Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, ..., 11, 12, 13, ..., 19, 20, 21   >   >>

[RP ouvert] Camp des Provençaux et alliés

Tchantches
Tchantchès nettoyait son épée ensanglantée.

Il avait frappé aujourd'hui une fois encore.

Un groupe loyaliste probablement avait tenté de forcer leur position pour pénétrer dans la ville d'AIX.

Il avait plus l'impression de faire un travail de prévosté plutôt que de guerrier, quand sortiraient ils renconter les français sur le pré ?


Lothem, tu as aussi blessé mortellement des marseillais toi aujourd'hui ?

En effet la dame qu'il avait frappé avait, sur sa tunique, les symboles de la ville de Marseille, en plus il lui semblait l'avoir déjà rencontrée par le passé en Helvétie.

Il alla à l'église pour prier et éspéra qu'elle se remettrait de ses blessures.
Bvero62
La nuit avait été mouvementée, ils avaient du se battre, defendre le chateau......Mais le plus dur pour véro c étais d avoir reconnu ses amis parmis les assaillants, ils s étaient battut avec acharnement, véro ne reconnu l une d elle qu une fois celle-ci a terre, c est la mort dans l ame qu elle l a vit gisant a terre mais pas le temps de se reposer un autre venais lui aussi a la charge, véro etais fatigué, la vue de cette ancienne helvete gisant a terre l avais vidé mais pas le moment de flaiblir d autres arrivaient, véro laissa toute sa rage monter en elle et se defendit comme une lionne, donnant coupt d epée sur coup d epée.....C etais une nuit tres longue, le sang coulais, les cris, mais il fallais tenir coute que coute et finalement le calme......

Ils reprirent le chemin du campement, véro regardais autour d elle, cherchais du regard ses amis et compagnons, tous étaient fatigués...

Arrivée au campement, véro laissa le major faire l appel des troupes, et lui remis son rapport....Trop triste pour parler, l attaque de ses amis,anciens helvetes l avais vraiement boulversée, il fallais qu elle s eloigne, faire le point et se remettre en condition pour la nuit

Sans s en rendre compte, elle arriva devant le campement des ses compagnons fribourgeois, elle s avança dans le campement, le besoin de voir des visages amis, de retrouver un peu de l helvetie, de reprendre confiance.......

Elle vit arriver vers elle un homme, plutot agé, plutot grand, pas l air commode, elle sourit, messire tchan qui arrivais





Bonjour messire tchan, je me degourdissait les jambes et me voila ici, devant votre campement, j en profite donc pour vous saluer et savoir comment vous vous portez..

Puis baissant les yeux, une ombre triste passant dans ses yeux, elle n arrivais pas a se faire a l idée d avoir combattut contre des anciens amis a elle, c etais pas cela qu elle etais venue faire.......
_________________
[Signature hors normes retirée par Bottée Féline.
Espoirdumarais
[ Entre Forc et Aix]
Ils avaient prit la route de nuit, comme convenu Philou ouvrait la marche quelques mètre devant, seule précautions qu’ils avaient trouver pour protéger leur fils, en cas de problème elle aurait le temps de le mettre à l’abri.

Elle marchait tranquillou pensant à leur avenir, une semaine à en discuter, échange de pigeons, conseil d’amis proches alors pour Marseille, ils avaient décidés de reprendre la vie politique, les élections approchaient, c’était la raison de leur présence sur le chemin.

De loin, elle avait reconnu les deux armées de la Provence, elle ne s’en inquiète pas les ayant rencontrer à l’allée…… qu’elle ne fut surprise de voir l’Arlésienne s’attaqué à Philou……..des cris……… des bruits de luttes…….. Elle se précipite, cache le panier de son fils dans les hautes herbes et se lance tête bêche dans une bataille perdu d’avance…….. Protéger son fils seul chose en tête….. Elle se bat bâton contre épée……… se protège de son bouclier qui fini par voler en éclats…… les coups pleuvent, elle reconnaît des helvètes dans ses assaillants……le nombre a raison de sa hargne, elle s’écroule sous les coups, la douleur la terrasse, son corps semble transpercé de toute part……elle s’évanouit…..

