Breiz
D'une main, elle saisit la mâchoire du géant, le force à la regarder. Pénètre l'Azur, impérieuse.
Je t'interdis. Je t'interdis d'avoir honte. C'est ainsi que je t'aime.
Lentement, la main imposante se fait caressante, apaisante, glissant dans les blés, alors que toujours, les hanches soudées remuent de concert. Du bout de l'index, elle suit la ligne de sa mâchoire, modèle son épaule, avant de se faufiler jusqu'à la ligne argentée, la suit.
N'aies plus jamais honte, mon amour.
Les mouvements s'amplifient, sans rompre la régularité. Elle sourit au blond, languide, avide, son ventre se contractant lentement, à mesure que le plaisir se diffuse, s'amplifie. Pour finir par exploser en une infinités de gouttes brûlantes, se répandant dans la moindre parcelle de son corps. L'argent rivé aux Azurs, elle ne lui en cache rien. Vois, vois ce qu'il se passe, vois ce que tu fais de moi.
Elle se redresse, lentement, sans arrêter l'ondulation de ses hanches, et délace la lourde robe de lin noir. Lentement, regard toujours vrillé dans l'océan, elle tire sur les lacets de cuir, dévoilant une épaule lorsque le tissu lâche glisse. La robe est passée par dessus sa tête, en même temps que la chaisne, et laissée choir sur le coté inoccupé du lit.
Elle s'offre, nue jusqu'aux cuisses, ou un ruban azur retient chaque bas.
Je t'interdis. Je t'interdis d'avoir honte. C'est ainsi que je t'aime.
Lentement, la main imposante se fait caressante, apaisante, glissant dans les blés, alors que toujours, les hanches soudées remuent de concert. Du bout de l'index, elle suit la ligne de sa mâchoire, modèle son épaule, avant de se faufiler jusqu'à la ligne argentée, la suit.
N'aies plus jamais honte, mon amour.
Les mouvements s'amplifient, sans rompre la régularité. Elle sourit au blond, languide, avide, son ventre se contractant lentement, à mesure que le plaisir se diffuse, s'amplifie. Pour finir par exploser en une infinités de gouttes brûlantes, se répandant dans la moindre parcelle de son corps. L'argent rivé aux Azurs, elle ne lui en cache rien. Vois, vois ce qu'il se passe, vois ce que tu fais de moi.
Elle se redresse, lentement, sans arrêter l'ondulation de ses hanches, et délace la lourde robe de lin noir. Lentement, regard toujours vrillé dans l'océan, elle tire sur les lacets de cuir, dévoilant une épaule lorsque le tissu lâche glisse. La robe est passée par dessus sa tête, en même temps que la chaisne, et laissée choir sur le coté inoccupé du lit.
Elle s'offre, nue jusqu'aux cuisses, ou un ruban azur retient chaque bas.
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