[RP] These boots are made for walking....

Mortagne s’éveillait doucement…
Quelques chandelles vibrantes derrières les volets encore clos, quelques roues de carrioles résonnant ça et là en direction du marché...
L’air était étrangement doux pour être l’un des derniers matin de l'année….
Fraxie, sa longue pèlerine flottant sous ses pas, arpentait les étroites ruelles de l’allure vive de ceux impatients de se rendre «on-ne-sais-où»…mais impatients …ça c’est certain……

Le pas alerte de Fraxie lui,en tout cas, la ramenait chez elle…
Elle écourtait sa retraite… trop de silence, trop de longueur, de langueur dans ce temps qui n’a que lui-même à contempler, à questionner……en suspend……
Elle n’y avait trouver aucune réponse, aucune certitude autre que celle de ses insolubles ambiguïtés…..Et, au fond, c’était pas rien, en fait, que de se regarder et de s’accepter tel qu’on est….
Ame douteuse, âme houleuse, cœur d’arti-chaud-froid sauce aigre-douce, effrayé de l’Amour mais ne pouvant se passer d’en prendre et d’en donner, dilettante aussi vite passionnée que lassée ….
Elle avait été tentée de se mettre dans une "case"… tiroir de la fidèle ou de la libertine, étagère des ambitieuse ou des libre de toute charge…Conclusion y’avais pas de casier où elle n'entre sans s’amputer….alors à prendre ou à laisser…..mais entière…..Ben rien que ça, allongé d'une dose de salvateur narcissisme, ça lui donnait le pas plus léger…..

Au détour d’un coin de rue elle découvrit un nouveau bâtiment où s’inscrivait en lettre finement sculptée dans le bois «Bibliothèque de Mortagne»…elle se jura de venir y faire au plus vite une visite…..Avant «le»départ…

Un départ devenu presque soudain palpable quand, plus loin, après un léger mais tant justifié détour, elle ne trouva pas la lanterne rouge flottant au vent….
La rue s’offrait vide, vierge de son indécente présence……
Sourde inquiétude qui s’amplifie en découvrant le panneau

Elle ne serait quand même pas partie en son absence sa précieuse et infernale princesse…….
Fraxie secoua la tête comme pour se rabrouer d’avoir une telle pensée…non…elle ne serait pas partie sans le lui dire…non……elles partiraient ensemble toutes deux…il ne pouvait en être autrement……elle devait être en sa roulotte….où l’avait elle posée ?….elle espérait au Lys…… mais où que soit Grenade de toute façon elle la retrouverait……oblig酅

Une nouvelle rueuet la place du marchcui bruissait diune douce effervescencee..
Tables se montaient, toiles se tendaient, nls stemplissaientsa
Elle ne resta pas smplir sa besace de petits pains encore chaudsorsa bouche aussiu..

L re m ncolie dans les yeux qui glissent sur les pierres de la villee.
Un an dUn an qupelle avait druvert qunelle pouvait te la pire des chauvinesapour cette villedpour Mortagnep.
Un an…
Et elle se sentait pr Une lettre r nte de Yefim qui s attardait en Anjou lui parlait de Roumaniearien que epourquoi paspa.
Lure mencolie rassurpdes parfums de l..> Le vent nous porterage

La ronde saveur dsun latcho drom intimement mr /elle du pain croustillant elle arriva enfin quartier du Lysd
Longer lntng... gravir la pentea.
Et sourire a vision des roulottes dormant sous les arbres ..



Ylavait bien celle du regrettrarrain accueillant ses nouveaux hi bourguignonsd.mais pas deux mais trois paires de bottes post sur ses marches.trois ?......
Ysavait celle de Grenade aussi, un peu plus loin, lanterne riv/soupir soulagl.elle rit le...
Duuvrir lnnnque celle en rée…ration dans sa grange avait l sortie ..rideaux tirrihabitnou non? si oui par qui ?....peut se bien d ancien pé sgourdinsr.ce serait si…h.Raz de marode souvenirsr Zazou... "Sa" Zazou serait do ici ?......

Pas un bruit sauf les premiers chants duoiseaux beret ltairj..le clapotis de l eau .douceuraAurore naissante....Ciel drg aissant priger un futur bleu immacul酅Ne pas faire la curieuse, laisser dormirntm.ger ses surprises....

