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[RP] L'Océan... Vers le grand Bleu

Verya2
Elle referma le carnet … s’essuya les yeux rougis par les larmes …
elle avait revécu chacun de ces moments …
s’était souvenue de chaque détails … avait ressentit chaque émotion qui l’avait traversée lors …
La vie ne l’avait pas épargnée … il était temps de faire deuil de ce passé …

Un avenir se profilait à l’horizon … elle avait rencontré ce moine … cet homme d’église uni à Aristote …
il l’avait ramené à la vie … faisait vibrer son cœur … avait réveillé ses sens …

Elle entra dans la masure … fit, dans la cheminée, un tas de toutes les vieilleries qui trainaient là …
posa ses souvenirs, sa triste vie … il n'en resterait qu'un tas de cendres qui disparaitrait au gré du vent.


Non je ne veux plus jamais avoir de remords et si par bonheur ce moine … non pas moins homme … me portait quelque intérêt …
je le suivrai sur les routes … je deviendrai sa compagne de voyage … sa maitresse …
je ne serai plus seule … ne subirai plus cette solitude, cette vie d'errance qui m'a menée presque au pire …
n'avons nous pas en fin de compte les mêmes buts ?
moi l' hérétique qui ai abandonné ma vie pour servir les démunis,les âmes perdues … qui n'ai œuvré que pour le bien …
Lui ce moine marié à Aristote ne fait-il pas fait la même chose ? Ne sommes nous pas identiques ?


Noyée dans ses pensées … Verya sursauta aux coups donnés à la porte …
pas grand monde ne savait qu'elle était là … lui le savait … et si c'était lui …

Inquiète … tremblante … le cœur battant la chamade … elle alla ouvrir
Il était là devant-elle … Lohengrin lui faisait face …

Elle réprima l'envie de se jeter dans ses bras … crevait d'envie de le couvrir de baisers brûlants …
crevait d' envie de lui appartenir … de découvrir, de caresser doucement chaque parcelle de son corps …
crevait d'envie de se laisser aller à l'aimer ...

Elle plongea les yeux dans les siens … se noya dans son regard … lui sourit

_________________
Lohengrinn
Ces années d’errance sur les chemins de l’oublie lui avait développé les sens, une année en ermite dans les montagnes du Portugal l’avait rapproché de l’animal en l’éloignant des hommes. Il n’avait pas peur, n’était pas inquiet …
Sur sa peau il sentait la caresse du vent d’océan, ses oreilles percevaient les cris des mouettes, le fracas des vagues, les hurlements du chef du port sur ses forgerons polonais certes mains d’œuvres économique, mais qui ne comprenait en rien les vociférations cisterciennes hystériques d’un sacristain bougonneur et bouffeur d’écureuil. Ses narines frémissaient à l’odeur d’iode, et l’acre parfum des noirs goémons séchant au soleil …
Oui Lohengrin était un des éléments de la nature qui l’entourait, il ressentait les choses les percevait dans leurs moindres détails, comment ne pas être proche de Dieu quand on a autant conscience de sa création…
Comment ne pas se sentir lié à elle, avec cette femme, créature incarnant Dieu dans le moindre de ses soupirs, comment se sentir coupable d’avoir, pour cet ange, le désir de froisser, sous l’étreinte charnelle, la soie de ses ailes.

Il la regarda intensément, pris une douce inspiration, ce concentra, bloqua ses sens et lui parla simplement.


Verya …Bonjour, je viens ici pour me reposer … Oui, pour


Reposer...

Ce corps épuisé par cette fuite perpétuelle,

Reposer…

Mon âme blessée de tous les tourments qui la hante,

Reposer…

Ce cœur, caparaçonné d’argile, cuite au four de l’enfer, afin que nulle personne n’y ait accès.

Reposer…

Mes mains usées, par la rugosité de mon bâton de pèlerin, à la douceur de tes cheveux …

Fermer …


Mes yeux, pendant que tu veille sur mon sommeille, que tu inspire mes rêves, pendant que mes panse mes plaies de tes attentions bienveillantes.

