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[RP] La flūte du Patelin

Clemenceii


Clémence se demande bien la raison du drôle de regarde, lancé par la dame.

*Qu'est ce que j'ai dit? Elle aime pas mon prénom ou mon nom...ou les douaniers?...ou peut-être les enfants?
Bah non! Elle ne me parlerai pas sinon...elle est bizarre cette dame.*


Les impressions de la petite se concrétisent, lorsqu'il est fait référence à une flûte enchantée. C'est alors Clémence qui lance un regarde sceptique à la dame.

*J'ai que 9 ans, mais faut pas me prendre pour un bébé non plus. Pfff! Elle a surement imaginé son amie Eilith.*


Avec un léger sourire, l'enfant lui répondit.

Tout le monde sait que les flûte enchanté n'existe pas et puis même si cela existe, il faut se méfier...surement la Bête sans nom qui est derrière tout ça.
Et l'idée des tavernes me semble excellente. J'espère que vous trouverez plus de renseignement. Vous m'excuserez de ne pas vous accompagner, mais ma maman risque de me gronder si elle l'apprend.


Clémence salue la dame avant de se retirer.

*Pfff! les adultes...*

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Aider Son Comté, c'est s'aider soit même => Allez à la mine quelques jours par semaine.
Gamine brune, cheveux long et épais, yeux bleu de sa mère, ~1m25
Eilith
Orthez-Tarbes

Regardant vers l'horizon, elle s'engage sur la route vers Pau, et, plus loin, Tarbes.
Bon, maintenant qu'on est plus perdus, on va foncer, hein, messire Alleaume ? Pas pour rien que...Messire ?
Eilith se retourne, pour ne voir qu'une rue déserte. Et zut, il avait du oublier qu'ils repartaient le soir même. Bah, après tout, il avait sûrement plus urgent à faire, mais bon, elle peut plus se permettre d'attendre non plus. De toute façon, elle se sent plus en sécurité en voyageant seule, on la remarque beaucoup moins.
Elle flatte l'encolure de son poney, qui se met à trotter, seul sur la route. Pas besoin d'être pressée non plus, elle y sera à temps.

Arrivée à Tarbes.

Enfin, elle arrive en vue de Tarbes. Sitôt arrivée, la demoiselle est accueillie par un pigeon vraiment bien éduqué qui lui indique les textes concernant les étrangers, placardés sur les portes de la ville. Elle s'engage un peu plus dans l'avenue, pour être aussitôt happée par un flot de personnes se déversant dans chaque recoin de la ville.
Ici, des clameurs montent de la mairie, dans ce qui semble être un débat politique, là, des personnes froncent le nez et expriment leur dégoût face aux latrines publiques. Un peu plus loin, de la vapeur et une certaine agitation sort des bains publics. Et de toutes parts, des boulangers, des meuniers, des producteurs de maïs, et tant d'autres, qui animent les rues en faisant leur réclames.
Pour sûr, cette ville semble réveillée, et pas qu'un peu! La flûte, si elle doit être quelque part, n'est pas loin.


La jouvencelle entre dans la première taverne peuplée qu'elle voit, et se retrouve nez à nez avec Simone.

Oh, Dame Simone!
Eilith!

Splaf.


A..aïe...Bonjour...

J'étais follement inquiète.
En disant ces mots, Simone a l'air furieuse. Puis elle sort le pigeon de la jeune fille, et le lui balance sur la table, tout en s'écriant :
Tiens, tête de piaf ! Faudra que tu m’explique comment tu les nourris, tes bestioles !
Eilith allait donner sa réponse, quand Simone sort en claquant la porte de manière spectaculaire. Hum...pas l'air contente...

