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[RP]En roue l'Hydre

Attila_caligula
Le Leu tire sa mine des jours sombres. Des lendemains de fêtes trop mouvementées, ou de parties de dés trop malchanceuses, ou de dispute avec Mère sur sa vie dissolue...
Les mauvais jours.

Il avait passé sa première nuit à Bordeaux à arranger une petite bicoque miteuse et puantes des quais des marchands de vin.
L'odeur etait insoutenable mais c'etait tout de même préférable à l'autre qu'on lui avait proposée, près du quartier des tanneries. Une odeur à vomir qu'on réserve aux gueux.

Puis il avait chargé ses possessions dans la masure. De nuit. Seul. Comme un forcené. Ou comme un forçat plutôt.

Enfin il respire au jour naissant.

Sa masse de forge sur l'epaule, il s'assoit puis commence à frapper sur des barres de métal. Le bruit est assourdissant mais libère les nerfs.


- Tu fais quoi toi? Un marmot haut comme trois pommes et moche comme un pou se curait le nez devant l'Ysengrin. A voir les taches de suie qui maculaient ses joues, le mioche devait craindre l'eau pire encore que la Louise, pourtant fort prudente avec l'element liquide.
- Dégage merdeux ou je tape sur ta frimousse crasseuse.
- T'es forgeron? Mon père y dit comme ça que les forgerons c'est les plus craints du royaume. Que même les nobles y zosent rien contre!
- Tiens donc! Tom père est fol. Ou ivrogne! Ou les deux! Pourquoi un puissant seigneur craindrait il un forgeron?
- Mon père y dit qu'les culs-couronnés y z ont peur des forgerons pasqu'y z'ont le secret de l'épée. Que même qu'ils peuvent briser l'épée du seigneur d'un seul cri. Mon père il est très fort. Il te mettra la pâtée pasque chuis pas zun medreux..
- Merdeux! Et il fait quoi ton père?
- Forgeron!
- Je l'aurais parié!
- Et il pisse dans le fer pour les épées du Duc. Même qu'y appelle ça le sang du dragon!
- Et?
- Et ben il les vend super chères!
- Et elles puent la pisse?
- Pf t'es qu'un âne toi!


Le vicomte reste pensif un moment. Puis retape de plus belle sur le fer informe.

- C'est une idée ça!
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Vicomte de St Pardoux, Baron de La Roche Canilhac
Sieurfernand
Fernand assis dans le campement gardé par l'ours était en train de compter les sacs d'or....
213 225, 213226, 213227... ... ... 213330!
Il biffa un sous-total dans une colonne
Un instant, Il s'arrêta de compter en repensant à la Franche-comté.

La dernière fois qu'il y était passé, la fine fleur de la bourgeoisie doloise était en plein milieu d'une entreprise extraordinaire et palpitante.
Il s'étaient en effet réunis pour compter ..... jusqu'à 250 000....


Fernand contempla ce qu'il avait déjà compté et ce qui restait à compter et soupira :
-Bande de p'tits joueurs...., marmonna-t-il avant de poursuivre son compte.
Une heure plus tard, il s'intérrompit à nouveau et leva la tête pour crier :

- La fouine!!!!!!!!
- Oui, m'sieur Fernand?
J'ai bien les sacs des jongleurs, ceux de la femme serpent, mais je ne trouve pas ceux de l'ours.
- Quoi, l'ours a eu une part?
- Non, mais il ne nous a pas laissé le choix, il a pris au moins une demi tonne de barbaque dans le cellier et 3 sacs d'or qu'il a chapardé pour jouer avec.
- Ça c'est pas d'chance, hein? j' crois bien qu'il va falloir s'assoir dess....
- Va me les chercher s'il te plait
dit Fernand d'un air distrait, reportant son attention sur 100 boisseaux de sel qui trainaient.

Un long silence....

