Afficher le menu
Information and comments (0)

Info:
Unfortunately no additional information has been added for this RP.

[RP]Un vent d'exode

Sofio
Evidemment rp ouvert a tous oui


Encore quelque chemins de solitude, revenant de braconne,encore juste quelques pas sur une monture de fortune,finalement la Guyenne c'etait pas l'extase a fallu faire avec,et retrouver d'anciens compagnons de traverse, quelques godets en taverne,des nuits a attendre ce signal, le fer n'a pas parlé, elle a préfère reprendre sa route seule que de finir comparses et vadrouille, aller voir la mer quelle drôle d'idée, au mois de janvier, prendre le temps de vivre depuis qu'elle avait gagné sa liberté c'est tout ce qui l'intéressait.la mer tant de fois promise jamais accessible, la mer elle s'était déjà ouverte dans ses rêves les plus fous, les mêmes qui la conduisait a l'ivresse au bord d'un chemin souvent mourante.

Des pigeons déplumés, l'avaient suivit le long du périple, des nouvelles d'Auvergne et d'une COBA ou elle se sentait étrangère a présent, raser un passé comme le vent emporte les échos des médisances, pouvoir d'un revers de main, tout balayer et recommencer a vivre....


Ne leur portes pas rancune plainds les


Voix de malheur qui vient s'abattre a chaque occasion, profitant de la solitude pour s'infiltrer dans mon âme, par la sorcellerie de la bête sans noms, fi du passé et changer de vie, aurait du aussi vouloir dire la faire taire a tous jamais, serait ce le signe de la fatalité, que de devoir se la coltiner a perpette, elle ou des fers nafout, défois vaut mieux s'enfuir que de subir.


L'amour au bout du chemin,il a dit, et la gloire dans une main qui lui est promise, per semper fidelist , elle n'a pas arrêté de se marquer aux fers ces mots comme pour mieux se les implanter dans le crane..... et ca passe, certains soirs de lune noire, les soirs de guet a la fortune, les soirs de beuverie autour d'un camp, ou les lames elles seules éclairent de par leurs fougues les visages des hommes avides.......per semper fidelist a qui encore et pour qui..ranafout.Bien souvent en guise de gloire ce ne fut que des larmes de désespoirs.Mais ca jamais elle ne le dira, jamais ne le montrera.

Qu'a t'il de plus, qu'a t'il de moins lui, sinon l'ambiguïté de leurs relations, l'oie blanche a depuis bien longtemps grimpé aux cieux pour finir son voyage et s'y bruler les ailes, carbonisées noircies elle est retombé en planant, pour atterrir lourdement au sol, le cœur en miettes la terre est basse.
Et pourtant elle aussi avait la lumière et des rêves de pureté pleins la tronche, de l'autre coté de la vallée , la ou se dresse les hauts sommets d'Auvergne, et ou quelques rares volcans font encore gronder leurs tripes, elle y vivait paisible, refusant tous partage de sa couche, ne vivant que pour la gloire de l'unité et quelques blasons de pacotilles a faire briller chaque matin, jusqu'à ce jour ou la route s'ouvrit pour la bouffer chaque jour et ne laisser aucune chance au soleil de pouvoir encore régner sur la lune.


Quelques paysans dans un champ elle a avancé si vite ne reconnait même pas les lieux, l'orientation cela n'a jamais été son fort, se marre en se souvenant de la campagne de bourgogne ou son plan lui indiquait la grande bleue a proximité, toujours cherché jamais trouvé, même pas une zoko en vue de quoi se boucher ripaille de la haine du bide quand ca réclame le sang pour le sang, et depuis pourtant....

Elle s'arrête , descend de sa monture, pour flatter l'encolure et chercher la licol, s'adresse a l'homme plié en deux pour quelques écus en train de gratter sa terre.


'je cherche Rodez, quelle direction je prend?