Elle se retourne vers les autres personnes, quand un inconnu, qui s'avère être par la suite le troubadour qui lui avait envoyé le fameux message, s'approche d'elle et l'embrasse. Elle recule, luttant contre son réflexe premier de sortir sa paire de tenailles et d'en user sur quiconque l'approche de trop près, et se contente de lui indiquer poliment que les bisouilles, c'était pas sa tasse de thé, tout en essayant de suivre la conversation autour. Ce qui apparemment n'est pas du goût du messire, puisqu'il quitte aussitôt la taverne.
Vraiment un drôle d'accueil. Elle discute un peu, tout en émiettant du pain spécial moineaux pour le pigeon. C'est du pain vendu par un marchand itinérant, avec de la pâte de pavot dedans, si elle dit pas de bêtises. Ça avait bon goût, il paraît. Mais ses moineaux adorent, alors, elle le leur laisse.
La jeune fille regarde l'heure, et se dépêche de sortir pour aller trouver du travail.

Désillusion

C'est dans la rue qu'elle croise à nouveau le sieur Rocabar. Lequel la gratifie d'une longue tirade.
Elle fronce les sourcils. Ainsi, il lui avait mentie pour l'attirer dans cette ville ? Et voilà qu'il remettait en cause l'existence de cette flûte. Elle ne sait pas quoi lui répondre, déçue d'avoir été manipulée de cette manière.
Une phrase l'interpelle :
"si vous m'aviez témoigné un peu plus d'égards dans cette taverne". Elle soupire. Pourquoi les gens accordaient autant d'importance au fait de se faire la bise, et tout ? A moins qu'il soit habitué à avoir des admiratrices autour de lui. Faudrait vraiment qu'elle trouve une parade infaillible pour ne plus attirer le regard de tous ces mâles et ces entremetteuses...
Enfin, il termine son monologue en jouant une scène. Elle le regarde faire, se demandant si toutes les personnes de Tarbes aimaient se donner en spectacle comme celui-ci. Bah, ça devait être un truc spécifique aux troubadours.
Il finit sa petite représentation, et tourne les talons, la laissant seule dans la rue. L'adolescente le laisse partir sans dire un mot, pensive. La flûte n'existait pas ? Pourquoi le vieil homme lui aurait menti, alors ? Pourquoi elle devrait croire cet homme-là, et pas l'autre ? Surtout qu'une personne dans la taverne affirmait posséder une flûte plaquée en or. Il lui restait cette piste-là à explorer. Puis retrouver Simone, elle saurait quoi faire. Et sinon, et bien...il restait pas énormément de solutions.
Elle réfléchit encore un peu, regardant les flocons qui tombent doucement, pour aller se mêler à la boue. Oui, sinon...

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Eilith, petit engoulevent,
Chantonne parfois dans sa bulle,
Accompagnée du tintement
Des cloches d'une campanule.
Simone_de_beauvoir
Plus tard dans la soirée, Simone s’était passé les nerfs en se crêpant le chignon avec Tamaga. Quelques minutes d’immersion dans un seau d’eau glacée lui rendirent la tête froide qu’elle s’était efforcée de garder malgré son angoisse. Une bonne rixe, ça vous remet les idées en place. Et la curiosité avait repris le dessus, le désir d’en savoir plus sur cette fameuse flûte au sujet de laquelle personne n’avait pu la renseigner la poussa à se remettre une fois de plus en quête de la jeune fille.

Nouvelle tournée des tavernes infructueuse. On ne l’avait pas vue. Elle semblait les éviter.

Elle la retrouva enfin dans une ruelle étroite, cheminant lentement sous la neige molle. Son petit nez froncé, elle semblait tout à la fois déçue et agacée. Simone décida de l’aborder avec son tact légendaire, persuadée qu’il aurait le mérite de la dérider.


T’en tires, une tronche.

Son pas se règle sur les sien, les jouvencelles glissent silencieuses dans les rues grisâtres empoissées de neige.



