Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, ..., 6, 7, 8, ..., 10, 11, 12   >   >>

[RP] Réponse aux maquereaux provençaux

Alex0159
Presque envouté, un sulfureux baiser apaisa sa curiosité sur son identité. Connaitrait il son corps avant de connaitre son nom ? Elle répondit à sa question par un baiser des plus plaisants. Son excitation était montée d'un cran.


Se laissant bercer par le douceur de ses caresses, il profitait des ces lèvres aimantes et ô combien excitantes quand un murmure vint interrompre sa douce rêverie.



Citation:

Tu veux savoir qui je suis mon coquin.... je suis LOUTTE.



Au même moment, il sentit le froid du métal sur sa gorge.

Comment était ce possible ? Elle ici ?

L'instinct de survie pris le dessus sur les questions qui l'assaillaient et il analysa froidement la situation:

Il était totalement a sa merci; et le recours a la force ne ferait que précipiter sa mort. Cruelle réalité.


Gagner du temps...
Elle n'avait pas organisé tout cela pour le tuer de suite.
Trop de mise en scène.
...

Il se devait de dire quelque chose. Mais quoi ?


- Et bien, je dois dire que...


Le froid du métal tranchant s'appuyant sur sa gorge lui rappelait la cruelle réalité de sa situation présente. Une femme qu'il avait traité de catin puis de porcine avait sa vie entre ses mains. Comment diable avait il pu se laisser berner ainsi ? Un rebondissement digne d'une comédie italienne. Il fallait trouver quelque chose a dire mais cela ne venait pas.

Vite vite...

Lui proposer un épi de maïs ?
Lui rendre sa nuisette ?
...

La situation était si désespérée et si irréelle qu'il n'arrivait pas à trouver ses mots.

De toute façon, que pouvait il dire ?



- Et bien, je dois dire que vous m'épatez. Je ne suis pas de taille, un agneau qui s'est frotté au loup.


Elle avait probablement préparé cette scène avec minutie. Autant la laisser continuer; tout ce qu'il pourrait dire ne pourrait qu'aggraver la situation déjà fort peu reluisante.
Loutte1
Loutte à sa révélation le sentit se contracter et ne relacha pas la pression sur sa gorge.

Il était beaucoup plus fort qu'elle et n'avait donc pas droit à l'erreur.

Doucement elle le contourna, jouant subtilement de sa lame afin de ne pas encore le blesser, mais ne pas perdre son emprise.

Face à lui, elle pouvait lire dans ses yeux un tumulte de sentiments.
Les idées devaient s'enchaîner très vite en son esprit.

Elle voyait ses muscles sous tension et devait donc se montrer extrêmement vigilante.

Citation:

- Et bien, je dois dire que...

- Et bien, je dois dire que vous m'épatez. Je ne suis pas de taille, un agneau qui s'est frotté au loup.


Loutte le regarda dans les yeux.
Elle avait un regard qui étincelait.
Il était empli de puissance, de désir, de maitrise et surtout d'un infini plaisir de le tenir à sa merci.


Vous, un agneau?
Et moi je suis la vilaine Louve... Lui dit-elle d'un ton sarcastique
Alors je suis une catin et vous me cherchiez.... hé bien vous devez être ravi je suis là.

Laisant sa lame toujours appuyée, elle s'approcha de son épaule et l'embrassa goulument, caressant sa cuisse de son autre main.

Vous ne me proposez pas un peu de maïs? Elle le regarda, sourire de défiance en coin.
_________________
Alex0159
Elle le contourna avec une extrême prudence et aucune occasion ne se présenta a lui. Elle maitrisait parfaitement la situation et ne privait pas d'en jouer. Désormais face à lui; elle jouissait de la situation et son regard l'exprimait pleinement.



Vous, un agneau?
Et moi je suis la vilaine Louve...
Alors je suis une catin et vous me cherchiez.... hé bien vous devez être ravi je suis là.


Il lisait le défi dans ses yeux.
Il ne répondit pas
Elle n'attendait pas de réponse de toute façon.
Et puis quoiqu'il dise il ne ferait qu'accentuer son courroux.


