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[RP] Voyage épique pour annoblissement caractérisé

Guilhem*
Préparation en tout genre, air pensif du Guilhem qui se mire dans la glace de la piéce qui lui servira apparemment de Chambre. Spacieuse et bien décorée, Le jeune homme avait pourtant eu une pincée de regret en voyant cette pièce, appelant d'autre souvenir bien plus fort à Margency et Montmorency ... Si longtemps qu'il n'y avait été, et cela aurait été la prochaine étape de son voyage, en passant à Limoges voir sa Marraine, s'il n'y avait pas eu ... Amberle... Et le théâtre rajouta-t-il après un moment de réflexion amusé. Il tapote doucement de ses doigt sur le bureau, ils étaient pressé apparemment, aussi le jeune homme s'était rapidement habillé de ses affaires sans perdre de temps.

A travers le miroir, un jeune homme roux lui rendant un regard malicieux, et dans ses yeux bleu irisés délicatement brillaient doucement une lueur insoupçonnée, flamboyante peut être tout simplement. Il esquisse un sourire un peu assuré et un clin d'oeil compliqué avant de vérifier que sa tignasse rousse soit assez présentable.
Il fallait dire que le bain avait fait du bien, délassé, nettoyé de toutes les poussières et autres, lui avait remit un peu les idées en place ... Muscles reposés, il hausses des épaules, vérifiant que plus aucune douleur a l'omoplate venait lui rappeler de mauvais souvenirs. Dans le miroirs sur son épaule il avait pu observer les trois cicatrices claires et sombres et surtout grossière, jurant sur la peau du jeune homme.

Dans la glace, il pouvait observer aussi sa tenue, un pourpoint élégant en teinte bleu sombre pour s'accorder a l'azur brillant de ses yeux, reste de la tenue dans les bleu, le noir et les sombres faisant ressortir agréablement sa chevelure rousse mi-longue. Tenu simple, et discrète mais qui sait mettre en valeur les traits fin du jeune homme. D'un geste souple il se détache de la contemplation du psyché pour se diriger vers la porte, la cérémonie commençait et il n'était pas du tout en retard, juste pile à l'heure. C'était pas de sa faute s'il y en avait qui était en avance, non mais ?

À l'entrée un serviteur, qui lui demande qu'il doit annoncer, Guilhem sourit amusé et hésite, puis se décide pour qu'il n'annonce personne, pas besoin de cela, d'ailleurs il ne devait même pas être sur la liste des invités officiels, alors autant ne pas gêner. Il était la pour et par Amberle, c'était convenu les deux ne l'oublieraient sans doute pas ... Pour une fois, il ne prête pas attention à sa démarche qui est habitué a ce genre de réception. Démarche souple, un peu discrète et assurée , qui jure un peu avec l'air timide qu'arborait parfois le jeune homme. Mais ceci était une chose, et la timidité avec ceux et celle qu'il aimait était une autre. Après tout, il était habitué à se comporter dans ce genre de contexte ... Ce n'était pas si différent du théâtre, sauf qu'il était bien lui, simplement un peu plus assuré.

Le jeune homme défile parmi les convives, salut d'un signe de tête chaleureux et d'un sourire aimable ceux qu'il connaît, d'un air un peu pensif se mettre dans un coin, pour comprendre l'agencement de la pièce et la répartition un peu chaotique des invités. Sourire amusé et insouciant après quelques instant, La Johanara et Apolonie, radieuse toutes les deux, recupérant un peu la gloire de l'instant même si cela serait plus fort après, peut être plus solennel aussi, Guilhem commençait a comprendre comment cela marchait ... La un Maleus qui a fait un effort de tenue et d'élégance évident, mais qui semble un peu engoncé dans sa propre tenue sur mesure et un peu dépité semble-t-il, étrange ...
Non loin, une femme brune qui arrive en claudiquant, reconnaissant une des personnes dans le carosses de plus, temps de faire connaissance plus tard peut être.

Voir non loin Amberle accueillir un ami de long date à la mode berrichonne semblerait-il, par contre, en portant un regard un peu plus critique de ses yeux bleus azurés et pensif, sourire un peu amusé, sembler peut être, un soupçon de reconnaissance d'une personne dont elle lui a parlé dans une lettre et de hausser des épaules. Sourire pensif, le jeune homme s'avance un peu vers son Amberle, sans gêner, et observer les alentours, chercher une conversation ou venir voir Amberle si elle le veux ... ou elle viendra le voir dés qu'elle le voudra.
Oh .... et puis ... Il était peut être temps de faire quelques test, voyant que l'accolade est finie, Guilhem s'approche d'eux, alors que la cérémonie va commencer dans quelques minutes. Sourire aimable qui étire ses lèvres, éclairant son visage. Attendre qu'ils aient finit de parler, du moins une pause, et s'insérer dans la conversation.