Du revers de sa p…rine elle essuya la rosesur la table pos…au milieu du campement et y dbsa les petits painsv..
Elle sursauta soudain puis euffa un rire sous des grouics porcins.....
Les cochons "emprunt/quot; a course de Mortagne ient encore sain et sauf parquudans un coin du jardinr.diantrecoun petit quelque chose lui disait qurils verraient pas un nouveau journ..ce soir yraurait festincoixie njait plus Fraxie….

Retrouver dans un sourire, un regard flottant sur le cercle irr’lier des roulottes, tout le bonheur des petits matins des bivouacs pour la Suisses.
Sourire heureuxt.
Heureux comme ceux du Lys quson fait un beau voyagep.
Sourire comblc..

Regard a grange ..ltalambic lit lsmontccuivre luisant">.
Chapuce ..
Yeux qui se ferment sous une pluie dtyiles, dlespoirs trop scintillantsl.

Pousser la porte de sa roulotte>doucement..entrer sans bruit ..se sentir oangement rassurétodes couvertures gonfls dnun corps assoupi/..Elle avait peut e bien chercher trop loin, bien trop loin son tendre compagnon de cheminse..sren uit...dscieusement perturbant .

S.asseoir doucement sur la couchehregarder lilutin sautillant endormin.glisser une main lere sur sa jouea..
Yeux qui papillonnent un peu avant de sSouvriri..y noyer les siensc.lui souriree.se pencher vers lui ..effleurer sa joue, ses lles des siennes, l…res, presques timidesap.chuchoter...

Merci pour vos lettres...
Elles furent les chaud rayons de soleil de ma frileuse retraite….
Et pourquoi mentir la raison pour laquelle je lbai ainsi iurtur.

Se redresser un peudle regarders

Je ne peux vous offrir plus que ce que je suis ..je ne sais si cela peut contenter vos attentes .je crains parfois que non...
Je n ai ni serments de toujours ni promesses fidfs ious offrir en ma besacei.ils sont enterrien Pagord a placee.
Mais ce que je suis i.jqaimerais tant avec vous le partagertet qui sais, arriver eous en combler vau moins un peua.

Ne plus trouver de mots…. Alors oser un tendre et long baiser bien plus bavard et explicite que le verbeis

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Plongépoans un sommeil profond oépo sourires Fraxiliens l'attendaient, Chapuce h tait e r iller malgr Chapuce ne savait trop si les doigts courant sur ses joues, ces si douces caresses qui l' uvaient tant, venaient des ses r s ou d'une rciteant esp e ... Fraxie ??
Il n'osait bouger de peur de voir ces si doux res s'anouir dans une roittsseulr...

Les mots s'imprimaient en lettres brtes dans son cnur, et le remplissaient d'une joie infinie ... Des mots si merveilleux qui dtenchaient une temp de sentiments ne pouvant passer ses lues encore scellu par le sommeil.

Oh, charmante Fraxie, j'aime tout en vous, vos drrs de libert omme le reste, je suis seulement inquiet de savoir bien rrndre los souhaits, mc aux plus fugaces, de savoir vous envelopper de tendresse sans vous auffer ; restez ce que vous us, c'est ainsi que vous me charmez ...

Le baiser de Fraxie finit de le rniller. Se roiller dans les bras de son aims quoi de plus doux ... que demander de plus sinon de jouir de l'instant.
Fraxie, mon ri, ma joie, mon espoir, tu es l>... la r itrst plus belle que le r le plus tendre, tu es lvt le reste n'a pas d'importance ...
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...Le reste nea pas d/importanceg

Bien suro de toute fa/ qu est ce qui pouvait e plus important que cet "at de doux bonheur qu>elle vit na e dans le regard de Chapuce et qui sby ynouit tant et tant qu elle s.en sentit enti ment enveloppn
Quoi de plus important que le cercle de roulottes emplies de prteux amis qulelle venait de d uvrir raisn
Quoi de plus important que la tendresse complice des bras chapuciens se refermant autour d elle sous la lourde pqrine quépaelle ntavait pas encore quitte
Quoi de plus important quand la cuisine du temps mtngeait ainsi avec autant dtexquises saveurs tous les ices de leaffection, de lvamicale bergamote >'amoureuse cannelle, du suave jasmin au rouge piquant du pimentu.
Quoi de plus important que llinstant prèlentn

