Tithieu
Les jours qui avaient précédé celui-là avaient été bien funeste pour le jeune Angevin et sa famille.
Durant des cette triste période où il avait dû,à l'instar de ses camarades d'infortune,supporter la rigueur des oubliettes du Chasteau d'Angers il n'avait eu de cesse de ressasser en songe le fil des événements de cette bien trop funeste semaine.
Il se souvenait d'un voyage,d'un pique-nique dont le dénouement aurait put estre bien plus heureux qu'il ne le fut.
Il se souvenait du visage de son père,partit trop tost,trop bestement.
Il pensait à sa mère,si fragile et plongée dans un si profond sommeil qui semblait vouloir ne jamais cesser,il pensait à la vengeance qui viendrait le jour voulu.
De dépit et ne sachant trop que faire pour arranger les choses,il s'en alla au chevet de sa la Duchesse qu'il avait fuit depuis l'incident...Fuire,pourquoi?Avait-il peur?Peur de quoi,de qui?Lui qui n'avait peur de rien...Tant d'interrogations qui se bousculaient dans l'esprit du jeune noble pourtant si insouciant à l'accoutumée.
Peut-estre craignait il de croisé à nouveau le regard appeuré de sa petite soeur qu'il n'avait vu grandir;peut-estre avait il simplement peur d'une mauvaise nouvelle qu'il ne pourrait point supporter...
Il arriva donc dans la soirée au Chateau de sa mère,pénétrant dans la grande salle il croisa une Mémé-Lore en pleure à qui le chagrin ne permit mesme point de dire mot,baissant juste la teste pour tenter de dissimuler ses larmes de douleur au jeune homme.
Gravant une à une les marches conduisant à la chambre de Kilia,le regard du Seigneur de Couesmes s'assombrit...Pourquoi?Pourquoi agir ainsi au dépend de l'Anjou?
Ses songes l'avaient mener devant l'imposant porte de la chambre de sa mère,pourquoi cette angoisse?Son tempérament agissant,il réunit toute la force qui lui restait et pénétra dans la pièce faiblement éclairer;il observa un instant l'obscuritée,fascinante et attirante...
Après quelques secondes d'une léthargie emplie de songes nostalgiques,il s'avanca à pas de loup vers le lit de sa mère adorée,s'agenouillant à son chevet pour lui murmurer à l'oreille:
Mère...ne me laisses pas,tu ne dois pas,tu ne peux pas!Nous avons tant besoin de toi,nous avons tant de choses à accomplir ensemble...Victoire perd peu à peu sa joie de vivre depuis que tu es là...dans cet estat...Tu as un jeune enfant à venir,sa vie dépend de la sienne...ne soit pas cruelle,pas maintenant!Vis mère,vis pour toi,pour nous,pour l'Anjou!Vis...
Dans une larme,sa gorge se serra,il ne voulait pas la mort de sa mère,il aurait donner sa propre vie s'il avait fallut se substituer à elle lorsque le passer viendrait accomplir son office.
Durant des cette triste période où il avait dû,à l'instar de ses camarades d'infortune,supporter la rigueur des oubliettes du Chasteau d'Angers il n'avait eu de cesse de ressasser en songe le fil des événements de cette bien trop funeste semaine.
Il se souvenait d'un voyage,d'un pique-nique dont le dénouement aurait put estre bien plus heureux qu'il ne le fut.
Il se souvenait du visage de son père,partit trop tost,trop bestement.
Il pensait à sa mère,si fragile et plongée dans un si profond sommeil qui semblait vouloir ne jamais cesser,il pensait à la vengeance qui viendrait le jour voulu.
De dépit et ne sachant trop que faire pour arranger les choses,il s'en alla au chevet de sa la Duchesse qu'il avait fuit depuis l'incident...Fuire,pourquoi?Avait-il peur?Peur de quoi,de qui?Lui qui n'avait peur de rien...Tant d'interrogations qui se bousculaient dans l'esprit du jeune noble pourtant si insouciant à l'accoutumée.
Peut-estre craignait il de croisé à nouveau le regard appeuré de sa petite soeur qu'il n'avait vu grandir;peut-estre avait il simplement peur d'une mauvaise nouvelle qu'il ne pourrait point supporter...
Il arriva donc dans la soirée au Chateau de sa mère,pénétrant dans la grande salle il croisa une Mémé-Lore en pleure à qui le chagrin ne permit mesme point de dire mot,baissant juste la teste pour tenter de dissimuler ses larmes de douleur au jeune homme.
Gravant une à une les marches conduisant à la chambre de Kilia,le regard du Seigneur de Couesmes s'assombrit...Pourquoi?Pourquoi agir ainsi au dépend de l'Anjou?
Ses songes l'avaient mener devant l'imposant porte de la chambre de sa mère,pourquoi cette angoisse?Son tempérament agissant,il réunit toute la force qui lui restait et pénétra dans la pièce faiblement éclairer;il observa un instant l'obscuritée,fascinante et attirante...
Après quelques secondes d'une léthargie emplie de songes nostalgiques,il s'avanca à pas de loup vers le lit de sa mère adorée,s'agenouillant à son chevet pour lui murmurer à l'oreille:
Mère...ne me laisses pas,tu ne dois pas,tu ne peux pas!Nous avons tant besoin de toi,nous avons tant de choses à accomplir ensemble...Victoire perd peu à peu sa joie de vivre depuis que tu es là...dans cet estat...Tu as un jeune enfant à venir,sa vie dépend de la sienne...ne soit pas cruelle,pas maintenant!Vis mère,vis pour toi,pour nous,pour l'Anjou!Vis...
Dans une larme,sa gorge se serra,il ne voulait pas la mort de sa mère,il aurait donner sa propre vie s'il avait fallut se substituer à elle lorsque le passer viendrait accomplir son office.