Sofio
Evidemment rp ouvert a tous oui
Encore quelque chemins de solitude, revenant de braconne,encore juste quelques pas sur une monture de fortune,finalement la Guyenne c'etait pas l'extase a fallu faire avec,et retrouver d'anciens compagnons de traverse, quelques godets en taverne,des nuits a attendre ce signal, le fer n'a pas parlé, elle a préfère reprendre sa route seule que de finir comparses et vadrouille, aller voir la mer quelle drôle d'idée, au mois de janvier, prendre le temps de vivre depuis qu'elle avait gagné sa liberté c'est tout ce qui l'intéressait.la mer tant de fois promise jamais accessible, la mer elle s'était déjà ouverte dans ses rêves les plus fous, les mêmes qui la conduisait a l'ivresse au bord d'un chemin souvent mourante.
Des pigeons déplumés, l'avaient suivit le long du périple, des nouvelles d'Auvergne et d'une COBA ou elle se sentait étrangère a présent, raser un passé comme le vent emporte les échos des médisances, pouvoir d'un revers de main, tout balayer et recommencer a vivre....
Ne leur portes pas rancune plainds les
Voix de malheur qui vient s'abattre a chaque occasion, profitant de la solitude pour s'infiltrer dans mon âme, par la sorcellerie de la bête sans noms, fi du passé et changer de vie, aurait du aussi vouloir dire la faire taire a tous jamais, serait ce le signe de la fatalité, que de devoir se la coltiner a perpette, elle ou des fers nafout, défois vaut mieux s'enfuir que de subir.
L'amour au bout du chemin,il a dit, et la gloire dans une main qui lui est promise, per semper fidelist , elle n'a pas arrêté de se marquer aux fers ces mots comme pour mieux se les implanter dans le crane..... et ca passe, certains soirs de lune noire, les soirs de guet a la fortune, les soirs de beuverie autour d'un camp, ou les lames elles seules éclairent de par leurs fougues les visages des hommes avides.......per semper fidelist a qui encore et pour qui..ranafout.Bien souvent en guise de gloire ce ne fut que des larmes de désespoirs.Mais ca jamais elle ne le dira, jamais ne le montrera.
Qu'a t'il de plus, qu'a t'il de moins lui, sinon l'ambiguïté de leurs relations, l'oie blanche a depuis bien longtemps grimpé aux cieux pour finir son voyage et s'y bruler les ailes, carbonisées noircies elle est retombé en planant, pour atterrir lourdement au sol, le cur en miettes la terre est basse.
Et pourtant elle aussi avait la lumière et des rêves de pureté pleins la tronche, de l'autre coté de la vallée , la ou se dresse les hauts sommets d'Auvergne, et ou quelques rares volcans font encore gronder leurs tripes, elle y vivait paisible, refusant tous partage de sa couche, ne vivant que pour la gloire de l'unité et quelques blasons de pacotilles a faire briller chaque matin, jusqu'à ce jour ou la route s'ouvrit pour la bouffer chaque jour et ne laisser aucune chance au soleil de pouvoir encore régner sur la lune.
Quelques paysans dans un champ elle a avancé si vite ne reconnait même pas les lieux, l'orientation cela n'a jamais été son fort, se marre en se souvenant de la campagne de bourgogne ou son plan lui indiquait la grande bleue a proximité, toujours cherché jamais trouvé, même pas une zoko en vue de quoi se boucher ripaille de la haine du bide quand ca réclame le sang pour le sang, et depuis pourtant....
Elle s'arrête , descend de sa monture, pour flatter l'encolure et chercher la licol, s'adresse a l'homme plié en deux pour quelques écus en train de gratter sa terre.
'je cherche Rodez, quelle direction je prend?