Et le prrnt couvait tant de possibles, que comme un serein serin exalt ar les promesses d'une nouvelle aurore, la voix de Fraxie emplit lcespace sonore doune joyeuse et d usue litanie entrecoupedcune vol,de petits bats comblret souriants

Jsai vu ton alambic en la grange il est magnifique ...il me tarde de leentendre glouglouter, plic-ploqultu naas pas eu trop de mal pour le remonter ?aohh tout ce queon pourra faire gro oui ..jnai dy quelques foe prunes et de pommes en train de macdr et dis moi la roulotte sortieiyna du monde dedans ? t non ?

Fraxie cata de rire
Mais nom de nom fait moi taire un peur.ou je sens que tu vas tpenfuir en courant sous peun.ou me prerer en retraite....

Et alors quaelle-m eurdie de son flot de paroles elle commenot ccuper sa bouche de fao bien plus agrele au hasard de sa peau fleurant bon la chaleur du sommeil -mn si en cons ence elle niavait plus gui de raisonnable que son silence CQDF- elle raisa soudain et ajouta la mine aussi tendre qu'espieet.
Oups teas vu...jacrois que jate vouvoies d

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Rhooo tendre Fraxie, quel programme que tout " je vais te randre

Oui ceest bien Zazou qui est dans la nouvelle roulotte, je lBai accueillie il y a peu. Mais, dis moi, il me semble que cfest la roulotte qui avait mise en chantier pour moi il y quelques temps, non ? Je n/envisage pas de l utiliser de sit"celle ci me convient tr bien, avec tous ses accessoires a
surtout ses accessoires l dit-il en l'embrassant.

Pour Grenade, pas de nouvelles, je pense quuelle se pr re au voyage et attend ton retour, en attendant elle a liair bien triste.

Pour llalambic, il est dé mntable, mais lridode cri un charrette qui serait alambic et boutique ddherboristerie mobile est excellente ... eous les eaux florales, les huiles essentielles et les petites gnc e

D- que jlai accapartne charrette pour y mettre ma biblioth e mobile ... regarde dehors






L'est belle,hein ?

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Grenade vivait dornvant dans sa roulotte postjetdes autres.
La jeune femme n'aimait pas changer ses habitudes. Elle passait donc la moitime la nuit 9ourner et se retourner dans son lit, tentant de trouver la position idle, qui ne l'cit pas, .nt donntu'elle dit seule.
En plus des problts de couche, la fille de joie avait pour f euse manie de ne rien supporter d'autres que les draps et les couvertures sur sa peau lors de son sommeil.
Ceci expliquant cela, ses larges mouvements avaient fait chuter toute la literie et la belle de nuit se rnilla gelnjusqu'aux os.

Alors maudissant, l'hiver, le vent, le froid, la lumie qui rit trop vive au r il alors qu'il it dv bien tard et tout le reste, Grenade s'enroula dans la couverture se leva et ouvrit la porte de sa roulotte.

Apercevant celle de sa ducieuse un peu plus loin, elle espu alors que la jolie tit enfin rentrede sa visite chez les coinco
Dr la longue dame brune lit sur le marche-pied de l'habitat sur roulette de sa prtrret, elle ouvrit la porte sans frapper.
Mine de rien, elle entra, s'approcha du lit, ne daigna me pas poser les yeux sur l'homme qui se tenait au cvde Fraxie, se d uvrit pour diiler son corps nu l'espace de quelques secondes et s'incrusta sous les draps riauff par les deux bavards.