Elle ne dit rien, elle attend, devinant plus ou moins ce qui la chiffonne, par rapport à son propre accueil et à son expérience. Mais Eilith débute dans le vagabondage, et connaît encore peu la xénophobie et la méfiance des sédentaires, sans parler de leur attachement farouche à leurs traditions. Malheur à celui qui refuse une bise. Haro sur le vagabond qui veut vendre un malheureux épi de maïs dans une ville où il n’est pas né. Honte à celui qui ne sait plus d’où il vient tant il a voyagé.

Elle brise enfin le silence.

On t’a manqué de respect ? Dis-toi que pour une fois on n’a pas voulu nous poutrer dès notre arrivée. Si l’on devait mettre à feu et à sang tous les Comtés peuplés de fâcheux, hein…

Elle sourit à demi, impatiente de retourner en Périgord.

Raconte-moi enfin cette histoire de flûte… J’ai fait des lieues pour savoir de quoi il retourne.

« Et parce que j’étais inquiète de te savoir seule sur les routes, gamine », n’ajoute-t-elle pas. Curieuse de connaître ses motivations, elle est tout ouïe, et le pas étouffé par la neige se fait encore plus silencieux.
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Eilith
Dans les rues de Tarbes, pianissimo quanto possible.

Elle déambule depuis quelques temps dans les rues, lorsque Simone la rejoint.


T'en tires une tronche.

Instantanément, la jouvencelle se met à sourire. Pas à dire, la diplomatie et Simone, ça fait deux. Et cela signifie aussi qu'elle ne risque pas de seconde baffe... enfin, pas pour le moment...
Moui... ben, je vous bats pas encore, hein, mais j'y travaille, pour bien tirer la tronche.
Ses yeux admirent la neige, en disant cela : elle essaie de camoufler le petit éclat moqueur qu'elle a dans les prunelles.

Elles marchent encore un peu, en silence.
A force, Eilith arrive un peu mieux à se faire à son mauvais sens de l'orientation. Elle se sent à chaque fois plus à l'aise dans des endroits qu'elle ne reconnaît pas, et même, prend du plaisir à découvrir de nouvelles rues, encore et encore.
Simone prend la parole.


On t’a manqué de respect ? Dis-toi que pour une fois on n’a pas voulu nous poutrer dès notre arrivée. Si l’on devait mettre à feu et à sang tous les Comtés peuplés de fâcheux, hein…


Eilith se souvient du Périgord, en entendant cette phrase. Elle se mord les lèvres, en réalisant quelque chose, mais laisse la jeune femme finir de parler.

Raconte-moi enfin cette histoire de flûte… J’ai fait des lieues pour savoir de quoi il retourne.

Tout en marchant dans la neige, et avec beaucoup moins d'entrain qu'au tout début, la jeune adolescente lui raconte tout à propos de l'objet de sa quête. Elle n'omet aucun détail, y compris ce qui venait de se passer en sortant de la taverne.
Ayant terminé son récit, elle soupire :

En fait, ce qui me dérange, c'est pas qu'il ait dit qu'elle existait pas. Je suis sûre qu'elle est quelque part dans le Béarn, et que le voyageur m'a pas mentie. Ce qui m'énerve un peu, c'est d'être allée jusqu'à Tarbes pour apprendre que c'était du vent.
Admettons qu'elle existe pas : mais doit bien y avoir un moyen de ranimer une halle en faisant autre chose que la guerre, non ?

La jeune fille fronce les sourcils,se rappelant de ce qu'elle voulait dire tout à l'heure.
A propos de guerre... je crois que les jours sont passés, non ?
On va bientôt aller tenir la promesse qu'on a faite à ceux qui sont restés dans le Périgord.
Elle regarde le ciel, l'air ennuyé.
Et avec ça, sûr qu'il va d'abord falloir que je rentre à la maison, prendre les affaires pour le voyage, et repartir de suite... J'aurais même pas pu aller à Lourdes.