L'homme aux mains de pierre, se redresse , tant qu'il le peut encore, il pose ses mains sur ses hanches son chapeau de paille recouvre son regard, toute façon elle a pas envie de se taper causette avec ses yeux, il crache au sol et tend son bras vers le nord, elle sent son regard inquisiteur, et oui c'est une étrangère, pourtant presque chez elle, mais se sentira toujours l'étrangère de passage même sur ces terres.elle le salue de la tête et repart vers le nord, le froid est piquant mordant, ses doigts sont engourdis et la nuit va pas tarder a tomber, alors qu'elle aurait tant aimé être déjà sur place avant.

Comment sera la vide de l'autre coté de la vallée, tant de questions lui brule les lèvres, comme des coups portés en son antre, la vie sera car elle s'accroche, chienne de vie tu te souviens, quand il en causait comme d'un bout d'étoffe qui s'enflamme pour se replier sur le néant.

Trouver un coin pour la nuit,un abri de fortune entre deux chemins, avec un quadripéde pour compagnie, programme réjouissant, même pas une fiole pour tenir chaud, et partir sans rien prendre a bouffer faut vraiment avoir des étoiles dans les yeux pour ca, elle fera jeunette encore un jour, tant pis,la guerre est remplie de sacrifices.

Entre deux arbres, le coin de providence se dessine, un nid pour une nuit, juste si elle savait les allumer ces feux de joie, mais ca non plus jamais su faire, pas un truc que on apprend quand on est gradé, pas un truc non plus donné dans le manuel du parfait petit nobliaux, c'est a la dédéfection, et elle pas eu le temps pour ca, se souviens alors de son officier de garde, qui s'évertuait a cogner sans cesse, elle sort sa dague, cherche une grosse pierre qu'elle positionne au sol, et frappe aussi fort et vite qu'elle peut avec l'acier, a bien des étincelles qui jaillissent mais elle n'arrive pas a enflammer la paille et le petit bois d'en dessous, ses mains gelées lui font mal, ses épaules brulent, elle jette le tout d'un mouvement de colère pour ne plus avoir sous les yeux sa défaillance.


Merdum



Sera bien temps de combler ces lacunes, un lascar lui filera bien quelques tuyaux de comment la vivre a la sauvage en quelques leçons on lui a bien filé les façons de se faire ouvrir les portes des mairies, pour l'instant fermer les yeux un instant pour écouter le silence pénétrant, et voir dans son sommeil encore ces horribles visions , comme le corps du noir sur le bucher de son trépas en train de se tordre aux flammes léchantes, voir encore ce bout de terre qu'elle n'arrivait pas a toucher car ses mains s'envolaient vers le très haut et que son souffle la perdait, abandonnée telle le clébard inutile, a la merci de la couardise, le tout pour quelques écus, un jour sur un chemin... voir encore cette dague menaçante de la main d'un homme qu'elle pensait aimer et puis voir son drapeau flotter au vent sur la place d'arme, tel le fier objet de convoitise, braver les années de par son défis et sa hauteur, puis s'enflammer et tomber en miette, parceque un crétin avait oublié que quand on monte si haut on se brule au soleil.Parceque ils ont tout fait foirer de par leurs tyrannie, parceque a force de vouloir on finit par exiger et que la roue tourne.

La nuit tombe vite, très vite quand aucun feu de cheminé ni chandelier n'est la pour éclairer,les toits bienveillants, et quand tombe la nuit, le moindre bruit éclate comme un mur qui s'effondre , une mairie qui s'entrouvre, un corps qui se meurt, elle sent sous sa main la dague placée et de l'autre main entoure son pommeau,demain il fera jour, demain sera un autre jour, lui écrire oui, c'est le chose qu'elle doit faire, lui écrire, lui permet d'être une partie d'elle même déjà a ses cotés, tant que la lune enverra de son regard bienfaisant un peu de sa présence pour éclairer le vélin.