A sa grande surprise; elle l'embrassa. Il aurait voulu rester de marbre mais il avait succombé au délice de sa langue. Elle avait su faire monter le désir en lui et sa victoire était totale.



Vous ne me proposez pas un peu de maïs?


Elle se jouait de lui, a chaque instant d'une simple pression elle pouvait mettre fin a ce petit jeu pervers. Il était sa chose, sa possession...

Une occasion de se débarrasser de cette maudite dague se présenterait bien si il arrivait a lui donner le change suffisamment longtemps, on verrait qui rirait le dernier.

Il déglutit sentant à nouveau la froideur métallique qui l'emprisonnait.




- Du Maïs ? Ne préférez vous pas cette coupe de vin ?


Il jeta son regard sur le guéridon en direction du verre de vin qu'il lui avait servi a son arrivée. Elle n'y avait pas touché. Il comprenait pourquoi désormais. elle avait besoin de toute sa lucidité.
Loutte1
Loutte jubilait de le voir ainsi à sa merci.

Citation:
Du Maïs ? Ne préférez vous pas cette coupe de vin ?


Et en un même temps il lui montra du regard le guéridon où la coupe était placée.

Loutte appuya un peu plus sa lame et partit à rire.


Elle approcha son visage à quelques centimètres du sien et lui dit d'une voix doucereuse:

Très cher, me croyez-vous assez stupide pour aller chercher une coupe, ou même vous quitter des yeux?
Vous me mésestimez, j'en suis déçue.


Elle lui adressa un sourire machiavélique et son regard se fit plus profond.

Doucement elle se mit à faire glisser sa lame sur son épaule, en appuyant suffisamment pour le dissuader de bouger.

Elle fit glisser sa pointe très lentement tout le long de son torse, s'attardant parfois et surveillant ses réactions.
Elle semblait amusée.

Elle continua à faire descendre sa lame jusqu'à sa taille.
Elle lui caressa le ventre doucement de sa pointe, le regardant en dodelinant de la tête, passant sensuellement sa langue sur ses lèvres, et d'un coup sec, elle coupa sa ceinture de corde.

Là encore, elle le regarda d'un air très amusé.

Elle fit ensuite descendre sa lame sur ses braies, caressant ses attributs de sa pointe.

Elle lui murmura d'une voix suave :


Vous apprendrez que les femmes françaises ne sont nullement des catins.
_________________
Alex0159
Très cher, me croyez-vous assez stupide pour aller chercher une coupe, ou même vous quitter des yeux? Vous me mésestimez, j'en suis déçue.

Il n'avait effectivement pas escompté qu'elle lâche sa dague pour prendre le verre de vin mais il fallait bien donner le change en ménageant sa susceptibilité.


Il vit alors un regard diffèrent dans ses yeux. Il se demandait ce qu'elle allait bien pouvoir faire. Cela ne laissait présager rien de bon. A cet instant, la légère pression de la lame sur sa gorge cessa. Il senti la pointe de l'acier onduler sur son corps. Une bien étrange sensation. Il aurait pu lui suggérer de remplacer la dague par sa langue mais l'instant était mal choisi. Initialement c'était le programme de la soirée pourtant.


Elle restait toujours maitre de la situation; au moindre mouvement de sa part, elle pouvait mettre un terme sanglant a sa vie par une simple pression.


Elle se joua a nouveau de son désir passant sa langue sur ses lèvres. Cette fois il ne se laissa prendre au jeu et ne répondit pas a sa provocation. Un mouvement vif trancha la fine corde qui lui servait de ceinture. Le froid de sa lame pénétra ses braies.


Il déglutit pris de panique.
Il ne l'imaginait pas le tuer de sang froid. Certes, sentir sa lame sur sa gorge l'avait mis en alerte.
Par contre, mettre fin a sa virilité pour un outrage...
Et si c'était cela son plan ?


Sa voix langoureuse l'arracha a ses idées noires pendant que la lame virevoltait sur le symbole de sa virilité.



Vous apprendrez que les femmes françaises ne sont nullement des catins.