Partager …


Tes rires, pareil au jaillissement d’une source à travers les glaciers éternels, tes joies que j’inspirerais, ton bonheur d’être en vie, au milieu de ce monde merveilleux, peuplé de songe, de Blayais rieur, de sacristain râleur …

Cracher …

Avec toi sur ses faces blêmes, pourfendeur d’allégresse, allumeur de feux pénitent, d’autodafés des joies. Qui jouissent du mal qu’ils distillent par le verbe et l’action …. Oui à leur fasse nous cracheront.

Mais heureux nous vivront
Vanhelsim
Van deambulait sur la plage , ce n'est pas vraiment qu'il appreciait cet endroit , il a une peur effrayante de l'eau ,mais le calme et la serenite qui regnait ici l'apaisait

il s'allongea sur le sable et plongea ses yeux dans les etoiles et reflechis

"encore une fois tout seul mon bon van , cette fois tu croyais que c'etait la bonne mais bon encore rate , je pense que le celibat me convient mieux du moins il me semble "

Van plonge sa main dans le sable et fais glisser les grains de sable tel un sablier qui s'ecoule lentement

"c'est bizarre toutes ces femmes je les ai aimes profondement , mais ca n'a pas fonctionne comme je le voulais, je dois m'y prendre mal je comprends pas mais bon je vais pas passer ma vie a essayer de comprendre ,je vais vivre avec ses souvenirs "

Van ferma les yeux et se mit a sourire en se rememorant tous ces bons souvenirs
Meylisse
Elle était rentrée du port furieuse, son entrevue avec Jo la balafre était encore trop marqué dans son esprit. L'homme aviné voulait lui faire adopter une oie ou une cochon ! Quelle hérésie.

Comme si les villes n'étaient pas assez peuplées d'oies minaudantes cherchant à se faire épouser et de cochons cherchant à tripoter tout ce qui portait un jupon ! Sans parler des dindes, mais bon ça c'était autre chose.

Elle se dirigea tout naturellement vers la plage, vers les dunes, vers le seul endroit sur cette terre où elle se sentait en paix. Pour une fois, elle avait passé une robe empruntée sur une corde à linge et les cheveux libérés de leur tricorne, voletait au vent.

Marchant pieds nus dans les vagues, elle se remémorait sa prime enfance, quand insouciante, elle ramassait des coquillages, sur la plage...

La nuit commençait à tomber, il était entre chien et loup et elle offrit son visage aux embruns. Comme tout était simple ici !

Le chauve lui avait demandé de le rejoindre à Poitiers, mais la peur de remonter sur un bateau était vive ! Pourtant elle aimait bien cet homme bourru qui l'appelait matelot, mais de l'avoir jeter à l'eau avait terrorisé Meylisse.

Elle soupira, c'était un constat amer, mais voilà ce qui lui empoisonnait l'âme, ce combat contre la mer, qu'elle avait dû livrer pour regagner Blayes à la nage !

Soudain elle sentit une présence, elle se retourna et vit un homme perdu dans ses songes !

Qui était-il ? Elle s'approcha la peur au ventre, petite souvent les contrebandiers trainaient sur la lande.

Quand elle reconnut Van, un petit soupir de soulagement franchit ses lèvres. Elle ne dit mot et s'installa à côté de lui. Assise là, elle replia les jambes et posa son menton sur ses genoux. Le contact de la robe était soyeux, elle regarda le large et les étoiles qui accrochaient leur lueur dans un ciel qui s'assombrissait.
Vanhelsim
Van se laissait aller dans les souvenirs de sa vie , qu'il en avait quasiment oublie le temps , il ouvrit les yeux et la quel ne fut pas sa surprise !!! il n'etait pas seul sur la plage
ohhh coucou Mey , je ne t'avais pas entendu arrivee ,
Van se releva et s'assied correctement
besoin de calme aussi mey ?
j'ai une sainte horreur de l'eau mais j'aime bien Flaner sur la plage , ca m'apaise ca me ressource
Van sortit de sa besace une bouteille de rhum et la tendit vers Mey
il commence a faire froid si ca te tente vas y !!
Meylisse
Citation:
- Il commence a faire froid si ca te tente vas y !!