«Salutations, messire ... ? enchanté de vous rencontrer en tout cas. Je suis Guilhem ...
Bonjour à nouveau, Amberle ... je ne te dérange pas ? Au fait .. Je crois que cela ne va pas tarder à commencer ...  »
Lui adresser un sourire éclatant, un peu tendrement ..., à son Amberle... Mais aussi timidement, ne voulant pas déranger du tout ... Mains qui vient effleurer presque inconsciemment celle de la brune ...
Martymcfly
Le carrosse avait pénétré dans la cour intérieure du castel de Lignières et le Duc était descendu et attendait patiemment le retour d'une servante.

Tête couronnée d'une Baronne qui se présente alors.


Mes hommages vostre Grâce. Soyez le bienvenu. Je suis la maistresse des lieux , Johanara d'Ambroise , future suzeraine d'Apolonie qui je suppute est la cause de votre présence ici puisque je n'ai point l'heur de vous connaître. Veuillez me suivre je vous prie et n'hésitez pas à demander si vous avez besoin de quoi que ce soit, mes gens sont à votre disposition.

Le Duc incline la tête et se joint à la ravissante Baronne.

Je vous remercie pour votre accueil Baronne. Cela avait le mérite de réconcilier un peu le Duc avec le Berry. Je suis ravi de vous rencontrer, croyez le. En effet, vous supputez bien la raison de ma venue en votre castel, fort beau d'ailleurs. Vos maîtres d'oeuvres ont fait un splendide travail.

Quelques pas en direction d'une salle et Apolonie est en vue.

Voilà tellement longtemps qu'ils ne se sont vus... A quand cela pouvait bien remonter ? Peut-être à la Chancellerie ? Sûrement là bas oui. Il s'empressa de venir féliciter la future anoblie.

Baiser, pas encore celui de paix, sur la joue.


Apo ! Que je suis heureux de te voir. La reluquant. Surtout dans cette tenue. Tu vas faire fondre plus d'un Vicomte dans cette robe. Clin d'oeil. Tu as fait bon voyage toi ? Et mon fils ? ton filleul n'est pas encore arrivé ? Et..

Beaucoup de questions, tant à dire, tellement de temps à rattraper... Il lui sourit, lui laissant finalement un moment pour trouver quelques réponses.

La cérémonie allait commencer, le Duc arrivait donc à temps. Ouf ! Visiblement la Baronne ne savait pas trop comment faire pour procéder. Le Duc, coutumier de ce genre de protocole aurait bien apporté son aide. Le Héraut allait probablement prendre la parole.

_________________
Garanhir
le voyage est à la hauteur de ses espérances. Il suit Nimrodor et Bettym presque sagement. Les lieues défilent, son regard papillonne sur les paysages. Ebahi le gamin. Et fier... Impatient aussi. Il trépigne à chaque fois que le tavernier décrète le campement pour la nuit... Mais c'est avec bonne volonté qu'il se plie à la corvée.
Les yeux brillants il regarde Nimrodor distiller les explications, admiratif. Le moulinois a une emprise sur le môme qu'il ne devine qu'à peine. Le petit noble ramasse du bois avec entrain, en semant peut être plus derrière lui qu'il n'en ramène au camp. Mais personne ne peut douter de son enthousiasme. Il sautille, court, s'arrête dès que Nimrodor ouvre la bouche, pour reprendre ensuite la turbulente activité d'un gamin.

Une rencontre improbable et impromptue. Un animal fier et fin, aux pieds minuscules, à se demander d'où la biche tient son équilibre et son agilité. Le tavernier, tel un chef scout avant l'heure, lui apprend comment l'observer sans la faire fuir. Puis à allumer le feu. Les pommettes rouges de fierté et d'effort, il sourit à la promesse de pouvoir le faire lui-même le lendemain. En attendant les quenottes se plantent allègrement dans une des miches de pain apportées par Nim.
Puis un baillement lui décroche la machoire et la lune va bercer de doux rêves enfantins peuplés d'oies et autres volatiles. (oui bon ben c'est pas moi qui décide hein ! Il rêve d'oies, j'y peux rien...) Les premiers rayons du soleil viennent titiller les petites paupières et déjà on retrouve le gamin sur ses pieds. Bien sur, la première chose qu'il fait, c'est chercher à réveiller son mentor.
D'abord il saute à cloche pied autour de lui, il souffle dans son oreille, mais ne récolte qu'un ronflement agacé. Alors il emploie la manière forte et le bruit de la cuillère contre la casserole. Tout fier de sa plaisanterie gluante, il en fait profiter Nimrodor à sa manière.


Désolé, m'sieur Nimrodor. Pas fait exprès

Et de se dandiner d'un pied sur l'autre, la fossette creusée par le rire qu'il réprime. Il obéit immédiatement, léchant la joue de la moulinoise pour la réveiller, riant en s'échappant jusqu'à la carriole.
La journée file au rythme d'un babillage concentré pour ne pas décevoir le tavernier, et puis enfin il fait ses preuves en allumant le feu. Bon, un peu aidé par Bettym...Mais c'est lui l'homme, alors c'est qu'a fait le plus. Et toc.
La nuit se passe... Sous les paupières closes, se sont cette fois des fruits qui dansent dans ses rêves. (C'est un gamin bizarre, y'a qu'à voir qui sont ses parents hein...)