L'homme aux mains de pierre, se redresse , tant qu'il le peut encore, il pose ses mains sur ses hanches son chapeau de paille recouvre son regard, toute façon elle a pas envie de se taper causette avec ses yeux, il crache au sol et tend son bras vers le nord, elle sent son regard inquisiteur, et oui c'est une étrangère, pourtant presque chez elle, mais se sentira toujours l'étrangère de passage même sur ces terres.elle le salue de la tête et repart vers le nord, le froid est piquant mordant, ses doigts sont engourdis et la nuit va pas tarder a tomber, alors qu'elle aurait tant aimé être déjà sur place avant.
Comment sera la vide de l'autre coté de la vallée, tant de questions lui brule les lèvres, comme des coups portés en son antre, la vie sera car elle s'accroche, chienne de vie tu te souviens, quand il en causait comme d'un bout d'étoffe qui s'enflamme pour se replier sur le néant.
Trouver un coin pour la nuit,un abri de fortune entre deux chemins, avec un quadripéde pour compagnie, programme réjouissant, même pas une fiole pour tenir chaud, et partir sans rien prendre a bouffer faut vraiment avoir des étoiles dans les yeux pour ca, elle fera jeunette encore un jour, tant pis,la guerre est remplie de sacrifices.
Entre deux arbres, le coin de providence se dessine, un nid pour une nuit, juste si elle savait les allumer ces feux de joie, mais ca non plus jamais su faire, pas un truc que on apprend quand on est gradé, pas un truc non plus donné dans le manuel du parfait petit nobliaux, c'est a la dédéfection, et elle pas eu le temps pour ca, se souviens alors de son officier de garde, qui s'évertuait a cogner sans cesse, elle sort sa dague, cherche une grosse pierre qu'elle positionne au sol, et frappe aussi fort et vite qu'elle peut avec l'acier, a bien des étincelles qui jaillissent mais elle n'arrive pas a enflammer la paille et le petit bois d'en dessous, ses mains gelées lui font mal, ses épaules brulent, elle jette le tout d'un mouvement de colère pour ne plus avoir sous les yeux sa défaillance.
Merdum
Sera bien temps de combler ces lacunes, un lascar lui filera bien quelques tuyaux de comment la vivre a la sauvage en quelques leçons on lui a bien filé les façons de se faire ouvrir les portes des mairies, pour l'instant fermer les yeux un instant pour écouter le silence pénétrant, et voir dans son sommeil encore ces horribles visions , comme le corps du noir sur le bucher de son trépas en train de se tordre aux flammes léchantes, voir encore ce bout de terre qu'elle n'arrivait pas a toucher car ses mains s'envolaient vers le très haut et que son souffle la perdait, abandonnée telle le clébard inutile, a la merci de la couardise, le tout pour quelques écus, un jour sur un chemin... voir encore cette dague menaçante de la main d'un homme qu'elle pensait aimer et puis voir son drapeau flotter au vent sur la place d'arme, tel le fier objet de convoitise, braver les années de par son défis et sa hauteur, puis s'enflammer et tomber en miette, parceque un crétin avait oublié que quand on monte si haut on se brule au soleil.Parceque ils ont tout fait foirer de par leurs tyrannie, parceque a force de vouloir on finit par exiger et que la roue tourne.
La nuit tombe vite, très vite quand aucun feu de cheminé ni chandelier n'est la pour éclairer,les toits bienveillants, et quand tombe la nuit, le moindre bruit éclate comme un mur qui s'effondre , une mairie qui s'entrouvre, un corps qui se meurt, elle sent sous sa main la dague placée et de l'autre main entoure son pommeau,demain il fera jour, demain sera un autre jour, lui écrire oui, c'est le chose qu'elle doit faire, lui écrire, lui permet d'être une partie d'elle même déjà a ses cotés, tant que la lune enverra de son regard bienfaisant un peu de sa présence pour éclairer le vélin.