Citation:

'Mon tendre, mon cher, a toi

Comme promis me voila sur les chemins du retour, la route est bien plus longue et tortueuse que je ne le pensais, mais elle se passe sans encombre, mes affaires qui m'avaient éloignes de rodez elles aussi ont été bien moins longues et tortueuses que je ne le pensais, mais cela fait partie des aléas de ma vie, de ma vie maintenant et ôte toi direct la pensée qui vient de t'envahir , tu n'aurais rien pu faire en cela ,au temps de notre rencontre, je crois en la vie , je crois au destin et je crois en la destinée,un jour une vielle folle a pris ma main, pour en trembler, et me sortir des mots tels que sang, trahison et le très haut, j'avais bien ri, je ne rie plus.

Ta douce chaleur me manque ce soir, tu ne peut pas savoir a quel point, et que nenni, ne souris pas, je ne parle pas d'amour,ni de sentiments, et encore moins de morveux braillant, je parle de vivre le moment présent.

Je crois que nous avons tous une route différente a travers le destin, a choisir, j'ai peut être eu maldonne en la choisissant, mais elle n'a pas de sens retour, je ne trouve pas le chemin de celle ci, et je ne sais pas lire les cartes de la vie.

Oui je crois en toi, et je crois en ma liberté, mes chemins de traverses ne m'apportent ni joie ni bonheur mais c'est ainsi que je les vit, tu es pour moi, un passage qui éclairent mes lunes de caprices,tu es pour moi la raison de ma lutte contre l'envie parfois de glisser sur la pente.

J'attend mon arrivée sur Rodez avec impatience, te sentir contre moi, et m'enivrer de toi,revivre encore...

Je porte ce mot en la confiance d'un volatile, en espérant qu'il sache ou te le remettre, je porte en mon cœur une brèche, pour te permettre l'ouverture plus aisemment.

Sofio dame de Mercurol



Et trouver le pigeon en toutes occasions ca elle avait appris comment faire, suffisait d'émettre un drôle de son en fermant la bouche et pinçant les lèvres, laisser passer du souffle, pour permettre un sifflement aiguë, et la bête apparait déjà, jeu d'enfant, plus facile que de pouvoir arriver a s'abandonner au sommeil.

Bientôt ses amis seront la, Polignac en force, sur rodez, pour eux aussi la capitale se dressera telle une inconnue a leur yeux, pour eux aussi ce sera le début de leurs aventures, et la fin du grand livre blanc.

La faim la tiraille et le froid se fait plus pressant, elle se colle contre le tronc de l'arbre, se protégeant du vent, tant pis elle fermera pas l'œil et attend patiemment que la lune ait fini de se la péter la haut pour laisser place a la clarté, tôt demain matin elle reprendra sa route.

_________________
Lordmick
Rodez, courant entre son bureau au chateau et son bureau à l'Ost, Lord ne sait plus vraiment ou donner de la tête. Toujours un probleme,toujours un grain de sable qui viens se mettre dans une mecanique qu'il voudrait parfaitement huilée.

Les nuits sont courtes, les journées interminables... Le temps toujours courir apèrs cette chose que l'on voudrait ralentir ou arreter afin de profiter et de savourer mais cette chose qui quoi qui se passe va toujours plus vite que nous et qui nous glisse toujours entre les doigts...

Le petit matin est déja là et la nuit s'est retrouvé une fois de plus fille de l'air... Meme pas le temps de la savourer que la voila deja partie...Lord se leve le visage embrume. Une nuit de plus passer à travail ou alors à trainer en taverne qui sait... Seul lui se rappel ses choses là, par contre en se levant il n'arrive plus à savoir ou il se trouve quel bureau est ce? Apres un rapide inventaire le voila au Castel. Il vit la pile de dossier qui previent du chateau et de l'ost sur le bureau.


Et ben la journée va etre encore longue à gerer tout cela....

Il trouve une bassine d'eau et se debarbouille puis remet son uniforme en place et commence à lire les rapports du jour. Le mal de tete commence à le prendre au fur et a mesure des soucis qui s'empilent. Apres quelque instant une personne frappe à la porte.

