Afficher le menu
Information and comments (8)
<<   <   1, 2, 3, ..., 25, 26, 27, ..., 41, 42, 43   >   >>

[Rp]Chasteau-En-Anjou

Yunagrimwald
Elles avaient passés la nuit chez Chabinne en quittant le Chasteau-en-Anjou, la cadette Grimwald ne se sentant pas faire face au bonheur récent qui y régnait.
Elles avaient repris la route qui avait tari ses espoirs quelques jours plutôt pour rejoindre la chapelle où serait célébrer l'inhumation.

Yuna pénétra dans la chapelle aux côtés de sa sœur vêtue de sombre, les cheveux tirés sous un voile faisant ressortir la pâleur de son teint, son regard chargé de mélancolie ne put se détacher du cercueil déposé au milieu de celle-ci. Accablée et triste, elle salua Kilia simplement et pris place sur un banc aux côtés de Chabinne.
Victoire_loo
Victoire avait eut du mal a trouver une tenue adéquate, elle était revenue sans rien, heureusement tout le monde s'etait mis en quatre au chateau pour lui trouver une tenue convenable.

Elle entra timidement dans l'église et vit sa mere au premier rang. Elle s'approcha lentement d'elle, et sans un mot mis sa main dans la sienne.

Kilderic était un jeune enfant quand elle était partit c'etait aujourd'hui un jeune homme, elle était triste de ne pas l'avoir mieux connu, elle s'en voulait d'etre partit, peut etre que si elle était restée tout aurait été différent. Cette pensée lui était insuportable.

Elle avait de la peine, mais elle retenait ses larmes, elle devait etre forte pour sa mere.

_________________
Alatariel
Alatariel entra tout de blanc vétu avec comme à l'habitude une cape blanche ornée de la croix noir de malte. Le masque du deuil semblait devenir habituel à la Baronne seul son regard montrait un lueur de tristesse

Pour peu qu'elle connaissait le défunt, elle l'avait apprécié, et avait vu en lui un peu de l'avenir de l'Anjou.

Funeste jour pour l'Anjou, pour la Famillia et pour Kilia.

Son pas était doux sur les dalles de pierres froides et seul le bruissement de ses vêtements venait troublé la prière des lieux.

Dans sa main se tenait un bouquet de nivéole, perce neige et hellébore, rarement fleurs à s'ouvrir en cette froide saison. Alatariel s'approcha du cercueil, s'inclina doucement, et déposa sur le pied son bouquet. Elle resta là un instant figée... repensant à tous ceux qui avaient rejoints le Très Haut... et dans un murmure, elle prononça ses paroles trop souvent répétées :


Que les vents te portent au delà de tes espérances, Kildéric...

Puis elle se retourna vers Kilia. Elle posa simplement sa main sur son épaule, un sourire aussi réconfortant qu'il peut l'être en ce circonstance, et elle s'agenouilla à ses cotés, pour prier.
_________________
Absente jusqu'à fin mai
Otissette
Sobrement vêtue Tiss entra dans la chapelle afin de rendre un dernier hommage à son ami Kilderic.

Ne trouvant pas les mots qui pourraient réconforter Kilia elle préféra la saluer simplement. Mère elle même Otissette pouvait imaginer la douleur que devait ressentir Kilia face à la perte de son fils, elle en avait le coeur brisé pour la Duchesse.

Elle salua Alatariel d'un signe de la tête avant de rejoindre Yuna à coté de laquelle elle s'installa.
_________________
Gerfried
Il était son vassal. Il se devait de venir. Et Kildéric... après tout, c'était un bon compagnon, pas un ami certes, mais enfin... pas loin. Alors il était venu. Quand bien même l'Eglise ne semblait pas vouloir autoriser un enterrement chrétien, sans doute pour un prétexte futile.

Les ragondins étaient venus eux aussi, mais ils se tenaient à l'écart, ayant très vite appris que tous les rassemblements d'humains n'étaient pas forcément occasion de fête. Ils n'étaient pas sots et savaient sentir quand on pouvait mordre les pieds de l'évêque local ou quand on devait se tenir à carreau.

Fendant la foule, le seigneur de Courcelles qui, contrairement à sa soeur d'Ordre Alatariel avait revêtu cotte noire et croix blanche, vint déposer une gerbe de pensées, des fleurs qui poussaient bien à Cossé et qui lui rappelaient feue BloodyMary. Toute bourelle qu'elle était, elle avait ordonné aux membres de la mesnie cosséenne d'en planter autour de la forteresse baronniale. depuis, les pensées s'épanouissaient dans toute la baronnie. Kildéric était un homme, il n'avait sans doute pas eu vraiment d'atomes crochus avec les fleurs. Mais dans le doute... et puis, venir avec une cuvée de cette gnôle dont il fournissait la moitié de la noblesse angevine n'aurait peut-être pas été du meilleur effet.

