblesse au prédateur qui en un tournemain pourrait retourner la situation à son avantage.

Un regard se fit pour que tous les deux se comprennent, Heidan ne s'était jamais trompé.
L'oiseau serait sa meilleure arme.
Heidan avait observé depuis le bout du monde les prodigieux dégâts que l'épervier pouvait causer autour de lui. A force de patience tous les deux avaient finis par se comprendre au nom du grand Chaos et de ses signes de ralliements.
Même s'ils s'en retournaient à présent, chacun savait que l'autre lui resterait intestinement lié.
De l'un de ces liens qui ne se défont jamais.
Jamais, plus jamais.

Piesek

je suis alle sur la plage le soleil la mer les muettes

que du bonheur

je me suis assi pour me reposer quand cette enorme vague d eau sale c est abattu sur moi

merci merci bien la mer
je me rappelerai de cette journee

mainteant je vas voir le mal dde mer

beurk beurk beurk

Rosy76

Rosy se promena sur la plage, comme elle aimait tant. La mer était comme elle, déferlante puis calme. Elle longeai sur le sable puis s'assit.
Elle aimait écouter le bruit de la vague qui s'écrase, les mouettes volaient au vent.

Elle apperçu son bien aimé, trempé jusqu'à l'os.

mon bicounet, que t'es t'il arriver ?

Rosy lui mit son chandaille sur les épaules pour qu'il ne prenne pas froid

Piesek

ma rosy il la prend bien tendrement dans ces bras et l embrasse

je suis venu ici pour prendre un peu d air fraisje suis venu me reposer quand une enorme vague est arrivée

je suis tout trompé

je cours vite vita a la maison me changer si nn je vais attraper une vilaine maladie

avant de partir il prit de nouveau son titi et l embrassa en lui disant juste apres

je t aime tres tres fort

Dzerva

hummm... première fois que je viens ici...

quelle belle vue ! je devrais passer plus souvent ! je rêve de longues promenades avec lui...

mais il n'est pas là.

je crois que je vais rentrer chez moi et dormir un peu

Rosy76

Comme souvent, Rosy aimait se promener sur le long de la plage. Le soleil me ravissait de sa présence. Il me réchauffait avec les heures, à part son coeur qui bouillonait d'amour pour son Pie. Elle se déchaussa pour fouler à même le sable, se rapprochant du rivage.

Les quelques vagues lui fouettaient les chevilles. Elle continua, à marcher, le long du rivage. Ses pensées parties dans l'horizon.

pnj

c'est là qu'elle était arrivée
c'est là qu'elle partirait

avait voulu voir l'océan
l'avait vu

avait voulu bien des choses
mais s'était plantée

avait espéré tellement
mais dans l'vide

avait connu trois quatre personnes bien
lui manqueraient

avait dit adieu à deux d'entre elles
s'était r'tenue d'chialer

avait pas pu voir les autres
le regrettait

avait trempé un pied dans l'eau
puis avait regardé derrière

avait repensé à la connerie environnante
n'avait pas de regret

sauf peut être un
n'avoir pas pu attendre l'ami qu'elle espérait voir débarquer

avait vu devant ses yeux l'enclos des ânes de son parrain
s'était dit qu'il était fort, très fort pour pas flancher

avait regardé devant
s'était avancée lentement
et s'était noyée

HRP supprimé.

Aysun

la petite fille de la mer

Ce matin dans la brume opaque et froide, Aradiia sorti de chez elle sans faire de bruit, elle prie le chemin de la plage, tenant un bouquet de fleurs à la main.

Elle voulait dire un adieu à Bandida. Cette jeune femme rebelle qui avait vécu quelques temps à Blaye tournant en rond dans la ville tel un lion en cage. Elle l’avait aimé déjà…

Comme elle la comprenait, comme elle aurait aimé qu’elle reste encore un peu.

Marchant le long de la plage, respirant l’air qu’elle ne respirait plus… Si loin, la mer l’avait emporté dans son lit glacé.
La première fois qu’elle l’avait vu c’était ici même sur cette plage, aujourd’hui déserte.

Seul le cri des mouettes tournoyant à la recherche de poissons, couvrant le bruit sourd des rouleaux des vagues. Dame nature avait repris ce qu’elle avait crée, sans remord ni pitié.

Elle s’arrêta le visage tourné vers le large regardant se lever le soleil. Il reflétait sur l’eau son habit encore blafard et changeant. Le calme apparent de l’immensité bleu acier parsemé de perles argentées, renvoyait dans les prunelles de la jeune femme son flegme tel un dialogue silencieux.

Pourtant Aradiia sentait la rage et la douleur monter en elle doucement… *Pourquoi, si vite était elle partie?*

Aradiia se pinça les lèvres pour ne pas pleurer Bandida n’aurait pas aimer voir couler des larmes sur ses joues.

Dans un geste lent le bras tendu flottant entre ciel et mer, elle ouvrit sa main et laissa échapper les fleurs de camomille qui ondulèrent attirés au loin par les vagues.

Adieu, Chère Bandida tu vivras malgré toi dans mon cœur.

Bridgess

Marchant dans la ville, les pas au hasard sans planifier, du moins elle tentait de s'en convaincre.

Elle ressentait le besoin de se rendre au grand bleu, elle y allait rarement, puisqu'elle se méfiait de toute cette eau qui ne laissait pas voir l'autre bout, trop de mystère, trop de superstition autour de cette eau qui ne savait pas rester en place.

Et ces sons audibles qui venaient du loin très loin, qui laissaient des frissons sur la peau, comme un appel de détresse, et par qui ou par quoi?, Bridg ce le demandait tout le temps lorsqu'elle les entendaient.
Certains parlaient de grands poissons, d'autres de mamiferes marins énormes, certains très gentils, certains très agressifs.

Elle vit la plage et son coeur se resserra, elle pris une grande respiration, et l'air salin lui remplit les poumons, la lune éclairait et se mirait dans cet eau qui se voulait calme pour une fois.

Bridg dû prendre tout son courage pour avancer sur le sable, elle enleva ses chausses, et traina ses pieds nonchalamments dans ses grains tellement fins sous ses pieds, elle se décida enfin à s'assoir, et ses yeux s'embrouillere, son regard se perdit dans l'infini de cet horizon qui s,allongeait devant elle.

Son chagrin la tenaillait comme une faim inassoupit. et une pression grandissait en sa poitrine, une douleur encore inconnue, son sang semblait se glacer, était ce elle ou la temperature près du grand bleu?

Elle ressera son châle mais cela ne la rechauffa pas, Mirza se glissa à ses cotes la tête basse, son instinct lui disait que se n'était nullement le temps de jouer, pas plus que cela l'avait été au verger, et elle resta encore un fois très sage, appuya son museau contre Bridg en signe de comprehension.

une musique lui vient en tête musique triste

Bridgess se leva, avanca et lança un grand crie.. pour se liberer de cette tristesse qui l'habitait depuis qu'elle avait sue pour la mort de Bandida et sa decision de marcher sur les eaux.
Puis commencant à parler au large, parler à Bandida, comme si elle aurait pu entendre.

-Alors quoi? tu voulais jouer avec les grands poissons, tu voulais vérifier si la terre est carre,
-Alors quoi? tu voulais danser avec les dauphins, et tu as oublie que tu ne savais pas nager,
-Alors quuooiii Bandiiidaaaa. Repooooooond.

Son mal là fit s'agenouiller devant la grande étendue d'eau, et Bridg frappa chaque vague qui s,approchait d'elle,
puis en chuchottant cette fois

-Alors quoi? tu voulais devenir comme ses mysteres, tu voulais devenir une sirène?

Mirza vint près d'elle comme guidee, poussa doucement Bridg de son museau en echappant des sons qui ressemblaient aussi à des pleurs.
Bridg se ressaisit, se releva, regarda la lune et leva les bras

-toi laisse Bandida tranquille,, laisse là aller vers le Tres Haut.. laisse la passer.

Bridg regarda l'horizon, esperant que Bandida y trouvera son bonheur. et reparti sur le chemin de la ville toujours Mirza pour la seconder.
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L'Océan... Vers le grand Bleu

Asophie, incarné par Sancte

[Dis, quand reviendras-tu ?]

Rien n'est jamais acquis à l'homme Ni sa force
Ni sa faiblesse ni son cœur Et quand il croit
Ouvrir ses bras son ombre est celle d'une croix
Et quand il croit serrer son bonheur, il le broie
Sa vie est un étrange et douloureux divorce
Il n'y a pas d'amour heureux*
(L. Aragon)

Une fois quittée la Teste-de-Buch, sa plage et ses vacances, elle n’avait cessé de se retourner jusqu’aux murailles de Bordeaux. Accompagnée de sa sirène et de son taciturne compagnon qui n’avaient pas voulu la laisser voyager seule, elle avait fait la route, une boule au ventre, déchirée, presque assommée. Et puis Bordeaux. L’étape intermédiaire. Celle où l’on s’arme de résolution et où l’on essaye de se vider l’esprit. En évitant de se jeter sur le vin qui y coule clairet et délicieux même si ce pourrait être un plongeon d’oubli bienheureux. S’enivrer, voyager dans le brouillard. Arrêter de réfléchir quand on la tête qui explose et le cœur qui implose. Mais la facilité, celle qui aurait consisté à s’embarquer sans se retourner, elle l’avait refusée. Par foi, par dignité, par principe. Quelles qu’en soient les raisons, elle devait aller à Blaye. Et du coup, elle cogitait sévère, conjuguant le passé, ignorant le futur, elle essayait de se rassembler. Durant des mois ils avaient joué à « je t’aime, moi non plus », faisant de leur mélodie une maladie d’amour qui allait invariablement de « je suis venue te dire que je m’en vais » à « ne me quitte pas »… Et maintenant ?

Maintenant, les murailles de Blaye se dessinaient et elle ignorait plus que jamais ce qui cachait derrière. Non pas seulement parce que c’était la seule ville de Guyenne où elle n’avait jamais foutu les pieds –honte sur elle- mais surtout parce qu’elle ignorait bien si c’était son futur ou seulement son passé qu’elle allait y retrouver.

*Louis Aragon : « Il n’y a pas d’amour heureux » (La Diane Francaise, Seghers 1946)

Sancte

Soumettant sa présence à l'usage du Dauphin, Iohannes attendit patiemment que la plage se vide pour s'y installer à son tour. Ayant descendu la dune de sable, il reprit son souffle à plein poumons, emplissant son corps d'un air iodé qui veillait à son sommeil, et ce d'autant plus qu'il n'avait guère l'occasion de le respirer en Montauban. Une fois assis sur le rivage, il attrapa sa tablette et écrit une prose sommaire à une jeune amie qui avait sobrement participé à sa campagne d'incivilisation en levant l'impôt révolutionnaire sur les chemins, sans trop de succès. Aussi, laissé seul durant cette quête, c'est sens dessus-dessous qu'il arriva à Blaye, les traits marqués par le régime draconien qu'il s'était si longuement imposé, et qui contrastait tant avec le gazouillement clair de l'eau qui une fois déversée sur le sable, se retirait inlassablement vers la mer. Son visage embarbouillé de vilaines blessures se montra dur en se portant vers la ligne d'horizons ... Son bras le lançait. Il craignait souffrir une infection. Mais en réalité, il souffrait de se rendre compte de combien son quotidien était devenu fade. Il était tout simplement en train de vieillir. Et comme tout aventurier qui constate que le plus gros de leur vie est derrière eux, il avait du mal à l'accepter.

"Ses rides sur son front ont gravé ses exploits,
Et nous disent encore ce qu'il fut autrefois." *

J'ai soif.

Il décida alors de revenir à sa chambre pour s'armer de son tonnelet de Whiskey.

Et je sais ce qui me manque.

Et il prit enfin la décision de grimper sur les murailles de la citadelle, pour épier la route du Sud ...

*Corneille - Le Cid

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Romina

Romina devait aller rejoindre son bien aimé sur la plage.Elle s'avancait pieds nus, dans le sable mouillé. La mer etait belle, le vent caressait son visage . Elle se sentait d'humeur heureuse.

Au loin, elle aperçut deux personnes qui devaient parler.

Elle s'avancait doucement et reconnut Sil.

Heureuse elle se mit a courir sur le sable fin et se jeta dans ses bras.

- Oh pardon Dame, j'interromps votre conversation avec mon bien aimé

Romina fit un sourire prit la main de Sil dans la sienne et lui murmura doucement

"je t'aime mon coeur". Rentrons chez nous.

Silurius

silurius expliquait son amour pour romina à nala, quand il senti sa douce et tendre chérie se jeter dans ces bras.

coucou mon amour, je te présente mon amie Nala .
tu sais... sans elle je ne serais pas revenu ici mon coeur

fît un sourir à Nala et embrasse le belle romina

je te présente la femme la plus merveilleuse, celle qui à pris mon coeur,
comme je te disais, tu vas l'adorer

regarde les deux trés belles femmes en leur sourillant.
et heureux d'ètre à la foi en compagnie de sa meilleure amie, et de la femme qu'il aime.

Romina

- Bonjour Nala, enchantée de vous connaitre! et merci d'avoir fait venir Sil jusqu'ici!

Romina se blotissait dans les bras de son bien aimé !

Si vous le desirez Nala, passez nous voir, nous serons heureux de vous accueillir.

Sil et Romi prirent congés de Nala, et main dans la main, partirent en direction de leur chaumière.

Nala

Le visage de Nala s'illumina.... la culpabilité l'envahissant disparue!!! han quelle joie... "merci mon dieu".... les prit dans ses bras sans dire un mot, car il n'yavait pas de mot pour caractériser ce qu'elle ressentait.. non seulement elle avait trouvé l'homme de sa vie ici... Jaraude mais aujourd'hui elle avait trouvé deux amis et ça c'était le plus beau des cadeaux....

Mes amis, allons vite en taverne arroser cela!!! et que votre amour soit éternel et aussi beau que celui que je vis ici avec Jaraude!

Leur pris la main et pris le chemin du retour, les yeux pétillant de bonheur.

Silurius

Silurius était ravis de le réaction de nala, il se retrouvait dans les bras des deux femme qu’il aimait le plus, dont une beaucoup plus que l’autre maintenant
Il se tourne vers romina et lui fait un baiser des plus savoureux.

Je suis ravis de vous avoir toutes les deux à mes cotés mes demoiselles, et surtout toi ma douce romi, ton amour éblouie mon cœur.

Lui sourit tendrement et se retourne vers nala.

Et toi ma belle, je te souhaite tout le bonheur du monde avec jaraude... mais je suis sur que notre amour est au minimum aussi beau que la votre, …. Ci ce n’est plus.

Se met à rire en partant au bras des deux jeunes femmes. comblé, d’amour et d’amitié, ils marchent d'un pas décidé vers une taverne arroser tout ce bonheur

Nala

Nala, le sourire en coin le regarde.....et dit

Comment ça le votre de plus beau!!!!! non non non c'est le mien le plus beau de n'amour!!!

tourne la tête vers Romina et lui fait un clin d'oeil... chaque amour est différent et son intensité varie suivant ceux qui le partageNT¨^^^

Silurius

Silurius rit de bon cœur en entendant nala chuchoter

Aller les filles allons boire une bonne bière, a chacun de vivre l’amour qu’il désir avoir et partagé, ainsi tout le monde est heureux.

Leur fait un sourire des plus joyeux.
Ils quittent la plage vers la civilisation laissant derrière eux le doux clapotis des vagues dégageant ce doux parfum salé

Nala

Nala qui était restée là à écouter le chant de la mer... aperçut au loin une silhouette....releva la tête et reconnut Silurius, le sourire aux lèvres, se releva et alla à sa rencontre

Siluuuuuuuuuuuuu!!!!!! attends!!!!!

Nala se mit à courir dans l'eau en sa direction, contente de sa venue mais un peu soucieuse.... cessa de penser et alla le rejoindre

Silu se retourna vers elle mais continua son chemin en direction de la ville, n'ayant pas décidé de l'attendre apparemment^^^

Nala s'arreta ....resta figée et le regarda s'éloigner, baissa les yeux... savait trés bien que ... il était encore amère et plus encore aujourd hui...
elle s'agenouilla sur le sable, triste d'avoir fait souffrir mais pourtant avait été sincère, un sentiment de culpabilité l'envahit se sentit coupable d'être heureuse mais de son doigt se mit à écrire un prénom : "Jaraude", c'est ainsi... l'amour ne se commande pas, il est écrit, l'entoura d'un coeur.

Se releva, pris ses chaussures et alla regagner la ville, le coeur serré.

Silurius

sentant une présence derrière lui, silu se retourne,
aprés un moment d'hésitation, il reconnais son amie qui le suivait à distance. il stopa immédiatement sa progression vers la civilisation pour attendre qu'elle le rejoigne.

coucou ma belle nala, tu vas bien ?
je t'ai vu sur ton rocher, pensive, et n'ai pas eu le coeur de te tirer de tes tendres pencées.

lui fait un grand sourir.

je te chercher pour te remercier en fait.

il devine sur son visage les trais de la surprise .

voila, je tiens à te remercier de m'avoir convié à venir dans cette charmante petite ville, car grâce à cela, j'ai pu rencontrer une femme merveilleuse.
lui fait un grand sourir.
tu veras, elle vas te plaire .

Silurius

silurius venait d'arrivé dans cette ville ou il avait était convié!

il pris donc le temps de visiter en l'absence de son hôte.

il débarqua sur la plage pour réfléchir à la raison de sa présence en ces lieux
s'aprochant de la mer les pieds nuds, ravis de sentir la douce chaleure du sable réchauffé par les premiers rayons de soleil du prinmptemp
s'assoit délicatement dans ce sable fin pour profiter de la douceure du climat.
aprés un long moment de réflexion, il se redresse et se balade le long de cette mer si calme en ce beau samedi ensoleillé, ne croisant nul âmes, il décide de retourner en ville se balader, et apperçoit Nala, assise là pensive.

sachant la profondeur de ses pencées qui ne lui était pas destinées, il préfère se retourner sans la déranger et la laisser à l'hidile qui les avait séparé
comprenant la porté de ses sentiments pour un homme qu'il ne connaissait pas, et qu'il ne souhaitait surement pas conaitre, il repris ses chausses , et jetant un dernier regard vers l'océan
un sentiment de présence inutile l'envahit.

il se dirige donc vers ce charment petit village ou stagne sa charette affin de la recharger pour son départ iminant.

silurius quit cette belle plage les larmes aux yeux, sachant qu'il ne la revaierais sur plus.

durand son retour vers la civilisation, la douce brise du moment caresser son visage et effaçait les traces de son chagrin.

Christophe_de_lirac

Chris songeur venait admirer la vue sur l'estuaire de la gironde .
Lui qui allait bientôt embarquer pour découvrir l'océan la grande bleue ...

L'air des embruns venait fleurait ses narines ,en prenait pleins les effluves .
Pensant a ça grande famille de marin ,a son patriarche Dominico et sa mère Suzanna qui lui avait souvent comté les conquêtes de ses frères ....

Et puis le plaisir de revoir la Bretagne ses parties de chasse avec son fidèle chien ,le magnifique pointer Figaro .Lui qui avait l'art de lui faire admirer sa stature ,quand il était a l'arrêt sur une bécasse remplissant son maître d'émotion.

A prèsent Chris allait découvrir un autre plaisir inconnu pour lui naviguer sur l'océan .Son ami Léandre lui offrait l'opportuniter de découvrir la navigation .

Et puis il aurait aussi peu être le plaisir de revoir l'horphelinat de bretagne .lui qui c'était proposer a eux son attachement aussi pour les enfants ....

Puis il aurait le plaisir de découvrir la même passion que ses frères ,peu être connaitra t'il les mêmes sensations ! pourquoi la transmettre a son fils Tom ou lui apprendre l'art de voyagez ou de naviguez de toute façon !

Lui le vagabond voyageur allez enfin découvrir les flôts de la mer ou des marées

En tout cas son fils sera sans doute fier de lui a son retour au manoir de la Roche Courbon !

L'imaginant déjà trépignait d'impatience de le revoir .

Et puis ça lui laisserait le temps de mieux connaitre le loup que son père lui avait offert ....

De toute façon il se faisait pas de soucis pour il était a présent entre bonnes mains au manoir ....

il prit une feuille de velin et sa plume avec son encrier de poche .

Bonjour mon ami Leandre merci de m'offrir cette opportunité de découvrir l'océan, et la navigation a tes cotés. Merci de la confiance que tu porte en moi .

Je me tiens a ta disposition à présent en attendant que tu me dise le jour du départ .

Mes salutations cher ami Leandre .

Chris

Jaraude

Alors qu'il s'en était remis aux songes, aux images et dans l'abandon de son corps sur le sable, il sentit un frolement dans ses cheveux.
arfff !! pensa t-il , est ce encore ce tourteau amoureux ou bien une mouette venue me réveiller de son aile? à moins que ce ne soit un pigeon ?
A cela , il ouvrit les yeux et mieux que tout ce qu'il avait pu penser, il vit le visage de celle qui avait occupé son esprit pendant de longues semaines.
Il se releva d'un bond , et tomba à genoux envoyant tout les grains de sables collés à lui et la prit dans ses bras pour voir si ce n'était pas un mirage.
Il sentit son corps entre ses bras et comprit qu'il ne rêvait pas, car il recevait une réponse tout aussi vive à son étreinte et ne lacha qu'au bout d'un instant pour mettre son regard dans les yeux de ce visage tant espéré qui lui souriait.
Nala !!! tu es là ! Nala ! tu es venue!
Tes pigeons le disaient et tu l'as fait !
Sacrée fille, Sacrée Nala! je t'espérais tant!
Il rit de joie et ne put s'empêcher de la serrer à nouveau contre lui et de lui poser des tas de baisers en tout coin de peau qu'il trouvait.
Nala!! alors là !! je suis heureux de te voir ici
tu sais c'est sur , tu as gagné !!
elle tient debout, ma vie depuis que tu m'as renversé ^^
toi , ici je suis au paradis!
Jaraude prit encore Nala contre lui et sentit son coeur battre vite comme le sien et de ce tamtam, il éclata de rire.

Nala

Ouiiiiiiiiiiiiiiii je suis là!!!!!!! mi amor!!!!
Nala fit son large sourrire et se laissa dans ses bras s'abandonner dans un élan de bonheur[i]

Une fois les pieds revenus sur terre.....chercha du regard un je ne sais quoi... enfin si!!!! un espèce de tourteau...regarda par dessus l'épaule de Jaraude.
hé hé il s'était caché le filou afin de ne pas finir en festin... ^^^^

Pris la main de Jaraude et l'entraina avec elle dans une course folle,les cheveux au vent elle criait son bonheur, elle riait, car plus jamais séparés, ils ne seront[i]

Jaraude

Se sentant léger et envahit de joie de retrouver celle qui avait changé son regard sur la vie, il se laissa emporter par sa main douce qu'il tenait serrée dans la sienne et pris le rythme de sa course folle sur le sable, tenant ses bottes de l'autre main.
Dans sa fougue Nala , ne lui avait pas laissé le temps pour les remettre!
Cela lui plaisait, cette fille débordait d'energie, de rire et de gaité et elle était comme une tornade fraiche qui avait balayé en lui tout ses doutes sur ce qu'il pourrait devenir ou pas.
Avec elle, il se sentait pousser des ailes ! pourtant ils n'avaient rien d'anges tout les deux et l'espièglerie dont faisait part Nala, lui avait montré une face de lui qui sommeillait et cela ne lui avait pas déplu!
Il sentit son coeur battre encore fort et le souffle lui manquer, alors il retint sa main afin qu'elle ralentisse la course et se plia pour reprendre sa respiration.
Arff Nala, tu vas me faire mourir à courrir comme ça !!
j'ai même pas eu le temps de remettre mes bottes ! lol !
Il lui sourit et enfila ses bottes et la prit contre lui part la taille et l'embrassa tendrement.
Prenons le temps sur cette plage Nala, si on marchait un peu.
Nos pas font des traces l'un à côté de l'autre, regarde comme cela est beau!
Aller, avançons ainsi maintenant que tu es revenue, rien ne presse.
Et en la tenant tout contre lui, ils avancèrent sur la plage comme vers l'infini...

Nala

Nala débordait de vie que depuis qu'elle avait retrouvé son ombre.... sa moitiè... son autre

Nichée contre lui, bras dessus bras dessous, collés l'un à l'autre... pris le temps de marcher sur cette plage éclairée par un sublime couché de soleil.

Je t'aime Jaraude

se sentait pousser des ailes tellement ce moment était magique.... un moment rempli d'amour et de passion, deux éléments qui unissaient trés fortement Nala et Jaraude

Nala

Quatre jours plus tard....jaraude devait partir chez les moines afin d'y travailler une huitaine de jours. Nala, elle l'attend patiemment.

[/i]Nala comptait les jours, quatre jours déjà qu"il était parti... c'était long, trop long... assise sur le sable à contempler la mer, elle pensait à lui...le vent s'engouffrait dans ses cheveux et les faisait danser et briller sous ce soleil illuminant la plage.

Nala émit un sourire en aperçevant un pauvre tourteau qui semblait perdu lui aussi....

Elle se leva et alla à sa rencontre en riant

Arrivée devant lui elle s'agenouilla et émit un regard tendre envers lui

Alors petit tourteau te voilà.... tu as décidé de ne plus te cacher, c'est donc toi ....la petite canaille! allez ne crains rien, je te montre le chemin afin de retrouver ta route

Prit le tourteau délicatement mais c'te perdu voulait la pincer quand même!!! Nala arcqua un sourcil puis se montra tolérante même s'il semblait bien apétissant elle le remit prés des rochers et le regarda disparaître.

S'asseya sur un rocher, la mer venait caresser ses pieds à chaque vague échouantes, ça l'amusait... Elle posa sa tête entre ses mains et scruta l'horizon, elle aimait rester là des heures puisque c'était là qu'elle l'avait retrouvé.

Nala

Nala était là....sur cette plage, revenue....
s'agenouilla prés de lui ... et lui passa la main dans les cheveux, les yeux pleins d'émotion et lui chuchota :

Je suis revenue...à force de prononcer mon prénom... aux vagues... tourmentées, elles m'ont supplié de venir...^^^

Nala prit le visage de Jaraude entre ses mains, celui ci s'agenouilla face à elle et tous les deux s'enlacèrent de bonheur, la séparation fût longue mais aujourd'hui ...elle prend fin.

Jaraude

Après qu'il eut promené à travers la halle, Jaraude se dirigea vers la grandeur de la plage qu'il avait aperçu en arrivant dans cette ville.
Il retira ses bottes et c'est à pieds nus qu'il avança vers où les vagues sifflaient pour s'évanouir et disparaitre.
Ne laissant marquées en brillance la forme de leurs extrémités arrondies.
Il respira l'odeur de l'eau et le vent sur son visage collait de fines particules lui laissant ce gout salé des embruns sur les lèvres qu'il aimait retrouver.
Le ciel était dans un ton gris bleu qu'il aimait, pas encore lumineux mais suffisement éclairé pour donner à l'horizon cette lueur marine qu'il avait pu connaître un jour dans un regard où il avait bien cru se noyer.
Tout au bord du rivage, il sentit une fraîcheur plus intense et il s'arrêta.
Debout face à l'immensité de l'océan , il scruta là où le ciel et l'eau se joignaient en dessinant une ligne à peine distincte mais que l'on pouvait mieux voir en fronçant un peu les yeux.
Il ne pensait plus à rien, il était seul et bien dans cet instant où seul le bruit des vagues pouvaient prendre en charge la moindre de ses idées qui auraient pu venir dissiper son état de calme.
Il s'en remettait au temps qui s'écoulait là devant cet infini qui lui mouillait de plus en plus les pieds et dont il sentait la force sous ses pieds.
Il se mit à sourire comme si les vagues venaient jouer et le chatouiller.
Il recula pour les éviter et les nargua en poursuivant une marche le long de leur langoureux mouroir de sable, les évitant et défiant les plus fortes de venir le mouiller.
En leur compagnie joueur, il se sentit une joie sans nom et une envie de courrir monta en lui.
Il accelera et se mit à courrir à travers d'elles, une chaleur dans tout son corps luttant contre leur fraicheur , il allait de plus en plus vite dans une ivresse bruyante mélée par moment de ses cris de plaisir et de rire.

C'est quand il sentit battre si fort son coeur, et que l'air ne pouvait presque plus venir lui apporter sa suffisance , qu'il arrêta sa course et se laissa tomber loin sur le sable, les deux bras en croix tenant dans chaque main une botte et il ferma les yeux en riant et laissa le calme reprendre possession de son corps.
Seul le bruit des vagues lui parvenait et il s'amusa à y prononcer un prénom. Comme avec une douce berceuse, il s'endormit sur cette plage.

Atomicsim

Atomicsim Sentit ses mains sur les siennes, heureux de ce moment et des mots qu'elle à prononçait.. L'homme de ses rêve.. D'un sourire il lui répondit tendrement:

Oui mon ange. Je t'ai entendu penser et je suis venu pour toi.

Atomcsim déposa un long baiser sur son épaule

Ellana_

Nora était perdue dans ses pensées de bonheur pensant à l'avenir avec lui... un bonheur qu'elle voyait grand, immense...
C'était bête mais elle s'imaginait marié avec des enfants dans un cocon familial qui resirait l'amour...
Elle rit légèrement se trouvant idiote..

Puis elle sentit des mains douces et ses bras fort l'enlacer par la taille..
Elle sourit sachant sans le regarder que c'était son aimé...
Elle posa ses mains sur les siennes et les caressa frissonnant a son baiser doux et chaud...

"Hmmm... Alors c'est ça le secret ? Il faut penser a l'homme de ses rêves pour qu'il apparaisse ?"

Elle sourit, heureuse
L'océan était magnifique jonchait par un somptueux couché de soleil..

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Atomicsim

Atomicsim arriva sur la plage.. Au loin, il voyait briller une chevelure doré sur le couché de soleil. Sans l'ombre d'un doute, il reconnu celle qui l'aime.. comment ne pas reconnaître un ange.. il retira ses bottes et marcha dans le sable sans un bruit.. elle était au bord de l'eau, se tenant droite, les cheveux un peu dans la douce brise qui souffle. Il s’avança doucement. Se tenant derrière elle, il enlaça sa taille de ses bras, et glissa sa tête au creux de son cou d'ou il déposa un baiser chaud. Ici, maintenant, son bonheur, sa vie, son présent et son avenir ne faisait qu'un. La houle légère, le couché de soleil sur l’océan, le bleu de ses yeux. Tout cette beauté réunit en un même endroit.. Il perdu son regard dans l'horizon, ne voulant pour rien au monde que ce moment se finisse..

Ellana_

Nora arriva doucement sur la plage, le sourire aux lèvres...
Qui aurait cru qu'en fait ça serait dans cette ville qu'elle allait trouver le bonheur... voir deux bonheur réunis... l'océan et un homme qui l'aime pour ce qu'elle est et ne recherche que des choses simples sans titre de noblesse pour gacher les beauc moments simples de la vie...

Elle ferma les yeux souriant du vent frais qui caresse son visage et s'engouffre dans ses cheveux...
Et avant d'aller plus loin, elle enleva ses bottes et ses bas pour caresser le sable avec ses pieds et lentement elle s'approche de son océan, de ses vagues qui s'échouent sur la plage pour lui dire bonjour...

Elle sentait bien et c'est au bord de cette plage qu'elle s'assied le regard lointain vers l'horizon...
Que lui réservait l'avenir ? Elle n'en savait rien mais elle ne voulait surtout pas gacher ce moment où son coeur reprenait vie par des questions bien trop douteuse...
Oui.. son coeur vivait a nouveau et c'est avec un sourire amoureux qu'elle pensa à lui.. lui dans toutes ses pensées...

Elle ferma les yeux n'écoutant juste que la mélodie des vagues qui doucement la bercaient...

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Elwyne

El écouta Maxou parler jusqu'au bout. De sa soeur, du moustachu, de la mer, de l'amitié, d'elle, de No, de l'amour, de la plage, de sa vie, El écouta tout.

Quand Maxou eut finit, elle semblait apaisée, calmée.

El ne sut que dire face à de telles merveilles dîtes ... El ne voulait pas gâcher ce moment si important pour elle ...

Puis, le vent commença à se faire ressentir, venant faire voler leurs cheveux.
El contempla pendant un moment les boucles brunes et rousses s'entremêlées.

Puis, tout doucement, elle se leva, tendant la main à sa rouquine :

Aller, Max ... Il est temps de rentrer ... Assez bavassé comme ça ! Elle sourit

Max à ses côtés, elle entama la pente raide montant jusqu'à l'herbe.

J'suis contente d'avoir pu discuter avec toi, Rouquine. C'est important pour moi, tu sais, et je sais à quel point ça l'ai pour toi également.

El sourit et regarda sa rouquine, puis Bretzel, puis la mer. Un sourire béat aux lèvres.

Maxolina

La vilaine rouquine écoutait El, apaisée de ses maux par ses mots. Partager cet instant, sentir sa présence, chasser le passé, vouloir faire confiance ... à nouveau. Tout ça réchauffait son coeur qu'elle aurait voulu insensible. Elle l'écouta parler de sa soeur et hocha doucement la tête, un petit sourire à l'envers toujours présent sur sa frimousse.
Tu as raison El. Je sais que t'as raison hein !! J'aimerais tellement le bonheur des gens que j'aime jolie brunette. Tu sais j'y ai pas toujours eu droit au bonheur ... mais chut hein ... Chuuuuttt !!
J'ai même toujours cru que je le méritais pas ...

Max s'arrêta pour se mettre à grogner. Elle aimait pas quand ça lui échappait, de parler d'elle. Elle était pas là pour ça hein, pas pour infliger ses histoires. Le climat devait s'y prêter sûrement : cette plage, la mer, son amie, la confiance qu'elle lui portait, et ... son inestimable pas très loin. Elle ronchonna encore un moment puis reprit :

Bref, j'aimerais la voir heureuse, ma soeurette ... mais je peux pas sacrifier mon bonheur pour elle. C'est égoïste hein ouais ... Mais je veux pas, je veux plus. J'ai perdu trop de choses, mes parents, mon enfance, ma frangine d'adoption qui décide de mettre fin à ses jours sans un mot, ma soeurette qui retourne vers ce qui la mènera à une vie sans issue, ma confiance en un amie.
Alors on va laisser tout ça derrière, le mettre de côté et penser au présent. Pis tu sais quoi ? En ce moment même, je suis heureuse. De partager ce moment avec toi, d'avoir su enfin admettre à quel point j'avais besoin de mon moustachu, de savoir faire confiance à nouveau.

En voyant sa El rire, Max retrouva son sourire, à l'endroit cette fois-ci, et voir des étoiles briller dans le regard bleuté de son "amie", acheva de la réconforter et fit cesser ce sentiment de solitude inadapté qu'elle avait pu ressentir ces derniers temps.

On va aller de l'avant ouaips. Rien ne nous arrêtera, foi de vilaine rouquine. Et pis franchement, qui pourrait être plus heureuses que nous hein ??? Un duo de tortureurs, un coffre à trésors dont un certain No semble avoir trouvé la clef, et une vilaine rouquine comblée comme jamais, d'amour et d'amitié, et surtout de confiance !

Max laissa sa tête posée contre celle de sa jolie brunette et regarda l'océan en silence .... pour une fois qu'elle se taisait. L'horizon était son repère, elle y voyait mille et une merveilles à venir. Elle n'avait envie que d'une chose : CROIRE ... et grâce à eux, tout était possible. Elle lutterait contre le destin, ils seraient sa force.
Pour redevenir aussi superficielle qu'elle savait l'être, elle reprit son air bougon et murmura en ronchonnant :

M'enfin bon, pour l'instant, faut que je console le moustachu d'avoir provisoirement perdu sa moitié ... et que je supporte tes sourires béats et ton air rêveur jusqu'à mercredi. Humpfff, je trouve que j'ai du mérite moi hein !

Elle ne bougea pas d'un cheveu, se demandant à quel moment elle allait se prendre une pichenette la vilaine rouquine, ou pire ... une léchouille, ce contre quoi elle avait toujours été immunisée jusqu'à présent. Et elle espérerait bien que ça durerait. Non mais oh !

Elwyne

El sentit que sa rouquine se réveillait.

Elle lui laissa le temps de se remettre les pensées en ordre, puis reporta son attention sur la mer, un sourire jusqu'aux oreilles.

Citation:

Ma soeur est repartie ... C'était une évidence ... Mais elle est repartie. Un monde parfait n'existe pas hein ... hormis dans mes rêves"

Elwy soupira profondément et caressa les cheveux roux de son amie.

Si c'est son souhait ... Je comprends que ça te touche, Max, mais il faut que tu comprennes que c'est sa vie. Elle a le droit de la foutre en l'air, mais ta vie à toi, Max; c'est ta vie. Elle n'a pas le droit de déteindre son mal être sur toi, vilaine rouquine.
Et puis, un jour peut etre, elle comprendra ...

Elle déposa un baiser sur les cheveux de Maxou, inspirant à fond l'air marin.
Elle était comblée. Comblée jusqu'au cou, comblée jusqu'aux orteils, comblée jusque au coeur ... oui, surtout au coeur.
Un grand sourire naquit sur ses lèvres.

Citation:

Mais qu'est ce que c'est que ce sourire béat sur ta jolie frimousse ? Je vois vraiment pas ce qui a pu le faire naître ...

El laissa échapper un éclat de rire :

C'est l'heure de repartir, Max ... L'heure de repartir de l'avant.
Tu ne peux pas savoir à quel point ça me comble, Max ...

El sentit des larmes de bonheur perler au coin de ses yeux. C'était tellement fort, tellement intense, de se savoir aimer, et d'aimer.
Comme quoi, elle avait eut raison de suivre Max et son moustachu.

Citation:

Te voir heureuse me rend heureuse .... Merci d'être là El ... Et merci de me laisser partager la découverte de l'océan avec toi ! Je sais que c'était ton moment à toi !

Elwy se pencha à l'oreille de Maxou, lui soufflant des paroles de remerciement :

Maxou ... Tu me dis sans cesse que je t'apporte beaucoup ... Mais, Max, c'est toi qui m'apportes tellement ... Tu m'as appris une nouvelle vision de la vie, une nouvelle manière de voir les choses.
Tu m'as permis de m'éloigner de Cahors ... Tu es comme une bouffée de fraîcheur dans l'atmosphère sombre et étouffant.
Et comble du bonheur ... Tu m'as fait connaître le léchouilleur.
Sans toi et ton moustachu, mon bonheur serait incomplet, il manquerait quelque chose à ma vie ... Il me manquerait No. C'est grâce à vous que j'ai la joie de le connaître.
Donc, ce n'est pas une permission que je te donne, de venir découvrir l'océan avec moi ... C'est normal, Maxou, c'est normal.

El posa sa tête contre celle de Maxou, infiniment heureuse.
Pour rien au monde elle n'aurait voulu refaire marche arrière.

Maxolina

Max sortit doucement de son sommeil, sentant une présence à ses côtés, sentant que sa tête reposait désormais sur des genoux qui lui étaient plus que familiers. Elle n'avait pas besoin de regarder, ni de parler, elle savait qu'El était à ses côtés et ça la rassurait, comblait sa sérénité qu'elle avait tant de mal à trouver ses derniers temps.
Elle resta un long moment ainsi, ouvrant les yeux, sentant Bretzel à leurs côtés, et fixant l'océan dans un silence complice partagé avec El. Fermant les yeux pour laisser sa dernière larme couler, elle finit par murmurer :

"Ma soeur est repartie ... C'était une évidence ... Mais elle est repartie. Un monde parfait n'existe pas hein ... hormis dans mes rêves"

Un goût d'amertume au fond de la gorge, elle rouvrit les yeux et préféra grogner, laissant le passé derrière elle, pensant au présent, au bonheur et à la présence de son amie. Elle se releva doucement, regardant le visage d'El et lui murmura :

"Mais qu'est ce que c'est que ce sourire béat sur ta jolie frimousse ? Je vois vraiment pas ce qui a pu le faire naître ..."
Elle lui fit un clin d'oeil puis posa sa tête sur son épaule, continuant de savourer le spectacle de l'océan avec elle, El. De manière à peine audible, elle souffla :
"Te voir heureuse me rend heureuse .... Merci d'être là El ... Et merci de me laisser partager la découverte de l'océan avec toi ! Je sais que c'était ton moment à toi !"
Enfonçant ses orteils dans le sable, elle sourit elle aussi en scrutant l'horizon, les traits apaisés et les yeux pétillants.

Ronea

J'ai 5 ans et j'ai une maison.

L'innocence peut se brailler par celui qui sort les mains attachées d'un tribunal. Il peut être hurlé par le gamin dont l'oreille se tend sous la pression d'un père en colère. Mais il peut aussi se voir dans les yeux d'une gamine de 5 ans. Petite puce ne demandant qu'un peut d'attention, d'un sourire et de bras où se réfugier quand elle a peur.
L'innocence d'un âge où l'ont ne comprend pas le monde qui l'entour. Elle sourit quand on lui sourit, saute sur les genoux quand on lui tend les bras, se sert contre la poitrine d'un homme quand il l'enveloppe de ses bras.
Comment savoir que le protecteur n'est qu'un homme et pas le héros de ses rêves.

GOBON! Combien de fois l'avait-elle crié ce nom?
Elle l'avait crié quand elle s'était perdu sur le port de Bayonne.
Elle l'avait retenu pour dans sa bouche quand elle l'avait vu partir pour des affaires très importantes à Mont de Marsan.
Elle l'avait pleuré quand elle s'était retrouvé seule sur les routes de Guyenne.
Elle l'avait dit entremêle de rire quand elle avait sauté sur le bateau à Blaye.
Et elle l'avait hurlé et hurlé quand l'eau rentrait dans sa bouche et encore hurlé dans sa tête avant de perdre connaissance dans l'eau gelée qui avait décidé de l'enveloppé. Elle avait été terrorisé par les coups de canons, seule cachée dans la cabine avec Lulu, sa souris. Le navire se déchiquetait dans des bruits de fin du monde. Elle voulait être forte mais elle tremblait. Un sifflement, puis un autre et le cri du bois qui se pulvérise à chaque boulet.
Petite fille qui ne comprend pas pourquoi on détruit ainsi sa maison. Le bateau s'était sa vraie maison la seule qu'elle ait eu, bien différent de l'orphelinat où elle n'avait rien à elle. Ici, le pont était sa cours de récréation, la cabine son château, la cale sa caverne d'Ali Baba. Isa la présence féminine, Gobon la présence masculine, Lulu son ami, la mer et le vent ses chansons.

J'ai 5 ans et je me meurs dans les bras de l'océan.

C'est l'heure du bain. Bain qui n'est pas donné par une main douce mais par une main invisible qui la projette dans l'océan glacé. L'eau qui l'agrippe et la la secoue dans tous les sens, elle roule, tourne danse, elle ne sais plus si elle a la tête en haut ou en bas. Elle sent la morsure du froid puis elle étouffe, puis... puis dernier reflex de s'agripper à quelque chose juste pour tenir quelque chose, ne pas être seule dans le néant. Puis plus rien.

J'ai 5 ans est j'ai retrouvé Maman!

Maman?

Chuuutttt, repose toi.

Elle est si douce cette voie, elle est si belle cette dame. Et si chaude quand elle la prend dans ses bras. Elle se laisse porter vers un monde de chaleur et son petit visage plein d'effroi redevient lisse comme une rose. Et puis là où elle est elle n'a pas faim, elle n'a pas froid, elle n'a pas peur. C'est le pays des fées et des dragons qui sont amis et qui rient. Elle a trouvé enfin un vrai chez soie. Elle a retrouvé maman.

Combien de jours, combien de temps dans les bras de ses sentiments?
Combien de nuit au soleil de ses rêves?

J'ai 5 ans est je suis chez une sorcière.

Mais d'un coup la nuit devient noire. D'un coup la nuit est froide. D'un coup elle grelotte, d'un coup ça sent mauvais. En même temps elle a mal à la poitrine, en même temps elle a mal au ventre. Et comme si cela n'était pas assez quand elle ouvre les yeux, ceux qui la contemplent sont hideux.
Paralysée.

Une main froide vient se porter sur son front et une voix rocailleuse l'invite à ne pas avoir peur.
Dans la pénombre de la cabane, elle aurait envie de crier. Lorsque que la vieille rapproche la bougie elle peut voir son visage. Celui d'une femme très vieille qui ressemblerait presque au sorcière dans les histoires qu'on lui avait racontées. Sauf qu'elle lui parle doucement, sauf qu'elle lui apporte de l'eau à sa bouche, sauf qu'elle lui glisse une cuillère de miel entre les lèvres, sauf qu'elle ne va pas la manger mais lui donner à manger.

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Listée par Namay pour n'être pas resté chef d'armée à 5 ans.

Elwyne

El était en route pour la ville. Le chemin se dessinait dans son esprit, elle savait précisément à quelle taverne elle irait, elle se réjouissait d'avance de conter son expérience aux autres, elle savait déjà comment ils réagiraient.

Chouuuuaaapppp ! Chouuep !

Elwy sursauta, puis se tournant vers l'origine du jappement, elle chercha Bretzel des yeux.
Toujours à se cacher, celle-là, pensa Elwy, une lueur amusée dans les yeux.

Elle avisa une queue rousse qui dépassait de derrière une grande dune de sable blanc, puis émit un sifflement long et doux.

Bretzel émergea aussitôt de derrière sa cachette, puis trottina au pas de course vers sa maîtresse, faisant des bonds et jappant de joie, comme quand elle voyait quelqu'un qu'elle connaissait.

Bretzel ne faisait pas la fête à la mer, mais pour quelque chose se trouvant derrière la dune, Elwy le savait.

Doucement, elle s'avança. Ce n'était pas quelque chose, mais quelqu'un, qui avait retenu l'attention de Bretzel. Un tendre sourire naquit sur les lèvres de la brunette quand ses yeux se posèrent sur la silhouette de la rouquine, endormie.

Elwy s'assit tranquillement aux côtés de son amie, l'enfermant dans ses bras. La respiration de Maxou était régulière, et une expression paisible était inscrite sur son visage. Elwy s'en réjouit, car s'il y avait bien quelqu'un qui méritait cette sérénité en ce moment, c'était bien sa rouquine.

La tête de Maxou roula sur elle. Elwy sourit, puis la posa sur ses genoux.
La mer leur faisait face, et Bretzel s'était roulé à leurs côtés.

Elwy était heureuse.

Maxolina

Max avait longuement hésité avant de se rendre au bord de l'Océan, surtout à cet endroit, surtout dans cette ville, là où les souvenirs et la culpabilité refaisaient surface. Et comme il lui avait dit il n'y encore pas si longtemps "C'est pas bon ça !!"
Une phrase courte, rare qu'elles le soient, les siennes, les leurs ... mais entre eux, le dialogue se faisait bien au delà des mots, ils se devinaient presque ... pouvait-on dire presque d'ailleurs.
Mais elle avait envie d'y revenir, d'une part pour faire disparaître ses vieux démons mais surtout pour voir si El avait fini par enfin découvrir ce qu'elle attendait tant.
La vilaine rouquine enleva ses bas et ses bottes pour sentir le sable froid piquer la plante de ses pieds, laissant un frisson parcourir tout son corps. Elle resta loin, dans les dunes, apercevant au loin la silhouette qu'elle souhaitait voir. Elle était là, El était là, enfin elle l'avait vue ... la mer !
Elle s'assit à l'abri d'une dune et la regarda sans intervenir, la laissant savourer ce moment unique qu'elle avait tant attendu. Elle souriait de voir son amie réaliser un de ses rêves. Ce bonheur qu'elle devinait sur son visage réchauffait le coeur de la vilaine rouquine. Et elle en avait bien besoin ... de voir du bonheur dans les yeux des gens qu'elle aimait, le sentir dans leur coeur. Elle avait beau être vilaine, elle était loin d'être indifférente, même si peu le savait.
Elle fixa longtemps El puis fit un tour d'horizon, redécouvrant cette plage où elle avait trouvé refuge jadis, son échappatoire. Elle regarda ses démons en face et les vit s'envoler dans le ciel pour finir par s'évaporer dans la nuit noire. Se reconcentrant sur El, un sourire illumina son visage et murmura doucement :
"Je suis heureuse pour toi ma El ... si heureuse ..."
Max avait confiance, elle ne voulait plus de déception, plus de trahison, plus de conflit, plus de souffrance ... mais là, ici, enfin, grâce à lui, grâce à El, elle trouvait l'apaisement, le retrouvait. Les nuages qui obscurcissaient son ciel disparaissaient, chassés par son envie d'y croire, cette envie infinie. Le froid engourdissant son corps, elle ne sentit pas ses paupières se fermer et s'endormit à même le sable, ne voyant même pas El quitter la plage.

Elwyne

Elwy avait prit tout son temps. C'est vrai, après tout ... pourquoi se presser ? Elle avait toute la nuit, toute la journée, elle avait tout son temps.

Il faisait presque nuit ... Entre chiens et loups. Le soleil n'était plus haut dans le ciel depuis longtemps.

Bretzel trottait à côté de sa maîtresse, s'arrêtant de temps à autres pour renifler un terrier, son museau assaillit sans cesse par de nouvelles odeurs.

Elwy fixait le ciel noir d'un côté, puis descendit tout doucement son regard vers l'autre bord, vers l'horizon. C'est alors que son regard rencontra le sien.

Elle était immense ... Le soleil se noyait dans ses flots sombres, et la lune se reflétait dans son gigantesque miroir. Quelques vaguelettes venaient troubler cette étendue massive d'eau.

La mer .... Enfin .... Un sourire se peignit sur les lèvres gercées d'Elwy, et elle siffla sa renarde, l'interpellant en même temps :

Bretzel ! Viens, ma fille , viens ! Suis-moi ... Viens, Bretzel, j'vais te présenter la Mer !

Elwy descendit tranquillement sur le sable. Les milliers de grains crissaient sous chacun de ses pas. Du coin d'un oeil bleu, elle vit Bretzel qui gambadait à ses côtés, la langue pendante.

Elwy retira ses chausses, et marcha. Elle ne pourrait dire combien de temps, ni sur quelle distance, mais elle marcha. Elle marcha dans le sable, laissant à chaque foulée une nouvelle trace dans le sable.

Elle releva la tête et regarda cette mer tant rêvée, les yeux brillants.
Une brise se leva, faisant voler ses cheveux autour d'elle.

Alors c'est donc, ça , la mer ....

Le coeur battant, elle prit Bretzel dans ses bras et la serra contre elle.
Elwy resta là, un instant, une heure, une soirée, elle ne le savait pas.
Elle ne se lassait pas de contempler l'étendue infinie de cette mer.

Puis, quand la nuit fût complète et que le temps se rafraîchit, elle quitta les lieux à reculons, fixant l'image de la mer pour la graver à jamais dans sa mémoire.

Cette nuit-là, Elwy rêva de la mer.

Lohengrin

Le presque plus moine, et pas encore homme était là dans la peine ombre, silencieux à ce recueillir dans ce nid qui avait connu leurs premiers amours. Il l’avait vu entrer, l’avait vu prier. Presque honteux de ne s’être signalé à elle il ne voulait l’interrompre. Il la regardait débordant d’amour, les yeux embrumés d’émotion… Il la vit s’étendre sur le sol, se recroqueviller …

Il s’approcha doucement, une fois qu’elle fut assoupi, lui souffla dans l’oreille un léger « c’est moi amour », puis s’allongea tout contre elle, se callant contre son dos, passa son bras sur elle la serra fort … Il aurait voulu mourir en cet instant et garder pour l’éternité ce merveilleux moment, mais au font de lui il préférait vivre pour elle ….

Verya2

[près des dunes]

La plage .. les embruns … le froid …
il était tard … tôt … elle trainait …

les évènements, les révélations, les certitudes …
les souvenirs, les peines, les inquiétudes …
les nausées, la peur, la solitude …

elle trainait … le nez au vent , les yeux au ciel comme dans une longue prière

ses pas l'entrainaient irrésistiblement … gravir la dune …
elle n'était plus loin … le havre de paix se profilait …

avancer , un pas devant l'autre, relever la tête, ne plus souffrir...
donner, s'accepter, se reconnaître, vivre, s'offrir …
les paroles offertes ne l'avaient jamais lachée …
c'était là … à la masure … dressée devant elle …

la bicoque semblait , dans un dernier regard, la défier …
Verya fit face, s'avança, en poussa la porte dans un dernier effort …

il rayonnait tant d'amour dans cet enchevêtrement de souvenirs qu'elle ne pu que s'agenouiller
S'tote n'avait pas conduit ses pas jusqu'ici pour rien !