Entrez !Il vit un serviteur du chateau se presenter à lui.Que puis je pour vous?

Capitaine, un pigeon est arrivé ce matin pour vous.

Tres bien pose le sur la table, je vous remercie, vous pouvez disposer.

Une fois la missive recupere, il s'installa confortablement et commenca la lecture. Il reconnu la douce et ecriture et sourit à plusieur reprise en lisant le mot. Une fois cela terminer il prit un parchemin et ecrivis à son tour.

Citation:
Ma belle,

C'est avec un très grand plaisir que je lis tes mots qui vont sans nul doute égayer ma journée.
Je suis heureux d'apprendre que le voyage de retour se passe sans encombre et surtout qu'il se soit raccourcie dans la durée. Tu me parles de ma tete mais ne t'ai je point dis d'arreter de penser pour moi et de deviner ce qui me conviendrait le mieux...

Les mots de ta vielle folle peuve s'appliquer pour la plupart des gens car on ne sait pas si il s'applique à nous ou au personne que l'on rencontre donc ne te fais pas de soucis la dessus.

Je suis heureux de savoir que je te manque un peu, c'est deja une bonne chose cela aura peut etre reussi à contribuer à ton retour plus rapide enfin ceci est un doux espoir.

Tu arrivera demain pour Rodez et j'espere que tu pourra enfin quelques heures trouver le repos et la quietude qui te manque tant. J'attend aussi ton retour avec impatience pour profiter de toi et de chaque instant que nous pourront passer enssemble avant que la route ne t'arrache de nouveau à moi...

Avant de finir, pour ton coeur ne te fais pas de soucis il sera entre de bonne main avec moi ma belle et pour ton pigeon il a bien trouver l'endroit ou je me terre en se moment.

Au plaisir de te voir.

Lord Mick


Palfrennier revenez ici !

Oui Messir?

Prenez ceci et faite le partir de suite par un pigeon

Bien mon Capitaine !


Lord sourit avec un peu de nostalgie tout en savourant ce moment de lecture qui lui avait apporte un grand bonheur. Puis il se rappella à la réalité de la chose et repris les papiers ou ils en etaient.
_________________
La Garde Meurt Mais Ne Se Rend Pas !!!
Sofio
Mauvaise route, mauvaise nuit, peu dormi, membres gelés engourdies, ses doigts elle n'arrivaient plus a les bouger, sa peau se craquait se fendillait, de grosses gouttes de sang en perlaient, tenir les renes fermement lui semblaient un cauchemars de chaque instant, pourtant il fallait bien avancer, et la faim qui la tiraillait, lui donnait des étourdissements.

Déjà les premières habitations, se dessinaient au loin, sa vue se brouillait dans le matin glacial, et le gel la transperçait, pour en filer des frissons répétitifs, elle qui pensait arriver a Rodez devant ses compagnons d'un pas assurée, ce n'est que l'ombre de elle même qu'ils verront arriver, mourante de faim , desséchée , assoiffée et gelée beau tableau en perspective.

D'un coup sa monture s'emballe, elle a sentit a son raidissement un problème, que déjà il part a vive allure ne suivant plus la route, et s'engouffre dans la foret , elle tente de faire corps avec en se penchant dessus, et essaye de refermer ses doigts pour tirer sur l'encolure des harnais, mais sa peau craquèle et sa force la perd.


HUUU calme

Elle sait qu'il n'entendra rien il a baissé la tête et elle n'a pas assez d'allonge pour rétablir la position de force du harnais, la foret s'épaissit elle s'allonge sur lui, essayant de le flatter d'une main, pour adoucir son pas, ce n'est pas la première fois qu'il s'emballe ces derniers temps, la bête n'écoute plus rien et se croit indomptable, elle aurait du en changer depuis longtemps, mais n'aime pas abandonner ses amis.