Le réveil est d'une autre trempe. Un seau d'eau... Et une blague de Nimrodor. Comment lui en vouloir ? Il note plutot l'idée dans un coin de son crâne. C'est Sauva qui y goutera plus tard. Et ils reprennent la route. Bientot ils arrivent enfin en vue du domaine. Wouaaaaaaaaahouuuu ! C'est vachement beau Lignières dites donc ! Dire que Môman et Pôpa lui ont jamais montré leur domaine encore...
Garanhir en reste comme deux ronds de flanc. Mais il se reprend vite, le petit Fils de Duc. Et les épaules droites, il fait son petit chef, obligeant Bettym et Nim à le suivre pour ne pas le perdre de vue.

Ce qui l'arrête ? Le bas de l'escalier, dans le hall, quand il voit de ses grands yeux ahuris les plus belles femmes qu'ils avaient jamais vues. Bon faut dire à sa décharge qu'il est jeune, et qu'il avait pas encore eu l'occasion d'aller dans des cérémonies où les dames s'apprêtent. Il en baverait presque. La robe verte de la dame aux cheveux orange scintille... Mais c'est sur la dame en bleu qu'il reste bloqué. Elle est simple, elle est sobre... Pas de chichis. On peut lire dans ses yeux, sur ses traits, la souffrance et la douleur mêlées à la joie et au plaisir. Elle n'est pas belle... Mais touchante.
Un pincement de reconnaissance. Ça doit être elle. ce ne peut qu'être Elle. Sa marraine. Apolonie. Il répond à l'air dubitatif par un sourire presque timide. Ce qu'il est fier soudain. Plus pour lui, mais pour elle.
Il glisse sa menotte dans la pogne de Nimrodor, le suivant dans la grande salle où se déroulera la cérémonie. Ce matin, ils ont enfilé avant d'arriver leurs tenues les plus correctes. Et le petit noble tente de bien se tenir.
Il ne veut pas faire honte à sa Marraine ni à... son père ! Par Aristote ! Il va se faire tuer. Sans lâcher le tavernier, il se décale un peu pour se planquer.
C'est qu'ils n'ont pas vraiment prévenu...
Apolonie
[Dans la grande salle... ]

Tout s'enchaine. Les gens arrivent, se placent. Les pupilles azurées ont du mal à suivre le mouvement. La tête lui tourne un peu tandis qu'elle essaie de se concentrer sur ce qu'elle aura à faire. Mais déjà la maîtresse des lieux s'enfuit, après avoir reçu message d'une soubrette. Moue dubitative. Apolonie en profite pour balayer du regard l'assistance qui se forme. Sourire qui étire le coin des lèvres, alors que l'iris caresse tour à tour ses amis.

Flattée par leur venue, elle sent les papillons vriller son ventre. D'un regard tendrement amusé, elle observe Maleus, dans un coin, bien habillé, pour lui faire honneur. Mal à l'aise le libertadien... Elle le comprend. Se souvient des premières cérémonies où rougissante elle devait se rendre quand elle a été nommée ambassadrice. Gênée dans les robes qu'on lui prêtait, elle ne savait se mouvoir, ni se placer. Comme son grognon elle se calait dans un coin. La petite ambassadrice avait bien grandi, mûri, vécu depuis cette époque.

Entre la jeune demoiselle timide de l'année dernière, et la jeune femme sûre d'elle qui se tient droite aujourd'hui dans cette salle, un fossé s'est creusé, à l'aide deuils, de cicatrices, d'amitié en renforcement continuel. Découvertes, rencontres, pertes, déchirements... Entre chez elle où son âme réside, à Moulins où son premier amour est enterré, et son groupe, son armée, ses amis... qu'elle a suivi à travers tout le royaume, aux côtés desquels elle a souffert, gouté du métal froid en elle, mais avec lesquels elle a appris à se connaitre. A s'affirmer.

Aujourd'hui Apolonie est elle-même... Sa part de douleur remisée dans un demi sommeil depuis sa blessure, la joie que de nouveau elle laisse effleurer son âme, le plaisir de sourire sans arrière-pensée. Être juste bien, au milieu de tout ce petit monde hétéroclite. Du coin de l'oeil elle aperçoit Ayerin. A peine un sursaut de surprise. Voilà qui ressemble bien à la 'tiote de se radiner comme ça. Nulle invitation lancée auprès de Zoko, viennent ceux qui veulent. S'étonne de ne pas voir sa Lune, mais d'après son doc, elle est souffrante... Léger soupir qui s'échappe d'une gorge qui se serre d'inquiétude. Il faudra prendre des nouvelles. En attendant elle glisse sur le sol jusqu'à Aye, profitant de l'absence momentanée de Jo. Lui glisse à l'oreille:


Alors Catherine, les cérémonies te manquaient ? Sourire amusée, clin d'oeil claqué, complice. C'est pour faire un rapport à ton bô-p'pa ? Tu lui diras que je me suis bien tenue ?