Elle quitta sa houppelande, se défit de sa chemise trop grande, retrouva ses guenilles du premier jour … serra les mains

* je ne suis rien, ou pas grand chose, je ne suis même pas une de tes brebis …
j'ai toujours respecté ta volonté … suivi , malgré tout, tes enseignements sans contrainte aucune , avec bonheur de surcroit !
Tous mes actes n'ont été guidés que par ton amour de donner à chacun
tu m'as offert Mica … me l'as vite repris … j'ai pris son enseignement … ton enseignement … l'enseignement quoi …
j'ai continué d'apprendre …
tu as mené mes pas ici …
dans cette masure chère à mon cœur … j'apprends … deviens ivre de savoir
je ne crois pas t'avoir déjà demandé quelque chose … je me suis confessée … pff ..
fallait bien que je lui dise quelque chose à la Gigi ! J'ai même demandé de l'aide pour trouver mes péchers ! …
Là je pèche par vanité peut être ! C'est déjà pas inscrit à la liste ça ? *

elle essuya les larmes de ses joues d'un revers de main … s'allongea au sol, se recroquevilla … serra fort les mains sur sa poitrine, ferma les yeux …
*laisse moi aimer mon amour …
je te demande pour la première fois quelque chose …

accepte nous … accepte notre amour …
il est moine … je suis … ce que tu sais ... *
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Meylisse

La mer avait rejeté son corps, il gisait là où tout avait commencé. Son tricorne voguait au gré des vagues. Un peu plus loin une bouteille roula. Vide de son rhum, contenant juste ce petit morceau de parchemin.

Capitaine Gorborenne,

Je ne suis pas une femme, il n'a pas voulu fouler mon corps.

Je ne suis pas une mère, il n'a pas voulu me faire d'enfant.

Je ne suis pas de celle qui suscite la passion d'un homme, de celle que l'on couvre de fleurs ou de cadeaux, il disait que je n'en avais pas besoin.

Je ne suis pas une pirate non plus, je n'en avais pas l'étoffe.

Je ne suis qu'une apprentie, celle à qui on a jamais rien voulu apprendre !

Vous me manquerez capitaine !

Ne pleurez pas j'en valais pas le coup,

Je suis juste de la mauvaise graine,

Une de celle à qui l'on passe la corde au cou.

Ne m'en veuillez pas ma boussole n'indique plus le nord.

Je suis une fille perdue.

Meylisse

Ciara

le regard dans le vague, au loin dans ses rêves....mais quelque chose attira son attention sur la grève...une masse balloté par les vagues qui s'échouaient sur le sable. Elle fut comme attirée, de la curiosité peut être, mais elle se leva et se dirigea vers l'objet de son intrigue. Elle approchait doucement, mais plus elle avançait plus son cœur battait de plus en plus fort.
Ce n'étais pas un tronc d'arbre, ni une voile de bateau ou un filet de pêche mais le corps d'une personne. Elle stoppa net et n'osa plus avancer mais fallait bien voir si la personne était encore vivante. Prenant une grande respiration elle avança encore et encore, puis se baissa pour retourner le corps et vit une jeune femme. Posant son oreille contre sa poitrine, mais rien n'en sortait, c'était un corps sans vie. Prenant son courage à deux main elle la tira loin des vagues qui auraient bien voulu reprendre ce corps qu'elle avait rejeté quelques heures auparavant. Ciara prit ses jambes à son cou et parti donner l'alerte au village.
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Cybella

Cybella arriva sur la plage avec deux villageois et une charrette pour transporter le corps. Ciara, la pauvre était dans un état pas possible depuis qu'elle avait trouvé le corps et marmonnait des choses sans que personne ne la comprenne. Cyb se retourna vers elle

ça va allez Ciara??? Ne t'en fais pas les hommes vont se charger du corps

à peine avait elle dit ça que la jeune femme pointa son index vers une direction

bon allez reste là

se tourne vers les deux hommes

messieurs s'il vous plait allez y, je vais rester auprès de Ciara, je pense que ce n'est pas la peine de la traumatiser plus

la charrette à bras s'avança vers l'océan et les deux hommes soulevèrent le corps et mis un grand draps de jute dessus.

Cyb avait le cœur qui battait et serrait dans ses bras son employée qu'elle affectionnait.

Tu sais Ciara, en se moment il n'y a pas pas beaucoup de client aux thermes tu sais...profites pour aller à la capitale et te changer les idées.. hein??

ils revenaient vers elles et à leur mine cela devait être une femme du village

alors Justin tu as reconnu qui s'était??

oui m'dame cybella

alors qui est-ce???

bahh...je....sais pas ....comment vous dire ça

Justin regardait le René

Cybella trouvait qu'il avait une bien drôle d'expression

hé bien dites je en vous prit!!

c'est...la p'tite Mey...je suis désolé

M...ey??? Meyyyy!!! t'es sur????

Cybella eu un choc, son cœur s'arrêta et s'accéléra , elle savait plus

contournant la charrette, hésita un instant se disant mais non ils se trompent ce n'est pas elle...

soulevant doucement la toile de jute elle reconnu sans hésitation sa fillotte

mon dieu MEY!! c'est pas possible!! mais tu étais si heureuse avec ton Van!!

elle lâcha la toile et fit signe aux hommes de ramener le corps au village

entre larmes et incompréhension, cybella se sentait perdu. Dans sa tête toujours la même question : pourquoi???

le retour fut cadencé pas les bruits des roues sur le chemin, Cybella venait de perdre un être cher à son cœur et ne savait le pourquoi de cette fin tragique...
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Ciara

il faisait meilleur ces temps si, la demoiselle avait choisi de prendre quelques heures sur son jour de repos pour aller prendre l'air. C'est donc d'un pas rapide qu'elle parti de chez elle, suivant le chemin des dunes. Pas la peine de dire qu'elle ne rencontra personne. En hiver la plage est pas du tout fréquenté, personne n'a idée de se prendre le vent froid de la mer en pleine figure. Mais pour elle cela lui changé du chaud des thermes et de la foule des visiteurs. Elle se choisi un coin bien à l'abri et regarda les flux et le reflux, les vagues qui de brisaient sur le sable blond.

Meylisse

Les bras qui l'enserrent, ses lèvres qui s'abreuvent aux siennes, les mots qui murmurent à leurs oreilles ce que leurs cœurs essayent de dire... Tout à coup la grotte s'illumina du feu de la passion.

Personne ne sut ce qui se passa ensuite cette nuit là. Et si d'aventure vous leur poser la question, ils vous regarderont avec un air évasif et un sourire aux lèvres.

Quand enfin la marée fut basse, ils repartirent, mais au lieu de revenir en ville, ils explorèrent la côte à la recherche d'autre chose.

L'araignée ? Ils ne la mangèrent pas, elle était gardienne de leur amour en fin de compte et on pense qu'elle est revenue dans sa caisse.

La caisse ? Ils remirent son couvercle en place et l'emmenèrent avec eux, car ils ne l'avaient pas vidé en fin de compte.

Pour eux l'aventure commencerait ailleurs...

Vanhelsim

On se sent fébrile parfois, comme dans un de ses moments ou votre cœur semble vouloir se détacher de votre corps, ou vous avez l’impression de flotter au dessus de vous-même…

Van était dans cet état, les lèvres de Mey étaient si proches des siennes, son souffle brulant lui caressait le visage, ses yeux qui brillaient de milles feux, l’attirait inlassablement tel un phare au milieu de la nuit,

Citation:

« Encore »

Van caressa la joue de Mey tendrement, et posa ses levres sur les siennes dans un doux et profond Baiser
Van prit sa belle pirate dans ses Bras comme pour la réchauffer (en avait –elle vraiment besoin ?) et lui chuchota a l’oreille

Mey, je me sens si bien avec toi, que j’arrive à croire que je n’ai plus peur de me noyer surtout si c’est dans tes yeux

Van embrassa encore sa pirate puis s’assied derrière elle en passant ses bras autour de sa taille

Je pourrais passer des heures ici !!!

Van caressait tendrement les cheveux de Mey, tout en lui disant,

Je ne sais pas ce qui se passe entre nous deux, la seule chose que je sais c’est que ce n’est que du bonheur

Van lui sourit tendrement tout en essayant de voir ou était parti l’araignée afin de l’occire pour pouvoir manger un bout, ce n’est pas tout mais un grand gaillard comme Van ca mange tout le temps !!

--Mille_pattes_de_mer

la demoiselle malgré ses menaces s'était fait cueillir comme un gros tourteau de 6 semaines, elle enrageait

Citation:

Ha bah voilà ! Regarde un invité surpris, tient on va le griller, c'est très bon !

quoi moi me griller????? sainte mère des eaux boueuses!!!! ça jamais faudra me passer sur la carapace avant!!!

se débattant, les pattes dans tout les sens, elle réussi un retournement digne du plus célèbre poulpes des océans et la demoiselle araignée de son état avait le ventre collé au bras de l'agresseuse, les pattes bien repliées sans laissé un centimètre carré à découvert.

elle veut me griller ben va falloir qu'elle grille son bras avec héhé je vais lui faire un joli bracelet moi

Vanhelsim

Van tentait vainement de cacher son emotion quand il vit la satanee bestiole sortir de la caisse

oullllllllaaaaaaaa c'est quoi cte monstre !!! ca se mange ca t'es sur ???

van admirait la dexterite avec laquelle mey prit la bestiole

on dirait que tu as cotoye des bestioles comme ca toute ta vie t'es impressionnante
dit il en lui souriant

lorsque soudain la bestiole commenca a se debattre furieusement et s'accrocha a pleine Pince sur l'avant Bras de mey

Van lacha sa bouteille et en transpirant a grosse gouttes il entreprit d'aider Mey a se defaire de l'emprise malefique de cette foutue bestiole

il passa sa main entre la carapace et l'avant bras de Mey et essaya de fair choire la bestiole a terre
Van respirait de plus en plus fort etait ce la peur de la bestiole ou le contact si doux de sa peau sur celle de sa pirate preferee

Meylisse

Il était là tout proche, si proche, qu'elle en avait le tournis. A mesure que sa main s'immisçait entre elle et l'araignée de mer, son cœur s'affolait. Peur ? Non ! Trouble ?

Elle sentit que la bestiole lâchait prise, ses pattes n'étant plus assez grandes pour faire le tour de la main de Van et du bras de Mey, mais elle le sentit à peine, car bien au delà de cet incident, quelque chose prenait place entre eux.

Une coulée de lave en fusion lui vrillait le corps, le contact de Van l'électrisait. C'était de sa faute à lui, il l'avait marqué de son empreinte en lui faisant gouter ses lèvres. Comme la promesse de quelque chose de plus intense, ce baiser là ne l'avait pas fait redescendre sur terre !

Elle était à genoux à deux pas de lui, là juste devant et la vue de son torse à moitié nu, attira sa main.

Tandis qu'il faisait déguerpir la bête, Mey posa ses doigts sur ce poitrail débraillé. Elle le parcourut, l'esquissa, l'effleura, voulant l'apprendre du bout des doigts. Sa menotte caressait cette peau qui semblait frissonner à son contact. Hypnotisée elle ne lâchait sa main du regard, ses gestes étaient lents, son souffle court.

Les yeux soudain remontèrent vers le visage et quand ils rencontrèrent son regard elle murmura :

- Hooo Van !

C'était presque un souffle, un demi-chuchotement, un appel en somme. Elle enleva sa main du torse, ne voulant pas les entrainer dans un interdit qu'ils n'étaient prêts ni l'un, ni l'autre à franchir. Mais ses lèvres à elle réclamèrent leur dû. Ce qui lui avait fait gouter quelques instants plus tôt, elle le voulait à nouveau. Ne le lâchant pas du regard, elle rapprocha son visage, près, si près qu'ils se touchèrent. Sa bouche à elle était là, contre celle de Van, à une distance si minime qu'elle la frôlait.

C'était de sa faute ! Ce qu'il faisait naitre en elle, était trop puissant pour qu'elle le taise. Il était trop tard ! Il avait pirater son cœur, son âme même... En avait-il seulement conscience ?

Alors dans un souffle, là tout contre ses lèvres, elle murmura :

- Encore !

Meylisse

Citation:

tu penses qu'on va trouver une carte nous indiquant un tresor , ca serait plutot sympa , tu nous imagines tout les deux sur une ile la pelle sur le dos comptant nos pas pour arriver sur un tresor de pierreries

Les yeux de Mey brillèrent en l'entendant, un trésor voilà bien qui serait une aventure palpitante !

Il farfouillait dans la caisse quand elle le vit sortir une bouteille. Rêvait-elle où y avait-il comme une appréhension dans sa voix.

Citation:

on va boire a notre future collaboration !!

- Collaboration ! répéta-t-elle machinalement. Ils collaboraient là ? Elle n'était pas sûre que le terme était exact mais elle sourit, le regardant boire. Quand elle entendit un clakkkk dans la caisse.

- Reste les mains sur ta bouteille Van, je crois qu'il y a une bestiole dans la caisse ! lui dit-elle en se penchant pour jeter un coup d'œil.

Un énorme tourteau, claquait des pinces et elle tenta de le saisir par le dessus de la carapace avec précaution.

- Ha bah voilà ! Regarde un invité surprise, tient on va le griller, c'est très bon !

Vanhelsim

Van sourit a Mey, il la trouvait si mysterieuse et belle a la fois , elle avait tout d'une vraie pirate , tetue , hargneuse , raleuse , tout ca envellopant un coeur a prendre et a conserver

tout a coup des mots l'arrachait a ses reveries

Citation:

- Ho le feu ! Il faut l'alimenter, la nuit va être longue et j'ai froid !

froid!!! pensa t-il Van sentait bien meme tres bien, depuis quelques instant une chaleur indescriptible l'envahissait de la tete aux pieds ,

Van s'avanca vers le feu et aida Mey a rallumer la flamme du brasier
apres avoir rallume le feu il alla chercher la caisse de tout les supplices et la ramena aupres du feu, s'asseya pres de Mey

allons voir ce qu'elle a dans le ventre

en fouillant a l'interieur, avec l'aide de Mey , il frola a plusieurs reprises ses mains et a chaque fois son coeur s'emballa

comme pour eviter que Mey s'en apercoivent il engagea la conversation
tu penses qu'on va trouver une carte nous indiquant un tresor , ca serait plutot sympa , tu nous imagines tout les deux sur une ile la pelle sur le dos comptant nos pas pour arriver sur un tresor de pierreries

puis en prenant une bouteille trouve dans la caisse il l'ouvrit et dit a Mey
on va boire a notre future collaboration !!

--Mille_pattes_de_mer

bien endormi au fond de sa caisse, quand des bestioles monstrueuses avec des tentacules remuaient sa maisonnée

pince en avant, hautes sur ses pattes elle allait pas se laisser cambrioler comme ça.

vade retro les monstres des terres, allez au diable!! ce sont mes affaires et personne y touchera!!!

elle retenait tout ce qu'elle pouvait avec ses pattes surtout le collier de perle et la carte du pirate nonok le fourbe

Meylisse

Il y a des moments comme ça, où tout semble être en suspend ! Le temps, les bruits, les gestes qui sont comme ralentis, les pensées qui flottent en vous comme sur un nuage, le coeur qui ne bat plus que par à coup tant et si bien que l'on croit voir la mort venir.

Alors on reste hébétée, comme frappée d'une stupéfaction qui se lit sur le visage. Les traits sont figés, la respiration se fait courte et une pâleur envahit les joues.

Citation:

Voila Mey ce baiser est la chose la plus douce que je pouvais t’offrir pour apaiser ta douleur,

La douleur ! voulut-elle murmurer... qu'elle douleur ?

Les lèvres avaient été douces, posées là sur les siennes, si douces même, qu'elle en était complètement chavirée !

Déjà Mey ne bougeait plus ! Le coup de poing l'avait engourdi. Elle avait le regard dans le vide, elle était sans vie apparente, comme retirée en elle-même. Les bruits d'étoffe déchirée ne la sortirent même pas de sa torpeur, pas plus que les râles étouffés que retint Van quand l'alcool versée avait dévoré sa plaie.

Et puis il y avait eu ce baiser ! Le tout premier...

Nul homme n'avait foulé ses lèvres auparavant ! Elle les aurait écorché vif, si d'aventure ils s'y étaient risqués. Pourtant elle avait vu celui-ci venir ! D'abord le pouce qui l'avait effleuré sa lèvre meurtrie, puis enfin...

Ainsi c'était ça, le frisson dont parlait les femmes entre elles, ce vertige que procurent les hommes quand leurs lèvres se font velours ?

Instinctivement elle porta ses doigts sur les lèvres embrassées, hébétée ! Quand elle s'aperçut enfin, sortant de sa transe, que Van l'observait !

Vit-il au moment où son regard croisa le sien qu'elle était profondément troublée ? Elle espéra que non, la lueur du feu jetant l'ombre et la lumière par touche sur leurs visages.

Elle secoua la tête comme si elle voulait sortir d'un KO et inspira profondément, reprenant ainsi un peu de couleur !

- Merci Van ce remède était...

Elle lâcha son regard, il y lirait à livre ouvert et détourna les yeux sur le feu !

- Ho le feu ! Il faut l'alimenter, la nuit va être longue et j'ai froid !

Elle s'activa, masquant son trouble, redevenant la pirate qu'elle voulait être, vindicative, rieuse, têtue, farceuse même, mais tellement femme finalement !

Vanhelsim

Van était dans les vapes, le souffle chaud et bienfaisant du feu lui faisait du bien, sa main meurtrit sentit soudain la douceur d’une autre main, cette présence le rassura, il ouvrit les yeux et sourit en voyant Mey s’occuper de lui,
Son visage changea de couleur lorsqu’il vit la dague rougit par les braises se poser sur sa plaie béante

Van se tordait de douleur, ses mains se crispait et soudain son bras tout entier se crispa et partit tout droit dans un mouvement digne d’un lutteur grec et alla se ficher directement dans la mâchoire de Mey
Nonnnnnnnn ohhh c’est pas vrai mais qu’est ce que j’ai fait

Van vit Mey s’essuyer la bouche,

Je suis désole Mey c’est un mauvais reflexe

Van en oubliait presque que sa main était encore douloureuse, le fait d’avoir frappe une femme le rendait malade de honte et de gène

Mey laisse moi voir si je t’ai pas amoche

Van posa un doigt sur les lèvres de Mey et essuya les gouttes de sang qui perlaient

Quel homme suis-donc pour avoir frappé une femme qui m’aidait en plus !!

Van regarda Mey dans les yeux et lui dit

J’ai un très bon remède pour éviter le gonflement des lèvres, c’est un petit truc de ma fabrication, attention ne te méprends pas ce que je vais te faire est uniquement médicale

Van approcha son visage de celui de Mey et déposa ses lèvres qu’il avait préalablement humecté, sur les lèvres de mey, il ferma les yeux, la douleur de sa main se rappelait a lui, il se rassied,

Voila Mey ce baiser est la chose la plus douce que je pouvais t’offrir pour apaiser ta douleur,

Van regardait sa main, le sang ne coulait quasiment plus, il prit la flasque d’une main, arracha un pan de sa chemise, l’imbiba du précieux liquide et l’apposa directement sur la plaie, serrant les dents, il s’arracha un autre pan de chemise et se fit un pansement afin d, accelerer la guérison de sa main

Van regarda Mey elle semblait sous le choc mais était-ce encore le coup de poing reçu ou le baiser dépose qui la rendait si soucieuse ?

Meylisse

Un ange ? Un ange ! Il la prenait pour un ange !!! Un démon oui murmura-t-elle entre ses dents, tandis qu'il lui disait chercher du rhum dans la caisse !

Soudain il s'effondra et elle poussa un cri. Se relevant comme si elle avait vu un diable, elle le regarda atterrée.

La panique l'étreignit :

- Ô misère ! Il est mort, je l'ai tué ! Bon sang je suis bonne pour la potence moi !

Il ne bougeait toujours pas, elle se mit à faire les cent pas !

- Non mais déjà qu'une juge à noter mon nom, comment expliquer que je n'y suis pour rien ? J'ai pas bonne réputation moi, s'en est fait de mon sort là ! Qu'est-ce que je dois faire ?

Elle réfléchissait à toute vitesse, voyant Van inerte, la main ensanglantée.

- Ho je sais il me faut une pelle ! Je l'enterre au fond de la grotte, ni vu, ni connu...

Son regard brilla, elle chercha une pelle des yeux, mais à part une caisse à moitié ouverte, il n'y avait rien de ce genre !

- Arff non, ça marchera pas, ils le retrouveront et comment expliquer sa disparition ? Je pars à la nage, je le laisse là, oui, je dirai qu'il a voulu abuser de moi, que je l'ai planté à l'entrée de la grotte !

Elle se dirigea de quelques pas vers la sortie, puis revint, remords vrillés au corps.

- Pff non on me croira pas, s'il avait voulu abuser de moi, ils savent tous que je me serai laisser faire, c'est Van bon sang !!!!

Comme pour sauver sa peau Van gémit et elle se précipita vers lui.

- Ô il est pas mort ! J'ai failli commettre une erreur judiciaire ! Heu non un meurtre... Arff je deviens folle moi, VANNNNN bon sang, c'est pas le moment de tomber dans les pommmeuuuuuuuuux !!!!!!!!

Il ne réagissait pas ou si peu qu'elle finit par le trainer jusqu'à la lumière du feu. Le prenant sous les aisselles, elle l'emmena, manquant tomber maintes fois sur les fesses. C'est que c'était un grand gaillard le Van et elle un petit bouchon à côté !

Elle défit le chiffon crado qui lui servait de pansement et fit une grimace ! La installé près du feu, l'homme avait une méchante entaille dans la paume de la main. Le dessus aussi était blessé, mais pas aussi profondément que l'intérieur. Où avait-il pu se blesser de la sorte ?

Elle soupira, il saignait beaucoup encore, il fallut qu'elle trouve quelque chose, un alcool pour empêcher les fièvres de le dévorer ! Sa mère faisait ça quand petite, elle se blessait.

Elle repartit vers la caisse, l'ouvrit et farfouilla dedans. Une bouteille enveloppée dans un tissu heurta sa main. Visiblement il y en avait même plusieurs ! Misère de quoi saouler Van pendant quelques jours ! murmura-t-elle, quand un métal froid toucha ses doigts alors qu'elle s'emparait d'une flasque.

C'était une arme, elle s'en empara, il faisait sombre, elle ne voyait pas bien. Elle revint vers Van qui n'avait pas bougé. A la lueur du feu, elle découvrit un poignard recourbé, dont le manche était en corne et pierreries. Elle siffla entre ses dents, les yeux brillants devant ce petit trésor. Soudain lui revint en mémoire son blessé, la bouteille ! La bouteille !!!!

Elle la déboucha ! Jeta un oeil et vit un liquide brun et odorant qui la rendit dubitative ! Elle en gouta une gorgée et s'étrangla ! C'était fort moins que le rhum, mais encore trop fort pour elle. Qu'importe ça allait lui servir !

Le poignard l'aida à tailler des bandelettes dans son jupon et elle en imbiba une avec l'alcool. Le nettoyage des plaies commença ! Doucement elle rendit la main plus propre, mais une peur se lisait sur son visage, l'entaille à l'intérieur était trop profonde et saignait abondamment !

Que faire ? Une phrase lui revint en mémoire :

Citation:

Au fait Mey merci d’avoir vole a mon secours aussi vite, t’es une sacrée pirate toi

- Pirate ? Mais oui ! je sais j'ai vu faire ! Van tu vas me haïr mais je vais sauver ta main !

Elle regarda le poignard dont la lame était piquée tant elle semblait vieille, mais avait l'air solide. Elle la mit dans les braises, versa de l'alcool sur la plaie, sentant Van avoir un soubresaut sous la douleur surement.

- C'est rien à côté de ce que tu vas subir ! Dors bel ange, dors...

Elle lui emprisonna le poignet bien plus tard, posant un genoux dessus, lui maintint la main bien ouverte et posa la lame brulante du poignard, rougit par les tissons, sur la plaie. Un grésillement se fit entendre ! Le premier coup qu'elle reçut, elle le supporta, mais elle eut le malheur de tourner la tête et là !

Van se débattait, son poing rencontra la mâchoire de Mey ! Elle fut désarçonnée et atterrit face contre terre à quelques centimètres de lui ! Le choc l'étourdit, c'est qu'il avait une bonne droite ! Elle se redressa un peu désorientée, leva les yeux vers la main que tenait Van en criant grande ouverte et sourit, la plaie ne saignait plus !

Enlevant les mèches de cheveux qu'elle avait dans le visage, elle s'approcha de lui. Déjà un bleu apparaissait à l'endroit où le poing avait atterri et un gout métallique emplissait sa bouche !

- Je suis désolée, on avait pas le choix ! lui murmura-t-elle en posa sa main sur sa bouche, sentant une douleur. Elle fit une grimace, ôta ses doigts plein de sang. Sa lèvre était fendue ! Le métier de pirate était un dur métier !!!!

Vanhelsim

Van était toujours assis, en se tenant la main fermement, lorsque soudain il fut littéralement renverse par un éclair Blanc, était –ce déjà la mort qui venait le chercher, s’était –il vide de tout son sang, se murmurait –il,
Van n’était pas du genre à se laisser abattre, il regarda la grande faucheuse dans les yeux et

Ohhhhhhh suis –je déjà arrive au paradis, vous êtes l’ange venu me chercher,

Van divaguait, surement du au sang qu’il avait perdu, a moins que ne ce soit a cause d’un abus de rhum, ses yeux se voilait, la douleur était intense, il regarda une dernière fois, l’ange venu l’enlever a sa chère terre

Si j’avais su que la mort était si belle, je serais mort bien plus tôt

Van se sentait défaillir, c’est alors qu’il entendit une voix lointaine très lointaine

Citation:

- Van la bouteille, tu l’as mise où, la bouteille de rhum ? il faut desinfecter

Van s’éveilla d’un coup,

Hein quoi oui euh du rhum oui je veux bien !!!
Ahhhhhh Mey tu sais que tu ressemble a un ange, j’ai cru être arrive au paradis, van lui sourit mais la douleur était de plus en plus vive
Pour le rhum regarde peut être dans la caisse, elle est ouverte mais je n’ai pas eu le temps de regarder a l’intérieur
Au fait Mey merci d’avoir vole a mon secours aussi vite, t’es une sacrée pirate toi
C’est alors que Van fut pris de vertiges et tomba à terre

Meylisse

Elle l’entendit juré, là bas dans la pénombre, Van pestait. Elle ne s’inquiéta pas outre mesure au début, il était un homme de terrain, il savait faire face à toutes les situations. Elle comprit qu’il avait trouvé la caisse et qu’il tentait de l’ouvrir. Mes soudains des bruits de lutte se firent entendre ! Elle paniqua, une attaque de pirates ? Il était armé, elle pas, mais quand elle l’entendit l’appeler, son sang ne fit qu’un tour ! Il avait besoin de renfort !

Elle se leva d’un bond, la peur au ventre certes, mais prête à l’attaque. Elle courut vers lui, la lumière du feu dans son dos, ne lui permettait de voir vraiment où elle allait. La caisse qu’il avait déplacé apparut soudain sous ses yeux, au beau milieu du tunnel. Trop tard ! Beaucoup trop tard, elle se prit les pieds dedans ! Emportée dans son élan, elle plongea mains en avant, heurta un corps, l’entraina avec elle. Un ennemi ?

Elle avait fermé les yeux, autant ne pas voir la tête du pirate, autant surgir à l’aveugle. La chute fut brève, sans vraiment de heurt, mais assez forte pour déséquilibrer l’homme. D’ailleurs l’homme en question était petit, au moins qu’il n’était assis ?

A califourchon sur un corps, genoux de chaque côté d’un torse, elle ouvrit enfin les quinquets. Ses pupilles s’habituèrent à la pénombre. Elle était assise sur le ventre d’un homme grand, les mains de chaque côté de sa tête, penchée en avant, le visage proche, si proche de celui de… VANNNNNNN !!!!!!

Leurs regards s’accrochèrent, son cœur à elle s’emballa, loupant une marche de temps à autre. Sa bouche à lui, l’attirait, l’attirait tant qu’elle voulut y gouter, qu’elle voulut ce baiser, son premier… Qu’elle…

Soudain il souleva une main, réflexe ? Douleur ? Malaise de la voir ainsi penchée sur lui ? Elle ne le sut, mais son regard fut attiré par le mouvement.

Un tissu maculé de sang enveloppait les doigts, elle se redressa, lui offrant une superbe vue sur son décolleté, prit la main blessée dans la sienne et :

- Oh mon dieu, mais tu es blessé !

Le charme était rompu, elle cherchait du regard la bouteille de rhum pour désinfecter la plaie.

- Van la bouteille, tu l’as mise où, la bouteille ?

Ramenant son regard vers le visage de Van, elle ne put que constater qu’il semblait… distrait, et surtout qu’il n’écoutait pas un traitre mot de ce quel lui disait !

Vanhelsim

Van revenait sur ses pas, il cherchait cette foutue caisse, avec le fol espoir d’y trouver quelques bouteilles afin de se réchauffer intérieurement
Van ronchonnait « ouh qu’c’est qu’elle est cte foutue caisse non de diou !!! »

Van accroupi cherchait à tâtons ce fameux morceaux de bois, c’est alors qu’il sentit quelques choses lui filer entres les mains
Van sursauta « ohhhh de diou c’était quoi ca !!!! »
Van sortit son épée, et commença à chercher ce qui avait pu le faire sursauter de la sorte Un rat surement pensait t’il ou alors une raclure de bestiole maritime je m’en vais l’occire vite fait foi de Vanhelsim !

Gardant l’œil sur tout ce qui bougeait, ce qui était relativement difficile vu l’obscurité qui régnait en ce lieu et il ne faut pas oublier (il a enquille une bouteille de rhum avant pour ceux qui ont pas suivi le rp !!! lol)
C’est alors que dans un petit recoin du tunnel il aperçut la fameuse caisse en question !!
En se retournant vers Mey il lui dit
C’a y est Mey j’ai trouve la caisse !!!
Il se mit en tète de l’ouvrir et se servit de son épée comme d’un levier pour faire sauter le couvercle de la caisse alors qu’il s’efforçait de faire sauter le couvercle, il ne pensait plus a cette satanée bestiole qu’il avait jure d’occire, mal lui en a pris, alors qu’il soufflait entre deux coup de levier, il laissa trainer sa main droite sur le sol et

« CLAC » !!!!!
Un cri strident se fit entendre dans le tunnel
Aieeeeeeeeeeee P****N de saleté de bestiole de M***E

Van se tenait la main il sautait partout comme si cela atténuait la douleur, il sentait bien que cette saleté de bestiole l’avait pas rate, mais il ne s’en souciait guère, il récupéra son épée de la main gauche et tout en continuant à insulter la bestiole il la trancha en deux d’un seul coup (un coup de chance insolent !!)

Mey viens voir j’ai besoin de toi la, j’ai tue une bestiole mais elle est bizarre je ne connais pas cette espèce, toi qui connait bien la mer et ses habitants tu vas pouvoir m’aider !!

En attendant que Mey arrive Van regardait sa main droite et malgré la pénombre parvint à voir qu’il saignait abondamment il s’enroula la main dans un linge qu’il avait dans sa besace et s’assied

Meylisse

Elle se mordit la lèvre, il était certain que le bruit des vagues qui claquaient contre les rochers ne pouvait pas échapper à Van. Bien sur qu'ils étaient coincés ici... Elle se doutait à moitié que ça allait se produire, mais là devant le fait accompli, une sourde angoisse l'envahit !

Citation:

Si tu veux Mey , j'allume un feu et je vais allez me poster un peu plus loin pour monter la garde , je vais en profiter pour voir si cette foutue caisse qui m'a fait tomber n'est pas remplies de boissons ou autres avec un peu de chance !!!!

Ils avaient fini pour déboucher sur une sorte de caverne de toute évidence creusée par la main de l'homme, c'était étrange, elle était persuadée que quelque part le tunnel repartait vers les terres.

Elle l'avait vu chuter, avait étouffer un cri, mais Van était agile et s'était relevé avec une souplesse étonnante. A présent, il voulait prendre la situation en main, elle acquiesça, elle avait froid, si froid...

Visiblement la torche ne les éclairerait plus très longtemps, elle n'avait pas pensé à en prendre plusieurs. Pas facile à chaparder des torches, de plus le suif tachait tout et cette odeur de graisse de cochon brulée lui soulevait le cœur.

- Oui allumons un feu, la torche va bientôt s'éteindre, on n'ira pas beaucoup plus loin, regarde il y a du bois flotté un peu partout, à force il doit être sec, au pire il fumera un peu, mais il brulera quand même !

Elle l'aida à rassembler tout ce qu'ils trouvaient. Le bruit du ressac ce faisait plus net, visiblement la marée était haute, elle n'avait pas mesurer ça en entrant, à vrai dire, elle n'avait rien calculé du tout !

Quelques morceaux de caisses en petit bois, aida le feu à partir, bientôt presque toute la petite cavité où ils se trouvaient se trouva éclairée, à mesure que le feu prenait. Des bouteilles vides jonchaient le sol, un filet de pêche à moitié rongé, une lampe à huile rouillée et vide... Le fond pourtant restait dans l'ombre. Elle était convaincue que le tunnel repartait, les corsaires étaient souvent financer par des nobles, ils étaient peut-être dans un ancien passage secret !

Souvent les châteaux et autres maisons seigneuriales en possédaient, elle avait le goût du risque, elle s'y aventurerait, mais plus tard, bien plus tard, elle était lasse pour l'instant.

Elle s'installa près du feu, Van continuait à amasser du bois. Elle le regardait faire, un sourire flottant sur ses lèvres. Avait-il mesuré à quel point il la troublait ? Elle espéra que non ! Cette attirance la terrifiait, autant qu'elle l'exaltait. Aucun homme ne l'avait approché, aucun depuis qu'un amant de sa mère avait tenté de la contraindre.

Elle se souvint de ses mains emprisonnées dans l'une des mains de l'homme, de l'autre qui parcourait son corps sans pudeur, de ses baisers ignobles qui lui couvraient le visage, de la morsure à la lèvre qu'elle lui avait infligé, de son genou à elle qui avait remonté vers le bas ventre de l'imprudent, du cri qu'il avait poussé, la lâchant en se courbant, des mots qu'il avait prononcé : Sale peste, aucun homme ne voudra de toi, tu n'es qu'une sale petite morveuse !

Elle avait courut, s'était enfuie, ne voulant jamais revenir dans la cabane du bord des dunes où elle fut élevée. C'est une semaine plus tard, qu'elle apprit la mort de sa mère, on l'avait étranglé.

Un frisson d'horreur lui parcourut la colonne, à présent, elle était seule au monde et ne permettait à personne de l'approcher et encore moins de la toucher, mais... il était évident que ses résolutions étaient bousculées là à cet instant précis ! Assise, bien au chaud, elle enserra ses épaules et replia ses genoux sous son menton, regardant le feu depuis un moment les yeux vides de toute expression.

Elle revint à la réalité en entendant un bruit et chercha Van du regard. Elle sourit, il repartait explorer la caisse qui l'avait fait chuté !

Trouverait-il le rhum qui inévitablement allait lui faire défaut durant les longues heures qu'il allait passé là, avec elle ?

--Le_crabe_borgne

Crabos le crabe borgne, gardien du trésor des pirates de la pieuvre noire faisait sa ronde comme à chaque fois. Bien installé sur sa caisse il se délecter de crevette. Ses grosses pinces de tourteau tranchante comme des couteaux claquaient dans la grotte et raisonnaient de mille échos comme s'ils étaient toute une armée.

Mais un bruit, des voix, une lueur le fit se lever sur ses pattes et pinces en avant il râlait

qui peux bien venir ici!!! grrrr des pilleurs de trésor!! par les tentacules de Poséidon je vais leur faire regretter de venir s'aventurer ici!!!!

Vanhelsim

Van en se retournant tomba nez a nez sur Mey , cette proximite si soudaine le fit frissonner, durant ce bref instant il se sentit si bien helas toutes les bonnes choses ont une fin

-

Citation:

Bah on va se marier autant t'habituer à ce que je te colle au train non ?

Van sourit en guise de reponse, puit repris sa marche en avant

Plus Van marchait plus le bruit sourd et repetitif venait claquer a ses oreilles, il se murmura
"diable ce bruit m'est familie de plus il ne m'inspire guere , on dirait le bruit de ressac des vagues sur les rochers"

A ces propres mots Van tressaillit puit se retourna vers Mey

Mey ce bruit c'est la maree elle remonte on va etre pris au piege !! nous avons fait trop de chemin pour rentrer au village les pieds au sec et il est hors de questions que je rentre a la nage !!

Van s'accroupit et placa sa torche au ras du sol et inspecta le sol

le sol est sec nous sommes en securite ici du moins pour l'instant
dit il en regardant mey

Van se releva et se mit a inspecter le tunnel , il s'avanca et trebucha sur une sorte de caisse
Van s'affala de tout son long , lachant la torche qui roula et eclairat une sorte de petite piece , qui avait du servir de repaire a quelques brigands mais qui a son avis ne devait plus etre utilse depuis tres longtemps vu l'etat d'abandon qui regnait ici , des bouteilles vides jonchait le sol , un reste d'os s'amassait sur ce qui avait du etre un feu

Van se releva et sourit a Mey

Voila un endroit qui m'a l'air abandonne depuis des lustres , nous sommes bien coinces , il nous faut attendre que la maree redescende,

Van souriait , l'idee d'etre coince en si charmante compagnie lui convenait parfaitement mais en parfait gentleman qu'il est, il proposa a Mey

Si tu veux Mey , j'allumes un feu et je vais allez me poster un peu plus loin pour monter la garde , je vais en profiter pour voir si cette foutue caisse qui m'a fait tomber n'est pas remplies de boissons ou autres avec un peu de chance !!!!

Meylisse

Elle se collait à lui et quand il s'arrêta et se retourna, elle lui rentra dedans. Pas un choc violent non, mais cette proximité la fit rougir jusqu'au front. Chance il faisait nuit, il n'avait rien vu, il n'avait rien vu hein ? se demanda-t-elle, alors qu'il la regardait !

- Bah on va se marier autant t'habituer à ce que je te colle au train non ? lui dit-elle, maladroitement en guise d'excuses, se reculant d'un pas.

Citation:

Ca va toujours Mey , il me semble avoir entendu quelques chose !

Ce qu'il dût entendre lui c'est la salive de Mey qui passait dans sa gorge avec difficulté ! Elle lui répondit en chuchotant, la voix suraigüe :

- Tu crois ? On devrait peut-être repartir non ?

Trop tard, car à mesure qu'ils s'avançaient dans l'étroit tunnel, la mer elle remontait, chose qu'elle garda pour elle ! D'autant que le sable sous ses pieds était sec, ce qui signifiait que cette partie du souterrain n'était pas submersible ! Elle ferma les yeux un instant et murmura :

- Bah restes devant hein et sors ton épée, j'ai pas d'arme moi, c'est pas que j'ai peur hein ! mais si on nous attaque j'ai rien pour me défendre !

Elle le poussa et resta derrière lui. Du reste elle n'était pas si grande, si bien que la haute stature de Van, la cachait toute entière...

Vanhelsim

Citation:

- Rhoo, m'étonnes pas que tu n'aies pas gardé une femme toi !

je ne peux que te donner raison Mey , mais bons j'aime la vie et ses plaisirs voila !!! enfin
Van regardait l'entree de la grotte , et essayait d'imaginer les personnages qui aurait pu emprunter ce^passage , pendant quelques secondes il s'imagina en en capitaine de galion allant enfouir son tresor , il en oubliait presque que Mey lui parlait

Citation:

Mouais finalement t'es pas mal ça a dû aider !

Merci Mey ce compliment me vas droit au coeur !!! au moins je ne fais pas fuir c'est deja ca !!

Van lui sourit puis commenca a s'engager dans la grotte

allez zou allons voir ou ces vils brigands cachaient leurs tresors
Van se retourna vers Mey et lui sourit, puis en lui prenant la main il lui dit
je passe devant , la je suis dans mon element , et t'inquietes pas mon epee est affutee et pretes a servir au cas ou !!
Van faisait le fier mais il n'emmenait pas large pour autant , muni de la torche que Mey lui avait confie il avancait dans ce long et etroit tunnel ,
apres avoir fait quelques metres il se retourna vers Mey et lui chuchotta

ca va toujours Mey , il me semble avoir entendu quelques chose

Meylisse

Citation:

Des pirates , terrible tu crois qu'ils ont laisser quelques bouteilles dans leur repaire , j'ai plus de rhum moi !!!

Sous la lueur de la torche le visage de Van lui apparut quand elle se tourna vers lui. Sa bouteille de rhum à la main, il était en train de rire. Elle lui colla une tape sur le torse rageuse !

- Rhoo, m'étonnes pas que tu n'aies pas gardé une femme toi ! Gageons que tu étais sobre le jour où tu as conçu ta fille, parce que l'alcool ça rends impuissant il parait !

Torche en main, cheveux au vent, robe plaquée sur le corps trempée par les embruns et déchirée dans le bas à cause des rochers qu'elle venait d'escalader pieds nus, elle le regarda des pieds à la tête !

- Mouais finalement t'es pas mal ça a dû aider !

Puis passant devant, gravissant à nouveau des rochers, elle s'engouffra dans l'étroit passage.

- Je ne suis jamais aller plus loin que là ! lui dit-elle, quand leurs pieds touchèrent du sable et un sol plus plat.

Elle balada sa torche alentour et ils découvrirent qu'ils étaient dans une sorte de boyau taillé surement par des hommes, un tunnel en sorte. Meylisse n'en menait pas large et reprit la main de Van et s'y agrippa très fort, cette fois c'est elle qui demandait à être rassurée !

Vanhelsim

Citation:

Allez en route et arrêtes de lorgner mon décolleté ! Si tu crois que je ne te vois pas !

Van se chuchotta "arfffff grille" puis tenta vainement de se justifier
euhhh mais non enfin euhhh je regardais pas euhhhh , je fais juste attention ou je met les pieds

Van se sentait rougir comme une pivoine, heureusement il faisait sombre et cela ne se voyait pas
Van suivait prudemment mey , il lui serrait la main non pas amoureusement juste que cela le rassurait
apres avoir escalalde quelques rochers , il se trouva devant une sorte de grotte

Citation:

- Viens c'est par là, je pense que c'est un repaire de pirates.

Van regarda mey et lui dit
Des pirates , terrible tu crois qu'ils ont laisser quelques bouteilles dans leur repaire , j'ai plus de rhum moi !!!
Van eclata de rire et suivit Mey a l'interieur

Meylisse

Citation:

Mey je t'en pris me rapproche pas trop de l'eau j'en ai une peur bleue !!

Elle le regarda et poussa un soupir. Elle comprenait néanmoins la peur qui vous paralyse au point d'en perdre ses moyens. Elle lui tendit la flasque de rhum et le prit par la main.

- Tiens bois et n'aie pas peur, je suis là, je sais nager, t'en fais pas ! Et puis regarde c'est marée basse ! Allez en route et arrêtes de lorgner mon décolleté ! Si tu crois que je ne te vois pas !

Elle partit d'un éclat de rire, elle était d'une certaine mauvaise foi, lui ayant coller sous le nez quelques instants plus tôt. Oui mais quand même depuis son regard trainait.

Ils longèrent la plage, marchant sur le sable, les vaguelettes parfois venant leur mouiller les pieds. Elle sentait Van prudent, mais elle ne lâcha pas sa main. Ho ! ils avaient pas les doigts enlacés, non, pas comme des amoureux, mais elle lui offrit une main secourable, pour le rassurer.

Jamais aucun homme ne l'avait ainsi touché de si près, tenu sa main même, mais elle ne lui en souffla mot. Van avait un le pouvoir de la rassurer, c'est pour ça qu'elle n'avait pas peur qu'il soit si près d'elle.

Arrivés au phare, ils escaladèrent les rochers, puis elle le conduisit vers une crique rocheuse. Là, elle sortit une torche de sa besace et l'alluma avec un briquet d'amadou. La nuit était claire, chance, sinon elle n'aurait jamais trouvé l'entrée de la grotte. Elle lui reprit la main, et l'entraina vers l'ouverture étroite.

- Viens c'est par là, je pense que c'est un repaire de pirates.

Vanhelsim

Citation:

Là-bas un peu plus loin derrière le phare, là où il y a des rochers, c'est par là que j'allais quand je t'ai vu arrêter ici ! Tu veux

?

tres bien je te suis pas de soucis , par contre si je tombe a l'eau je compte sur toi pour m'aider en plus t'as ma flasque de rhum donc je te suis !!!

Van lui sourit tout en gardant un oeil sur la vue imprenable que lui offrait mey en lui derobant sa flasque de rhum

je suis desole pour ta mere Mey je ne voulais pas raviver de mauvais souvenirs

Van emboitat le pas a mey tout en veillant a ne pas trop se rapprocher de l'eau

Mey je yt'en pris me rapproche pas trop de l'eau j'en ai une peur bleue !!!

Meylisse

Citation:

bref , j'analysais ma vie en quelques sorte ,
et toi Mey tu n'est pas venue ici juste pour me vider les trois quart de ma flasque par terre non ? qu'est ce qui t'ammene ici ?

Meylisse sourit et le regarde :

- Qui sait je suis peut-être venue pour toi !

Elle le laisse un moment cogiter ça et regarde la mer qui devient d'encre et d'argent, sous les reflets d'une lune pleine, puis reprends :

- Je ne suis pas venue faire le point sur ma vie sentimentale en tout cas ! Ma mère me manque, elle est morte depuis peu, parfois je viens sur la plage et je pense à elle ! Tu veux voir quelque chose que j'ai découvert ? Là-bas un peu plus loin derrière le phare, là où il y a des rochers, c'est par là que j'allais quand je t'ai vu arrêter ici ! Tu veux ?

Elle se lève, lui attrape la flasque de rhum, lui offrant une vue imprenable que son décolleté pour faire passer l'emprunt du rhum, boit une rasade et le regarde en riant :

- Allez bouges-toi, sinon adieu rhum !!!!

Millie

Millie de passage à Blaye pour une courte visite, profita de quelques instant de repos pour aller se balader et se ressourcer sur la plage.
Elle se souvenait de son dernier passage dans cette ville.
Elle y avait séjourné plusieurs jours avec son "harem", ses amis qui la suivaient dans cette visite de la Guyenne.
Que de souvenirs heureux de cette période insouciante pour eux tous.
Aujourd'hui elle était seule à marcher le long de la grève, "ses" hommes ne la suivaient plus.
Ce n'est pas qu'ils ne le voulaient pas mais la vie est ainsi faite, qui nous colle des obligations sur le dos dont on ne peut se défaire facilement.
Alors ils étaient restés à Bazas et elle était repartie, mais cette fois ci avec un seul : son homme.
Elle en était ravie.
C'était la première fois qu'ils voyageaient tous les deux.
Il n'en faisait pas parti du "harem" lui, et avait bien rit des anecdotes qu'elle lui narrait de ses périples Guyennois et des réflexions plus ou moins obligeantes qu'elle avait eu, seule femme à diriger un groupe d'hommes.
Les gens sont ainsi fait, une femme, plusieurs hommes, les langues vont bon train.
Elle grimaça pour elle même et secoua légèrement la tête pour chasser les idées noires qui prenaient le pas sur les bons souvenirs.
Elle n'était pas là pour ça mais pour profiter de la mer, du soleil et de la plage.
La nature avait un effet reposant sur ses sens et elle en profitait autant qu'elle le pouvait, dès qu'elle le pouvait.
Ses pas lents la menèrent au bord de l'eau, à la lisière ténue du sable et de la mer, frontière changeante que les vagues modifient à leur gré.
S'arrêtant face à l'onde, elle laissa son regard se perdre au loin.
Fixant l'horizon, un sourire effleura ses lèvres quand elle vit un groupe de mouettes plonger dans les flots et en ressortir poisson au bec.
Pas de souci de pêche pour elles au moins.
Un souffle de vent vint soulever la chevelure brune de la jeune femme et lui déposer des mèches sur le visage, elle les repoussa d'un geste lent de la main appréciant la douce caresse.
Elle reprit sa marche le long de la grève, retournant doucement vers son homme qui l'attendait pas très loin de là.
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Hartemis

Quand le trés haut ne veut rien savoir

Hartémis venait de finir sa ronde des tavernes et il avait décidé de ne pas rentrer tout de suite,Cybella devait l'attendre mais il voulait retrouvé un peu de solitude qu'il appréciait tant par moment,c'est donc d'un pas rapide qu'il se dirigea vers la plage et s'installa en haut d'une dune qui surplombée la mer,le vent par moment levé du sable qui venait lui fouettait le visage mais il en avait cure,c'etait signe qu'il était bien vivant.
il s'assit et croisa les jambes et tourna la tête sur le côté,fixant de son regard bleu azur il vit un couple un peu plus loin mais difficilement reconnaissable se detournant de l'objectif il se mit a regarder la mer écoutant par la même occasion cette douce mélodie créer par la le flux et reflux des vagues,il se sentait bien et ferma sa vue pour mieux reflechir à son avenir et se mit à parler a voix haute comme si il s'adréssait au trés haut

pouquoi pourquoi ce cureton pouilleux me fait il ca qu'est ce que j'ai put lui faire ou cyb ,pour qu'il nous demande d'attendre encore et encore avant de pouvoir concretiser notre amour,pourtant je pense avoir été patient mais non ca ne lui convient toujous pas j'ai aussi fait des efforts à croire en vous en passant ma pastorale,je me suis mis à être assidue à la messe,à croire que vous me refusez le bonheur,et je m'en viens à me demander si ça ne vaut vraiment pas le coup,que je me tourne vers le coté obscure,si je me trompe envoyer moi au moins un signe.

Hartémis rouvra les yeux et scruta le ciel étoilé à la recherche du moindre indice qui pourrait lui indiquer le chemin à suivre,il attendit attendit mais ne vit rien venir et la fatigue l'emporta dans une torpeur ou un rêve bien étrange commencait à se déssiner petit à petit

Vanhelsim

Van recupere sa flasque, en prend une bonne rasade, puit la pose a ses pieds et tout en souriant a mey il lui repond

tout d'abord je me saoule pas tout seul je me rechauffe !!

Van eclata de rire

tu veux savoir pourquoi je suis la tout seul ? c'est simple je pense a tout ce que j'ai fait ici depuis mon arrive, je fais un bilan de ma vie , et j'en arrivais a la conclusion que j'ai reussi pas mal de choses sauf l'essentiel !!! j'ai pas de famille unie , j'ai eu trois femmes dans ma vie , j'en ai pas garde une , maintenant je suis seul , heureusement j'ai une magnifique petite fille , helas je la vois que tres rarement

Van soupira les yeux plonges dans les etoiles et la mine triste

bref , j'analysais ma vie en quelques sorte ,
et toi Mey tu n'est pas venue ici juste pour me vider les trois quart de ma flasque par terre non ? qu'est ce qui t'ammene ici ?

Meylisse

- Ça va glisser tout seul ! ça va glisser tout seul ! c'est facile à dire oui ! Mais bon je ne suis pas du genre à renoncer !

Elle le regarda rire, incrédule, faisait une moue de femme outrée de le voir rire à ses dépens, quand elle emboucha la flasque.

Mais le rire de Van, teintant dans ses oreilles ne lui rendit pas service. Elle recracha direct le contenu de sa bouche, chance devant elle, épargnant son voisin par elle se savait quel miracle !

- Rhoo regarde ce que tu me fais faire ! C'est de ta faute ! Tu vois quand je dis que finalement un perroquet....

Mey s'appliqua et avala une autre gorgée enfin puis posa ses doigts devant sa bouche, pour éviter qu'elle ne ressorte, déglutissant avec bruit elle le regarda triomphante, mais des larmes plein les yeux.

- Ouch c'est trop fort ce truc, bon dis à part te saouler, tu fais quoi là tout seul ? Ton mea culpa ? Je parie qu'une bonne douzaine de femmes seraient ravies de te tenir compagnie ! Alors tu fais quoi là tout seul ?

Elle lui rends la flasque, la tête un peu déjà engourdie par l'alcool et sourit les yeux perdus dans les étoiles.

Vanhelsim

Van essayait tant bien que mal a se retenir de rire

Bah alors Mey ca pique !!!

Van avait recuperer sa flasque de rhum pour s'en jeter une petite rasade , c'est alors que Mey lui repris des mains et lui dit

Citation:

- Allez je retente ?