- Que .... que j'aille les chercher?
- Eh bien oui, vas-y, l'ours est sorti de sa roulotte, il monte la garde à l'autre bout du campement, c'est le moment.
- C'est euh... c'est un ordre?
- La Fouine, on mange quoi ce soir?
- ..... Oooh, c'est bon, j'y vais.....

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droit devant!
Conrad.
[Bordeaux, 13 Janvier]

Il était arrivé ce matin, il faisait froid, il avait traversé la ville avec célérité sur un cheval fraîchement piqué.Ce n'était pas très différent de Mont de Marsan mais quand même, on sentait qu'il y avait plus d'animations dans cette bourgade, les habitants avaient l'air d'être joueur, pas accueillants certes mais joueurs, ce qui est déjà en somme une bonne chose.Pendant sa traversée fantastique sur son cheval aussi moche qu'un rat desséché, il observait la ville, le paysage, il pensait aussi à l'arrivée des premiers Français sur ces terres, l'excitation des premiers temps, la devise Guyennoise...
Advienne que pourra, la Guyenne brillera...La Guyenne brillera, personne ne l'a jamais vu briller.Si bien sûr, les lumières des villes brillent mais pas la Guyenne...oui c'est ça en Guyenne, les seules choses qui brillent, ce sont les lumières.Il continua sa visite de la ville, pas très intéressante finalement.Il rejoignit le lieu où il avait posé ses affaires, il prendrait un peu de temps un autre jour pour visiter complétement la ville .Aussitôt installé, le Conrad entreprit d'aller boire une bonne choppe.
Il pénétra dans la première taverne, les Bordelais déjà présents dedans le dévisagèrent avec dédain, il n'aimait pas les étrangers à première vue, cela ne découragea pas Conrad qui tenta une entrée dans la taverne.


Bonjour tout le monde !

Les Gentils Guyennois le gratifièrent d'un très sympathique et réconfortant...Casse-toi, on ne veut pas de toi ici, dégage !

La gentillesse n'est pas la première de leurs vertus mais il faut faire avec, Conrad était un étranger à leurs yeux, peut être serait il accepté dans quelques temps, qui sait...Il alla s'asseoir sous un arbre, pour parler à Deos, pour réfléchir à ses actes, pour penser à l'avenir, faire un bilan.Il s'assit, moment de suspense, il allait entrer en communication avec Deos lui même, il n'y avait absolument personne aux alentours, juste un arbre et rien autour, que de l'herbe.Il se mit à chuchoter, parlant au très-haut


Que puis-je te dire Deos ?
Les Guyennois ne sont pas du tout accueillants mais ça je m'en doutais, ils contredisent tout, je préférais le cadavre du garde Gascon, lui il ne me contredisait pas.Il m'écoutait, patiemment, sagement, sans m'interrompre.Il écoutait, était ouvert mais n'était pas très bavard je te l'accorde.


Balayant du regard, les alentours, il reprit son monologue.

Hum...ce garde gascon, il était très sympathique tout de même, il était pataud, enfermé dans son armure, il ressemblait à rien mais il m'a paru sympathique, quand mon épée s'est abattue sur lui, j'ai vu ses yeux.Tu as déjà vu les yeux d'une personne avant de mourir toi ? sans doute mais tu détiens la vérité toi, tu sais tout tandis que moi, pauvre mortel ne sait rien, il est clair que je ne sais rien mais je sais que je ne sais rien, ce qui revient à dire que je sais tout de même quelque chose.C''est un vrai sac de nœud la réflexion, tu pourrais m'éclairer des fois, je cherche la vérité et la sagesse.


Il réfléchit un instant.