Une voix…….. Elle entend une voix….. Philou est là…… il râle….l’oblige à ouvrir les yeux ….il est blessé…. Du sang ….une odeur nauséabonde …….son fils qui pleure……l’heure de la tétée……..ils sont vivants…..Toujours en lui parlant, Philou l’aide à se relever, il porte le panier de Vic d’un coté et la soutient de l’autre, lui ordonne d’avancer, il faut retourner sur Forc…… soigner leurs blessures à la bicoque…..ils avancent….s’appuyant l’un sur l’autre …..

Chaque pas est une déchirure pour son corps en lambeau, elle pleure de rage ….. Maudit cette guerre ….crie sa colère à chaque pas …..
Entre deux sanglots, elle marmonne à son Mamour ……


Venir en Provence pour se faire massacrer par des Helvètes …….…Alors là, je dois être vivante grâce à ma rage !!!!!!!!
Fribourg Lausanne et la Provence, joli mélange de soldats heureusement, je n’ai pas vu de Bocans ni d’amis Marseillais sinon tu sais.... j’en mourrais Mamour !! !!!
Rha !!!!!!!Je vais devenir ambassadrice Provençale en Helvétie ………j'te le dis!!!!


La colère guide ses pas….. lui fait oublier la douleur….. Les remparts de Forc….la bicoque……une porte qui s’ouvre....Philou la soutient …….. Encore quelques pas…..elle s’écroule épuisée mais vivante sur la paillasse….
Lothem


Chère Tchantchès,
je ne suis plus à Aix en ce moment mais à Brignoles avec une armée dirigée par la marquise Hersende.
Je n'ai pas encore dû lever mon épée sur les francois et impériaux. Mes compagnons s'en sont chargés pour moi.
Nous avons rencontré une armée française au loin, aux abords de Toulon, mais nous l'avons évitée, continuant notre route.
Je ne sais ce que l'on fait. Je pense que nos généraux avaient comme idée de faire le tour des villes possédées par nos ennemis pour vérifier leurs défenses, mais je n'en suis même pas certain.
Je me demande ce que nous attendons avant de lancer l'attaque.

Quoi qu'il en soit, il me parvient des nouvelles de la confédération, et j'ai peur pour nos cantons. Il semble se passer des mouvements de troupes étranges dans les campagnes. J'espère que ce n'est pas trop grave.

Je ne sais ou je serais demain.
Quoi qu'il en soit, faites attention à vous.
Que le Très Haut vous garde tous.

Lothem
Tchantches
Tchantchès avait reçu une lettre de Lothem



Mon ami Lothem,

Je ne comprends plus rien moi non plus à ce qui se passe.

Je pense avoir frappé une compatriote, Espoirdumarais l'ancienne maire des bocans.

Ma seule satisfaction est de me rappeler que cette femelle était tendre avec la réforme. Je me rassure en me disant que j'ai frappé une hérétique, mais tout de même, j'espère qu'elle se remettra de ses blessures que je juge grave.

Ma lourde épée à deux mais a du briser des os à cause du choc sur sa cuirasse, heureusement qu'elle en portait une.

Le plus grave serait que notre Honorable Lieutenant-Général Zefamousmitch aurait été également frappé dans l'aventure.

Jez cherche partout Zefa dans les tentes médicales, je n'ai pas encore de ses nouvelles. Je suis très inquiet.

Nous sommes peu informé des mivements et tactiques mais nous obéïssons fidèlement aux odres. Les provbençaux ne se battent pas de manière aussi structurée, semble t'il que les helvètes, leur méthode me déconcerte un peu, j'espère que les généraux savent ce qu'ils font.

Préserve toi et frappe le français dans ce qui lui est le plus précieux mais qui lui manque vachement.

Les rognons de français, sont un met délicat pour les porcs, j'en ramènerait un chapelet en helvétie.

Bien amicalement

Tchantchès : Sénéchal de la Noblesse Noire.


Tchantchès vit arriver au campement Dame Véro

Bvero62 a écrit:
Bonjour messire tchan, je me degourdissait les jambes et me voila ici, devant votre campement, j en profite donc pour vous saluer et savoir comment vous vous portez..


Il regarda les jolies jambes qu'elle venait dégourdirt, il fit un sourire sans montrer l'absence de ses dents.