Van regardait Mey avec etonnement et lui dit

eh bien Mey tu as de la suite dans les idees, t'es pas du genre a te laisser avoir par une tite gorgee de rhum toi !!!
allez retente fais toi plaisir , maintenant que le passage est fait ca va glisser tout seul

Van partit dans un grand eclat de rire tout en surveillant du coin de l'oeil sa flasque

Meylisse

Citation:

- Il commence a faire froid si ca te tente vas y !!

Elle le regarda, esquissa un sourire, la nostalgie se lisait sur ses traits. Autant elle pouvait être volubile, autant parfois elle était mélancolique presque.

- Du rhum c'est ça ? Le chauve m'en a fait boire avant de me jeter à l'eau, c'est fort non ?

Elle attrapa néanmoins la bouteille tendu et prit une gorgée. Le feu de l'alcool incendia aussitôt sa bouche. Elle avala de travers, toussa, des larmes plein les yeux et rendit le breuvage à l'aveugle, sentant cependant les doigts de Van récupérer la flasque !

Pff ce qu'elle devait avoir l'air maligne là à tousser, la gorge en feu et les yeux tous mouillés !

- Ho ne ris pas hein ! dit-elle la voix éraillée. C'est vrai que pour une future pirate en herbe, je fais pas trop convaincante ! Mais bon...

Mais elle finit par croiser son regard et lui reprit la bouteille des mains.

- Allez je retente ?

Vanhelsim

Van se laissait aller dans les souvenirs de sa vie , qu'il en avait quasiment oublie le temps , il ouvrit les yeux et la quel ne fut pas sa surprise !!! il n'etait pas seul sur la plage
ohhh coucou Mey , je ne t'avais pas entendu arrivee ,
Van se releva et s'assied correctement
besoin de calme aussi mey ?
j'ai une sainte horreur de l'eau mais j'aime bien Flaner sur la plage , ca m'apaise ca me ressource
Van sortit de sa besace une bouteille de rhum et la tendit vers Mey
il commence a faire froid si ca te tente vas y !!

Meylisse

Elle était rentrée du port furieuse, son entrevue avec Jo la balafre était encore trop marqué dans son esprit. L'homme aviné voulait lui faire adopter une oie ou une cochon ! Quelle hérésie.

Comme si les villes n'étaient pas assez peuplées d'oies minaudantes cherchant à se faire épouser et de cochons cherchant à tripoter tout ce qui portait un jupon ! Sans parler des dindes, mais bon ça c'était autre chose.

Elle se dirigea tout naturellement vers la plage, vers les dunes, vers le seul endroit sur cette terre où elle se sentait en paix. Pour une fois, elle avait passé une robe empruntée sur une corde à linge et les cheveux libérés de leur tricorne, voletait au vent.

Marchant pieds nus dans les vagues, elle se remémorait sa prime enfance, quand insouciante, elle ramassait des coquillages, sur la plage...

La nuit commençait à tomber, il était entre chien et loup et elle offrit son visage aux embruns. Comme tout était simple ici !

Le chauve lui avait demandé de le rejoindre à Poitiers, mais la peur de remonter sur un bateau était vive ! Pourtant elle aimait bien cet homme bourru qui l'appelait matelot, mais de l'avoir jeter à l'eau avait terrorisé Meylisse.

Elle soupira, c'était un constat amer, mais voilà ce qui lui empoisonnait l'âme, ce combat contre la mer, qu'elle avait dû livrer pour regagner Blayes à la nage !

Soudain elle sentit une présence, elle se retourna et vit un homme perdu dans ses songes !

Qui était-il ? Elle s'approcha la peur au ventre, petite souvent les contrebandiers trainaient sur la lande.

Quand elle reconnut Van, un petit soupir de soulagement franchit ses lèvres. Elle ne dit mot et s'installa à côté de lui. Assise là, elle replia les jambes et posa son menton sur ses genoux. Le contact de la robe était soyeux, elle regarda le large et les étoiles qui accrochaient leur lueur dans un ciel qui s'assombrissait.

Vanhelsim

Van deambulait sur la plage , ce n'est pas vraiment qu'il appreciait cet endroit , il a une peur effrayante de l'eau ,mais le calme et la serenite qui regnait ici l'apaisait

il s'allongea sur le sable et plongea ses yeux dans les etoiles et reflechis

"encore une fois tout seul mon bon van , cette fois tu croyais que c'etait la bonne mais bon encore rate , je pense que le celibat me convient mieux du moins il me semble "

Van plonge sa main dans le sable et fais glisser les grains de sable tel un sablier qui s'ecoule lentement

"c'est bizarre toutes ces femmes je les ai aimes profondement , mais ca n'a pas fonctionne comme je le voulais, je dois m'y prendre mal je comprends pas mais bon je vais pas passer ma vie a essayer de comprendre ,je vais vivre avec ses souvenirs "

Van ferma les yeux et se mit a sourire en se rememorant tous ces bons souvenirs

Lohengrinn

Ces années d’errance sur les chemins de l’oublie lui avait développé les sens, une année en ermite dans les montagnes du Portugal l’avait rapproché de l’animal en l’éloignant des hommes. Il n’avait pas peur, n’était pas inquiet …
Sur sa peau il sentait la caresse du vent d’océan, ses oreilles percevaient les cris des mouettes, le fracas des vagues, les hurlements du chef du port sur ses forgerons polonais certes mains d’œuvres économique, mais qui ne comprenait en rien les vociférations cisterciennes hystériques d’un sacristain bougonneur et bouffeur d’écureuil. Ses narines frémissaient à l’odeur d’iode, et l’acre parfum des noirs goémons séchant au soleil …
Oui Lohengrin était un des éléments de la nature qui l’entourait, il ressentait les choses les percevait dans leurs moindres détails, comment ne pas être proche de Dieu quand on a autant conscience de sa création…
Comment ne pas se sentir lié à elle, avec cette femme, créature incarnant Dieu dans le moindre de ses soupirs, comment se sentir coupable d’avoir, pour cet ange, le désir de froisser, sous l’étreinte charnelle, la soie de ses ailes.

Il la regarda intensément, pris une douce inspiration, ce concentra, bloqua ses sens et lui parla simplement.

Verya …Bonjour, je viens ici pour me reposer … Oui, pour

Reposer...

Ce corps épuisé par cette fuite perpétuelle,

Reposer…

Mon âme blessée de tous les tourments qui la hante,

Reposer…

Ce cœur, caparaçonné d’argile, cuite au four de l’enfer, afin que nulle personne n’y ait accès.

Reposer…

Mes mains usées, par la rugosité de mon bâton de pèlerin, à la douceur de tes cheveux …

Fermer …

Mes yeux, pendant que tu veille sur mon sommeille, que tu inspire mes rêves, pendant que mes panse mes plaies de tes attentions bienveillantes.

Partager …

Tes rires, pareil au jaillissement d’une source à travers les glaciers éternels, tes joies que j’inspirerais, ton bonheur d’être en vie, au milieu de ce monde merveilleux, peuplé de songe, de Blayais rieur, de sacristain râleur …

Cracher …

Avec toi sur ses faces blêmes, pourfendeur d’allégresse, allumeur de feux pénitent, d’autodafés des joies. Qui jouissent du mal qu’ils distillent par le verbe et l’action …. Oui à leur fasse nous cracheront.

Mais heureux nous vivront

Verya2

Elle referma le carnet … s’essuya les yeux rougis par les larmes …
elle avait revécu chacun de ces moments …
s’était souvenue de chaque détails … avait ressentit chaque émotion qui l’avait traversée lors …
La vie ne l’avait pas épargnée … il était temps de faire deuil de ce passé …

Un avenir se profilait à l’horizon … elle avait rencontré ce moine … cet homme d’église uni à Aristote …
il l’avait ramené à la vie … faisait vibrer son cœur … avait réveillé ses sens …

Elle entra dans la masure … fit, dans la cheminée, un tas de toutes les vieilleries qui trainaient là …
posa ses souvenirs, sa triste vie … il n'en resterait qu'un tas de cendres qui disparaitrait au gré du vent.

Non je ne veux plus jamais avoir de remords et si par bonheur ce moine … non pas moins homme … me portait quelque intérêt …
je le suivrai sur les routes … je deviendrai sa compagne de voyage … sa maitresse …
je ne serai plus seule … ne subirai plus cette solitude, cette vie d'errance qui m'a menée presque au pire …
n'avons nous pas en fin de compte les mêmes buts ?
moi l' hérétique qui ai abandonné ma vie pour servir les démunis,les âmes perdues … qui n'ai œuvré que pour le bien …
Lui ce moine marié à Aristote ne fait-il pas fait la même chose ? Ne sommes nous pas identiques ?

Noyée dans ses pensées … Verya sursauta aux coups donnés à la porte …
pas grand monde ne savait qu'elle était là … lui le savait … et si c'était lui …

Inquiète … tremblante … le cœur battant la chamade … elle alla ouvrir
Il était là devant-elle … Lohengrin lui faisait face …

Elle réprima l'envie de se jeter dans ses bras … crevait d'envie de le couvrir de baisers brûlants …
crevait d' envie de lui appartenir … de découvrir, de caresser doucement chaque parcelle de son corps …
crevait d'envie de se laisser aller à l'aimer ...

Elle plongea les yeux dans les siens … se noya dans son regard … lui sourit
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Miracia

Vraiment désolée pour le retard de réponse

Hartemis a écrit:

dit moi Isaline,Isaline c'est bien ça ?

ton père ne t'a donc pas appris comment lire l'heure dans les etoiles?

Isaline hocha la tête pour son nom mais ne dit rien pour répondre à sa deuxième question outre écouter attentivement. Car la réponse ne s’était pas tarder. L’intendant de son père lui avait déjà expliqué une grande partie de la lecture dans les étoiles. De l’heure, à l’art dessiner dans les cieux jusqu’au message du Très-Haut. Ce n’étais pas un sujet qui l’avais particulièrement fasciné mais se les faires rappeler la ramenais dans son proche passé ou elle se trouvait encore au limousin avec l’intendant qu’elle aimait autant que son propre père. Les yeux émeraudes étincelait en regardant ce qu’Hartemis lui montrais. La voix de l’homme démontrait la passion pour le sujet qu’il évoquait. Cependant ses explications se perdirent dans les brumes de son esprit au moment ou il invoqua les mathématiques impliqué sous toutes les positions des étoiles.

Hartemis a écrit:

Voila isaline je ne sais si tu as bien comprise ou même si tu ne sais compter mais c'est comme cela que nous déchiffrons l'heure dans le ciel la nuit.

Et la à premiere vue comme ca je peux te dire qu'il doit être aux alentour de 1h du matin,donc laisse moi te dire isaline que je ne compte pas te laisser repartir seule dans les ruelles de la ville en plein milieu de la nuit surtout que ce n'est point sure.

Peux tu me montrer le chemin que nous puissions te ramener chez toi si te plait Isaline?

La jeune fille fronça les sourcils. À cette heure de la nuit elle devrait vraiment se dépêcher de rentrer chez elle, son père allait vraiment être très inquiet. Que lui avait-elle prise de rester ainsi si tardivement?

Hartemis a écrit:

on la raccompagne mon ange ?

Cybella a écrit:

oui Hart on va la ramener à sa famille, c'est plus prudent

on va rentrer avec toi c'est bien mieux

Mais non, j’habite tout prêt de la plage. Père travail beaucoup sur la construction du port donc il était plein simple ainsi de se retrouver au travail.

Se tourne vers le village et indique du doigt l’hôtel tout prêt.

C’est juste ici, il n’y a pas de danger que je me perdre. Puis… je ferais mieux d’y aller tout de suite car je vais vraiment inquiéter Père.

Sans plus attendre, l’enfant minuscule, pris le bord de sa jupe dans sa main, ses chausses dans son autre main, elle se mit à courir vers sa famille, son lieux de repos. Elle ne voulait pas gâchée le moment amoureux qu’elle avait du interrompre.

Isaline doit partir ig pour quelques jours se soir donc je ne pourrais pas répondre d’où son départ précipité. Au plaisir de rejouer avec vous a son retour.

Lohengrinn

Le moine solitaire, missionnaire solidaire était bien tourmenté… Cette inconnue sauvage, cette voyageuse au cœur brisée … Lui aussi connaissait bien la douleur et les affres de la vie… et la fuite …
Il parti en direction de la plage, il savait qu’elle y avait élu domicile, mais ne savait s’il devait espérer la voir, s’il méritait de l’avoir… Pas habitué des lieux il prit son temps, observa la nature qui préparait son sommeil hivernal, il entendait les vagues non loin qui bâtait la digue construite par le grand architecte, notre merveilleux sacristain, notre soleil Blayais, l’urbi et orbi de la connaissance navale …
Il descendit les quelques marches qui menaient à la plage, ses pieds s’enfonçaient dans le sable, il sourit à cette sensation oublier depuis …. Les plages de Lisbonne …
Il parcouru l’océan du regard, il sentait le vent, la puissance des flots ce fut enivrant.
Il se tourna et observa les terres, la plage, les rochers …. Et entre deux immenses protubérances rocheuses quasi mammaires, il découvrit le saint graal, petite perle de granite calée, protégée des embruns. Il souri autant à la maisonnette, qu’à cette joie irrépressible de la revoir. Il se dirigea rapidement vers la bicoque, puis à quelques mettre ralenti … Et cette petite voix de crécelle retenti dans sa tête …

« et si elle n’est pas là …. Et si tu la dérange … et si elle n’est pas seul …. Et si…et si »

Il reprit sa marche, tête baisser en râlant après cette voix qui lui gâchait son plaisir. Arrivé à la porte il frappa presque trop fort …

Verya2

Elle ferma les yeux … regardait sa vie qui se déroulait … s’interrogeait …
combien de villes avait-elle traversé … combien de lieues avait-elle parcouru … pourquoi ?
qu’avait-elle cherché … qu’avait-elle fuit ?
tant de questions sans réponses …

Verya repris l’écriture de l’ultime courrier

Je vais vivre mon ange … sans plus d’attente
Je ne guetterai plus ce bateau fantôme
Je ne t’attendrai plus … je ne te rejoindrai pas cette fois ci …
Je ne vais pas refermer le livre … ne tournerai pas la page …
Je vais en ouvrir un autre … un empli de tes enseignements …
Adieu mon Mica
Dans mon cœur tu resteras à jamais …

Ta puce …

Elle roula le parchemin … sorti de sa besace un livre … le livre de sa vie …
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Verya2

Il lui fallait trouver la force d’ouvrir ce livre une dernière fois … trouver la force de libérer les démons du passé qui la hantait …
Les mains tremblantes … cœur cognant … elle l’ouvrit … commença, la lecture de ce que fut sa vie …

Je suis arrivée un jour de mai 1456 à Conflans-les-Sens , Duché de Champagne

Ana … m'a prise sous son aile.
Elle m'a tout appris … m'a fait confiance … je suis devenue ce que je suis grâce à elle.
Départ pour une longue retraite … besoin de réfléchir …

Un sentiment d'écœurement face à la nature humaine, certaines convictions ébranlées. Il me faut méditer à tout cela.

Un regard … un prince … une île … un océan de larmes …
Un poste de Tribun …
Début des voyages avec mes amis Elmi et Mega …

Montargis … Orléans … Blois … Tours … Chinon … Saumur … Thouars … Poitiers … Niort … La Rochelle … Saintes … Blayes … retour à Conflans …

De nombreuses rencontres dont deux inoubliables …
Un élianon blanc ... l’espoir ...
Et un simple mot qui manque tant, Marraine

Que se passe t’il ? Pourquoi toujours en arriver à l'extrême ? Pourquoi toujours douter de tout et de chacun ?
J'en suis toujours à me questionner sur ce qui peut bien motiver l'homme pour être ainsi …

Semblant de vie entre Conflans et Blois … plus rien n'a de sens … ma vie n'a plus de sens … les mêmes tourments reviennent sans cesse.
Remy m'est d'un grand secours.

Une année vient de s’écouler … je vends mes champs … je déménage à Blois … quelques transactions et nous revoilà sur les routes …

Tours … Vendôme …Montmirail … Mortagne …Verneuil … Argentan … Lisieux … Honfleur … Fecamp … Dieppe …
Bertincourt … Azincourt …

Notre but n’est pas atteint … nous sommes contraints de faire demi tour … Le groupe se sépare …
Je rentre par Patay …

A BLOIS, je ne reste que deux jours ... mes intentions sont mal interprétées et l'on m'en assigne d'autres qui ne m'avaient même pas traversé l'esprit !!!
je n'y ai pas ma place ! Remy n'est pas là ... Je reprends la route seule …
Je n'ai plus de but ... je suis vidée ... Mes vieux démons reprennent le dessus ...
Qu'en est-il de la nature humaine !!! Ce sentiment de solitude et d'écœurement face à tout cela rejaillit !

Orléans … Giens … Sancerre … Bourges … Chateauroux … Gueret … Bourganeuf … Limoges … Tulle … Bergerac … CASTILLON …

Que dire si n'est que ce village est très agréable … ses habitants charmants … l'accueil si chaleureux …
J'y fais la connaissance de Dame Kahhlan … nous semblons si proches … j'ai avec elle une longue discussion …
j'aime cet endroit, je m'y sens un peu chez moi …
Tout me pousse à y rester … mais je n'y arrive pas …
Le cœur meurtri je reprends la route …
je garde l'espoir d'enfin trouver un endroit où me reposer

Bergerac … Périgueux … Angoulème … Saintes … La Rochelle … Niort … Nantes … Rieux … Vannes … Rohan …

Je laisse aller mes sentiments … je dois me ressaisir …
Triste constat empli d’incompréhensions et de désillusions …….

« Fais ton chemin de croix si tu en as besoin » m’a dit Kah « grimpes les marches et tu verras » …

En ce 24 août, il y a un an … je sortais de retraite …
Saint-Brieux ... Tréguier ...
Je suis aux portes de SAINT-POL ...
Je fais demi-tour, talonne mon cheval et sans me retourner je galope jusque Vendôme ...

Tours ... BLOIS
la vie est bien trop dure ... je baisse les bras ... je n'y serai encore pas restée longtemps !

Saint-Aignan ...
BOURGES ...

mes dates anniversaires sont décidement importantes ...
Le 11 septembre ... Il y a un an jour pour jour, je le rencontrai ... lui mon prince ... mon rêve éveillée ...
... *écoutes, écoutes ces perles tomber sur ton corps sage et blanc ......*
Aujourd'hui Bourges me séduit ...
Ai-je enfin trouvé le repos ? ...

Je suis conquise ... je reste ...
J'achete un potager que je change en champ de maïs !!! le maïs ... que de souvenirs ...
Ganoz me nomme tavernière de son Pub Irlando-Berrichon !!!
"The Hog's Head"..."la tête de cochon" !!! Ca ne pouvait pas mieux tomber !!!
4 mois que je suis a Bourges … Fidèle au poste au "Hog’s" …
Tant de choses s’y rattachent …

Peu de temps apres mon arrivée des combats ont eu lieu …
je n’en connaissais pas réellement les raisons mais Bourges et le Berry me tenaient tant à cœur que j’ai pris les armes …
mes amis de toujours présents a ce moment m’ont suivi dans cette lutte …
Puis la guerre a fait rage en début octobre … rage et ravages … 7 armées contre 2 … la tache leur fut aisée …
J’ai pris part aux combats …
une égratignure au bras qui m’a valu une journée de repos et une estafilade a la cuisse guérie en très peu de jours …
peu de jours mais trop … les combats étaient terminés …
Nombre d’hommes et de femmes ont péri … longues ont étés les souffrances des convalescents …

"le Hog’s" ayant brûlé un soir … Ganoz à ouvert une entrée seulement connue des résistants …
jour après jour nous nous retrouvions sous les décombres loin des occupants …
3 mois d’occupation ! et malgré tout tant de bonheur partagé …
Le mot solidarité prenait un sens … le marché noir battait son plein …
les amitiés se liaient … se renforçaient chaque jour … puis chacun fut rétabli …
A la Noël le Berry retrouvait son identité … au 1er du dernier trimestre de l’an Bourges redevenait Berrichon …
Aujourd’hui … "le Hog’s" est reconstruit … la cave me manque …
je pourrais couler des jours heureux … mes pensées sont confuses ... je ne cesse de m’interroger toujours et encore …
... L’appât du pouvoir a fait sortir le loup du bois …

j'ai enfin fait l'acquisition d'un moulin ... mon maïs s'est transformé en blé ... ma farine est reservée à l'avance ...
je devrais être heureuse ! je ne devrais plus penser ... et pourtant ...

Le douze janvier 1458 ... pour ne pas dire le onze …
Je lis et relis les pages de ma vie …
tant de choses manquent … des noms … des événements …
mes colères et mes angoisses … les rives de la Loire … la Loire qui m'a vue de si près … Les hauts du Lacey …

Je suis assise là face à ce champ de blé qui est mien …
Je ferme les yeux … je revois … j’y suis … la première embauche …
Qu ‘il est doux et tout autant douloureux de laisser la place …
je repense à ce merveilleux nectar qui calme l’âme et le corps … ce remède qu’un jour l’on vous fait connaître …
Un passage dans l’abreuvoir … du feu dans la cheminée … une attention … des regards … et … l’indéfinissable !

Je suis assise face à ce champ de blé ...
j’écoute l'eau dans la roue du moulin …
un mot traverse le chemin … la pierre fond …
Tu es là ...
I have a dream ... ce sont les mots que tu m'as offert ...
Je suis assise face à ce champ de blé …
j’écoute l'eau dans la roue du moulin …

"... Laisses moi déposer à tes pieds toute la folie qui est dans mon coeur,laisses moi t'offrir un royaume ..."

En ce 28 ... je t'ai dit ... OUI

Je suis assise face à ce champ de blé …
J’écoute l'eau qui me ramene tes mots …

« … j'écoute la musique de vos phrases faites de milles retenues et d'explosions contenues,
quand soudain, jaillit, par un regard, une expression, votre coeur offert, votre tendresse et votre lassitude imprécise... »
Merci de ce cadeau mon Mica ...

Ce 10 février de l'an 1458 restera gravé en ma mémoire ...
le 14 ... nos mains sont liées ... la pomme croquée ... le chouchen bu ... les anneaux échangés ...
Devant Mère Nature et nos amis ... nous nous sommes unis ... tu m'as dit :

" ... En vérité, nous sommes une seule âme, toi et moi
Nous apparaissons et nous nous cachons
toi dans moi, et moi dans toi ..."

merci Diden ... merci à tous ....
http://www.youtube.com/watch?v=BZrLynrUBag

Mars 1458 … je n’ai rien à me reprocher n’en déplaise à certains …
La décision est prise … nous quittons Bourges …
c’est le cœur serré que je vends mon champ et brûle le moulin …
Quitter cette ville … ma ville me fait très mal …
Derniers instants à Saint-Aignan avec Liss … puis nous prenons la route vers le Sud …

Après quelques départs ratés … nous arrivons à Albi …
La Ville vit … les habitants y sont fort charmants …
La surprise est de taille en ce matin du 27 … Sans m’en parler … tu as déposé les malles … Nous sommes Albigeois !!!

Je n’ai pas de mots pour exprimer ma joie
plus de mots pour décrire mon bonheur …
Did est élue maire ... elle me nomme tribun ...
je suis une fois de plus tres heureuse de cette nomination ...
ma place doit vraiment être là ...

je n'avais plus les mots pour exprimer mon bonheur ...
je ne les ai pas non plus pour exprimer mon mal être en ce 16 avril ...

Ce mandat de tribun est terminé … nous quittons Albi …
L’épidémie … la mort rode … en suis-je responsable ?

L’inquiétude me gagne … je panique … maudites dates anniversaire … tu me rassures … je m’endors …

..." Nous repartons vers d’autres cieux "... ce sont tes mots mon ange …
je pleure dans mon sommeil … les larmes coulent doucement sur mon visage … je regarde tes ailes pousser ... impuissante ...
le cœur serré ... je reprends la route … seule …
je regarde le ciel … je souris ... une étoile vient de naître … elle brille de mille feux …
elle veillera sur moi … guidera mes pas … c’est la mienne … tu es là … tu ne me quittes pas …

............. " bonjour ma puce "............
un cauchemar … ce n’était qu'un cauchemar !... un simple mauvais rêve !
je ris … je pleure … ce n’était qu’un mauvais rêve ... j'ouvre les yeux ... te souris ...

Aout 1458 ... Les chemins ne m’ont jamais paru si longs …
Je suis assise sur le ponton de ce port Castillan … je me remémore le chemin parcouru …
Que de temps passé !
Notre installation à Lourdes … les Pyrénées …ton départ … mon déménagement à Castillon … puis de nouveau les routes … les pigeons ...

Le Berry … passage très éprouvant à Bourges … je fuis à toutes jambes … plus rien ne me retiens …
Lyon où je retrouve un vieil ami … il tente de faire rester … en vain …
C’est près de Liss que je trouve un peu de réconfort … nous partons à Béziers où je reste quelques jours …

La vie aurait pu y être agréable et malgré les efforts de mon amie … je dépéris !
Je n’ai plus goût à rien, le cœur n’y est plus … ma vie n’a plus aucun sens !
Mes journées sont sans soleil, mes nuits sans étoiles … mon cœur saigne, mes yeux ne cessent de pleurer …
le miroir ne reflète plus le visage … le baume ne guéri plus …
ta voix me hante … tes paroles résonnent en mon cœur tout comme ils résonnaient ce jour magique dans la forêt du Colombier …

Je ne peux plus rester ainsi … il me faut prendre une décision … je ne vivrai plus avec des remords … je ne le pourrai plus …
Un rayon de soleil se pose sur mon épaule, un parchemin me réchauffe …
….. rejoins- moi …..
A mon tour, sans aucun regret, sans perdre de temps, je traverse les Pyrénées … flâne le longs des rivières … admire les petits ports …
Le soleil se remet à briller doucement …
….. je t’attendrai …
Dans quelques jours je serai près de toi ...

Le ciel du Portugal ne nous est pas clément …

La maladie a emporté mon Mica … je lutte … me bats sans savoir si je m’en sortirai …
J’ai légué tous mes biens au cas où …
»>21 Setembro 1458 - Verya2 torna-me seu herdeiro (Muito obrigado amiga)... Sylarnash

Là où je risque d’aller, nul besoin d’arme et de pain …
Je n’ai gardé que mon bâton … fidèle compagnon de tous mes voyages ...
_________________

Verya2

Elle était allée chercher ses peaux … était restée à scruter l’horizon jusqu’à ce que le sommeil ne la gagne …
Ce ne furent pas les sirènes des bateaux qui la réveillèrent au petit matin … mais bien le froid piquant quand le soleil se lève …

Verya resta un moment à admirer cette magie dont elle ne se lassait pas … sourit à la pensée d’avoir pris un bain ….
S’étira puis alla chercher sa besace … coucha des mots sur un vélin …
Face à la mer … sa vie se déroulait …

Mon Ange
Je me sors doucement de ma torpeur … je t’ai abandonné là-bas, loin, au Portugal …
abandonné ta dépouille … je voulais tant rester près de toi …
J’ai donné tous mes biens … ai tout abandonné …
je ne voulais plus me battre … tu me manquais trop ….
Pis … les pigeons n’ont cessé de voler … mes amis au loin m’ont secourue, réconfortée, trouvé les mots …
Aristote s’en est mêlé … m'a jetée comme une malpropre !
Aujourd’hui, je lui en rends grâce …
J’ai retrouvé mon fillot … ma très chère fillotte …
de vieux amis que je n’aurais sans doute jamais revu … ai fait de merveilleuses connaissances …
Je reprends goût à la vie … je me sens vivre !
j’ai même pris un bain !

Elle mit sa plume entre ses dents … sourit au ciel …
Que de temps passé …

elle se remémora leur arrivée à Blaye … le premier voyage ... Elmi, Méga, les bourriquots …
Elle ne put s’empêcher de rire en revoyant la tête du bourru quand Carotte se délectait de sa tavernière …
Que de bons moments …
puis ils reprirent la route … riaient dans chaque ville … arrivèrent à Conflans …
Elle soupira … c’était le début de son propre voyage … la solitude devenait son compagnon …
_________________

Verya2

Libre de ses souvenirs … nue comme un ver … elle courut vers l’eau … s’arrêta net dès la première vague …
L’orteil a peine mouillé elle ne put s’empêcher de crier en levant les yeux au ciel
Norffffff !!!... elle soupira …
norf de norf !! Pouvez pas faire de l’eau chaude !!!!
J’pue la morue ! pis J’ai des invités … se gratta la tête … pis …. elle jeta un œil rapide sur ses jambes … leva un bras …
b’soin … quoi !
Grommelant … rageant … pestant … elle s’avança un peu dans l’eau … se frotta … se décrassa ... se récura
Rouge comme une écrevisse bien cuite … Verya retourna vers la masure ne se souciant plus de rien … renifla sa chemise trop grande …
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Verya2

Première sortie depuis si longtemps … première balade le cœur un peu allégé …

Ses pas l’avaient, irrésistiblement, conduite vers la plage … l’Océan …
Elle regarda vers le large … scruta l’horizon … chercha des yeux une voile … un bateau qui ne viendrait pas …
Elle ferma les yeux … s’enivra de l’air marin … repris sa promenade qui la mena près d’une masure … modeste … à l’abandon …

Verya se mit à sourire en la voyant … cette bicoque était faite pour elle …
Elle en poussa la porte … jeta un œil à l’intérieur …
Il n’y avait que quelques maïs pourris dans un baluchon sans nom … un tapis de poussière au sol …
un magnifique ouvrage au plafond digne de toutes les meilleures ouvrières du monde …
C’était ce qu’il lui fallait …

Elle posa son maigre baluchon … se mit à son aise … alla s’asseoir sur le pas de la porte … replia ses genoux sous sa chemise trop grande …

Elle resta là un moment à admirer le spectacle ….
Le soleil se couchait …. La nuit tombait …

Hier au Portugal elle se mourait … Aristote l’avait jetée comme une malpropre !
Soit ! elle n’était pas très propre et sentait la morue … d’accord elle avait quelques invités dans sa tignasse … mais quand même !!!

Elle se mit à rire … ivre de vie … se leva d’un bond … fit glisser doucement sa chemise …
Aucun promeneur égaré n’était présent ….
Douce hypocrisie du destin …
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Cybella

Cybella resta près de l'enfant et écouta Hartemis qui parlait de lire l'heure dans les étoiles. Voila qu'il lui révéla une de ses nombreuses qualités, elle en étais ravie. Mais plus elle essayer de regarder et de comprendre moins elle comprenait et suivait. Tout n'était que chiffres et dieu sais que l'amazone et les chiffres sont pas très amis. Le ciel était quand à lui magnifique, d'un noir profond et les étoiles des diamants suspendue dans cet écrin. Elle hochait la tête de temps en temps, pensant avoir saisi les paroles de son compagnon, que déjà sa petite cervelle avait tout effacé en deux secondes.

heu... j'ai pas tout saisi je pense qu'il faudra plus d'un cours ici à la belle étoile pour que je sois aussi calé que toi

elle sourit, voila une belle excuse pour revenir ici et passer des soirées dans les bras l'un de l'autre à admirer la voute céleste.

Citation:

on la raccompagne mon ange ?

se retourne vers lui

oui Hart on va la ramener à sa famille, c'est plus prudent

sourit à Isaline

on va rentrer avec toi c'est bien mieux
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Hartemis

La petiote semblait un peu plus rassurée maintenant ,mais dans ses yeux on pouvait voir une légère inquiétude.elle ne comprenait pas tres bien ce que lui voulait le lieutenant.
A première vue l'enfant avait du s'endormir sur la plage les yeux d' Hartemis se plissérent et un air sévère fit son appariton à la réponse de la petiote.

dit moi Isaline,Isaline c'est bien ça ?

ton père ne t'a donc pas appris comment lire l'heure dans les etoiles?

regarde tu vois l'amas d'etoile qui forment un genre d ours,cela s'appelle une constellation et elle se nomme la grande ours,il faut que dans ta tête tu imagines une aiguille formée par les deux étoiles de la grande ours "apha" et "beta".

Lui montre de son index qui est dirigé vers le ciel les deux etoiles "Alpha" et "Beta"

Imagine toi maintenant ,Isaline que nous soyons le 6 mars et que l'aiguille de notre pendule celeste soit verticale et bien cela indique minuit.elle avance chaque nuit de 4 minutes diffèrence entre le jour solaire et le jour sidéral.Il faut qu'en suite tu effectues une correction en comptabilisant le nombre de jour et de mois ecoulés depuis le 6 mars jusqu'a la date d'aujourd'hui,le nombre de jour sera multiplié par quatre et le nombre de mois par deux et la somme sera retranchée de l'heure indiquée par notre aiguille celeste.il peut arriver qu'aprés soustraction le résultat soit négatif dans ce cas la il faut que tu ajoutes 24 heures pour lui donner une valeur significative.
je vais te donner un exemple pour que tu comprennes bien et que ce genre d'erreur ne se reproduise plus à l'avenir.
Supposons que l'aiguille céleste indique 11h le 30 octobre. Depuis le 6 mars, se sont écoulés 7 mois et 24 jours. L'avance est de 7x2=14heures, plus 24x4=96minutes (soit 1h36mn), dont le total est 15h36min.
Au moment de l'observation, il est donc 11h - 15h36min. Puisque le résultat est négatif, ajoutons 24 heures. Nous obtenons le résultat de 19h24min.

Voila isaline je ne sais si tu as bien comprise ou même si tu ne sais compter mais c'est comme cela que nous déchiffrons l'heure dans le ciel la nuit.
Et la à premiere vue comme ca je peux te dire qu'il doit être aux alentour de 1h du matin,donc laisse moi te dire isaline que je ne compte pas te laisser repartir seule dans les ruelles de la ville en plein milieu de la nuit surtout que ce n'est point sure.

Peux tu me montrer le chemin que nous puissions te ramener chez toi si te plait Isaline

se retournant vers sa princesse et la regardant de ses yeux bleux

on la raccompagne mon ange ?

Miracia

« N'ai pas peur petiote, n'ai pas peur. »

Et puis quoi encore? Isaline recula encore d’un pas pour se rapprocher du village, elle haussa un sourcil. Il était clair que la jeune fille ne le croyait pas. Non mais, vous croiriez un homme deux fois plus grand que vous qui tenait une épée dans ses mains en implorant sa bonté? Elle n’étais pas si naïve non plus!

« je me présente petiote,je m'appelle Hartemis,lieutenant de la police de cette ville. peux tu me dire se que tu fais à cette heure ci de la nuit seule au milieu de la plage? »

Une seconde, la jeune fille écartilla les yeux de surprise. Cela changeait tout… mais s’il mentait? Isaline passa ses mains sur le devant de ses braies toujours prête a courir soupçonneuse.

« viens mon ange tu n'as rien a craindre ce n'est qu'une enfant. »

A qui parlait-il? Un regard sur le côté. En plus ils étaient deux…?

« enfant?? j'arrive mon cœur »

En voyant la femme, Isaline se décrispa immédiatement. Elle la connaissait, l’avait rencontré à l’église puis au verger! Son père lui avait dit d’être aimable car elle était gentille. Il devait donc dire la vérité… La jeune fille ramena ses jambes devant elle pencha la tête en guise de salutation.

Enchanté lieutenant, je m’appelle Isaline. Je ne comprends pas très bien ce que vous parlez. L’enfant releva la tête et la pencha sur le côté en réfléchissant. Nous ne sommes pas au milieu de la nuit, enfin je ne crois pas. Je suis arrivé au début de la soirée sur cette plage. La jeune fille étendit sa main fétichique vers l’étendu d’eau et de sable. Cet endroit est magnifique mais la lumière s’éteint trop rapidement en cette période. Moment d’hésitation. Mais si vous dites la vérité… mon père risque fort de s’inquiété pour moi. Il n’aime pas quand je fais des bêtises et resté aussi tard à l’extérieur de l’hôtel risque fort d’en être une et une grosse... La jeune fille ne semblait pas réellement inquiète, plutôt soucieuse.

Cybella

elle avançait, tenant les pans de sa robe pour ne pas se prendre les pieds dedans. Suivant son compagnon Cyb pas très rassurée du coup. Il était armé heureusement, et elle juste sa dague, elle irait pas très loin avec ça. Mais au fond ce n'est pas ça qui l'inquiétait le plus, mais c'était de se retrouver face à un cadavre d'un marin noyé ou d'un animal mort. Dans sa tête tant d'images lui arriva d'un coup qu'elle était à deux doigts de lui lâcher la main pour ne pas voir ça.

Il se stoppa net et son cœur aussi du coup, il lui lâcha la main, elle ne dit rien juste retenant son souffle, main sur la dague, la chose venait de bouger donc plus de cadavre c'est déjà ça, mais la revoilà qui réfléchit trop un bandit, un ivrogne, un vagabond???? halala cyb arrête de te faire des plans et laisse Hart gérer le truc...

Citation:

viens mon ange tu n'as rien a craindre ce n'est qu'une enfant.

enfant??

j'arrive mon coeur

ha ben voila qu'elle avait même pas imaginé ça, elle fit quelques pas en leur direction, contournant Hart et vit l'enfant

Isaline???c'est bien toi?? oh mais que fait tu la ma puce???

regarde Hart se demandant pourquoi elle était ici toute seule sans une dame de compagnie ou un homme en arme près d'elle.
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Hartemis

Hartémis et Cyb se rapprochaient de plus en plus de la silhouette,ils pouvaient en distingués la forme mais n'étaient pas encore assez pret pour voir de quoi il s'agissait exactement.
Il marqua un temps d'arret et jetta un bref regard vers sa belle qui se tenait dérrière lui,à son air elle comprit qu'il lui demandait d'etre tres prudente.Reprenant leur marche, ils se rapprochérent un peu plus de cet amas,quand soudain il vit que ce dit tas se mit à bouger et se redressa,d'un geste de sa main il stoppa net sa belle et sortit immédiatement son épée de son fourreau de son autre main.
Que ne fût pas sa surprise,quand il s'apperçut qu'il s'agissait tout simplement d'une enfant,moults questions lui traversa l'esprit à cette instant précis
Que pouvait elle faire la,à une heure pareil?, n'avait elle pas de parent pour s'occuper d'elle? et surtout avait elle une demeure ou se refugier.
Hartemis rengaina immediatement son épée sentant qu'il n'avait rien à craindre et apostropha immédiatement l'enfant avant qu'elle ne file à toute vitesse.
"N'ai pas peur petiote,n'ai pas peur" lui repéta t'il "je ne te veux pas de mal" tout en se rapprochant un peu plus d'elle.
il était rendu maintenant a sa hauteur et il pouvait mieux cerner l'inconnue,elle avait l'air de famille noble de par la qualitée de ses vetements,mais de par l'expression de son visage il pouvait en déduir qu'elle était térrorisée,il fallait à tout pris la mettre en confiance pour obtenir les réponses aux questions qu'il se posait,un leger sourire se déssina sur son visage

je me présente petiote,je m'appelle Hartemis,lieutenant de la police de cette ville.
peux tu me dire se que tu fais à cette heure ci de la nuit seule au milieu de la plage?

se retournant vers sa belle il l'appela pour qu'elle viennne le rejoindre

viens mon ange tu n'as rien a craindre ce n'est qu'une enfant.

Miracia

L’enfant recroqueviller commençais à sentir les esprits frôlés sa peau, soulever le duvet de ses avant-bras en la chatouillant doucement. Le froid automnale commençais à s’installée. La cape brunâtre qu’Isaline portais dans le dos rabattue depuis un moment revient sur ses épaules en geste frileux. Au moins celle-ci était chaude… C’était réellement étonnant à quel point la plage était tranquille. Après avoir passé un moment à porter son regard au loin, la jeune fille se recoucha sur le sol, roula en boule se couvrant de sa cape. Son regard se porta au loin sur la berge, elle ferma les yeux quelques secondes.

Elle ne dormait pas, elle écoutait. Le bruit des vagues là berçait. C’était doux comme une mélodie, comme ce qu’elle pouvait jouer avec sa flûte de bois. Un bruit de pas très léger lui parvenait de loin. Peut-être est-ce un animal? Quel animal ce tenait ainsi sur le bord de l’eau? Les pas se rapprochais, passablement rapidement. Inquiète, la jeune fille se redressa et se releva. Celle-ci était un peu plus grand que la taille des adultes normale mais sa tête se releva pour sembler la plus grande possible. Des lueurs de peur luisait dans ses yeux, était-ce des gens qui voulait la ramener vers sa mère? N’était-elle pas en sureté ici? Elle se tourna vers le village en faisant un pas en arrière prête à la course pour retourner à l’hôtel ou séjournait sa famille.

Hartemis

La nuit parcourait son petit bonhomme de chemin et il faisait de plus en plus sombre et tard aussi,les primâtes de l'hiver commençaient à se faire ressentir et quelques rafales de vent venaient refroidir les corps enlacés.
Refroidir était un bien grand mot pour Hartémis,il avait froid à l'extérieur mais son coeur,etait en ebulition apres la recente déclaration que venait de lui faire sa princesse,ses mots resonnaient encore dans sa tête comme un marteau tapant sur son enclume,il en etait encore chambarder.
Ses doigts s'étaient glissés sous la chemise de sa dulcinée et parcouraient son dos,quand il sentit de légers frissonnements,se noyant dans ses yeux de couleur noisette il lui demanda

as tu froid mon amour ?

Cyb le regarda et aquiesca de la tête,par un mouvement de bas en haut,à peine avait elle fini de répondre qu' Hartémis ôta sa cape des ses épaules et l'a mit sur les siennes,tel un gentilhomme qu'il se devait d'être.
C'est à ce moment précis ou il lui mettait cette fameuse cape qu' il appercut une silhouette allongée dans le sable,il y regarda à deux fois pour en être sure, sur tout qu'à cette heure la,il n'y avait pas âmes qui vivent,le remblais de la ville etaient désert et tous le monde normalement devraient dormir.

il se retourna vers sa belle et la regarda d'un air inquiet.

vois tu cette silhouette allongée dans le sable mon coeur ?

il ne faudrait pas que se soit un noyé ou une noyée,viens, allons voir si tu veux bien ,je prefere m'en assurer

lui prenant la main et mettant l'autre sur son pommeau d'épée ils s'avancèrent à pas lent et inquiet vers cette silhouette.

Cybella

quoi de plus romantique que cette plage, cet instant magique, cette déclaration, dans les bras l'un de l'autre regardant l'océan dans les yeux de son compagnon. Un frisson lui parcouru tout le dos, pas un frisson dus à ses mains sur sa peau, mais le froid qui les enveloppait petit à petit

Citation:

as tu froid mon amour ?

oui tout d'un coup, sans doute le vent qui se lève, il devient froid

il lui posa délicatement sa cape sur ses épaules, elle était encore chaude, elle portait son odeur en plus, elle se sentait bien et voulu lui dire "mais mon cœur tu vas avoir froid toi maintenant" mais ne le dit pas voyant son regard observer au loin. Il fronçait les sourcils, aurait-il vu un danger? elle attendit qu'il lui parle de son inquiétude

Citation:

vois tu cette silhouette allongée dans le sable mon coeur ?

il ne faudrait pas que se soit un noyé ou une noyée,viens, allons voir si tu veux bien ,je préfère m'en assurer

se retourne cherchant du regard cette silhouette, ses yeux mirent du temps à la trouver mais oui , il y avait quelque chose de sombre qui était sur le sable. La lune jouait à cache cache avec quelques nuages ce qui donnait une drôle d'atmosphère

oui allons y, sans doute un morceau de bois échoué ou.... heu pas un cadavre j'espère

sens que la belle soirée romantique sera gâchée là. Ressert sa cape sur son corps et le suis un pas derrière lui tenant la main mais qu'il ait le temps de la stopper si c'est trop horrible à voir.
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Miracia

Loin des amoureux sur la plage, une petite fille habiller de braie et de chemisier d’enfant était étendu sur le sable. Les yeux observant le ciel, un panier d’osier rempli de quelques fruits déposés à ses côtés. La jeune fille, qui semblait avoir presque 8 printemps, se redressa. Toujours aussi minuscule, son regard se posa sur la plage. Elle grandissait… d’une certaine façon. Jamais au Limousin, elle se serait retrouvée ainsi, seule sur dans une ville à simplement admirer un paysage.

La vie était étrange, autant que le destin. Les fées étaient bien plus présente ici qu’ailleurs, enfin c’était ce qui lui semblait car elle était si heureuse dans ce duché, dans cette ville. Les gens étaient sympathiques et simple, sans problème réellement, c’était rafraichissant. Ici elle n’avait pas cette impression de prison, de danger perpétuel, elle était plus calme plus reposer et paraissait même plus jeune, plus naïve.

Pourtant ce changement dans sa vie n’avait pas altérer la façon que son père la voyait. Celui-ci toujours à déduire aussi facilement ses changements d’humeurs. Lui toujours d’une nature si calme, si posé et confiant. C’était à se demander si elle n’avait pas obtenu son caractère contrastant de sa mère qu’elle connaissait pourtant si peu… Sa bouche se plissa en moût interrogative. Ses émeraudes regardaient la plage. Ce qui l’avait surpris le plus icelieu était la plage. Bien sur elle savait que son père voulais aider à la construction du port… mais elle ignorait ce qu’étais un port… le Limousin est un comté rempli de montagne, de courbe et d’air frais et si sec… jamais elle ne l’aurait vu ainsi autrefois. Cela avait été sa première surprise, dès les premiers jours, l’humidité perpétuelle qui régnait dans l’air ambiant. Puis par le vent, tantôt fort tantôt doux, mais toujours si présent. C’était une nouveauté simple qu’elle n’avait jamais connu. Ici, elle était libre!

Enfin libre était encore un grand mot. Elle ne comprenait toujours pas pourquoi son père y tenait tant… Il voulait qu’elle étudie… elle… Elle avait étudié une bonne parti de sa vie mais maintenant il aimerait qu’elle aille à l’université… pour y entrer il fallait beaucoup de chose qu’elle n’avait pas mais il souhaitait qu’elle y soit… c’est d’ailleurs pour cela qu’elle passait ses journées au verger. Elle devait avoir une plus belle peau… une peau de pêche… c’est qu’ils sont difficile à l’université… il fallait avoir une certaine intelligence bien développer, avoir assez de force pour porté tout les livres qu’il pouvait leur faire porté et avoir une beauté pour ne pas passer inaperçu dans les couloirs sans doute… Les fruits semblaient aider pour se dernier fait… la jeune fille ne comprenais pas très bien le principe de se fait mais bon… sans doute les fées de la beauté s’y cachait? Isaline fit une grimace de dégoût. Non les fées ne servaient pas à être manger! Dégoûtant!

D’ailleurs, il ne devait pas y en avoir d’esprit doux, de fée, de farfadet et autre êtres magique dans une université… À quoi pouvait bien servir de tout savoir si c’était pour les ignorer? Au final, n’étais-ce pas ses êtres qui rendaient la vie possible?

Enfin… Elle avait réussi à avoir son point en rappelant à son père qu’il n’y avait pas assez de personne qui lui faisait confiance… c’est que c’est complexe de rentrer dans cette bâtisse! Enfin… non… de rentrer, il fallait juste passer les portes mais d’y rentrer pour vrai de vrai c’était une autre histoire! Isaline renifla, au moins elle avait pu avoir son point pour ravoir des moutons. Ses moutons chéris étaient sans doute l’unique chose qui lui manquait du Limousin. Ça et ses aiguilles… La jeune fille se recroquevilla en petite boule, la nuit s’approfondissait au fils de ses pensées. Son père aimerait qu’elle devienne charpentière… pour aider dans le port mais l’enfant ne souhaitait que retrouver ses aiguilles pour refaire à nouveau des vêtements… elle pourrait l’aider en faisant des voiles pour les futurs bateau peut-être aussi? Mais cela ne l’aiderais pas a aller à l’université… il faudrait encore plus d’écus… il faudrait peut-être qu’elle s’entête… ce que la vie est compliqué… nouveau soupir de la petite boule blanche silencieuse dans la nuit presque noir au milieu du sable crème de la plage. Elle devrait rentrer bientôt avant que les farfadets sortent…

Cybella

La silhouette d'hartémis se dessinait sur la dune, le cœur battant elle l'attendit lui ouvrant les bras pour le réceptionner. Dans ses bras elle se sentait si bien, en sécurité et en paix, levant la tête vers lui elle lui souri.

si on allait près de l'eau? regarde comme l'océan est beau, avec la lueur de la lune on dirait de l'argent à l'état liquide!!

Après un long baisé échangé, ils s'avancèrent vers le rivage, un bras autour de sa taille le sien autour de la sienne. Cybella avait bien envie d'une petite baignade mais l'eau serait-elle pas trop fraîche? c'est qu'elle n'aimait pas le froide la demoiselle donc, les pieds nus y auront droit c'est tout...
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Hartemis

Hartémis avancait d'un pas lent avec cyb a ses cotés,il l'écoutait parler ne disait mot par moment son regard se porter sur l'océan et le liquide d'argent que venait de lui parler sa princesse,puis son regard se reporta sur elle, son amour était resplandissante dans la nuit on pouvait la comparait a un éclat de diamant tellement sa beautée illuminait la nuit,il s'arreta de marcher et la pris dans ses bras pour lui déposer un doux baiser,ils resterent la un moment immobile, le vent par moment venait les décoiffer,hartémis se sentait en paix dans ses bras,elle lui redonnait du tonus et faut dire qu'actuellement hartemis en avait bien besoin,le calme avant la tempête.

Mettant genoux dans le sable fin de la plage et tenant de sa main celle de son amour
il lui fit cette déclaration

Tout a commencé quand nos regards se sont croisés,
Tu a renversé mon coeur, tu l'a fait chaviré.
Un vent d'amour m'a fait perdre la tête
Notre histoire est née pour ne pas qu'elle s'arrête.
Notre amour grandit de jour en jour
Je te laisse entrer et ferme mon coeur à double tour.

Tout deviens beau et merveilleux
Quand je vais me noyer au large de tes yeux.
Des sentiments encore ignorés se sont crées
Il faut les conserver et ne jamais les briser.
Dans tes bras je pars m'envoler
Dans un monde doux et sucré.

La flamme de mes yeux s'est allumée
Le soir ou nos lèvres se sont touchées.
Aujourd'hui le destin nous appartient
À nous seul de savoir prendre le même chemin.
Mon amour pour toi est le plus grand
Je n'ai aucun doute sur mes sentiments.

Je t'aime.

(julie jamar)

puis levant son regard vers son visage, il attendit tout en lui souriant d'un air qui voulait en dire long sur les sentiments qu'il éprouvait pour elle

Cybella

sa main dans la sienne et eu la surprise de le voir se mette à genoux devant elle, ne sachant pas pourquoi son cœur s'accéléra d'un coup et le rouge lui monter aux joues. Elle l'écouta le cœur serré et qui battait la chamade, chaque mots qui sortaient de sa bouche n'était que mots d'amour et de tendresse, mais aussi vœu d'une pacte d'amour entre eux. Celui d'offrir son cœur à l'autre et qu'il en soit le protecteur éternel. Elle serra de plus en plus sa main dans la sienne, les larmes coulaient toutes seules, l'instant était magique. Le bruit des vagues lui rappelaient où elle se trouvait et se disait que ce cher océan était à nouveau témoin d'un amour sincère entre deux êtres qui s'aimaient par dessus tout. Hart avait la voix douce et son regard croisa le sien et cyb toute à son émoi ne pu pas sortir un seul son. Elle se réfugia dans ses bras et le serra très fort et resta un long moment sans rien dire, le temps de reprendre ses esprits. Son visage contre son torse elle entendait battre le cœur de son aimé qui battait tout aussi fort que le sien. Elle voulait pas briser ce moment intense et sincère, laissant le flux des vagues les bercer et leur chanter sa douce mélodie. Quand elle sentit que sa bouche pourrait enfin débiter trois mots sans bafouiller et releva légèrement la tête et lui murmura à l'oreille

hart, L'amour a son instinct, il sait trouver le chemin du coeur , tu as trouver le mien...je t'aime et t'aimerais jusqu'à ma mort. Mon cœur et mon âme je te les offres, prend en soin tu en est le gardien à présent!

lui sourit, plongeant dans son regard amoureux et posa ses lèvres sur les siennes
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Hartemis

perchait en haut de la dune hartémis contemplait l'horizon qui offrait une vue d'aventure ,il rêvait de cette mer en secret ,la navigation l'avait toujours intrigué.Une légère brise se leva et il remit sa frange en place tout en portant ses yeux sur l'amour de sa vie qui se trouvait en bas ,elle était aussi blonde et jolie que le reflet que former la lune dans l'eau,il se décida à la rejoindre.

Cybella

Ils sortaient de la taverne des Amazones main dans la main. La journée avait été éprouvante et l'envie de se retrouver tout les deux pour se changer les idées avait été presque spontanée. Leur pas les mena sur les chemin des dunes. La lune bien présente et le ciel étoilée laissaient une atmosphère romantique qu'ils appréciaient.

