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[RP] L'Océan... Vers le grand Bleu

Striife
Striife arriva à la plage complétement déboussolé ...
Il s'affala dans le sable et ramena ses jambes contre lui, en contemplant l'écume des vagues qui venait lui chatouiller les pieds ...
Il tourna alors son regard vers le promontoire et l'observa longuement ... Ce fameux promontoire auquel il pensait si souvent ...
Et qui devenait un peu plus chaque jour un symbole de libération ...
Une libération qu'il appréhendait néanmoins, il avait peur de l'Après, et surtout avait envie de revoir ses amis ...
Mais il se sentait vide de l'essence de la vie qui l'habitait autrefois, tout avait perdus sa saveur, il ne trouvait goût en rien ...
Il avait perdus l'envie de vivre, tout simplement.
Tout sa car il prenait les mauvais choix, tout le temps ...
Et pour ajouter encore à sa peine, il s'était brouillé à l'instant avec une amie chère à ses yeux ...
Il resta assis là un long moment, à contempler ce promontoire en pesant le pour et le contre ...
Ce promontoire qui allait peut être fixé son destin.
Elane.
Quittant la mine, fatiguée, sale et le ventre creux, Louizon fit un détour.
Elle n'était jamais venue au bord de la mer. Pourtant, elle en rêvait souvent de cette étendue infinie qui emportait les bateaux bien loin.
Et ce jour-là, ce soir-là, elle y vint.

Le sable sous ses pas lui parut d'abord effrayant. Sentir une surface souple, le pied s'enfoncer légèrement, tout cela elle ne connaissait pas.
Mais au fur et à mesure qu'elle avançait, son pas s'assurait.

Après qu'elle eut marché un peu, elle aperçut une silhouette, là-bas, une personne assise sans doute le regard perdu vers la mer.

Elle hésita d'abord mais se décida à avancer.
Evidemment, le sable assourdissait ses pas et l'homme ne l'entendit pas.
Craignant de déranger, la jeune femme interpela le messire qu'elle reconnut pour l'avoir croisé à la taverne quelques jours auparavant.

Bonsoir.
Je suis Louizon, nous nous sommes rencontrés, l'autre jour, à la taverne.
Je peux m'asseoir ?
Striife
Striife était toujours perdus dans ses pensées quand il entendit une voix quelque peu familière l'apostropher.Il sursauta d'ailleurs quand il l'entendis, un peu surpris de voir du monde à cette heure ci.

Je suis Louizon, nous nous sommes rencontrés, l'autre jour, à la taverne.
Je peux m'asseoir ?


Striife la regarda plus intensément, la pénombre qui tombait petit à petit masquait ses traits et rendait la tâche difficile, mais il la reconnu plutôt rapidement.

Ah oui Louizon, je me souviens !
Et bien sûr que vous pouvez vous asseoir ...
C'est beau la mer hein ...


Striife se détourna de la contemplation de la mer et l'observa et remarqua qu'elle avait le visage noir ...Il en déduis qu'elle était allé à la mine, travail fréquent chez les nouveaux venus .

Vous allez bien Louizon ?
Pas trop dur la ...la Mine non ? Si vous avez besoin de conseils ou même si vous avez des soucis pour vous nourrir, n'hésitez pas à me le dire, je serais là pour vous aider ...


Striife lui donna un sourire qu'il voulait rassurant et bienveillant, en essayant du mieux qu'il pouvait de cacher cette petite lueur de tristesse que ses amis avaient déceler ...
Elane.
Louizon s'assit aux côtés de Striife, en lui souriant.

Oui, la mer est très belle...je ne l'avais encore jamais vue. Je trouve ça superbe.

Striife lui parla de la mine et après avoir regardé ses pauvres mains meurtries, Louizon, toujours souriante, répondit.
Hum, la mine, c'est dur, oui. Mais ça permet de manger et aussi d'économiser.
J'aimerais bien avoir des moutons et une bergerie.


Striife lui proposait de l'aide, peut-être saurait-il, lui.
Justement, est-ce que par hasard, vous pourriez me conseiller, à propos des moutons ? Jusque là, je n'ai trouvé personne pour me renseigner. Il paraît que ce n'est pas de tout repos, mais j'aime bien ces petites bestioles-là.

Louizon était de bonne humeur, elle trouvait la vie à Blaye, plutôt agréable et le petit éclat qu'elle crut voir dans le regard de Striife la contraria. Pourtant, elle ne se sentait pas en droit de le questionner sur ce qu'il avait en tête. Après tout, ils ne se connaissaient qu'à peine et la jeune femme craignait qu'il ne la trouve trop curieuse ou impolie. Aussi se contenta-t-elle de le fixer, avec le plus de gentillesse possible, attendant qu'il réponde ou pas à sa demande.
Striife
Justement, est-ce que par hasard, vous pourriez me conseiller, à propos des moutons ? Jusque là, je n'ai trouvé personne pour me renseigner. Il paraît que ce n'est pas de tout repos, mais j'aime bien ces petites bestioles-là.

