Maxiuszedeus
La blonde plantureuse s'en était allée récupérer ses sous-vêtements propres, elle ne se prendrait pas la tête pour le choix vu qu'elle n'avait pas emporté les plus beaux. Elle se disait qu'à la bataille point besoin de draper ses fesses de satins ou d'enfermer ses seins dans de multiples rubans plus destinés à amuser l'efeuilleur qu'autre chose. Les siens étaient jolis certes, mais pas autant que ceux restés à Pennes, pas de remords, elle porterait la soie tous les jours après la guerre. Pour l'instant le trébuchet les attendait et les provençaux bavaient planqués derrière les remparts. Elle mit ses affaires dans sa besace et partit rejoindre ses nouvelles comparses.
Elle en avait d'ailleurs trouvé plusieurs en route qui s'occupaient du cas d'un mauvais bougre quand un vieux cantonnier jurant comme un charretier leur avait écorché les oreilles.
Plutôt que de le battre pour lui faire ravaler ses paroles, elle s'approcha de lui, gardant quand même la main sur la garde de son épée pour lui intimer quelque frayeur.
"Toi le gueux, au lieu de risquer ta vie et le contenu de ton pantalon à dire des cochonneries, mets toi à notre service et je te récompenserais financièrement. Vu tes loques je suis sure que tu ne crachera pas sur quelques écus......Trouves donc du lait et du miel pour mes amies et moi et tu recevra de quoi boire tout ton saoul ce soir."
Elle lui remit de quoi payer le lait et le miel dont elle ferait faire une collation à ces dames et damoiselles que son intendant serait heureux de servir.
Puis elle reporta son attention sur ses comparses qui traînaient leur fardeaux vers on ne sait où. La blonde se posait des questions mais les suivit quand même.
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Elle en avait d'ailleurs trouvé plusieurs en route qui s'occupaient du cas d'un mauvais bougre quand un vieux cantonnier jurant comme un charretier leur avait écorché les oreilles.
Plutôt que de le battre pour lui faire ravaler ses paroles, elle s'approcha de lui, gardant quand même la main sur la garde de son épée pour lui intimer quelque frayeur.
"Toi le gueux, au lieu de risquer ta vie et le contenu de ton pantalon à dire des cochonneries, mets toi à notre service et je te récompenserais financièrement. Vu tes loques je suis sure que tu ne crachera pas sur quelques écus......Trouves donc du lait et du miel pour mes amies et moi et tu recevra de quoi boire tout ton saoul ce soir."
Elle lui remit de quoi payer le lait et le miel dont elle ferait faire une collation à ces dames et damoiselles que son intendant serait heureux de servir.
Puis elle reporta son attention sur ses comparses qui traînaient leur fardeaux vers on ne sait où. La blonde se posait des questions mais les suivit quand même.
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