Les dunes franchit non sans rire et tomber plusieurs fois tant leur pieds s'enfonçaient dans le sable. Ce sable qui glissait, s'échappait comme de l'eau. Cyb fini par enlever ses chausses à mi pente et gardait sa main dans la sienne se laissant tirer, non sans malice en faisant expré de le retenir pour lui voler un baisé. La grande dune gravit, l'océan était devant leurs yeux, laissant se doux bruit de va et vient reposant. Pas de vent, juste une petite brise marine douce qui venait leur apporter les senteurs iodées.

Cybella lui lâcha la main est dévala la dune en courant et riant. Elle avait laissé ses chausses, là où elle allait elle n'en aurait pas besoin. Arrivée en bas elle se retourna essoufflée puis le regarda, attendant de savoir s'il restait en haut ou s'il descendait la dune pour aller près de l'eau...

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Lovejennifer

La brise faisait virevolter ses long cheveux. L'air salin étais fort prononcé. Les vagues se fracassaient contre la roche. Du haut de la falaise, le regard de Love scrutait l'horizon, à la recherche des quelques bateaux qui navigaient sur la mer qui reflétait, tel un miroir, l'éclatante couleur du soleil. Elle s'asseya au bord de la falaise, puis réfléchis un bon moment.

Pourquoi étais t'elle aussi distante avec lui?...
L'homme qu'elle as tant attendu lui étais revenu, mais elle le redoutais...
Que lui résérvais t'il?...

Elle se remémora son rêve de la nuit précédente... Mael...

Et si il reviendrai à elle? ...pour la tuer...
Elle n'aurais jamais dût... boire son sang. Il coule dans ses veines d'orénavent... "Si tu me tue... Tu moeurs avec moi... Nous sommes liés par le sang..." Tels sont les dernières phrases de son pire ennemi avant qu'elle ne se résouds à l'ignorer momentanement...

Un frisson d'effroi la fît sortir de ses pensées. Son fidèle renard l'atendais de pied ferme. La rouquine aux yeux émeraude le caressa, se lèva et le siffla. La jeune femme et son animal de compagnie prirent la route vers la forét.

Upette

Up lui sourit...

Je m'en doutais, Goop m'a parlé de vous, d'ailleurs j'espère que l'on se verra en taverne pour faire plus ample connaissance!

Elle lui fit signe de la main en lui indiquant le long du bord de la plage..

Souhaitez vous marcher un peu?

Bathory_elisabeth

La fin de l'été s'annoncait. Elisabeth sorti un peu de la ville pour se ressourcer auprès de la mer.

Après avoir gravis les dunes, elle marcha pieds-nuds sur le sable, apréciant sa chaleur. Et ce fut l'émervéillement : l'océan à perte de vue, l'air salé se mélanger au bruit reposant que fesait les vagues et l'écume de la mer, en allant s'échouer sur le sable.

La jeune femme détacha ses cheveux, les laissant jouer avec le vent, puis, s'asseya sur la plage, en compagnie de Baghérrah qui, elle, s'amusait avec les vagues s'échouant sur la plage où avec quelques petits crabes où encore, en essayant d'attraper les quelques mouettes picorant la plage à la recherche de petits mollusques.

Lana_darc

Lana sortie de chez elle et se dirigeât vers la dune ,arriver au pied de celle-ci ,elle la gravis relevant ses jupons , et c'est toute esoufflée qu'elle arriva au sommet .
Comment avait elle pu partir aussi longtemps ,jamais elle n'aurait pensée que ce spectacle lui manquerait autant.
Elle s'assit et resta devant se magnifique paysage ,il ne manquer que son amour pour qu'elle soit la plus heureuse mais bon .......la non plus il ne viendrais pas......Elle laissa echapée une larme qu'elle essuya de suite.

Lafavorite

Elle était en train de regarder vers le lointain, s'amuser à parcourir la ligne de l'horizon de son regard en essayant de repérer les navires, quand une voix la tira de ses rêveries.

Bonjour...entendit-elle.

Fav sursauta légèrement et se retourna.

Bonjour, enchantée dame Up.
Oui, tout est bien calme en effet. Seul le bruit incessant des vagues rythme mon ennui actuel.Mais je vais bien.

Je m'appelle Fav et oui, je suis bien l'amie de Goop.

Je crois en effet vous avoir déjà rencontrée en taverne

Upette

Up qui se baladait sur la plage..aperçut au loin une jeune dame..Elle se dirigea vers elle..

Bonjour!!

Enchantée moi c'est Up, qu'elle belle matinée, dommage que tout soit aussi désert..
Comment allez vous chère Dame?!

Elle semblait la connaitre mais se dit qu'elle devait faire erreur..

Hmm, peut être que je me trompe, mais vous ne serez pas la compagne de Goop?!

Elle lui sourit et attendit sa réponse..

Lafavorite

Fav se baladait sur la grande plage......on pourrait même dire errait tant elle s'ennuyait.

Un pied devant l'autre, elle marquait de ses pas le sable que la mer en se retirant avait laissé humide.

Hum...dns ce village....personne en taverne, pas âmes qui vivent dans les rue...Le soleil de plomb....l'ombre vertical....

Fav étouffait.....

Un pied devant l'autre et ainsi de suite et le regard perdu vers l'ailleurs....oui, l'ailleurs, voilà ce que se disait alors Fav....

Oui, je vais m'en aller pensait elle alors.....

Clarette

Clarette arriva sur la plage, elle enleva ses chausses, la robe dans le vent, elle fixa l'horizon. Elle voyait les bateaux qui partait, des petits points noirs. Elle marcha le long de la plage. Elle vit les barques de pêche, posées sur le sable pendant ce temps gris. Elle monta dans une barque bleue, puis sortie, la poussa et la mit à l'eau. Elle monta dans la barque, et rama. Les vagues et le courant la poussa loin de la côte. Impossible de retourner au bord ! Elle trouva une cape verte dans la barque et s'en couvrit. Puis, une tempête éclata, des vagues énormes secoua la barque dans tout les sens. Clarette semblait déjà morte.....La barque s'enfonça dans une vague énorme. La vague frappa la vague et puis plus rien. Seule, la violence de la tempête était présente....

Tirlititi

Elle se balade dans cette ville.. ces pas la conduise naturellement vers la plage.
Elle enlève ces chausses , sent le contact du sable chaud dans ces pieds , elle aime quand ceux-ci s'enfonce dans le sable...
s'avance vers le bord de l'eau , en d'autre temps , il aurait était a ces coté, ils auraient chahutés ...
Elle se souviens des crises de fous rire... de leurs étreinte...
elle avance et regarde cette étendue d'eau d'un bleu vert a perte de vue..laisse les souvenirs remonter a la surface , ne cherche même pas a les combattre , elle n' est heureuse que perdue dans ces souvenirs.
Se souviens de leurs différents voyages ,
Puis se rappelle se dernier jour...

elle revois l'épée s'enfoncer dans sa chair ... le vois tomber ... tomber a genou .. la main sur la plaie ils comprennent que c'est la fin, elle se traine vers lui , le prend dans ces bras...
Les larmes coulent le longs de ses joues ....
Elle s'avance vers le bord , regarde , se demande si elle aura le courage d'avancer ainsi encore plus ....
Elle sent l'eau qui monte le long des jambes ...
Elle avance encore , l'eau monte le long de ces jambes , elle continue ....
Puis se revois sur ce chemin , lui promettant de se battre , de continuer pour eux...de survivre
Elle fait demi tour , s'assied sur le sable , le regard fixant un point au loin ... reste sans bouger ...

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Aodrenell_ker_laouen

Pas facile, non, vraiment pas facile de trouver ici un endroit qui ressemble à toutes ces criques sauvages surplombées de falaises qui sont un des charmes de sa Bretagne.

C'est que ce matin, juste avant de partir pour "les terres" elle se serait bien adonnée à l'un de ses plaisirs favoris : trouver la plus haute falaise et plonger en silence dans l'onde Atlantique.
Sauf que là, ce qu'elle a trouvé de plus haut, ça doit faire la taille de trois bonshommes, et que bon, on a beau être tolérante, trois bonshommes ça fait pas le poids. Et qu'on ne vienne pas dire qu'elle ne s'est pas donné la peine de chercher !! ça fait des plombes, en fait depuis le lever du soleil, qu'elle tourne, arpente les chemins, baisse les yeux pour voir la distance qui sépare ses pieds de la flotte, et que rien ! Limite elle s'assied au bord de l'escarpement rocheux et elle a les bottes qui trempent dans l'eau. Franchement pas marrant.

Besace en bandoulière, cheveux dans les yeux puisque le vent ce matin a décidé qu'il viendrait lui titiller les narines, elle rumine et grogne. Pas la peine d'avoir l'océan si on peut pas sauter d'dans !!

Alors elle "tombe" les bottes et marche sur la plage à la recherche d'autre chose à faire. Quand on connait Aod, c'est pas difficile, soit elle cherche quelque chose à boire, soit elle cherche quelqu'un à cogner (en situation de légitime défense, c'est ce qu'elle dira toujours) soit elle cherche... des huitres.
Les moules elle a laissé tomber il y a longtemps. Un vieux pêcheur du port de Vannes lui avait refilé soit disant sa dernière cueillette, qui en fait s'était révélée datant d'une quinzaine de jours. Aucun intérêt à faire défiler les symptômes qui s'en étaient suivis, sous peine de dégouter tout le monde du "moules-patates trempées dans l'huile bouillante" bien connu des bords de mer.

Donc là, rien à faire. La marée est haute en plus. Pas moyen d'aller gratter un coquillage ou deux sur un rocher pour en faire son petit déjeuner.
Soupir soupir et... soupir.

On va pas s'attarder là non plus puisque de toute façon, c'est désert. Pas un gamin à qui lancer une poignée de sable dans les yeux (elle déteste les gamins), pas une morue à balancer à la flotte, pas un valeureux tout ce qu'on veut avec qui entamer une petite rixe qui lui délierait les muscles, autant retourner au village. On s'tire.

Breizh elle l'a quittée. Elle y retournera certainement un jour, pour mourir, mais là non, elle a décidé de changer d'horizon. Le seul truc : il faut qu'il y ait l'océan.
Poitou, la Rochelle elle a visité. Trop surfait. Ça sent un peu trop le... comment dire... oui surfait. Ça se pavane en bord de mer avec le dernier costume de bain du tisserand local et ça toise le monde. Et ça lui donne juste envie de pousser tout le monde au bouillon et d'appuyer sur les têtes pour en finir avec leurs simagrées. Donc elle a poussé jusqu'en Guyenne, et a atterri à Blaye.
C'est pas mal Blaye, elle a croisé du monde hier soir en taverne, l'accueil a été chaleureux, le curé particulièrement intéressant puisque capable de tomber les braies histoire de dire que... lui aussi il peut. Oui, blaye c'est pas mal.
Direction village. Elle va poser ses sacoches ici, se trouver une petite bicoque, y déposer ses maigres biens, et reviendra quand son Duc aura trouvé l'endroit où lui veut poser ses honorables miches.

Pour l'heure elle est en mode escorte. Élevée au grain et à la viande fraiche depuis sa naissance, elle est capable d'affronter une bande de brigands en goguette et de les laisser cassés de partout sur le bord du chemin. Ce qui fait que quand son Duc a eu besoin de parcourir la moitié du royaume pour changer d'air, il a fait appel à elle.
La fin du voyage approche, quelques villages encore à traverser et puis elle reviendra à Blaye...
Chercher des huitres.

Cybella

tout le monde avait bien rit et mangé il était temps de rentrer. Chacun rassembla ses affaires et victuailles, couverture et couvre-chef puis s'en retournèrent à travers les dunes et la landes.

cyb chantonnait sur le chemin et d'autres l'accompagnèrent ce qui fini en cacophonie et en rires.

Le chemin fut rapidement effectué dans une ambiance bon-enfant et chacun rentra chez lui fatigué mais heureux de cette bonne journée.
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Anarky

Anar qui s'était perdu dans ses penser une bonne heure durent avait bien besoin d'un bols d'aire il prit donc le chemin de l'océan; Là il aperçu deux dames dans l'eau, en se rapprochant il reconnu Cybella et Angel qu'il salua amicalement d'un signe de la main. Enfin le jeune homme se posa dans le sable et regarda les dames jouaient dans l'eau comme des enfants. après réflexion il se de-vêtit pour les rejoindre.
Il courra vers l'eau et plongea la tête la première dans l'océan, en quelque (brassai) il arriva au niveau des deux sœurs.

"Tu bien raison cet agréable de se baigner avec ces chaleurs!"

Le jeune éclaboussa les deux dames et s'éloigna a la nage....

Cybella

super Anar au moins un qui veut se baigner avec nous elle est super bonne et les rouleaux pas trop fort.

s'en suivi des cris et des éclaboussures, des rires et des quelques tasses d'eau de mer

allez on va se sécher ça fait plus d'une heure qu'on y est!!
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Angel

angel regarda sa soeur eclater de rire et ne pu s'empecher de faire pareil,puis enleva une grosse partie du sable qu'elle avait sur elle .

Oui on va se baigner ca nous fera du bien

elle sourit et alla se baigner tranquillement

Cybella

cybella lui pris la main et l'entraina vers l'eau. Toute les deux se jetèrent dedans comme des folles puis nagèrent l'une a côté de l'autre.

elle est super bonne!! ah ça fait du bien!! ils attendent quoi pour nous rejoindre les autres?

leur fait un signe de la main

héé ohhhh venezzzzz!!!
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Angel

Angel en devalant la pente se rendit compte qu'elle ne savait pas comment faire freiner cette luge elle se mit a crier

cybbbbbbbbb commentttttttttttttt onnnnnnnnnnnnnn freineeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee

elle pas eut le temps d'avoir la reponde et se prit une grosse gamelle dans le sable ce qui est sur c'est qu'elle ne gagnera pas la courses mais aura fait un belle aterrisage

Cybella

cybella accoure comme elle pouvait vers sa sœur mais elle la vit faire des roulé boulet et se manger le sable

ahhhh angel ça va????

la relève et ne peut qu'éclater de rire en voyant sa mine ensablée

ahahahah!!! tu as été géniale quelle descente hein

la prend dans ses bras et l'aide a se débarrasser du sable

bon on va se baigner???
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Angel

Angel la regarda pas tres rassurée mais elle s'etait porter volontaire donc plus trop le choix elle devait le faire

oui je te regarde

Elle regarde sa soeur partir , s'avanca prit place sur la planche, tenu bien la grosse corde et s'elanca a son tour avec la peur au ventre

Cybella

Cybella tout dans sa concentration et essayant de voir un peu malgré les yeux mis clos venait de réaliser qu'elle avait oublié de lui dire comment freiner avec les pieds, bah pas grave arrivée en bas elle s'arrêtera bien

le blondinette ( pas rousse hein

) dévalait la pente, la dune la plus haute de Blaye ce n'était pas rien...le corps penchait en avant elle essayait de garder le cap (on a bien dit essayer) car là elle commença à dévier sur la gauche...holàlà pas bon signe, elle risquait un rouler bouler aller le poids du corps sur la droite pour compenser, ouf ça marche

allez on y est presque!!!!

arrivé au pieds de la dune, non loin de ses amis qui regarder les deux folles faire leur show (du moins cyb

) elle sentit que la luge ralentissait bien t se stoppa avec les pieds.

et voila le travailllllll waouhhh c'était trop génial, qui veut le faire????

tout en disant ça elle admire la technique d'Angel tout à fait personnelle

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Angel

Angel lui prit la main et s'avanca avec elle sur la dune de la mort

Cybella

arrivée tout en haut, essoufflaient les deux sœurs mains en visière faisaient des signes aux autres en bas

bon Angel... à nous le descente de la mort

la regarde et rit

allez je te montre la position

prend place sur la planche, tiens bien la grosse corde de marine dans ses mains

bon tu es prête 3..2..1... parrrr...teeezzzzzzzzzz!!!!!!!!!!!!!!!!!!

cyb s'élança essayant de fermer la bouche pour ne pas avaler le sable qui volait
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Cybella

souris à sa sœur et lui tend la main

allez viens sœurette à nous la dune de la mort

éclate de rire

chacun de leur pas s'enfonçaient dans le sable mou
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Angel

Angel regarda cybella et vit que les autres ne la suivaient pas et dit

Moi je veux bien faire la courses avec toi vu que personne ne se designe

elle prit une planche en bois et rejoigna cyb

Cybella

bon c'est pas tout ça

cyb se leva d'un bond et mains sur les hanches les regarde en souriant

je vous propose une activité assez ludique

leur montre de la main des planches en bois

une descente en luge sur la grande dune

rit

ça va être du sport

prend la première planche et se dirige vers la dune et commence à la gravir

se retourne

allez qui viens faire une course avec moi????
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Fleurdecactus

Fleur du haut des dunes vit ses amis sur la plage

Et descendit vers eux son panier à la main

Bonjour tout le monde j'ai enfin trouver un moment pour venir vous rejoindre
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Cybella

ahhh super Fleur ça me fait plaisir de voir que tu te détend un peu

se lève et va la bisouiller

allez pose ça la

et lui donne un verre de rosé bien frais
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Dyriak

Je pris mon verre de rosé et le dégusta avec plaisir

Santé, trés bon rosé.

Clarette

Clarette arriva sur la plage avec un bon gâteau au chocolat.

Bonjour à toutes et à tous !

Elle donna son gâteau à Cyb et s'assied.

Dyriak

Je m'approchais de la place et j'entendis la douce melodie de la mer. Une fois arrivé je vis mes amies au loin et partit à leur rencontre

Coucou tout le monde une belle journée s'annonce.

Je fis la bise a tout le monde et m'installa.

Cybella

ahhhh vous voila

cyb les accueilli avec un grand sourire

oh le beau gâteau Clarette chouette chouette on va se régaler

les bises et leur donne un verre de rosé bien frais

allez santé à tousssss
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Bikko

Bikko sourit puis répond Oui c étais ici un 16 juillet me semble je t ai rejoins et tu étais pas si loin, je ne pouvais pas te voir il fesait nuit mais j était tout pres et au matin tu est venu me rejoindre et on a dormis ensemble pour la premiere fois ... et Ludi aahh cette Ludi oui elle nous as fais craqué cette petite^^ Ilregarde autour de lui en repensant a ses souvenir et fini d alumer le feu pour le ptit déjeuner
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Cybella

bonjour voud deux

les bisouilles

oui il fait très bon, on va avoir le temps de faire plein de choses après le repas, allez installez vous

sort les verres de son panier

oh bonne idée Clo!!

sort de la charcuterie et un pâté de légumes aux amandes

les autres arriveront au fur et à mesure

leur fait un clin d'oeil

on va prendre un peu d'avance c'est tout
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Stelliem

[A l'aube sur la plage deserte...]

Toujours le même endroit retiré et abrité du vent par une petite dune de sable et de bois mort. Toujours la même émotion d'immensité face a l'ocean et au ciel qui rosit avec l'aube qui se lève. Toujours les mêmes gestes comme un ballet pour installer leur campement pour le reste de la nuit et la matinée. Stell, fatiguée, s'installe en tailleur sur la paillasse face a l'ocean et laisse ses pensées vagabonder, le sourire aux lèvres pendant que Bikko finit le feu et que Sergent part a la rencontre de l'ocean en aboyant.

Bikko tu te souviens.... Grand sourire tendre et regard reveur. C'était il y a presqu'un an... Il la rejoint et s'assoit derrière elle l'enlaçant tendrement. Notre premier baiser....nos journées a la plage.. et nos nuits... Elle se caline contre lui et ferme les yeux, repense a tout cela nostalgique puis laisse un petit rire s'echapper. Et Ludi.... elle avait 5 ans et elle nous a completement fait craqué cette pestouille. Soupire sur le temps qui passe tellement vite....
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Angel

Angel avait entendu parler du pique nique a la plage et avait dit a clo de la rejoindre la bas elle vit cyb et tim et les bisa

Bonjour vous deux vous allez bien?mais il n'y a personne je suis en avance?

Clothaire

Clothaire découvrait la plage et l'océan avec émerveillement. Arrivant de sa province, il n'avait jamais vu un tel spectacle. Il en prenait plein les yeux.
Il s'approcha de Cyb et Tim pour les saluer et embrassa tendrement Angel.

Quelle bonne idée, Cyb. La journée promet d'être magnifique.

Tout en parlant, il sortit de sa besace une bouteille de Chambertin ramené de Bourgogne.

C'est du 1449, vous m'en direz des nouvelles !!!

Aysun

[Bien plus loin]

Une silhouette se dessinait à l’horizon, flottant entre ciel et mer.

Les premiers rayons du soleil émergents de l’océan reflétaient l’ombre si fragile sur les dunes.

Sa démarche alourdie avançait péniblement dans le sable. La brise balayait comme une caresse le sable doré autour de ses pas laissant un tapis mousseux et frétillant derrière elle.
Ses chausses à la main elle portait l’autre à son front pour protéger ses yeux, le regard perdu dans la clarté aveuglante de l’élément liquide.
Les pieds nus dans le sable sec et froid faisaient frissonner sa peau.
Elle peinait pour maintenir une cadence rythmée par un déhanchement pesant.
Elle reconnu tout de suite l’odeur de sa toute première bouffée qui lui dessina un sourire sur ses minces lèvres entrouvertes. L’enfance s’était effacée pour laisser la place à la femme, mais Aradiia était torturée jusqu’au déchirement entre le sentiment d’impuissance et la résignation. Elle s’arrêta soudainement et secoua la tête pour chasser ses pensées, elle ne voulait plus penser, pas a cela !

Quelques instants elle ferma les yeux pour écouter le silence autour d’elle.

L’instant fut bref, des cris d'oiseaux de mer non loin fendîmes ce silence apparent, lui donnant une irrésistible envie de crier a son tour. Elle poussa un cri presque timide, puis un deuxième mieux affirmé, comme si elle voulait qu’on l’entende tel un appel.

Elle jeta ses chausses dans le sable et porta ses deux mains en porte voix et cria encore et encore.

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Aysun de la Duranxie, Duchesse d'Ornon, dicte Aradiia

Cybella

en attendant les autres cyb regarda l'océan qui avec ses belles vagues qui s'échouaient sur la grève murmurait à ses oreilles tant de beaux souvenirs.

Débarrassant un peu son panier en laissant bien la nourriture à l'interrieur pour protéger du sable, elle prit son livre emprunté à la bibliothèque du club, et le dépose près d'elle.

as tu une idée de jeu sur le sable Tim?
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Tim210

Tim regarda Cyb et lui dit :

Je n'en doute pas une seule seconde Cyb, j'en suis sur que sera une très belle
journée^^

Cybella

Cybella voulait avec ces beaux jours et cette belle chaleur organisé un grand pique nique du village. Le panier rempli de victuailles elle rejoignit les dunes, les gravit l'une après l'autre.

ahh enfin arriver!!!

cherche un endroit à l'abri du vent et dépose une jolie couverture légère et son panier

il n'y a plus qu'a attendre les autres
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Tim210

Tim trouva difficilement la plage (vu qu'il n'y avais jamais mis les pieds) mais la
trouva particulièrement belle, il marcha quelques minutes sur le sable fin
et se mis à la recherche de Cyb et son fameux pique-nique qu'il repéra plutôt
facilement s'approcha de Cyb et lui dit :

Salut cyb, quel temps magnifique aujourd'hui et la plage et vraiment belle,
je suis content d'être ici ^^

Puis s'assoit sur le sable contemplant l'océan.

Cybella

Cyb vit Tim arriver avec un grand sourire

bienvenue Tim dans un petit paradis

lui fait signe de prend place près d'elle et le bisouille au passage

on va avoir une super journée j'en suis sur

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Cybella

la promenade s'éternisa et la mère et la fille avait prit des couleurs

allez on rentre, il est temps pour nous de dire au revoir à l'océan

la monture ramena ses cavalières a bon port dans la douceur du soleil couchant
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Mael_le_naviguateur

Tiens, le retour près de la plage ... Maël se souvient de sa crise de nerf ... il en rit à présent ... il sait que c'est elle qui l'a libéré, la Garce ...

Salut ... tu sais que je suis plus le meme ... tu le sens ... t'as quelque chose a faire pour moi ?
Apparement je déçois les gens autour de moi, faut dire que j'ai passé 4 mois sous silence ... ma venu fait des heureux ... mais si peux ... j'ai pas la force de tenir comme avant quand on s'aimait d'un amour distant, histoire que je crève pas ... Cette force est partie ... le Maël tout gentil a plus de force que moi ... cette après-midi, il m'a encore fait peur le bougre ... aucune possibilité de me controler, je répondais meme pas mes mots ... pas une seule insulte ... j'ai cru que je pourrai le controler à nouveau, lui interdire ce corps ... mais après tout, c'est le sien ... comment faire pour trouver une entente ? Quand il était faible je lui interdisais tout, et maintenant qu'il est le fort, il va faire pareil ... je veux pas de cette prison de chair ... il est bien plus capable que moi, meme là où moi j'excelle, lui me talonne ... Tout le monde le préfèrera, moi, je suis juste bon pour le combat une fois qu'il est épuisé ... En fait, je crois que je suis bon qu'à faire ça ... le sauver puis disparaitre, la dernière fois c'était le naufrage, quand ton désir débordait et que ta folie m'attirait vers toi ...
Lui a su trouver des amis, résister à une femme perfide ... faire des choses juste parce qu'il avait envie ou juste parce que c'était bien ... moi je fais que ce que j'ai envie, je tuerai une femme perfide, et je détruis toutes les amitiés qu'il a trouvées ... je pense que je suis pas fait pour vivre ici ... je pense lui laisser ce corps, mais je veux pas te perdre, car tu es réellement mon seul amour ...

Il respira les embruns, ce parfum subtil qu'il adore plus que tout, une odeur qui lui rappelle les caresses d'une véritable déesse, il écouta le chant des vagues, ce doux chant qu'à entamé la mer depuis son premier souffle, et qu'elle continuera pour lui jusqu'au dernier souffle, il regarda sa beauté, elle qui lui laissait encore et toujours un battement de coeur manquant, comme si elle lui prennait une partie de ce dernier, pour envouter toute sa personne ... Finalement, meme fou de guerre, il reste amoureux de la mer ... Le gentil Maël lui, la déteste à présent ... mais le fou de guerre ne l'aime que de plus en plus ...

Il lui semblait qu'elle parlait ... qu'elle lui murmurait des paroles douces ... les paroles qu'une femme sait trouver pour qu'un homme soit capable de mourir pour elle ... Mais cette femme là ne vous donne de l'amour qu'une fois votre mort faite ...

Te rejoindre ? je peux pas, il ne veut pas ... et pourtant, me laisser bercer par tes vagues, sentir en moi ta chair couler, la sentir m'étreindre le gosier, emplir mon coeur, à en perdre le souffle ... noyé ...

il sourit, les larmes provenant de ses yeux, plus brillants et plus fous que jamais ...

Noyé ... Notre mariage c'est pour moi ne pas etre marié, mais noyé ... tu entameras alors un autre chant pour moi ... un chant de lune de miel ...

Le vent se leva, vent des terres, poussant l'air vers cette Garce, Maël se fit aussi léger que l'air, un la voulait, l'autre voulait vivre ... mais l'amour nous donne à tous une force inébranlable ... inéxorablement, le corps avance vers elle, un corps sans ame ... les deux ames se battant pour avoir enfin le controle ... Le corps, sans guide, suit alors le chemin qu'on lui impose ...

De l'eau ... je respire de l'eau ... ça y est, je suis marié ... du bleu partout ... un chant doux ... on est enfin réuni pour quelques secondes ... le temps que je finisse mon mariage ... Vive le Noyé ...

Les larmes sont là, mais elles aussi appartiennent à la Garce, on ne les voit pas ... serait-ce ça ? les larmes sont salées ... la mer aussi ... une mer de larmes, ces larmes venant d'hommes nouvellement mariés, ils laisseront leurs yeux pleurer pour qu'elle en capture d'autres ... des ames perdues, des hommes de tout horizons ... elle les a bien eu ... quelle Garce ...

Tu es là toi aussi ? m'en veux pas petit ... on est la meme personne, je suis né quand tu as pris peur, quand t'étais dans ce placard, notre mère en sang devant nous, ce pillard la violant, ton père empalé, tes soeurs emportées on ne sait où, ton frere t'ordonnant de fuire, tu ne t'en souviens pas ? normal, dès que tu as apperçu ta mère à terre, c'est moi qui ai pris le relais ... Puis j'ai gardé le relais ... jusqu'à ce que tu rencontres ton capitaine ... il a réussi à te faire ressortir, il a compris dessuite ... et après, tu l'as tué pour qu'il ne souffre pas ... puis le retour c'était toi cette fois, le bon marin ... mais mon amour, ta Garce, elle l'entendait pas comme ça ... toi tu voulais ne plus la voir, elle voulait encore de nous ... c'est juste ça ... et elle a crié ... tu as vu le navire sombrer ... tu as eu peur ... c'est juste que ce soir là, ce soir de naufrage, t'as vu le diable quand elle te caressait comme maintenant ... t'as pris peur, toi, tu ne voulais jamais prendre la mer ... moi, je suis mort là ... dans ton sentiment de peur, ton sentiment de mort ... tu délaissais ton espoir ... je l'ai rassemblé pour nous sortir de là ... après nous avoir sauvé, tu as repris le dessus, je suis mort ... puis ce soir là, voyant tes amis tomber contre ces gardes, tu as pris peur, comme au naufrage, et comme maintenant ... alors je suis venu ... je t'ai sauvé, mais cette fois, je suis resté ... et voilà qu'enfin tu ne n'arrives plus à me refuser ce corps, et cet amour ... elle nous aime ... et toi, tu ne baisses toujours pas les bras ... je respire encore ... de l'eau ... mes yeux ne voit plus ... les tiens si ... ta bouche contient un peu d'air encore ... la mienne disparait ... comment ? tu bouges les bras ? mais je ne suis pas en toi ... je te vois partir ... qu'est-ce qui se passe ??? je te sens loin de moi, je n'ai plus de corps ... je ... j'ai ... j'ai peur ... elle ne me carresse plus, elle me bat on dirait, elle crie, elle jure, elle ne veut plus de moi, celà ne fait que quelques secondes que nous etions mariés ... elle ne me veut déjà plus ... et toi, toi, tu pars ... moi ... je me marie ... Vive le marié ...

Une vague ...

Maël est sur la plage, il s'étouffe, il vomit des larmes, il expire des larmes ... enfin ... de l'eau ... Il l'a revu, le diable, mais cette fois, c'est lui qui s'en ait sorti seul ... Le fou est parti ...

Maël rampe durement jusqu'à un endroi sec ... ce soir, il dort ici ... Et demain ... il vit ou il sait ce qu'il y a après la mort ...

Enfin ... il est parti ...

Maël ferme les yeux ... il repartira vers la ville, quelques heures plus tard avant de revenir dormir ici ... il faut qu'il n'oublie plus ...

Mael_le_naviguateur

Courrir, courrir, encore courrir, de quoi passer ses nerfs, sa douleur, sa tristesse, son deuil ... Maël court encore et toujours, il pleure aussi, pour la première fois, il court vers elle ... C'est de sa faute ... il le sait, et cette fois, il rejoindra son vrai équipage, et la rejoindra, il la rejoint ...

J'en ai marre !!!!!! Pourquoi il a fallu qu'ils aient tous une pensée pour moi avant de crever, pourquoi il faut qu'ils aient tous été honoré de me servir ?!?!? Pourquoi tu me les a pris sale Garce !

Il courrait maintenant, de l'eau jusqu'aux hanches ... il courrait encore vers son coeur ... Elle qui lui ouvre toujours son coeur si froid mais si amoureux ... Il en a fait mourir, vassiller dans les flots, tomber dans l'oublie ... Ce coeur est maudit.

Et maintenant que je croyais qu'ils étaient partis en paix en pensant qu'a leur salut et leur avenir, je sais maintenant qu'ils veillent sur leur cher second ... le seul qui pouvait tenir tete au capitaine, et meme l'humilier ...

Il s'arrète net, de l'eau jusqu'au menton, les courants le balotant d'un coté puis de l'autre, il sentait son corps partir ...

Si je vous rejoins, vous serrez content les gars ? histoire de faire comme au bon vieux temps, naviguer ? tous ensemble, au coeur des tempetes, dans le calme plat ... vous me manquez ... on pourrait encore naviguer ... en enfer après tout, c'est nous les maitres ...
Son corps tremble de toute part ... le froid ? Oui surement ... La peur ? La faiblaisse, l'envie de se tuer ? plus vrai encore que le froid ...

Pourtant, il est retenu ... la terre l'appelle a présent, elle qui ne l'a jamais encore retenu, elle qui le repoussait meme ... Elle l'appelle a présent ... Puis les vivants aussi l'appellent ... Ses nouveaux amis, Ambre, ses projets, son envie de profiter d'une vie qui recommence, une seconde chance pour lui, tout ça, il le veut ...

Laissez-moi les mecs ... je vous rejoindrai bien assez vite ... laissez-moi encore du surcit, juste le temps de vieillir et de plus pouvoir vivre comme je le veux ... là je vous reviendrai ... Toi aussi lache moi Garce, tu es jalouse d'elle, mais tu sais immanquablement que tu me trompes, tu en trompes d'autres ... tu les tue pour les garder ... tu veux ma vie ... Mais ma vie m'appartient, c'est a moi de vouloir ... Je suis près de toi, tu m'étreinds, tu me berce, mais tu es cette fois plus froide que jamais. Combien ont réussi a t'échapper ? combien ont fini par s'en rendre compte ? je ne peux pas etre le seul ... Tu nous séduis, tu nous promets des aventures merveilleuses, des caresses amoureuses, tu nou promets ton amour, et au final, tu nous tue ? On ne peut pas aimer une fois mort, tu ne fais que gaspiller les hommes, tu es maudite ...

Il soupira, tourna talons et reparti vers la plage ... puis vers la ville ...

Un cri sorti du coeur ... des sanglots enfin libérés ... un amour gaché autant qu'une vie ... mais l'amour comme la vie ne seront plus gachés ... plus jamais.

Sergioletendre

Sergio sourit a la reponse de Medeline:

Vraiment tu pense ça, en habitant a bord de l ocean??

Il se leva, lui prit la main et l amena sur la plage pres de l eau.
Le vent s etait calmé, la lune brillait sous un ciel etoilé.

Suis moi, n ai pas peur mon ange.

Arrivé pres de l eau, il se deshabilla, et nu, il courut dans l eau.
Une fois jusqu a la taille dans l ocean, il se retourna enfin, tendant les bras vers elle.

Viens je te promet que tu ne risque rien, je serai pres de toi...

Sergioletendre

Sentant Medeline frissonait sous la brise,
Sergio alla a la charette, et revins avec une couverture, qu il lui passa sur les epaules, et une belle piece de boeuf accompagnée de pommes de terre.

Il plaça la viande sur la grille et les patates dans la braise.

Ce ne sera pas long Med.

Il se glissa sous la couverture a son tour, et la fixant lui murmura:

Medeline, je renais depuis toi, je croyai avoir connu l amour mais je viens juste de le decouvrir dans tes bras.
Je t aime mon ange...

Il re servit une coupe de vin en souriant

Medeline

Sergio mit une belle pièce de boeuf sur le grill et un bonne odeur commenceait à titiller les narines. Medeline en avait l'eau à la bouche

Pendant que la viande cuisait, les 2 jeunes amoureux se partageait une couverture. Medeline était aux anges auprès de son homme.

Je suis heureuse de te voir si bien mi amor. Je continuerai à t'aimer et d'essayer de te rendre le plus heureux que je puisse, crois moi.

Le repas cuit, Sergio le servit sur de belles assiettes blanches en fesant une très belle présentation. Medeline sirotait le Sauterne en attendant.

Sergioletendre

Il mangeait avec envie tant son desir de croquer la vie etait revenue.

Il fixait Medeline en souriant a chaque bouchée, voulant la croquer aussi.
Cette pensée l affola un peu...

Il sortit les pommes de terre des braises et tentant de les peler sans trop se bruler, les faisant passer d une main a l autre en soufflant dessus.
Il rit de bon coeur se sachant stupide sur cette actions, alors ils remit dans une assiette et attendis qu elle refroidissent...

Med a tu peur de la grande bleu????

Medeline

Medeline mangeait avec un grand plaisir, ce repas sur la plage n'était que plus que merveilleux.

Elle le dévorait des yeux sous les flammes. Il n'était que plus beau et elle était sure qu'elle voulait partager sa vie.

Elle ria de le voir jongler avec les pommes de terre chaude. Celà était fort drole !!! Le pauvre Sergio devait se bruler les mains.

Attadant que ça refroidisse, Sergio la questionna. Le regardant dans les yeux à la lueur des flammes.

Je te dirais franchement que j'ai peur de ce qui se passe en dessous de la grande bleue... On ne sait pas ce qui se passe la dessous !!!
J'ai entendu dire qu'il y avait des monstres marins vraiment terrible !!! Des monstres qui te mangent d'une seule bouché !!! Tu imagines celà ???
Je ne suis vraiment rassurée de savoir celà...

Medeline se blottie encore plus contre Sergio pour se faire rassurer.

Sergioletendre

sergio arriva sur la plage, pour preparer un repas a medeline.
Il choisit une dune bien a l abris du vent, il posa quelques pierres en cercles et prepara de quoi faire un feu.

Il alla chercher a sa cariolle, un panier remplis de pain frais, de foie gras du perigord, du sauterne liquoreux de la region, des figues, et du raisin bordelais.
Le reste il le gardais pour la suite.

Il tartina le foie gras copieusement sur de belles tranches de pains, il mit aussi quelques tranches des figues pour donner une note sucrées.

Il mit le vin dans un sceau remplit d eau glacée de son puit pour le garder frais jusqu a l arrivée de sa douce.

Pour patienter, il fit un chemin de petales de roses allant de la charette a la dune.
Puis il alluma le feu, et patienta en chantant des chansons d amour...

Medeline

Medeline attendait patiament chez Sergio lorsque qu'elle reçu la visite d'un pigeon. Voyant un message accrocher à la patte, elle s'approcha du volatil doucement afin de ne pas l'effrayer puis décrocha le parchemin.

C'était un message de son bien aimé qui l'invitait à la rejoindre sur la plage. Ni une, ni deux, Medeline sorta de la maisonnée en refermant soigneusement la porte. Soulevant ses jupons, Medeline pressa le pas pour arriver au plus vite.

Arrivée au bord du sable, la damoiselle vit la charette de Sergio au loin. Son coeur battait très fort juste à l'idée de passer un doux moment avec l'homme qu'elle aimait. S'approchant de la chariotte, un chemin de pétale de rose poursuivait le chemin. Celà était d'un tendre romantisme... La soirée ne pouvait que mieux que se passer ^^.

Marchant plaisament sur cette allée préparée particulièrement pour elle, Medeline rejoignie Sergio, voyant les quelques préparatifs déjà présent.

Coucou mon coeur, je vois que tu as tout bien organisé..... Le chemin de pétales de rose m'a énormement plus...

Medeline s'installa auprès de son homme, et se blottit contre lui.

Sergioletendre

sourire franc a l arrivée de Medeline.

Tu arrive a point pour le coucher de soleil ma princesse...
Ravis que les roses t es plue.

Ell se lova contre lui, il l embrassa tendrement.
Il servit du vin tres frais, lui tendis une coupe, et trinqua:

A notre amour , qu il resplendisse plus encore que le soleil a tout jamais.

Il resterent un moment a contempler l astre descendre lentement en mangeant les tartines de foie gras et figue et en sirotant ce vin liquoreux si agreable au palais entre deux baisers.

Quand la nuit approcha, il alluma le feu, et mis une grille dessus.

Il reagardait sa belle, qui rayonnait a la lueur des flammes, il etait bien pres d elle, il se sentait renaitre, revenir du neant.....

Cybella

Arrivée devant les dunes, Cyb prit les rênes d'une main et tenait de l'autre fermement sa fille

attention Harmonye ça va un peu secoué tiens toi bien a maman

allez Etoile on y va en douceur ma belle

la laisse gravir a son rythme les dunes qu'elle connait par cœur
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Medeline

Blottie dans les bras l'un de l'autre, Medeline savourait autant ce nouveau bonheur que les tranches de foie gras et le vin.

Qu'il est doux d'être à tes cotés, tu es le plus gentil des sires.

Regardant le couché de soleil, ils échangeaient de tendres baisers.

Sergio se leva et alluma un feu de camps, se qui réchauffa un peu Medeline. La fraicheur du soir commenceait à se faire ressentir malgré la protection des dunes.

Cybella

cheveux au vent et crinière aussi, elles se promenaient au bord de l'eau. Etoile faisait jaillir des gerbes d'eau salée à chacun de ses pas, ce qui ravisait Harmonye qui gloussait toute heureuse.

cyb prenait un peu de temps pour elle et sa fille. Harmonye grandissait si vite...
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Ambroisie

En plein songe, elle sentie une main sur son visage et entendit une voix lui murmurée

Citation:

Bonjour belle sirène, vous semblez perdue dans vos pensées ...

Elle ouvrit les yeux et aperçue Mael allongeait près d'elle ,elle lui sourit ,se rapprocha et l'embrassa

Bonjour mon beau marin!! je pensais a toi ...et en me promenant , mes pas mon menés jusqu'ici. Je comprends maintenant pourquoi tu me parles si souvent d'elle ,oui tu as raison ,c'est un endroit féérique .

Et la, elle regarda Mael et soudain comprit ....... oui elle avait comprit .. la voila ...c'était elle...... ,la maitresse , la traitresse , la voleuse d'homme ,celle contre qui elle devrait se battre......
Mais avait elle au moins une chance contre celle-ci ?elle ne le pensait plus aujourd'hui.

Cybella

Cybella chevauchant Etoile avait envie de grand air marin, mais cette fois ci elle emmena sa fille avec elle. Elle la plaça devant elle, bien calée

allez c'est parti on va y aller doucement ça va être une longue promenade entre filles, entre Amazones

donnant un coup de talon et au son de la voix fit avancer sa jument

allez ma belle on va en ballade

Harmonye se cramponnait pas très rassuré mais après assez à l'aise car oubliant la hauteur de l'équidé elle admirait le paysage et les nouvelles sensations qu'elle éprouvait.

cyb lui sourit et tout en avançant dans les dunes, lui raconté que lorsqu'elle était petite, encore un nourrisson elle, son papa et sa maman était partit en voyage sur les routes jusqu'à saintes. Et avaient fait de bien belles ballades dans la magnifique foret de la Dame Blanche
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Mael_le_naviguateur

Cela faisait bien longtemps que Maël n'avait pas approché l'Océan ... La peur peut-etre ? Non, pas la peur, ou plutot juste une crainte, lui qui voyait la mer et l'océan comme son amour éternel, ce serait une crainte que celle-ci veuille encore l'enlever à la vie pour mieux le garder ... Mais il pense aussi aux autres hommes qu'elle a déjà englouti, ceux là, qui l'aimaient eux aussi de tout leur coeur, sont morts dans ses bras les berçant au rythme des vagues, ils sont morts dans leur dernière étreinte amoureuse ...
La mer n'est qu'une femme charmant tout homme l'approchant, paraissant pour certains bien mauvaise, lachant des tempêtes terribles, pour d'autres calme et poètique, pour d'autres encore sauvage, indomptable, aventurière ... Une femme les regrouppant toutes ... La Jalouse, la libertine ... les deux aspects d'elle que Maël déteste ... il l'aime pourtant ... mais un amour de marin, meme foudroyant, prend aisément fin quand le véritable amour déferle ...

Passant le long des dunes, regardant encore la jalouse, écoutant ses douces contines, se remémorant les merveilleux moment qu'il a passé avec elle, meme durant les tempêtes, il l'aimait ...

Après un petit moment, il se décida néanmoins à la laisser l'étreindre de ses mains froides, il passa doucement, frissonnant à chaque vague, le long de son étendue ... Il apperçu au loin une cheveulure claire, rayonnante avec les éclats du soleil, il reconnu Ambroisie, il souria de la savoir ici. Il la rejoint en pressant le pas.
Il arriva près d'elle et s'allongea près d'elle.

Bonjour belle sirène, vous semblez perdue dans vos pensées ...

Il lui sourit en caressant sa tempe en remettant une mèche sur le coté de son visage parfait.

Anarky

Aprés une nuit d'amour dans l'océan Anar et Zim rentrérent chez eux un peu frigorifier

Lovejennifer

Après avoir attendue toute la soirée Thib, Jenny le vu que très peu de temps en taverne des amazonnes, puis il repartit trop tôt, sans donner d'explications. Elle n'avait qu'une envie, rester seule, ne voir personne et pleurer. Le coeur gros, elle arriva en bord de plage, écouta le bruit des vagues allant s'échouer sur le sable. Elle ne rentrera pas chez elle ce soir, elle dormira sur le sable toute la nuit.

Zim

"mon amour toi moi la mer, la nuit les étoiles,c'est romantique, ça te tenterais pas de te baigner un peu?"
Zim approcha de l'eau et mis ça main dedans
"elle est bonne! on y va? "

Anarky

Anarky sourit a Zim et retira sa chemise
« Aller mon ange on y va! »
Il retira son braie et aida Zim a retirer ces vêtement non sans un certain plaisir. Il lui prit la main et entra avec elle dans l'eau salé de l'océan. Dans le reflet de la lune il l'embrassa en la serrent contre lui

Zim

"j'adore les bains de minuit! ça me donne une idée"

Zim murmura quelque chose à l'oreille de son tendre amour. Il l'a regarda et approuva de la tête.
Ils s'embrassèrent et restèrent un long moment dans l'eau sombre plongée dans la nuit d'une douce soirée de printemps.

Anarky

Tous deux firent l'amour dans l'eau sombre pendant une bonne heure ils s'enlacèrent tout-en embrassent sous la nuit étoiler suivant le rythme calme des vagues ...

Anarky

Anarky et Zim arrivèrent main dans le main sur la plage obscure éclairait par la seul lumière de la lune. Le bruit des vagues donnait rythme a leur baiser, bercent leur amour. Sous les étoile au claire de lune Anarky prit Zim dans ses bras et l'embrassa amoureusement fasse a l'océan calme et scintillant de mile étoile....

Ambroisie

Ambroisie ne sachant que faire en se joli mois d avril ,se décida d aller voir la plage et sa dune.
Elle gravit celle-ci avec beaucoup de peine,arriver tout en haut ,quel ne fut pas le spectacle qui s'offrit a ses yeux, un enchantement.
Elle redescendit les dunes en direction de la mer,celle-ci était houleuse,d un bleu profond ,puis se dirigeât vers les flots , mit les pieds dedans, elle la trouva pas bien chaude, mais aimez la caresse des vagues sur ses jambes, le vent dans ses cheveux,elle se sentait libre et heureuse .
Elle vit un cavalier s'éloigner sur sa monture .
Puis n ayant pas très chaud , elle décidât de sortir de l'eau et de s allongeait sur le sable, elle se mit a rêvasser

Xanthi

Ils avaient suivi l'estuaire de la Gironde. Ils entraient maintenant en Guyenne.
James, en garde du corps accompli et discret, Mahault fidèle servante et Hoax son chien avançaient tous trois d'un bon pas.
Elle était restée un peu en arrière. Elle les regardaient un sourire attendri sur le visage.
Des souvenirs de jours heureux lui revinrent en mémoire.
Le mariage de ses amis Dolce et Robin la ramenait vers ce pays qu'elle aimait tant.

Elle allait revoir Val.
Val ....

Damoiselle ! Xanthi!

Elle entendit son nom que criait Mahault.

Oui oui ! J'arrive.

Ses yeux verts s'étaient un instant perdus. Elle vit l'estuaire, les oiseaux, l'herbe verte.
Elle se mit à courir pour les rattraper.
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oui, avec Vous simplement, parler d'amour .....

Nemeroff

Fier de sa nouvelle monture, qui était vraiment un compagnon incroyable de part sa vitesse et sa beauté, Nemeroff se dit qu'une petite ballade sur le dos d'Anfauglir serait bénéfique pour eux deux.

Ils se dirigèrent vers les dunes et les passèrent sans la moindre difficulté, puis restèrent en hauteur afin de scruter l'horizon.

C'EST PARTI ANFAUGLIR ! YIIIIIIHAAAAAH !(Nemeroff aimait ce cri ^^ )

Puis le jeune homme et son cheval partirent au triple au galop et coururent ainsi une bonne demi-heure.

Ils rentrèrent dans l'eau et ressortirent prestement. "On rentre mon gros" susurra le jeune homme à l'oreille de son compagnon. [/img]

Stelliem

Stell tout du long du chemin, fut silencieuse et morose. Pour la première fois elle se retrouve sans son amour et elle a le coeur gros.

Quand ils arrivent a l'aube aux portes de Blaye, murmurant une vague excuse, Stell part laissant ses amis. Elle se dirige vers l'ocean et la plage... et retourne a l'endroit ou Bikko et elle se sont tellement de fois retrouvés et aimés....

Elle galère un peu pour faire un feu et s'assoit a coté recroquevillée, s'emmitouffle dans sa couverture puis les yeux dans le vague tournés vers l'ocean, elle reste là, et laisse ses pensées voler vers Castillon... Vers son amour ! Elle l'imagine arrivant devant le guet et faire son numéro comme a chaque fois, puis dans le moulin allongé dans leur chambre, leur lit ...seul et soudain les larmes coulent !

Tu me manques tellement ... ! Elle pleure silencieusement la tete entre les bras puis se met en chien de fusil sur le sable et laisse le sommeil l'emporter quelques heures... Le temps que le soleil soit haut dans le ciel et qu'il l'a reveille par ses rayons chaud et doux.

Un peu perdue, elle se redresse et s'etire puis se releve et recupère ses affaires et va se promener lentement le long de la plage, les pieds lechés par les vagues jusqu'a ce qu'elle reprenne le chemin de la ville et des tavernes pour retrouver ses amis.
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Nemeroff

Nemeroff fit signe a son amie qui s'éloignait déjà à une vitesse effarante.

C'est limité à 50 !!!! hurla t-il.
Il rentra dans l'auberge et commanda une bière bien fraîche.

Cybella

une compagne oui bonne idée, j'en suis sur que le hasard en mettra une sur ton chemin

passe l'entrée sud de la citadelle et entre en ville. Les sabot d'Etoile claquent sur les pavés et résonnent dans les ruelles. S'arrête devant l'auberge...

voila messire est arrivée sain et sauf

le laisse descendre

je file je dois aller chercher ma fille à la garderie

lui sourit

on se retrouve aux amazones devant un bon verre tout à l'heure!!

donne un coup de talon et pars en direction de la garderie
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Nemeroff

Rassuré une fois les dunes passées, Nemeroff regarda le paysage autour de lui et fut ravi immédiatemment par ce qui l'entourait.

Effectivement le paysage est renversant !

Puis Nemeroff écouta Cybella qui parlait beaucoup, alors qu'elle voulait regarder le paysage. Il dissimula un sourire puis répondit aux questions de son amie avec patience.

Oui c'est vraiment un endroit plaisant ici, tout est absolumment parfait. Je n'ai plus qu'a trouver une compagne !

Puis il continua de regarder le paysage ...

Nemeroff

Nemeroff monta sur le cheval avec aisance, même s'il n'était pas très riche quelqu'un dans sa famille lui apprit un jour les plaisirs de l'équitation.

Merci belle dame ! fit-il en souriant.

Quelque peu inquiet par la montée des dunes ou autres obstacles en hauteur, Nemeroff s'accrocha fermement à cette charmante femme et préféra l'idée de ne pas avoir à crier du tout, qui annoncerait une chute ... Et devant une femme, il aurait tout de même la honte de sa vie !

Cybella

la montée des dunes se fit un peu chaotiquement mais fut passé quand même sans chute du passager. Etoile commençait a bien connaitre la route et s'habituer à se sol si mouvant et instable.

voila dunes passées, cela va être plus calme là.. profitons du paysage qui pour ma part m'émerveille toujours autant

laisse Etoile au pas, il n'y avait pas urgence non plus et la douceur du temps ne lui donnais pas trop envie de rentrer au galop

alors Neme tu te plais ici?? la douceur de vivre guyennoise te convient??? Si je parle trop tu me le dis, je suis une vraie pipelette je sais mais Etoile aime bien quand je lui parle

rit
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Cybella

sourit à son baisé sur sa main

toujours aussi charmant mon cher il aurait été dommage de vous laisser finir le chemin à pieds et tout trempé

le fait monter derrière elle

bon tiens toi bien la montée de la dune va être raide et sportive

rit

allez ma belle, on y va

donne un coup de talon à sa jument et la fait avancer à travers les dunes, écrin naturel de sable blond et barrière naturelle contre les vents d'ouest.