Eilith se souvient des paroles du vieil homme :
"L’est dans un endroit avec des arbres, d’vieux bouts d’bois, et des fruits d’ssus." Ah, ben évidemment. La flûte n'avait pas du bouger, c'est juste qu'elle a foncé tête baissée vers la seule ville où on parlait de flûte, même si c'était qu'une ville de pêche. Lourdes,d'ailleurs, y avait pas des arbres, à côté ? Faudrait qu'elle aille vérifier.

Mais elle voit les nuages s'assombrir, laissant prévoir plus de neige, et lui rappelant d'autres temps...

Oui... Va falloir que je rentre...Mais bon, j'abandonne pas, hein, c'est juste que c'est pas pour de suite.
Elle regarde Simone :
Vous allez m'accompagner, en Gascogne ? Ou vous avez autre chose de prévu ?
Je pense que je vais aller faire mes bagages
-pensée furtive à deux misérables épis de maïs qui se battent en duel dans la besace sur son poney- et y aller demain ou après demain au plus tard.

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Eilith, petit engoulevent,
Chantonne parfois dans sa bulle,
Accompagnée du tintement
Des cloches d'une campanule.
Simone_de_beauvoir
[Pause - To be continued]


Son accoste a produit l’effet recherché. Le petit sourire eilithien se dessine tandis que sa propriétaire grommelle en essayant de le cacher.

Moui... ben, je vous bats pas encore, hein, mais j'y travaille, pour bien tirer la tronche.

Simone baisse le nez, la lèvre mordue pour ne pas se trahir, et s’applique à tirer la tronche de plus belle. Concours de bouderie.

L’adolescente raconte enfin son histoire. À son fil le visage de Simone se détend, s’amuse, puis se fronce soudainement quand elle arrive à la fin.


Quoi… Il s’est gaussé de toi ? de nous ?

Elle pile. Les grands yeux gris s’écarquillent d’incrédulité.

Mais… Ce fourbe a donc osé profiter de la naïveté d'une jouvencelle ! C’est une honte, un scandale !

Elle s’interrompt, suffoquée d’indignation. En profite pour réfléchir un peu (ce qui lui arrive plus souvent qu’on le croirait). Elle plisse les yeux, tord les lèvres en une moue pensive.

Au fait… C’est peut-être un moyen d’animer une halle, justement. Attirer les gens sous des prétextes fallacieux, juste pour qu’il y ait du monde un peu motivé, quitte à ce que ça pète plus tard… Quant à ranimer une halle sans faire la guerre, on l’a déjà fait, non ? Le lancer de petits vieux, le jardinage, les euh… adieux…

Elle pouffe au souvenir de ces adieux si particuliers. Une envie pressante avait tiraillée Eilith alors qu’elles se rendaient une dernière fois devant la mairie pour saluer les défenseurs. Impatiente, elle s’était soulagée sans remarquer, dans la nuit, qu’elles étaient déjà sur la place du village. Avec une telle sortie, les Périgourdins ne pouvaient qu’être impatients de leur retour, ne serait-ce que pour revoir les petites fesses entraperçues.

Elle la regarde en riant doucement, heureuse à la pensée de revoir bientôt ses compagnons d’armes.


Le temps est écoulé, oui… Je gage que tout le Périgord est en plein branle-bas de combat, à tendre des banderoles partout et confectionner des montagnes de petits-fours en notre honneur. Alors oui, empressons-nous de tenir notre promesse et ne les faisons plus languir. Ne recommence pas tes simagrées de déception, que diantre ! Nous reviendrons, et si flûte il y a nous la dénicherons. Allons, garde toujours la tête haute. Veille à ne pas montrer ton dépit. Ceux qui se sont joués de toi le regretteront un jour. Et s’ils ne le font pas c’est moi qui leur mordrai personnellement les doigts.

Elle remonte la courroie de sa besace qui lui scie l’épaule, jette un coup d’œil à l’intérieur, grimace comiquement.

