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[RP] Réponse aux maquereaux provençaux

Alex0159
Elle répondait a son désir; de la haine initiale il ne restait rien.
Du jeu de dague au jeu de langue il, n'y avait qu'un pas qu'ils avaient franchi.


Les caresses se faisaient plus intenses, ses mains s'enfouissaient dans sa tenue débraillée. Du jeu de langue au jeu des corps en osmose, il y en avait un autre qu'elle l'invita a franchir d'un geste sans équivoque. Cette main pointant sur son désir, le signal était donné.


Instant figé ou les futurs amants se jaugent.
Il baisse son regard puis remonte son corps avec ses yeux embrasés. Ses hanches sveltes, la jointure des ses seins, son cou puis ses yeux.

Ce regard ensorceleurs...

Il ne tenait plus, il la voulait.
Fi des convenances et des paroles futiles.
L'instinct prenait le dessus sur la raison.
...

Il saisit sa Houppelande lacérée et acheva la tache précédemment commencée. Passant ses mains dans le dos de sa conquise, il profitait enfin de sa peau si longuement désiré.


Tel un chevalier franc, d'une charge irrépressible et irrésistible se jette dans la bataille la lance en avant, il se précipita sur elle la faisant basculer sur son sofa bordeaux à la mode vénitienne...


En route vers le plaisir des sens ...
L'ultime quête de tout 'homme était à sa portée.
Loutte1
Elle le regardait alors qu'il plongeait en son regard. Elle le trouvait envoutant, grisant.

Il la dévorait des yeux, elle en faisait de même.

Il finit de lui arracher sa houpelande alors qu'elle lui retirait sa chemise.

Leurs mains courraient sur leur peau, se découvrant, se désirant encore plus.

Alors que leurs intimités entraient en symbiose, elle comprit qu'en cet homme qui se donnait à elle, résidait l'art du plaisir absolu, magique, comme dans un songe.

La pièce était baignée de volupté et de passion.

Les pensées de Loutte traversaient l'espace, les constellations dorées et scintillantes la caressant.

Loutte le ressentait si intensément qu'elle ressentait comme une tempête de lumière en elle.
Elle ne savait plus si elle lévitait ou planait, mais elle lui appartenait pleinement en cet instant précis.

Elle était transportée par cet amour naissant, teinté de vibrations sensuelles.

Plus ange que démon, c'est le vent de l'amour qui soufflait de ses mains.
Il est à elle, comme elle est à lui, sans rémissions, liés et scellés.

_________________
Alex0159
[Quelques heures plus tard]


Éreinté par le tumulte de la nuit; ses forces l'abandonnaient progressivement.


A demi conscient, il n'avait ni la force ni l'envie de penser a cette rencontre inattendue et a son 'issue improbable.


Un sourire au lèvre, il la serra contre lui puis, dans un ultime effort, il l'embrassa une dernière fois avant de sombrer dans un sommeil des plus sereins.
Loutte1
[Au petit matin]

Loutte avait passé une nuit mémorable.

Elle se réveilla avec un rayon de soleil qui venait lui caresser le visage.

Alex était là, à ses côtés, un bras l'étreignant.

Elle le regarda durant quelques minutes, se demandant comment ils avaient pu en arriver là, alors que tout les opposait à la base.

Elle lui déposa un baiser sur l'épaule, et doucement se leva, tentant de ne pas le réveiller.

Elle ouvrit un placard, prit une de ses chemises qu'elle enfila, puis alla sur le balcon.

Le vue était splendide.

Il dominait la ville d'Aix qui se réveillait à peine. L'air était vif et la faisait frissonner.

Elle ferma les yeux, inspirant fort cet air si pur, savourant cet instant de quiétude et de bienêtre.

_________________
Alex0159
Il ouvrit doucement un œil après une nuit merveilleuse.

Cherchant sa belle Loutte de la main puis se redressa rapidement ne la trouvant pas.

Avait il rêvé ? un doute l'assaillit.
Tout était pourtant si réel cette nuit. Impossible.

La belle s'était fait la belle...
Déçu, plus que déçu dépité serait plus de circonstance.
Elle s'était jouée de lui en lui offrant la nuit la plus endiablée de sa vie puis s'était envolée. La pire des tortures; lui faire gouter la saveur de son corps sans lui laisser le bonheur d'en profiter encore et encore.