Honteusement, il se demanda alors si lame la laissait percevoir les conséquences de son désir. Il espérait que non. Elle l'humiliait déjà suffisamment; inutile de lui donner un motif de satisfaction supplémentaire.


- Je crois que la leçon a été plus qu'assimilée, Dame Loutte...
Loutte1
Loutte lisait la panique dans son regard alors qu'elle caressait son intimité quelque peu... grandissante... du bout de sa dague.

Il devait s'imaginer émasculé ou entaillé, mais elle voulait encore jouer un peu avant de décider de son sort.

Citation:
Je crois que la leçon a été plus qu'assimilée, Dame Loutte...


Loutte fut quelque peu déstabilisée par ce qu'il venait de dire.

Etait-ce un drapeau blanc ou bien une subtile manoeuvre pour la déstabiliser.

Elle le regarda et ressentit une étrange sensation.
Elle était troublée et ne pouvait s'expliquer pourquoi.

Elle se décida donc à rétorquer :


Alors beau Prince, aurais-tu de beaux bijoux à m'offrir?
Elle fut elle même étonnée de faire pareil humour à cet instant précis.

Elle se mit à rire, remontant la dague vers son cou.

_________________
Alex0159
Son regard s'était de nouveau porté sur le sien toutefois il nota une certaine inflexion, ni haine, ni de jouissance de sa domination.


Du doute ?


Elle repris par une étrange question suivit d'un éclat de rire.

Alors beau Prince, aurais-tu de beaux bijoux à m'offrir?


Elle avait relâché sa vigilance.
A son grand soulagement, la dague remonta.
Cette fois elle s'était écartée de sa peau et l'instant tant attendu arriva. Au moment d'appliquer la dague sur sa gorge d'un geste vif il se saisit de son poignet dans une étreinte de fer.

Il se redressa légèrement sans desserrer son poignet l'obligeant à infléchir inexorablement vers le sol. Il plongea alors son regard dans le sien et remarqua avec satisfaction le changement dans ses yeux.



- Et bien que vais je faire de toi, maintenant ?


Il la défia d'un sourire puis fit mine de réfléchir en la gardant sous contrôle
.


- Je vais t'accorder une faveur en te laissant choisir ton destin. Je ne suis pas prince pour rien; je sais être magnanime. Je vais te donner 3 possibilités:


Revenir parmi les tiens contre rançon
Marque une pause pour la laisser espérer puis reprend avec bien entendu quelques balafres pour te rappeler ton insolence


Te confier à Flaminia pour parfaire ton éducation et connaitre ensuite le délice des hommes en faisant ma fortune


Partir en orient ou un sultan te fera un place de choix dans son harem


Je te laisse 3 minutes pour répondre. Si tu ne réponds pas; tu sera la balafrée d'un bordel sordide. Tu as ma parole.



Il l'observa attendant sa réponse, jouissant a chaque instant de ce renversement de situation
Loutte1
Alors que Loutte remontait sa dague, il lui saisit le poignet violemment.
Son étreinte était puissante et elle ne pouvait résister.

Elle luttait mais il lui faisait mal.

Il était là face à elle, assis au bord de son fauteuil, lui tordant le bras, l'obligeant à déposer genou à terre.

Elle était furieuse après elle-même de s'être relachée ainsi.

Il la regardait dans les yeux, et elle n'aimait pas du tout ce qu'elle y voyait.

Il avait repris toute l'arrogance qu'elle avait pu deviner en lisant son infâme parchemin.


Il était défiant et elle se mit à craindre sur ce qui allait advenir d'elle.
Citation:

Et bien que vais je faire de toi, maintenant ?



Il la défia d'un sourire puis fit mine de réfléchir en la gardant sous contrôle.


Citation:
Je vais t'accorder une faveur en te laissant choisir ton destin. Je ne suis pas prince pour rien je sais être magnanime. Je vais te donner 3 possibilités:


Loutte le regardait froidement, droit dans les yeux.
La douleur à son bras était aigüe mais elle ne montrait rien.
Elle attendait de connaître ses intentions.