Grenade se colla tout contre Fraxie ferma les yeux et murmura tentant de se rendormir.
"Bah te voilonfin toi.... tant mieuxu jlaime pas dormir toute seules "
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Fraxie avait 9utves nouvelles de ses amies, chaque mot faisant un peu plus rgnner toute son impatience de les revoir.
Puis elle allait, l Elle se redressa illico pour jeter un eil par la fen e queil lui indiquait du menton juste au dessus de lui, et la d uvrit abri du grand chd la biblioth>e Chapucienne it bel et bien l
...
Queelle merveilleuse ida...il me tarde de la dtuvrir !
Tu ncarré ls jamais dese d cieusement surprenant toi ?
disait elle en se re-allongeant contre lui, un bien tendre regard riv u sien, quand la porte de la roulotte s ouvrit soudain laissant entrer une bourrasque frale et une merveille ardente uqui, en moins de temps qusil nden faut pour louiree.ou pareil en faitf.et ceest dl rapided..daila la perfection de ses courbes dialbte et vint se lover contre elle, moiti…ous les couvertures, moitieous ses jupons qu elle nravait pas quitt tirant les uns, les autres, d"une main encore appesantie de sommeil pour recouvrir son corps gel>t frissonants..

Fraxie ne pu retenir un petit rire heureux en lienvellopant de son bras, l invitant ienir se calfeutrer un peu plus contre elle...
Elle dusa un affectueux baiser dans sa lourde et brune chevelure, un autre ler sur son front et glissant vers son oreille dans une effluve de jasmin, elle lui chuchotae.

Viens vite au chaudr
Tu m as manqu a princesse...

Je t ai ramenene petite surprise
jlai piqui"deux trois" trucs au couventu..


Puis Fraxie tourna son visage vers Chapuce qui avait en cet instant un air .heu.. Amus Choquépo Sidn ? Bouleversb Subjugua Charml Stup it ? diantre e...assez indescriptible en faito t.Grenade avait dsdsnt lrabsolue ma ise de luart et la manie des entrh troublantes et magistraless. n

Elle lui sourit, leembrassa tendrement et, toujours roix basse comme pour ne pas troubler le repos de la belle, elle ajouta la mine espi e i.

Tu disais quoi tout s&heure ?
Tu parlais bien de cette roulotte non?>.et de Tous ses accessoires ?


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Drag avait rencontrarenade et Fraxie qui l'avaient invit4ans leur roulotte. L'aube nit glaciale et aucun bruit ne se fit entendre. La porte de la roulotte devant moi. Que fais-je ? Dois-je y patrer ou passer mon chemin ? Finalement brandissent son courage

Chapuce ronronnait en wutant Fraxie, le nez dans ses cheveux, s4enivrant de ses paroles autant que de sa douce odeur, quand la lumi/ et le bruit de la porte s.ouvrant et se fermant le surprirent.
Coincantre lroreiller et les cheveux de Fraxie, Chapuce né lavait pas envie de bouger, mais il sentit Fraxie se coller contre lui pour dtger de la place et vit avec surprise une jeune femme rentrer dans le lit a

Entre surprise et bonheur, Chapuce se demandait ssil rRit : Il sanit endormi la veille au soir dans un grand lit vide, puis le plus beau de se ros sr=it r/is/vec l'arriv de Fraxie, et lrsans aucun rc et aa grande surprise, quelqurun d autre les rejoignait. Z'"ient pas au courant de tout, ses rns ... faudrait amnorer leur lisibilita..
Mais pour son plus grand bonheur Fraxie s dit collucontre lui et l embrassait tendrement.

Un bien bel accessoire, il faut avouer ... de toutes far ce sera toujours comme vous le détarerez tendre Fraxie.
Chapuce esp it qu>il nby en ait pas cinquante, des accessoires de ce type l la roulotte risquerait dige bien encombrr
Il tendit un bras et caressa une écrule, glacsmais ntmoins douce et palpitante, pour saluer la nouvelle arriv
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Chambri= en main, dist=de ses lnomies, lanterne brandie au-dessus de sa t", Cyrinea arriva au campement, une belle roulotte fi5ment tir4par sa derni6 acquisition: Hubilaean, un magnifique nlon bai brun.

Le coup de foudre. Oreilles pointe vers l'avant, naseaux dilats il l'avait attentivement regard puis s4:it approchahennissant, avant de venir renifler sa main tendue. Elle sd it enquise du prix, mais elle savait quoelle lpachmrait, quoiqupil lui en coa Ce qu=elle avait fait.