Striife se mit à chercher des informations sur les bêtes là, mais il ne savait rien du tout ... Il se souvint alors que Dzerva elle en élevait.
Striife lui répondit après ce petit moment de réflexion.


Euh, moi personnellement j'y connais rien, mais j'ai une très bonne amie du nom de Dzerva qui s'y connait, je vous conseille d'aller lui parler, elle se fera un plaisir de vous aider d'ailleurs !
Elane.
Louizon sourit à Striife, tout en l'écoutant.
D'accord, je ferai ça, j'irai lui demander si je la croise ou alors, je lui écrirai.

Il faisait calme sur la plage, juste le bruit des vagues.
Louizon avait envie d'entretenir la conversation mais sans déranger Striife.

Et vous, que faites-vous à Blaye, comme occupation ?
Striife
Striife regardait tranquillement l'océan tout en prêtant une oreille attentive à Louizon ...
Celle ci lui demanda ce qu'il fesait à Blaye ...


Moi ... ? Je fais pas grand chose, je suis souvent en taverne à parler et boire avec mes amis, sinon pas grand chose ... Je cultive mon champs ... Je vais souvent au verger cueillir des fruits, et puis je viens de passer meunier, donc je moudrais le blé très prochainement, sinon rien d'autres !

Et vous ? Comment vous occupez vous en ce petit village ? Je ne vous vois pas souvent en taverne,c'est dommage ...


Striife souriait à Louizon en se disant qu'une nouvelle camarade de boulasse ce serait vraiment bien

Venez donc en taverne une soirée, on se croisera peut être et on pourra boire un verre !
Elane.
Un autre sourire, de sympathie.
Moi, j'essaye de trouver du travail, à la mine, le plus souvent et puis je viens au bord de la mer.

Je passerai un de ces soirs en taverne. Promis.

La jeune femme laissa son regard s'en aller au gré des vagues. La nuit s'intensifiait, la brise se rafraîchissait.
Aysun
Du haut de son perchoir, elle profitait royalement de la vue plongeante sur la ville. L’étreinte réconfortante et si délicate de son prince, la berçait au rythme de ses pas.
La tête posée sur son épaule se faisant légère, elle savourait cette délicieuse promenade.
Chantonnant joyeusement entre deux baisers tout en battant la mesure sur la tignasse de Kro cet air

Elle se sentait soudainement euphorique plus ils approchaient cahin-caha de la plage. Un peu comme ce naufragé apercevant un bout de terre dans l’immensité bleue. L’air salé de l’océan remplissait par rafales leurs poumons mélangeant cheveux de sel et de sable. Kro ne semblait pas forcer malgré cette si longue marche, elle regardait de temps en temps son visage plissant les yeux sous la lumière.

Tout en balançant ses jambes dans le vide, une question s’incrusta malignement.
*Qu’allaient ils vivrent à présent ? Plus de pleurs, plus de malheur.*

Le souffle court Kro s’arrêta soudain, ils étaient arrivés. Diia vit dans les iris turquoise de son époux, danser des lianes blanches et argent. L’écume se reflétait livrant ce qui demeure caché dans le plumage de leur cœurs parce que la mer et le rivage demeurent éternels.
Le son mélodieux des vagues les bercent en ces paroles.


Ecoute moi !
Je suis la mer infinie.
Tous les mondes ne sont que des grains de sable sur mon rivage.
Vos rêves se fondent dans l’empreinte de mon lit.
Ma robe sonde les profondeurs marines et célestes,
Sous le fier azur, mes diamants translucides hôtes langoureux telle la méduse des grands fonds.
Pour vous j’enfile des perles d’or,
Venez dans mes bras recevoir la bise d'une mère.


-Pose moi mon amour, marchons un peu, tu veux ? J’ai des fourmis dans les pieds !
Il la posa délicatement sur le sable, retenant sa chute comme un enfant faisant ses premiers pas. Irrépressiblement sa main se glissa dans la sienne.
_________________
Aysun de la Duranxie, Duchesse d'Ornon, dicte Aradiia
Kronembourg
Les deux silhouettes avançaient, enchevêtrées, mêlées l'une à l'autre sur la plage que tous les deux aimaient tant.
Elle, la plus belle femme du monde, se livrant avec la plus grande confiance aux bras robustes de son homme et lui, noyant son regard dans le sien, y découvrant des merveilles, heureux de la retrouver enfin près de lui, dans cette intimité charnelle qui lui manquait tant.