Citation:
Revenir parmi les tiens contre rançon Marque une pause pour la laisser espérer puis reprend avec bien entendu quelques balafres pour te rappeler ton insolence


Citation:
Te confier à Flaminia pour parfaire ton éducation et connaitre ensuite le délice des hommes en faisant ma fortune

Partir en orient ou un sultan te fera un place de choix dans son harem


Citation:
Je te laisse 3 minutes pour répondre. Si tu ne réponds pas; tu sera la balafrée d'un bordel sordide. Tu as ma parole.


Elle l'écoutait attentivement.

Elle était furieuse de voir de quelle façon il la traitait et regrétait de ne pas lui avoir tranché la gorge ou émasculé.


Que dire... vite... elle devait dire les mots justes.
Son visage, son doux visage.. pourvu qu'il ne la défigure pas.
Serait-il un barbare finalement...


Elle avait envie de lui cracher au visage mais il lui aurait sans doute brisé le bras.

Elle lui répondit donc :


Quoi que je te réponde tu n'en feras qu'à ta guise.


Puis elle se décida à se montrer plus douce, espérant le radoucir lui-même.

Oserais-tu réellement me faire du mal, moi qui finalement ne t'ai rien fait?
_________________
Alex0159
Alex l'avait à sa merci. Il lui avait laissé entrevoir des destins tous plus sordides les uns que les autres. Bien entendu, il ne s'attendait pas a une réponse.


Il l'observait attentivement.
Loutte ne riait plus.
A l'évocation de son visage tailladé, il perçut l'effroi passé dans ses yeux...

Rien d'étonnant après tout, elle était belle et désirable. S'imaginer défiguré devait être son pire cauchemar; il tenait sa vengeance. Elle avait menacée ce qu'il avait de plus précieux. Il ferait de même.



Quoi que je te réponde tu n'en feras qu'à ta guise.
Oserais-tu réellement me faire du mal, moi qui finalement ne t'ai rien fait?


Pour seul réponse, il se releva la tenant toujours aussi fermement et l'obligea a s'allonger. Il s'installa alors un genou de chaque coté de son corps en prenant soin d'emprisonner son bras libre sons son poids. Il s'affaira ensuite a s'emparer de sa dague. Elle tenta en vain de résister.

- C'est évident, tu es venu me voir pour le plaisir; m'accorder une petite douceur, non ?

Il plaqua au sol son bras désarmé et se pencha sur elle sentant son souffle haletant sur son visage puis ajouta d'une voix plus douce:


- Et pour me faire gouter tes lèvres brulantes avides de baiser.



A son tour de faire virevolter la dague sur son corps; il pointa la dague sur son nez. puis descendit doucement sur ses lèvres pour enfin s'arrêter sur son coup. Il retira alors la dague en arrière et l'embrassa langoureusement.



- Ce petit jeu ne te rappelle rien ?



Il rapprocha ensuite l'arme de son cou et la plongea dans sa houppelande puis la ramena vers lui d'un geste vif. Il posa son regard sur ce décolleté improvisé. Un sourire lui échappa et il sentie a nouveau une impulsion parcourir son bas ventre déjà échauffé par ses lèvres. "finalement ne t'ai rien fait?" disait elle....


Sa poitrine prolongeait son corps harmonieusement. Décidément elle lui plaisait la petite Loutte. Il l'embrassa a nouveau; le jeu de "douceur et de métal" était des plus excitants. Il se demanda si elle aussi, tout a l'heure , avait ressenti cette excitation.


Il jeta alors la dague au loin et desserra son étreinte sur son poignet sans pour autant la quitter du regard:



- Nous sommes quitte effectivement, maintenant.


D'un geste lent, il la libéra puis l'aida se relever.



- Et si nous reprenions depuis le début ? D'un regard il désigna le verre de vin qui l'attendait sur le guéridon
Mumbly
Le temps passait.Mumbly était inquiet.Loutte était partie depuis longtemps avec son inconnu,depuis trop longtemps.Il se décida à prévenir Line.
Il héla un soldat et lui demanda de trouver Line pour qu'elle vienne ici.
Il faut la trouver coute que coute,l'instant est grave.Loutte ne revient pas.
Mumbly regarda le soldat partir chercher le sous-lieutenant.
_________________
Préservez moi de mes ennemis,je me charge de mes amis.
Loutte1
De par sa force, il continua à lui tordre le bras, se relevant, l'obligeant à s'allonger au sol.