Ayant déposé ses fleurs, Gerfried s'adressa à voix basse au mort.


- Je suis navré Kildéric, mais tu ne pourras pas contribuer à botter le fondement des Poitevins. Ceci dit, rassure-toi, nous assumerons ta part. Je te le promets.
_________________
Mmelamarquise
Marquise se rendit à Chasteau-En-Anjou. Elle avait appris la si triste nouvelle et s'était sentie concernée. Pas qu'elle soit une amie proche de la famille, non, mais elle pensait à la douleur d'une mère. Ou plutôt, elle faisait tout pour ne pas y penser tant cela devait être atroce.
C'est sans prétention que Marquise se présenta à la chapelle où reposait feu Kilderic : sa présence ne changerait sûrement rien, mais elle se disait que, pour retrouver le sourire, Kilia aurait besoin d'en recevoir beaucoup.

Marquise se signa en entrant, s'approcha du corps sans vie, dit une prière et déposa quelques fleurs au pied de l'autel, comme le voulait la tradition. Puis elle regarda en direction de Kilia et se rendit compte qu'elle tremblait un peu. Elle s'approcha et se baissa légèrement vers la mère endeuillée, pour poser sa main sur la sienne et lui dire le plus humblement du monde, mais cela, et elle y tenait, dans un sourire, même si c'était un triste sourire :


Reçois toutes mes condoléances Kilia, elles sont sincères.

Puis Marquise se retira, ne souhaitant ni être de trop, ni se mettre à pleurer.
_________________
Marquise, Baronne de Durtal

Je ne porte plus le deuil, mais je vous porterai toujours dans mon cœur.
Letiti
Il avait vu l'étincelle de folie dans le regard de Kilia. Cette folie qui vous fais vivre ailleurs. Il avait vu l'échappatoire qu'elle s'était forgée pour contenir si ce n'est accepter cette douleur qui devait la ronger.
Si Letiti ne pouvait plus rien pour le mort, il pouvait faire son possible pour s'approprier un peu du chagrin des vivants. Il espérait pouvoir ainsi soutenir sa marraine dans cette difficile acceptation de la réalité.
Il n'aimait pas ces atmosphères. Il était nerveux alors qu'il passait une chemise aux tons neutres, délaissant son habituel rouge. Alors qu'il finissait de la boutonner, il essayait de se rappeler le peu de choses qu'ils connaissaient de Kildéric.

Dans un soupir il prit les chemins et se rendit à la chapelle du castel. Sa cape prestement enlevée, jetée derrière un buisson, son chapeau fut retiré et ses cheveux rapidement recoiffés d'une main. Quelques personnes étaient la à se recueillir. Sa marraine était bien évidemment présente. C'était une cérémonie d'adieu. Il fallait ca pour tourner une page bien lourde. Letiti ne s'avança que très peu. Il s'assit sur un banc sa droite, ses mains triturant le chapeau entre ses jambes. De sa place, le dos de la plupart des personne présentes était visible. Ses pensées vaquèrent de Kildéric à Kilia, à la mort. Il se posait bon nombre de questions, des souvenirs de personnes disparues remontant inévitablement à la surface.
Il restait la les mâchoires serrées, une boule dans la gorge ses yeux ne voyait plus que le vide...

_________________
pnj
La vieille dame, celle qui avait passé ses jours à s'occuper de Kilderic quand il était petit, nourrice de tous les petits Chandos Penthièvre. Mémé de complicité, d'amour, de câlin, des petiots, mère de substitution de Kilia, avança en premier devant le pupitre. les années lui avait permis d'accuser le coups de la vie.

Mais amis, frère, soeur, parents, amis, de notre petit Kilderic.
Nous enterrons aujourd'hui ce petite ange, enfant qui venait de prendre 15 ans, il allait commencer sa vie d'homme, nous l'aimions mais le Très-haut a décidé de le reprendre près de lui.
Certains vont crier leur douleur, mais lui ne souffre plus
Certains vont vouloir haïr le Très-Haut, mais lui ne le haït pas.
Certains sont dans l'incompréhension, notre Kilderic ne l'est pas.
La mort est plus difficile pour ceux qui restent, certains vont en vouloir à me p'tit gamin adoré, mais il n'y est pour rien.
Nous ne décidons pas de notre naissance nous ne décidons pas de notre mort.
La mort est pour nous chargée de question, mais réconfortez vous avec l'idée que Kilderic lui a le repos, a les réponses, et restera grâce à notre amour pour lui toujours dans notre coeur.

Il n'y aura point de prêtre ici aujourd'hui, mais prions ensemble pour le repos de son âme. Faisons que nos prières l'accompagnent et l'aide à ne pas se sentir coupable de sa mort.

Je lui ai écrit une prière.