Il frissonna alors. Un courant d'air froid le caressa. Il jeta un regard sur la porte fenêtre ouverte. Il s'approcha de la fenêtre et se figea:

Elle était la emmitouflée dans une de ces chemises. Qu'elle était belle ! Il s'approcha alors lentement d'elle et l'enserra dans ces bras en se disant à lui même


Toi, je ne te laisserais jamais repartir

Tendrement, il l'embrassa dans le cou en lui murmurant des mots doux.
Ils restèrent ainsi un long moment admirant la vue sublime sur la ville.


Il finit par se décider à préparer une collation composée de quelques fruits frais. Il s'affaira quand on frappa à la porte. Il hésita à répondre. Il n'avait pas envie d'être déranger, le programme de la journée était déjà tout trouvé. Il se décida tout de même à aller ouvrir non sans avoir pris le temps de mettre une tunique. Il éconduirait rapidement l'indésirable.
--Flaminia


Belle journée se dit Flaminia en ouvrant sa fenêtre. Perdue dans la contemplation du ciel dégagé, son regard se fixe sur le château du Comté. Elle voit ce bâtiment tous les jours au réveil et là, elle en est sûre, les drapeaux ont changé !

Elle se couvre pour sortir, la saison est encore fraîche et se précipite devant la herse. Elle ne reconnaît ni les gardes ni le nouvel étendard placé bien en évidence près de l'entrée principale.


Hé vous là ! Circulez. Un nouveau conseil se met en place. La Provence s'est libérée cette nuit de la tyrannie.

Pardon ? Quelle tyrannie ?

Le marquisat agonise, comme la félonne comtesse Ledzeppelin. Les nouveaux conseillers travaillent pour limiter les dégâts. Paraît que c'est un désastre mais bon moi, je dois juste surveiller la porte et je vous dit de dégager. Et plus vite !

Oui, oui, je n'insiste pas. Je m'en fiche moi de la politique ! Mais bon, dites à vos employeurs que le marquisat n'est pas tyrannique. Il est juste inutile et incompréhensible.

Repart vers sa maison. Elle songe aux français dehors. Que va-t-il se passer maintenant ? Sont pas prêts de partir eux. Cela ne l'arrange pas du tout. D'ailleurs, où est leur porte-parole ? Ah oui, Alex.
Flaminia décide de se rendre chez son ami pour en apprendre plus sur les intentions de la dame et sa main d'oeuvre.

Arrivée à l'appartement, elle frappe à la porte. Alex lui ouvre, l'oeil hagard. Flaminia n'attend pas son invitation pour entrer.


Oula, la tête toi. Nuit agitée ? J'espère que le rapport qualité/prix était satisfaisant. Rit

Tu connais la meilleure ? Le château est tombé. Par des provençaux eux-mêmes. Je crois que c'est le moment pour toi de revendiquer ton titre de Prince de Provence. Sourire moqueur

Un bruit la surprend. Derrière Alex, une corbeille de fruits.

Tu n'es pas seul ?
Alex0159
Il alla d'un pas non chalant ouvrir la porte.

Flaminia.
Pas même le temps de dire un mot, elle est déjà entrée et entame la conversation



Oula, la tête toi. Nuit agitée ?

Agitée ? Endiablée oui ! lui sourit.

J'espère que le rapport qualité/prix était satisfaisant
Au delà de toute espérance tu sais. Tu as du soucis a te faire.


Tu connais la meilleure ? Le château est tombé.
Réponds à moitié endormi: Arf l'avait l'air solide; piètre architecte

Par des provençaux eux-mêmes. Je crois que c'est le moment pour toi de revendiquer ton titre de Prince de Provence.
Il se souvient effectivement d'une proposition en ce sens.
Ah tiens ! Une bonne nouvelle; toujours aimé le changement moi. lui sourit, pourquoi pas après tout ?


Tu n'es pas seul ?
Déçue ? lui sourit. Aller entre donc

Après tout sans elle, il n'aurait jamais connu Loutte et puis c'était une vieille amie.
Loutte1
Ce moment de douceur matinale avait été interrompu par un visiteur.

Alors qu'Alex avait revêtu une tunique pour aller ouvrir, Loutte était restée quelques secondes de plus sur le balcon.

Quand elle reconnut la voix de Flaminia, elle se décida à les rejoindre.


Bonjour Flaminia,
effectivement il n'est pas seul
,
dit-elle tout en allant se blottir tout contre Alex.

Elle la regardait guettant ses réactions.

Alors, on va rétablir doux ou trois petites choses, je pense que cela est plus que nécessaire.

Flaminia, je me présente,

Je suis Loutte, soldat de Touraine, Française,
et quant aux filles que tu as aperçues sur le campement, ce ne sont nullement des entraineuses, mais des soldats, tout comme moi.