Elle ébouriffe les cheveux déjà franchement emmêlés de la jeune fille, sachant qu'elle déteste ça. Puis la belle rousse revient. Un chuchotis à l'oreille...

Tu en veux une bonne? Il n'y pas de serments types ! Enfin d'après ce bourricot de héraut! Et je raconte quoi moi hein?? Je ne vais pas inventer tout de même! Je sais juste que tu dois t'agenouiller!

Réponse immédiate, murmure presque rieur tandis que l'auvergnate explique en quelques mots ce qu'elle a révisé sur le chemin. C'est ça de ne pas voyager avec un coq, on peut se concentrer. Et l'azur se pose sur celui qui suit sa future suzeraine. Un baiser, une étreinte brève pour ne pas froisser la robe. Les questions se bousculent entre eux, jusqu'à se téléscoper, broyant au passage quelques réponses.

Apo ! Que je suis heureux de te voir. Surtout dans cette tenue. Tu vas faire fondre plus d'un Vicomte dans cette robe. Tu as fait bon voyage toi ? Et mon fils ? ton filleul n'est pas encore arrivé ? Et..


Quel plaisir de te voir Ta Grasce mon ami ! Lève les yeux au ciel, réprimant une envie de lui tirer la langue. M'enfin ! Je ne cherche pas de vicomte ! J'en ai connu un, le meilleur... Et qu'il soit vicomte était presque un handicap... Le voyage ? Epique... Jette un oeil à la troupe réunie, tu verras qu'il ne pouvait pas en être autrement ! Ton fils ? Je crois l'avoir aperçu tout à l'heure entre Bettym et Nim qui ont fait le déplacement...

La jeune femme dont les pensées ont si souvent été si noires ces derniers mois a du mal à contenir sa joie. Plaisirs simples que la vie parfois vous réserve comme pour appliquer un baume sur les plaies. Et se laisser aller à la félicité du moment... Avant de réaliser que déjà il faut rejoindre Johanara. Attendre qu'elle prononce ces quelques phrases qui les lieront à jamais d'un lien fort et indissoluble. A l'image de leur amitié.

Apolonie attend que le calme se fasse, et après avoir salué d'un sourire la belle rousse, jeté un oeil au héraut pour vérifier qu'il était encore réveillé, elle entame une révérence à la mode consulaire, qu'elle achève, au lieu de se relever, par un genou au sol. Elle baisse la tête, laissant les mèches échappées de son chignon caresser ses joues rosies, et calmement, attend la suite.

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Amberl
Toujours partante pour boire une BUG, Val'.

Sourire complice de deux ivrognes notoires. Ou d'une poivrotte en tout cas. Le roux se ramène, tendrement, menotte emprisonnée dans la sienne. Amberle fait les présentations, rapidement, et va se caler dans un coin de la salle, proche du frangin. Croisement de regard, c'est pas vrai que ce crétin des alpes s'imagine autre chose qu'une amitié envers Valric ... Alalaala.

Secouer la tête, nom d'une pipe, si elle ne peut plus bisouiller les gens à sa manière, où va le monde.

Amberle s'installe tranquillement, regarde le monde s'agiter, et sourit aux nouveaux, esperant que Valatar pointe sa frimousse ici. Hâte de le retrouver.

Concentration sur la cérémonie ... Le grand moment est arrivé.


(dslée, pas le temps)

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Mourir pour des idées, d'accord, mais de mort lente ... Ou pas.
"Y a Amberle, une vraie perle"
---- Rajoutez le "e" final à Amberle pleaze ----
Johanara
Sa douce Apolonie était à présent agenouillée sur les sols de la grande salle.

Etrange et amusant à la fois. Nul ne s'était jamais mis à genoux devant elle , exepté pour la demander en épousailles. Et à chaque fois les promesses s'étaient évaporées et les fiançailles brisées...

Mais ce serment là serait éternel , les prunelles émeraudes se perdirent dans l'azur et les deux jeunes femmes restèrent un instant immobile.

L'air marmoréen d'une statue antique , les traits paisibles et doux d'une femme qui sait qu' elle ne fait pas fausse route , Johanara prit doucement les mains de sa confidente dans les siennes. Elle prit une légère inspiration : prendre son temps , mesurer ses paroles , lui montrer combien elle l'aime et combien elle se réjouit :


Apolonie, ma douce amie,acceptez-vous les terres d'Orval sises en nos terres de Lignières ? Jurez-vous d’assurer protection, justice et subsistance aux habitants de ce fief ? Jurez vous de nous assister , de nous conseiller , et de nous être fidèle envers et contre tout?


Une lueur amusée s'alluma à ses iris , la Baronne espèrait qu'Apolonie serait plus fidèle et plus honnête que les hommes qu'elle avait aimé...

L'étreinte de ses mains se fit plus forte et un sourire radieux éclaira son ravissant minois parsémé ça et là de légères tâches de rousseur.

