Tchantches
[ Devant AIX ]
Cela fait deux jours que les chariots sont contrôlés, mais peu de marchandises entrent en AIX.
Tchantchès commande trop peu d'hommes pour pouvoir à la fois assurer le contrôle et défendre la route.
Son seul espoir ?
La réparation rapide des murailles ouest et sud.
On lui a promit que cela serait acceptable dans un ou deux jours si le temps se maintient et que l'ennemi ne charge pas.
Mais on s'en fout que l'ennemi charge, ce qu'il faut justement c'est que les provençaux chargent les français ...
- Olaf ?
- Oui Seigneur ?
- Le rapport du jour ?
Et bien voici :
Une vingtaine de chariots contrôlés, des céréales principalement et un peu de volaille, ah oui, un français était caché dans un chariot de paille et à été percé par la pique de plusieurs hommes le contrôlant.
Ah oui ?
Un français tu dis ?
Et comment le sais tu ?
Il puait messire.
souriant
Mais Olaf moi aussi je pue, et je ne suis pas français pour autant.
Ah bon seigneur ?
Disons que l'ail ça pue plus fort.
Tais-toi malheureux, nos alliés en mangent des tonnes, tu pourrais les vexer. Vraiment Olaf, il n'y avait rien d'autre pour l'identifier ?
Il avait une écusson avec une fleur de lys.
Ben, voilà ce qu'il fallait dire, bon et quoi d'autre ?
Nous avons eu un début de dyssentierie sure l'avant poste, mais c'est parce que le vigile buvait l'eau du ruisseau, or il y a eu bataille en amont et des cadavres étaient encore dans l'eau.
Alors il faut prévoir de bien pourvoir le vigile en vivre et en eau la prochaine fois.
dis aux hommes que si touit va bien ils auront qaurtier libre en ville d'ici deux jours. En attendant je viens de recvevoir une barrique de bière, veille à en distribuer prcimonieusement, je ne veux pas d'hommes ivres sur le camp en ce moment.
- Bien seigneur
Et Olaf s'en alla exécuter les ordres.
Tchantchès parla comme pour lui-même.
Le plus dur à l'a guerre, ce sont les longs moments d'ennuis, il sont long et nombreux alors que la bataille est si brève ...
Cela fait deux jours que les chariots sont contrôlés, mais peu de marchandises entrent en AIX.
Tchantchès commande trop peu d'hommes pour pouvoir à la fois assurer le contrôle et défendre la route.
Son seul espoir ?
La réparation rapide des murailles ouest et sud.
On lui a promit que cela serait acceptable dans un ou deux jours si le temps se maintient et que l'ennemi ne charge pas.
Mais on s'en fout que l'ennemi charge, ce qu'il faut justement c'est que les provençaux chargent les français ...
- Olaf ?
- Oui Seigneur ?
- Le rapport du jour ?
Et bien voici :
Une vingtaine de chariots contrôlés, des céréales principalement et un peu de volaille, ah oui, un français était caché dans un chariot de paille et à été percé par la pique de plusieurs hommes le contrôlant.
Ah oui ?
Un français tu dis ?
Et comment le sais tu ?
Il puait messire.
souriant
Mais Olaf moi aussi je pue, et je ne suis pas français pour autant.
Ah bon seigneur ?
Disons que l'ail ça pue plus fort.
Tais-toi malheureux, nos alliés en mangent des tonnes, tu pourrais les vexer. Vraiment Olaf, il n'y avait rien d'autre pour l'identifier ?
Il avait une écusson avec une fleur de lys.
Ben, voilà ce qu'il fallait dire, bon et quoi d'autre ?
Nous avons eu un début de dyssentierie sure l'avant poste, mais c'est parce que le vigile buvait l'eau du ruisseau, or il y a eu bataille en amont et des cadavres étaient encore dans l'eau.
Alors il faut prévoir de bien pourvoir le vigile en vivre et en eau la prochaine fois.
dis aux hommes que si touit va bien ils auront qaurtier libre en ville d'ici deux jours. En attendant je viens de recvevoir une barrique de bière, veille à en distribuer prcimonieusement, je ne veux pas d'hommes ivres sur le camp en ce moment.
- Bien seigneur
Et Olaf s'en alla exécuter les ordres.
Tchantchès parla comme pour lui-même.
Le plus dur à l'a guerre, ce sont les longs moments d'ennuis, il sont long et nombreux alors que la bataille est si brève ...