Encore quelque chemins de solitude, revenant de braconne,encore juste quelques pas sur une monture de fortune,finalement la Guyenne c'etait pas l'extase a fallu faire avec,et retrouver d'anciens compagnons de traverse, quelques godets en taverne,des nuits a attendre ce signal, le fer n'a pas parlé, elle a préfère reprendre sa route seule que de finir comparses et vadrouille, aller voir la mer quelle drôle d'idée, au mois de janvier, prendre le temps de vivre depuis qu'elle avait gagné sa liberté c'est tout ce qui l'intéressait.la mer tant de fois promise jamais accessible, la mer elle s'était déjà ouverte dans ses rêves les plus fous, les mêmes qui la conduisait a l'ivresse au bord d'un chemin souvent mourante.
Des pigeons déplumés, l'avaient suivit le long du périple, des nouvelles d'Auvergne et d'une COBA ou elle se sentait étrangère a présent, raser un passé comme le vent emporte les échos des médisances, pouvoir d'un revers de main, tout balayer et recommencer a vivre....
Ne leur portes pas rancune plainds les
Voix de malheur qui vient s'abattre a chaque occasion, profitant de la solitude pour s'infiltrer dans mon âme, par la sorcellerie de la bête sans noms, fi du passé et changer de vie, aurait du aussi vouloir dire la faire taire a tous jamais, serait ce le signe de la fatalité, que de devoir se la coltiner a perpette, elle ou des fers nafout, défois vaut mieux s'enfuir que de subir.
L'amour au bout du chemin,il a dit, et la gloire dans une main qui lui est promise, per semper fidelist , elle n'a pas arrêté de se marquer aux fers ces mots comme pour mieux se les implanter dans le crane..... et ca passe, certains soirs de lune noire, les soirs de guet a la fortune, les soirs de beuverie autour d'un camp, ou les lames elles seules éclairent de par leurs fougues les visages des hommes avides.......per semper fidelist a qui encore et pour qui..ranafout.Bien souvent en guise de gloire ce ne fut que des larmes de désespoirs.Mais ca jamais elle ne le dira, jamais ne le montrera.
Qu'a t'il de plus, qu'a t'il de moins lui, sinon l'ambiguïté de leurs relations, l'oie blanche a depuis bien longtemps grimpé aux cieux pour finir son voyage et s'y bruler les ailes, carbonisées noircies elle est retombé en planant, pour atterrir lourdement au sol, le cur en miettes la terre est basse.
Et pourtant elle aussi avait la lumière et des rêves de pureté pleins la tronche, de l'autre coté de la vallée , la ou se dresse les hauts sommets d'Auvergne, et ou quelques rares volcans font encore gronder leurs tripes, elle y vivait paisible, refusant tous partage de sa couche, ne vivant que pour la gloire de l'unité et quelques blasons de pacotilles a faire briller chaque matin, jusqu'à ce jour ou la route s'ouvrit pour la bouffer chaque jour et ne laisser aucune chance au soleil de pouvoir encore régner sur la lune.
Quelques paysans dans un champ elle a avancé si vite ne reconnait même pas les lieux, l'orientation cela n'a jamais été son fort, se marre en se souvenant de la campagne de bourgogne ou son plan lui indiquait la grande bleue a proximité, toujours cherché jamais trouvé, même pas une zoko en vue de quoi se boucher ripaille de la haine du bide quand ca réclame le sang pour le sang, et depuis pourtant....
Elle s'arrête , descend de sa monture, pour flatter l'encolure et chercher la licol, s'adresse a l'homme plié en deux pour quelques écus en train de gratter sa terre.
'je cherche Rodez, quelle direction je prend?
L'homme aux mains de pierre, se redresse , tant qu'il le peut encore, il pose ses mains sur ses hanches son chapeau de paille recouvre son regard, toute façon elle a pas envie de se taper causette avec ses yeux, il crache au sol et tend son bras vers le nord, elle sent son regard inquisiteur, et oui c'est une étrangère, pourtant presque chez elle, mais se sentira toujours l'étrangère de passage même sur ces terres.elle le salue de la tête et repart vers le nord, le froid est piquant mordant, ses doigts sont engourdis et la nuit va pas tarder a tomber, alors qu'elle aurait tant aimé être déjà sur place avant.