ça va??? si tu tombes tu cris, hein

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Nemeroff

Interrompu dans sa réflexion par son amie qui arrivait avec son cheval, Nemeroff la salua et répondit que l'eau était vraiment très bonne. Il pris le tissu qu'il mit sur ses épaules et pris la main de Cybella pour y déposer un baiser avant de se hisser sur le cheval.

ON THE ROAD AGAIN !!!Cria t-il en riant

Cybella

cybella finissait sa promenade le long de la plage avec Etoile quand elle vit sur le chemin menant aux dunes Neme. Il était trempé et il avait pas l'air en grande forme.

bonjour Neme, tu es tombé dans l'eau??? Tu vas t'attraper la crève, c'est pas la saison des bains de mer encore tu sais!!

se retourne et défait le plaid roulé derrière la scelle et lui tend

tiens met toi ceci autour des épaules et monte derrière moi je te ramène à l'auberge et tu vas te sécher près de la cheminée

lui tend la main
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Nemeroff

Nemeroff se dirigea vers cette magnifique étendue d'eau et de sable, pour réfléchir, sans doute. Une fois assis sur le sable chaud, il regardait l'horizon. Où est-elle ? Celle qui lui prendra son coeur peut-être ici ou derrière cet océan ... Puis voulant chasser ses mauvaises pensées, il décida de profiter du soleil et de l'eau chaufée par celui-ci pour aller se baigner. Une fois satisfait de ce petit effort il se dirigea vers le chemin du retour, trempé jusqu'aux os ...

Cybella

Cybella arriva au galop sur sa jument aux pieds des dunes, puis la laissa les gravir tranquillement

allez ma belle, continue on y est presque, voila c'est bien...

arrivée en haut prend des grandes bouffées d'air marin en plein visage, ferme les yeux et apprécie le doux bruit des vagues

allez Etoile on va se faire une belle course dans les vagues pour se sentir vivante, j'en suis sur que ça va te plaire

donne un coup de talon et descend la grande dune. Entame un galop sur le sable plus dur jusqu'à arriver au niveau de la première vaguelette . Continue le galop parallèle aux dunes. Chaque pas fait jaillir des gerbes d'eau saline. Etoile avait l'air d'apprécier et sa cavalière encore plus...se sentant libre et plus légère ne pensant plus à rien, juste le regard droit devant, droit devant l'azur du ciel, l'argent de l'eau et l'or du sable...
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Robin25

Je nageais sur la mer, quand Dolce vint me rejoindre. Elle s'approcha de moi et m'enlaça. On s'embrassa longuement balloté par les grandes vagues. Nous étions bien, heureux d'être là, mais petit à petit, le froid nous gagna.

IL faut sortir de l'eau mon cœur. C'est assez pour aujourd'hui.

Nous sortîmes de l'eau et nous allons récupérer nos habits. C'est là que je m'aperçus de mon erreur. J'avais laissé mes braies et elles étaient entièrement mouillées.

Zut!! j'aurais du les ôter avant d'aller dans l'eau. Dolce rigola de ce mauvais choix, car elle, ces habits étaient sec.
Nous prenons nos habits et nous allons vers les buissons où nous dormons la nuit venue. J'enlève mes braies et je remets ma chemise et ma robe par dessus, puis mes bottes. Ni vu ni connu, j'étais habillé. Mais j'avais quand même un peu froid au jambe. J'étends mes braies sur les buissons pour qu'ils sèchent au soleil.

Voilà attendons quelques instants. Dolce pendant ce temps s'était rhabillé et m'avais rejoint.
Nous nous allongeons dans le sable cote à cote.

Ça m'a fait du bien ma chérie. Je ne regrette pas d'être venu ici. C'est un charmant village, un peu calme, mais on se repose bien.

Je me tournai sur elle et l'embrassai amoureusement. Ses lèvres avait le gout du sel et ses cheveux étaient en bataille, mais elle restait toujours aussi belle et c'était l'élu de mon cœur.
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Dolce.girl

Je demandais à Robin de plonger dans cette eau fraiche et rafraichissante !

Citation:

Euh! Je veux bien, mais faisons attention à ne pas être englouti par ces vagues.

Il commence alors à se déshabiller et va plonger dans l'eau, je l'observais un peu pour essayer de deviner si l'eau est froide ou pas! Puis j'enlève mes habits à mon tour que je dépose sur le sable, et je me plonge dans l'eau avec mon Robin .

"Waouuuh !! Quelle sensation !! "

J'enlaçais ensuite mon tendre et on restait ainsi l'un collé à l'autre profitant de la douceur de l'eau sur notre peau .
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Robin25

Dolce me rejoint et me demande si je veux aller dans cette eau que je ne connais pas.

Euh! Je veux bien, mais faisons attention à ne pas être englouti par ces vagues.

J'ôtai mes bottes prestement. Ma robe et ma cape tombèrent sur le sable et ma toque aussi. Je me défis de ma chemise mais je laissé le reste pour ne pas montrer ma nudité à d'autres personnes.
Dolce me rejoignit aussitôt.Et comme un gosse, je lui jetai de l'eau sur elle. Elle fut surprise, mais heureuse en même temps. Elle était pas très chaude, mais on la supportait facilement. Je reculai aussitôt, mais je mis un pied dans un trou de sable, et me voilà tombant dans cette eau. Je disparus quelques instant et refis surface tout de suite en rigolant.

Elle est pas si mauvaise que ça, ma Dolce. Vient vite me rejoindre.

Et nous voilà nageant tous les deux , pour la première fois.
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Dolce.girl

Robin et moi étions enfin arrivés ! Enfin , la mer, Bleue , belle avec ses vagues!!!
Le sable était fin et un peu chaud ! Le soleil brillait! C'était une belle journée!

Je regardais cette mer, quand je me sens trainée par la main par mon Robin , pour courir vers l'eau !

Les vagues faisaient des allées et venues devant en nous mouillant les pieds ! J'adorais cette sensation ! Robin et moi passons un bon moment à s'amuser comme des petits fous ! Mais cela ne me suffisait pas! Je voulais sentir cette eau sur mon corps ! M'immerger dedans !

Je demandais alors à mon Robin si je pouvais y aller :

Chéri j'ai envie de me baigner ! ça te tente???
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Robin25

La voilà , la mer, l'océan que de nom pour une si grande étendu d'eau.
Dolce et moi nous arrivons vers ce spectacle grandiose.

Je prends Dolce par la main et nous courons vers cette eau que nous rêvions tant.

Suis- moi Dolce . Allons la voir de plus près. Ele a l'air de disparaitre dans le ciel.

Le sable est doux et nous enfonçons dedans sans forcer.Dolce a du mal de me suivre mais elle est aussi excitée que moi de toucher cette eau.
Nous arrivons près des vagues. L'océan est agité aujoud'hui . Mais la tentation est trop fort. Nous nous approchons encore un peu plus. Mais voilà qu'une vague arrive vite vers nous.

Recule vite Dolce. Elle vient sur nous.

Je cours en arrière mais la vague va plus vite que moi et me mouille les pieds. J'ai l'impression d'être attiré par l'eau. Je résiste . Je vois Dolce qui m'a lâché la main venir vers moi.
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Cybella

Cyb était rentrée à Blaye et passa par les dunes prendre l'air du large. Le temps était gris aujourd'hui et la dernière tempête avant fait échouer du bois mort sur le rivage

se pencha pour prendre un morceau de bois et écrivit des mots tendre pour son chéri avec un gros cœur

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Mathildy

La cérémonie pas vraiment achevée, Thild avait cependant ressenti un besoin urgent de s'éclipser un peu, de prendre l'air et d'arrêter de trop réfléchir. C'est ainsi qu'elle atterrit sans trop savoir comment au bord de l'océan.
Retrouver la mer et se laisser aller au gré des éléments lui semblaient indispensables à cet instant de son existence. Elle ôta ses chausses pour sentir le sable glisser entre ses orteils lorsque ses pieds s'y enfonceraient. Il faisait froid, le vent fouettait son visage et rendait sa coiffure encore plus improbable qu'à l'accoutumée. Le sable gelé lui piquait les pieds mais elle s'en fichait, elle se sentait juste vivante !!!

"Humpffff ... fait frais quand même"

Elle fourra ses chausses dans sa besace et se mit en tête de courir dans le sable ... pour se réchauffer. Elle n'y voyait pas grand chose, elle courait à la lueur de la lune et des milliers d'étoiles qui étincelaient dans le ciel cette nuit-là.
L'immensité de la plage et de l'océan lui donnaient un sentiment de liberté inexpliquable. Elle aurait voulu que le temps s'arrête en cet instant.
Essoufflée, ses jambes ne la portant plus, elle s'écroula sur le sable, au pied d'une dune qui la protégeait quelque peu du vent.

"J'fais quoi maintenant moi ??? Pffff !!!!"

Perdue dans ses pensées éclatantes et obscures à la fois, elle s'amusait à dessiner des fresques étranges avec ses pieds dans le sable. Elle ne voyait pas le résultat vu le peu d'éclairage mais elle aimait sentir le sable se plier au bon vouloir de ses orteils.
Elle essuya une larme qu'elle n'avait pas senti perler le long de sa joue. Elle se parla à elle-même .... comme d'hab ...

"Humpfff ... Vraiment pas possible ... T'es vraiment trop sensible ma p'tite ... T'as intérêt à te reprendre devant les gens !!!"

Elle se rappela de phrases souvent entendues et ressassées dans son enfance

"Montre jamais qu't'es faible Thild, sois forte et ne laisse rien transparaître de ta trop grande sensiblité qui te jouera des tours toute ta vie sinon !!!"

Thild grimaça, secoua la tête pour virer ses souvenirs pénibles et de rage retrouva des forces pour continuer son chemin sur la plage ... et pour pas mourir congelée aussi ... Elle n'avait que ça à faire de toute façon, arpenter la plage en long et en large ... en attendant de rentrer chez elle ... ou pas !
Elle se trouva un coin abrité un peu plus loin, se recroquevilla sur elle-même et s'endormit, le corps anesthésié par le froid.

Cybella

cybella fut emporté par fleur et se retrouva dans l'eau avec elle.

fleur nonnnn

l'empêche d'aller plus loin et la ramène près du bord

fleur je te lasserais jamais faire ça

l'aide sa se relever et la ramène chez elle avant qu'elle n'attrape une pneumonie

allez on rentre

les vêtements humides et froids collaient et transpercé leur peau, mais cyb tenait bon tellement la colère était en elle et son seul objectif était de la ramener vivante dans son foyer.
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Fleurdecactus

Fleur avait vaguement entendu crier mais ne se retourna pas et continua a avancer quand elle sentit une main qui l'attrapait ,se retourna et vit son amie à travers ses larmes
Laisse moi Cyb je l'ai perdu à force de trop l'aimer je l'ai perdu
et pleura de plus belle en se laissant tomber dans l'eau glaçée
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Cybella

Cybella n'avait pas réussi a retenir son amie et l'avait perdu dans les rues de la ville.

arf fleur attend moi fais pas de bêtises

court jusqu'à la plage, n'a jamais monté aussi vite les dunes de sa vie... tombe au moins dix fois se prenant les pieds dans sa robe. arrivée en haut de la dune voit la silhouette de son amie près de l'eau

fleuuuurrr fais pas ça!!!!

cours vers elle

lui prend la main

fleur je t'en prie c'est pas une solution voyons

ne s'aperçoit pas qu'elle a les pieds dans l'eau et le bas de sa robe qui trempe dans l'eau
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Fleurdecactus

Fleur arriva sur cette plage en sanglotant,essouflée par sa course effrénée depuis la taverne.S'assit sur le sable humide et continua de pleurer ,regarda l'immensité et fut attirée par elle
Elle se leva et avança doucement cria:
WATTO JE T'AIME PARDONNE MOI DE T'ETOUFFER D'ÊTRE TROP EXIGENTE
Senti l'eau caresser ses pieds
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Cybella

Le soleil commençait a se voiler et la fraicheur revint vite. Cyb gravit a grande enjambée les dunes les unes après les autres

grrr satanée robe

remonte des pans du vêtement

j'aurais dû aller me changer pfff

les chausses pleines de sable froid la fit frissonner plus d'une fois mais elle continua trop heureuse de retrouver l'océan

ahhh! enfin te voila!!

sourit comme si elle le faisait à un être cher

tu m'as manqué, tellement manqué...

elle prit place aux pieds d'une grande dune et respira à plein poumons l'air iodé

le menton sur les genoux, les bras enserrant ses jambes, elle repensa à sa semaine à Bordeaux. Les gens formidables rencontrés la bas mais aussi des gens ignobles à qui elle aurait bien arraché le cœur et les yeux. Tant de souffrance la bas et de petits bonheurs parfois...mais plus elle y repensait, plus elle pensait à sa vie à elle..que dire sur le sujet, pas grand chose au fond, un vide sidérale depuis des mois et des mois. Les larmes finirent par rouler sur ses joues sans qu'elle s'en aperçoit, fallait bien que cela sorte un jour à force de tout garder et de rien laisser paraitre.

le temps s'écoule, les nuages défilent dans le ciel, la courbe du soleil suit son chemin et elle reste là, comme un morceau de bois rejetait par l'océan après une tempête sur le sable d'une plage lointaine et inconnue...

se lève doucement, reprenant un peu ses esprits et décide de rentrer chez elle. Le chemin lui parait plus court pour aller jusqu'à chez elle...
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Lorca

Au petit matin, après une longue nuit de voyage, et après avoir laissé louise à l'auberge, lorca se dirigea vers la plage de blaye, son fidèle harpon sur l'épaule. Il apprécia la sensation du vent épousant ses formes et le balayant de son souffle salin. Juché sur un rocher à l'entrée de la baie où se nichait la ville de Blaye, le pêcheur resta là telle une sentinelle, prêt à bondir à la moindre alerte.

Xanthi

En sortant de l'église, Xanthi, entendant le bruit de l'océan, se dirige vers la plage.
Elle serre sa cape autour d'elle, respire l'air salin, le vent ébouriffe ses longs cheveux noirs.
Elle regarde l'océan, les vagues vert gris, les mouettes.
Elle aperçoit quelques promeneurs qui comme elles bravent le froid de cette fin d'automne.
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oui, avec Vous simplement, parler d'amour .....

Cybella

Le soleil avait disparu aujourd'hui derrière des nuages de couleur ardoise. Pas de vent, une sensation étrange comme le calme avant une tempête. Avançant d'un pas lent et nonchalant je franchis le chemin des hautes herbes, pas un brin de bougeait, un calme absolu, on entendait presque les grains de sable roulaient en bas des dunes. Je franchis les dunes une à une comme un automate, un pas puis l'autre, mes pieds s'enfonçant dans le sable meuble. Arrivée en haut, regardant au loin et je vis un océan calme à peine secoué de vaguelettes.

étrange...l'océan est bien trop calme

reste débout, visage vers l'horizon, marche sur le sable blond et descend vers la grève. Lève la tête, cherchant des yeux un oiseau de mer, mais rien, toujours rien, le désert, le calme.

soupire et s'assoit, laissant vagabonder ses pensées, mais le temps passe vite et cyb décide de rentrer
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Cybella

Le pas lent, la capuche bien rabattu sur sa tête se protégeant du froid piquant sa peau, elle marche vers son ami, trop de temps sans le voir, elle a besoin de se ressourcer. La neige collant au bas de son manteau, ses pas s'enfoncent sur la couverture blanche, mais le sable est dur comme de la pierre. Elle gravit les dunes sans sans rendre compte, son esprit trop pris par tant de chose, arrivée au sommet elle regarda au loin, balayant du regard l'immensité argenté. Elle resta immobile n'allant pas plus loin, sachant très bien que si elle avançait plus vers lui...soupira à cette idée. Le cris d'une mouette la sorti de sa torpeur et elle tourna le dos et descendit la dune, puis l'autre jusqu'à se retrouver sur le chemin menant aux pieds de la citée.
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Edwina

Parfois la vie est rude mais aussi elle apporte des joies immense

ca c'est bien vrai elle parfois rude, et il est difficile parfois de se relever sans blessures

mais en prenant du recul et en voyant ce qu'elle peut nous apporter de bon et de beau
on peut se dire que le chemin du bonheur est peut etre semé d'embuches mais qu'il mérite qu'on s'y aventure

le tout est d'y etre bien accompagné, avec quelqu'un qui sait apaiser un coeur meurtri

regarde oz et lui sourit

puis sidozel fixe l'ocean et se dit qu'elle passe un moment bien agréable, comme tous ceux en sa compagnie

Aodrenell_ker_laouen

Un sentiment de déjà vu.
Vala ce qu’elle ressent là, assise sur la dune qui surplombe la grande plage de Blaye.

Oh la mer elle y avait déjà foutu les pieds plus d’une fois… la Normandie, la rochelle et tant d’autres, mais là, elle n’arrive pas à comprendre pourquoi, elle a l’impression d’y être déjà venue.

Houppelande sur le dos, col remonté jusque sur les oreilles, mèches qui volètent emportées par la brise légère de ce soir d’hiver, elle écoute le sac et le ressac des vagues qui viennent s’échouer sur le sable.

Un discret sourire s’étire au coin de ses lèvres quand elle repense à ces « retrouvailles » avec Kro et Diia. Bridgess aussi retrouvée à bordeaux, et ici ce soir à Blaye. Les petits bonheurs accumulés font les grands qui vous portent jusqu’aux prochaines échéances difficiles.
L’affection qu’elle leur porte est particulière. Comme… bah c’est très personnel mais… comme frère et sœurs, ceux qu’elle n’a jamais eu finalement. Quand on dit « loin des yeux loin du cœur » bah c’est pas toujours vrai.

Là, l’océan devant elle, ça la rend nostalgique, elle sait même pas pourquoi.
Peut être qu’elle aurait dû choisir Blaye plutôt que Saumur comme point d’ancrage pour un semblant de vie.
Trop tard, on fait parfois des choix sans savoir pourquoi.
C’est à Saumur que se trouvent sa vie, son échoppe.
Mais elle sait, là, alors que le vent salé s’engouffre dans ses narines, qu’elle reviendra.

Le baron qu’elle a enfin réussi à retrouver dort déjà sur la jument un peu plus loin.
Va falloir reprendre la route.
Pas envie.

Le calme d’ici, la simplicité des gens, les rencontres fortuites mais qui réchauffent le cœur.
Ouais, faudra qu’elle revienne, pour se poser un peu. Elle en a trop enduré ces derniers mois. Se cacher derrière un semblant de force naturelle, ça va un temps. Mais il arrive un moment où l’animal doit savoir se poser pour récupérer et panser ses blessures.

Un concours de coups de poings dans la trogne en arrivant en Anjou. Et puis après, reprendre un peu la route, et revenir ici. Ouais, elle le sent bien comme ça son programme pour les semaines à venir.

D’un mouvement lent elle se lève sur ses jambes, époussette sa houppe et s’approche de l’océan, qui doucement vient mourir à présent à la pointe de ses bottes.
La nuit est calme, froide, l’océan est pareil.
D’une main qu’elle plonge dans l’onde elle apporte à sa bouche un peu de cette eau qui laissera sur ses lèvres pendant quelques heures un gout de reviens-y.

Un peut triste la Natt ce soir.
Elle qui pensait ne faire à Blaye qu’un bref passage pour saluer ses connaissances, se retrouve comme les pieds agrippés au sable et sans envie d’en repartir.
Si Aristote veille, alors il lui permettra de revenir.
Elle a un baptême à préparer.

De retour sur la dune, elle arrache quelques herbes maritimes qu’elle glisse dans sa poche.
Un peu de Blaye avec elle… c’est mieux que pas de Blaye du tout.

Edwina

decidemment elle prenait gout a cette ballade sur la plage

sidozel reparti vers l'océan, celui qui savait tout et ne disait rien

elle enleva ses bottes, ses bas et foula le sable lentement
elle s'assit en tailleur et regarda l'eau en souriant

"que j'aime ce mouvement de l'eau , on dirait une femme qui danse"

elle pris une poignée de sable dans sa main et le fis glisser le long de ses doigts

elle avait envie d'ecrire, ce moment de plénitude seule face a l'océan l'inspirait

elle prit un papier et une plume et se mit a écrire
apres avoir fini elle se dit qu'elle enverrait un pigeon pour faire lire ces quelques mots

elle rangea sa plume et rejoua avec le sable, qui glissait de ses doigts au gré du vent

Oz66

Plongé dans ses livres oz releva la tete il aimé venir ici au calme du bruits des vages pour apprendre c étè d un calme absolue
Au moment de partir il apercu unesihouette qui n etais pas inconue
Il s apporcha et au fur et a mesure il reconut sodozel

tiens on se retrouve puis je m assoir a vos cotés ?
_________________

Edwina

sidozel perdue dans ses pensées entendit

tiens on se retrouve puis je m assoir a vos cotés ?

elle releva la tete et vit oz
elle lui souria et lui dit

" avec grand plaisir oz, on regardera l'immensité de l'ocean ensemble^^tout en discutant"
tu as beaucoup de choses a étudier on dirait, une petite pause te sera bien profitable
et tu sais a quel point j'apprecie ta compagnie"

elle lui sourit et repris une poignée de sable le laissant filer entre ses doigts

c'est interessant ce que tu étudie ?

Oz66

oz sourrit a sid son regard reposee tut autant que l ocean et son sourirre rapelle le mouvement des vague

oui c est long j etudie pour l etat

Oz regarde sid jouer avec le sable

parle moi de toi un peu
_________________

Edwina

parle moi de toi un peu

elle regarda oz et haussa les épaules en souriant

oh tu sais c'est une longue histoire
mais si un jour tu as le temps je veux bien te raconter ma vie sur les routes^^

mais la face a l'ocean je suis bien, je me sens plus apaisée
et puis discuter avec est agréable devant cette belle immensité

et toi tu me parles un peu de toi aussi ???

Oz66

et toi tu me parles un peu de toi aussi ???

de moi ? et bien je suis originaire de blaye je suis arrivé ici apres une histoire rude ou j ai oublie une partie de ma memoire

soupire

et le destin ma conduis ici a blaye j adore ma ville elle a eut des haut et des bas tu sais pas toujours facile de vivre ici

fixe l ocean
Parfois la vie est rude mais aussi elle apporte des joies immense

tourne la tete et sourit
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Edwina

aujourdhui devait etre le jour de son départ
perdue dans ses pensées sidozel de dit que le meilleur moyen de s'y retrouver dans tous ca étais d'aller a la plage, l'immensité de l'océan l'aiderait peut etre

elle retira ses bottes et marcha dans le sable jusqu'a atteindre l'eau
l'eau glacée la fit frémire
elle repensa a sa conversation avec fleur ce matin
toutes les bribes de la conversation revenaient sans cesse la hanter

comment réussir a oublier sans partir, comment oublier que c'est ici que je l'ai aimé
comment repartir sans souffrir

sidozel s'assit sur le sable et enserra ses genoux dans ses bras
le regard perdu a l'horizon, regardant l'eau onduler doucement au gré du vent
si seulement ce qui habite mon coeur était aussi calme se dit elle

elle poussa un long soupir
comment savoir la bonne decision aprendre

elle se leva repris ses bottes et se dirigea lentement vers le village, tete baissée
toujours aussi songeuse

Kronembourg

Les deux silhouettes avançaient, enchevêtrées, mêlées l'une à l'autre sur la plage que tous les deux aimaient tant.
Elle, la plus belle femme du monde, se livrant avec la plus grande confiance aux bras robustes de son homme et lui, noyant son regard dans le sien, y découvrant des merveilles, heureux de la retrouver enfin près de lui, dans cette intimité charnelle qui lui manquait tant.

Diia n'avait jamais été plus attirante. La redécouvrir si joyeuse après tant de larmes versées dans leurs vies transcendait le barbu bourru. Comme une renaissance après la mort. Et même si Diia soudainement s'était mise à chanter

, Kro ne songeait qu'à saisir là l'immense bonheur qu'elle lui donnait en recouvrant la plage du son si spécifique de sa voix.

-Pose moi mon amour, marchons un peu, tu veux ? J’ai des fourmis dans les pieds !

Kro la déposa délicatement sur le sable, juste à ses côtés. Il marchèrent main dans la main le long de la plage, lui, prenant soin d'elle et s'assurant que ses pas restaient fermes et réguliers, et elle, chantonnant toujours, les yeux rivés vers ce magnifique grand bleu qui s'offrait à eux.
Kro fut soudain pris d'une envie de rire.
Cet air qu'elle fredonnait, cette joie retrouvée, cette solitude rien qu'à eux, le barbu fut soudain pris d'un fou-rire qui s'éteignit après de longues, longues minutes durant lesquelles son coeur retrouvait peu à peu le goût à la vie.
Il s'approcha de sa femme, pour l'embrasser. L'embrasser comme pour la première fois, avec une tendresse et une chaleur que seul le grand amour peut aviver et raviver maintes fois entre deux êtres. Lorsqu'il reprit son souffle, ayant envie de rire encore, Kro lui murmura doucement au creux de l'oreille :

Rentrons chez nous mon amour. Je vais t'emmener dans un endroit où nous vivrons plus heureux encore.

Il lui proposa son bras pour la porter encore, les deux silhouettes s'éloignèrent en direction du village.
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Elane.

Un autre sourire, de sympathie.
Moi, j'essaye de trouver du travail, à la mine, le plus souvent et puis je viens au bord de la mer.

Je passerai un de ces soirs en taverne. Promis.
La jeune femme laissa son regard s'en aller au gré des vagues. La nuit s'intensifiait, la brise se rafraîchissait.

Aysun

Du haut de son perchoir, elle profitait royalement de la vue plongeante sur la ville. L’étreinte réconfortante et si délicate de son prince, la berçait au rythme de ses pas.
La tête posée sur son épaule se faisant légère, elle savourait cette délicieuse promenade.
Chantonnant joyeusement entre deux baisers tout en battant la mesure sur la tignasse de Kro cet air

Elle se sentait soudainement euphorique plus ils approchaient cahin-caha de la plage. Un peu comme ce naufragé apercevant un bout de terre dans l’immensité bleue. L’air salé de l’océan remplissait par rafales leurs poumons mélangeant cheveux de sel et de sable. Kro ne semblait pas forcer malgré cette si longue marche, elle regardait de temps en temps son visage plissant les yeux sous la lumière.

Tout en balançant ses jambes dans le vide, une question s’incrusta malignement.
*Qu’allaient ils vivrent à présent ? Plus de pleurs, plus de malheur.*

Le souffle court Kro s’arrêta soudain, ils étaient arrivés. Diia vit dans les iris turquoise de son époux, danser des lianes blanches et argent. L’écume se reflétait livrant ce qui demeure caché dans le plumage de leur cœurs parce que la mer et le rivage demeurent éternels.
Le son mélodieux des vagues les bercent en ces paroles.

Ecoute moi !
Je suis la mer infinie.
Tous les mondes ne sont que des grains de sable sur mon rivage.
Vos rêves se fondent dans l’empreinte de mon lit.
Ma robe sonde les profondeurs marines et célestes,
Sous le fier azur, mes diamants translucides hôtes langoureux telle la méduse des grands fonds.
Pour vous j’enfile des perles d’or,
Venez dans mes bras recevoir la bise d'une mère.

-Pose moi mon amour, marchons un peu, tu veux ? J’ai des fourmis dans les pieds !
Il la posa délicatement sur le sable, retenant sa chute comme un enfant faisant ses premiers pas. Irrépressiblement sa main se glissa dans la sienne.
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Aysun de la Duranxie, Duchesse d'Ornon, dicte Aradiia

Elane.

Louizon sourit à Striife, tout en l'écoutant.
D'accord, je ferai ça, j'irai lui demander si je la croise ou alors, je lui écrirai.

Il faisait calme sur la plage, juste le bruit des vagues.
Louizon avait envie d'entretenir la conversation mais sans déranger Striife.
Et vous, que faites-vous à Blaye, comme occupation ?

Striife

Striife regardait tranquillement l'océan tout en prêtant une oreille attentive à Louizon ...
Celle ci lui demanda ce qu'il fesait à Blaye ...

Moi ... ? Je fais pas grand chose, je suis souvent en taverne à parler et boire avec mes amis, sinon pas grand chose ... Je cultive mon champs ... Je vais souvent au verger cueillir des fruits, et puis je viens de passer meunier, donc je moudrais le blé très prochainement, sinon rien d'autres !

Et vous ? Comment vous occupez vous en ce petit village ? Je ne vous vois pas souvent en taverne,c'est dommage ...

Striife souriait à Louizon en se disant qu'une nouvelle camarade de boulasse ce serait vraiment bien

Venez donc en taverne une soirée, on se croisera peut être et on pourra boire un verre !

Elane.

Louizon s'assit aux côtés de Striife, en lui souriant.

Oui, la mer est très belle...je ne l'avais encore jamais vue. Je trouve ça superbe.

Striife lui parla de la mine et après avoir regardé ses pauvres mains meurtries, Louizon, toujours souriante, répondit.
Hum, la mine, c'est dur, oui. Mais ça permet de manger et aussi d'économiser.
J'aimerais bien avoir des moutons et une bergerie.

Striife lui proposait de l'aide, peut-être saurait-il, lui.
Justement, est-ce que par hasard, vous pourriez me conseiller, à propos des moutons ? Jusque là, je n'ai trouvé personne pour me renseigner. Il paraît que ce n'est pas de tout repos, mais j'aime bien ces petites bestioles-là.

Louizon était de bonne humeur, elle trouvait la vie à Blaye, plutôt agréable et le petit éclat qu'elle crut voir dans le regard de Striife la contraria. Pourtant, elle ne se sentait pas en droit de le questionner sur ce qu'il avait en tête. Après tout, ils ne se connaissaient qu'à peine et la jeune femme craignait qu'il ne la trouve trop curieuse ou impolie. Aussi se contenta-t-elle de le fixer, avec le plus de gentillesse possible, attendant qu'il réponde ou pas à sa demande.

Striife

Justement, est-ce que par hasard, vous pourriez me conseiller, à propos des moutons ? Jusque là, je n'ai trouvé personne pour me renseigner. Il paraît que ce n'est pas de tout repos, mais j'aime bien ces petites bestioles-là.

Striife se mit à chercher des informations sur les bêtes là, mais il ne savait rien du tout ... Il se souvint alors que Dzerva elle en élevait.
Striife lui répondit après ce petit moment de réflexion.

Euh, moi personnellement j'y connais rien, mais j'ai une très bonne amie du nom de Dzerva qui s'y connait, je vous conseille d'aller lui parler, elle se fera un plaisir de vous aider d'ailleurs !

Elane.

Quittant la mine, fatiguée, sale et le ventre creux, Louizon fit un détour.
Elle n'était jamais venue au bord de la mer. Pourtant, elle en rêvait souvent de cette étendue infinie qui emportait les bateaux bien loin.
Et ce jour-là, ce soir-là, elle y vint.

Le sable sous ses pas lui parut d'abord effrayant. Sentir une surface souple, le pied s'enfoncer légèrement, tout cela elle ne connaissait pas.
Mais au fur et à mesure qu'elle avançait, son pas s'assurait.

Après qu'elle eut marché un peu, elle aperçut une silhouette, là-bas, une personne assise sans doute le regard perdu vers la mer.

Elle hésita d'abord mais se décida à avancer.
Evidemment, le sable assourdissait ses pas et l'homme ne l'entendit pas.
Craignant de déranger, la jeune femme interpela le messire qu'elle reconnut pour l'avoir croisé à la taverne quelques jours auparavant.
Bonsoir.
Je suis Louizon, nous nous sommes rencontrés, l'autre jour, à la taverne.
Je peux m'asseoir ?

Striife

Striife était toujours perdus dans ses pensées quand il entendit une voix quelque peu familière l'apostropher.Il sursauta d'ailleurs quand il l'entendis, un peu surpris de voir du monde à cette heure ci.

Je suis Louizon, nous nous sommes rencontrés, l'autre jour, à la taverne.
Je peux m'asseoir ?

Striife la regarda plus intensément, la pénombre qui tombait petit à petit masquait ses traits et rendait la tâche difficile, mais il la reconnu plutôt rapidement.

Ah oui Louizon, je me souviens !
Et bien sûr que vous pouvez vous asseoir ...
C'est beau la mer hein ...

Striife se détourna de la contemplation de la mer et l'observa et remarqua qu'elle avait le visage noir ...Il en déduis qu'elle était allé à la mine, travail fréquent chez les nouveaux venus .

Vous allez bien Louizon ?
Pas trop dur la ...la Mine non ? Si vous avez besoin de conseils ou même si vous avez des soucis pour vous nourrir, n'hésitez pas à me le dire, je serais là pour vous aider ...

Striife lui donna un sourire qu'il voulait rassurant et bienveillant, en essayant du mieux qu'il pouvait de cacher cette petite lueur de tristesse que ses amis avaient déceler ...

Striife

Striife marchait aux côtés de la belle quand tout à coup, la voila qui partait en courant en lui hurlant de la rattraper !
Son jolis rire cristallin résonnait dans sa tête tandis qu'il s'élancait à sa poursuite en riant avec elle .
Il courait gaiement avec elle, quand elle s'arrêta enfin, fit volte face ... Striife se jeta sur elle mais la bougre fit un pas sur le côté, puis le voyant le nez dans le sable elle se paya sa poire !

Roooh non Sieb !

Il riait en se disant qu'elle s'était vengé bien rapidement.

Fleurdecactus

Fleur n'avait pas le moral en cet après-midi et ses pas l'amenèrent sue cette plage déserte a cette heure.Elle s'assit sur le sable et regarda la mer et pensa a la réaction de son amour ,ne comprenait pas .Elle était de plus attirée par cette immensité ,caressa son ventre ou deux petits êtres grandissaient puis cria de toute ses forces

WATTO JE T'AIME

Mit la tête sur ses genoux et sanglota
_________________

Striife

Striife arriva à la plage complétement déboussolé ...
Il s'affala dans le sable et ramena ses jambes contre lui, en contemplant l'écume des vagues qui venait lui chatouiller les pieds ...
Il tourna alors son regard vers le promontoire et l'observa longuement ... Ce fameux promontoire auquel il pensait si souvent ...
Et qui devenait un peu plus chaque jour un symbole de libération ...
Une libération qu'il appréhendait néanmoins, il avait peur de l'Après, et surtout avait envie de revoir ses amis ...
Mais il se sentait vide de l'essence de la vie qui l'habitait autrefois, tout avait perdus sa saveur, il ne trouvait goût en rien ...
Il avait perdus l'envie de vivre, tout simplement.
Tout sa car il prenait les mauvais choix, tout le temps ...
Et pour ajouter encore à sa peine, il s'était brouillé à l'instant avec une amie chère à ses yeux ...
Il resta assis là un long moment, à contempler ce promontoire en pesant le pour et le contre ...
Ce promontoire qui allait peut être fixé son destin.

Bellisa

- Désolé, désolé .. humf ! Je te crois à moitié hein ? J'ai l'air de quoi maintenant moi ? Pffff..

Mais voilà qu'il lui prenait la main sans attendre et l'entraînait au bord du rivage tout en marchant gaiement.

Elle le chercha du regard dans la nuit et ne vit qu'un instant son sourire si charmeur qu'elle lui aimait tant.

- Et maintenant, que faisons nous Striife ? Où m'emmènes tu ? Cela faisait longtemps que je n'étais pas venue me promener sur la plage la nuit.. comme c'est beau, comme c'est calme..... RATTRAPPE MOIIIIIII !!!!!!

Sur ces mots et le surprenant encore, elle s'arracha de sa main en riant pour s'élancer en courant, tenant son jupon d'une main.

Bellisa

Elle se retrouva ceinturée par deux bras puissants puis sentit ensuite un corps lourd peser sur elle... Striife !!

Enfin debout grâce à son aide elle put comprendre ce qui s'était passé : Striife l'avait prise pour un malandrin voulant le racketter et il s'était mis en position de défense automatiquement..
Ainsi donc, pendant qu'il s'excusait, Bellisa pestait tout en tapotant son jupon et sa chemise où le sable s'était engouffré avec joie. Mais voici qu'un grand éclat de rire envahissait les oreilles de la jeune femme qui regarda l'ombre de son ami avec colère.

- Est ce donc moi qui te fait rire autant ? Rhooo.. chenapan ! Vaurien ! Comment as tu osé me... ceinturer ainsi ?? Et regarde moi.. je ne ressemble plus à rien maintenant.. rhoooo.. grmldf... grognait elle encore en secouant ses cheveux énergiquement.

Striife

Striife était la à rire et regarder sa Sieb pester contre lui. Il constata les désastres qu'il avait fait sur sa pauvre Sieb. Il l'épousseta rapidement et recracha le sable qu'il avait dans la bouche puis lui dit:

Oh non, ma pauvre Sieb... je suis vraiment désolé, tu m'avais parlé de personnes louches trainant ici le soir ... J'ai cru que c'était l'une d'elles ! Rolala ... Excuse moi ma belle, l'instinct hein ...
Et puis ... Tu m'as fait manger du sable hein, faut pas l'oublier ce petit détail !

Il avait pas jeter cette phrase sans arrières pensées, le Striife, il voulait pas de représailles de la terrible Sieb !
Il prit rapidement la main de Sieb pour ne pas lui laisser le temps de ronchonner ou même de se venger, et l'entraîna avec lui d'un pas léger vers le rivage, le sourire aux lèvres.

Bellisa

Bellisa courait presque dans les rues de Blaye pour retrouver Striife. Ce dernier était à la plage, elle le savait. Ils devaient s'y promener ensemble, ils attendaient ce moment depuis longtemps. Ils se voyaient à peine et en souffraient tous deux. Leur amitié s'était renforcée pendant l'absence de Bellisa, et ils s'étaient retrouvés comme avant. Mais le travail de Striife lui prenait tout son temps hélas. Et ils ne se retrouvaient que rarement en taverne.
Mais ce soir, il serait là. Elle courait toujours à perdre haleine, croisant des personnes qui se demandaient sûrement où elle allait ainsi, mais son souffle lui manquait ces derniers temps. Aussi elle freina sa course à l'approche de la plage. L'iode.. le vent frais.. Elle y était enfin. Bellisa foula le sable avec joie et marcha jusqu'au rivage où elle marcha jusqu'à retrouver son ami. La lune étant fardée de nuages ce soir, elle ne voyait grand chose et c'est seulement lorsqu'elle buta contre quelque chose qu'elle comprit qu'elle l'avait trouvé..

.. elle, le nez dans le sable, lui allongé sous elle, effrayé..

- Oh Striife ! Pardonne moi... je ne t'ai pas vu, c'est moi, Sieb...

Striife

Striife était dans ses pensées, encore ...Toujours ...
Il était donc dans ses souvenirs, quand soudain ...

BAOUM !

Il reçut un violent coup dans les reins, il se rétracta tout entier sous la violence du coup en mangeant copieusement le sable.

Mais qu'est ce qu'il se passait donc ??

Il sentait un poids sur lui, il referma les bras sur son ravisseur et roula de côté de façon à se placer au dessus de lui pour le dominer, il était prêt à se venger quand soudain ...Il reconnut Sieb qui s'excusait !

Oh mince ! Sieb je ...suis terriblement désolé ! J'ai cru qu'on m'attaquait pour me racquetter, rolala ...

Il aida Sieb à se relever tout en continuant à s'excuser copieusement, puis il partit dans un rire nerveux ...

Striife

Striife était perdus dans ses pensées cette soirée.
Il lui avait promis d'aller à la plage, et qui sait ? De la retrouver peut être même ! Alors il était la, à marcher tranquillement au bord de la plage ...
Il décida de s'arrêter, il se coucha et admira les étoiles...
Tout le temps, chaque fois qu'il les regardait, il ne pouvait s'empêcher de penser à elle ... Son visage se dessinait à coup sûr dès qu'il les regardait, qu'il imaginait une soirée étoilé même ... Le souvenir de cette soirée étoilée en sa compagnie faisait tout le temps naître un sourire sur ses lèvres ...
C'est en se remémorant tout les bons moments passées en sa compagnie qu'il l'attendit, allongé sur le sable fin.
Et si elle ne venait pas ... Dormir ici le changerait du verger au moins .

Cybella

Après le grand ménage dans le club et un peu de lecture Cybella eu une envie irrésistible d'aller voir son ami l'océan. Laissant Harmonye au passage à la garderie au bon soin de Sid qui se débrouillait très bien, elle partit en direction du chemin des dunes. L'air était plus frais mais le soleil éclatant de cette matinée donnait envie de sortir et faire plein de choses de sa journée. Elle enleva ses chausses et gravit les dunes une par une, s'enfonçant dans les sable frais et fuyant. Elle ne pensait à rien de particulier juste se concentrant sur ses pas. L'océan l'appelait dans un murmure...

j'arrive!j'arrive!! disait elle tout bas

tu sais bien qu'il faut te mériter pour te voir!!

dit elle en arrivant en haut de la dernière dune. La brise marine lui caressait le visage, faisant voler ses cheveux dans tout les sens.

Elle respira de bonnes pouffées d'air iodé, tenant son chale pour ne pas qu'il s'envole, puis descendit la dune rapidement pour arriver au plus près de l'eau. Les vaguelettes toutes pleines d'écumes venanient lui lécher les pieds et lui glacer aussi. L'eau froide lui mordait les pieds, lui piquait la peau, elle ne resta pas longtemps comme ça et préfera longer la rive un long moment, seule comme toujours... elle se souvint de la promenade avec Météo et sourit. Son ami devait être encore sur les routes, elle n'avait pas eu de nouvelles, les sont peu enclin a donner de leur nouvelles, elle le savait et ne s'en inquietait plus... l'habitude sans doute....remettant son chale sur ses épaules elle fit demi-tour et repartir vers la ville. La promenade ne pouvait hélas pas durer toute la journée, le travail n'attent pas et elle rentra d'un pas plus rapide cette fois.
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Cybella

Cybella s'était assise entre deux dunes pour être à l'abris de la brise marine et regardait l'océan. Soratnt de ses pensées, elle vit son amie bridg, mais ne bougea pas, ne sachant ce qu'elle faisait içi.

Hum, si elle s'approche de l'eau je la rejoind, elle voudra peut être commencer un cours???

mais non son amie, observait la masse d'eau argentée, mais ne s'en approcha pas plus. Elle la vit repartir, elle était trop loin pour voir l'expression de son visage, mais ce dit que l'océan décidement n'attire pas que ceux qui aiment la baignade.

arf!! c'est pas tout ça Cyb, mais le boulot va pas se faire toute seule!!!

elle tenta de se lever, mais chose bien difficile avec son gros ventre. Elle essaya plusieurs manières, plusieurs approche et riait toute seule

décidement il faut que je pense à ne plus m'assoir comme ça toute seule, sinon je reste içi jusqu'à ce que quelqu'un vienne.

Mais la pente de la dune aidant, elle y arriva enfin.

Ouf!!! ayé, ben me voila sur mes deux jambes!!

souri et parti en direction du village.
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Bellatrix_lestrange

Bella revint sur la plage, qu'elle avait arpenter quelques jours plus tôt.Ils étaient fixés quant au sort du frère de Choub,il avait tellement esperer et finalement ce fut que déception .
Debout devant l'océan Bella songeait à Choub...Où était-il?
Puis sans vraiment en être conciente elle avança dans l'eau glaciale ,le froid la saisie , lui faisant mal comme une lame qui vous transperce le corps,elle resta ainsi quelques instants plongée jusqu'au cou ,les vagues vinrent s'écrasées sur son visage et la repoussa sur la plage ,le vent marin lui glaçant les os.elle revient sur le rivage , toussant ,grelottant et resta la les jambes collés sur sa poitrine entourés de ses bras et la tête sur ses genoux.

Jean_choubard

Choub avait été séparé de Bella depuis quelques jours suite à des tracasseries de l'administration et à la fermeture des frontières mais il avait enfin réussi à atteindre Blaye. IL espérait que Bella l'y attendre.

Il ne savait pas trop où chercher puis il se rappelan qu'elle aimait l'océan.

Il s'approcha du rivage et vit une silhouette recroquevillée sur elle-même. Oui c'était elle.

Choubard courut et cria:

BELLA! C'EST MOI? CHOUB! JE SUIS REVENU!

Cybella

Cybella emmena pour la première fois sa fille voir l'océan. Il faisait beau, le soleil était déja haut dans le ciel, c'était le bon moment pour une belle ballade entre mère et fille. Sortant du village et de la sécurité des remparts, prenant le chemin des dunes et les escalada non sans difficulté avec Harmonye bien câlée dans son écharpe. Et les voici devant l'étendue d'eau...

respirant à plein poumons l'air iodé. Cybella sorti ses chaussures pour sentir le sable fin sur ses pieds, puis redescendit la dune en direction de l'océan. Chacun de ses pas restaient marqué dans le sable. Arrivée près de l'eau elle sorti délicatement Harmonye pour qu'elle profite du spectacle et lui faire tremper un peu ses petits pieds dans l'eau salée. Mais ne le fit pas longtemps l'eau était bien froide maintenant et harmonye n'apprécia pas le bain de pieds forcé.

allons ma puce ce n'est rien, juste pour que tu sentes l'eau de l'océan sur tes petits pieds, aller t'inquiette pas je t'emmènerais aux thermes l'eau y est bien chaudes!!

lui fit un gros bisou et un câlin, et marcha avec sa puce le long de la grève.
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Meteorite

De ville en ville, il appréciait découvrir les bienfaits de certains paysages, des cultures différentes, et surtout de pouvoir lier de nouvelles amitiés...

A son arrivée, il avait ressenti comme une bouffée d'oxygène, mais il savait que la mer était toute proche et que le décor n'avait rien à voir avec le Béarn...

Il venait de rencontrer Cybel en taverne, une amie de longue date qu'il avait connu à Saumur. Elle lui avait conseillé de venir s'enivrer de cet air venu du large...l'air marin!

Il s'empressa de s'y rendre, et arrivé sur le bord de la plage il reconnu son amie avec un enfant..sûrement le sien.

Se rapprochant d'eux...

Coucou Cybel! dis-moi...serais-tu la mère de cette charmante petite fille?
Elle est très belle!

Comme tu vois, je n'ai pu m'empêcher de venir car j'aurai certainement regretté de n'avoir gouté ne serait-ce qu'un instant à cet espace de liberté, et je me sent si bien ici...

Cybella

cybella vit arriver une silhoute qu'elle connaissait bien

Citation:

Coucou Cybel! dis-moi...serais-tu la mère de cette charmante petite fille?
Elle est très belle!

Comme tu vois, je n'ai pu m'empêcher de venir car j'aurai certainement regretté de n'avoir gouté ne serait-ce qu'un instant à cet espace de liberté, et je me sent si bien ici...

j'en suis heureuse meteo, oui c'est bien ma fille!! faisons une balade ensemble,tu veux bien? tu me parleras de tes voyages et des rencontres que tu as faites, c'est tellement enrichissant à chaque fois!!

ils marchèrent le long de l'eau, discutant, riant... cybella s'arrêtant pour le regarder raconter ses aventures. Meteo faisait des gestes avec ses mains et des mouvement de bras, elle s'y croyait....sourit tout en câlinant sa petite puce qui écoutait aussi attentivement. ils marchèrent longtemps, rebroussant chemin au bout d'un certain temps. puis ils s'assirent sur le sable, face aux vagues est restèrent silencieux comme pour encore plus apprécier ce chant mélodieux. cybella ne s'en lassé pas, quelques mouettes criaient transperçant le silence.
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Meteorite

Tout en marchant, il essayait de résumer ses périples et fantaisies rencontrés tout au long de ses voyages..il en riait en parlant même si parfois des événements ne méritaient pas d'être comtés et dont il se serait bien passé...

L'envie de lui expliquer la raison de son passage à Blaye le démangeait, mais...

Il savait que cet instant partagé avec son amie n'était que de courte durée car il devait reprendre la route le soir même, et il préférait gouter à ces instants précieux sans trop réfléchir.

Après un long moment de marche, Cybel prit l'initiative de s'asseoir avec sa fille..il se positionna juste à côté d'eux le regard tourné vers le large...

Se tournant vers son amie....

C'est si calme et si magnifique que je resterai ici des heures et des heures!

Le visage s' assombrit lorsque..

Malheureusement je dois reprendre la route et le temps m'est compté!

Une pensée le fit sourire un peu....

Quoiqu'il en soit, je repasserai systématiquement ici à mon retour et je te promets de rester beaucoup plus longtemps

Je ne t'ai pas laissé trop le temps de me parler de toi avec tous mes bavardages

, et j'espère que tu pourras me raconter ce parcours depuis Saumur!

Il avait du mal à quitter cet endroit et surtout son amie, mais enfin décidé, il se leva et glissa un baiser sur la joue de Cybel ainsi que sur le petit front de la petite...

D'un regard attristé...

Cybel! je t'enverrai l'un de mes meilleurs pigeons afin de te prévenir de mon arrivée..mais en attendant prends soin de toi et de ta fille!

Sur ces mots, il se dirigea vers le village afin de reprendre ses affaires et de poursuivre son voyage....

Cybella

Citation:

C'est si calme et si magnifique que je resterai ici des heures et des heures!

oui c'est ce que je fais souvent, j'iame tellement cet endroit!!

Citation:

Malheureusement je dois reprendre la route et le temps m'est compté!

le regarde tristement

je comprend

Citation:

Quoiqu'il en soit, je repasserai systématiquement ici à mon retour et je te promets de rester beaucoup plus longtemps
Je ne t'ai pas laissé trop le temps de me parler de toi avec tous mes bavardages , et j'espère que tu pourras me raconter ce parcours depuis Saumur!

oui! promis on aura d'autres discutions, et de longues heures de promenade içi

il fit une bise à cybella et aussi sur le front d'Harmonye

Citation:

Cybel! je t'enverrai l'un de mes meilleurs pigeons afin de te prévenir de mon arrivée..mais en attendant prends soin de toi et de ta fille!

Elle le vit s'éloigner à contre coeur, espérant le revoir prochainement et beaucoup moins triste...

aurevoir mon ami, soit prudent

murmura t-elle

elle resta encore un petit moment encore berçant sa petite sirène dans ses bras, lui chantonnant des berceuses, puis à son tour reprit le chemin de la citadelle.
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Bridgess

Elle hésitait toujours à la pensée de se promener sur la plage.
Son incompréhension, des aller retour de toute cette eau, la voir partir très loin à l’horizon, voir tous ses petits animaux frétiller cherchant à se cacher du soleil en tentant de gagner les trous d’eau qui leurs seraient salutaires pour ne pas dire vitales, et ces autres animaux qui ressemblaient à des araignées de mer.
Bon on lui a dit des petits crabes ou quelque chose comme ça ^^ mais, ahh elle en frémissait seulement cette idée de marcher sur une de ses bestioles et oui, oui, elle en était certaine cela se pouvait tout à fait d’ailleurs elle les voyait bien courir après les vagues qui se retiraient les malheureux qui n’avait pas suivit le mouvement de la marée.

Et hop un qui saute dans un petit trou boueux attendant le retour de l’eau salé.
Puis elle se souvient que Cybella venait s’y baigner,
Bridg eue une pensée pour Cyb

*Quel courage avec ces poissons qui doivent lui tournée autour à la forme les plus bizarres les uns que les autres. Certain allongés d’autres rond comme …comme rond ^^*

Ah non ce n’est pas ici qu’elle viendrait se baigner, ou elle serait vraiment convaincue que cette eau ne l’entraînerait pas.
D’ailleurs c’était bien pour cette raison qu’elle ne s’y approchait pas, puis le souvenir de la seule fois ou le courage de s’en approcher très près lui revint.
Elle en eue un autre pincement au cœur,
Bridg décida quelle devait vaincre ces idées si les villageois venaient s’y baigner pourquoi elle resterait qu’à les regarder de loin.

Elle se rendit donc sur la plage, la température douce aidant dans sa décision, elle longea les dunes, tentait de se convaincre que tout se passait bien, glissant ses pas sur le sable fin lorsqu’elle sentie les grains passer les coutures.
Elle se murmura.

-aff le sable fin dans les chausses tiens j’aurais dû les enlever avant moi pfff, et ça entre partout ce sable.

Bridg s’assit enleva ses chausses et les tourna pour en vider les grains, elle prit le temps de regarder cet eau, son mouvement incessant, perpétuel, écouta le son que la mer émettait, finalement la vue au loin de la ligne d’horizon sans fin. Tout était majestueux comment ne s’en était elle pas rendu compte auparavant. Elle s’exclama d’un souffle.