Ton commerce n'est donc nullement menacé car nos soldats masculins seront surement en mesure de le faire prospérer.


Loutte regarda Alex, le regard coquin, puis se retournant vers Flaminia,


Et sinon, Alex va rejoindre le camp français à mes côtés.

Elle ne le regarda point, attendant les réactions de par ses révélations.

_________________
--Flaminia


Flaminia ne s'étonne pas de l'attitude désinvolte d'Alex.

Cela ne te fait pas plus d'effet ? Note que d'un point de vue purement commercial, c'est signe d'allongement du conflit. Soit présence d'hommes harassés, sous pression, en manque de réconfort.
Finalement, dans mon genre, j'agis pour le bien-être de la collectivité.


Interprétation des oeuvres sociales très personnelles de l'italienne.

Tu sais que les clients épuisés sont très prisés ? A peine couchés, ils s'endorment. De l'heure, le rendement est phénoménal.

Son ami lui confirme ne pas avoir passé la nuit seule. Quand même pas déjà une attaque de la concurrence, dans sa zone protégée de surcroît ! Oh mais si, la voila. Elle s'apprête à lui faire part de son indignation, ainsi qu'une sévère critique de ses méthodes. Rester jusqu'au matin. Pfff ... Perte de temps et le risque d'attachement est élevé. Débutante ...

Alors, on va rétablir doux ou trois petites choses, je pense que cela est plus que nécessaire.

Flaminia, je me présente,

Je suis Loutte, soldat de Touraine, Française,
et quant aux filles que tu as aperçues sur le campement, ce ne sont nullement des entraineuses, mais des soldats, tout comme moi.

Ton commerce n'est donc nullement menacé car nos soldats masculins seront surement en mesure de le faire prospérer.


Sourit à ces paroles rassurantes. L'observe de haut en bas, simplement vêtue d'une large chemise peu propice à dissimuler ses charmes.

Mmmh ... Dommage, Loutte. Je t'aurais sans doute proposé un emploi bien mieux rémunéré que l'armée. Moins dangereux surtout. Ce serait un tel gâchis d'altérer un si beau corps, n'est-ce pas, Alex ?

Et sinon, Alex va rejoindre le camp français à mes côtés.

Eclate de rire Lui ? Dans une armée ? Alors là, excuse-moi ma belle mais c'est impossible. Je te rappelle qu'il clame partout être Prince de Provence. Cela ne peut se concilier avec un emploi de trouffion.
Alex0159
Alex écoutait les perspectives fleurissantes du commerce de Flaminia.
Elle avait le sens des affaires, pas de doute.


Loutte fit son apparition. De suite, elle se blottit contre lui. Il se contenta, non sans plaisir de l'accueillir dans ses bras. Il écoutait vaguement les présentations quant une phrase retentit dans son esprit.



Et sinon, Alex va rejoindre le camp français à mes côtés.



Il ne dit mot. Flaminia fut plus rapide que lui à réagir. Un éclat de rire suivit d'une remarque sarcastique pourtant pleine de bon sens


Lui ? Dans une armée ? Alors là, excuse-moi ma belle mais c'est impossible. Je te rappelle qu'il clame partout être Prince de Provence. Cela ne peut se concilier avec un emploi de trouffion.



Il réfléchit un peu. Il pesa les arguments.
Le sourire coquin de Loutte ! Le plus convaincant des arguments.



Ils cherchent surement un général charismatique dans leur armée en débâcle les français, non ? Après tout je leur offrirais la victoire par ma seul présence.
Loutte1
Flaminia l'observa en détail, soulagée finalement de par la nouvelle.

Citation:
Mmmh ... Dommage, Loutte. Je t'aurais sans doute proposé un emploi bien mieux rémunéré que l'armée. Moins dangereux surtout. Ce serait un tel gâchis d'altérer un si beau corps, n'est-ce pas, Alex ?


Loutte rit.

Je ne suis que volontaire dans l'armée et je te remercie pour ton offre mais ça va aller.

J'aime choisir l'homme à qui j'ai envie de me donner.

Elle caressa le bras d'Alex tout en lui disant cela.

Quant à la dangerosité... je préfère l'armée sans nul doute.
Je me sens plus en sécurité sur un champ de bataille ou dans la caserne qu'aux côtés d'un soudard qui passe je ne sais où.


Quant elle annonça le fait qu'Alex allait combattre à ses côtés dans le même camp, elle éclata de rire, et ne laissa même pas le temps au concerné de répondre.