Belle dame je suis heureux de vous voir, j'en profite pour vous dire que j'ai bien reçu votre présentation en notre château de la Noblesse Noire.
Il vous faudra mle faire savoir si vous voulez devenir aspirante afin que les accès vous soient ouvert.

Je suis heureux de vous voir dans cette noble cause et vous salue aussi à mon tour, avez-vous des nouvelles du pays ?
Tchantches
Tchantchès avait recherché toute la matinée des traces de Zefamousmitch, on lui avait dit que sa propre armée l'avait peut-être frappé cette nuit.

En fait, non.

On lui avait dit qu'un gros soldat braillard s'était débattu et frappait tout ceux qui voulaient l'arrêter, il hurlait et vilipendait.

Or Zefamousmitch avait disparu, il réfléchit.


    Gros Soldat.
    Braillard.
    Qui frappe tout le monde.


Il était preque sûr qu'il s'agissait de son pire ami.

Il entrait dans toutes les tentes médicales, en écartait le pan et parfois bousculait le rebouteux ou barbier de faction.


- Zefa tu es là ?

Il retournait les corps que l'on évacuait et inspectait toutes les litières et fosses communes.

Tout à coup, il vit une litière débordante de l'(imosante stature du Général.

Il gisait là inanimé.


- Zefamousmitch ? C'est toi ?

Mais réponds moi au nom d'Aristote.


Le général gisait inanimé et il semblait que toute vie l'avait abandonné, alors Tchan le secoua comme un prunier.

Je t'interdit de me laisser seul dans ce pyas de gimauves.
Je te rapelle qu'un jour nous devons nous affonrter dans la lice, alors réveille-toi ...
Bvero62
Véro regardais le senechale, sourit en l ecoutant

En effet messire tchan, ma présentation est la premiere étape, je désire en effet devenir aspirante Noble Noire.

J ai appris pour votre général, c est vraiement une nuit de M... que nous avons eu, on a combattut contre des alliés et votre général est gravement bléssé.......On fais quoi ici? ça c est une question que je me pose.

Pour ce qui est des nouvelles du pays j en est tres peu, je sais qu il y a du mouvement pas tres claire, mais mon avoyere se veux rassurante, du moin essaie de l etre.....
Ledzeppelin
Désolée en vadrouille là et pas pu accéder à la gargote avant ce jour par aucun moyen


Citation:
Alors que j'étais en patrouille pour appréhender des loyaliste et leurs collaborateur, je suis tombé sur elle à l'entrée d'une taverne, c'est la mercenaire Enored du conseils félons.


La Comtesse de Provence tique un peu sur le mot "loyaliste" dont elle pense qu'il est bien mal employé en l'occurence. La seule action des félons ayant été une usurpation, il n'y a de loyauté à personne puisque même le Comte Français n'a pas prêté allégeance à l'empereur romain germanique dont ils se disent loyaux.

Led se souvient de la femme. Une chevelure d'une beauté à couper le souffle et une allure féline, la femme est vraiment très belle. Très fière aussi, même si elle a peur elle n'en laisse rien paraître. Led apprécie la crânerie qui n'a pas pour but l'unique faire-valoir .... mais autre chose ...

Elle n'a vu cette femme qu'une seule fois, lorsque brusquement, sans savoir par quel mystère elle s'est retrouvée un jour en pleine salle de tribunal, accusée d'escroquerie. Cette femme était entrée pour témoigner contre elle sans preuve aucune. La Comtesse se demandait jusqu'ou toutes ces femmes qui vivaient dans l'entourage du Dahut pouvaient aller pour un sourire ou plus du maître. Un ami de la Comtesse avait demandé à une des femme du pôle justice pitié pour elle pour qu'on ne la bannisse point de Provence. La femme en tremblant avait répondu : "je ne peux point ! Je l'ai promis !" Celle-ci par contre semblait sortie d'un autre moule malgré les accusations inventées sorties contre elle. Mais Led aimait les gens qui ne se laissaient pas impressionner et aurait voulu, si certains avaient pu s'ent sortir que ce fut davantage elle plutôt que les décideurs qui eux, sont visiblement trop bien cachés.


- Ainsi vous voila ! Dame Enored !

La détaillant encore ....

