Geronimo2751
Géro regardait les gens s'affairait autour du grand académicien, il lui était bien impossible de bouger tant la stupeur l'avait gagné. Ne disait-on pas que les académiciens sont immortels et en voilà un qui allé passer au trépas seulement quelques temps après son arrivé.
Tous s'agitaient autour du corps, Mentaïg avait fait son apparition et allé lui prodiguer les soins adéquat. Les sons dans la tête de géro étaient confus, il n'entendit pas les dire du médecin ce fut que quand la dame qui accompagnait Sire Valatar prit la parole que géro réagit.
Allez trouver de l'eau, j'connais pas le bâtiment.
Très bien j'y cours, je vais vous trouver ça.
Il sortit en trombe, il se demanda soudain si l'eau devait être chaude ou pas. Mais poursuit sa course, de ces maigres souvenirs de ses blessures en Bretagne il se souvenait que les linges étaient chaud.
Il courut aussi vite qu'il le put, il se souvenait que dans une des dépendances de l'académie il avait vu des gens préparer à manger. Peut être qu'à cette heure ci ils avaient de l'eau à chauffer pour la soupe du soir.
Il saisit à l'entrée de la dépendance le sceau qui servait surement à tirer l'eau du puits et entra comme une bombe dans la maison. Une marmite était bien sur le feu. Il jeta un coup d'il à l'intérieur malgré les gens qui venaient de se lever pour protester de l'intrusion.
Satané navets et blettes il ne pouvait décemment pas ramener du jus de bouillon pour soigner le grand académicien. Il s'apprêtait à sortir quand il vit un autre sceau posé près de la cheminée. Il l'inspecta il était plein d'eau certainement pour une quelconque décoction il s'en saisit mais le lâcha bien vite, il était brulant. Il saisit le tablier d'une des personnes qui s'était levé et transvida l'eau.
En se retournant il vit que les gens présents s'étaient levé mais n'avait rien dit, surement à cause de son habit de copiste. Il n'avait pas le temps de leur expliquer sa présence. Il revint au pas de course faisant fis de la marqueterie qu'il arrosait. Il passa les portes de la bibliothèque et faillit bien renversé une des personnes qui s'était approché. Il bouscula sans ménagement les personnes pour passer.
Voilà vostre eau Dame Mentaïg.
Il prit soin de poser le sceau sur le tablier qu'il avait gardé, il n'aurait pour rien au monde brulé le sol de la bibliothèque.
Tous s'agitaient autour du corps, Mentaïg avait fait son apparition et allé lui prodiguer les soins adéquat. Les sons dans la tête de géro étaient confus, il n'entendit pas les dire du médecin ce fut que quand la dame qui accompagnait Sire Valatar prit la parole que géro réagit.
Allez trouver de l'eau, j'connais pas le bâtiment.
Très bien j'y cours, je vais vous trouver ça.
Il sortit en trombe, il se demanda soudain si l'eau devait être chaude ou pas. Mais poursuit sa course, de ces maigres souvenirs de ses blessures en Bretagne il se souvenait que les linges étaient chaud.
Il courut aussi vite qu'il le put, il se souvenait que dans une des dépendances de l'académie il avait vu des gens préparer à manger. Peut être qu'à cette heure ci ils avaient de l'eau à chauffer pour la soupe du soir.
Il saisit à l'entrée de la dépendance le sceau qui servait surement à tirer l'eau du puits et entra comme une bombe dans la maison. Une marmite était bien sur le feu. Il jeta un coup d'il à l'intérieur malgré les gens qui venaient de se lever pour protester de l'intrusion.
Satané navets et blettes il ne pouvait décemment pas ramener du jus de bouillon pour soigner le grand académicien. Il s'apprêtait à sortir quand il vit un autre sceau posé près de la cheminée. Il l'inspecta il était plein d'eau certainement pour une quelconque décoction il s'en saisit mais le lâcha bien vite, il était brulant. Il saisit le tablier d'une des personnes qui s'était levé et transvida l'eau.
En se retournant il vit que les gens présents s'étaient levé mais n'avait rien dit, surement à cause de son habit de copiste. Il n'avait pas le temps de leur expliquer sa présence. Il revint au pas de course faisant fis de la marqueterie qu'il arrosait. Il passa les portes de la bibliothèque et faillit bien renversé une des personnes qui s'était approché. Il bouscula sans ménagement les personnes pour passer.
Voilà vostre eau Dame Mentaïg.
Il prit soin de poser le sceau sur le tablier qu'il avait gardé, il n'aurait pour rien au monde brulé le sol de la bibliothèque.