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Apolonie
Le genou transmet à travers le fin tissu de la robe la fraicheur du sol à l'ensemble du corps. Mais ce n'est pas ce froid qui fait naitre la chair de poule sur les bras de la jeune consul. C'est l'émotion qui charge ce moment d'une intensité particulière. Autour d'elles, elles n'entendent plus, seul compte ce contact de leurs mains, l'enchevêtrement des pupilles, et les mots qui entre la suzeraine et la vassale flottent comme pour imprégner l'engagement d'une solennité singulière.

Apolonie serre les mains qui entourent les siennes, soutient tendrement le regard qui se pose dans le sien, et intègre les paroles rituelles. Elle repasse dans la tête les moments partagés avec la jolie rousse, la rencontre, l'amitié, les confidences qu'elles partagent... Les rencontres improbables, les rires... La brunette prend une profonde inspiration, entrouvre les lèvres, et répond d'une voix douce mais claire:


Ma belle Johanara, ma chère amie, ma douce suzeraine, j'accepte les terres d'Orval, sises en votre baronnie de Lignières. Je jure d’assurer protection, justice et subsistance aux habitants de ce fief . Je jure de vous assister , de vous conseiller , et de vous être fidèle envers et contre tout.
Cet engagement est indissoluble et représente beaucoup pour moi. Je vous remercie, ma suzeraine, de la confiance que vous placez en moi.


Son sourire radieux s'en va rejoindre celui de la rousse. D'un pétillement azur, elle attend que la belle la relève. Voici venu le temps de clore la cérémonie, et de se retrouver face à face, dans un moment d'intimité vassalique. Apolonie ne voit rien de ce qu'il se passe autour, tant le moment revêt d'importance. Il sera temps ensuite de profiter des gens présents, puisque viendra le tour de Valric de recevoir ses terres.
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Ayerin
[Dans la salle ... et son coin]

Ayerin était toujours dans le fond, dans son coin, loin de tous... elle se livrait à l'étude, une étude pleine d'envie mais surtout nécessaire... nécessité pour eux enfin ceux de la famille qui restaient présent malgré l'éloignement au creux de son sein, de ses sens ou qu'elle soit et quoi qu'elle fasse.
Et malgré ce qui pouvait la lier à la rouquine et à sa presque bientôt vassale, Dame de machin d'la chose, étudier le faciès et les richesses n'était pas interdit, l'étude est un bien lui avait-on bien souvent répéter... donc, si ils venaient a manquer et le besoin était toujours présent, icelieu ou en d'autres lieux, elle trouverait alors matière selon la prestance de cette noblesse au différent blason et présente en cette occasion, afin de garnir leurs bourses en d'autres temps, bourses soit disant passant bien vides à présent ... pis n'est-il pas plaisant de joindre l'utile à l'agréable !

Un œil avertit en vaut deux ...
Et ce n'était certes pas l'tonton qui lui dirait l'contraire ... le dit tonton qui se plaça tout comme elle loin de tout ce très beau monde ... mais laissant sans doute trainer l'œil...pis lui en restait plus qu'un alors il ne pouvait pas faire mieux !

Faire un état des lieux... "hum!"
Concernant la rouquine, l'affaire serait bientôt réglée ... mais seul'ment pour son bien être ... car l'extirper de ce foutoir ne pouvait la rendre que plus étourdissante ... l'étude des uns et des autres repris, chaque détail prenait son dessein, même la future vassale passa au crible, et même si depuis l'andalou, elle la considérait comme sa bel'môman,... ne rien laisser au hasard ... Devise pertinente !

Puis son regard se porta ensuite et bien malgré elle, sur ce tout puant au fond'ment bien calé sur le sol et qui d'une patte endiablée s'grattait à s'en décoller le poilu, dit poilu qui volait de-ci, de-là sur les belles défroques, enfin les beaux apparats de cette belle assemblée ... et soudain, le clebs perdit patience et fondit comme un beau diable en un lieu qu'Ayerin ne chercherait même pas à connaître !

Ma Dame , le Duc du Bourbonnais-Auvergne est arrivé.

Ces paroles ne laissèrent pas indifférentes la ptiote qui zieuta vers celui que l'on venait de nommer... L'Auvergne en v'la un de Duché qui ne cessait de venir ronronner à son oreille, entre la bel'm et celle,...enfin celle qui depuis quelques temps lui noue ce qu'il est possible de nouer dans l'esprit d'un chien fou tel que le sien, et qui... Alors Catherine, les cérémonies te manquaient ? ... sursaut jusqu'à se rasseoir plus dignement sur son assise, ce nom... quelle tuerie intérieure, son esprit cavaleur reprit alors conscience du lieu ou elle se trouvait ... elle leva un regard noir, chargé de mépris sur la vipère qui avait osée ... et la vit, elle, dans un tel déguis'ment qu'elle laissa sa colère au jardin des sales mômes et lui offrit un joli sourire à la place ... Puis se ravisa, quand elle vint lui mettre la pagaille dans sa si belle coiffe jusqu'à y mettre un dawa pas possible ... comme si ça pouvait l'étonner qu'elle vienne vers elle avec de bonnes intentions ... haussement d'épaules ... tirage d'une bavette en s'fichant bien du qu'en dira t-on ...