- Vous ferez connaissance avec nos geôles et je crains que vous ne soyez à la dure. Je veux savoir avant tout ou sont trouve le plus galeux de tous et je compte bien que le Seigneur Max vous fasse parler. Je veux savoir ou se trouve sieur Dahut, le reste n'étant que petit fretin, mais lui .... j'ai promis de le livrer à quelqu'un.

Dites-le moi maintenant si vous voulez économiser de la sueur, sinon .... vous essaierez de résister. Peut-être oui .... peut-être non !


Puis sans attendre une réponse qu'elle n'espérait pas, la Comtesse fait signe à l'officier de la conduire en geôle et de la questionner. Puis ayant fait lever la captive elle le prend à part et discrétement lui fait comprendre qu'elle ne tentait que d'impressionner et que

... surtout ne provoquez pas un drame en l'interrogeant. Soyez courtois, mais ... ferme, je vous laisse juge de cela.
_________________
Enored
Face à face ...

Regards qui se croisent, se jaugent... Silence.

L'Irlandaise fixait l'ancienne comtesse sans ciller. Elle se souvenait d'elle au tribunal, quand on l'avait appelé à témoigner dans le fameux procès. Elle était tout aussi fière que ce jour là. Fière, oui mais il y avait autre chose dans le regard de la brune ...

- Ainsi vous voila ! Dame Enored !

Dame ... c'était donc ça ... du respect ou quelque chose comme ça ... dame ... un mot que l'Irlandaise n'aimait pas. Bien sur qu'elle était là ... pas vraiment de son plein gré mais elle y était ... Elle écouta la suite en silence.

Vous ferez connaissance avec nos geôles et je crains que vous ne soyez à la dure. Peu importait ... elle avait connu la vie sur un bateau ... alors les geôles... Je veux savoir avant tout ou sont trouve le plus galeux de tous et je compte bien que le Seigneur Max vous fasse parler. Je veux savoir ou se trouve sieur Dahut, le reste n'étant que petit fretin, mais lui .... j'ai promis de le livrer à quelqu'un. L'Irlandaise pâlit légèrement ... ainsi c'était ça ... et elle s'imaginait qu'elle allait lui dire là comme ça où il se trouvait ? Mais pour qui la prenait-elle ? La mercenaire serra les poings liés dans son dos et garda le silence.

Dites-le moi maintenant si vous voulez économiser de la sueur, sinon .... vous essaierez de résister. Peut-être oui .... peut-être non !

Silence ... ou provocation ? Provocation ... sourire ironique aux lèvres l'Irlandaise cracha sa réponse à celle qui lui tournait le dos.


Plutôt mourir que de le trahir. Vous n'aurez rien de moi même sous la torture.

La mercenaire se tut, elle savait qu'elle venait de sceller son sort. Mais s'en moquait. Trahit son ami ? jamais. Elle se leva prête à affronter la suite.
_________________
Tchantches
Tchan écouta la jeune femme.

Il la regarda attendrit et lui fit une réponse de vieux bretteur


Gente Dame, quand un militaire reçoit peu d'information, il peut râler, soit, mais en toute circonstance la règle reste la même.

Il obéït aux ordres et attend la victoire ou la mort avec abnégation.

Quant à moi, je resterai sur cette position.

Aristote veille sur notre destin et nous dezvons continuer notre engagement envers et contre tout.
Hersende
[Brignoles le 19 février 1458]

La nuit avait été chaude sur Brignoles. Ayant constaté la veille, jour précédant les élections qui devaient remettre en place un maire élu par les Brignolais, l'absence de tout milicien et l'air faussement désoeuvré des groupes armés qui habituellement gardaient la mairie, Hersende s'était bien douté que les envahisseurs français ne laisseraient pas la place à la démocratie et tenteraient à nouveau de s'emparer du pouvoir.
Déjà on lui avait rapporté des transactions douteuses sur le marché, pourtant bien peu actif ces derniers temps, qui laissaient supposer un pillage en règle.

Aussi, supposant que les Français préparaient tous secrètement une révolte avait-elle pénétré avec son armée à la nuit tombée dans la ville, le pas des chevaux résonnant sur les pavés des rues désertes. Elle gagna la mairie où avaient été affichés les résultats des élections : comme prévu Majico avait été élu. Mais quand elle tenta d'y pénétrer, elle s'aperçut que la porte était barricadée.

