Breiz
Elle a guidé le blond à travers le hall d'entrée, dans les escaliers, vers l'aile droite du château, à travers les corridors. Pour finir par arriver dans leurs appartements.
Les malles sont déjà arrivées. La rouquine fait traverser le salon au géant, assez rapidement, puis le petit boudoir, aux murs encore nus, précisant que les tapisseries qu'elle veut acheter à Dijon sont pour cette pièce, avant d'arriver dans la chambre.
L'argent pétillant, elle pousse la porte, offrant à la vue du géant ce qui sera leur écrin. Parce qu'elle le sait, ils n'ont pas besoin de plus de place que l'immense pièce. La salle fait presque le double de l'espace qu'ils avaient chez elle, à Mâcon.
Sur leur droite, les fenêtres. Sur leur gauche, la cheminée, entourée, comme la rouquine aime, de profonds fauteuils et d'une table basse.Face à eux, le grand lit. Un appel. La rouquine n'a pas lésiné sur le confort de cette pièce, encore moins sur celui du lit. Elle a promis ses nuits au blond. Qu'elles soient de débauche ou de tendresse, le lit sera leur refuge. Draps soyeux, fourrures et édredons, elle a cassé sa tirelire pour eux. Il ne le sait pas. Elle ne le lui dira pas.
A leur gauche, la cheminée, encadrée de deux alcoves. L'une, la plus proche de la porte, est restée vide, elle y rangera peut être des coffres à vêtements, si leur garde robe venait à s'agrandir. L'autre, la plus proche du lit, renferme un petit lit, derrière des rideaux laissés ouverts. Au sol, en guise de descente de lit, de chaudes peaux de moutons.
Du regard, elle chasse les serviteurs qui ont apporté les malles, les remercie lorsqu'ils passent la porte, qu'elle referme derrière eux.
Elle sourit, timidement, au blond.
Alors? comment tu trouves?
Les malles sont déjà arrivées. La rouquine fait traverser le salon au géant, assez rapidement, puis le petit boudoir, aux murs encore nus, précisant que les tapisseries qu'elle veut acheter à Dijon sont pour cette pièce, avant d'arriver dans la chambre.
L'argent pétillant, elle pousse la porte, offrant à la vue du géant ce qui sera leur écrin. Parce qu'elle le sait, ils n'ont pas besoin de plus de place que l'immense pièce. La salle fait presque le double de l'espace qu'ils avaient chez elle, à Mâcon.
Sur leur droite, les fenêtres. Sur leur gauche, la cheminée, entourée, comme la rouquine aime, de profonds fauteuils et d'une table basse.Face à eux, le grand lit. Un appel. La rouquine n'a pas lésiné sur le confort de cette pièce, encore moins sur celui du lit. Elle a promis ses nuits au blond. Qu'elles soient de débauche ou de tendresse, le lit sera leur refuge. Draps soyeux, fourrures et édredons, elle a cassé sa tirelire pour eux. Il ne le sait pas. Elle ne le lui dira pas.
A leur gauche, la cheminée, encadrée de deux alcoves. L'une, la plus proche de la porte, est restée vide, elle y rangera peut être des coffres à vêtements, si leur garde robe venait à s'agrandir. L'autre, la plus proche du lit, renferme un petit lit, derrière des rideaux laissés ouverts. Au sol, en guise de descente de lit, de chaudes peaux de moutons.
Du regard, elle chasse les serviteurs qui ont apporté les malles, les remercie lorsqu'ils passent la porte, qu'elle referme derrière eux.
Elle sourit, timidement, au blond.
Alors? comment tu trouves?
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