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Protégeons nos grenouilles

Alleaume
* L'homme n'avait en faites pas l'air si menaçant que ça tout de même, il avait du halluciner quelque peu en arrivant, les quelques verres de bonne bière qu'il avait bue à Mauléon lui tournait certainement dans la tête, il fallait dire qu'il en ressentait légèrement les effets à certains moments...

Dure dure la boisson en ce moment, il ne la supportait plus vraiment... Ses intentions n'étaient donc pas mauvaise, comme il le disait si bien, s'il avait voulu lui faire du mal il aurait pu le faire avant... C'était pas faux, la petite n'aurait certainement pas été à même de lui résister... Elle était jeune et l'autre avait l'air d'un homme. Pour seul réponse il lâcha un espèce de grognement qui se termina en un vomissement au sol juste devant les yeux du Sire, mon dieu quel honte tout de même, et lorsqu'il verrait enfin qui il était alors la honte serait encore plus grande à porter sur ses courtes épaules...

Il se tenait par terre comme un gueux, non pas qu'il en était un, loin de la d'ailleurs, il faisait même honte à ses fonctions passés et ses fonctions actuel... En s'essuyant la bouche de son mouchoir de tissus il entendit l'homme parler à nouveau " Valère... Valère d'Arezac..."... Il releva alors la tête avec une certaine grimace et se leva en hâte en le regardant, un sourire gêné affichait sur chaque trait de son visage. *

Messire, oh vous me voyez navré d'avoir eu un comportement semblable devant vous, je ne me sens pas fort bien en faites... Je ne sais pas si vous vous souvenez de moi, nous nous sommes croisé à plusieurs reprises au château... Je suis le CAC de la ville d'Orthez !! Je ne voulais point vous assommer, je m'inquiétais pour la jeune fille simplement !

* Et bien c'était sa joie, un conseil comtal devant lui à qui il avait montrait sa pire facette, par Aristote quel sacrilège ! A son tour il lui fit alors un signe de la main, et attendit qu'il parte pour se retourner vers la jeune fille. *

Ce ne sera pas à raconter hein... Je te ramène à Orthez, si tu veux dormir monte derrière mon cheval, je tirerai le tien...
Eilith
Fin de la fameuse nuit (et oui, on a mis le temps ^^").


Alors qu'elle songe à s'enfuir, effrayée par les bruits des fourrés, un homme surgit des buissons, vacillant à la manière d'un de ses pigeons qui aurait essayé de lui piquer de la bière. Elle s'arrête dans son élan. Et reconnaît le messire de tout à l'heure, dans le village.
Il s'avance vers elle en rigolant, et menace Valère de son bâton. Elle fronce le nez, identifiant une odeur... c'est elle, ou son compagnon de route sent fortement l'urine ? La jeune fille soupire, devinant qu'il est plein comme une outre... d'ailleurs, en parlant d'outre...

Elle voit le messire reprendre ses têtards, tout en continuant de discuter. Et zut, alors que ça avait l'air si simple, voilà qu'elle rate encore une chose entreprise...

"Il y a pire qu'un Chambellan sur les routes". En entendant cette phrase, Eilith ouvre de grands yeux. Euh... Chambellan, c'est un truc important, non ? Même plus important que Maire ? Et il a fallu qu'elle tombe sur une personne de si haute fonction ?


Et vous Mademoiselle, puisqu'il en est ainsi et que vous avez voulu dérober ce qui fera bientôt de magnifiques grenouilles, je vous reprends le bocal, ne vous en déplaise ...

Ah, euh, ben, il est à vous, hein, vous en faites ce que vous voulez, hein.
Elle fait un grand sourire. Avec les sourires, tout passe mieux, en général. Enfin, ça aurait marché, si son compagnon d'un soir n'avait pas fait des siennes.
Pas à dire, il reste très stoïque, le Chambellan, malgré Alleaume qui lui vomit presque dessus. Elle admire son sang-froid, et ne sait pas si elle aurait été capable de faire pareil. Elle grimace tout de même, un peu honteuse pour le comportement de l'homme pliée en deux devant elle. Enfin, la jouvencelle, désireuse de pas trop attirer l'attention sur lui, regarde Valère dans les yeux.