Soudain il redresse la tête et semble percevoir quelque chose, ses oreilles se pointent droite, et il entame un virage entre deux arbres, elle n'a pas le temps de s'accrocher, qu'elle sent les étriers la quitter et sa jambe passer par dessus, le virage était serré, elle tombe au sol.

La face contre terre , elle entend les sabots de l'animal continuer sa course folle, en s'éloignant a chaque pas, elle ne sent plus ses jambes et se hisse de ses bras pour se retourner dos au sol, essuie d'un revers de manche son visage boueux,sa jambe droite lui fait énormément souffrir, et son dos semble bloquée, couchée elle n'arrive pas a ramener sa jambe contre ses fesses, regarde autour d'elle, et ne voit aucun bâton qui pourrait l'aider a faire appui.

regard vers le ciel qui commence a s'éclaircir et pointe quelques rayons sous le couvert des nuages, les grands arbres de la foret n'en finissent pas de grimper, et semble dominer de centaines d'années les bois, elle sent un rire monter en elle, pour la prendre du ventre et en jaillir de sa gorge.

HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA

C'est un cri qui en sort, un cri de rage qu'elle expulse comme pour rejeter en elle son désespoir et le porter en ces arbres qui se gaussent de la voir au sol, elle en est certaine maintenant, ils en rient de leurs splendeurs.


Marrez vous enflure!!!!!


Et elle a mal , et elle voudrait crier encore, mais sa tête lui tourne, ses yeux sont lourds, juste fermer les yeux un instant, juste le temps de voir l'image du néant c'est tout et elle sombre.......
_________________
--Landrine
Pas vraiment laid, pas vraiment boiteux, ils avaient quoi tous a le chasser des villages, en le traitant d'espagnols, parceque c'est mon pays, parceque la bas tout est différend, et que pour bouffer ici loin des miens, faut bien que je fasse des larcins, et si pour ca je dois fuir sans cesse, tant pis, et si pour ca je dois jouer de la lame afin d'ouvrir les bourses résistantes, cela ne peut être que plaisir et putain ce que on se les pèlent dans la campagne, mais la gueuse de la nuit m'a foutu dehors, sous prétexte que son cornetto d'époux allait revenir, je suis resté planté la, a me sentir inutile , jusqu'à ce que le trouve un canasson, sans étiquette.Chevaucher la nuit pas mon habitude, mais si en chemin je trouve quelques charrettes,aura de quoi me réjouir et rentrer au pays.
Peine de disette, un étalon qui file, l'animal s'engouffre a vive allure dans les hautes herbes, pas vu de cavaliers a son bords mais quelques sacoches, si je gagne la bête, je m'octroie la prime de son transport, me suffit de suivre en baissant la tête.
Un corps au sol, un cri, par tous les maléfices, je suis tombée sur quoi,je descend de cheval reste un peu a l'écart, une femme étendue la, surement la cavalière, mais elle braille comme une pucelle, a en croire ses vêtements pas une pauvrette, gibier facile, ma lame en réclame déjà encore.


Alors petite dame, un peu d'aide pour vous servir

Je retire mon chapeau, et je la salue, révérence respectueuse, mes yeux brillent de ce que la nature m'offre, le moindre trésor a portée de main, moi qui ne recherche que la gloire.
Lordmick
Lord attaqua une nouvelle journée au chateau. Décidement la routine etais la quoi que se matin il recu des nouveaux rapport qui le fit bien rire...

Un qui se plaignait de long en large et travers mais a force il ne savait meme plus pourquoi il se plaignait sauf que ne savait rien de rien il aimait cela et fuir au moment des reponses...

Le deuxieme etant la mise en proces d'une pauvre "innoncente victime" affabulatrice et qui passait son temps à cracher son venin sur des personnes dont la devotion pour le Comté n'etait plus a faire mais qui esperait comme cela remonter sa cote de popularite en se faisant plaindre.

Une fois les rapports du jour etablie ainsi qu'un passage à la caserne, il s'inquietait en voyant le soleil s'avancer et aucune nouvelle arriver.


