Breiz
Nom de Dieu, il va pas réellement baisser ses braies dans le boudoir, le Théo, si?
Elle lève une fraction de seconde les yeux au ciel, demandant mentalement pardon au Très Haut d'avoir blasphémé. Ou juste pour éviter de rougir trop vite.
Regard à nouveau planté dans la Nuit, se concentrant pour avoir l'air indigné, alors qu'un terrible fou rire comprimait son ventre. Index menaçant, elle lance :
Je t'interdis de poser ton fessier non couvert sur mes fauteuils, tu m'entends?!
Cependant, l'idée de ce fier bourguignon, censé être sur de sa valeur, de sa noblesse, et même de son charme, vu le nombre de conquêtes féminines qu'elle lui connait, est prêt à dégainer son mètre de couturière pour confronter sa virilité à celle du blond, est tout simplement... hilarante, pour la femme qu'elle est. Non, décidément, elle ne comprendrait jamais l'amour propre que les hommes se trouvaient, aussi bas...
Réprimant de plus en plus difficilement un éclat de rire, elle se détacha des bras du géant, murmurant légèrement : je reviens, comme pour rassurer le géant, ou elle même. Elle se dirigea vers un des coffres de bois déposé au petit bonheur dans la chambre, et l'ouvre, pour y fouiller quelques instants.
Se redressant, elle jeta un regard dans la cour, par les fenêtres, essayant de se fabriquer un visage sérieux. Puis, elle retourne vers les deux coqs, pardon, les deux hommes se jaugeant dans l'arène qu'était devenu son écrin de douceur.
Visage on ne peut plus sérieux, elle tendit à Théo son mètre ruban.
Tiens, prends le, on en a pas b'soin nous. Connais déjà bien mon sujet.
Elle lève une fraction de seconde les yeux au ciel, demandant mentalement pardon au Très Haut d'avoir blasphémé. Ou juste pour éviter de rougir trop vite.
Regard à nouveau planté dans la Nuit, se concentrant pour avoir l'air indigné, alors qu'un terrible fou rire comprimait son ventre. Index menaçant, elle lance :
Je t'interdis de poser ton fessier non couvert sur mes fauteuils, tu m'entends?!
Cependant, l'idée de ce fier bourguignon, censé être sur de sa valeur, de sa noblesse, et même de son charme, vu le nombre de conquêtes féminines qu'elle lui connait, est prêt à dégainer son mètre de couturière pour confronter sa virilité à celle du blond, est tout simplement... hilarante, pour la femme qu'elle est. Non, décidément, elle ne comprendrait jamais l'amour propre que les hommes se trouvaient, aussi bas...
Réprimant de plus en plus difficilement un éclat de rire, elle se détacha des bras du géant, murmurant légèrement : je reviens, comme pour rassurer le géant, ou elle même. Elle se dirigea vers un des coffres de bois déposé au petit bonheur dans la chambre, et l'ouvre, pour y fouiller quelques instants.
Se redressant, elle jeta un regard dans la cour, par les fenêtres, essayant de se fabriquer un visage sérieux. Puis, elle retourne vers les deux coqs, pardon, les deux hommes se jaugeant dans l'arène qu'était devenu son écrin de douceur.
Visage on ne peut plus sérieux, elle tendit à Théo son mètre ruban.
Tiens, prends le, on en a pas b'soin nous. Connais déjà bien mon sujet.
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