Est ce que j'ai bien ma place ici, sans aucun doute, j'accomplis votre volonté, vous avez écrit mon destin, je ne fais que l'appliquer.Vous savez pourquoi je suis là, vous m'avez confié une mission.Nous sommes les cavaliers de l'apocalypse, est-ce un mal, non je ne pense pas, vous avez bien fait la même chose il y a fort longtemps pour que les humains ne tombent pas dans la débauche, pour qu'ils travaillent juste pour vivre, qu'ils maintiennent l'équilibre que vous avez crée.vous avez doté les humains de l'intelligence, ils ne l'utilisent pas à bon escient, nous sommes là pour les remettre dans le droit chemin, leur montrer la voie.Nous leur retirons leur richesse pour qu'ils vivent basiquement, comme Oane...Nous vous servons et c'est ce dont pourquoi je suis là, c'est ce dont pourquoi vous m'avez choisit ? ai-je influé dans la décision ? je ne le saurai probablement jamais , mais j'accomplirai le devoir que vous m'avez confié, je ne trahirai pas mes compagnons, je resterai fidèle à eux et nous formerons une même chose, l'hydre.

Conrad devenait peu à peu fanatique, ou peut être fou, il croyait à une cause, cette cause le perdrait peut être, qu'importe, Deos avant tout et Conrad en quatrième, après Deos, les femmes, le houblon.C'était assez, il reviendrait probablement demain, ou jamais qui sait, Deos décidera de quoi demain est fait.Il repartit vers le lieu où il avait posé ses affaires, il fallait se reposer.
Vassilissa
La première nuit dans les bois se passa sans problème, sauf qu’il avait fait froid. Et le soleil les cueillit s’ébrouant dans un brouillard laiteux, les doigts et les orteils décongelant au coin d’un feu peu convaincant.
Le petit déjeuner fut rapidement expédiés, pressés qu’ils étaient de prendre la route… Et lentement les roulottes gagnèrent la route, pour se suivre à travers la Guyenne…
Et au deuxième jour de voyage, la routine, peu à peu, reprenait le dessus. On retrouvait les vieilles habitudes…


- Maman, y’a Pasoa qui s’en va !!!
- Encore ?
- J’ai reconnu sa bure au galop sur un ch’val !
- Oui, bon, c’est rien, elle va rev’nir… L’est comme la mauvaise humeur, tu sais… revient toujours…
- Ah bon…

Le paysage s’étirait, monotone, lassant. Le chien et la fillette s’agitaient à l’arrière, la vache suivait, tranquille. De temps en temps, Vass jetait un œil à tout son petit monde, et souriait doucement. Elle avait retrouvé Dran et c’était drôlement bon de sentir sa main dans la sienne. Assez bon pour vous faire oublier les courriers frustrants des juges de Guyenne, qui pleuvaient maintenant…

- Clo ! Je t’ai dit cent fois d’pas descendre du chariot ! Et sors moi cette pièce d’or de ta poche, elle est pas à toi ! Mince, j’t’ai pas él’vée comme ça, moi !

Elle froissa d’une main le parchemin qui la convoquait, et le jeta sur la route :

- J’crois qu’va falloir faire un détour par Bordeaux, mes anges… Z’ont l’air d’nous confondre avec quelqu’un d’autre…

Comme de juste, loin devant, les roulottes s’arrêtaient. Un à un, ils posaient pied à terre et discutaient, tranquilles, de la suite à donner à ces insinuations indignes :


- Hey, moi j’ai que trouble à l’ordre public, pourquoi toi t’as hérité d’trahison ????

Ah, c’était prometteur… Presqu’à en attendre les procès avec impatience…

Une autre nuit, un autre jour, et c'est Bordeaux qui montre ses remparts... Pause procès, ouverture de taverne, on vide les tonneaux pour saluer le spectacle des juges régionaux...

- Maman, Pasoa revient !
- Tu vois ? J'te l'avais dit... On est tous là, chérie, tous là...
Sieurfernand
La Fouine revenait de la ville où il avait passé un bon moment derrière l'église. La vie est faite d'imprévus. Il commençait à croire que toutes ces fadaises que déblatairait le vieil aveugle au sujet du hasard n'étaient peut-être pas si idiotes qu'elles n'en avaient l'air. En tout cas, à une malchance succédait parfois un coup de bol...

Il passa sous un arbre et avisa Conrad en train de marmonner. Il écouta un moment.