Telle une inconsolable tourterelle, l’âme voltige par les plaines, méditant, de la hauteur de l’intelligence divine, sur les péchés et les tentations des voies du passé, emplie de chagrin pour chaque jour sans retour, perdu sans profit, mais fais grâce à ton serviteur,
Ô Très-Haut, qu’il entre dans ta paix,
Très-Haut, tu connaissais sa vie dès avant sa naissance et tu l’as aimé ;
Tu le voyais de loin et tu tendais vers lui ton amour infini.
Nous demandons pour lui le pardon de ses fautes,
Ô Très-Haut tout-puissant, veille sur son repos dans la tombe.


Elle fit un moment de silence pour que chacun se recueille et reprit.

Maintenant si vous voulez lui dire quelque chose ici à votre façon vous pouvez, puis nous l'emmènerons près du grand chêne, pour lui dire au revoir.


Chabinne
Elle était venue auprès de sa sœur. Elle avait assisté au plus près à la folie de Kilia et ses envies d'oublis, ainsi qu'a la douleur omniprésente de sa sœur.
Kildéric était une personne qu'elle appréciait, mais elle n'aurait pu dire qu'il était un ami, bien qu'elle était sûre qu'il le serait devenu. Non, si elle éprouvait de la peine c'était pour tous ses êtres peinés, et pour ce corps sans vie, qui aurait apporté grand bonheur à Yuna. Avec qui, elle aurait pu passer de bons moments. Si elle était peinée, c'était pour cette vie qu'il ne vivrait pas. La mémé prit la parole, récitant prière, rassurante à l'oreille.
La brune tenait doucement la main de sa sœur. Peut être aurait elle une phrase d'adieu à lui dire.
Elle se contentait de prier en son intérieur, pour les présents et pour une paix à atteindre pour ce mort.
Victoire_loo
Victoire chercha le regard de sa mere, elle y vit des larmes prete a glisser le long de ses joues. Elle serra un peu plus fort sa main et lui chuchota a l'oreille.

Vien maman, allons lui dire au revoir.

Elle ouvrit la marche, sans lacher la main de sa mère, elles se retrouverent toutes deux devant le cercueil. Victoire se signa, puis posa la main sur le bois, ferma les yeux et priat en elle meme, elle vit que sa mère faisait de meme.

Mon frère, je n'ai de toi que des souvenirs d'enfance, les souvenirs de l'enfant plein de vie que tu étais. Je ne peux qu'imaginer le jeune homme tu es devenu. Je te demande pardon pour tout, pour t'avoir abandoné, pour ne pas avoir été la grande soeur que tu était en droit d'avoir, pour tous ces souvenirs que nous n'aurons jamais.Je te garde a jamais dans mon coeur, je vivrais en cherissant ton souvenir.

Victoire déglutie, les larmes qu'elle avait si lontemps contenuent coulaient abondament venant s'écraser sur le bois du cercueil. Apres une petite pose elle reprit sa prière.

Aristote, je t'en prie, accueil mon frère aupres de toi, vois dans son coeur la bonté qui est en lui, et accepte le comme un des tes enfants. Offre lui de renaitre a tes cotés, de connaitre la félicité éternelle.

Donne aussi a maman le courrage de surmonter cette épreuve, adoucie le chagrin qui emplit son coeur, redonne lui la joie de vivre, et veille sur elle du mieux que tu peux.

Amen


Victoire se signa de nouveau. Elle attendit que sa mère ait fini de prier, elle aussi avait pleurer lors de cet ultime au revoir. Elle lui repris la main et l'encouragea a retourner a leur place.
_________________
Kilia
Elle priait et en même temps lui parlait. Les regards, les mains posaient sur son épaule étaient des réconforts. Elle ne voulait pas flancher alors elle restait immobile. Mais tous les gestes réchauffaient son coeur meurtri.
Elle se leva avec sa fille qui était revenue sentant l'appelle de sa mère, cet appelle sans parole, mais d'un coeur qui se déchire et qui a besoin des siens autour d'elle.

Elle pria, et juste avant de partir elle sentit qu'elle allait pouvoir parler. D'une voix engourdie par la tristesse,

Kilderic, mon amour pour toi à jamais sera préservé.
Tu es partit trop tôt.
Mais je te garderais en moi, je t'aime.


Elle ne pouvait pas dire plus.
Elle embrassa le cercueil ses yeux embués par les larmes.

Bagminton et trois autres gardes alors se levèrent et se positionnèrent autour du cercueil.
La duchesse fit un petit signe de la tête, et ils mirent le cercueil sur leur épaule.
Ils marchèrent lentement, très lentement. Kilia au bras de sa fille suivait. Elle ne voyait plus, ses larmes lui cachait le chemin.
Elle sentit dans ce profond silence les gens la suivre.
Le silence devenait le cri du malheur.
Les porteurs s'arrêtèrent, et peu à peu le corps de Kilderic rejoint sa dernière demeure.
C'était fini.