Ben si j'avais su, je serai pas v'nu ! Replace bougon ses tifs à leur place ...
Et t'sais quoi, ben je lui dirais ce que j'veux au Bôpa ... et même ... Ayerin s'mordit soudain la lèvre inférieure préférant en rester là de ce qu'elle avait envie de lui dire ... surtout que la rouquine venait de faire son apparition auprès d'Apo et qu'la p'tiote la craignait la Baronne à certain moment ... une moue sur le visage, elle préféra s'enfoncer sur son siège et attendre que l'temps passe ...

Et c'est alors que tout s'enchaina ... La cérémonie commençait ... ...
---fromFRNeils
[Grande salle]

Quarante-deux…, quarante-deux jour que la missive d’Apo l’invitant à la rejoindre à Labrit lui était tombée dans les mains.
Le matin du 2 juillet 1456, il errait encore dans les ruelles miteuses de Sarlat, et aujourd’hui, au milieu de tout ce faste, de cette agitation…, une bouffée de nostalgie envahit le corps du jeune écuyer lui rappelant comme un violent coup de poings dans le ventre ses nobles origines.
(Prend une grande inspiration).

Se ressaisissant sans grande peine, il poursuit son observation des lieux, sourire aux lèvres et regard contemplatif. Admirant par ci les magnifiques toilettes des unes, et par là les différents comportements des autres.

Marche lente et discrète parmi les convives, Amb semble avoir retrouvé un ami ; Maleus gardant l’œil sur sa sœurette a trouvé un coin pour se posé; la baronne s’agite dans tous les sens, amusé Neils attend le début cérémonie.

Silence, l’assemblée se resserre, Apo s’avance, entame une révérence et pose un genou sur le sol.

L’écuyer est là, les yeux rivé sur l’événement, concentré, il écoute les promesses prononcées par la maîtresse des lieux, Baronne de Lignères.


Apolonie, ma douce amie, acceptez-vous les terres d'Orval sises en nos terres de Lignières ? Jurez-vous d’assurer protection, justice et subsistance aux habitants de ce fief ? Jurez vous de nous assister, de nous conseiller, et de nous être fidèle envers et contre tout?

Il retient sont souffle suspendu aux lèvres de Dame Apolonie.
Johanara
Les paroles d'Apolonie la remplirent d'allégresse. Elle se surprit à trembler imperceptiblement. Pour sûr ce moment resterait à tout jamais ancré en sa mémoire.

Les mains fines de la damoiselle d'Ambroise vinrent doucement trouver les bras de son amie et l'aidèrent à se relever . Ses yeux se firent limpides et elle posa tendrement ses lèvres pleines et vermeilles sur celle d'Apolonie. Baiser vassalique , serment éternel , le coeur de la Baronne battait à tout rompre:


Nous , Johanara d'Ambroise , au nom des terres de Lignières, vous accordons protection, justice et subsistance, pour les terres d'Orval dont l’octroi vous est fait ce jour. Soutenons nous l'une l'autre et que toujours perdure notre grande amitié.

La Baronne lui remit alors une dague ,finement ouvragée , un véritable bijou d'orfévrerie portant les armoiries d'Orval. Elle ajouta , ne la quittant pas des yeux :

Puisse cette dague vous protéger et vous rappeler vos devoirs mon amie.

Trop démotions. Il lui fallait une coupe de bon vin! Etreignant Apolonie avec douceur , elle la prit par le bras et l'entraîna vers quelques plateaux qu'arborraient les domestiques.
_________________
Maleus
[Grand' salle et bla bla]

Le temps avance, les gens sont presque tous dans la grande salle.
Mal' zieute les invités... des inconnus, des connaissances, des amis bref une bonne petite clique de gens.
Petit baillement discret du grognon juste avant que la rouquine et la belle commence leur bla bla d'annoblissement.
Il ecoute, boit les paroles, repense à son propre annoblissement par le vicomte de Graçay et du plaisir qu'il a ressenti en devenant vassal de cet homme en qui il avait enormement d'éstime...

Petit soupir, c'est le moment...

Il se leve discretement, attrape un valet par la manche et lui chuchotte quelques instructions...

"Donne ceci à la belle Apo...pas besoin de lui dire de qui cela vient..."

Ceci fait il lui confia un bouclier sur lequel etait gravé un belle rose noire, symbole favori de Maleus...puis un petit message.

Citation:
A la plus belle des dames,
Promesse d'amour non oubliée...

Amicalement et plus,

L'grognon.


Puis le grognon s'en alla...il etait comme ça...incapable de rester longtemps...surtout quand cela lui tenait à coeur.

[Serment d'allégeance fini.]

Le valet attend...chargé par ce bouclier à la rose incrustée...
Les derniers mots sont échangés entre la suzeraine et sa vassale, il peut donc se debarasser de ce cadeau pour le moins...encombrant.

"Dame...Dame... Un messire m'a dit de vous donner cela une fois votre annoblissement terminé..."

L'air géné il tend le bouclier ainsi que le petit mot et attend que la demoiselle veuille bien se saisir du cadeau...

