[FlashBack à l'Auberge du Blason]
C'est par une jeune femme éplorée assise sur une margelle que démarre la scène.
Un homme relativement grand pour son époque est assis à ses cotés, pourtant leurs accoutrements respectifs les distingues fortempent dans l'échelle sociale qui est la leur : la jeune femme fait parti du bon peuple, l'homme lui de la caste plus riche, un grand bourgeois, surement même un noble au vu des deux fourreaux qui portent à sa ceinture de tissus et à la qualité de sa vesture.
Devant eux un chien les regarde battant le pavé de sa queue en l'attente d'un peu d'action.
Je vais retrouver vostre père, il ne doit pas être bien loin. Après tout je suis son mécène pour ses oeuvres et il me couterait plus de le perdre que de le retrouver.
Si jamais il devait arrvier quelques choses, Bran viendrait à vous. Dans ce cas allait quérir de l'aide auprès d'une Rose Epée, à la Pairie ou à Saint Antoine le Petit vous trouverez surement des gens qui portent une fibule de la sorte.
Le Cygne lui pose dans la main sa propre fibule d'Or
La seule différence c'est que la leur est d'argent.
Si Vous ne deviez trouver personne allait au lavardin dans le Vendomois, je sais que c'est long voyage mais c'est le seul endroit où vous trouverez de l'aide et de la sécurité dans cet optique. Mes gens seront quoi faire si vous leur présentez cette fibule d'or.
[FlashBack au Cimetière des Innoncents]
Le Cygne avait vu la amrque. Il savait où cela le conduirait.
Il avait vu une demi douzaine de traine petit entrer dans le mausolée poussant un vieil homme qui ne pouvait être que le potier.
Quelques temps plus tard il leur emboita le pas flanqué de son éternel compagnon à quatre pattes.
Après quelques attouchement sur l'Archange dont certains auraient fait hurler n'importe quel prélat normallement constitué, la porte secrète s'ouvrit laissant l'homme et le chien entrer au pied d'un escalier s'enfonçant dans les ténébres.
Sachant qu'il serait surement seul contre au minimum la demi douzaine de malfrat précédemment vu, le Cygne mis en place un système composé d'un cable très mince et surout très tranchant au niveau de la dernière marche de l'escalier. Il prit aussi la précaution de moucher les quelques flambeaux que les hommes en descendant avaient allumés et disposé en haut de l'escalier.
Si qqun s'avisait de monter l'escalier en courant il se retrouverait littéralement sans voix, voir même sans tête si la vitesse était suffisante.
Pour plus de sureté il laissa l'ouverture secrète ouverte, en espérant qu'aucun mécanisme n'irait la fermer.
Puis il commença sa descente dans les ténèbres. En fin d'escalier il éteignit sa propre torche et bien lui en prit car celui lui permit de voir qu'il y avait du mouvement un peu plus loin.
Lentement, en restant dans les ténébres, il avisa la situation, 4 des hommes descendaient par une trappe le vieil homme, et là aucun doute c'était bien le potier.
Le Cygne attendit que les Quatre soient bien hors de vu et sortant de leur fourreaux respectifs les lames des deux jumelles chargea.
Ce fut un combat rapide et sanglant les quatre hommes arrivant par la suite à la rescousse, le Cygne se trouva en facheuse posture donna de l'acier comme un desespèré.
Les cadavres commencérent à peser et un faux pas fit trébucher le Cygne par la trappe qui fut rapidement fermée et bien trop lourde pour être relevé par une seul homme.
Au final, un homme s'enfuit par les escalier en courant, surement pour quérir des renforts, laissant un tas de cadavre sur la trappe pour plus de sureté.
En haut de l'escalier IL (la Mort) sous sa capuche rigolait en regardant un sablier.
Un corps sans tête percuta la porte qui avant de se clore laissa passer un chien tenant dans sa gueule un caducée brisé.
JUSTE A TEMPS !
[FlashForward : A Saint Paul, quartier des Hérauts]
Le Cygne regarda la cicatrice qui resterait de cette histoire. Celle visible de sa main, car celle invisible dans son coeur personne d'autre que lui ne la verrait jamais.
Une fois de plus il avait perdu une Rose-Épée. C'était sa malédiction personnelle, celle qui voulait que s'il venait à s'attacher aux gens soit ceux-ci le trahissait soit ils connaissaient un funeste trépas.
Comment vivre et aimer avec un pareil destin ?
Ce jour, encore, il venait de perdre une amie.
Ce jour, encore, il avait le sentiment qu'il était celui qui apporte le malheur.
Ce jour, encore, il se demandait si cela vallait bien le coup de continuer
Ce jour, encore, il avait les larmes aux yeux.
A ses pieds un chien aux poil maintenant gris dormait paisiblement.
Dehors la nuit était noire d'encre, le monde lui continuer sa lente et inexorable continuité.
Il finit par se relever et ouvrir une fenêtre.
La Lune était à son premier quartier et malgré quelques pollutions lumineuses la voie lactée donnait de sa Superbe.
Les Larmes, elles, coulèrent maintenant librement.
Personne ne le verrait pleurer.
Elen síla lúmenn' omentielvo, mon amie.
Pardonnes moi.