Tchantches
Tchantchès avait reçu une missive du brave Lothem.
Il n'était pas noble Noir mais au moins il avait une foy sans faille en Aristote et en l'église aristotélicienne. Tchantchès avait beaucoup d'estime pour le jeune patricien.
Il décida de sa mauvaise écriture, de lui répondre.
Lothem, Mon ami,
C'est un étrange pays que la provence, la nuit, l'eau ne gèle pas et il ne faut pas briser la galce pour se rincer le matin (tu sais que je ne me lave poour ainsi dire jamais)
Je suis bien aise de ton prompt rétablissement, je sentais que la vie n'allait pas te quitter de sitôt.
Ici on a perdu de toute façon beaucoup de temps, les bataille se font chaques fois avant qu'on arrive et à part quelques énergumènes suicidaires, nous n'avons pas encore eu à affronter un réel danger.
Irais-je jusqu'à dire que je m'ennuie ?
Je n'ai même pas un hérétique ou un réformé à me mettre sous la dent. Le climat doux du pays est pourtant propice à la bataille, il ne faut pas, comme chez nous, attendre le fourrage d'été pour faire bataille.
Les français ne font pas preuve de beaucoup d'intelligence, mais ça, je sais que tu n'en seras pas supris, cela n'a jamais été le meilleur de leur qualité.
Je pense toutefois qu'il est prévu que des armées ennemies montrent enfin leur petit bout de nez, je sens que je vais enfin pouvoir éviscérer à nouveau et étripailler quelques esgourdits de bonne facture.
Rejoint nous vite, et saignons les ensemble, veux-tu ?
Ton éternel ami, Tchantchès, capitaine à l'ACF et Sénéchal de la noblesse Noire.
Il prit le pigeon envoyé par Lothem, mais celui-ci avait perdu sa bague.
Il lui enfonça le message dans le fion en disant :
- tu ne vas pas loin, surtout ne pète pas pendant le vol hein ?
Il n'était pas noble Noir mais au moins il avait une foy sans faille en Aristote et en l'église aristotélicienne. Tchantchès avait beaucoup d'estime pour le jeune patricien.
Il décida de sa mauvaise écriture, de lui répondre.
Lothem, Mon ami,
C'est un étrange pays que la provence, la nuit, l'eau ne gèle pas et il ne faut pas briser la galce pour se rincer le matin (tu sais que je ne me lave poour ainsi dire jamais)
Je suis bien aise de ton prompt rétablissement, je sentais que la vie n'allait pas te quitter de sitôt.
Ici on a perdu de toute façon beaucoup de temps, les bataille se font chaques fois avant qu'on arrive et à part quelques énergumènes suicidaires, nous n'avons pas encore eu à affronter un réel danger.
Irais-je jusqu'à dire que je m'ennuie ?
Je n'ai même pas un hérétique ou un réformé à me mettre sous la dent. Le climat doux du pays est pourtant propice à la bataille, il ne faut pas, comme chez nous, attendre le fourrage d'été pour faire bataille.
Les français ne font pas preuve de beaucoup d'intelligence, mais ça, je sais que tu n'en seras pas supris, cela n'a jamais été le meilleur de leur qualité.
Je pense toutefois qu'il est prévu que des armées ennemies montrent enfin leur petit bout de nez, je sens que je vais enfin pouvoir éviscérer à nouveau et étripailler quelques esgourdits de bonne facture.
Rejoint nous vite, et saignons les ensemble, veux-tu ?
Ton éternel ami, Tchantchès, capitaine à l'ACF et Sénéchal de la noblesse Noire.
Il prit le pigeon envoyé par Lothem, mais celui-ci avait perdu sa bague.
Il lui enfonça le message dans le fion en disant :
- tu ne vas pas loin, surtout ne pète pas pendant le vol hein ?