Comment sera la vide de l'autre coté de la vallée, tant de questions lui brule les lèvres, comme des coups portés en son antre, la vie sera car elle s'accroche, chienne de vie tu te souviens, quand il en causait comme d'un bout d'étoffe qui s'enflamme pour se replier sur le néant.
Trouver un coin pour la nuit,un abri de fortune entre deux chemins, avec un quadripéde pour compagnie, programme réjouissant, même pas une fiole pour tenir chaud, et partir sans rien prendre a bouffer faut vraiment avoir des étoiles dans les yeux pour ca, elle fera jeunette encore un jour, tant pis,la guerre est remplie de sacrifices.
Entre deux arbres, le coin de providence se dessine, un nid pour une nuit, juste si elle savait les allumer ces feux de joie, mais ca non plus jamais su faire, pas un truc que on apprend quand on est gradé, pas un truc non plus donné dans le manuel du parfait petit nobliaux, c'est a la dédéfection, et elle pas eu le temps pour ca, se souviens alors de son officier de garde, qui s'évertuait a cogner sans cesse, elle sort sa dague, cherche une grosse pierre qu'elle positionne au sol, et frappe aussi fort et vite qu'elle peut avec l'acier, a bien des étincelles qui jaillissent mais elle n'arrive pas a enflammer la paille et le petit bois d'en dessous, ses mains gelées lui font mal, ses épaules brulent, elle jette le tout d'un mouvement de colère pour ne plus avoir sous les yeux sa défaillance.
Merdum
Sera bien temps de combler ces lacunes, un lascar lui filera bien quelques tuyaux de comment la vivre a la sauvage en quelques leçons on lui a bien filé les façons de se faire ouvrir les portes des mairies, pour l'instant fermer les yeux un instant pour écouter le silence pénétrant, et voir dans son sommeil encore ces horribles visions , comme le corps du noir sur le bucher de son trépas en train de se tordre aux flammes léchantes, voir encore ce bout de terre qu'elle n'arrivait pas a toucher car ses mains s'envolaient vers le très haut et que son souffle la perdait, abandonnée telle le clébard inutile, a la merci de la couardise, le tout pour quelques écus, un jour sur un chemin... voir encore cette dague menaçante de la main d'un homme qu'elle pensait aimer et puis voir son drapeau flotter au vent sur la place d'arme, tel le fier objet de convoitise, braver les années de par son défis et sa hauteur, puis s'enflammer et tomber en miette, parceque un crétin avait oublié que quand on monte si haut on se brule au soleil.Parceque ils ont tout fait foirer de par leurs tyrannie, parceque a force de vouloir on finit par exiger et que la roue tourne.
La nuit tombe vite, très vite quand aucun feu de cheminé ni chandelier n'est la pour éclairer,les toits bienveillants, et quand tombe la nuit, le moindre bruit éclate comme un mur qui s'effondre , une mairie qui s'entrouvre, un corps qui se meurt, elle sent sous sa main la dague placée et de l'autre main entoure son pommeau,demain il fera jour, demain sera un autre jour, lui écrire oui, c'est le chose qu'elle doit faire, lui écrire, lui permet d'être une partie d'elle même déjà a ses cotés, tant que la lune enverra de son regard bienfaisant un peu de sa présence pour éclairer le vélin.
Citation:
'Mon tendre, mon cher, a toi
Comme promis me voila sur les chemins du retour, la route est bien plus longue et tortueuse que je ne le pensais, mais elle se passe sans encombre, mes affaires qui m'avaient éloignes de rodez elles aussi ont été bien moins longues et tortueuses que je ne le pensais, mais cela fait partie des aléas de ma vie, de ma vie maintenant et ôte toi direct la pensée qui vient de t'envahir , tu n'aurais rien pu faire en cela ,au temps de notre rencontre, je crois en la vie , je crois au destin et je crois en la destinée,un jour une vielle folle a pris ma main, pour en trembler, et me sortir des mots tels que sang, trahison et le très haut, j'avais bien ri, je ne rie plus.