Elle fit venir une ou deux lances et leur demanda de forcer la porte.
L'arrivée des soldats provoqua une réaction : on entendit des bruits à l'intérieur et de la fumée commença à s'échapper des fenêtres de l'étage.
Aussitôt les soldats s'attaquèrent à la porte de la mairie. Celle-ci ne résista pas longtemps sous le choc des épées et de quelques haches que des Forcalquiérains, habitants d'une ville de bûcherons, avaient apportées avec eux. Avec un grand craquement elle céda. Hersende et quelques soldats se précipitèrent à l'intérieur.
Pendant que certains arrachaiant des tentures pour étouffer le début d'incendie alllumé sans doute intentionnellement pour faire disparaître des preuves, un petit détachement fouillait toutes les pièces. Derrière une porte fermée à clé, ils découvrirent Majico, assommé. Mais en dehors de lui, il n'y avait plus âme qui vive dans la mairie.

Hersende prit la décision d'occuper provisoirement les locaux. Pendant que l'on ranimait Majico, elle demanda à un de ses soldats d'aller vérifier les stocks et elle même se rendit dans la salle du coffre. Las, celui-ci gisait à terre, ouvert, quelques écus non ramassés traînant sur le sol. Hersende les récupéra : il n'y avait que 7,43 écus... Voilà à quoi se montait la fortune de Brignoles...

Un des soldats qui avait contribué à éteindre l'incendie vint la trouver tenant quelques parchemins un peu roussis à la main.

Dame Hersende (c'était le titre que lui donnaient encore bien des hommes qui avaient servi depuis longtemps sous ses ordres), regardez, nous avons trouvé cela. Ce sont les deux seuls que nous avons pu sauver... ainsi que cette feuille de cahier de comptes.

Elle se saisit des documents et vit qu'il s'agissait du texte de mandats :

Citation:
Mandat numéro '681130'
Contrat : Mandat confié à Bourguigon
Inventaire des marchandises :
5,50 écus
1 stère de bois

Citation:
Mandat numéro '680814'
Contrat : Mandat confié à Ginetdom le 10 février 1458 comprenant
67 sacs de blé
20 sacs de farine
6 demi-quintaux de carcasses de cochon et 999 écus
Inventaire des marchandises :
2,00 écus


Un mandat au contenu inconnu restitué avec 5,50 écus et un stère de bois... On peut supposer qu'il contenait bien plus au départ, mais ils se sont bien gardés de dire quoi... Quant à l'autre... Elle fit un rapide calcul mental, habitude tirée de ses multiples mandats de CaC. Eh! plus de 2206 écus de marchandises données et seulement 2 écus restitués! Ce ou cette Ginetdom s'est bien servi...

Puis elle parcourut la feuille et vit qu'y étaient enregistrées les dernières transactions, y compris celles faites le matin même. Ces maudits Français voulaient-ils les provoquer?

Citation:
2010-02-19 04:50:18 : Vous avez vendu 2 rames pour 1,00 écus à Actarius
2010-02-19 04:40:19 : Vous avez vendu 1 fût de bière pour 1,00 écus à Actarius
2010-02-19 04:40:19 : Vous avez vendu 1 stère de bois pour 1,00 écus à Actarius.
2010-02-19 02:40:19 : Vous avez vendu 4 rames pour 1,00 écus à Actarius.
2010-02-15 18:50:20 : Vous avez vendu 1 rame pour 1,00 écus à Actarius


C'est Actarius qui était à la tête de la mairie ce matin, apparemment, mais Majico confirmera... Eh bien nous tenons la preuve du pillage, par cet usurpateur, Actarius, par Ginetdom et quant à Bourguignon... on ne peut pas savoir ce qu'il a pris exactement... Faites immédiatement rechercher ces hommes dans la ville!
Et dès que Majico sera remis, demandez-lui de venir me voir.


Un autre soldat revint porteur d'une triste mais hélas prévisible nouvelle : les entrepôts étaient vides...

Hersende demanda alors à son secrétaire qui l'avait rejoint de prendre note d'une proclamation à afficher dans la ville.

Yvain, nous devons rassurer les Brignolais. Ecrivez ce texte :
Citation:
Brignolais, Brignolaises,

L'envahisseur ne vous a pas laissé choisir votre maire légitimement élu et a voulu le renverser dès cette nuit.
Aussi ai-je déposé l'usurpateur Actarius et vais-je assurer très provisoirement l'intérim au nom de la Provence.