Citation:
Lui ? Dans une armée ? Alors là, excuse-moi ma belle mais c'est impossible. Je te rappelle qu'il clame partout être Prince de Provence. Cela ne peut se concilier avec un emploi de troufion.


Loutte garda le sourire mais lui jeta un regard des plus glacial.

Ecoute moi bien, déjà, c'est à ALex d'en décider et nullement à toi! Lui seul dira si c'est possible ou non.
De plus nous ne sommes que des volontaires donc si la politique de nos armées ne nous convenait pas, on peut se désengager.
Toi en revanche... tu es une catin Flaminia, au service et à la botte des hommes... leur servante... donc quelque part leur troufionne aussi...
Loutte avait envie de rajouter qu'elle préférait mille fois sa vie à la sienne mais se dit qu'elle en avait assez dit.

Loutte bouillonnait intérieurement.

Alex ne pipait mot, observant puis une fois la tempête passée

Citation:

Ils cherchent surement un général charismatique dans leur armée en débâcle les français, non ? Après tout je leur offrirais la victoire par ma seul présence.


A sa réponse elle comprit, espérant ne pas se tromper, qu'il avait envie de tenter l'aventure à ses côtés.
Loutte espérait juste qu'il n'allait pas dire ce genre de choses d'éntrée de jeu à Line ou Pierre car elle n'était pas sure qu'ils aient l'humour nécessaire pour en rire alors que la pression était à son apogée dans les rangs de l'armée.

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Vero5
Les longues journées à observer depuis la fenêtre, les visites et les bandages qui lui compresse le torse. Enfin besoin d'air, envie de savoir qu'elle peux encore poser un pied devant l'autre.
Vero prends sa matinée à faire ce qu'en une heure serait bâclé, prenant soin que personne ne lui interdissent une sortir sous prétexte qu'il est trop tôt ou trop dangereux.

L'effort qu'il lui faut pour atteindre la rue, lui laisse présager que la journée risque d'être sportive.

Emmitouflée dans sa cape, longue avec précaution les murs et prends doucement confiance en ses pas.
Les rues d'Aix fourmille de monde, furtif, gueulant, braillant ... vivants. Se décide à s'aventurer dans les ruelles un peu moins connus.
Une pause imposée.
Se repose à flanc, le souffle sifflant et le dos cuisant, pose son front contre un huis et observe les veines du bois, glissement et la porte s'ouvre, s'accroche au vide et tombe comme un flan, juste le temps de voir que le carrelage arrivait à sa rencontre bien trop vite à son gout.
Cri de dépit et un poignet qui grince en rencontrant la faïence glaciale.
Un petit moment de flottement, le nez se relève et rencontre quelque paires de yeux..deux en amande et une ronde.


Euhhh... pardonnez moi...j'affrontais votre porte sans en avoir l'intention de trépasser.
Il semblerais qu'elle a une faiblesse de loquet...


Parler et s'excuser depuis le sol pas la plus glorieuse des expériences. Identification des yeux.
La française qui la virée de taverne et Alex...drôle de mélange, l'air mine de rien, reprends semblant de contenance. Constate aussi la présence d'une demoiselle qui affiche sa condition de femme de plaisir


Oups...
Ehhh si quelqu'un voudrais bien m'assister pour me hisser à la verticale je me ferais un plaisir de déguerpir d'ici au plus vite.

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Alex0159
Ecoute moi bien, déjà, c'est à ALex d'en décider et nullement à toi! Lui seul dira si c'est possible ou non.
De plus nous ne sommes que des volontaires donc si la politique de nos armées ne nous convenait pas, on peut se désengager.


nous ne sommes que des volontaires... Le "nous" raisonna dans son esprit. Heureux qu'elle raisonne en l'incluant dans ses desseins mais il avait du mal a s'imaginer volontaire dans une armée. Une armée dont il avait insulté la gente féminine dans son ensemble; tout un programme.

Déserteur au pire... Parfait.


Elle parlait rapidement, et il avait du mal a suivre.




Toi en revanche... tu es une catin Flaminia, au service et à la botte des hommes... leur servante... donc quelque part leur troufionne



Une joute verbale qui commençait. Il ne manquait plus que ca. Si seulement il avait attendu une dizaine de minutes, du deuxième étage il n'aurait pas entendu Flaminia...

Petit déjeuner, bains, plaisir plaisir et encore plaisir.

Vite une échappatoire... Si l'orage éclatait entre ces deux femmes; ca durerait. Il serait pris a partie, Loutte de mauvaise humeur...