Loutte tentait de résister mais elle fut obligée de céder sous la douleur.

Son regard était noir, haineux, jamais homme n'avait osé la traiter ainsi.

Alors qu'il lui tenait fermement sa main armée, il vint à poser un genou de chaque côté de son corps, maintenant son bras libre sous ca cuisse, puis la désarma, non sans mal.

Loutte était prête à lutter jusqu'au bout.

A son regard, elle pouvait deviner qu'il appréciait grandement ce renversement de situation.


Loutte quant à elle ne disait rien, seuls ses yeux parlaient.

Elle respirait bruyemment, sa poitrine se soulevant fortement.


Citation:
C'est évident, tu es venu me voir pour le plaisir d'une petite douceur, non ?


Citation:
Et pour me faire gouter tes lèvres brulantes avides de baisers.


Loutte le sentait menaçant et joueur à la fois.

Elle passa délicatement sa langue sur ses lèvres afin de lui faire voir que même en pareille situation, elle gardait la maitrise de ses sentiments.

Elle le cherchait, le provoquait.


Soudain le contact de la lame sur son nez.
Loutte à la vue de cette lame effilée ferma les yeux afin de ne pas défaillir.


Elle ne bougeait plus du tout.
Seule sa respiration cadencée laissait percevoir sa frayeur.
Elle la sentit qui descendait sur ses lèvres, son cou.

Elle était envahie d'une étrange sensation, comme un désir irrépressible de faire l'amour et l'envie de le tuer dans un même temps.


Il lui déposa un baiser fougeux, qu'elle se surprit à lui rendre sans y réfléchir.

Citation:
Ce petit jeu ne te rappelle rien ?


Loutte n'eut pas le temps de dire mot, que la lame lui tranchait le laçage de sa houpelande, dévoilant son corset.

Loutte suffoquait presque, n'arrivant plus à dire mot, alors qu'à ses yeux, elle voyait qu'il se régalait du spectacle improvisé.

Il l'embrassa à nouveau, sa tête en tournait sous ce tumulte d'émotions.

Elle le vit jeter la dague quelques mètres plus loin.


Citation:
Nous sommes quitte effectivement maintenant.


Il avait l'air content de lui, la libérant doucement de son emprise.

Il lui tendit la main afin de l'aider... elle le regarda... puis la saisit et se releva, tout en tentant de refermer sa houpelande.
Elle était encore sous le choc et ne savait plus que penser.


Citation:
Et si nous reprenions depuis le début.


Du regard il lui reproposait son verre de prune posé sur le guéridon.

Loutte, sans mot dire alla le prendre, se retourna ensuite en sa direction, leva son godet et lui dit :


Bien joué!

Elle but son verre d'une traite.

Cette petite prune lui fit le plus grand bien, la remettant de ses émotions.

Elle le regardait fixement; un sourire coquin se redessina sur son visage.


Nous sommes joueurs, ne trouvez-vous pas?
_________________
Alex0159
Elle avait répondu a ses baisers...
Ce petit jeu ne la laissais pas indiffèrent.


Il ne se voyait pas la torturer après cela. Toutefois une certaine appréhension l'envahissait au moment de la libérer.


Si elle lui sautait a la gorge...
Il devrait se défendre


Et si elle se sauvait...
Pire encore, il la désirait



Bien joué!



Décidément elle avait de l'audace cette Loutte... mais aussi de l'humour.
D'un trait, elle vida le verre qui l'attendait depuis son arrivée.
Il l'imita


Ce sourire évocateur.
Elle l'avait appâté avec et maintenant elle recommençait.
Comment ne pas céder ?
Mais pourquoi ne pas céder ?
Les réponses ne venaient pas alors il céda



Nous sommes joueurs, ne trouvez-vous pas?



Il sourit à son tour et s'approcha d'elle.
Il remarqua que ses braies tenait sans la cordelette; miracle de la nature du au talent de son ensorceleuse.