_________________
Maleus de Dampierre en Graçay dict la rose noire
Ysandre
Qui donc s'était aperçu de son absence ?
Sanguienne, ces retards devenaient coutume, hélas.
Apolonie s'adressait déjà à sa suzeraine quand Ysandre pénétra aussi silencieusement que se peut dans la pièce jà encombrée pour l'occasion.

Le temps n'avait en rien altéré ni joliesse ni pétulance chez les deux jeunes femmes et elle se réjouissait prou de les revoir enfin, attendant le moment où égoïstement, elle resterait bec à bec avec elles et leur prodiguerait mille tendres brassées.
Prenant son mal en patience, la Duchesse de Berry, contrefeignant une attentive écoute, posa ses mains l'une sur l'autre et se tient coite, le parpal gonflé tant d'émotions que de longs soupirs silencieux..
Où se tenait donc le valeureux?
Ysandre tenta rapidement de le situer parmi toutes ces personnes sans parvenir à le retrouver, cependant, se tenant fort en arrière de l'assemblée, l'affaire n'était guère aisée. Elle abdiqua.
Après tout, le vif jeune homme serait à son tour au centre de la cérémonie et elle ne manquerait pas de le voir, tout sourire et torse bombé.
Ah ! Mais nombre des invités n'étaient pas inconnus à ses yeux!
A la vue de tant de visages si familiers, Ysandre ne put que se ramentevoir d'heureux jours du temps jadis, le temps de la jeunesse, de la quiétude et de l'insouciance qu'elle évoqua en son for avec émeuvement.
Qu'étaient donc devenus les colombins d'alors ?



Herishef
Des pas rapide en approche, un bâton dresser dans une main.
Un couinement retenti, Le coup est sec sur l’arrière train.


KAAaaaaaaaïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïï


Traîner toute la journée, l’aventure chaque matin renouveler. Explorer chaque lieu que le flaire débusque, suivre inexorablement les senteurs alléchantes, en savourer les trésors appétissant. En quête de tout ce qui peut être digéré. Etre mal venus en toute circonstances, chasser des poulaillers, expulser des chaumières, déloger de son vieux tonneau, le chien toujours gambade d’un pas alerte. Prendre des coups, et ce gratter, ce gratter encore et sans cesse. Les puces se nourrissent sur le dos poisseux du vagabond à quatre pattes.
Ainsi va la vie pour lui, mais jamais n’abandonne…
Apolonie
Des bras qui frolent les siens, encourageant le mouvement vers le haut. La nouvelle anoblie se relève, faisant face à sa suzeraine. Iris entremêlés, sourire partagé... Et les lèvres se rencontrent dans un baiser dont la douceur n'a d'égale que leur amitié. Lèvres contre lèvres pendant à peine secondes, une accolade des plus singulières, douce caresse amicale. Quand elles se séparent, Johanara lui tend une dague.. L'ouvrage est finement ciselé, magnifiquement taillé. Les armoiries d'Orval se lisent et se devinent au toucher sur la garde.

Une pointe d'humidité se fait au coin de l'oeil. Pour peu, Apolonie l'embrasserait de nouveau pour la remercier d'un si joli présent. Discrètement, elle retire une de ses dagues des liens de cuir sur ses cuisses, et y place celle ci. Celle dont elle se sépare, elle la garde dans sa manche un instant. Elle sait déjà quel usage en faire. Le sourire est chaleureux, alors que la baronne l'étreint, avant de lui prendre le bras pour la mener vers un serviteur zélé qui porte plateau chargé.

Poliment elle prend un verre, le fait sonner contre celui de la baronne. Pas besoin de trinquer à haute voix, elles savent toutes deux à quoi elles boiront. Puis un valet s'approche de la belle. Il est lourdement chargé. On sent qu'il n'a aucune habitude de porter l'objet dont il est chargé. Elle sourit un peu, avant de laisser l'oeil passer au dessus dudit valet, pour caresser de l'azur les présents, la pupille reconnaissante. Puis le valet s'adresse à elle, et elle se concentre sur le billet qu'il lui remet.


Citation:

A la plus belle des dames,
Promesse d'amour non oubliée...

Amicalement et plus,

L'grognon.


Le regard se trouble un instant... Le sourire se fait tendrement doux. Elle relit le billet un instant... Et pose le regard sur le bouclier... Le sourire s'élargit tandis que leurs conversations et que les souvenirs reviennent en force dans son esprit. Elle décharge le valet de son fardeau et le congédie. Caresse de la pulpe du doigt la rose incrustée... Et relève les yeux pour trouver l'auteur de ce présent à la valeur inestimable pour elle. Nulle trace de son grognon... Il a fui. Elle perd un partie de la lueur qui l'animait. Mais se dit aussi qu'elle n'est pas sans le revoir. De toute façon, jamais elle n'oubliera un homme à qu'elle a aimé, qu'elle aime toujours, même différemment...