Ecuyer venez ici.

Oui Capitaine?

Il griffonna quelques choses à la va vite, puis lui tendit le parchemin.

Prenez ce plit et faite le tour voir ou se trouve cette personne et interdiction de revenir bredouille !

A vos ordres, j'y cours de ce pas !

Lord vit l'ecuyer s'en aller et se reinstalla derriere son bureau afin de voir les debats du jour.
_________________
La Garde Meurt Mais Ne Se Rend Pas !!!
Sofio
C'est un ciel azur, quelques nuages pour dessiner des formes, et ce vol d'oies sauvages qui repart vers le sud, les regarder partir jusqu'au point dans l'horizon, le laisser s'en aller et accepter de recommencer, c'est un ciel azur et pourtant quand elle entrouvre les yeux c'est un ciel gris, recouverts par le pourpre des grands arbres, de l'écorce et du feuillage, nul oiseaux pour donner un message.

Alors petite dame, un peu d'aide pour vous servir


Elle tourne la tête pour détailler l'homme, d'un commun naturel, nul doute que son épée qui pendouille doit lui servir il sait la porter, de taille moyenne, il n'impressionne pas comme une bête, surement un maraud des chemins a la recherche d'une bourse, elle n'a rien sur elle, au pire elle lui filera sa gibecière pourvu qu'il ramène de l'aide

Elle garde une main a proximité de sa dague, essaye de ne pas montrer la moindre once de peur, ca se ressent la peur et ca attire les bêtes sauvages a la ronde pour s'en délecter.


Bjour, je suis tombé de cheval et de l'aide serait bienvenue, j'ai du me casser quelque chose , ou je ne sais mais peut être que si vous alliez a rodez, je vous file un mot de ma part , vous entrez en taverne demandez qui vient d'Auvergne, le premier qui prendra un air étonné , bouche grande ouverte, vous lui remettez mon courrier et vous lui demanderez 5o écus de commissions, après a l'option vous me faites les poches et vous récupérez 3 ou 4 écus et un contrat a vie sur votre tête a vous de voir .


Elle griffonne un mot et lui tend, tout en causant, a lui de voir si il veut vivre ou mourir, son existence elle en a cure, qu'il crève qu'il vive ca lui changera pas son monde, prend ce papier ......prend le , elle fixe son regard terne, il tend la main.......prend le papier et s'en retourne, elle souffle, respire, reste plus qu'a attendre et y croire.Elle voit déjà la gueule de Linoa, affolé dans un premier temps puis après elle aura droit au sermon,peut être vince qui aura le papier en premier dans ce cas elle a peut être une chance d'échapper au courroux de la sœur, il dira rien , elle est confiante quoi que...et si....non..non pas lord, pas lui cela va le conforter qu'elle doit se fixer, puis il est pas Auvergnat pas de risques alors.
_________________
Lordmick
La tete toujours plongée dans la paperasse Lord s'evertuais a comprendre tous ce qu'il lisait, chose pas tres facile vu que certaine etait d'un ennuye profond. Heureusement certains l'aidait à le reveiller car l'interet etait la ainsi que la victuaille et la petite bouteille que les cuisines lui avait fait livré.

Le temps passaient de plus en plus vite et sans rien dire Lord commencait à s'impatienter de ne pas voir son ecuyer revenir. Il se leva et commenca à faire les 100 pas dans le bureau tout en regardant par la fenêtre.

Au bout d'un moment il le vit traverser la court du chateau,tel le petit lapin poursuit vit par un gros renard affamé. Sans attendre il remis son uniforme passa sa cape et pris son épée pret à partir lorsque la porte se mit à émettre un son.


Entre ! Dépeche toi!

Lord vit l'écuyer un peu blanc arrivé et cherchant ses mots

Diantre tu vas parler ou je dois chercher les mots au fond de ta gorge!

Capitaine, heu, voila, en faite, heu, la personne que vous cherchez à bien quitté Villefranche depuis hier, mais heuuu, personne la vu arriver...