Je crois qu’il serait raisonnable que j’aille faire un tour au marché, si je ne veux pas crever de faim en route. Puis faut que j’retrouve mon chat, comme d’habitude. Bonne route pour la Gascogne, on m’attend à Eauze. J’ai un mariage dans deux jours.

Elle cligne exagérément de l’œil, tant elle se sent toujours déplacée et gauche à ce genre d’évènements. Et pourtant on continue de l’y inviter, et même on tient à sa présence. Incompréhensible. Elle lui tourne le dos pour partir en direction du marché, agite brièvement la main.

On s’voit en Périgord… Et sois prudente sur les routes. Paraîtrait qu’y aurait une armée d’Echpagnols dans l’coin.

Quelques empreintes sur la neige sale, et elle disparaît au coin de la rue.
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--Vieux_paysan
Retour en Gascogne d'un petit Piaf, ou "Toute façon , vot' flûte, c'du pipeau".


Il se balade sur la route. Devait aller vendre son cheptel de bestiaux dans un village pas loin. Marre des moutons, s'lance dans les porcs, moins fatigant. Là, y a juste à charcuter.
C'est dans un campement, entre Orthez et Pau, qu'il la croise.


Ben, c'pas vous la d'moiselle qu's'était paumée vers Mauléon ? Qu'est-ce qu'vous faites là, dis donc ? Tarbes, c'est d'l'aut' côté, faut pas encore vous gourrer.


La donzelle lui sourit, et lui explique vite fait ce qu'il en est. Retour en Gascogne, toussa... Il pige pas tout, mais voit qu'elle est un tantinet blasée. Montre ses chicots quand elle lui parle de la flûte, et de ce qu'elle a trouvé, à savoir, que dalle.
Ça, j'me disais bien aussi, qu'vot' flûte, c'tait du pipeau ! Par cont', sur tout c'nombre de gens croisés, pas un pour vous conseiller d'apprendre à jouer un peu, ou d'vous dire aut'chose sans êtr' méchant ? Tsss, moi j'dis, tous des sottards!
Ptit sourire en coin, et sort un bout d'bois.
J'me suis renseigné, un chouilla, après vot'départ. Vous vouliez du bout d'bois ? Ben, v'là, t'nez çuilà, j'l'ai fait en gardant le troupeau. Qu'est-c'qu'on s'en cogne, qu'il soit magique ou pas! En r'vanche, vous apprenez tout' seule, espérez pas pour qu'j'vous instructionne.

Il fixe son visage, juste un coup d'oeil, pas besoin de plus pour se rendre compte qu'elle est ravie. Elle le remercie, toute guillerette.

Ah, ben merci beaucoup, hein, je vais essayer de le faire quand je serais rentrée.
Elle souffle fort dans l'instrument, lui arrachant un cri à faire se terrer vos orteils au fond des chausses et à vous bousiller les esgourdes pour au moins deux jours.

Oué, ben je s'rais qu'vous, j'éviterais d'en jouer, avant d'm'y connaître. "Et je s'rais vos voisins, j'déménagerais aussi vite et aussi loin que peuvent m'embarquer mes vieilles cannes", pense-t-il avec un sourire.

Au fait. C't'instrument. On appelle ça un "chalumeau".
Hum, un chalumeau, d'accord, je m'en souviendrai. Un grand sourire accompagne la réponse de la petite. Elle essaie à nouveau de souffler dedans, plus doucement, cette fois, imitant un cri de vieille jument en train d'agoniser.
Il peut pas s'empêcher de se marrer.

Ahah, quel talent, t'vas enflammer le public, avec ça.

Il s'esclaffe de plus belle. C'qu'il aimait la croiser, ces temps-ci, elle le déride vraiment facilement. Mais c'est pas tout, il a du pain sur la planche, et du bétail à marchander. Il s'éloigne, en rigolant encore un peu.

Ben bon r'tour chez vous, gamine !
"Et bon courage aux gascons qu'vont d'voir la subir. Vont en avoir besoin, pour rester calmes."
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