-Quelle beauté tout ca.
Elle continua sa marche nue pied un bon moment aimant le sentiment de détente qu’elle y découvrit.
Le temps filait vite le soleil descendait, et colorait le bout de le ciel, le temps était venue de retourner chez elle,
Bridg repris le chemin de sa maisonnette le cœur serin.
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Cybella

l'eau est salé Van c'est normal et plus il y a de sel et plus l'eau est profonde, plus ton corps flottera.

Citation:

bon maitenant que je suis trempe de partout on va peut etre pouvoir travailler les mouvement qu'en pense tu maitresse!!

Bon Ok, c'est parti je te sent bien plus détendu c'est vrai!!

Citation:

en fait c'est tres agreable comme sensation

c'est vrai, tu vas voir après tu pourras plus t'en passer

Bon alors regarde moi faire les mouvement et ensuite tu fais pareil

cybella se plongea dans l'eau et commença des mouvement lent pour bien qu'il retienne, ensuite reviesn vers lui. lui montre avec ses bras les mouvement de la brasse.

Voila comme ça avec des mouvements amples et lents.
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Vanhelsim

Van regardait cyb nager et il se disait

bon allez ca doit pas etre si difficile que ca

Van commenca par s'allonger dans l'eau et mis ses bras en avant, tout en s'efforcant de garder la tete hors de l'eau , malgre tout ses efforts il n'avancait pas d'un pouce

euh Cyb je crois que j'ai un probleme je n'avance pas

Cybella

Citation:

euh Cyb je crois que j'ai un probleme je n'avance pas

cybella sourit,

normal Van, tu dois pousser avec tes jambes aussi et le plat de la main.

s'approche de lui et lui place comme il faut, le soutient sous le ventre avec une main et l'aide à ne pas couler.

Il y a un leger courrant, mais il te pousse pas vers le large donc aucun risque pour toi. Allez concentre toi sur tes mouvements, oui comme ça c'est bien, oui voila allez continue!!!

Van en bon élève s'excuté

allez fini, oui je sais déjà mais tu as fait de gros efforts , faut que tu sois en forme pour voir pigasse quans même!!!

Ils prirent leurs serviettes puis rentrèrent au village le soleil et le vent sécher leurs habits mouillés
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Pigasse

Pigasse arriva en courant mais il était trop tard pour voir son cher amour Van entrain de s'entrainer à nager.

Décidement je n'ai pas de chance aujourd'hui de voir l'homme que j'aime.

Reprennant son souffle aprés une course pour voir enfin Van, elle décida d'aller en ville.

Peux être aurais le chance de te voir enfin en ville

Elle repartie le coeur battant et le sourire aux lèvres
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Cybella

Citation:

bonjour maitresse vous allez bien !!

Bonjour Van, alors pret pour ta leçon??

On va s'asseoir dans l'eau...

le prend par la main et lui montre où s'asseoir.

maintenant laisse toi un peu balloter par les vaguelettes et regarde l'horizon. Observe bien!!

le laisse un peu regarder et comprendre ce qu'elle lui dit... pendant ce temps elle observe son taux de nervosité, elle ne veut pas le brusquer.

bon maintenant on va faire comme hier mais en allant plus loin. deux ou trois pas de plus!!!

Ils marchent le long du rivage, l'eau jusqu'aux cuisses quand d'un coup Van trébuche et se retrouve plongé dans l'eau le corps en avant.

Cybella se précipite pour le remonter vite fait et qu'il ne boit pas trop la tasse.
Van ça Va????
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Vanhelsim

arfff c'est quoi ce sale gout la pouahhhhh , je trouvais ca fade l'eau avant je me suis trompe!!

bon maitenant que je suis trempe de partout on va peut etre pouvoir travailler les mouvement qu'en pense tu maitresse!!

Van regardait la profondeur de l'ocean et plus les vagues l'eclaboussait plus il se sentait bien , paisible ,

en fait c'est tres agreable comme sensation

Bellatrix_lestrange

Bella fini son travail aux mines très tard , lorsqu'elle en sorti la nuit était déjà tomber ,éreintée elle repensa à l'océan dont l'odeur marin empreignait chaque pierres de la ville au grand bonheur de Bella ,elle se dirigea vers la plage esperant voir Choub qu'elle n'avait pas revue depuis le matin .
Il n'était là, Bella poussa un soupire et s'approcha du bord de l'eau et s'asseya dans le sable enfouissant ses pieds dans celui ci ,les vagues venaient lècher la petite bute que Bella avait former sur ses pieds et s'éffritait petit à petit,le regard perdu vers l'horizon ,la jeune femme se délecta de ce magnifique paysage ,un peu déçue d'avoir râté le couché du soleil qu'elle aurait aimé partager avec son aimé ,les souvenir de se spectacle la fit sourire et se promit de le lui faire découvrir.

Jean_choubard

Jean Choubard savait que Bella allait finir tard à la mine et il attendit la nuit pour passer voir si elle était à l'océan. IL savait qu'elle l'y attendrait.

Apportant quelques couvertures empruntées à un habitant, il voit la silhouette de Bella, assise et attendant.

Il s'approche à pas de loup pour la surprendre.

Il la fait sursauter et l'embrasse.

Je suis là, je n'avais pas oublié. tiens, je t'apporte une couverture, il risque de faire frais cette nuit.

Cybella

Cybella attend son élève sur la plage pour se 2ème leçon. Marchant tranquillement sur la grève, pensant à ce que lui avait dit Van.

bon alors, voyons s'il arrive??

met sa main devant les yeux, se retourne vers le dunes et apperçoit une sihouette
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Vanhelsim

Van a eu beaucoup de mal a se lever ce matin , les courbatures du au cour de natation d'hier , mais il avait apprecié quand meme, c'est donc pour cela qu'il se rendait gentiment a la plage

bon esperant que l'eau ne soit pas trop froide ce coup ci

en arrivant sur les dunes il vit cyb qui regardait dans sa direction, il se depecha de descendre car il savait que cyb etait tres a cheval sur les horaires

bonjour maitresse vous allez bien !!

Cybella

Cybella continua de le faire parler et le faire marcher dans l'eau, mais sentait sa crispation et ne voulu pas insister. Mais sans lui montrer vraiment

allez scéance fini pour aujourd'hui on sort de l'eau!!!!

tu vois, c'est très bien déjà!!!

prend la route du village tout en discutant de tout et de rien pour lui changer les idées
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Cybella

Cyb vit enfin son élève arriver, pas d'un pas, pas très décidé mais il était là quand même

Citation:

c'est quand tu veux Cyb je crois que je suis pret!!

cybella sourit en entendant ça

hé bien, je suis contente d'entendre ça mon ami, on va commencer doucement, on a tout notre temps, ok??

Cybella en tenu de professeur, lui pris la main et le dirigea dans l'eau

bon on va commencer déjà par cette apréhenssion de l'eau que tu as, vien on va aller dans l'eau jusqu'aux genoux et marcher le long de la plage, tu vas sentir l'eau résister contre tes jambes et dit moi d'où te viens cette peur??
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Vanhelsim

Van prit la main de Cyb, plus il avancait sur le sable plus son ventre se serrait, il mit sa peur de cote et penetra dans l'eau

ehhh mais c'est completement gelee, ca va pas bien !! dit-il en retirant aussitot ses pieds de l'eau

Cyb lui lanca un regard qui voulait dire si tu remet pas les pieds dans l'eau tout de suite c'est moi qui t'y met!!

Ayant pese le pour et le contre, Van remit les pieds dans l'eau

tres bien j'y retourne mais c'est parce que je t'aime bien Cyb, en fait j'ai toujours eu peur de l'eau c'est plus fort que moi , je pense que c'est du au fait que lorsque mes parents m'ont abandonne avec mon frere , il nous ont laisse en bordure de mer et depuis ce jour j'ai associe la mer a quelque chose de negatif .

alors qu'il parlait Van ne se rendait pas compte qu'il avancait de plus en plus loin dans l'eau

Vanhelsim

apres avoir mis des heures a trouver des braies qui lui permettrait d'aller dans l'eau, apres avoir ecrit une petite lettre d'adieu au cas ou !!, Van se decida enfin de se diriger vers la plage, et oui Van allait apprendre a nager , Cyb avait accepter de lui donner des leçons.

arrive sur la plage , Van a eu envie de faire demi-tour mais c'etait trop tard Cyb l'avait deja vu

Ahhhh cette fois mon petit bonhomme tu n'as plus le choix , faut que tu y ailles

arrive aupres de Cyb il lui fit un grand sourire et lui dit

c'est quand tu veux Cyb je crois que je suis pret!!
en se retournant vers l'ocean Van joignit ses mains et murmura

pitie seigneur pitie

Cybella

Cybella revient quelques heures plus tard sur la plage, car s'était l'heure de la première leçon de natation pour Van. après avoir franchi les dunes elle l'attendit sur le grève.

bon j'espère qu'il n'a pas oublié???

fait les 100 pas sur le sable
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Vonneuman

Von, s'asseya près d'elle et la prit dans ses bras. Il repensait a tous ces souvenirs de leur rencontre passés sur cette plage, à regarder l'océan pendant des heures. Von lui sourit tendrement

Je ne peux m'empêcher de repenser à notre rencontre, la plage, l'océan. Ca me manquait aussi de le retrouver avec toi mon amour.

il lui déposa un doux baiser, et posa sa main sur son ventre en pensant que dans quelques temps ils seront 3 sur cette plage

Cybella

Citation:

Je ne peux m'empêcher de repenser à notre rencontre, la plage, l'océan. Ca me manquait aussi de le retrouver avec toi mon amour.

oui moi aussi!!

la main de son ange carressait son ventre, elle aussi pensait que cette petite vie allait bientôt éclore

notre enfant va avoir beaucoup de chance de vie dans un cadre aussi beau, l'océan inspire tellement de chose... un chose est sur il faudra que je lui apprenne à nager... tiens en paralant de ça j'ai deux élèves, Van et Bridg, va falloir que je m'occupe de d'eux!!!!

ils restèrent un long moment encore dans les bras l'un de l'autre, à écouter les vagues s'écraser sur le rivage, les quelques mouettes criaient au loin

mon amour faut rentrer je pense, je commence à avoir faim!!!

rit

Il l'aida à se relever et partir main dans la main en direction de leur chaumière.
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Cybella

Citation:

Bonjour mon amour....

Cybella sursauta au contact de la main sur ses cheveux et au mots de son chéri

oh!! tu m'as fait peur je ne t'ai pas entendu arriver... Bonjour mon bien aimé, contente que tu sois là.

lui fait signe de d'asseoir auprès d'elle et pose sa tête sont son épaule

l'océan me manque quand j'en suis loin... tout comme toi mon coeur!

le regarde et lui dépose un doux baiser sur ses lèvres
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Vonneuman

Von décida d'aller faire un tour vers l'océan, se doutant bien d'y trouver sa bien aimée. Il traversa les dunes quand il aperçût Cyb "gagné!" se dit il.
Il marcha sur le sable frais en cette saison, s'approcha sans faire de bruit. Arrivé à sa hauteur, il lui caressa les cheveux...

Bonjour mon amour....

Bellisa

Elle posa sa besace près d'elle, sur le sable fin et froid de la nuit, puis s'allongea délicatement pour regarder ses étoiles..
La soirée en taverne avait été bouleversante, elle ne l'oublierait jamais. Son ami était parti, sans un mot, disparaissant tel un fantôme blessé. Oui, elle l'avait blessé, elle le savait. Elle ne se le pardonnerait jamais.

L'étoile polaire brillait à sa gauche, forte et lumineuse. Antarès luisait à l'opposé, tandis que la lune, placée entre les deux, éclairait la nuit tel un lampion de noël. Bellisa se mit à sourire, malgré les larmes qui coulaient sur ses joues, intarissables. Son coeur déchiré par sa décision tardive menaçait de tomber en lambeaux.
Mais la vie n'était faite que de souffrances, de décisions douloureuses, de rencontres merveilleuses.. de séparations.

Les vagues berçèrent ses pensées lancinantes, tandis que des visages défilaient devant ses yeux, sans cesse. Si bien qu'elle s'endormit ainsi, allongée à même le sable, dans le froid de cette nuit de fin d'été...

Cybella

Cybella traversa les dunes d'un pas léger tellement heureuse de retrouver son bel océan...

ah!! enfin!!! te voila de nouveau devant moi...

laissa la brise marine lui carresser le visage et lui soulever les cheveux

descendit la dune en tenant les pans de sa robe pour aller plus vite

brrr!! l'eau est froide aujourd'hui pas de baigande domage

elle se recula et s'assie sur le sable fin et blond et se laissa bercer pas le son des vagues, comme une douce musique à ses oreilles.
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Arragones

Arragones suis sa tendre le long de cette magnifique plage

-Oui je la trouve tres belle mon coeur comme toi!!

Arragones la prend dans ses bras et l'embrasse sous ce croissant de lune magnifique.

Arragones et Criket se dirige vers les rochers pour s'assoir et admiré ce magnifique endrois...

-Tu sais j'ai envie de te dire je t'aime et je me sent si bien près de toi!

Arragones enlace son coeur dans ses bras.

Ils regarderent la mer pendant des heures sentant les ambrins leurs carresser le visage

Criket01

Criket etait si heureuse pres de celui qu'elle aimait,,etre dans ses bras ce soir ,elle en révait depuis quelques jours,,et enfin le voila pres d'elle,,elle l'enlace , l'embrasse amoureusement

_Moi aussi je t'aime Arra,,et pres de toi je me sent vraiment bien,,j'aimerai tant que notre voyage soit comme ce soir,,calme,tendre,,sans probléme,juste nous deux

Criket regarde le soleil qui se couche dans les bras de l'océan,,le ciel d'un rouge écarlate,,elle se sere contre Arra,,et l'embrasse

Heidan

[ Près de la Crypte ]

La fuite, toujours la fuite ... le naufragé s'en agaçait peu à peu.
D'un sifflement sec il rappela à lui son fidèle compagon.
Bientôt il lui faudrait sortir de l'ombre... élire domicile ailleurs que dans cette crypte, se mélanger aux autres afin de passer incognito et accomplir enfin ce pour quoi il était revenu.
La première offensive s'était soldée par une victoire cinglante sur le village mais la bataille n'était pas terminée.
En fait, elle ne faisait que commencer.

Bellisa

Après avoir fait sa ronde autour de la ville, Bellisa laissa ses pas la guider vers la plage. Il faisait nuit déjà mais la lune claire encore laissait quelques lueurs permettant de distinguer son chemin. C'est ainsi que Bellisa se retrouva sur la plage de Blaye, cheveux aux vents.
Grisée par ce vent frais de la nuit, elle marcha jusqu'au rivage, inconsciente du danger qui pouvait jaillir de l'ombre. Mais Bellisa était ainsi, confiante, presque naïve. Elle s'assit près de l'eau, souriant au bruit délicat des vagues tout près d'elle. L'air était frais déjà, l'été se terminerait bientôt et elle allait apprendre à connaître l'automne loin de sa famille, de sa Provence natale. Comment serait sa vie future ? Allait elle rester à Blaye ?...
Finalement, elle s'allongea délicatement puis se laissa aller à la rêverie tout en regardant les étoiles ses amies...

Hadrian

Bonne nuit, à demain !

Hadrian lui fit un sourire accompagné d'un signe de tête.
Il se recroquevilla sur le rocher, les bras autour de ses jambes et la tête posée sur ses genoux, restant là, impassible, à regarder la mer dans le calme, à la lueur simple des étoiles.
Il resta ainsi encore quelque heures avant de s'en retourner chez lui.
Il ne trouvait rien de plus apaisant.

Criket01

Main dans la main Criket et Arragones sortent de la raverne et se dirige vers la plage,,ils marchent sur le sable tiédit par le soleil de la journée,,et longe le bord de l'eau

_Tu vois comme elle est belle cette plage !! depuis deux jours je viens réguliérement ici penser a toi

Criket lui sourit

_Vient ont va s'assoire plus loin la bas derriére les rochers,,tu aime cette endroit ??

Hadrian

Hadrian ferma vite les yeux, s'affolant à chercher un vœux et souhaita de connaître un jour l'amour et que sa sœur puisse s'en sortir avec ses jumelles.
Il les réouvris et fit un grand sourire à la Dame.

Avez vous fait un vœu ?

Il reposa son regard sur l'horizon, admirant le reflet des étoiles dans l'eau.

Je croit que je viendrai souvent !
Quand à vous, gardez en un bon souvenir, même si vous allez longer la côte je suppose..?

Criket01

Criket ferme aussi les yeux et fait son voeux

_Oui je pense longer la cote,,mais a vrait dire je ne sais pas trop,,mais ce coin de plage,j'y penserai souvent pendant mon voyage

Crik lui sourit

_Je vais pas tarder a rentré a l'hotel avant qu'on me ferme la porte au nez

Criket se léve,regarde Hadrian

_Je suis vraiment ravi d'avoir fait ta connaissance,et j'espere que l'on se revera avant mon départ,passe une bonne nuit

Hadrian

Hadrian esquissa un sourire tout en continuant de regarder la mer.

J'ai appris à nager oui. Mais je croit que on ne pourrait voir au bout, sa m'a l'air vraiment grand. Y a t-il quelque chose de l'autre côté ?

Criket01

Criket reste penssif au parole d' Hadrian

_T u crois qu'il ni a rien derriére,juste un mur qui arrete cette eau !!!

Crik le regarde et sourit

_Rhooo!! Tu te moque de moi,,

Crik rougit géné par son ignorance sur toutes ces choses si compliqué qu'est la mer,le sables ,les rochers,enfin tout ce qui l'entoure en ce moment

Hadrian

Hadrian connaissait les praires, les collines, les rivières mais pas l'océan. Il ne connaissait rien à ce sujet et se mis à rougir en entendant les paroles de la Dame.

Excusez moi, je n'y connais pas grand chose mis à par que l'eau est salée et qu'elle abrite nombre d'espèces de poissons !

Criket01

Criket sourit

_Alors on est deux a rien connaitre sur ce mystére de la nature,,,et peut etre que cela n'est pas plus mal,car aurions nous autant de plaisir a rester des heures a contempler tout cela si on ne se posait pas de question!!!

Criket regarde Hadrian,lui sourit

_Oh!! faite une voeux une étoiles fillante vient de passer !!!

Hadrian

Hadrian revenait sur la plage, pour prendre le frais mais aussi pour regarder à nouveau cette mer dont il ne pouvais détourner les yeux.
Il aimait cette tranquillité, cette odeur d'iode qu'il s'imprégnait petit à petit, le son de l'eau bercée doucement. Il arriva doucement, parcourant la plage de son regard et aperçu sur des rochers non loin Dame Criket qui semblait perdue dans sa contemplation.
Il s'approcha en silence et vint s'assoir à côté sans un mot, ne voulant pas rompre le silence de peur qu'elle ne veuille pas de sa présence. Il regarda droit devant lui, cette eau éclairée par les étoiles et la trouva aussi belle qu'au jour, lui trouvant une pointe de mystère.

Criket01

Criket senti une présence,tourna la tete,,sourit

_J'aimerai tant savoir ou cela meme,,de l'autre coté,,la ou le ciel et la mer se rejoingne, tout connaitre de cette étendu qui nous sourit au coeur,,mais nous fait si peur !!! Savez vous nager ??

Hadrian

Alors que Hadrian visitait la ville dans laquelle il était arrivé la veille, il se retrouva plus loin que prévu. Il leva les yeux. Devant lui une énorme étendu d'eau, la surface brillante sous le soleil, qui s'étendait jusqu'a l'horizon. Il resta ainsi plusieurs minutes, le souffle coupé. Il voyait la mer pour la première fois, et comme l'avait dit deux Dames qu'il avait rencontré en taverne le matin même, le spectacle était des plus merveilleux.
Il commença à se balader tranquillement, ne pouvant décrocher son regard de la mer.

Criket01

Ce sentant seule ce soir Criket alla jusqu'a cette étendu de sable ,,marchant le long de l'eau ,les vagues venait caresser ses pieds,,elle esperais voir le ciel se coucher de rouge vétu,,elle léve les yeux au ciel,mille pti points brillaient tout la haut,,le ciel etait si clair que toutes les étoiles éliminaient de leurs parure d'or,,le bruit calme des vagues,venant morir sur le sable,,tout etait parfait,,elle alla s'assoire sur les rochers et les yeux fixé dans le vague resta la

Guyhom

Guyhom se promenait dans les alentours de la ville quand il aperçut la mer...l'odeur de l'iode chatouillait ses narines, son chien PPK gambadait joyeusement autour de lui quand soudain il partit jouer avec les vagues...Guyhom rit, heureux de se détendre, loin de chez lui, loin de la guerre, loin des soucis...il s'assied sur le sable, enleva ses bottes et les pieds dans le sable, regarda son chien jouer et les vagues se briser sur la grève....il sortit sa pipe et son tabac et commença à fumer tranquillement....du repos...la mer....la sérénité lui revenait...
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Criket01

Criket va le long des galets,pres des rochers,les grandes vagues félines se cabrent,puis fond des bonds, elle ne connait plus délicat plaisir que de fouler de ses pieds nus ce rivage.Elle regarde fasciné par l'immence étendue bleu qui frémit aux caresses du vent,les mouettes qui suivent les vagues,parfoit elles crient si tristement,puis au grés du vent flottent,la mer est si belle

_Mon amour j'aimerai que tu sois la pres de moi en cet instent,,

Criket pense a ses bras qui l'entour,ses caresses ses baisés jusqu'au matin,,,
soupir!!! et se retourne au marché

Patoria

Pat arriva vers la plage, le bruit des vagues l'avait guidée jusqu'au dunes de sable dorées. Elle se mit a grimper, impatiente de voir l'océan...

Arrivée au dessus, elle eut le souffle coupé par tant de beauté, les vagues frappait contre le rivage, le sable s'etendait à perte de vue vers la droite et la gauche.

Dommage que je sois seule se dit elle, c'est tellement beau qu'un tel spectacle se partage...

Elle s'installa sur la plage, le sable était encore chaud, le soleil descendait vite sur l'océan, parant l'eau de mille et un reflets chatoyants, le bruit des vagues avait quelque chose d'apaisant. Dans un soupire, Pat porta son regard vers l'horizon et se perdit dans ses pensées, ses projets, ses espoirs...

Mampillou

Mampillou fermait les yeux pour mieux s'inprégner de l'ambiance. Elle ne finissait pas de se dire que c'était vraiment sur cette plage qu'elle se sentait le mieux.
Ces temps-ci, elle traînait un peu les pieds au village. Ne savait pas trop où aller et en même temps...., avait envie d'être nulle part. Elle se sentait seule. Son fiancé était partie faire une retraite et elle ne savait pas quand il devait rentrer.

En l'attendant, elle s'occupait de son perroquet. Elle commençait à moins en avoir peur et il lui tenait compagnie.

Elle rouvrit les yeux, se rechaussa pour rentrer. Elle donna un rapide coup d'oeil autour d'elle et aperçut (lui semblait-il) Cybella. Elle lui fit un petit signe de la main. Elle regardait son ventre bien rond et se disait qu'elle avait bien de la chance. De loin, elle lui sourit.
Elle prit le chemin de sa maison, et se disait
*si tu es toute seule, tu le cherches en ce moment. Tu ne fais que boulot / maison. Sors un peu !*
Et se promit d'aller en taverne plus souvent.

Cybella

Cybella vit lui faire un signe de la main, mais Mamp parti de la plage. Elle respecta son choix, sachant que Mamp avait besoin d'être seule. La solitude permet de mieux se comprendre lorsque l'on va pas bien. Non pas un replie sur soi, mais une écoute de soi. Souvent on oublie de s'écouter, prit par le travail aux champs ou à la mine.

Cybella regardait au loin les flots de cet océan argenté, à l'écume blanche et à son murmure. Se sentant comme appelé, elle se leva et descendit la dune, marcha jusqu'au bord en souriant.

Mais oui j'arrive bel océan, il y avait longtemps que tu m'avais pas invité!!!

Elle quitta ses vêtements, qu'elle plia soigneusement en peu plus loin pour que la marée ne les emporte pas et s'avança dans les flots. L'eau fraîche lui fit du bien et aussi frissoner. Elle plongea ensuite quand l'eau fut assez profonde, tête le première dans la vague suivante et nagea telle une sirène. Elle aurait tant aimé que son dauphin soit là, mais non hélas!! peut être une prochaine fois. Son corps alourdit par sa grossesse devenait si léger dans l'eau et cela rendi cette baignade encore plus agréable. Mais n'abusant pas des bonnes choses, elle rejoignit la grève. Essorant ses cheveux au maximum, elle enfila sa chemise et resta là, alongé au soleil pour se sécher. Le temps passa et s'écoula...

Bon c'est pas tout mais il faut rentrer!!!

Elle se releva et fini de s'habiller

C'est quand même plus facile quand on est sec tout de même!!

Elle gravi les dunes blondes, remparts naturels qui protège la ville de l'océan, suivi le chemin jusqu'aux remparts et arriva jusqu'a la taverne.
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Cybella

Cybella traversa les dunes avec difficultée, son petit habitant pesait et la marche dans le sable mou n'était pas aisé. Arrivée au somment elle respira l'air du large.

Ah! que sa fait du bien!!

Elle se choisi un petit endroit abrité, s'assit et profita du spectacle. Elle reconnu Mampillou les pieds dans l'eau, lui fit un petit geste de la main pour la saluer, mais ne la dérangea pas, penssant que parfois on aime être seule...

Elle viendra me voir si elle le souhaite! se murmura t elle
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Stelliem

Stelliem dans son demi sommeil, entendit Bikko lui répondre ! Elle ouvrit les yeux et le vit s'approcher, installer sa paillasse et une couverture, puis il vint l'aider a se relever pour l'embrasser tendrement.

Ca te dirais une petite baignade Stell elle est un peu froide mais je ferais en sorte de te réchauffer dans mes bras

Stell le regarda en faisant une petite moue indécise, puis lui sourit un peu coquine :

D'accord allons nous baigner ! l'air est encore chaud et je compte sur toi pour me réchauffer !

Elle ota ses braies et juste en chemise elle le suivit dans l'eau. Au contact des premières vagues , elle frissonna, mais souriante a Bikko elle continua d'avancer petit a petit, lui tenant la main.

De l'eau jusqu'à la taille, elle lacha la main de Bikko et prenant une grande respiration, plongea ! Elle ressortie de l'eau quelques metres plus loin en riant, se laissant porter par les vagues et ramener vers lui !
Elle s'accrocha a son cou et l'embrassa !

Hum ... tu as le gout du sel ! Elle le regarda en riant puis tenta de le faire tomber dans l'eau ! Mais dans le mouvement se retrouva la tête sous une vague et bu la tasse !

Berkkk ! Stell fait la grimace et tousse pour recrachait l'eau salée.

Elle se tenait simplement par les jambes autour de la taille de Bikko et avec ses mains repoussait ses cheveux de son visage et s'essuyait les yeux.
Chaques vagues les poussant l'un vers l'autre.
Stell regarda Bikko tendrement puis lui entoura de ses bras son cou et l'embrassa tendrement.

Bikko

La voyant enlever ses brais, Bikko la regardait, il la trouva belle comme tout,en chemise elle s approche de lui pour lui donner la main et tout les deux allant vers le large.
Elle laisse la main de Bikko pour plonger il s amusere tout les deux puis une vague la prend par surprise et l emmene au fond de l eau et en boit une bonne tassé d eau salé qui la fit étouffé.
Bikko en rit, puis elle saut sur lui s accrochant avec ses jambes
puis elle le regardait tendrement et lui de meme puis s embrassèrent tout les deux tendrement et...
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Mampillou

Mampillou avait passée la journée d'hier couchée, à dormir toute la journée. Elle n'avait même pas eu la force de manger ni d'aller travailler.
Aujourd'hui, elle se sentait encore un peu faible mais se boosta pour se lever.

Elle alla faire un tour sur la plage, l'air fraid lui ferait du bien.
Elle se trempa les pieds. Elle les regarda. Ils étaient dans un piteux état. Elle en souffrait terriblement. L'eau de mer lui les soignerait sûrement.
Elle décida de rester un moment ici, au calme et surtout à la lumière du jour, sentant l'air iodé lui taquiné le nez.

Stelliem

Stell et Bikko marchait lentement le long de la plage, la main dans la main. Ils discutaient de tout et de rien, heureux d'être ensemble tout simplement. Elle appréciait cette ballade et souriait les yeux brillant de joie ne sachant pas cacher ses sentiments, quand elle vit arrivée son amie Jade. Elle sourit.

Jade ! Comment vas tu ?

Elle l'embrassa et la serra contre elle. Ho ho ! toi tu t'es baignée ! tu es toute fraiche ! Tu es plus courageuse que moi, Stell frissonne juste a la pensée de se retrouver dans l'eau un peu trop froide pour elle !

Puis sourit, écoutant son amie lui répondre et discuter avec Bikko.

Tu viens avec nous Jade ? Nous allions rentrer pour manger ! Elle lui sourit, puis repris la main de Bikko et rit : là maintenant mon estomac est dans les talons ... !
ensemble ils se dirigèrent vers la ville.

Stelliem

Stelliem après avoir passé une très bonne soirée en taverne et avoir attendu Bikko... Elle décida de retourner sur la plage pour se reposer. La journée a été quand même longue et travailler dans les champs l'avait complétement épuisée ! Elle marchait sur la plage en direction du lieux où elle avait dormi hier soir et le retrouva facilement. Elle jetait de fréquent coup d'oeil autour d'elle essayant de le voir...

Elle posa sa besace et son baton, puis elle s'installa sur le dos et regarda les étoiles brillantes au dessus de sa tete ! Elle sourit heureuse et repensa aux personnes qu'elle avait rencontré aujourd'hui, et surtout a une petite puce de 5 ans qui l'a fait littéralement craquée ! Puis ses pensées dérivèrent vers bikko et elle ferma les yeux en soupirant...

Me retrouveras tu comme tu me l'a promis ? Stell sourit puis elle ouvrit les yeux et regarda autour d'elle. Elle se sentie insignifiante et presque perdue devant l'immensité du ciel étoilé et de l'ocean !

Stell se tourna sur le coté et fermant les yeux, elle s'assoupit le sourire aux lèvres !

Bikko

Très tard Bikko arrive sur le lieu de leur rencontre de la veille. La nuit était sombre, la lune ne lui permettant pas d'y voir, les étoiles étant cachés par les nuages. Il attend et sa vue s’adapte à la nuit qui l’entoure puis enfin le son de sa voix qu’il reconnait.
Me retrouveras tu comme tu me l'a promis
Le sourire vint à ses lèvres et la réponse se fait entendre.

Oui ma belle, je t ai trouve enfin, j’aurais préférais venir plus tôt mais je suis la. Savourant ce petit moment qui nous reste avant le levé du jour

Il déroule sa paillasse, l étend sur le sable fin loin du ressac et sortit une couverture.
Il s approche de la belle Stelliem, lui tend la main pour l aider a se relever, la serre dans ses bras et l’embrasse tendrement. Il l’enlace et porte son regard vers la mer, Bikko se tourne vers la belle et lui demande:

Ca te dirais une petite baignade Stell elle est un peu froide mais je ferais en sorte de te réchauffer dans mes bras

Il la regarde en souriant, heureux d’être là avec elle
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Stelliem

Stell le regarda les yeux brillant de joie et répondit en souriant :

Oui biensur ! Allons marcher le long de la plage ! Elle rit : Mon estomac peut attendre encore un peu !

Elle le regarda se lever et lui tendre la main pour l'aider. Elle l'a pris et se leva. Puis elle récupéra sa besace qu'elle mit en bandoulière et pris son bâton dans sa main gauche. Ensuite Stell le regarda prête et lui tendit sa main libre !

Nous y allons ?!

Jademance

Jade avait passé une nuit magnifique à écouter les vagues clapoter sur la berge. La nuit avait été calme cependant le réveil .... ouille un peu trop criant à son goût. Elle aimait bien les oiseaux en général mais avait un peu de mal avec les mouettes. Elle ouvrit un oeil un peu agacée et pris le pan de sa houppelande pour se la renverser sur la tête. Mais ce n'était pas suffisant. Les cris ne diminuaient pas. Puisque le soleil frappait déjà fort, Jade s'étira et décida de marcher le long de la plage.

La jeune femme déambulait lentement sans but le regard vers l'horizon et se demandait bien ce qu'il pouvait y avoir derrière cette ligne. Et à quelle distance pouvait-elle bien être ?

Hum .... serais-je en mesure de m'y rendre avec ma barque ? - pensa-t-elle pas trop sérieusement. À voir la vague lécher doucement le sable, elle eut envie d'y faire trempette. Elle retira sa robe et au pas de course elle se jeta dans l'eau.

Brrrrrrrrrrrrrrr - se dit-elle -Froide mais rafraichissante !

Elle sortie de l'eau peu de temps après, se secoua la tête et se fit sécher avant de reprendre sa balade sur le bord de l'eau. C'est là qu'au loin elle vit deux personnes se promener. Elle plissa les yeux et reconnu Stell et Bikko. Elle se dirigea vers eux au pas de course.

À leur hauteur, elle s'arrêta et leur souriait. Elle leur fit une accolade amicale et les bisouilla.

Bonjour vous deux ? Contente de vous voir. Et toi Bikko ? Y'a longtemps que tu es arrivé ? Ton voyage s'est bien déroulé ?

Bikko

Entendant Stelliem chuchoter son nom,sans ouvrir les yeux il sourit et
elle lui dit: Bonjour toi ! Bienvenue à Blaye !
La remerciant de cette belle accueil, elle lui caressa la joue suivit d un doux baiser qu il apprécit avec joie.
Il la regarde s étirer puis elle rit d un petit rire joyeux, se qui le fait sourir de voir ce petit air joyeux.
En se redressant elle lui demande: Tu as fait un bon voyage ?Oui un tres bon voyage. pas eu de problème ? Non pas du tout une belle marche meme.^^
J'étais un peu inquiète a cause des brigands qui rodent !
oui je comprend Beij c est fait raquetté pauvre lui avoir su qu il était a bordeaux je l' aurais attendu.
il se redresse et s assoit a ses coté en se collant sur elle en s appuyant sur ses main et allongeant ses jambes puis tout les deux contemple l horizon
et un petit gargouillement du ventre de stell se fit entendre qui les fait rire tout les deuxet elle dit.j ai faim
Allon manger mais juste avant sa te dit de marcher un peu on ira manger a la taverne apres^^
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Stelliem

Des cris stridents ! stell se réveilla a cause des cris ! elle ouvrit un oeil puis gémissant doucement elle le referma ! les mouettes ! elles volaient en paillant a qui mieux mieux !
Stell en soupirant se retourna sur le dos et ouvrit les yeux encore embrumés par le sommeil... et l'alcool surement !
Elle resta un instant sans bouger, puis se redressa. Soudain elle se prit la tête entre les mains

aïe aïe aïe ! ma pauvre tête ! Elle referma les yeux en gémissant doucement ! Bien fait m'a grande tu n'avais qu'a pas boire autant ! se gronda t elle !

Elle soupire puis attend un intant que cela passe en respirant doucement l'air salé du matin. Stell regarde l'océan qui l'apaise un peu puis tente de se lever. Elle grimace mais arrive a se mettre debout. Lentement elle s'étire et baille pour détendre ses muscles un peu enkilosés et regarde autour d'elle !

Toujours aussi déserte la plage ! dit elle se parlant a elle même !

Elle regarde l'océan avec envie puis se dit que l'eau doit être plutot froide... s'approchant des vagues venant mourir elle s'avança dans l'eau jusqu'au mollet.

Oui trop froide je vais devoir attendre plus tard je pense pour aller me baigner !

Stell sourit et retourna recupérer ses affaires et repris le chemin pour la ville. Elle marchait très lentement dans l'eau regardant loin devant elle quand elle aperçut une forme allongée plus loin. Elle sourit se disant qu'elle n'était vraiment pas la seule a dormir dans le coin finalement !
Se rapprochant de la forme doucement, elle écarquilla les yeux le reconnaissant puis sourit heureuse ! Bikko était là !

Stell s'assit a coté de lui, posa sa besace sur le sable, s'appuya dessus et sans faire de bruit elle resta là, veillant sur son sommeil tout en regardant l'horizon ! Au bout de quelques minutes, encore fatiguée de sa soirée mais souffrant de moins en moins de la tête , elle s'allongea et se mit en chien de fusil face a lui puis laissa son esprit vagabonder. Elle souriait encore en se rendormant.

Bikko

Le soleil s était levé, la vie autour de lui également. Les premiers rayons de soleil le réchauffent. Le son des vagues réveille Bikko peu à peu.
Sans ouvrir les yeux, il s' étire et se tourne du coté en poussant son sac plus loin, tête appuyer sur son bras plier, léger soupire qui sort de ses lèvres…
Avant de s endormir Bikko avait espéré la voir ou la croisé , il s’était endormi avec son visage en mémoire si bien quand il ouvre les yeux il croit rêver…Elle est là devant lui à quelque centimètre…
Aussi belle que dans son souvenir, Bikko n’ose pas bouger de peur que la vision ne parte…Hésitation dans le geste qui vient caresser le doux visage de la belle…
L’émotion se lit dans son regard, elle est bien là, réel, le sourire s’agrandit et la regarde dormir et ferme les yeux en attendant qu elle se réveille

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Stelliem

Stell sent le soleil la réchauffer, et dans ce demi sommeil dans lequel elle a sombré, elle sent comme une caresse sur son visage qui fait naitre un doux sourire sur ses lèvres. Elle soupire doucement, puis ouvre les yeux lentement. Elle voit Bikko refermer les siens et doucement lui chuchote :

Bikko ? Elle sourit attendant qu'il rouvre les yeux puis lui dit gentiment :

Bonjour toi ! Bienvenue à Blaye !

Encore a moitié endormie, elle lève sa main et lui fait une caresse sur le visage, heureuse de le voir près d'elle, se penche vers lui et l'embrasse doucement en un baiser à peine plus léger que le souffle de l'air ...puis se tourne sur le dos et s'étire lentement !

Elle sourit : je n'aie plus mal a la tête ! et laisse échapper un petit rire joyeux.

Stell se redresse, joyeuse et se tourne vers lui : Tu as fait un bon voyage ? pas eu de problème ? J'étais un peu inquiète a cause des brigands qui rodent !

Elle lui sourit puis enserre ses genoux entre ses bras et pose son menton sur ses mains croisées le regard balayant loin sur l'horizon pour revenir sur lui.

Soudain, un gargouilli incongru se fit entendre, elle rougit puis éclate de rire ! J'ai faim !

Stelliem

Stelliem, après avoir passé la fin de journée d'hier, la nuit et toute la matinée coincée dans la taverne La gargote municipal ! Avoir travaillé a traire les vaches, et bu plus que prévue ce soir a la taverne en très bonne compagnie il est vrai, décida que cette nuit elle dormirait a la belle étoile sur la plage.
Un peu ivre, elle marcha lentement jusqu'à la plage, elle retira ses bottes et ses bas qu'elle mit dans sa besace et en s'aidant de son bâton descendit vers le sable. Là elle soupira d'aise puis s'avança, longeant l'océan, pendant une bonne demi heure.

Elle trouva un coin un peu reculé qui ne semblait pas atteint pas l'océan même au plus haut de la montée. A l'abri du vent !
Stell en riant, et se moquant d'elle même, se laissa littéralement tomber sur le sable et utilisant sa besace comme oreiller, elle soupira de contentement. Elle se coucha en chien de fusil et tout en tenant son bâton dans sa main droite, elle se détendit lentement, la tête ainsi posée ne lui donnant plus le tournis, elle regarda l'océan qui, toujours avec force, jetait ses vagues sur la plage.

Stell pensait a ses amis, Jade qui devait dormir quelque part aussi sur la plage, Beij qu'elle avait laisser en bonne compagnie a la taverne, a fyst dont elle n'avait aucune nouvelle, et Bikko qui devait les rejoindre.. oui elle pensait a eux et a d'autres aussi ! Doucement elle ferma ses yeux et laissa le ressac de l'océan la bercer et l'endormir profondément.

Bikko

En arrivant à le ville de Blaye, Bikko se dirige vers une taverne pour
prendre quelques bieres puis il se rendit au bord de la mer.
Cette odeur, l air salin qu il reconnait et qu il lui ferait toujours revenir
le souvenir du jours où il a vu pour la derniere fois ses parents.

Mais il se sentait bien... le son de la mer, ce son si... appaisant à
écouté.

Sac sur l épaule, bottes sur l autre, pied dans l eau regardant l' horizon,
il marchait dans l eau le long de la plage un bon bout de temps
cherchant de joli cailloux que la mer avait déformé et polie.

Il regarde la mer et examine le sable mouillé et l eau qui ne s y
rendait plus, il dit:

Mer perdante,... marée basse

Il sort de l eau et s éloigne un peu du bord laisse tomber son sac sur le
sable, s allonge sur le sol en s adossant sur son sac, il regarde de chaque
coté pour voir si il ne verrais pas des gens... ou plutot une gente qui
aimerais bien voir.

Les paupieres commence a peser de plus en plus qu il fini pas
s endormir aux sons appaisante des vagues
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Mampillou

Mampillou avait passé ses journées à soigner le petit oisillon. Au départ, il était très apeuré et puis peu à peu s'était habitué et s'était laissé soigné. Il arrivait même à manger dans sa main.

Il s'était bien remplumé. Il était temps pour lui de reprendre sa liberté.

Mampillou ouvrit la fenêtre. Elle le posa sur le rebord. Il ne bougea pas. Il piaillait, puis prit enfin son envol.

Mampillou le regarda s'éloigner et pensa *peut-être qu'il reviendra*

Elle ferma sa fenêtre et pensa qu'elle aussi aimerait bien prendre le sien d'envol.

Stelliem

Stelliem était arrivée très tôt ce matin, et ne pouvant pas dormir, elle partit a la découverte de cette nouvelle ville...
Elle marchait tranquillement, guidé par un bruit de ressac et l'odeur d'embrun, ses pas la menèrent vers ... l'océan !

Les yeux écarquillés par tant de beauté sauvage et par cette impression d'immensité , elle reste un moment devant ce panorama magnifique sans pouvoir bouger....

Puis un lent sourire se dessine sur ses lèvres et rapidement, Stell descend vers la plage de sable fin.... Fébrile et entousiaste, elle ote ses bottes et ses bas qu'elle jette dans sa besace et appréciant la texture du sable doux encore frais a cette heure sous ses pieds, elle marcha vers les vagues qui se jettent sur la plage...

Elle rit de joie ! Les vagues lui léchant les pieds ! Stell joua avec un moment ! Eclat de rire ! Mettant ses mains en porte voix elle cria vers l'infini étendue d'eau : BONJOUR L'OCEAN ...JE SUIS LA !! . Puis elle tournoya sur elle- meme en riant !

Après quelques minutes de cette explosion de joie, elle finit par se calmer et souriante, les yeux brillant de plaisirs, elle repris sa marche, les pieds dans l'eau ! Elle longea ainsi la plage durant une bonne heure avant de ressentir enfin la fatigue de cette nuit de marche... Elle sortie de l'eau, puis s'installa sur le sable, se servant de sa besace comme oreiller. Stell laissa ses pensées vagabonder vers le large, le ressac de l'océan la berçant doucement, puis elle s'endormit.

Quelques heures plus tard.... elle se réveilla, s'étira, se leva et repartie vers la ville rejoindre ses amis qui avaient du arriver maintenant...

Mampillou

Ce matin, Mampillou était toute excitée et décida d'aller faire un tour sur la plage.

Comme d'habitude, elle humait l'air iodé à pleins poumons.
Elle n'en revenait pas. On lui avait demandé à ELLE d'être assistante pour l'animation de Blaye. Elle n'en revenait pas.

Et tout d'un coup, le doute s'installa. Comme à l'accoutumé, les questions affluèrent
Et si je n'étais pas à la hauteur ?
Et si je n'avais pas d'idée ?
Et si je décevais ?

Elle qui en arrivant au village pensait qu'elle resterait seule et dans son coin. Plutôt réussie.

Elle se sentie fière d'elle. Elle souriait seule face à la mer.Qui m'aurait dit un jour, que j'en arriverait là ?

Aujourd'hui elle était heureuse.

Mampillou

Ce matin, Mampillou n'était pas pressé par le temps. Elle décida d'aller se promener sur la plage.

Le sable était frais et humide. Elle aimait ça.
Elle longea la mer, écoutant l'intarissable mouvement de la mer.

Mais un autre bruit l'interpella. On aurait des petits piaillements d'oisillons. Elle se laissa guider par ce bruit et arriva près d'un rocher.
Elle s'en approcha et aperçu, blotti dans un creux, un petit oiseau.

Oh la la comme tu es mignon toi !

Il piaillait. Il avait l'air blessé. Elle approcha la main. L'oiseau ne bougea pas. Elle le prit délicatement dans ses mains.

Ne t'inquiète pas, je vais te soigner.

Elle fit demi tour et rentra en tenant tout contre elle ce petit oiseau, bien décidé à le soigner.

Aysun

[Un peu plus tard, dans la Crypte]

Battant des cils, elle entrouvrit les yeux fixant les vives flammes dansantes d’un feu devant elle. En boule enroulée dans l’étoffe elle écoutait le crépitement de la source de chaleur se mélangeant à sa respiration… Elle n’avait pas trépassé, pas cette fois encore.
Elle avait eu si froid, si peur…
Doucement des images confuses lui revenaient en mémoire. La nuit sombre marchant sans vouloir ni pouvoir s’arrêter, seule et perdue sentant son cœur meurtri cogner dans sa poitrine, des cris au loin vers les ruelles du village, une odeur indescriptible, une épaisse fumée noirâtre. Puis le vide, plus rien.

Combien de temps ?
Pour aller ou ?
Kro l’avait il cherché ?

Elle sortit un bras et remua, rejetant la couverture à ses pieds.
Mais ou se trouvait elle, donc ?
Lentement son regard se posa sur une ombre, puis sur une silhouette assise à ses cotés. Son cœur se mit à battre à un rythme accéléré au fur et a mesure que ses yeux parcouraient l’homme. Elle se recula attrapant l’étoffe en se recroquevillant sur elle-même quand elle croisa le regard de l’inconnu qui la fixait de ses yeux bleu acier. Elle sentit des tremblements la secouer pendant qu’elle cherchait la bouche sèche à prononcer quelque chose, mais la peur la paralysait et pas un seul mot ne sortit de ses lèvres chevrotantes.
L’homme ne bougeait pas et la fixait toujours, Aradiia n’arrivait pas à retirer ses yeux des siens comme un aimant, elle se figea…

Un vol d’oiseau vient tout à coup s’interposer et la fit encore reculer, mais quand elle aperçu le volatile se posé près de son pied, Aradiia ouvrit de grands yeux et son souffle se suspendit. Trois syllabes s’échappèrent de sa bouche dans un murmure inaudible.

LU……CI…..FER.

Son épervier la fixait à son tour ! Depuis des mois, elle ne l’avait pas revu. Depuis si longtemps déjà.
C’était à Conflans en champagne, elle lui avait enroulé à la patte, un message destiné au meurtrier de sa tendre nourrice Cézielle. Ses derniers espoirs s’étaient envolés avec lui. Mais l’oiseau n’avait pas réapparu depuis et la jeune femme s’était résignée à ne plus espérer le revoir. Et surtout à ne jamais pouvoir venger Cézielle.

Elle n’osa pas bouger, retenant l’envie de lui tendre la main, sachant que l’homme épiait chacun de ses gestes.

Ses prunelles retournèrent sur l’homme et elle lâcha sans en contrôler le son.

Qui êtes vous ?

Kateyll

Kate entreprit une ballade sur la plage, elle couvrit Jade correctement car malgré le soleil, il y avait encore un petit vent frais pour le mois de juin. Elle avait emmener le gouter de sa puce et le fidele compagnon "Ambrouille" sur leur pas.

Elles arriverent sur la plage et s'installerent tranquillement. La petite regardait les oiseaux qui volaient et cherchait a les attraper. Quand au chien comme a son habitude, il s'etait couché a leur pied et veillait sur elle deux.

Kate prit son ouvrage et tout en surveillant sa puce, se mit a broder. Elle avait emmener une poupee pour sa fille qu'elle lui avait confectionnait avec divers chiffon....

Les vagues venaient mourir a quelques metres d'eux. Cette plage allait lui manquait. Les souvenirs affluerent : Leur arrivée a Blaye, la plage, leur maison, la naissance de Jade... Mais elle avait besoin de s'eloigner un peu, de voir un peu cette guyenne d'un peu plus pres....

Il était temps de retourner a la maison.
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Et si on essayait d'être heureux, ne serait-ce que pour montrer l'exemple (J.Prévert)

Joshin

Duncan et Gaely

Joshin, à son arrivée à Blaye, avait parcouru la halle en tous sens, cherchant le lieu que lui avait indiqué Dame Vanupied, lorsqu'elles s'étaient rencontrées à La Rochelle. Etait-elle trop fatiguée? Manquait-elle de sommeil? Toujours est-il qu'elle avait beaucoup cherché, et n'avait rien trouvé...
Mais celà la perturbait beaucoup. Elle avait fait une promesse à Dame Vanupied, elle aurait voulu la tenir. Et dans sa besace, la fleur blanche commençait à faner...
Aussi, avant que le soir ne tombe, et après avoir repris des forces dans une taverne, elle revint sur la halle, et chercha avec beaucoup plus d'attention. Et là... miracle... Elle trouva ce qu'elle avait vainement cherché.
Tout était dit, ainsi que le lui avait narré dame Vanupied. Ses yeux s'emplirent de larmes, elle pensa avec émotion à ce couple qu'elle ne connaissait pas, qu'elle ne connaitrait jamais, et qui avait choisi de partir la main dans la main...
Elle s'assit un instant, pensant à leur vie si brève, et à la sienne, qui prenait chaque jour de nouvelles couleurs. Elle connaissait tous les bonheurs. Son étape à Blaye était certes empreinte de tristesse, puisqu'elle venait se recueillir sur la tombe de ses parents, disparus quelques années auparavant, et enterrés là, au hasard de leurs vagabondages. Mais elle était accompagnée,pour ce faire, d'un mari aimant et attentionné, son bras la soutiendrait tout à l'heure, au cimetière, son épaule serait toujours prête à accueillir son visage sans doute baigné des larmes amères qui ne manqueraient pas de couler. Et elle penserait avec émotion à la fierté qu'auraient ressenti ses parents s'ils avaient pu connaitre son mari, et aussi à la suite de leur voyage de noces, qui les emmènerait vers son pays natal, et vers les souvenirs de son enfance heureuse . Tout celà, elle le devait à son mari, à son amour de tous les instants, à sa patience: c'était lui qui en avait eu l'idée, et jamais elle ne le remercierait assez, comme elle n'aurait jamais assez de toute sa vie pour le rendre heureux comme il le méritait.
Ainsi pensait-elle, pendant que le soir tombait doucement. Un regret poignant la saisit, en repensant à ces deux amoureux qui ne connaîtraient pas ces joies simples de la vie à deux... mais elle ne savait rien sur eux, hormis ce que lui en avait dit dame Vanupied, et une vague de compassion la submergea.
Elle resta là, à méditer, à rêver, à prier... Le crépuscule approchait à grands pas. Elle se leva, et prit dans sa besace la délicate fleur blanche qui lui avait été confiée.
Elle approcha du rivage, porta la fleur à ses lèvres, en un baiser de regret et d'amitié, et la lança dans les flots

- Que cette fleur vous soit témoignage de l'amour que vous portait votre cousine, Dame Vanupied, et du souvenir qu'elle garde de vous. Et aussi, un peu, de la compassion d'une passante qui ne vous oubliera pas non plus...

Après un dernier regard, elle reprit sa route vers le village, vers la taverne chaude où son mari ne tarderait pas à la venir la retrouver, vers l'avenir, vers la vie....

Heidan

[ Dans la Crypte ]

C’est un « enfin » qu’il ressentit en pénétrant dans la Crypte, tenant à bout de bras la jeune femme encore endormie.
Heïdan l'avait échappé belle ; quelques promeneurs auraient pu l'apercevoir et même LES apercevoir tandis qu'ils regagnaient son refuge au fond duquel il observait les activités de Blaye depuis cinq mois. En espérant alors la retrouver.
Cinq mois qu'il avait parcouru l'océan pour revenir jusq'ici, cinq mois qu'il épiait les allées-et-venues du village afin de pouvoir la rencontrer, dépérissant peu à peu sans même s'en rendre compte tant les maigres poissons qu'il lui fallait pêcher en cachette le nourrissaient mal. Cinq mois que ses muscles éprouvés l'avaient rendu sec et presque mince.