Elle le regarda, esquissa un sourire, la nostalgie se lisait sur ses traits. Autant elle pouvait être volubile, autant parfois elle était mélancolique presque.

- Du rhum c'est ça ? Le chauve m'en a fait boire avant de me jeter à l'eau, c'est fort non ?

Elle attrapa néanmoins la bouteille tendu et prit une gorgée. Le feu de l'alcool incendia aussitôt sa bouche. Elle avala de travers, toussa, des larmes plein les yeux et rendit le breuvage à l'aveugle, sentant cependant les doigts de Van récupérer la flasque !

Pff ce qu'elle devait avoir l'air maligne là à tousser, la gorge en feu et les yeux tous mouillés !

- Ho ne ris pas hein ! dit-elle la voix éraillée. C'est vrai que pour une future pirate en herbe, je fais pas trop convaincante ! Mais bon...

Mais elle finit par croiser son regard et lui reprit la bouteille des mains.

- Allez je retente ?
Vanhelsim
Van essayait tant bien que mal a se retenir de rire

Bah alors Mey ca pique !!!

Van avait recuperer sa flasque de rhum pour s'en jeter une petite rasade , c'est alors que Mey lui repris des mains et lui dit

Citation:
- Allez je retente ?


Van regardait Mey avec etonnement et lui dit

eh bien Mey tu as de la suite dans les idees, t'es pas du genre a te laisser avoir par une tite gorgee de rhum toi !!!
allez retente fais toi plaisir , maintenant que le passage est fait ca va glisser tout seul

Van partit dans un grand eclat de rire tout en surveillant du coin de l'oeil sa flasque
Meylisse
- Ça va glisser tout seul ! ça va glisser tout seul ! c'est facile à dire oui ! Mais bon je ne suis pas du genre à renoncer !

Elle le regarda rire, incrédule, faisait une moue de femme outrée de le voir rire à ses dépens, quand elle emboucha la flasque.

Mais le rire de Van, teintant dans ses oreilles ne lui rendit pas service. Elle recracha direct le contenu de sa bouche, chance devant elle, épargnant son voisin par elle se savait quel miracle !

- Rhoo regarde ce que tu me fais faire ! C'est de ta faute ! Tu vois quand je dis que finalement un perroquet....

Mey s'appliqua et avala une autre gorgée enfin puis posa ses doigts devant sa bouche, pour éviter qu'elle ne ressorte, déglutissant avec bruit elle le regarda triomphante, mais des larmes plein les yeux.

- Ouch c'est trop fort ce truc, bon dis à part te saouler, tu fais quoi là tout seul ? Ton mea culpa ? Je parie qu'une bonne douzaine de femmes seraient ravies de te tenir compagnie ! Alors tu fais quoi là tout seul ?

Elle lui rends la flasque, la tête un peu déjà engourdie par l'alcool et sourit les yeux perdus dans les étoiles.
Vanhelsim
Van recupere sa flasque, en prend une bonne rasade, puit la pose a ses pieds et tout en souriant a mey il lui repond

tout d'abord je me saoule pas tout seul je me rechauffe !!

Van eclata de rire

tu veux savoir pourquoi je suis la tout seul ? c'est simple je pense a tout ce que j'ai fait ici depuis mon arrive, je fais un bilan de ma vie , et j'en arrivais a la conclusion que j'ai reussi pas mal de choses sauf l'essentiel !!! j'ai pas de famille unie , j'ai eu trois femmes dans ma vie , j'en ai pas garde une , maintenant je suis seul , heureusement j'ai une magnifique petite fille , helas je la vois que tres rarement

Van soupira les yeux plonges dans les etoiles et la mine triste

bref , j'analysais ma vie en quelques sorte ,
et toi Mey tu n'est pas venue ici juste pour me vider les trois quart de ma flasque par terre non ? qu'est ce qui t'ammene ici ?
Hartemis
Quand le trés haut ne veut rien savoir