Diia n'avait jamais été plus attirante. La redécouvrir si joyeuse après tant de larmes versées dans leurs vies transcendait le barbu bourru. Comme une renaissance après la mort. Et même si Diia soudainement s'était mise à chanter , Kro ne songeait qu'à saisir là l'immense bonheur qu'elle lui donnait en recouvrant la plage du son si spécifique de sa voix.


-Pose moi mon amour, marchons un peu, tu veux ? J’ai des fourmis dans les pieds !

Kro la déposa délicatement sur le sable, juste à ses côtés. Il marchèrent main dans la main le long de la plage, lui, prenant soin d'elle et s'assurant que ses pas restaient fermes et réguliers, et elle, chantonnant toujours, les yeux rivés vers ce magnifique grand bleu qui s'offrait à eux.
Kro fut soudain pris d'une envie de rire.
Cet air qu'elle fredonnait, cette joie retrouvée, cette solitude rien qu'à eux, le barbu fut soudain pris d'un fou-rire qui s'éteignit après de longues, longues minutes durant lesquelles son coeur retrouvait peu à peu le goût à la vie.
Il s'approcha de sa femme, pour l'embrasser. L'embrasser comme pour la première fois, avec une tendresse et une chaleur que seul le grand amour peut aviver et raviver maintes fois entre deux êtres. Lorsqu'il reprit son souffle, ayant envie de rire encore, Kro lui murmura doucement au creux de l'oreille :


Rentrons chez nous mon amour. Je vais t'emmener dans un endroit où nous vivrons plus heureux encore.

Il lui proposa son bras pour la porter encore, les deux silhouettes s'éloignèrent en direction du village.
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Edwina
aujourdhui devait etre le jour de son départ
perdue dans ses pensées sidozel de dit que le meilleur moyen de s'y retrouver dans tous ca étais d'aller a la plage, l'immensité de l'océan l'aiderait peut etre

elle retira ses bottes et marcha dans le sable jusqu'a atteindre l'eau
l'eau glacée la fit frémire
elle repensa a sa conversation avec fleur ce matin
toutes les bribes de la conversation revenaient sans cesse la hanter

comment réussir a oublier sans partir, comment oublier que c'est ici que je l'ai aimé
comment repartir sans souffrir

sidozel s'assit sur le sable et enserra ses genoux dans ses bras
le regard perdu a l'horizon, regardant l'eau onduler doucement au gré du vent
si seulement ce qui habite mon coeur était aussi calme se dit elle

elle poussa un long soupir
comment savoir la bonne decision aprendre

elle se leva repris ses bottes et se dirigea lentement vers le village, tete baissée
toujours aussi songeuse
Edwina
decidemment elle prenait gout a cette ballade sur la plage

sidozel reparti vers l'océan, celui qui savait tout et ne disait rien

elle enleva ses bottes, ses bas et foula le sable lentement
elle s'assit en tailleur et regarda l'eau en souriant


"que j'aime ce mouvement de l'eau , on dirait une femme qui danse"

elle pris une poignée de sable dans sa main et le fis glisser le long de ses doigts

elle avait envie d'ecrire, ce moment de plénitude seule face a l'océan l'inspirait

elle prit un papier et une plume et se mit a écrire
apres avoir fini elle se dit qu'elle enverrait un pigeon pour faire lire ces quelques mots

elle rangea sa plume et rejoua avec le sable, qui glissait de ses doigts au gré du vent
Oz66
Plongé dans ses livres oz releva la tete il aimé venir ici au calme du bruits des vages pour apprendre c étè d un calme absolue
Au moment de partir il apercu unesihouette qui n etais pas inconue
Il s apporcha et au fur et a mesure il reconut sodozel

tiens on se retrouve puis je m assoir a vos cotés ?
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Edwina
sidozel perdue dans ses pensées entendit

tiens on se retrouve puis je m assoir a vos cotés ?


elle releva la tete et vit oz
elle lui souria et lui dit

" avec grand plaisir oz, on regardera l'immensité de l'ocean ensemble^^tout en discutant"
tu as beaucoup de choses a étudier on dirait, une petite pause te sera bien profitable
et tu sais a quel point j'apprecie ta compagnie"

elle lui sourit et repris une poignée de sable le laissant filer entre ses doigts

c'est interessant ce que tu étudie ?
Oz66
oz sourrit a sid son regard reposee tut autant que l ocean et son sourirre rapelle le mouvement des vague

oui c est long j etudie pour l etat

Oz regarde sid jouer avec le sable

parle moi de toi un peu
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