C’est un sourire tendre qu’il lança à l'inconnue. Enlaçant ses doigts dans les siens avant de la déposer soigneusement sur le sol. S'il était profondément heureux d’être ici, avec elle, il n’en était pas moins profondément anxieux à l’idée qu'elle allait bientôt se réveiller.

Le feu qui la réchaufferait ne tarda pas à prendre. La lumière des flammes épousait leurs deux corps, lumière qui s’allongeait et les engloutissaient tous les deux au fond de la grotte perdue. L'épervier, lui, semblait naviguer de l'un à l'autre sans parvenir à arrêter son choix. On aurait presque dit que lui aussi voulait prendre soin d'elle.

C’est d’un regard chaviré qu’il vint s'asseoir auprès d'elle. Ses yeux ne parvenant à se dérober à son visage de porcelaine. Dieu qu'elle était belle.

Mampillou

Ce matin, Mampilloun'avait pas le moral. Pourquoi ? Elle se le demandait.
Elle ouvrit ses fenêtres en grand. Elle avait décidé de faire du ménage pour se libérer un peu la tête. Elle ne s'était pas occupée de sa maison depuis quelques jours.
Les seules occupations de ces derniers jours avaient été de travailler et de rêvasser.
Alors, aujourd'hui zou au boulot, adieu poussière, saleté et morosité.

Elle se mit au travail. Elle passa devant sa fenêtre et regarda la mer.
Elle voulait se mettre à la fenêtre pour profiter de la vue.
Non, non si tu t'arrêtes tu ne feras plus rien. Allez courage.
Elle se donna une petite tape pour se motiver.

Une fois fini, Mampillou regarda son intérieur. Elle était fière, elle avait tout ranger.
Elle se débarbouilla et se mit en route pour la mairie pour voir les offres d'emploi.
Elle se disait qu'ensuite elle pourrait passer au centre ...

Mampillou

Comme tous les matins, Mampillou ouvrit sa fenêtre.

Et elle se mit à penser. Elle aimait cette petite maison et surtout sa vue.
Elle avait bien choisie se dit-elle. Que c'était joli. Elle ne s'en lassait pas.
Pour rien au monde, elle ne voudrait changer cette vue pour autre chose.
Elle souriait et se disait que la vie lui réservait de belle surprise.
Elle avait reçue un message de Dzerva pour s'excuser. Elle était touchée. Elle l'avait peut-être mal jugée. Elle voulait effacer le passé et recommencer. Elle le devait.

Mampillou

Mampillou avait fait de bien jolis rêves cette nuit. Elle s'était réveillée de bonne heure et avait décidée d'aller marcher sur la plage.
le sable était humide et frais. C'était agréable. Elle regardait le soleil se lever à l'horizon

Et elle pensait qu'elle était la plus heureuse des femmes.
Elle se demandait si cela se voyait qu'elle était amoureuse. Sûrement que oui, son sourire ne la quittait pas des lèvres.
Elle repensait au goût des baisers. Mon dieu, que c'était agréable. Rien que d'y penser, son coeur s'emballait.Vivement ce soir.
Elle n'avait le goût à rien seulement à penser, à rêver. Elle avait envie de crier, de chanter, de danser.
Mais il fallait qu'elle retourne travailler. Dure dure réalité. Elle ne pouvait vivre d'amour et d'eau fraîche. Et pourtant ...

--Gaely_et_duncan

Duncan et Gaely (fin)
http://www.youtube.com/watch?v=Qeklw4UeHx8

Voilà, les derniers instants étaient arrivés.
Le moment qu’ils avaient choisi ensembles. Seuls au monde, pour les ultimes moments.

Le soleil disparaissait petit à petit, la nuit allait les envelopper d’un linceul sombre qui effacerait les traces de leur existence.
Les derniers rayons pointaient à travers les nuages, transformant le ciel en un incendie sans flammes.

Ces dernières images étaient merveilleuses, on aurait cru qu’Aristote leur faisait un dernier cadeau, après les avoirs déjà tant comblés.
Cette lumière divine semblait les appeler, les attirait où ils se retrouveraient libérés pour ne former qu'un pour l'éternité …

Duncan et Gaely seraient un rayon de soleil, une étoile au firmament, un morceau de lune, un éclat de lumière.

Ils ne seraient plus que souvenirs dans la mémoire de leurs amis.
Un couple uni jusqu‘au bout, respirant du bonheur d’être ensembles, de ce bonheur simple que l'on goûte rarement.

La décision avait été dure à prendre, mais pouvait-il en être autrement. Ils étaient leur seule raison d'être, leur seule raison d'exister.
L’harmonie qui régnait entre eux n'en n’avait pas été altérée.

Ils avaient vécu l’un pour l’autre, ils partiraient ensembles, dans un même élan qui les unirait à jamais, par delà leur existence.

Mac sentait le cœur de sa puce battre doucement contre lui.
Gaely s'imprégnait de son Duncan

Ils se tenaient enlacés, contemplant sans lassitude la beauté de leur dernière demeure.
Comme à chaque fois qu’ils étaient l’un contre l’autre, une douce chaleur les envahissait, une sérénité sans égale les habitait.

Ils se levèrent d’un seul mouvement, sans se lâcher les mains, et se firent face.
Ils se regardèrent, souriants, confiants, un flot d'amour les submergeait, ils se noyaient dans la tendresse.

http://www.youtube.com/w atch?v=4j34gG2xR3I

Ce dernier baiser dura une éternité.
Plus besoin de paroles entre eux, ils ne faisaient déjà plus qu’un.
Un même esprit les maintenait encore en vie, aucune pensée de l’un n’était étrangère à l’autre.

Leurs lèvres s’unirent pour une dernière fois, l'ultime baiser alors que le ciel changeait de couleur.
Une lumière étrange, comme si l’azur même était troublé de ce spectacle.
Une luminosité, unique, pour les accompagner dans leurs derniers pas.

Ils se détachèrent enfin l’un de l’autre, se tournèrent vers l’océan.
Une douce nuit étoilée les accompagnait.

Ils s’avancèrent dans les flots, leurs cœurs battant à l’unisson.

« Je t’aime » furent les derniers mots qu’un promeneur égaré eût pu entendre, s’il avait été présent.

Une dernière phrase suspendue dans le temps, leur ultime souffle …

L'aube doucement les a emmenés …
Leur courte vie fut remplie de tendresse, de baisers, de cet amour innocent que seuls les enfants connaissent.
Ils avaient empli leur existence de ce Bonheur

Duncan et Gaely ne faisaient qu'un … Ils étaient nés le même jour …

L'on n'oublie pas ce dont on veut se souvenir … Ducan
On oublie ce que l'on a envie d'oublier … Gaely

Heidan

Il revenait des hautes collines menant à Bordeaux, son crime accompli, le corps et l'esprit en paix, vers la crypte qu'il n'avait jamais quitté avant cette nuit.

Le premier assaut était lancé, premier d'une longue série s'il le fallait, mais Heïdan goûtait les primes saveurs de sa victoire en faisant face au vent sur le chemin de son repaire.
Ses longs cheveux d'ébène virevoltaient en tous sens. Le froid de la nuit transperçait sa chemise ouverte sur sa peau frémissante mais le naufragé souriait ; le village tout entier était à la débâcle, on respirait mieux ici qu'ailleurs les odeurs de fumée émanant des grandes flammes qui avaient embrasées la taverne de Boulgrouche.
L'homme était probablement mort, emportant dans sa chute quelques villageois imprudents qui avaient voulu le sauver. Heïdan se réjouissait à cette pensée lorsqu'il aperçut enfin l'endroit qui lui servait de domicile.

Il siffla l'épervier.
Le rapace avait bien mérité récompense.
Mais en se retournant il s'aperçut que son compagnon de fortune ne l'avait pas escorté jusqu'à la crypte, c'était la première fois que ce dernier ne le suivait pas à la trace. Heïdan retourna sur ses pas, foulant le sable de Guyenne par de grandes enjambées.

Regard circulaire entre le ciel opaque, la mer et le sable.
L'oiseau avait choisi de se poser non loin d'une silhouette allongée sur le sol. Le grand homme s'approcha prudemment.
Au fur et à mesure que se dessinait l'ombre féminine face à lui, il reconnut les traits de celle qui n'avait cessé d'envahir ses pensées depuis sa première arrivée à Blaye l'année passée.
C'était elle. Celle pour qui le naufragé était revenu, celle pour qui il avait parcouru tant de chemin.

Etait-elle endormie ? Etait-elle morte ?
Heïdan devait s'en assurer.

Approchant davantage de la jeune femme il s'agenouillea à ses côtés, toujours prudent, et posa sa longue main agile sur ses cheveux ébouriffés par le vent. L'inconnue n'eut pas de réaction, le rapace battait des ailes en criant à ses côtés. Sans doute la marée montante l'emporterait-elle d'ici quelques heures si elle restait inanimée ainsi.

Heïdan décida de l'emmener à l'abrit. Le feu qu'il ferait pour elle au fond de la crypte la réveillerait. D'un geste sûr il enroula son bras par dessous ses jambes et la porta aisément en la tenant contre son torse, la laissant blottie dans sa couverture qui semblait la tenir au chaud. La jeune femme dormait tel un ange entre ses bras qui l'emportaient.

Il fit une longue marche encore pour l'emmener au loin jusqu'à la crypte à travers la nuit.

pnj

[plus haut … près de la masure]

C'était la fin du voyage, la fin de leur merveilleuse histoire …

Voir l'océan … contempler le spectacle, assister a la magie …
s'abandonner dans une vague de bonheur, ultime vague de tendresse …
enlacés, se tenant la main leurs doigts mêlés, tel était leur désir pour leurs derniers instants.
Dans un baiser ils partiraient …

Gaely l' avait rejoint … il avait trouvé l'endroit idéal … Il ne pouvait y avoir mieux.
Cette maison ressemblait tant à celle qu'ils avaient visité a Castillon …
Castillon … la ville qui l'a vue naître … Kah, sa chère Kah … Kit, sa chère amie aux nombreux cochons … le bureau …
les tavernes … tous ces amis qu'ils laissaient … tous ceux qui avaient besoin d'elle …

Son cœur lui semblait être prit dans un étau …
Elle avait mal, très mal mais rien ne pourrait être comparable à la douleur qu'elle ressentirait sans son Duncan.

Elle n'avait pas hésité l'ombre d'un instant …
Il était sa raison d'être … sa raison d'exister … son rayon de soleil … son étoile au firmament.

Duncan était là assis dans le sable … les yeux rivés vers le large …
Elle le regarda … lui sourit tendrement …
Gaely s'installa tout contre lui, replia ses genoux sous sa chemise trop grande …

Il l'avait regardée … l'avait enlacée … elle avait posé sa tête sur son épaule ...
Ils avaient rejoint leurs mains, mêlé leurs doigts …

… au loin

Gaely releva la tête ... Duncan la regardait ...
Elle noya ses yeux dans les siens ... lui sourit ...

je t'aime Duncan Mac-Leod

pnj

c'etait la fin du voyage.
apres une derniere etape, Mac Leod et Gaely etaient enfin arrivés au but ultime de leur periple.
Comme Dax lui semblait loin. Sa prime jeunesse, sa rencontre avec sa puce, puis le depart, Castillon, les amis, l'image du bonheur. non, pas l'image, LE bonheur.
Et puis vinrent les aleas, les absences, la peine non dite mais ô combien presente qu'il lisait dans le regard de son aimée... Cesser de la faire souffrir, lui epargner ces attentes interminables... Il n'y avait qu'une seule issue...

elle etait devant ses yeux. L'ocean, son immensité, son calme, sa serenité apaisante. finir là, en accord avec soi même. Il n'avait pas prevu que Gaely se joindrait à lui. Il avait essayé de la dissuader, mais c'etait Gaely... on ne la dissuadait pas comme ça...

Mac la quitta aux abords de Blayes, et se mit en quete d'un endroit qui pourrait les accueillir pour leurs deux derniers jours. Apres quelques minutes, il decouvrit une masure, modeste, a l'abandon. Tout à leur image.

Il poussa la porte, deposa leurs maigres possession à l'interieur, et ressortit. Il n'y avait plus qu'a l'attendre. Il s'assit sur le sable, genoux sous le menton, et contempla le spectacle des vagues. C'etait l'endroit ideal, leurs pas les avaient guidés au bon endroit....

Aysun

Une nuit de cauchemars, une nuit tragique, une nuit sans étincelles. Elle avait marché sans pouvoir s’arrêter.

Se laissant tomber près de la plage entre vents et marées.
Recroquevillée sur elle-même tremblante, enroulée d’une simple couverture recouvrant son visage rougit par les larmes, Aradiia fini par s’endormir sans se soucier des brigands de passage.

Ces quelques mots à peine audibles sorti de sa bouche, Jamais D'autre Que Toi…

Jamais d'autre que toi en dépit des étoiles et des solitudes

En dépit des mutilations d'arbre à la tombée de la nuit

Jamais d'autre que toi ne poursuivras son chemin qui est le mien

Plus tu t'éloignes et plus ton ombre s'agrandit

Jamais d'autre que toi ne saluera la mer à l'aube quand fatigué d'errer
moi sorti des forêts ténébreuses et des buissons d'orties je marcherai vers l'écume

Jamais d'autre que toi ne poseras sa main sur mon front et mes yeux

Jamais d'autre que toi et je nie le mensonge et l'infidélité

Ce navire à l'ancre tu peux couper sa corde

Jamais d'autre que toi

L'aigle prisonnier dans une cage ronge lentement les barreaux de cuivre vert-de-grisés

Quelle évasion !

C'est le dimanche marqué par le chant des rossignols dans les bois d'un vert tendre l'ennui des petites filles en présence d'une cage où s'agite un serin tandis que dans la rue solitaire le soleil lentement déplace sa ligne mince sur le trottoir chaud

Nous passerons d'autres lignes

Jamais jamais d'autre que toi

Et moi seul seul seul comme le lierre fané des jardins de banlieue seul comme le verre

Et toi jamais d'autre que toi

(Paroles Alain Bashung)

Vonneuman

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C'était le dernier jour avant leur départ. Von et Cyb s'étaient donné rendez vous une dernière fois ici, devant cet océan magique ou tout avait commencé. Le soleil, qui descendaient à l'horizon, illuminait le ciel d'une couleur rougeoyante des plus romantiques. Leurs silhouettes dénudées, s'avançaient vers les vagues qui jouaient avec eux comme complices de leur amour, jusqu'à ne plus avoir pieds. L'eau les portaient.

Si quelqu'un vous dit, j'ai vu une sirène jouer avec un dauphin, croyez le sur parole. Ce ballet aquatique était d'une telle sensualité qu'on avait peine à croire que deux êtres puissent s'aimer de cette façon.

L'Amour, l'unique amour qui scellent le destin de deux âmes existe vraiment. Ne l'oubliez jamais, pour vous, pour eux, pour l'humanité entière.

Puis ils gravèrent sur le sable:

Cybella

Visages vers le rivage, les yeux pleins d'amour, respirant ce que le vent leur ammène du large. Ils nagent ensemble, se confondent avec les éléments.....Cyb et Von c'est l'espoir de vivre un amour pur comme l'océan, vivant comme les vagues, doux comme l'écume et chaud comme un couché de soleil.

_________________

Mampillou

Mampillou revenait du bureau du cadastre. Elle avait demandée d'aménager dans le quartier du petit port.

Elle s'assit sur la crique et regarda la mer, fermant les yeux pour écouter le bruit des vagues et mieux s'imprégner de son nouveau quartier.
Elle décida de rester là un moment. Elle était heureuse. Seule mais heureuse. Elle avait son propre champs et allait bientot avoir une adresse. Quoi de mieux.

Elle souriait.

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Yisselda se retourna et vit que c'était sa soeur qui l'appelait et courait vers elle. Une fois proche d'elle, elle lui prit les mains avec douceur:

Ton heure n'est pas encore arrivée ma chère soeur. Tu trouveras ta place, j'en suis sûr. En attendant je te fais la promesse que nous nous reverrons un jour...

La jeune femme recula puis s'éloigna doucement. Yisselda tendit ses mains pour la retenir, mais en vain. Une sensation de chute la prit puis tout devint sombre.

Yisselda ouvrit les yeux. A sa grande surprise elle était allongée sur le sable et ses vêtements étaient secs. Avait-elle rêvé? Encore confuse, elle décida d'y réfléchir plus tard. Elle se leva puis regarda aux alentours. Ceci lui permit d'apercevoir Mampillou non loin d'elle. Elle décida d'aller à sa rencontre et de la saluer:

Bonjour dame Mampillou. Nous nous sommes croisés un fois en taverne il y a quelques temps. Enfin, ce n'est pas grave si cela échappe à votre mémoire.

Yisselda sourit, puis:

Puis-je m'asseoir?

Mampillou

Mampillou qui souriait en regardant la mer et humait l'air vit s'approcher une personne qu'elle avait déjà rencontrée mais avait oublié, une fois de plus, son prénom. La jeune fille entama la conversation.

Bonjour dame Mampillou. Nous nous sommes croisés une fois en taverne il y a quelques temps. Enfin, ce n'est pas grave si cela échappe à votre mémoire.

Puis-je m'asseoir?

Mampillou rougit et répondit :

oui maintenant je me rappelle. Vous êtes Elda je ne me trompe pas ?
Et oui bien sûr que vous pouvez vous s'assoir, on pourra faire un brin de causette.

Mampillou était contente, elle allait peut être faire plus amples connaissances et qui sait peut être un jour elles seraient amies. C'est ce qu'elle espérait au plus profond de son coeur.

J'espère que vous allez bien. Moi, je viens d'acquérir un champs de blé et une propriété. J'ai demandé le n°17 du quartier du petit port. Lorsque cela sera accordé, vous pourriez venir visité ?

Mampillou était revigorée. Elle avait osé inviter quelqu'un qu'elle ne connaissait à peine à venir chez elle. Sa petite discussion, hier soir avec Kro et Aradiia lui avait fait du bien.

pnj

Un sourire de gratitude sur les lèvres, Yisselda s'assit:

Oui oui, c'est bien Elda.

Puis la jeune femme écouta les paroles de Mampillou, l'air serein. Son sourire se trouvait plus large à chaque phrase. Elle répondit:

Je vais bien, je vous remercie. J'accepte avec plaisir votre invitation. Je vous apporterais un petit quelque chose par la même occasion. Avoir son propre chez soi est une étape importante.

Yisselda ressentait beaucoup de sympathie envers la jeune femme. Quelque chose lui disait qu'elles s'entendraient bien.

pnj

La mer...Yisselda la voyait pour la première fois. Sauvage, puissante, tourmentée, c'était les mots qui lui venaient en la regardant. Sans cesse l'eau léchait le rivage et sans cesse elle se retirait.

Elle avait ses humeurs, ses jours. La mer est bien vivante, beaucoup plus que celle qui la contemple. Yisselda était affaiblie comme partant à petit feu. Ses yeux bleus étaient devenus ternes, son teint de jeune fille s'était envolé. Son rire et son sourire n'animaient plus son visage. Elle était devenue statue face à l'océan mouvant.

Sans qu'elle puisse le comprendre elle marcha lentement vers les flots, comme possédée. Cette vie attirait sa latente existence. Aucune larme ne mouillait son visage. Elle n'était pas triste, elle revivait le passé. Yisselda devint sa soeur, cette chère soeur retrouvait sans vie dans l'écrin de l'écume.

Yisselda ne voulut voir la mer alors elle avait imaginé depuis tout ce temps. Ainsi, en marchant inexorablement vers la mort, elle rejoindrait sa soeur. L'eau lui arrivait à la taille à cet instant. Elle continua sa marche. Yisselda crut entendre un cri lointain et des pas précipités sur le sable. Etait -ce son imagination?

Cybella

Seule sur le sable, les yeux dans l'eau, notre rêve est bien trop beau.....pense Cybella

Cybella sourit à cette nuit passée près de Von, à son coeur qui allait exploser dans sa poitrine tant s'était fort... L'eau vient et revient lécher ses pieds nus, l'eau est douce et agréable, même pas froide. Les vagues se sont calmées, comme pour la calmer aussi.

Elle se promène... attend son bien aimé, on sait jamais.....
_________________

Cybella

Cybella ne peut plus se passer de venir içi, au fond où tout a commencé, sa renaissance... Elle marche sur le sable humide et dessine un coeur, celui de son amour, pour lui, son tendre amour!!!

Elle s'asseoit au bord de la dune, presqu'en haut à l'abris du vent, le visage face à l'immensité bleu...

Pieds nus sur le sable fin et blond, écoutant que le bruits des vagues qui déferlent sur les bancs de sable, son esprit s'apaise...enfin délivrée d'une soufrance.

Un poème lui vient à l'esprit :

Elle le murmure doucement au vent :

L'OCEAN

Une vague m’entraîne
Et je me laisse dériver
Les yeux fermés, je savoure
Ce bien-être comme enivrée .

En ouvrant les yeux
Je ne vois que le ciel bleu,
Cette eau qui m’entoure, brillante
Fait penser à l’éclat du diamant !

Je voudrais être sirène
Et traverser les Océans !
Oubliant toute pensée humaine
Pour vivre au gré du courant…

Hélas, la marée me ramène
Indéfinissable voyage !!
La mer, c’est mon élément
Je l’aime encore davantage

Le temps passe si rapidement!

Elle sourit enfin!!! Ce bonheur retrouvé içi, sourit, se lève cheveux au vent et reprend sa route entre les dunes. Jette un dernier regard à l'Océan et lui dit :
Merci!!!
_________________

Vonneuman

Von devait encore aller sur cette plage riche en émotions, là ou l'amour y déposa sa magie.
Du haut d'une dune il aperçut ce que le vent avait gravé sur le sable. Il s'approcha pour y laisser son empreinte.

Ces quelques mots sont pour toi ma douce Cybella, mon tendre amour,

Nos chemins se sont croisés
Nos yeux se sont accrochés

Ton sourire est devenu mon soleil
Ta tendresse une grande merveille.

Je t'offre dans mes mains
Mille baisers câlins
Pour que jamais tu n'en sois privée.

Si un jour, la vie t'arrache à moi,
Si tu meurs, que tu sois loin de moi,
Peu m'importe si tu m'aimes,
Car moi je mourrais aussi.

Nous aurons pour nous l'éternité,
Dans le bleu de toute l'immensité,
Dans le ciel, plus de problème,
Mon amour, je sais qu'on s'aime

Dieu réunit ceux qui s'aiment.

Mampillou

Mampillou s'était réveillée de bonne heure ce matin. Elle ouvrit ses volets pour apercevoir un soleil magnifique.
Elle décida s'en plus tarder de profiter de cette belle journée pour aller faire un pique nique au bord de l'eau.
Elle se prépara avec hâte. Elle était d'humeur joyeuse.
Elle prit son panier et mit un pain, quelques radis et du maîs, emporta aussi des pommes et une petite bouteille de vin.
Et elle partit le coeur léger en direction de la mer.

Arrivé sur la plage, elle s'arrêta pour humer l'air

Mon dieu, que cela s'en bon

Elle décida de se mouiller les pieds. Elle était un peu froide mais elle s'habituais et continuas à longer la plage.
Elle découvrit une petite crique et décida de s'installer ici pour la journée.

Oh la la que c'est beau

Elle s'allongea et rêvassa

Cybella

Cybella se promène au bras de Von et en compagnie de Guillalme sa soeur de coeur depuis peu.

Que de bonheur aujourd'hui, une journée magnifique avec des amis. Les pieds dans le sable, et cet océan à perte de vue.

Marcher, discuter, rire aux éclats, rêver, voila bien longtemps que Cybella ne l'avait pas fait. Une journée mémorable, qui ne pourra que rester graver à jamais dans sa mémoire et dans son coeur.

Blaye, décidement tiendra une place particulière dans son esprit et dans son coeur aussi, c'est une ville envoûtante et magique...
_________________

Guillalme

Guillalme, toute ragaillardie de se promener vers la mer en compagnie, ne boudait pas son plaisir de marcher vers l'Océan entre Von et Cybella, qu'elle inscrirait désormais dans la liste de ses amis. Après les récentes épreuves passées, c'était un vrai réconfort pour elle de se retrouver avec des gens qui lui rappelaient ceux de Blois. Si elle n'avait pas un attachement profond pour sa nouvelle patrie blésoise, elle aurait sûrement décidé de s'établir ici à Blaye où la vie semblait douce et les amitiés chaleureuses et authentiques. Et puis il ne lui aurait pas déplu de rencontrer souvent Messire Vonneuman au quotidien...

Comme Cybella, en véritable fille de la vieille Armorique, respirer l'air marin était un plaisir inégalable et ineffable et lui faisait oublier toutes ses peines...

Vonneuman

Von appréciait de marcher sur cette plage entouré de ses deux amies, il sentait le sable chaud se dérober sous ses pieds nus, le vent iodé de la mer emplissaient à nouveau ses poumons. Le bruit de ces immenses vagues résonnait comme un air enchanté et magique à ses oreilles.

Cette mer qui lui manquait tant, qui peut être a la fois magique et cruelle parfois, et il la redécouvrait grâce à elles.

Il y avait longtemps qu'il n'avait pas retrouvé une telle joie. Le simple plaisir de la vie, d'une amitié sincère, de rires partagés, de toutes ces petites choses qui font de la vie un précieux cadeau.

Il contemplait cette eau a l'infini et qui lui rappelait les cotes d'Artois qui lui manquaient...

Jamais il n'oubliera ce moment plein de bonheur...

Bridgess

Aysun

Adieu, Chère Bandida tu vivras malgré toi dans mon cœur.

Rosy76

Piesek

Dzerva

hummm... première fois que je viens ici...

quelle belle vue ! je devrais passer plus souvent ! je rêve de longues promenades avec lui...

mais il n'est pas là.

je crois que je vais rentrer chez moi et dormir un peu

Rosy76

pnj

Piesek

Heidan

Aysun

pnj

Kronembourg

Aysun

Romina

Romina etait heureuse,marchant la main dans la main pres de son bien aimé. Elle souhaitait tout le bonheur possible à Nala, peut etre deviendraient elles amies?
En tout ca c'est ce que Romina souhaiterait.

Ils se dirigèrent tous les trois en ville, pour feter ce moment d'emotion.

Nala

Aprés quelques choppes avalées en taverne en compagnie de Romina et de Silurius.... elle retourna là où elle aimait être....prés des vagues à écouter leur chant et humer l'air iodé qui lui rappelait tant de souvenirs

Nala s'allongea sur le sable et n'avait plus qu'à patienter et attendre son retour

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Jaraude

La nuit de voyage avait été la plus longue que les jours qui lui avaient semblé être une éternité.
Jamais encore, il eut à sentir cette impatience d'arriver et il comprit à ce moment là que celle qu'il avait du laisser, lui était importante.
Oui, il devait le reconnaître, Jaraude était bien amoureux de la douce Nala.
Il arriva en ville et déjà le soleil était haut dans le ciel, il passa vite fait en taverne pour reprendre des forces et savourer un bon plat qui lui avait bien manqué et boire une bonne bière.
Il ne se sentait pas plus chez lui, mais trouva le lieu familier et il s'en réjouit de pouvoir y retrouver les gens qu'il avait laissé.

Il passa proche de la fontaine de la ville et se rafraichit pour prendre le chemin de la plage, lieu qu'il affectionnait et où il retrouvait une force incroyable.
L'odeur de l'iode, les embruns et la brise légére , tout était là , il ne manquait rien.
Le bruit incessant des vagues, les cris des mouettes et des cormorans qui fendaient de ciel en direction de l'eau argentée où le soleil offrait ses plus beaux reflets.
Comme à son habitude et parce que c'est ainsi qu'il aimait se rendre en direction de l'ocean, il quitta ses bottes et releva ses braies et avança pieds nus vers l'eau qui l'appelait et marcha le long des vagues toujours langoureuses qui venaient le froler dans un plaisir incommensurable .
Il avançait paisiblement et au loin il lui sembla voir une forme sur le sable.
Il fronça les yeux pour mieux scruter ce qu'il lui semblait être une femme et sentit son coeur battre plus vite.
.....si ce pouvait que ce soit elle.....
Il prit le temps de quelques secondes pour s'assurer qu'il ne faisait pas d'erreur, mais il en fut convaincu et là , sans prendre le temps d'hésiter ou pas, il accelera le pas , car il en était de plus en plus sûr, c'était bien celle à qui il n'avait cesser de penser.
Il arriva encore plus près et reconnu sa chevelure qui voletait au vent.
Elle était là , allongée sur le sable fin, la tête posée sur ses bras repliés donnant aux courbes de son corps le bon soin de styliser sa robe tel qu'un sculpteur de grand talent aurait pu rendre la réalité de ce bout de femme en la plus belle des oeuvres qu'il aurait été d'avoir en ce monde.
Il s'arrêta et se posa à ses côtés, prenant soin de ne pas la réveiller encore, afin de pouvoir se delecter du regard et de se rendre à l'évidence qu'elle était bien la plus belle chose qu'il ait eu à recevoir pour sa vie.
Il ouvrit doucement sa besace et en sortit le petit bracelet d'argent qu'il avait acheté en route et où en souvenir avait trouver la juste la taille lui semblait bonne.
Il passa ses doigts sur le métal ciselé qui reprensentait toute une lignée de fines fleurs et arabesques et il prit délicatement la main de sa belle endormie et tout doucement glissa l'anneau d'argent à son poignet.
Il l'a vit légérement bouger et geindre dans un sommeil qui allait se terminer et avant qu'elle n'ouvrit les yeux , il se baissa vers son visage à moitié caché par les méches blondes et retrouva l'odeur chaude de son cou et y déposa un tendre baiser.
Enfin , il l'avait retrouvé
Il murmura alors proche de son oreille
Nala, je suis là, je suis revenu ma toute belle,
Jaraude est de retour....

Nala

Nala plongée dans un profond sommeil, ouvrit un oeil... sentant un souffle sur elle et ........ se releva brusquement et prit son baton pour assomer l"ennemi!!! Puis jeta son arme.... reconnaissant... son beau Jaraude revenu de son périple

Han!!!!!!!!!!!! Jaraude...... MON Jaraude.....

génée .. elle avait bien failli lui coller le bâton en plein milieu du front! puis l'attrapa par le cou se jeta dans ses bras .... le sourire aux lèvres.. contente de le retrouver

[/b]

Nala

Nala sentit quelque chose à son poignet, regarda ce qui pouvait la géner... et ses yeux pétillèrent encore plus... un bracelet, un sublime bracelet.

Le regarda et bon.. l'avait laisser reprendre son souffle car évidemment avait eu du mal à décoller ses lèvres des siennes^^^^mais recommença car c'était le plus beau cadeau qu on pouvait lui faire.. et puis son anniversaire n'était pas si loin, il ne le savait pas mais sans le savoir, Jaraude avait comblé de joie sa Nala.

Nala se blottit contre lui et admira son beau présent..

Jaraude

Quand il la vit ouvrir les yeux, Jaraude se mit à sourire et la laissa revenir à elle.
Leur lèvres se retrouvèrent et dans un baiser ardent , ils se dirent plus que ce qu'ils avaient pu prononcer avant de se quitter.
Jaraude avait en lui la confirmation de ce qu'il ressentait pour elle et quand Nala se blottit contre lui, il l'enserra de ses bras tendrement
Ma douce Nala, enfin je suis de retour, enfin je te retrouve. Je sais que je te fausse souvent compagnie et que de là où je suis mon pauvre pigeon ne peut partir, mais crois moi chaque jour mes pensées étaient vers toi.
Il la regarda dans les yeux et se dit que son regard enchanteur était la plus belle chose qu'il eut à regarder et qu'il pourrait y passer des heures, voire toute sa vie.
Il la laissa reprendre vie, et lui prit la main
Ma douce Nala, viens, suis moi , allons nous promener le long des vagues jusqu'au village que je puisse t'offrir une bonne bière blonde Ma Blonde !!
Il la souleva doucement et la prit par la taille et c'est en la tenant contre lui qu'ils avancèrent tout les deux, sentant en lui comme une douce fierté de faire ses pas avec elle

Nala

Nala nicha sa tête dans le creu de son cou... et se laissa porter...heureuse comme d'habitude lorsque Jaraude est là.

Tu m'as manqué tu sais....ne me laisses plus...

Ils disparurent vers le village afin de fêter leurs retrouvailles en taverne

Nala

quelques jours plus tard... tout recommencait.. il était de nouveau parti...

Nala scrutait le ciel, un ciel si bleu mais avec un coeur si gris...Jaraude était de nouveau rappelé par les moines, nala ne savait pas exactement quand il reviendrait, il ne le savait pas lui même...

Assise au bord de l'eau.. elle réfléchissait... était bien ici mais sans lui.. le temps lui paraissait trop long à chaque fois, elle observait les mouettes survolant la mer...

Elle attendra la venue d'emma et de baptiste afin de les accueillir et ensuite partira en voyage afin de revoir ses amis dispersés un peu partout, ce projet permettra de voir le temps passer plus vite jusqu'à ce qu il lui revienne.

Biensur il y avait la maison... mais seule dans une si grande maison.. elle avait déjà commencé la décoration mais quand un être vous manque tout est dépeuplé et donc... Nala ne trouvait plus l'inspiration.

Jeta quelques galets afin de faire des ricochets ... et fit des voeux à chaque exploit...."faites qu il me revienne vite...." "faites qu il ne reparte plus...."

Nala était triste mais... jaraude n'aurait pas aimé la savoir comme cela alors elle se reprit... essuya ses larmes déjà séchées par le vent... remonta ses cheveux en chignon mal fait, prit son baluchon et ses chaussures et prit le chemin de la retraite jusqu'à lundi afin de réfléchir à ce qu'elle allait entreprendre durant la longue absence de jaraude... rester ici ou voyager....

Crystal

Le jour déclinant, Crystal prit le chemin de la plage. Elle était arrivée la veille et s'était empressée d'aller retrouver son amie, la Vicomtesse.

Mais ce soir, elle ne pouvait se refuser à aller voir l'océan, d'autant qu'un peu d'air iodé ne lui ferait pas de mal. Marchant les pieds nus dans le sable, les vagues qui venaient lui lécher le bout des orteils, puis se retirant, emportant avec elles le sable fin. Quelle douce sensation.

La blonde s'arrêta un instant, scrutant cette ligne droite que l'on appelle horizon. Qu'y avait il de l'autre côté? un gouffre ? un vide immense et sans fond ? comme son coeur en ce moment. Elle sentit alors cette envie d'aller voir, de flirter avec cet autre côté, de se pencher en avant afin d'y apercevoir quelque chose.

Elle s'assit là, dans le sable, songeant. Arelis, sa "disparition" la laissait sans réponse, comme une histoire inachevée, un goût amer dans la gorge, voilà ce qu'il en reste, de cet amour. Comment avancer ainsi? comment pouvoir tirer un trait sans aucune explication? Et pourtant c'est ce qu'elle ferait, c'est ce qu'elle faisait déjà, pour son fils, pour elle.

Et puis il y avait...elle. Son amie, sa Divine. elle lui avait tant manqué. le temps lui paraissait interminable sans elle. Cette femme torturée, Cette Divine lumière qui souffrait tout au fond d'elle. Crystal avait peur. Oui, peur de ne pas pouvoir un jour la protéger. Peur de la perdre aussi. Car, elle perdait à chaque fois, chaque personne chère à son coeur.

La nuit tombait presque, mais Crys restait là, assise, la tête dans ses pensées.
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Silurius

Silurius arrive sur la plage en ce superbe jour de pâques, fais quelque pas et s’assoit dans le sable, triste de ne pas avoir de nouvelle de sa chérie.

Une légère brise marine viens lui caresser le visage et lui rappeler la douceur de la vie, les yeux dans le vide et ses pensées très occupées, il repli ses genoux, les entours de ses bras, et pose son menton dessus.
Le doux champ des clapotis sur la rive bercent ses pensées éparses.

Il se sent seul malgré les rencontres en taverne, l’absence de son amour ainsi que de sa meilleure amie le rend triste.

Il s’allonge sur le sable réchauffé par ce doux soleil de pâques, et, les yeux noyés dans l’immensité du bleu de ce splendide ciel, se laisse envahir par de douces pensées qui l’aident à passer le temps en attendant les deux femmes aux quelle il tient beaucoup et qui ne sont malheureusement pas présente à ces cotés.

Xa_snow

Lorsqu'il était énervé, lorsqu'il était soucieux, lorsqu'il était triste ou quand il devait se retrouver avec soi-même, l'helvète allait toujours sur les rives du lac de Lausanne.

L'eau avait toujours eu un effet apaisant pour lui. Est-ce le calme environnant? La musique des vagues? Où le fait qu'il puisse simplement s'y isoler sur une barque? Il ne s'était jamais posé la question.

Ce jour là, il avait vu sa plus ancienne amie se faire frapper. Encore. Son sang avait bouilli comme cela ne s'était plus passé depuis bien longtemps. il avait même dégainé sa dague en taverne. Chose qui généralement le rendait comme fou. Mais là, c'était lui qui était comme fou. Fou de colère.
Une colère qu'il retourna contre les siens.

Lorsque la filleule de son épouse avait feint de ne pas lui rendre cette dague. La dague de son père. Cellà-même qu'il avait reçu des mains de sa mère adoptive, témoignant de son entrée dans la famille, témoignant du passage de flambeau du père au fils. Il devint presque méchant. Méchant même envers l'amour de sa vie lorsqu'elle s'interposa entre Dela et lui.
Alors il sut qu'il devait s'éloigner. Il sut qu'il devait se calmer. Il sut qu'il leur devrait des excuses.

Ayant son épée à la taille, il l'en sortit et fendit l'air et les coquillages qui l'entouraient. Cela faisait des années, qu'il n'avait plus manipulé de la sorte une telle arme. Cela l'épuisa suffisamment pour que la tension parte.

Xa se rafraichit le visage avant de retourner chez lui. Espérant y trouver ses innocentes victimes.

Nala

Nala était revenue.... enfin.... ce fût long.... aperçoit au loin son ami Silu!!!! se sert de ses mains pour faire de l'ombre et le reconnaît bien ....court vers lui

SILUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUU YOU OUHHHHHHHHHHH

Arrivant à sa hauteur se jette à son cou!!!

me voilà Silu!!!

Rigole... contente d'être de retour....

Silurius

Le son d’une voie famillière qui criait son nom le fit reprendre ses esprits.

Il se retourne et aperçoit la belle nala courir vers lui les bras écartés, il eu juste le temps de se mettre debout qu’elle atterrit dans ses bras.

Coucou ma belle, je suis ravis de te revoir, je pensé pas te revoir aussi vite et tu me manquais déjà.
Je suis si contant de te revoir !

La serre dans ses bras, lui fais un gros bisou, passe son bras sur son épaule

Aller viens ma belle on vas fêter ton retour en taverne

Nala

Nala ne cessait de rire... tellement contente d'être de retour... entraîna Silu par la main vers la taverne la plus proche...

On a pleins de choses à se raconter!!!!!! allez viens!!!!

Elle lui pris la main et se mit à courir comme une folle..

Silurius

Silu était heureux de revoir son amie et riait avec elle, elle le prit par la main et se mit à courir.

Héééé….. Doucement, tu à manqué de bière Durand ton voyage pour être si pressée ????
N’ai crainte, il y aura encore de la bière dans les tonneaux à notre arrivée.

Lui fait un sourire et se dirigent vers la civilisation

Jaraude

Le pas lent, Jaraude avait quitté les rues de la ville et arriva sur la plage et en respira à nouveau les embruns qu'il aimait tant. L'océan siflait à mesure des vagues qui venaient s'étaler en longueur d'écume sur le sable fin et repartaient en arrière comme un long voile blanc qui se retire ne laissant que la trace brillante de leur passage languoureux.
Au loin, des silhouettes s'en allaient et il les scruta car il lui sembla reconnaître celle qu'il aimait. Le temps d'accomodation de son regard fut le même temps où celui de son coeur se calma puis soudain , il lui sembla qu'il faisait trois tours dans sa poitrine.
Car même du bout du monde , il aurait reconnu sa silhouette.
C'était bien elle , mais elle était au bras d'un autre, aussi il resta planté sans un pas de plus et préféra ne pas appeler au loin et laisser faire ce qui devait être ou pas.
Il était partis trois longues semaines et savait que parfois les choses changeaient plus qu'on ne pouvait croire, lire, ou être.
Il détourna son regard et se remplit des couleurs du ciel qu'il retrouvait et où les nuages en ce jour se courraient après.

Nala

Nala s'arrêta ... remit ses souliers.. et en se relevant aperçut au loin un homme...

Son coeur s'emballa.... c'était lui.... il était revenu....lacha tout, laissa Silu sans plus d'explication et courut comme une perdue vers celui qu'elle aimait son jaraude... des jours et des jours à l'attendre et le grand jour des retrouvailles était enfin arrivé

JARRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRAAAAAAAAUDE!!!!!!!!!

Nala courut à perdre haleine le rejoindre, heureuse... si heureuse.....

Jaraude

Les yeux perdus dans le fond du ciel, Jaraude n'avait plus de pensées, il était calme et serein en lui même, s'étant dit que sa belle avait bien de le droit de vivre aussi pendant son absence et même si il lui avait semblé reconnaître également un de ses anciens soupirants, il savait au fond de lui qu'elle lui avait promis fidélité et ils s'étaient dit leur amour.
Aussi, il était confiant, laissant son regard vagabonder avec les nuages, suivant parfois le vol d'une mouette en souriant et lui jalousant presque sa capacité de pouvoir voler et planer au dessus de l'immensité du monde.
Soudain , un long cri le ramena à lui et il sentit à nouveau le vent sur son visage et il tourna la tête en direction du long son qui s'en aucun doute était son prénom.
Il reconnu sa voix, et l'a reconnu elle, c'était bien elle qu'il avait apercu au loin , et voilà qu'elle courrait vers lui en l'appelant.
Son coeur s'accelera dans sa poitrine et comme un signal il partit dans sa direction en courrant aussi vite qu'il le pouvait réduisant alors la distance sur l'immense plage qui les séparait jusqu'à ce qu'il en apercoive son sourire, son regard, elle riait et il courrut encore plus vite et une fois plus proche d'elle , ouvrit ses bras en grand pour la recevoir de tout son être.
Nalaaaaaaa , ma beeeeeeelllleeee, je suiiiiiiiiiiis de retouuuuuuuuuuur
Leurs courses mutuelles se termina dans un enlacement tournoyant plein de rires, de baisers, de carresses folles et puis ils se retrouvèrent immobiles tout corps serrés l'un contre l'autre dans un long baisé intime qui en disait plus que tout ce qu'ils avaient à se dire.
Sous les nuages, le cris des mouettes de Blayes, sur cette plage, ils se retrouvaient et ce moment Jaraude l'avait tant espéré.

Nala

emportée dans ce tourbillon d'amour, Nala ne put contenir ses larmes.. mais des larmes de bonheur... elle le serra fort dans ses bras, ce moment... elle en avait révé....et il était enfin arrivé..

Le regarda, le dévora du regard.... qu'elle le trouvait beau son Jaraude...

Mon amour.... tu m'as tellement manqué...

Caressa son visage sans le quitter du regard

Silurius

Silurius senti la main de nala s’extirper brusquement de la sienne sans comprendre, et la vit partir en courant comme une dérater sur le sable fin de cette plage si agréable.

Il se retourna et aperçu au loin l’homme que son amie aimait par-dessus tout, et compris qu’il fallait les laisser seuls pour qu’ils aient le temps de se retrouver.

Sillurius esquisse un sourire en les regardant tournoyer et remplis de bonheur, puis reprend son chemin pour rejoindre sa belle romina et vivre également leur amour

Nala

Nala, se reprit... et se rappela qu'elle avait laissé Silu en plan...

Attends Jaraude.... han... j'ai euh enfin j'étais avec Silu et euh je ... enfin merdouilllllllllllle quoi!

Prit la main de son bien aimé et alla rejoindre Silurius... pour s'excuser de l'avoir laissé comme çà mais elle savait qu'il comprendrait.

SIIIIIIIIILLLLLUUUUUUUUUUUUUUUU attends!!!!!!!!!!!! ATTENDS NOUS!!!!!

Elle courait encore une perdue trainant Jaraude.. épuisé par son voyage...

Allez Jaraude!!! plus vite m'enfin!!!!!

Se mit à rire... et continua de plus belle!

Sherynne

La brunette s'ennuyait ferme depuis son arrivée à Blaye. Elle n'avait à s'en prendre qu'à elle-même et se frayer un chemin en taverne, mais le coeur n'y était pas.
Les voyages c'était pas son truc. A peine sortit de Castillon, Sherynne avait eu envie de faire demi-tour mais on l'attendait à La Rochelle ....
Le nez en l'air, elle humait l'odeur iodée ... L'océan n'était plus très loin ...
Souriante, elle sortit de Blaye et trouva quelqu'un qui l'accompagna un peu plus au nord, là où la Gironde laissait la place à l'immensité tant espérée ..
Elle descendit de la charrette, remercia l'homme pour sa gentillesse et se tourna doucement.
Sous un soleil éclatant, elle leva la main gauche pour se protéger les yeux et admira le souffle coupé la beauté de l'océan.

Magnifique ... murmura t'elle. Elle retira ses chausses et se planta dans le sable. Les orteils se mêlèrent au sable et cette sensation lui plut. La jeune fille s'avança vers l'eau, lentement, les cheveux au vent elle souriait, béate d'admiration.
Des mois qu'elle attendait, des mois qu'elle désirait y tremper les pieds et d'entendre les tambours ...
Ces fameux tambours qu'on lui avait décrit étaient en fait le bruit des vagues qui s'écrasaient brutalement sur le sable. Quel spectacle ...
Sherynne tendit le pied et quand son gros orteil entra en contact avec l'eau glaciale, elle gloussa de plaisir. Elle trempa ses mains et les porta à son nez, puis à sa bouche. Salée ...On ne lui avait point menti.

Elle marcha longtemps dans l'eau, se laissant volontiers éclaboussée en riant et regardant les couples se promener main dans la main, yeux dans les yeux .... Elle se posa sur le sable, menton sur les genoux planta son index gauche et traça quelques mots. Puis son regard se perdit vers les bateaux entourés de mouettes qui criaient, sans doute dans l'attente famélique que les pêcheurs hissent leurs filets.
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Nala

Il était tard... il faisait nuit.... Nala ne parvenant pas à trouver le sommeil décida de se rendre là où elle aimait être quand elle n'allait pas bien... prés de sa "mer", .....celle qui savait si bien la consoler.

Nala , soucieuse, était partie discrètement de la maison où dormait paisiblement Jaraude... le laissant dans les bras de Morphée.

Elle ne voyait pas grand chose.... que quelques lumières au loin..une mer brillante en dessous de cette lune qui semblait sy regardait.le village était endormi... pas l'ombre d'une âme... c'était calme... Nala frissonnait.. la brise était légère mais froide... ses cheveux dansaient au gré de celle-ci... elle tenta de les rabattre mille fois derrière les oreilles mais ils n'en faisaient qu'à leur tête.

Il faisait sombre mais Nala n'avait pas peur... elle se sentait bien ici.. s'approcha de l'eau... les vagues se déchainaient... comme si elles tentaient de lui faire comprendre leur invitation de danser avec elles.

Entourée de son châle Nala se posta sur le rocher où elle aimait tant être .. celui où elle avait fait d'étranges rencontres... ce tourteau suceptible et ces bigorneaux idiots qui lui avaient tenu maintes fois compagnie... lorsqu'elle attendait son bienaimé Jaraude l'homme de son coeur.

Que de souvenirs lui traversèrent la tête... puis le passé... qui la rattrapait.

Elle était à présent trés heureuse... avait la vie dont elle avait toujours révée petite... devenir une princesse.... sa princesse à lui....lui... son prince charmant.

Mais.... une larme s'échoua sur ses lèvres .. puis plusieurs..... Nala était triste... la tristesse pourtant n'était pas sa copine... mais celle de la nostalgie.

Nala se posta face à la mer, debout....elle respirait cet air iodé pensant qu'il effacerait ses mauvaises pensées et la ramènerait à la raison... la raison de continuer... d'avancer prés de lui et de ne pas s'envoler.

Elle avait froid.... elle avait mal au coeur... mais par pudeur préférait se retirer ici.... seule....afin de reprendre de l'énergie et d'affronter à nouveau l'ennemi, celui qui aimerait lui détruire sa vie...

Elle s'allongea sur ce rocher... comme unique couverture son châle... bercée par le chant de la mer... elle ferma les yeux...pensa trés fort à Jaraude puis laissa Morphée venir la chercher.

Jaraude

C'est quand il se tourna vers sa douce, que Jaraude s'aperçu que le lit était vide. Il était seul et la nuit n'était pas encore finit , à peine les premières lueur du jour arrivaient. Il se leva, regarda en bas pour voir si elle était dans la grande pièce et vit qu'il n'y avait pas ses vêtements. Il gromela quelques mots en s'habillant et pensa que sa belle n'avait pas du trouver le meilleur sommeil, malgré qu'il ait pu la rassurer, un pigeon lui était arrivé qui l'avait pas mal perturbée. Il eu beau lui dire de pas s'en inquiéter, il connaissait sa belle et se douta qu'elle eut du mal à trouver la paix de la nuit et qu'elle avait du aller longer les vagues sous la lune.
Il enfila son pull et prit un plaid de laine sous son bras , car il y aurait grande chance qu'il l'a retrouve bien froide !
Il avança sur la plage, et les vagues roulaient comme des chuchotements le laissant avancer et chercher des yeux le long de la côte.
Il pensa qu'au sable , elle aurait préféré le sec des rochers et il ne se trompa pas , car il aperçu non loin de lui, sur la masse de roche grise, le corps de sa belle tout recroquevillé , son petit châle sur le dos , comme si elle était un mollusque dans une coquille trop petite !
Il sourit à cette image et s'avança , déposa sur son dos le plaid qu'il avait réchauffé de son corps et doucement se pencha vers son oreille
Ma douce....tu es loin de ressembler à un bernard l'hermite et je pense que tu serais bien mieux au chaud dans notre couche , plutôt que de t'infliger la dureté de ce bloc de granite.
Réveille toi ma douce , je me gèle là ! si ça te dis on peut aller à la péche aux moules , mais bon je pense que c'est un peu tôt .
Que dirais tu de finir ta nuit dans un bon lit moelleux et chaud?
Nala se réveilla doucement et sans qu'elle ne se reveille plus , Jaraude la prit sous le bras et la souleva contre lui, il passa ses mains sous ses bras et ses genoux et l'emmena telle une sirène qu'il aurait trouvé sur ce rocher.
Il pensa qu'elle lui en ferait pas d'autre! l'obliger à sortir aux aurores pour la ramener , il bailla un coup lui aussi et se dit qu'une fois qu'il l'aurait remise dans le lit , il repiquerait du nez quitte à faire un tour d'horloge en plus !

Nala

Nala sentit son corps se soulever du sol....partagée entre son inconscient le rêve.. et la réalité... elle les laissa se batailler afin de savoir dans quel monde elle devait se réfugier..la réalité l'emportant...
Nala ouvrit un oeil... se mit à ronchonner...et plissa ses yeux afin de mieux dissocier l'image que son cerveau avait du mal à interpréter... sa blondeur sûrement.. qui mettait du temps à faire la mise au point...[i]

Nala vit le visage de son ange..... pâli par le froid... l'entoura de ses bras et se nicha contre lui... retrouvant la chaleur qu'elle se hata de savourer, puis se mit à balbutier quelques mots...

Je suis impossible ... hein?????

lui lança un sourire.....puis le bisa dans le cou, elle se mit à rire car Jaraude.... était gelé et le claquement de ses dents avait retrouver le rythme du sien... ensemble ils grelottaient et à eux deux faisaient leur mini concert des plus surprenants, lui caressa la joue...[i]

Tu as raison...Rentrons....

Delendra

Dela venait juste de quitter la taverne. Elle marchait lentement le long de l'océan, goutant aux embruns qui se posaient sur son visage, apreciant le contact de l'eau froide sur ses pieds.

Sa bonne humeur l'avait abandonnée ce soir là, seule restait une grande tristesse, comme un gouffre sans fond au fin fond de son âme. Elle qui ne supportait pas de voir les gens qu'elle aimait envahis par la tristesse ou à s'entre déchirer, elle avait été servie. Elle aurait préféré être à des milliers de lieues d'ici plutot que de se trouver en taverne cet après midi là, puis ce soir la tristesse de Xa avait déteint sur elle. Et puis Jo qui jouait aux courants d'air n'arrangeait rien à la situation.