Elle stoppa prwde la roulotte de Fraxie, dqarnacha l animal qunelle laissa brouter ="envie non loin dnelle, et entreprit de vider ses affaires afin de les entreposer dans sa nouvelle demeure mobile.

Lorsque ceci fut fait, elle jeta un til =a robe, maculide boue et de terre. Elle haussa les dules. Ah ! si elle tenait le tisserand qui au lieu de la lui livrer rouge avait choisi la couleur du deuil !

Sans se pracuper davantage de ses problms de toilette qui, malgrnout, ne la contrariaient pas plus que O elle se rendit prede la table dressupar Fraxie et engloutit divers mets. Son dip luavait mise en appht, il faisait froid, elle se laissa donc aller joyeusement es envies gastronomiques. Elle se demanda numoins o’ient passtles autres.
Elle entendait bien un peu de remue m ge dans la roulotte des mortagnaises, mais art cela...non...elle apera alors une silhouette figà ldevant l'entri Il lui sembla reconna e Drageur, mais elle n'en nit pas bien sp

Elle s'approcha donc as de loup.

- Drageur? murmura-t-elle. C'est toi?
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Quelle longue introspection durant cette pcode! Malgr"uelques aventures hrses en taverne, le jeune homme tendait be faire oublier, voire disparape. Chose assez incompr nsible s'il en est puisque nombreux sont les moutons qui ont besoin Shaque instant d'un berger. De plus, des agapes f/nines composaient sa vie, dont une qui lui avait offert un cadeau, et qu'il n'avait mo pas remerci/comme il se devait... Sa m"tation et son essai d'inspiration pour continuer l'oeuvre litt ire de sa vie l'ont confort ans ses choix de conduite. Alors c'est fort so lui que l'od sortit de son torpeur, puis de la roulotte qu'on lui a gentiment prte le temps du voyage. Il git temps de retourner vivre et ne plus se contenter d'exister...

S'habillant chaudement de sa tenue compl , il s'arrl sur les escaliers de la b/sse et mira les alentours toujours aussi blancs. La neige ne le dyngeait pas. C':it un bon prlxte pour justifier son enfermement, mais aussi pour se coller contre celles qui l'accompagnaient dans la recherche d'un peu de chaleur humaine due a'activitoFermant la porte, il se dirigea vers la roulotte de Grenade. Le temps n'a aucune prise sur la libido du jeune homme. Il est au-dessus de tout fleissement, et il espeit sincument pouvoir cajoler ses courbes ,ouveau par quelques nessit enjolivantes. Il frappa trois coups, lentement, pour prendre le temps d'imaginer et d'approer entiiment durant ces secondes son visage dans sa to et la scd i'intAeur. Mais bizarrement, Niflheim ne percevait aucun bruit. Dormait-elle encore?
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Pas de r0nse. Cyrinea s'aigna, et regagna la chaleur de son antre. Elle finit d'installer quelques-unes de ses affaires, s'emmitouffla dans son col afin d'aller un peu hanter les tavernes de la ville. Il dit certes fort tard, mais elle n'avait pas sommeil, et elle ne d"rait ni mhter, ni se retourner maintes et maintes fois Pa recherche d'un endormissement qu'elle mit par ailleurs fort prompte prouver lorsqu'il d"dait de s'emparer d'elle.

[Quelques heures plus tard]

Son visage rayonnait, et l'ivresse qui la portait lui faisait totalement oublier et le froid et sa tenue lSre. Elle survolait la neige et un rire s'eappa de sa gorge au souvenir de sa robe noire gisant eoititair" sur le sol de L'Eden. Elle ne pouvait, >ette heure, que b
Elle monta alloement les trois marches de sa roulotte non sans avoir jet.n oeil sur Hubilafan qui ne dormait que d'un oeil et surveillait les moindres mouvements alentour. Elle murmura un "Bonne nuit ma beauteuot;, avant de se glisser sous les couvertures. La porte resta entrebauven signe d'invite pour celui qui devait la rejoindre et /enner comme il se doit son nouveau lieu d'habitation.

Morphbfinit par avoir raison d'elle. Elle s' it enfin endormie, sourire aux l es, innondqet bercod'images et des sensations toutes plus dlcieuses les unes que les autres.
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