Hartémis venait de finir sa ronde des tavernes et il avait décidé de ne pas rentrer tout de suite,Cybella devait l'attendre mais il voulait retrouvé un peu de solitude qu'il appréciait tant par moment,c'est donc d'un pas rapide qu'il se dirigea vers la plage et s'installa en haut d'une dune qui surplombée la mer,le vent par moment levé du sable qui venait lui fouettait le visage mais il en avait cure,c'etait signe qu'il était bien vivant.
il s'assit et croisa les jambes et tourna la tête sur le côté,fixant de son regard bleu azur il vit un couple un peu plus loin mais difficilement reconnaissable se detournant de l'objectif il se mit a regarder la mer écoutant par la même occasion cette douce mélodie créer par la le flux et reflux des vagues,il se sentait bien et ferma sa vue pour mieux reflechir à son avenir et se mit à parler a voix haute comme si il s'adréssait au trés haut


pouquoi pourquoi ce cureton pouilleux me fait il ca qu'est ce que j'ai put lui faire ou cyb ,pour qu'il nous demande d'attendre encore et encore avant de pouvoir concretiser notre amour,pourtant je pense avoir été patient mais non ca ne lui convient toujous pas j'ai aussi fait des efforts à croire en vous en passant ma pastorale,je me suis mis à être assidue à la messe,à croire que vous me refusez le bonheur,et je m'en viens à me demander si ça ne vaut vraiment pas le coup,que je me tourne vers le coté obscure,si je me trompe envoyer moi au moins un signe.

Hartémis rouvra les yeux et scruta le ciel étoilé à la recherche du moindre indice qui pourrait lui indiquer le chemin à suivre,il attendit attendit mais ne vit rien venir et la fatigue l'emporta dans une torpeur ou un rêve bien étrange commencait à se déssiner petit à petit
Millie
Millie de passage à Blaye pour une courte visite, profita de quelques instant de repos pour aller se balader et se ressourcer sur la plage.
Elle se souvenait de son dernier passage dans cette ville.
Elle y avait séjourné plusieurs jours avec son "harem", ses amis qui la suivaient dans cette visite de la Guyenne.
Que de souvenirs heureux de cette période insouciante pour eux tous.
Aujourd'hui elle était seule à marcher le long de la grève, "ses" hommes ne la suivaient plus.
Ce n'est pas qu'ils ne le voulaient pas mais la vie est ainsi faite, qui nous colle des obligations sur le dos dont on ne peut se défaire facilement.
Alors ils étaient restés à Bazas et elle était repartie, mais cette fois ci avec un seul : son homme.
Elle en était ravie.
C'était la première fois qu'ils voyageaient tous les deux.
Il n'en faisait pas parti du "harem" lui, et avait bien rit des anecdotes qu'elle lui narrait de ses périples Guyennois et des réflexions plus ou moins obligeantes qu'elle avait eu, seule femme à diriger un groupe d'hommes.
Les gens sont ainsi fait, une femme, plusieurs hommes, les langues vont bon train.
Elle grimaça pour elle même et secoua légèrement la tête pour chasser les idées noires qui prenaient le pas sur les bons souvenirs.
Elle n'était pas là pour ça mais pour profiter de la mer, du soleil et de la plage.
La nature avait un effet reposant sur ses sens et elle en profitait autant qu'elle le pouvait, dès qu'elle le pouvait.
Ses pas lents la menèrent au bord de l'eau, à la lisière ténue du sable et de la mer, frontière changeante que les vagues modifient à leur gré.
S'arrêtant face à l'onde, elle laissa son regard se perdre au loin.
Fixant l'horizon, un sourire effleura ses lèvres quand elle vit un groupe de mouettes plonger dans les flots et en ressortir poisson au bec.
Pas de souci de pêche pour elles au moins.
Un souffle de vent vint soulever la chevelure brune de la jeune femme et lui déposer des mèches sur le visage, elle les repoussa d'un geste lent de la main appréciant la douce caresse.
Elle reprit sa marche le long de la grève, retournant doucement vers son homme qui l'attendait pas très loin de là.
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Meylisse
Citation:
bref , j'analysais ma vie en quelques sorte ,
et toi Mey tu n'est pas venue ici juste pour me vider les trois quart de ma flasque par terre non ? qu'est ce qui t'ammene ici ?


Meylisse sourit et le regarde :

- Qui sait je suis peut-être venue pour toi !