D'un geste elle fait en sorte de s'éclipser. Elle sort de la salle, court à sa chambre, y pose le bouclier... Prend un moment pour elle... Repense à tout ça. Son coeur... malmené, brisé, asséché... qui a cru revivre... qui a retrouvé son allant avec Maleus.. Coeur qui aujourd'hui appartient à un andalou. Seulement une partie restera à jamais à son roy grognon... comme une partie appartiendra à jamais à Bireli ou Willen... parce qu'elle n'en a aimé que peu... Parce qu'elle n'aime pas à la légère...

Secouant la tête et les mèches folles, elle se reprend... Sourit encore, parce que le cadeau est beau, l'attention est touchante, mais redescend. Rejoint la grande salle. Sourit en voyant son filleul, auprès duquel elle se rend. S'accroupit. Lui glisse discrètement la dague qu'elle a dans la manche. Une phrase, simple, brève.


Prends en soin Garanhir. Ce sera mon premier présent. Au fait, je suis Apolonie, ta marraine. Garde la précieusement, elle te sera utile.

Un sourire à Nim dans la main duquel se trouve nichée la menotte du gamin. Un baiser à ses deux amis moulinois. Avant de saluer les autres... Le coeur en vrille de devoir faire face à tant d'émotions. Regard éperdu vers sa Minette. Un clin d'oeil à Guilhem. Allez, va, on efface et on recommence ?

Valric dans un coin qui attend son tour... Sa suzeraine... Suzeraine... sourire en impression fugace... Oui, c'est fait... Et la belle rousse accueille et boit... Parfaite hôtesse, comme toujours... Apolonie a la tête qui tourne de tant d'émotions. Elle allait rejoindre son duc quand elle aperçoit Ysandre... la belle, la douce Ysandre dans un coin. Son sang ne fait qu'un tour, son coeur rate un battement, et elle avance vers elle... manque trébucher dans sa robe... S'rattrape. Se presse contre Ysandre... si longtemps... Des mois... La dernière fois ? L'enterrement de Willen. Les deux jeunes femmes en profitent pour rattraper le temps perdu, pour discuter, partager...


La joueuse d'Ysandre et moi même partons ne WE, plus là avant lundi... laissez nous discuter et on rattrape le retard en rentrant
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Valric
Drôle de moment soudainement aux bras de Amberle... Doux souvenirs ou promesse de futur sympa entre les deux?! Oh par promesse il fallait bien comprendre la nature de leur rapport... Le Gambiani avait longtemps rêvé de faire route avec elle... Une aventure avec la brunette en grande campagne... L'idée semblait bonne! Les deux étaient certe heureux de se revoir... Certe mal à l'aise, elle comme lui n'aimait pas trop les grandes cérémonies et tout le tra lala... On exprimait nos sentiments comme ils sortaient et au diable le reste!

Parlant de ça... Voilà qu'un rouquin s'avançait vers eux... "Hum... Un prétendant jaloux" musa le Gambiani en ses pensées. Tout de même le basin venait à pique pour couper une retrouvaille attendu depuis des mois... En plus de venir s'y interposer il avait le culot de lui parler... Norf!

Il se présenta, le Commandeur ne réagit pas... Il ne le connaissait pas, en avait même jamais entendu parler... Son raprochement était évident avec Amberle... On aurait dit le coq d'un poulailler venant défendre sa basse-cours... "Norf"!


Guilhem vous dites?! Vous me pardonnerez messire mais je n'ai jamais entendu parler de vous... Pourtant habituellement je connais bien l'entourage proche de Amberle... Je vous laisse à vos affaires, je vais m'occuper de saluer les gens que je connais afin qu'ils soient bien acceuillit au Domaine de Lignières!

Il marqua une pause avant de s'adresser directement à Amberle sans même regarder l'autre drôle.

Amberle ma chère tu connais les alentours! S'il te manque quoi que se soit tu sais où me trouver! J'espère que ton séjour se passera à merveille et n'hésite pas à passer me voir avant ton départ. Je crois qu'il sera bon que nous aillons discutions ne penses-tu pas?

Il déposa une bise sur la joue de Amb avant de tourner les talons. Passant derrière Maleus un ami de longue date et frère d'arme pour ainsi dire il lui envoya une tape sur l'épaule pour le saluer et le réveiller... Il continua son chemin vers Ysandre où Apolonie la nouvelle Seigneur d'Orval se tenait. Il salua la Duchesse lui rendant une bise, fit de même avec la Dame d'Orval puis la félicita. Il poursuivit sa route vers sa chère Marraine.

Ah Marraine! Enfin je peux vous voir! Vous tenez le coup? Je dois dire que ce soir vous êtes particulièrement belle ainsi vêtu! Comme toujours vous savez vous mettre en valeurs vous ainsi que vos terres en offrant digne cérémonie à votre domaine! Puisse la nouvelle Dame d'Orval bien veiller à vous...

Oh comme ça...


Il se pencha vers son oreille...

Le baisé de vassalité... C'est bien mais l'accolade suffira avec moi qu'en pensez-vous? Nous avons déjà échangé notre baisé de vassalité il y a de ça quelques temps avant que je ne parte guerroyer en Maine

Tout sourire moqueur aux lèvres il resta à ses côtés pour l'épauller attendant que ne vienne son tour...
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