De retour au campement, il alla voir Fernand qu'il trouva .


-Ahh, Vous voilà de retour, La Fouine? Je vois qu'on vous a soigné, joli bandage!
- Vous moquez pas, c'est pas drôle de se faire mordre la tête par un ours!
- J'étais pourtant certain qu'il était à l'autre bout du camp!
Et ce vêtement, il est enfin rapiécé?
- Oui, m'sieur Fernand, j'ai trouvé une demoiselle aux doigts de fée qui a arrangé ça...


Fernand fixa le sergent. La Fouine parut mal à l'aise.

- Vous avez l'air tout détendu en tout cas, la ville vous fait du bien!
-Dîtes, M'sieur Fernand, le nouveau, il baragouine des histoires bizarres, il parle avec Déos sous un arbre.
- Bah, ça lui passera....
- Mais faudrait p'têtre lui dire que....
-Mais non, il y viendra, La Fouine, il y viendra.

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droit devant!
Attila_caligula
- Fernand!
L'Ysengrin, toujours éteint, comme égaré dans une rêverie d'haschichin, héle le Viandard avec une voix traînante. Décidément ce Leu couve quelque chose. Quelques moulinets de masse, qu'il manie avec l'aisance procurée par ses muscles tout neufs et la nonchalance de qui ne se soucie guère du bien être de son entourage, forcément imprudent donc forcément fautif de son propre malheur.
- Fernand mon plus que Frère, as tu vu Galovert? Il y a romance à un bout du campement et assaut à l'autre bout! On vit un monde bien étrange.
Le tout dit d'une voix pâteuse et endormie.
Ce qui n'est pas le cas de Fernand Bataviande qui se dresse sur ses pieds remisant ses hachoirs d'un double moulinet digne des plus belles prestations du Cirque.

- QUOI?
D'un mouvement souple et fluide, le Vicomte tourne la tête par dessus son épaule et beugle
- ARTILLEURS! FEU!" avant de se retourner vers un Fernand interloqué.
- Que se pass
BAAAOOOOOOUMMMMM!
- Je gère l'assaut."
laisse platement tomber l'Ysengrin. En laissant également choir la masse de forge, comme s'il réalisait tout soudain à quel point elle est lourde.
- Aïe Fais attention!
- Harlem et la Baronne sont sur le coup. Ça va pas être joli joli... la bêche, le boulet tout ça... "
toujours du même ton monocorde de celui qui a vu la mort cent fois et se demande si "ce n'est pas plutôt 101? Non, impossible de me rappeler"
- M'enfin!" fait l'homme aux hachoirs galvanisés-pur-acier-de-Verdun, le meilleur!
- Et Galo? Tu ne l'as pas vu? C'est Son Excellence Atirenna d'Aberdeen qui veut le mortir. Ou le séduire. Ou boire le thé. Ou parler coléoptères. Tu sais on a une collection et on s'échange les doublons.
Fernand fait un pas de coté, puis revient en arrière en réalisant qu'il manque cruellement d'informations. Le Vicomte a l'air d'avoir éclusé seul et tristement la réserve d'opiacés de toute la bande.

Il faut se représenter ce qu'est un campement de l'Hydre. Les roulottes en sont les remparts, et leur enceinte entoure la "Cité".
D'un coté on place bêtes de traits, chevaux et la roulotte blindée, celle qui abrite le Dode en sa rêverie prophétique.
De l'autre, les feux, tonneaux, bassines, tables et sièges propres à la vie des hommes et femmes de la troupe.
L'entrée principale est couverte par la Bombarde, bariolée comme pour un jour de fête. Les assauts de place forte n"en sont ils pas d'extraordinaires?
L'arrière est gardée par l'odorat le plus fin du règne animal ou peu s'en faut: celui de la Bête, la vraie, affectueusement nommée Bouba, Grasses fesses, Descente de Lit ou Sac à puce selon l'humeur.
C'est un vrai camp romain, personne n'y entre à moins d'être lourdement accompagné d'hommes d'armes.