Très joueur... et la partie ne me semble pas terminée



Il lui passa les bras autour du coup et l'embrassa sans retenu.
Un long baiser passant de la douceur extrême a la fouge du désir endiablé

Elle avait raison sur un point mais il n'y pensais plus.
Elle n'avait rien d'une catin; bien plus attirante; bien plus difficile de s'en séparer
Loutte1
Il était là, face à elle, souriant.

Elle ne put s'empécher de sourire coquinement lorsqu'elle vit des formes se dessiner sous ses braies.

Il avança en sa direction, la prit par le cou et ils échangèrent un baiser alliant tendresse et fougue à la fois.

Elle laissa ses mains glisser sur son dos, et une osa même caresser son joli séant.

Leurs lèvres furent longues à se détacher.
Elle ressentait son désir, et leurs regards se faisaient de braise.

Alors qu'ils se fixaient dans les yeux l'un et l'autre, elle posa son indexe sur les lèvres d'Alex, le fit glisser sur son torse très sensuellement jusqu'à ses braies, passa ses doigts afin de saisir leur étoffe, et le tira d'un coup sec au plus près d'elle.

Elle lui adressa un sourire des plus envoutant.

_________________
Linexiv
Le calme semblant revenu dans le campement, Line se décida à prendre un peu de repos avant que le capitaine ne rentre de réunion. Au moins, il n’aurait pas à s’énerver en raison de la présence de dames douteuses. En plus, l’avantage du logis religieux, c’est qu’elle avait enfin réussi à se dégotter un petit coin pour elle. Ne jamais partir en mission lorsque le Sergent-chef avec qui elle partageait la tente des officiers emmenait son époux…

Et en plus, elle avait réussi à se faire remplacer à la garde, bref, s’il n’y avait pas eu le petit inconvénient du siège et de la bataille qui s’annonçait, la situation aurait été parfaite. Enfin sans compter le fait qu’elles avaient épuisé leur stock de dessous, il allait falloir que ça avance rapidement là…

Saut qu’évidemment, elle avait à peine eu le temps de fermer les yeux qu’un soldat était venu la déranger. Un problème à l’entrée, venir immédiatement qu’il avait dit Mumbly.
Sniff. Y’avait intérêt à ce que soit important. Line se releva et partit d’un pas rapide vers l’entrée, légèrement inquiète puis plutôt énervée en constatant que Mumbly était seul. Où était la périlleuse menace ?

Toutefois, elle déchanta vite lorsque ce dernier lui résuma le tout. Bon, pas de panique. Loutte était juste partie faire un tour avec un inconnu semble-t-il plutôt provençal. Tout était normal. Rien d’étonnant. Rien d’éton…


Loutte? Partie avec un provençal ! Tu rigoles là ?

Qu’-est-ce qui avait pu lui passer par la tête ? Ok, des informations en plus, c’était toujours ça de gagné, mais pourquoi fallait-il toujours qu’elle en fasse trop ?


Mais pourquoi tu l’as laissé faire bon sang ! Et pourquoi le dire seulement maintenant !


Non, ce n’était pas de sa faute. C’était à elle de surveiller les soldats. Elle aurait dû se douter que Loutte voudrait se venger quitte à risquer plus que sa vie… D’une voix plus calme.

Non, tu n’étais pas à sa place, tu surveillais le campement, merci de m’avoir prévenue. Elle est partie il y a combien de temps ?

Il faut voir avec Ellana d’urgence, qu’est-ce qu’on peut faire. Surtout éviter de prévenir le capitaine… Pour l’instant…
Mumbly
Elle est partie juste après ton dernier passage,quand tu as chassé cette fille aux charmes avantageux.
Mumbly savait qu'il n'y pouvait rien.Il n'était qu'une simple recrue;il n'était pas au courant de toutes les subtilités de la guerre.Loutte passait avec un inconnu,que pouvait-il y faire.
_________________
Préservez moi de mes ennemis,je me charge de mes amis.
See the RP information <<   <   1, 2, 3, ..., 6, 7, 8, ..., 10, 11, 12   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)