Elle poussa un soupir et s'assit au bord de l'eau, laissant les vagues embrasser ses pieds et ses jambes. Elle ne savait plus ou elle en était, elle ne savait pas quoi faire. Le journée avait soulevé pas mal de questions dans sa tête. Qui était-elle vraiment ? D'où venait-elle ? Elle n'en avait aucune idée. Comment était son père ? L'avait-elle seulement connu ? Pourquoi avait-on assassiné sa mère ? Elle n'était plus vraiment sure de vouloir savoir, elle avait peur d'apprendre une vérité qu'elle serait incapable de digerer. Des images apparaissaient dans sa tête, flash lumineux et fugaces qui disparaissaient avant qu'elle n'ait eu le temps de les saisirs.

La voix de sa mère prédominait sur toutes ses images, son parfum aussi, pour la première fois elle se souvenait de son parfum, une odeur acidulée, sucrée. Elle se souvint de cette fameuse nuit ou elle l'avait perdue. Et puis soudain les images s'enchainèrent, claires, rapides, vivantes.

Sa respiratin s'accelère, alors qu'elle se souvient de sa course folle à travers la forêt, du bruit des branches qui craquent sous ses pas, des griffures des ronces sur sa peau fragile d'enfant. Les larmes coulent sur son visage, des larmes qu'elle ne peut retenir. Elle attrape la main d'un petit garçon caché lui aussi derrière un buisson, elle le tire derrière elle, le tire autant qu'elle le peu, essaye de l'encourager, de le pousser à ne pas s'arreter. La douleur d'un point de coté l'empeche de continuer, elle s'effondre contre la terre humide. C'est le petit garçon qui essaye de la tirer maintenant, elle se releve et ils reprennent leur course. Il court aussi vite que possible du haut de ses 4 ans, la terreur au ventre.

Finalement ils s'arretent, ils sont perdus. Ils n'y a plus un bruit autour d'eux, l'homme a perdu leur trace.Les jours passent, la faim se fait ressentir, la fatigue, la peur, les animaux qui rodent. Dela se souvient de chaque seconde passée dans cette foret, à essayer d'en sortir, de trouver une solution, un chemin qui les menerait vers un village, une maison, vers un peu de chaleur humaine. Et puis un matin, lorsqu'elle s'éveilla après une courte nuit agitée, elle se rendit compte qu'il ne respirait plus. Sa peau était froide, son visage émacié, son coeur avait cessé de battre.

Dela reprend soudain pied avec la réalité, brutalement, lorsqu'une vague plus grosse que les autres la mouilla des pieds à la tête. Elle se met à trembler, de froid de douleur. Elle ne voulait pas se rappeler, pas pour se souvenir de ça. Elle ne voulait pas... Elle sanglote, incapable de s'arrêter, sa douleur est immense, insupportable. Elle ne se sent pas prête à accepter ça.

Finalement, la jeune fille se releve, titube sur les galets, tombe, plusieurs fois, incapable de voir où elle met les pieds tant ses larmes l'aveuglent, s'écorche bras et jambes à chacune de ses chutes. Comment Xa a-t-il pu supporter de se souvenir ?

La jeune fille quitte le bord de l'eau, trempée et frigorifiée, le coeur brisé.

Nala

Nala était revenue de sa retraite...et sentit le besoin de passer par la plage et de sentir le sable sous ses pieds.. de sentir cet air iodé qu"elle aimait tant et ce vent se blottir dans ses cheveux

Elle marchait lentement, son baluchon trainait dans le sable, elle scrutait l'horizon et se mit à sourire... il devait revenir... aujourd'hui...elle s'asseya .. elle décida d'attendre ici... les yeux scrutant l'horizon afin de ne pas rater son retour, elle avait hâte.. de le serrer à nouveau dans ses bras

Bikko

Bikko arrive a Blays avec sa douce, bien endormit dans la charette et Segent leur danois qui le suivait. Il se souvenu du premier baiser que Stell lui a donné à la plage il y a deux ans. (p.3,4et5) Tien sa sera une bonne idée d aller prendre le petit déjeuner à la plage. Se dit il. Il tire fringant son cheval de trait et se dirige vers le chemin de la plage qu il trouve facilement. Ahhhh voila c est ici aller mon chien, vaaaa, amuse toi mais pas de gros tas ou je te coupe la queue. il enleva ses bottes et marche pied nu dans le sable fin AAAhhhhh quel sensation de marché pied nu dans le sable Puis... AAÏÏÏE raclure de meeerde Il avait marché sur un morceau de coquillage brisé qui c est planté en dessous du pied le fesant pousser quelques juron et réveille sa belle en meme temps
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Stelliem

Elle dormait enfin ! Apres avoir passé une partie de la nuit a marché pres de Bikko puis l'autre partie a essayer de s'endormir dans la charette malgré les nausées que lui causait les cahots des chemins c'est quand la nuit se finissait qu'elle finit enfin par plonger dans les bras de morphée.

Une heure ? deux heures plus tard ... Elle ne sait pas mais c'est un cri de douleur et des jurons bien sentis qui la reveille difficilement. Elle grogne et se redresse en s'etirant puis regarde autour d'elle cherchant a comprendre ou elle se trouve et ce qui se passe. Bon c'est l'aube... l'odeur iodée de l'ocean... Blaye... la plage...Bikko sur un pied en train de sautiller pour voir sous l'autre... Et là, Stell eclate de rire joyeuse et amusée. Elle descent de la charette et respire longuement et profondement l'air marin puis se tourne vers son amour qui semble blessé.

Bonjour mon coeur ! Qu'est ce que tu as ? Elle s'approche et se penche sur son pied blessé puis sourit taquine.

Rhooooo pauvre chou... tu es blessé au pied... on va devoir rester ici le temps que cela guerisse... Elle le taquine et sourit puis l'embrasse tendrement se collant a lui et les faisant tomber tout les deux dans le sable en riant.
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Bikko

Des heurs passèrent, les amoureux prennent du bon temps ensemble. Bikko se prend une beche et marche dans l eau jusqu aux molets et cherche des petit trous dans le sable et beche pour en sortir quelques fruit de mer comme des myes, palourdes et couteaux de mer et quelques crabe tourteau aussi.Il regarde Stell fièrement avec son sourire en montrant son seau plein de bonnes choses que la mer offre il s approche d elle en marchant et l embrasse sur les lèvres et va apporter le seau sur le sable et court vite vers l eau en appelant la mastodonte Sergeeent aller mon chien Le grand danois dresse la tête et envoyant son maître courir, le chien réagit aussi vite qu un éclaire qu il asperge la maîtresse d eau et de sable. le chien langue pendente sur le coté tout fier et court a toute vitesse vers son maître. Bikko en voyant le monstre courir vers lui commençais a le regretter et court lui aussi mais pour s éloigner de son chien mais vite fait il rattrape son maître
l' enfonçant bien au fond de l'eau. Le prenant par en dessous Bikko le souleve au dessu de sa tête et le pousse plus loin et le repousse en l' arrosant en donnant des coup dans l' eau pour le tenir a l écart. Le maîte et son chien , s' amusèrent ainsi pendant de longue minutes comme des vieux . . . gamin^^
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Stelliem

Ils se sont installés sur la plage un peu retirer du passage le plus frequenté et avait monté leur camp pour la nuit. Ils avaient passé le temps entre nager, rire, dormir et s'aimer puis pendant que Stell en haillon restait allongé sur le bord, laissant les vagues lui lecher le corps a chaque fois que l'ocean refluer vers la plage, elle suivait des yeux Bikko qui cherchait leur repas. Quand elle le voit sourire et venir vers elle tout fier de lui elle se redresse et l'embrasse tendrement puis se rallonge et ferme les yeux en attendant qu'il revienne.

Sergeeent aller mon chien

Stell sourit et soudain se redresse en criant.

Heyyyy !! Sergennnnt !! fait attention !! Elle s'essuie comme elle peut du sable puis leve la tete et regarde Bikko et le chien partir dans une bagarre dans l'eau et eclate de rire. Elle se redresse et marche lentement vers eux leur laissant le temps de jouer comme des enfants. Elle sourit et se laisse porter par les vagues pour les rejoindre en nageant tranquillement jusqu'a ce qu'elle s'accroche au cou de Bikko par derriere et entoure sa taille de ses jambes.

doucement Sergent !! Elle carresse la tete de l'animal qui lui fait face et sourit quand il s'approche pour lui lecher le visage. Elle eclate de rire en le repoussant doucement puis d'un coup appui sur la tete de Bikko pour le noyer et le lache vite pour s'eloigner en riant...
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Bikko

Bikko sort la tête de l eau avec une algue lui cachant un oeil et lui dit: aahh haaaaaaa c est comme ça heeiiinnn, aller sergent attrapons la aller mon chien Bikko court apres Stell dans l eau essayant de prendre de la vitesse mais le chien lui saute sur le dos l écrasant encor au fond de l eau AAHHEEUU . . . AAHHHEUU pas moi pauvre idiot mais elle La pointe du doigt et lui dit: MUU . . . MUTI . . . MUTINNERIIIIE Puis rit de bon coeur avec elle et va jusqu au campement la tenant par la taille et allume un bon feu puis prépare leur petit festin.
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Stelliem

C'est en riant et se taquinant qu'ils retournent au campement. Pendant qu'elle se change il fait a manger puis elle le rejoint et s'assoit pres du feu pour devorer son repas.

Ils se decident a se rendre en taverne et retourne dans "l'antre du diable". Moment tranquille a discuter de tout et de rien, puis Bikko sans rien dire sort une boite de sa poche, se met a genou devant elle et lui pose la question : Veux tu m'epouser ?

Elle le regarde suprise, elle ouvre la bouche et aucun son ne sort. Elle avale sa salive et hoche la tete puis dit : oui... oui .... oui .... oui .... oui ... Elle lui saute au cou alors qu'il rit et crie OUIIIIIIIIIIII tout en le serrant fort contre elle Ouiiii je le veux.

Elle le serre fort et se met a pleurer ce qui fait rire Bikko qui lui demande amusé : suis si piiire que ça? ^^Elle hoche la tete en renifflant et lui sourit tendrement.

Et lui de demander : Tu as vu la bague ? oui nan je sais plus !! Bikko rit amusé et Stell lui sourit : Remontre moi... Elle reniffle et la regarde quand il lui montre puis se remet a pleurer en le regardant : Je reve pas ? Hmhmhm Non tu ne reve pas ma belle.

Stell s'essuie les yeux et les joues puis prend le visage de Bikko entre ses mains et l'embrasse tendrement. Je t'aime Bikko.. Sans toi je ne suis rien. Il l'embrasse aussi et lui repond Je t'aime aussi... et moi donc !! Elle le serre fort.

Bikko la serre contre lui et dit : comme ca beeen on sera trois qui va se marier. Stell sourit puis rit doucement : oui ! Elle le regarde encore abasourdie par sa demande souriant bêtement heureuse. Il en profite pour lui passer un des anneaux au doigt et l'autre a son propre doigt. Stell emue le laisse faire, regarde sa main toute fiere puis le serre encore fort contre elle ne voulant plus le lacher ce qui le fait rire doucement.

C'est dans une complete euphorie que Stell dans les bras de Bikko sort de la taverne pour rejoindre la plage et leur paillasse pour fini la nuit dans les bras l'un de l'autre...
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Stelliem

Reveil en douceur pour stell qui se lève prenant garde a ne pas reveiller Bikko. Elle sourit puis ressentant les premieres nausées matinales, s'eloigne rapidement pour aller vomir plus loin... Elle deteste cela et apres un petit moment, se redresse et va se rafraichir le visage dans l'ocean. Enfin cela passe et se decide a marcher le long de la plage les pieds léchés par les vagues, les cheveux en bataille et juste vetue de ses haillons. Elle laisse ses pensées vagabonder vers son amour, leurs amis a Castillon, et se bébé qui grandit en elle doucement, precieusement. posant sa main sur son ventre légerement bombé, elle sourit tendrement et dit tout bas :

si tu savais comme tu es attendu impatiemment toi ! J'ai hate de te connaitre et de te serrer dans mes bras !

Elle sourit puis sursaute en sentant quelque chose de froid et humide lui toucher le bras et se retourne d'un coup.

Arff sergent tu m'as fait peur tssss ! Elle sourit et le gratouille derrière les oreilles puis rajoute d'une voix un peu grondeuse :
Tu peux pas t'annoncer en aboyant ou en faisant du bruit ? Le chien la regarde et l'air de comprend aboie bruyamment la faisant eclater de rire. bon bon ça va !!

Regardant au loin elle s'aperçoit qu'elle s'est bien plus eloignée que prévue et sourit au chien. C'est Bikko qui t'envoi ? Allez vient retournons au camp.. Et Stell, repart dans le sens inverse pour rejoindre son amour.
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Stelliem

Le temps passe a une allure et déjà il est temps de repartir. Apres avoir profiter encore de l'ocean, se baignant et s'aimant dans les tumultes des vagues insouciants qu'ils sont ! Apres avoir manger une derniere fois des fruits de mer que Bikko leur trouver pour chaque repas. Apres avoir fait de longues balades en amoureux avec Sergent ou de longue sieste sur le sable chaud et doux. Apres avoir passé un apres midi a remplir le chariot de sable pour en ramener a Castillon. Apres un moment en taverne a parler du futur et de leur mariage. Enfin Stell et Bikko attele fringant et doucement, lentement repartent. Elle reste assise sur le tas de sable a regarder derrière elle pour profiter jusqu'au dernier moment de la vu imprenable de l'ocean puis avec un soupir elle se tourne face a la route et commence a faire des projets pour leur mariage...
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Kateyll

Cela faisait bien longtemps que Kate n'avait pas mis les pieds à Blayes. Elle traversa la ville chargée de souvenirs. Son mari, la naissance de sa fille, elle eut un pensée pour Rose qui l'avait aidé à la mettre au monde. Ses pas la dirigérent vers la plage, peut être le seul endroit qui n'avait pas changé depuis son départ. Elle retira ses bottes et se retrouva pieds nus sur le sable. Elle retrouvait là, la quiétude qui avait toujours marqué Blaye. Elle marcha tout le long laissant les vagues mourir à ses pieds, que de souvenirs heureux, elle avait laissé ici. Elle continua sa lente promenade, avant de s'assoir tranquillement et contempla l'océan, un sourire sur le visage. Elle repensa aux feux de bois qu'ils faisaient sur la plage, la nuit tombée, à regarder les étoiles se refléter sur l'eau. Son passage ici n'était qu'éphémère et il lui fallait reprendre son chemin dans les jours qui venaient. Cette marche lui avait fait du bien, elle lui permettait de repartir de l'avant et de pouvoir recommencer à vivre pour elle et les enfants. Elle savait qu'il continuerait à veiller sur elle. Elle se releva, secoua ses vêtements recouvert de sable et reprit son chemin vers la ville. Il lui restait encore à rendre visite à des amis chers
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Et si on essayait d'être heureux, ne serait-ce que pour montrer l'exemple (J.Prévert)

Rivale33

Val en arrivant à Blaye malgré la fatigue, n'avait qu'un envie aller voir l'océan....

Elle put admirer le lever du soleil, une spectacle merveilleux, elle marchait le long sentant le sable humide et froid sous ses pieds et les vagues qui viennent s'échouer sur ses mollets....

Elle s'assit sur le sable, regardant l'océan en pensant à tous ces jours, ses angoisses, ses craintes et ses peurs instinctivement elle posa sa main sur son ventre qui commençait à s'arrondir .....
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Nala

Nala avait éprouvé l'envie soudaine de venir se recueillir là où elle avait retrouvé celui qi lui manquait tant aujourd'hui.... son jaraude. Elle longea la plage, tenant ses souliers d'une main et de l'autre tenant tango son plus beau cadeau dans les bras... le fruit de leur amour qu'elle commencait à croire déchu... les yeux mouillés elle avançait tranquillement et perdue dans ses souvenirs... elle voulait encore espérer... croire à son retour, elle ne voulait pas croire à un avenir sans lui et pourtant.... tant de jour sans nouvelle.... ne pouvait que lui prouver le contraire.

Les pieds dans l'eau qui commencait à devenir froide... l'automne étant bien là... elle ne sentit même pas la froideur du temps, et ce vent qui lui giflait le visage... elle continua ainsi le visage devenu aussi froid que son coeur.....le devenait aussi.

Nala

Nala revient seule.... les bras charger de roses rouges... qu'elle allait s'appreter à jeter du haut du rocher où elle était dressée... les larmes la défiguraient...la coeur lourd de peine....

Adieu mon amour.....de là où tu es.... prends soin de toi... comme je prendrai soin de moi et de tango...[b]

Elle jeta une à une les roses à la mer.... avec une trés grande tristesse pour l'homme qu'elle avait tant aimé.....

Velours

Loin.
La plage était assez éloignée de Blaye pour s'y reposer sans entendre tout le brouhaha de la petit ville d'ordinaire si paisible et joyeuse.
Toutes les histoires s'arrêtaient net aux remparts de la Cité. Une fois franchi l'air marin, le vent remplissaient de quiétude le sentier jusqu'à la mer.

Loin.
Depuis la plage on mesurait l'immensité de l'entendue bleue, on rêvait aux voyages, à un ailleurs prometteur ou à la découverte d'une île encotre non explorée.
En ce même Velours rêvait justement d'être à un autre endroit, à une autre époque même aussi. Revenir au temps de Clermont serait bien.

Assise sur la plage de sable fin le jeune femme pensait à plusieurs choses à la fois: la discussion avec son père hier en taverne, l'avenir de Blaye.
Egrenant les grains de sable entre ses mains, les yeux rivés vers l'horizon le calme du lieu était propice à de bonnes reflexions.
Pendant le voyage de ses parents Velours aurait la maison pour elle toute seule. Enfin un peu de paix dans sa vie. Cette perspective la fit sourire.

Serrée dans sa cape et son col Velours sortit un livre de son sac.
Un moment à savourer, à faire vireloter son imagination à travers les pages d'un roman. Les grandes aventures des Hommes était aussi un excellent moyen de se vider l'esprit.
Aujourd'hui qu'elle en avait besoin elle dévorerait ce livre.

Velours

Etrange comme les livres peuvent répondre à de simples questions.
Un parchemin caché qui était une pièce majeure pour la quête d'un Chevalier. Etonnant la raisonnance que ce passage eu dans la tête de Velours. Absorbée par son travail toutes ses pensées étaient dirigées que vers l'affaires des fruits.
Un vieux parchemin ... la mairie en avait plein. Ils étaient entrposés dans une pièce, aux archives.
Lona lui avait bien dit que le prix des fruits était simplement à titre informatif mais cela faisait longtemps que Blaye vendait et échangeait des fruits. Cela sgnifiait donc qu'il devait y avoir un décret quelque part, aussi vieux soit -il il serait bon tant que personne ne l'a abrogé.

Elle avait oublié l'espace de quelques instants sa mauvaise humeur, sa lassitude à n'être vu que comme Lieutenant de Police et non comme une personne normale, celle qu'elle était: Thaïs.
Elle se mêlait des affaires de Blaye, quel mal il y avait t-il à cela?
Elle essayait de parler à tout le monde, ne pas faire de préfèrence dans ses relations mais cela n'y faisait rien. Tout le monde l'accuser de comploter juste parce qu'elle cotoyer de temps en temps Fleur et Watto.
Voilà maintenant que les gens jugeait les gens sur leurs fréquentations ... Blaye était parfois si désespérante.
Le pire de tout fut sans doute l'accusasion de faire une différence dans les dossiers qu'elle traitait. En fait elle ferait une Justice à double vitesse: pour les amis sous entendu Fleur et Watto et les autres. Elle en était restée ... choquée d'entendre telles accusations.
Elle n'y pouvait rien si des décrets manquaient, si elle ne pouvait rien faire contre les agissements de certains à Blaye. Elle aurait aimé .... tellement ....
Les gens se plaignent mais ne cherche pas de solution, ni à agir pour faire que la situation change. A de quelques rares exceptions.
Pourtant parler au maire des soucis était si simple!
Ce n'était pas parcequ'elle était Lieutenant de Police qu'elle pouvait tout faire. Les gens avaient l'air de le penser.
Malheureusement elle ne pouvait agir que s'il existait des bases juridiques. Cela pas grand monde avait l'air de le savoir.

Machinalement elle haussa les épaules devant l'immensité de la mer.
Elle pensait que s'occuper de Blaye, agir pour que tout se passe serait bien plus facile. Au lieu de cela tout lui retombe dessus.
Belle réussite ...

Livre en main la jeune femme devait cesser de penser et agir.
Trouver le parchemin perdu, sa nouvelle mission.

Lya.

leya se ballaidait sur la plage a une heure tardive .
elle observait la mer dans le noir complet .
leya s'assit un moment sur le sable et reflechissait a son avenir et son future enfant qu'elle portait en elle.
elle se demandait si elle n'avait pas fait de betises.
elle posa sa tete sur ses genoux en soupirant et laissait couler ses larmes
qu'elle retenait depuis un moment deja.
elle se deemandait quand elle pourait etre enfin heureuse
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Aysun

[O mer amère, ô mer profonde]

-Aradiia, acceptes-tu de devenir ma femme ? Veux tu officiellement te fiancer à moi ce soir ?

-OUI je le veux depuis toujours Kro!

Soleil couchant à l'horizon se cache lentement. Cet éternel polisson!

Bientôt la nuit qui nous va mieux.

Miroir, nos mains enlacées reflètent nos cœurs, gardons ce silence à couper au couteau.

Le sable glisse sous nos pas enfuis entre nos doigts, semblable et cependant unique grain, laissons tomber la poussière du temps.

Nos jeux se rappellent à nous, effleure nos tempes de ses beaux yeux.

Sur cette plage là bas, Bandida cria: rien n'est précaire comme vivre!

Mon épervier, a jamais perdu, compagnon de l’inconnu.
Serre moi dans tes grands bras, j’ai presque froid.
Mon ange, mon amour à tout j…
Quand reviendra la marée ?
Regarde cette plage ou nous sommes étrangers.

[Louis Aragon. Jean Ferrat]
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Aysun de la Duranxie, Duchesse d'Ornon, dicte Aradiia

Nala

Ces derniers jours, la vie de Nala avait pris un nouveau tournent, une nouvelle direction.... elle avait appris à vivre sans lui... ressentit le besoin de retourner sur cette plage... remplie de souvenir.. afin de s'y recueillir... elle marcha le long de la plage... tenant ses souliers d'une main et le bas de sa robe pour ne pas qu'elle trempe de l'autre... les vagues venaient lui léchaient les pieds .... le regard perdu vers l'horizon elle chercha le rocher... sur lequel elle aimait aller.

Une fois perchée sur celui-ci, elle se sentait invincible.... dotée d'une force incroyable... elle dominait ce paysage si grand... si bleu.... si beau...ses cheveux dansaient au vent... elle retena son châle pour ne pas qu'il s'envole.. et se mit à balbutier quels mots....

Jaraude... où que tu sois.....mon amour.... pour toi est éternel.... tu me manques tant. Je t'ai fais une promesse...... je te promets de retrouver le bonheur...dans d'autres bras....ceux de Less et de faire de notre fils... l'homme le plus respectueux de la terre et moi de redevenir la femme que tu aimais.... tant.

Elle ôta le bijou qu'elle portait autour du cou.... un bijou offert par jaraude.... elle le suspendit au dessus de l'océan.... et le lacha dans le vide ...elle ne lui rendait pas son amour... mais elle devait le ranger aujourd'hui... dans le tiroir de son coeur à jamais

Nala

Ce matin là.... Nala avait pris soin de tout emporter avec elle.... c'était un geste difficile... mais maintenant inévitable... elle tenait son fils dans les bras... Tango souffrait autant qu'elle.... elle était sur ce rocher... cette place qu'elle aimait tant.. et comme ce bijoux récemment jeté... elle serra trés fort son fils contre elle et ferma ses yeux.... Elle pleurait ...lui demandant pardon mais le rassura...en lui murmurant avant de lui donner un dernier baiser... "on va rejoindre Papa mon amour...chuttttt" . Se jeta dans le vide.... ne laissant désormais.... qu'un souvenir sur cette terre...

"Jaraude.....Notre place est prés de toi....pour toujours.....

Kill_ndl...

Il était encore tôt et Kill se sentait rassuré que rien ne soit arrivé à Cellestia. Elle dormait paisiblement dans une chambre de la taverne qu'il avait trouvé et au petit matin se dit qu'il irait bien pécher.
Mais il trouva un immense verger et comme il n'avait pas d'échelle se dit qu'il irait voir si des offres se presenteraient dans la journée.
Tranquille, il borda la longue plage bien enroulé dans sa cape qui avait encore la douce odeur de Cellestia.

Soit, il n'avait qu'elle en tête soit , il devenait fou....?
Alors qu'il marchait sur la vaste plage, son regard fut attiré par une femme qui ressemblait comme deux gouttes d'eau à Cellestia et qui de surcroit avait auprès d'elle une louve qui la suivait...

Là, il se demanda si il n'avait pas la berlue, surtout quand la jeune femme qui trait pour trait ressemblait à Cellestia appela l'animal.
Elle appela "Tessa" et la louve fit demi tour et alla rejoindre sa maitresse.

C'était à ne rien comprendre. Il savait qu'il ne rêvait pas, il en était pas non plus à avoir des hallucinations. Si tel en était le cas, alors il aviserait de ce qu'il adviendrait de lui. Peut être qu'une petite retraite lui serait profitable où bien l'air de la mer ne lui valait rien.
Se pouvait -il qu'elle eut deux identités?
Mais à quoi aurait joué Cellestia avec lui , si en plus elle était une autre?
Même visage, même animal au même nom qu'il connaissait d'elle?

Il en regrettait presque d'être venu errer sur le bord de l'ocean. Un sorte de tristesse envahit son coeur, surement que Cellestia aurait quelques explications à lui dire.
Il se dirigea vers la ville rejoindre la taverne, espérant que Cellestia serait réveillée.

Lou_de_richemond

Lou voit un rayon de soleil prend sa besace est court a plage a besoin de respirer l'air pur coure dans les rues du village se dirige vers la plage pose ses chausses marchent dans le sable sent une petite brise d'air qui vient caresser son visage . S'arrête sort de sa besace une couverture l"étend et s'allonge ferme les yeux s'endort.

" LE GRAND jour est arrivé tous au port on voit arriver le capitaine il monte sur le pont et crie " aller les marins on embraque" tout le sourit monte à bord je ne quittais pas mon doux des yeux tellement fière de lui l'écoutais donner les ordres qu'il donnait pour le grand départ.. Je coure à l'avant du bateau je ne voulais pas louper un départ senti le bateau bougé voilà qui part...."

Réveiller en sursaut par un chant de mouette regarde autour d'elle se trouve bien a terre sourit et elle réalise bien c'était qu'un rêve .Ramasse ses affaires remet ses chausses repart au village

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Cybella

Cybella un petit panier d'osier au bras faisait sur la plage une bien étrange cueillette. Qui pouvait imaginer ce qu'elle fabriquer le long du rivage? Personne bien sur, elle profitait du calme et la longue plage de sable pour respirer le grand air mais...une petite silhouette surgit des dunes pour la rejoindre à grand cris et mouvement de bras.

Que faisaient-elles? pourquoi étaient elles là avec des paniers?
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Cyrinea

[Il est parfois si beau de souffrir]

Blaye, la plage, l’océan, les souvenirs.

Lorsqu’elle en entendit, le matin, à l’aube, les premiers frémissements, elle sauta de cheval, enleva prestement ses bottes et ne résista pas au désir d’aller fouler le sable.

S’imprégner des embruns, des caresses sous ses pieds, s’approcher de l’eau, ouvrir grands les bras et recueillir contre elle tout ce que la nature pouvait donner de beau et de sauvage.

Blaye, Alrik contre son sein, la mort de Balock, le voyage pour tenter de faire le deuil...Deux femmes en errance : Sophie et elle.

Blaye, l’océan, symboles de deuils à devoir faire.

Blaye...Un jour.

Elle s’allongea sur le sable et pria.

Cybella

Qu'il faisait bon de sentir l'océan tout près. Le temps était magnifique et l'argent des vagues avait fait place à une eau verte et bleu surmonté d'écume blanche.
La belle saison redonné envie de sortir et de traîner...enfin traîner pas trop vu le travail qui l'attendait au village.
Encore quelques minutes de plénitude et elle reparti dans le brouhaha du port.
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Vanhelsim

apres avoir erre pendant trois ans dans un monde qui n'etait plus le sien , il etait mort du moins le croyait t'il , or il etait la !! sur cette plage qui lui rememore tant de choses , tant de souvenirs , il pouvait sentir le vent , l'iode et les embruns lui chatouiller les narines , il etait la ou tout a commence , un nouveau depart , une nouvelle chance ....

Van tomba a genoux les yeux en larmes devant l'immensite et joignit les mains
" Merci, Merci......"

Rowena

Rowena marchait à pas lents le long du rivage. Toute livrée à ses pensées, elle ne cherchait même pas à relever ses jupons, que le ressac détrempait. Elle arriva bientôt en vue d'un amas de rochers sur lequel elle grimpa et s'assit.
De là, le regard perdu vers l'horizon, elle se prit à fredonner :

Toi mon bel ami
Que la mer a englouti
Fasse le ciel clément
Que tu t'en reviennes séant ...

Mais l'horizon autant que la plage demeura désert. Elle resta un moment à scruter les vagues jusqu'à ce que l'éblouissement du soleil couchant, rougeoyant dans une splendeur qui élevait son âme, lui tire les larmes qu'elle refusait à son chagrin de verser.

L'heure était douce, l'endroit était désert, seuls les oiseaux marins faisaient entendre leurs criaillements. Elle leva les yeux vers le ciel pour observer leur manège.
Puis elle redescendit sur le sable où elle s'étendit les bras en croix, face au firmament où s'allumaient les premières étoiles, laissant les souvenirs heureux remonter à sa mémoire en même temps que la marée, qui peut-être l'emporterait vers un rivage où l'attendait son bien-aimé...
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Connais-toi toi-même

Kirya14

Kirya avait quitté la moiteur de la ville ce soir là pour normalement rejoindre sa grange. Sa grange...l'endroit ou elle dormait ou ils dormaient.

Hi elle l'avait bien rejointe sa grange mais comme elle n'arrivait pas à trouver le sommeil le temps qu'il la rejoigne...elle avait décidé de retourner le voir en taverne.

Ha oui mais ...quelle surprise....il n'etait toujours pas seul et les rires fusaient...elle avait hésité longtemps sur le pas de la porte puis finalement avait fait demi tour. La peur de ce qu'elle pouvait trouver derriere cette porte l'avait finalement retenue.

Alors...elle avait pris le chemin de la plage...puis comme il y a quelques semaines s'approcha de la mer pour entendre le bruit des vagues espérant que cela couvrirait les battements de son coeur et que l'odeur iodé lui ferait oublier sa tristesse...

Ellr s'installa...genoux pliés qu'elle entoura de ses bras et s'abima dans la comtemplation de cet infinie bleuté...

Bikko

À la belle plage de Blaye, tres tot, Bikko avec sa charette s approche du bord de la mer . C' était la marée basse idéal pour prendre des crustacées il prend sa pioche et commence a chercher ces fruit de mer il trouve un bout de branche et taquine son chien, un grand danois, avec et le lance loin a la mer Allez mon chien, va chercher Et de reprendre sa pioche et de trouver des moule, palourde, et de se qu il préfère, les couteaux de mer qu il peche un peu plus loin et plus profond.

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http://www.casimages.com/img.php?i=120903045732625433.jpg

avec sa peche il emplit a moitier un toneau, couvre le reste du tonneau avec du sable et l emplit d eau salé et s en retourne chez lui a Castillon
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Kronembourg

[ ... Où tout commence et tout finit. ]

La roulotte avait marqué son dernier arrêt à deux pas de la plage, annonçant l'arrivée du trio dans les soufflements des chevaux éreintés et les ressauts de la bicoque ambulante sur la route accidentée.
Ombres matinales et paquetages qui se défont, par automatisme, chacun ayant assimilé les gestes dont dépendaient le bien-être des autres. Les voix discrètes s'entrecoupaient de rires selon l'idée qu'ils se faisaient de Blaye au moment de leur arrivée, mélange d'enthousiasme et d'ironie, de crainte, peut-être un peu de douce folie.
Pour la première fois, ce n'est pas vers l'église que l'ancien sacristain de Blaye devenu duc se dirigea. Plus tout à fait le même que celui qui par superstition arpentait les rues de la cité des Lierres dans un ordre étudié, visitant les uns, saluant les autres, désireux de retrouver des habitudes vaines et superflues, il ne se sentait pas tout à fait différent non plus, ou peut-être par de moindres détails, de celui qui participait autrefois aux concours de citrouilles ou de batailles de neige au milieu du village.
Finalement, c'est au croisement des enjeux de la vie publique et de l'insouciance muée en cynisme au fur et à mesure des années qu'il avait véritablement changé. Son plus proche entourage en avait fait les frais. Lui aussi. Fatalement.
Mais cette plage, c'était un peu encore chez lui. Même s'il n'avait jamais vraiment regardé l'océan. Il savait qu'y reposait Bandida comme nombre d'âmes qu'il n'avait pu sauver à temps, le monstre d'eau en mouvement ayant tout englouti sans sentiment. Il savait que c'était ici qu'il lui fallait aller.
Le jour se levait. Le port, plus loin, s'activait.

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Cyrinea

[Où l’on croyait que tout allait finir et où tout commence]

Blaye la tragédie, Blaye l’espoir, Blaye le bonheur.

Non pas de ces bonheurs lisses et sans histoires, mais de ces bonheurs où l’on s’apprivoise, où l’on rit niaisement et puis où l’on se ferme, où se croisent malentendus timides ou faits de fierté faussement assumée, de courage aussi, ou de non dits. De ces histoires qui se construisent contre, qu’on ne comprend pas bien soi-même, si ce n’est cet amour indéfectible qui entre sourires et larmes vous réunit toujours, inéluctablement.

Impossibilité de s’endormir une fois arrivés. Appel du large, d’odeurs retrouvées, de souvenirs qui se tissent sur le sable, d’avenir dont les grains s’égrènent sous les pieds, de désir qui réchauffe dans l’humidité de l’aube maritime.

Aimant. Elle se coula silencieusement contre. Il avait l’ait un peu perdu, au loin, dans ses souvenirs. Elle ne dit mots que ceux de ses bras enserrant sa taille, que ceux de son visage posé dans le creux de son dos.

Ferma les yeux et écouta l’océan. L’écouta Lui. Etre complexe fait de rires et de silences, de droiture et de folie, de raison et de déraison. Sa déraison. Elle sourit.

Xanthi

[sans début ou sans fin]

D'abord, le Kro de Cyr avait tenu parole, pas un arrêt pipi, rien, nada. La carriole brinquebalante était passée, ni ornière ni rien pour la bloquer. Pas de doute, lui était protégé des Dieux.
La selle dessellée, la jument jumenté heu pansée puis nourrie, Xanthi partit guillerette dans les joncs satisfaire un besoin que plus rien ne freinait.

ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhh ! Tudieu ! mmmmmmmmmmmmm ! qu'est-ce que ça fait du bien !

Elle en profite, personne, elle retire tout sauf la chemise a dit Mahault, roule tout en boule qu'elle jette près de sa besace, puis continue tranquille vers les flots, saluant d'un geste les z'amoureux en passant.

ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhh ! Tudieu! mais qu'elle est froide !
Cyr, l'eau est gelée ! Qui qu'à dit que c'était l'enfer à Blaye ?

Et de retour fissa devant les tourtereaux, rêve à cet instant de ses bras de l'hiver. Wé ! Parce que avoir froid dans les bras de quelqu'un c'est quand même mieux que dans ses bras de toute seule.
Se rhabille, vide un peu sa besace, vérifie le savon et le reste et jette :

Je vais chercher des thermes, un baquet ... bref de l'eau chaude. Si ça vous branche vous saurez où me trouver.
Sgreu gneu gneu ..... l'enfer .... ici ..... à Blaye ..... même pô vrai !
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oui, avec Vous simplement, parler d'amour .....

Kronembourg

L'océan, le vent, Elle et elles.
Une main qui se glisse, un corps qui s'éveille, et déjà le temps qui s'enfuit. Sourire pensif sur le visage du barbu. Regard qui se pose sur elle et l'espace d'un instant, sur le fil de la complicité, ne pas dire un mot.
Rares étaient les moments où tous les deux savaient rester silencieux. Surtout depuis qu'elle lui avait appris que les femmes aimaient qu'on leur fasse la conversation.
C'est un autre sourire qui accueillit Xanthi et son grain de folie. Incroyable la place que leur amie avait pris dans leur vie.

Elle ne va quand même pas se jeter à l'eau ?

Eberlué.

Xanthi, vous n'allez quand même p...

Et pourtant si. Le barbu stupéfait suivit son parcours et son retour fissa dans leur direction.

Les thermes de Blaye n'existent plus il me semble. Et croyez-moi, ce n'est pas plus mal.

Puis soudain une envie. Sa main se joignit à celle de Cyrinea.

Et si on se jetait à l'eau, nous aussi ?
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Xanthi

" ...... n'existent plus il me semble. Et croyez-moi, ce n'est pas plus mal."

Le bruit des vagues, le vent dans les ajoncs, a-t-elle réellement entendu ce qu'elle croit avoir entendu ? Elle retourne sur ses pas et demande :

Comment ça, plus de thermes et que c'est pô plus mal ?

Une fois n'est pas coutume, la jeune femme, vient se mettre entre ses deux amis. Une main sur l'un, une main sur l'autre, elle les sépare.

Un instant les tourtereaux !

C'est qu'ils sont grands tous les deux, elle est pas si petite, tout de même, ben si, de quel mode viennent-ils donc ?

Comment ça plus d'étuves ? et où qu'ils se lavent l'hiver ? et le crieur y fait quoi maintenant ?
Il nous faut partir, parce que j'aime à me laver chaque jour et que c'est bon pour le corps et que même si j'aime l'odeur de ma jument, je n'aime pas sentir le cheval !
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oui, avec Vous simplement, parler d'amour .....

--Saintemitouche

courant sur la plage puis au port face à la mer saintemi regardait le grand voilier arriver.

C'est la licorne, heu je vois le captaine ouiiiiiii je le vois.

Rouge comme une pivoine, saintemi sentait son coeur s'emballer. La musique faisait l'animation et la foule commençait à danser au son de la musique.

Saintemi regardait le captaine qui se détachait sur le pont, il y avait aussi lou, pig, marjo, rom, et oui mariconten.

Saintemi faisait des signes avec ses bras un vrai sémaphore .
La licorne glissait gentiment vers le port, majestueuse.
je l'aime ce captaine je l'aimmmmmmmmme laissant échappée sa joie

Lasayette

En descendant de la licorne , que d'animation. Il était heureux le captaine de voir tout ce monde.
Il les salua comme il se doit et bisa saintemi au passage.
Merci les ami(e)s je vais me reposer , on se retrouve en taverne
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Bihercule

Désormais, chaque matin, un homme se pointait face à l'océan. Debout sur les quais, Bailey observait l'horizon. Il aimait cette odeur de sel. Le soleil se levait peu à peu, apportant avec lui un monde de couleurs. Ici, le retour du capitaine Lasayette amenait une joie nouvelle sur le port. Et pas seulement.

Au coeur du village, dans une taverne animée, le jeune homme s'engagea la veille dans l'équipage de la Licorne. Son avenir promettait d'être mouvementé, à la fois soldat de Guyenne et marin pour la guilde Richemond...

Lafavorite

elle savait qu'elle ne monterait pas à bord...
Mais elle aimait se rendre' au port pour regarder les bateaux....

Elle les admirait, dansant sur les ondes...la licorne...et aussi cet autre bateau bien plus petit....ce Pigase....

Elle aime alors rêver à l'ailleurs qui sera son demain....

Assise au bout de la jetée, les pieds se balançant dans le vide, au dessus de l'eau qui courait sans se presser par en dessous, elle envoie quelques mots écrit plus tôt déjà à son compagnon Eole....
... tout en espérant que sa mule Conficius se transforme en cheval ailé...

Oh Eole,

Que j'ai eu peur lorsque je ne t'ai pas vu au campement!

J'ai cru que tu avais filé comme le vent, une saute soudaine d'envie d'ailleurs qui t'aurait prise sans que tu puisses m'en avertir.
Tu vois comme j'ai peur finalement de penser ne pas savoir retenir le vent.

Et puis, j'ai ensuite compris que tu devais faire le tour du village, afin d'inspecter les murailles, vérifier si à part les courants d'air, personne ne pouvait se faufiler entre les interstices que laissent passer les pierres.

Je puis maintenant me réchauffer au coin du feu sans crainte. Je sais qu'Eole n'est pas loin, qu'il va revenir au campement me retrouver.

Peut être alors, nous allons préparer nos affaires, pour enfin prendre notre chemin, main dans la main.
Confucius a besoin d'espace pour dégourdir ses jambes. Il brame d'ennui.

Viens me retrouver Eole et souffle moi à l'oreille quand je devrais me lever pour enfin décoller.

A bientôt, peut être....

Fav

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Lexianne

Dans l'air frais de ce matin de décembre.. la rosée était froide.. le vent glacé.. le soleil se levait timidement...

Lexianne marchait sur le sable.. les joues rosies et le bout de nez rouge. La brise trop fraîche mêlait au sable lui faisait verser quelques larmes accompagnées de picotement...

Dans une de ces mains.. ces bottes s'entrechoquaient a chaque mouvement. Ces pieds caressaient le sable a chacun de ces pas. Une sensation d'humidité et de froideur entre ces orteils.
L'odeur du sel dans ces narines lui faisaient plaisir et le bruit des vagues s'abattant sur le sable était comme une mélodie gracieuse.

Ces cheveux virevoltaient dans tous les sens sans son chapeau..mais qu'importe.
Lâchant ses bottes au sol.. elle croisa les pieds et se mit assise a même le sable regardant l'immensité devant elle.
Où donc s'arrêtait l'eau... a l'horizon peut être...
Son esprit vagabondait au loin...

Lexi tenait un mouchoir dans une main.. elle reniflait de temps en temps.. l'air frais du matin...
Le soleil se levait doucement.. les rayons lui caressaient la peau sans la chauffer.
Les yeux fermés.. la jeune femme apprécia ce moment de tranquillité en respirant profondément.

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Parce que survivre a deux, vaut surement mieux que de mourir seule..

Bikko

Pelle à la main, face a la mer, Bikko regardait ses deux gourmandes en soupirant et dit
J'espère que j aurai la chance d y gouter au moins, me faire pêcher des crustacés dans l eau froide en plein mois de décembre.
Puis regarde sa petite bien enrhumée qui le regarde avec ses yeux demandeur, si elle peut l accompagner. Il la regarde d un sourire en faisant signe que non maais son petit regard tristounnait le fait flancher et lui dit
Chipie vaaaa ^^ bon aller d accord mais tu ne viens pas dans l eau mais tu sera sur mon dos. Aller monte, p'tit singe héhéhé papa vas te montrer comment on fait pour trouver des crustacés et si on a de la chance , des petite crabe en dessous des rochers. Stell, tu pourrais mette une peau sur son dos comme ça elle sera au chaud
Apres qu elle couvrit leur fille Bikko embrasse sa femme et commence a marcher dans l eau a la recherche de petit trous là ou sont cachés les coquillages.
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Lalie

- Meyi la barre du rube ! pfff peut pa rébirer..

Premières paroles du matin de la môme de quatre ans à sa mère qui la tire du lit. Aujourd'hui promenade en bord de mer... vi ils veulent l'achever hein ou peut-être la noyer..

- Mais Meyi l'édé dentille hiin..

Oui pas facile à la comprendre d'ordinaire, mais là avec un rhume.. Toujours est il que les voilà sur le sable, son père en fier conquérant des mers et de ses habitants brandit une jolie pelle, sa mère toujours aux petits soins, puis elle, qui se gêle faut bien le dire. .. Bon il fait froid, y a du vent et la môme ressemble à un poisson qui manque d'air. Puis son père décide d'aller à la pêche avec.. sa pelle ! Waaa mais son père c'est un précurseur de l'exploration marine ! Et comme Melyane vénére son père et qu'elle aussi veut devenir une exploratrice de mondes inconnus, elle lui fait sa petite moue..

- Dada l'embède Meyi ? teuplééééééééédeu

Bientôt elle se retrouve hisser sur son dos , le serrant au cou, voyant le monde telle une grande personne. Et ça c'est trop bien. Elle voit des trucs plus petits qu'elle ! Siiiiiiiiiiiii ça existeeeeeeee !

- On ba péché quoi Dada ? des boulludes ? aprèd on ba les mandé ?

A croire que la gamine prend un malin plaisir à causer du nez, voir si son père la comprend. Le sourire sur le minois, elle s'aprête à glousser quand une bourrasque lui fait faire de l'apnée. Panique à bord, elle agite les bras en fermant la bouche.

Stelliem

[Dans leur chambre]

Il faisait froid mais le soleil etait de sorti. Sortie sur la plage de prevu, Stell s'occupe de preparer sa fille et l'habille chaudement tout en essayant de comprendre ce qu'elle barjaque, riant parfois des quiproquos.

Oui ma cherie tu est gentille on va voir l'ocean.

Elle la mouche pour la enieme fois et ecrase un peu de feuille de thym dont elle en fait une tisane pour lui en faire inhaler quelques minutes. Enfin elle la couvre bien et la laisse suivre son pere deja pret. Elle enfile rapidement ses vetements et bien couverte aussi les rejoints et partent pour la plage.

[Sur la plage...]

Le vent les decoiffe et rougit leurs joues mais cela ne les empeche pas de continuer et d'apprecier la promenade. L'animal court devant eux en aboyant pour revenir ensuite soulevant du sable a chaque fois. Et de le regarder en riant puis elle sourit quand Bikko se decide a aller pecher. Elle retient un grognement et leve les yeux en le voyant ceder à sa fille et prend sa cape et son col pour l'emmitouffler et la mouche une derniere fois. Elle embrasse Bikko tendrement avant de les laisser partir tout les deux suivi de Sergent.

Elle va vers une grosse souche et pose sa besace puis recupere des bouts de bois pour faire un feu en les attendant. Petite bataille entre la belle et les elements pour le faire prendre et un cri joyeux et les bras levés au ciel ponctue sa victoire sur les éléments. Elle fouille dans le sac de Bikko pour trouver de quoi faire cuire leurs trouvailles. Enfin elle s'agenouille pret du feu et les regarde en souriant. Elle profite de la chaleur qu'il dispense n'ayant plus sa cape pour la proteger du vent.

Mely tient toi a ton père !! Tu vas finir par tomber ! Et de grogner en les voyant au loin puis de rire doucement sachant très bien que la petite ne risque rien avec son père.
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Bikko

Bikko, en train de pêcher par ci par la avec sa petite chouette d amour perchée sur son dos, lui montrant comment les trouver et pêcher. Cela lui rappelait de bon souvenir d enfance quand il était avec son oncle, celui qu il a éduqué.
Regarde Melyane, tu vois le trous dans le sable et ben cela veux dire qu il y en au moins un la d' dans papa va creuser et on va voir, Il faut que mer soit basse on appel ça marée basse. hmhmhm tu ne comprend pas trop ce que ton père dit hein ^^ mais plus tard tu va t en rappeler et tu comprendra . . . aaah en voila une belle regarde et une autre . . . on va aller voir plus loin . . .aaah ici on as un couteau de mer regarde sa forme longue et ççççaaa ma petite chouette d amouuuur c est tellllement délicieeeeeeuuux

Finalement, le sceau bien remplit de crustacé, mollusque et d eau salée, les deux pêcheur de coquille revienne près du feu pour se réchauffer et cuire et manger enfin

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Bailey_

La nuit était tombé depuis longtemps. On entendait non loin des bruits vagues de marins gueulards. Une soirée au club des marins? Ainsi que le son des vagues s'écrasant sur la côté au Sud. Combien de temps qu'il n'y était pas venu? Une semaine? Un mois? Le marin se tenait debout face à l'océan, à la sortie du port, près des côtes, son regard perdu dans le lointain. Le vent soufflait dans ses longs cheveux bruns qui virevoltaient. Cette petite pause lui procura un bien fou. Plus loin, les immenses navires narguaient les étoiles. Le soldat resta planté là, longtemps.

Soudain, le faux silence disparut. Il se retourna et aperçut un couple qui sortit d'une petite bicoque derrière. Saoul, bruyant, collé, le couple de paysans lambdas, ça faisait plaisir à voir. Il se surprit à vouloir lever le poing pour les encourager. Il revient ensuite à ses pensées. Celles-ci le conduisirent jusqu'à la côté où il s'assit sur les cailloux. Le soldat réfléchit à tout ce qui s'était passé ces deniers temps. Sans le vouloir, il avait allumé une flamme qui prenait peu à peu. Son esprit vagabonda sur le sens de l'être qu'il avait étudié aujourd'hui. Il pensa partage et égoïsme, tentation et plaisir.

Petit à petit, une image se figea dans son esprit. Le gentilhomme chantonna une vielle contine calme et lente.A chaque chanson disparaissait une fiole de calva...

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Dans la vie, tout est question de point de vue.

Bailey_

Coeur brisé

Lors d'un bal sur la Licorne, Bailey fut envoûté par le charme exquis d'une créature nommé Pigasse. Après moult échanges, tous deux échangèrent un baiser inoubliable. Ainsi démarra une relation épistolaire, fondé sur de rares entrevus. Tandis que le temps passait, le galant s'amouracha de cette perle de l'Ouest. Inébranlable face à certaines avances, il attendait chaque jour dans le seul espoir d'obtenir ne serait-ce qu'un sourire de la belle. Des mois, chaque jour, à attendre la présence d'une femme. Des semaines interminables à attendre ne serait-ce que l'ombre d'un sourire.

Tout à coup, alors qu'il passait une soirée en taverne, elle entra. Elle lui dit que tout était terminé en quelque mots et s'en alla, comme on expédie une affaire courante. Elle venait de lui dire je t'aime pour finalement lui dire au revoir. Il resta de marbre face à pareille retombée. Il salua les gens présents, proposa quelques farces et sortit. Bailey regagna la plage où il se réfugiait souvent. Ici, dans la pénombre, il s'effondra et laissa s'exprimer son chagrin. Il pleura des heures durant, se remémorant chaque instant passé aux côtés de sa première compagne.

Ses adversaires, répondait un poison bien pire que ce qu'il imaginait. Il n'avait pas détruit sa popularité, sa carrière, sa maison, ils avaient détruit sa vie. Qu'ils devaient-être satisfait à festoyer sur le sort du malheureux. Et tandis que d'un côté, le village retrouvait une image positive, on lui plantait la plus cruelle et la plus violente des estocades, celle du coeur. Ce fut d'abord le regard du capitaine à son retour, qui signifiait beaucoup même sans mot dit, puis l’abandon de Pigasse. Le Bailey s'était tellement battu pour changer ce monde de mensonges qu'il n'avait pas vu arrivé le coup.

En quelques secondes, il perdit chacun des repaires, noyé dans un monde d'apparences et de on-dit. Sa joie et sa bonne humeur furent aspiré dans un abîme de tristesse qui ne trouvait pour réconfort que le bruit des vagues sur l'océan. Pourquoi? Pourquoi en arriver-là? Lui qui aspirait à soulever le monde pour créer un idéal de vérité et d'amour, le voilà privé de coeur, avec de nombreux regrets.

Il caressait machinalement Philibert, le labrador couleur beige.

Ca va aller Phil, ça va aller... C’est le gros bébé à son papa ça!

Bailey s'amusa à jeter un os à son chien qui courrait partout, provoquant sone maître. Ils s'amusèrent ensuite quelques heures tous les deux. Cette prmière leçon de la vie, jamais il ne l'oublia, jusqu'à la fin. Une léger changement s'opéra en lui, si infime qu'on l'eut cru invisible. Néanmoins, l'homme naïf et insouciant qu'il était disparut ce jour...

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Dans la vie, tout est question de point de vue.

Cybella

Il faisait froid mais enfin beau, un soleil radieux et un ciel totalement, immensément bleu! Ah qu'il faisait bon de retrouver son océan argenté, ses rouleaux bruyants et mousseux qui s'échouaient sur le sable en faisant des petites bulles.

En haut de la dune, bien emmitouflée dans son long manteau, elle respirait l'air frais iodé à plein poumons. Bon ce n'était pas encore la douceur du printemps mais les vols de grues et d'oies dans le ciel annonçaient bien qu'il arrivait à grand pas.

Descendant doucement la dune, faisait éclater les plaques de sable gelé à chaque pas. Quelques mouettes criaient et se disputaient une pauvre crevette sur la grève.
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[RP] L'Océan... Vers le grand Bleu