La Bombarde ayant donné de la voix, Fernand déduit que l'assaut était à l'entrée de la "Cité" et que Galovert est requis à l'opposé.

- On fait quoi maintenant Fernand?
Ce dernier s'arrête en pleine foulée, et regarde le Leu accroupi comme un gueux, gueule dans les pattes et échine voûtée comme une cave de moine trappiste.
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Vicomte de St Pardoux, Baron de La Roche Canilhac
Harlem...s
Une Harlem furtive se faufile vers l'objet de ses convoitises, avec la rapidité de ceux qui esquivent trois dos tournés à finir le reliquat d'un tonneau. J'ai nommé les artilleurs. Elle a entendu l'appel et à foncé pour être prem's. Elle perd pas de temps a jouer de l'amadou, l'esprit studieux souhaitant mettre en pratique quelques cours avançés en matières étudiées...Ennemi aux porte, tétu obtu à éliminer, sorte de prospecteur recruteur peut être. Peu importe. Il fait tâche dans le paysage en plus d'être malpoli et belliqueux, oublieux de toute prudence et courtoisie élémentaire. Ou alors il s'est perdu...Tant pis.

BAAAOOOOOOUMMMMM!


Ouais!Mouahahahahahahhaha! Je l'ai eu!!!

On est des artistes NOUS! Pas des Cupidons. Même si on touche en plein dans le mille nos cibles.


Harlem fonce alors que le boulet fumant seche le boulet de trop recalé à l'entrée.


J'adore ces petit joujoux! T'as vu ça Lab ? Ni une ni deux! La visée nette, le trait rectiligne. Un peu de poudre et on refait une beauté à l'entrée.C'est beau le progrès...

Harlem n'est pas peu fière, ce cours là est acquis, l'Université a du bon quand même. Elle a accouru sitôt la charge propulsée dans un vacarme assourdissant, laissant l'engin aux soins des artilleurs qui avaient qu'à se hâter pour jouer à pool boulet. Faut pas laisser une mèche à bombarde sans surveillance quand elle est dans le coin.
Harlem a gagné. Lab a creusé. D'ailleurs notre marchande inspecte le trou de 6 pieds que la baronne de l'Hydre finit de creuser avec sa pelle.

Ci git l'effronté qui osa taxer les cavaliers d'archers de concours.
Dieu aide, l'Hydre aussi parfois.


Recueillement.

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Sibylle.
Et pendant que l'Ysengrin faisant grise mine tourne en rond dans son panier, que la marchande joue à l'artificière,( pour une fois que ce n'est pas le contraire, les Bordelais ne vont pas se plaindre), que LaBaronne fait une démonstration de pelles avec une maestria inégalée, Sibylle, allongée sur le toit d'une roulotte contemple la romance qui se joue de l'autre coté. Enfin, romance... La dame, puisque visiblement, elle tient à bien démontrer qu'elle en est une se traine dans la boue. Nouvelle technique? Je ne la connaissais pas celle-là, tiens. Oh, et en plus, elle parle...
Tiens, encore une qui en a que pour les hommes. pourtant on est quand même un paquet à ne pas en avoir justement, ici.


Roulotte sous elle qui s'ébranle...Surprise, Sibylle a juste le temps de plonger au sol avant de s'y retrouver contre son gré. Réception presque parfaite. L'air dégagé malgré ses joues brulantes, elle secoue la poussière de ses habits.
Tiens, Pasoa qui s'en va. Elle aurait du prévenir, je serais partie faire un tour avec elle.

Attrapant une pomme dans un panier, Sib s'approche de Fernand et Attila.
Entendant la question de ce dernier, elle stoppe net les yeux soudain brillants. Elle ne dira mot, mais la jade étincelante exprime aussi bien son impatience, pendant qu'elle continue à croquer le fruit juteux.

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Membre du club de lecture de la FAQ et du Guide des RR.
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