Ta douce chaleur me manque ce soir, tu ne peut pas savoir a quel point, et que nenni, ne souris pas, je ne parle pas d'amour,ni de sentiments, et encore moins de morveux braillant, je parle de vivre le moment présent.
Je crois que nous avons tous une route différente a travers le destin, a choisir, j'ai peut être eu maldonne en la choisissant, mais elle n'a pas de sens retour, je ne trouve pas le chemin de celle ci, et je ne sais pas lire les cartes de la vie.
Oui je crois en toi, et je crois en ma liberté, mes chemins de traverses ne m'apportent ni joie ni bonheur mais c'est ainsi que je les vit, tu es pour moi, un passage qui éclairent mes lunes de caprices,tu es pour moi la raison de ma lutte contre l'envie parfois de glisser sur la pente.
J'attend mon arrivée sur Rodez avec impatience, te sentir contre moi, et m'enivrer de toi,revivre encore...
Je porte ce mot en la confiance d'un volatile, en espérant qu'il sache ou te le remettre, je porte en mon cur une brèche, pour te permettre l'ouverture plus aisemment.
Sofio dame de Mercurol
'Mon tendre, mon cher, a toi
Comme promis me voila sur les chemins du retour, la route est bien plus longue et tortueuse que je ne le pensais, mais elle se passe sans encombre, mes affaires qui m'avaient éloignes de rodez elles aussi ont été bien moins longues et tortueuses que je ne le pensais, mais cela fait partie des aléas de ma vie, de ma vie maintenant et ôte toi direct la pensée qui vient de t'envahir , tu n'aurais rien pu faire en cela ,au temps de notre rencontre, je crois en la vie , je crois au destin et je crois en la destinée,un jour une vielle folle a pris ma main, pour en trembler, et me sortir des mots tels que sang, trahison et le très haut, j'avais bien ri, je ne rie plus.
Ta douce chaleur me manque ce soir, tu ne peut pas savoir a quel point, et que nenni, ne souris pas, je ne parle pas d'amour,ni de sentiments, et encore moins de morveux braillant, je parle de vivre le moment présent.
Je crois que nous avons tous une route différente a travers le destin, a choisir, j'ai peut être eu maldonne en la choisissant, mais elle n'a pas de sens retour, je ne trouve pas le chemin de celle ci, et je ne sais pas lire les cartes de la vie.
Oui je crois en toi, et je crois en ma liberté, mes chemins de traverses ne m'apportent ni joie ni bonheur mais c'est ainsi que je les vit, tu es pour moi, un passage qui éclairent mes lunes de caprices,tu es pour moi la raison de ma lutte contre l'envie parfois de glisser sur la pente.
J'attend mon arrivée sur Rodez avec impatience, te sentir contre moi, et m'enivrer de toi,revivre encore...
Je porte ce mot en la confiance d'un volatile, en espérant qu'il sache ou te le remettre, je porte en mon cur une brèche, pour te permettre l'ouverture plus aisemment.
Sofio dame de Mercurol
Et trouver le pigeon en toutes occasions ca elle avait appris comment faire, suffisait d'émettre un drôle de son en fermant la bouche et pinçant les lèvres, laisser passer du souffle, pour permettre un sifflement aiguë, et la bête apparait déjà, jeu d'enfant, plus facile que de pouvoir arriver a s'abandonner au sommeil.
Bientôt ses amis seront la, Polignac en force, sur rodez, pour eux aussi la capitale se dressera telle une inconnue a leur yeux, pour eux aussi ce sera le début de leurs aventures, et la fin du grand livre blanc.
La faim la tiraille et le froid se fait plus pressant, elle se colle contre le tronc de l'arbre, se protégeant du vent, tant pis elle fermera pas l'il et attend patiemment que la lune ait fini de se la péter la haut pour laisser place a la clarté, tôt demain matin elle reprendra sa route.
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