Et là; un miracle.
La porte entrebâillée s'ouvre.
Une masse sans contenance s'écroule
Un corps
Vivant,
Un cri puis des paroles:




Euhhh... pardonnez moi...j'affrontais votre porte sans en avoir l'intention de trépasser. Il semblerais qu'elle a une faiblesse de loquet...



Un plan se profile dans son esprit. Des plus simples mais diablement efficace. Tout le monde dehors et retour au plan initial: petit déjeuner, bains, plaisir plaisir et encore plaisir. Accessoirement aussi, remplacer par une jupe sa houppelande déchirée .


Il se précipite sur l'inconnu vacillante


- Encore une victime de la guerre; pour lui même; "Saleté d'éclopé qui prend mon appartement pour une morgue ambulante. J'ai l'air d'un hospitalier ?" ; mon brave, je vais vous aider pour lui même:"à déguerpir de chez moi illico presto"

Il l'aide à se relever et reconnait ...


- La Dame de Beausoleil ... enfin ... ce qu'il en reste.


S'arrête quelques instant puis reprends :


- Vero entre prendre une collation. Flaminia, tu connais les lieux, je te laisse prendre soin de la dame de Beau soleil. Pendant ce temps, Loutte et moi allons nous dégoter des tenues plus décentes.

N'attend pas de réponses et s'éloigne.
Vero5
Petit moment de flottement
Un bras solide la replace à la verticale
et le monde tourne encore gaiement
foutus murs qui n'arrêtent pas de se dérober sous son regarde.


- La Dame de Beausoleil ... enfin ... ce qu'il en reste.

Grmpfff marmonne à voix basse

Oh le Loup... ce qu'il en reste...à part un beau blason!
ta raison la Dame s'effrite, laisse la plonger en décrépitude je ne le suis plus Dame sur ses terres, d'enfin de beau restes si ces fichues français me laisserais tambouriner en paix.
Ahhh.. ehhh pffff ca fait quatre jours que l'on me gave comme une oie.. Un verre d'eau par contre ne serais pas de refus!


S'adresse au dos d'Alex

Ehhh tatata ..tu ne file pas tout de suite toi...

J'ai des hallucinations..je vois des français partout...
La demoiselle à demi vêtue... je ne délire pas...
Rencontrée en taverne de l'autre coté...
Accueil charmant si je m'abuse?
Une grande gueule et pas beaucoup de patience.
fort dommage ceci dit...


Se tourne vers la belle en chemise et la regarde

Je pense que t'as un instant pour discuter cette fois.. Le terrain est nettement moins sécurisé! et les participants moins à cran
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Loutte1
Soudain la porte s'ouvrit violemment.
Une femme s'effondra sur le plancher tout en pestant.


Alex partit la relever et la reconnut à cet instant.

Aussitôt il demanda à Flaminia de lui servir quelque chose.


Loutte observa cette femme et la reconnut à son tour. Véro...

Loutte l'avait croisé par deux fois en taverne dans le camp des français à Aix.

La première fois, alors que Loutte saluait l'assemblée, elle incluse, la provençale était partie en maugréant et claquant la porte.

La deuxième fois, toujours dans le même lieu, Loutte l'avait jetée dehors alors qu'elle souhaitait lui parler.

Puis Véro de dire :


Citation:
J'ai des hallucinations..je vois des français partout...
La demoiselle à demi vêtue... je ne délire pas...
Rencontrée en taverne de l'autre coté...
Accueil charmant si je m'abuse?
Une grande gueule et pas beaucoup de patience.
fort dommage ceci dit...


Puis s'adressant plus particulièrement à Loutte :


Citation:
Je pense que t'as un instant pour discuter cette fois.. Le terrain est nettement moins sécurisé! et les participants moins à cran


Loutte ne la quittait pas des yeux.
Elle la regardait avec un sourire en coin et un air quelque peu interrogatif.

Elle avait l'air méchamment blessée vue sa position et sa petite mine.

Loutte lui parla d'une voix calme, posée, et sure d'elle.


On se tutoie maintenant?
Soit, si tu veux.

Terrain sécurisé? Je m'en moque; et à cran?
elle regarda Alex avec une douce complicité, non effectivement je ne le suis pas du tout.
Et grande gueule, non, je dis ce que je pense quand j'en ai envie. Point final. Je n'ai pas pour habitude d'être tenue en laisse.

Allez, assieds-toi donc tu ne tiens même pas debout.


Loutte s'approcha d'elle, et sans lui demander son avis, la prit sous le bras et la fit s'asseoir sur la chaise la plus proche.

Elle souleva sa cape de côté et grimaça.


Tu as nettoyé tes blessures quand?
Et dis moi ce que tu as à me dire.

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