Je ne vous cache pas que la mairie a été vidée : il ne reste que 7,43 écus et plus aucun stock. Mais il s'agit cette fois non de mise à l'abri mais de pillage par des étrangers dont je vous produirai les preuves.

Brignoles est une ville forte et elle va rapidement se relever. J'ai foi en elle et en ses habitants.

NO PASAROUN!
Hersende de Brotel
Maire provisoire de Brignoles

Et vous le copierez en plusieurs exemplaires. Je veux qu'elle soit visible en différents endroits de la ville.
_________________
Hersende de Brotel, Marquise des Alpes Occidentales
Bvero62
Véro sourit a la reponse de tchan, elle savais deja ce qu il allais repondre et savais qu il avais raison mais elle ne pouvais s empecher de raler et de pester devant pareille circonstance

Je sais bien vous avez tout a fais raison, nous sommes venus ici defendre la liberté et nous devons nous y accrocher quoiqu il en coute mais je ne peu m empecher de pester devant telle injustice!

Et la journée n etais pas encore finit, elle avais encore a faire avant la tombée du soleil

Je vais devoir repartir a mon campement messire, cette petite conversation me fut agreable sourit On se voie tout a l heure sur les remparts....a moin qu on ne bouge.....sait on jamais......
Véro repartit, le coeur un peu plus legé qu a son arrivée
Tchantches
Tchantchès ruminait depuis plusieurs jours, l'inactivité lui chauffait les sang.

- Mais bon sang, quand allons nous attaquer les françois et leur faire manger les pissenlits par la racine ?
Hersende
On avait fait parvenir à Hersende le courrier du petit Grimoald, malheureusement tué par erreur par une armée provençale. Le garçonnet exprimait sa haine... quoi de plus naturel, en vérité?

Elle prit sa plume et rédigea personnellement


Citation:
A Grimoald de Montmorency,

Je comprends votre rancoeur, mon enfant. Vous fûtes victime d'une mauvaise transmission des ordres. J'avais effectivement fait retirer votre nom de la liste des ennemis, mais apparemment tous les chefs d'armée n'ont pas vu ce message.
J'avais promis et porte seule le poids de cette responsabilité.
J'espère que vous vous remettrez rapidement de vos blessures, ainsi que celle qui devait vous accompagner et à qui nous avions accordé un sauf-conduit. J'espère également qu'après cette guerre nous pourrons vous montrer que l'hospitalité provençale existe.
Que le Très-Haut vous protège,



Puis elle fit appeler un messager.

Le jeune Grimoald doit se trouver à Brignoles, très affaibli. Faites-lui porter cela, et s'il est capable de me recevoir, dites-lui que je souhaiterais le rencontrer.
_________________
Hersende de Brotel, Marquise des Alpes Occidentales
Max12
Citation:
Je veux savoir avant tout ou sont trouve le plus galeux de tous et je compte bien que le Seigneur Max vous fasse parler. Je veux savoir ou se trouve sieur Dahut, le reste n'étant que petit fretin, mais lui .... j'ai promis de le livrer à quelqu'un.


Le lieutenant Max hocha la tète en signe d'approbation à la comtesse, il fit levait la prisonnière et suivit la comtesse non loin

Citation:
... surtout ne provoquez pas un drame en l'interrogeant. Soyez courtois, mais ... ferme, je vous laisse juge de cela.


Je la ferrais parler...soyez en sure comtesse.


Il revena en direction de la prisonnière et l'amena escorté par les trois gardes dans une tente assez spéciale, à l'intérieur se trouvez du matériel de torture mais le Sehnor avait d'autre moyen plus subtils que sa,avant d'assoir la prisonnière il lui trancha ses liens, les attaches en fer sont plus efficaces pour les mains et les jambes.

Le lieutenant enleva son mantels, remonta les manches de sa chemise, il prit une boite et s'avança vers la prisonnière.


Si vous voulez dire quelque chose en toute votre âme et conscience c'est maintenant !!!

_________________
See the RP information <<   <   1, 2, 3, ..., 11, 12, 13, ..., 19, 20, 21   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)