Elle le laisse un moment cogiter ça et regarde la mer qui devient d'encre et d'argent, sous les reflets d'une lune pleine, puis reprends :

- Je ne suis pas venue faire le point sur ma vie sentimentale en tout cas ! Ma mère me manque, elle est morte depuis peu, parfois je viens sur la plage et je pense à elle ! Tu veux voir quelque chose que j'ai découvert ? Là-bas un peu plus loin derrière le phare, là où il y a des rochers, c'est par là que j'allais quand je t'ai vu arrêter ici ! Tu veux ?

Elle se lève, lui attrape la flasque de rhum, lui offrant une vue imprenable que son décolleté pour faire passer l'emprunt du rhum, boit une rasade et le regarde en riant :

- Allez bouges-toi, sinon adieu rhum !!!!
Vanhelsim
Citation:
Là-bas un peu plus loin derrière le phare, là où il y a des rochers, c'est par là que j'allais quand je t'ai vu arrêter ici ! Tu veux
?

tres bien je te suis pas de soucis , par contre si je tombe a l'eau je compte sur toi pour m'aider en plus t'as ma flasque de rhum donc je te suis !!!

Van lui sourit tout en gardant un oeil sur la vue imprenable que lui offrait mey en lui derobant sa flasque de rhum

je suis desole pour ta mere Mey je ne voulais pas raviver de mauvais souvenirs


Van emboitat le pas a mey tout en veillant a ne pas trop se rapprocher de l'eau

Mey je yt'en pris me rapproche pas trop de l'eau j'en ai une peur bleue !!!
Meylisse
Citation:
Mey je t'en pris me rapproche pas trop de l'eau j'en ai une peur bleue !!


Elle le regarda et poussa un soupir. Elle comprenait néanmoins la peur qui vous paralyse au point d'en perdre ses moyens. Elle lui tendit la flasque de rhum et le prit par la main.

- Tiens bois et n'aie pas peur, je suis là, je sais nager, t'en fais pas ! Et puis regarde c'est marée basse ! Allez en route et arrêtes de lorgner mon décolleté ! Si tu crois que je ne te vois pas !


Elle partit d'un éclat de rire, elle était d'une certaine mauvaise foi, lui ayant coller sous le nez quelques instants plus tôt. Oui mais quand même depuis son regard trainait.

Ils longèrent la plage, marchant sur le sable, les vaguelettes parfois venant leur mouiller les pieds. Elle sentait Van prudent, mais elle ne lâcha pas sa main. Ho ! ils avaient pas les doigts enlacés, non, pas comme des amoureux, mais elle lui offrit une main secourable, pour le rassurer.

Jamais aucun homme ne l'avait ainsi touché de si près, tenu sa main même, mais elle ne lui en souffla mot. Van avait un le pouvoir de la rassurer, c'est pour ça qu'elle n'avait pas peur qu'il soit si près d'elle.

Arrivés au phare, ils escaladèrent les rochers, puis elle le conduisit vers une crique rocheuse. Là, elle sortit une torche de sa besace et l'alluma avec un briquet d'amadou. La nuit était claire, chance, sinon elle n'aurait jamais trouvé l'entrée de la grotte. Elle lui reprit la main, et l'entraina vers l'ouverture étroite.

- Viens c'est par là, je pense que c'est un repaire de pirates.
Vanhelsim
Citation:
Allez en route et arrêtes de lorgner mon décolleté ! Si tu crois que je ne te vois pas !

Van se chuchotta "arfffff grille" puis tenta vainement de se justifier
euhhh mais non enfin euhhh je regardais pas euhhhh , je fais juste attention ou je met les pieds

Van se sentait rougir comme une pivoine, heureusement il faisait sombre et cela ne se voyait pas
Van suivait prudemment mey , il lui serrait la main non pas amoureusement juste que cela le rassurait
apres avoir escalalde quelques rochers , il se trouva devant une sorte de grotte

Citation:
- Viens c'est par là, je pense que c'est un repaire de pirates.

Van regarda mey et lui dit
Des pirates , terrible tu crois qu'ils ont laisser quelques bouteilles dans leur repaire , j'ai plus de rhum moi !!!
Van eclata de rire et suivit Mey a l'interieur
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