Et je vous souhaite un bon voyage ... N'hésitez pas à l'occasion à revenir ... Demandez Valère ... Valère d'Arezac ... Et je répondrai à votre appel ...
Euh...ben d'accord, j'hésiterai pas. Ben...euh...merci, et puis, nous, on va y aller, hein ? La dernière phrase gentiment adressée à un ...Cac apparemment gêné. Ah, ben en plus, ils se connaissent... Elle a un brin de pitié qui la traverse. Pauvre Alleaume...
Elle ne sait pas si elle reviendra, mais bon, elle note les derniers propos de Valère dans un coin de sa tête. Un messire lui reprend les têtards volés, et lui propose de revenir dans le Béarn... ça doit être l'air du coin qui les rend tous bizarres. Elle hoche la tête toute seule. Oui, c'est sûrement ça, l'air du pays est pas bon pour l'esprit.


Eilith répond au salut du Chambellan, qui mime une révérence, et s'éloigne en agitant la main.

Bah, on craint pas grand-chose, hein, vu qu'on fait plus pitié qu'autre chose.
Elle a l'habitude de faire pitié. Pour preuve, on l'agresse jamais quand elle est seule sur les routes.
Bon, ben bonne soirée, messire.

Elle sourit lorsqu'Alleaume lui propose de monter sur son cheval.

Sauf votre respect, messire, mon poney fera l'affaire, et puis, il aime pas traîner. En plus, vu votre état, je suis pas sûre que vous soyez capable de reconnaître, la route.
Elle grimpe sur Gali, son fidèle poney, et attrape le licol du cheval du pauvre imbibé.
Bon, ben on va rentrer pas trop vite, d'accord ?
Sur ces paroles, sa monture, rendue impatiente à force d'attendre, détale à toute vitesse, contredisant les propos de la jeune fille, tout en trainant à sa suite une Eilith qui essaie de garder auprès d'elle, tant bien que mal, l'étalon ballotant un Alleaume avec le teint verdâtre légèrement rendu par les cahots.
Enfin, elle peut rejoindre Orthez, et aller vers Tarbes, à la recherche de sa flûte.

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Eilith, petit engoulevent,
Chantonne parfois dans sa bulle,
Accompagnée du tintement
Des cloches d'une campanule.
Axel1994




En manque de sang le petit chauve devait encore commettre un crime.Se dirigeant vers la forêt, il mit son grand habit noir à capuche puis s'enfonça dans la forêt en quête d'une nouvelle victime.Aujourd'hui les grenouilles n'étaient pas de sortie, peut être savaient elle que certains grenouilles avaient subit le même sort.En haut d'un rocher, une forme...La forme étant assez petite le petit chauve eut un pressentiment.Il contourna l'objet et arrivant par derrière il se saisit du batracien.Il marchait dans le forêt avec la grenouille dans ses mains quand il trébucha et lâcha la grenouille.S'en suivit une poursuite à travers les sapins de la forêt de Lourdes, Axel, épée à la main se rapprochait de la Grenouille qui malgré sa petite taille galopait comme un cheval d'outre Méditerannée.Le petit chauve finit par la rattraper et la jeta contre un rocher.La grenouille, agonisant sur le sol poussait de léger cri.Axel sortit son couteau et fit une petite ouverture au niveau de l'abdomen du batracien.Celle ci commencer à se vider de ses tripes, elle gémissait comme si elle voulait qu'on l'achève.Le filleul de Paddy laissa souffrir encore deux minutes la bête puis décida de mettre fin aux jours de la grenouille en la guillotinant avec son épée.Il enroula la grenouille dans du tissu puis repris la direction de Lourdes avec la victime sur lui.Il rentra dans Lourdes et revêtu de son habit de citoyen comme les autres.Il passa dans les différentes rues de Lourdes pour à la fin se retrouver sur le parvis de l'église.Il attendit qu'il n'y ai plus de monde pour laisser sa victime.Le moment était venu, il passa au milieu du parvis et laissa glisser de sa poche la grenouille et la tête et lâcha aussi un petit mot...

Citation:
Il Faut que vous trouviez les réponses aux questions sinon des grenouilles mourront encore...


Laissant la marque de son crime le petit chauve disparu, dans le dédale des rues de Lourdes...

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