Lord reflechis en une fraction de seconde.

Va preparer mon cheval et plus vite que ca!

L'ecuyer sourit

Deja fait Capitaine, je pensais bien que vous voudriez vous y rendre vous meme.

Lord le regarda, puis repris

Tu as bien pensé file rejoindre l'hotel et attend moi la bas si tu entend des soucis envoie moi un pigeon tu sais ou je vais.

Ni une ni deux l'ecuyer détala et Lord descendit dans la cours ou il grimpa sur son cheval et pris la route de Villefranche. Apres quelques heures de cheval, il vit une silhouette qu'il aurait reconnu entre mille assise par terre sur le chemin et un homme à proximité.

Il mit un coup de talon dans les flans du cheval qui accelera d'un coup d'un seul puis il tira son épée de son fourreau la placent le long de sa jambe droit afin que le Messir ne puisse le voir. Il savait que desfois ce que l'on voyait n'etais pas ce que l'on pensait alors autant ne pas commettre d'impair.Une fois à leur hauteur, il sourit à la belle.


Alors ma belle toujours à te faire remarquer je vois...

Il regarda le Messir.

Bonjour Messir,puis se retournant vers Sofio, tu m'expliques?

Il continua à la regarder, tout en gardant un oeil sur l'individu à coté son épée serré dans la main pret à le frapper sur le crane.
_________________
La Garde Meurt Mais Ne Se Rend Pas !!!
Sofio
Reste plus qu'a attendre, attendre espérer compter le temps, effeuiller quelques marguerites comment c'est pas la saison?

Soudain, un bruit, un cavalier qui surgit hors..des buissons


Lord??

Alors ma belle toujours à te faire remarquer je vois...

Elle le regarde, ben oui sur spectacle en nature , alors la pas d'humeur du tout, non seulement elle souffre, elle se pèle, elle dévorerait un ours et en plus il trouve ca amusant lui, elle lui jette un regard noir.

tu m'expliques?


Arff il va pas en plus créer des complications envers le pauvre brigand, tsse ces capi ca veut tout savoir rien payer.

C'est un ami , il allait m'aider, mais tu es la maintenant hein , j'ai la jambe en compote par contre, mais tu es fort hein comme un dieu

elle se pinça les lèvres pour pas se marrer, mais contente en son for.
_________________
Lordmick
Lord ne put s'empecher d'esquisser un sourire en la voyant dans cette posture, il est vrai que la belle etait dans une situation assez caucasse malgres tout.

Elle le transpercat du regard et compris qu'il ne faudrait jamais qu'il lui laisse oublier se moment car ca lui collerai pendant longtemps.

Elle le rassura sur le Messir à coté et rangea sa lame dans son fourreau. Puis il descendit de son chevalet se rapprochat d'elle.


Citation:
C'est un ami , il allait m'aider, mais tu es la maintenant hein , j'ai la jambe en compote par contre, mais tu es fort hein comme un dieu.


Bien alors tout vas bien. Et sinon je t'avais pas dis de pas voyager seul mais bon vu que tu fais toujours ta tete de cochon ben au moins tu sais que j'ai raison...

Il lui sourit puis enleva sa cape et l'envelloppa avec.

Tiens comme ca deja tu aura plus chaud.

Puis il l'a souleva en la prenant par la les jambes et le dos puis la monta sur son cheval. Une fois qu'il l'installe confortablement,enfin du mieux qu'il peut, il monta lui aussi sur le cheval en prennant les rennes dans ses mains.

Bon allez rentrons, on va t'enmener chez le Medicastre et ensuite un bon repas et un bain chaud te fera du bien ma belle. Dis au revoir à ton ami ma belle on rentre sur Rodez.

Il salua le Messir et claqua les talons sur les flancs du cheval qui partie au trot en direction de la capitale
_________________
La Garde Meurt Mais Ne Se Rend Pas !!!
See the RP information
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)