Alex0159
Presque envouté, un sulfureux baiser apaisa sa curiosité sur son identité. Connaitrait il son corps avant de connaitre son nom ? Elle répondit à sa question par un baiser des plus plaisants. Son excitation était montée d'un cran.
Se laissant bercer par le douceur de ses caresses, il profitait des ces lèvres aimantes et ô combien excitantes quand un murmure vint interrompre sa douce rêverie.
Se laissant bercer par le douceur de ses caresses, il profitait des ces lèvres aimantes et ô combien excitantes quand un murmure vint interrompre sa douce rêverie.
Citation:
Tu veux savoir qui je suis mon coquin.... je suis LOUTTE.
Tu veux savoir qui je suis mon coquin.... je suis LOUTTE.
Au même moment, il sentit le froid du métal sur sa gorge.
Comment était ce possible ? Elle ici ?
L'instinct de survie pris le dessus sur les questions qui l'assaillaient et il analysa froidement la situation:
Il était totalement a sa merci; et le recours a la force ne ferait que précipiter sa mort. Cruelle réalité.
Gagner du temps...
Elle n'avait pas organisé tout cela pour le tuer de suite.
Trop de mise en scène.
...
Il se devait de dire quelque chose. Mais quoi ?
- Et bien, je dois dire que...
Le froid du métal tranchant s'appuyant sur sa gorge lui rappelait la cruelle réalité de sa situation présente. Une femme qu'il avait traité de catin puis de porcine avait sa vie entre ses mains. Comment diable avait il pu se laisser berner ainsi ? Un rebondissement digne d'une comédie italienne. Il fallait trouver quelque chose a dire mais cela ne venait pas.
Vite vite...
Lui proposer un épi de maïs ?
Lui rendre sa nuisette ?
...
La situation était si désespérée et si irréelle qu'il n'arrivait pas à trouver ses mots.
De toute façon, que pouvait il dire ?
- Et bien, je dois dire que vous m'épatez. Je ne suis pas de taille, un agneau qui s'est frotté au loup.
Elle avait probablement préparé cette scène avec minutie. Autant la laisser continuer; tout ce qu'il pourrait dire ne pourrait qu'aggraver la situation déjà fort peu reluisante.