Une calèche avait été harnachée et Kilia dans la soirée partirait.

_________________
[J'aime pas le nouveau forum!] ComPtesse de FC
Lambertine
Un cavalier aux couleurs de Montiercrolles arriva. Son maître n'avait pu se déplacer, lui même trop malade pour faire le voyage jusqu'à Chasteau-En-Anjou. Il le regrettait. Même si Lambertine n'avait jamais vraiment côtoyé Kildéric, ni même sa mère, il avait au moins partagé quelques bons moments avec eux. Et il n'osait même pas s'immaginer la peine de la Duchesse. Ce n'était pas dans la nature. On ne pouvait immaginer qu'un enfant puisse mourir avant ses parents. Et pourtant, de temps en temps, cela arrivait. Il avait déjà perdu des êtres chers. Mais il savait que la douleur ressentie par un père, ou plus encore, par une mère qui perd son enfant est indescriptible.

Le cavalier arriva enfin au domaine de Kilia. Mettant pied à terre, il remit à un page une lettre adressée à la Duchesse, puis lui demanda de la lui remettre plus tard.



Citation:
Montiercrolles, le 22 Février 1457.

Chère Kilia,

Excuse moi de ne pas pouvoir t'adresser mes plus sincères condoléances en face, mais une vilaine toux m'empêche de parcourir la distance qui sépare Montiercrolles de Chasteau-En-Anjou.

Je sais que ces paroles ne pourront apaiser ta peine, que des dizaines de personnes ont déjà dû te les dire, mais, pourtant, je continue à croire que Kildéric nous a quitté pour un monde meilleur.

Je suis pourtant triste qu'il nous ait quitté si tôt, alors qu'il semblait rayonner de vie. La perte d'un être cher n'est jamais simple à supporter. Encore moins celle d'un fils. Mais nous sommes là pour t'aider à tenir le coup.

Si tu as besoin de quoique ce soit, je suis là. Les portes de Montiercrolles te sont grandes ouvertes.

Avec toute mon affection,

Lambertine Verne,Varon de Montiercrolles.

_________________
Lambertine Verne, Baron de Mortiercrolles.
Fifounijoli
Comme beaucoup de personns ce jour, elle se rendit au Chasteau –en –Anjou, afin d’accompagner une dernière fois le jeune Kildéric. Elle l’avait peu connu, mais la Duchesse Kilia était une proche parente et même si aucun mot ne serait trouver sa place afin d’apaiser la peine qu’était celle d’un enfant elle se devait d’être présente.

Fifou pénétra en la chapelle, un fin mouchoir chiffonné au creux de sa main, vêtue une robe sombre, un voile sur son visage et c’est discrètement qu’elle salua les personne présentent…
Elle regarda sa tante et murmura un dernier au revoir au jeune Kilderic…. Puis s’approcha de Kilia.


Mes sincères condoléances ma chère tante, je ne saurais trouvé les mots pour rendre ta peine moins grande mais sache que je suis là.

Elle baissa la tête et rejoignit Fitzounette dans un coin de la chapelle.
--Joffrey_de_beaufort
comment cette missive était elle arrivée, qui l'avait réceptionné , aucune importance, la missive était au bon endroit

Citation:
Ma Kilia, mon amie..

je suis sur les routes mais mes pensées t'accompagnent en ces moments difficiles.

Je ne peux qu'essayer de te soutenir de toute mon amitié.

Je sais que les mots ne servent à rien, la douleur n'écoute pas .Elle se nourrit du manque et de l'absence, je t'entoure donc de toute mon amour amical . Que les souvenirs heureux mettent un baume sur ta blessure, que le temps apaise ton coeur , c'est tout ce que je te souhaite.

mille pensées pour toi et autant pour ton fils..

Joffrey

--Bertrame_le_page
Le vieux B ertrame avait reçu ordre de choisir les meilleurs vins et bouteilles d'Armagnac et de porter le tout chez la Duchesse Kilia.

Il avait donc entrepris de gouter afin d'être sur de la qualité.

Les mules tirant le charrois avançaient tranquillement sur le chemin.

Bertrame lui chantait à tue tête.

Enfin , le chasteau rose apparut devant lui.. il passa la grille , se dirigea vers la porte de service et entra.

--Hééé du Castel!!! j'apportions du vin, et de l'armagnac... et du meilleur

Y a t'y quelqu'un pour décharger??...
c'est que c'est pour le diner... faut vous dispêtchi... allez le djeunes
c'est y a vos .. faut pas trainer...

Et j'avions bien gouter , c'est du tout bon...
See the RP information <<   <   1, 2, 3, ..., 25, 26, 27, ..., 41, 42, 43   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)