Mertin
Imaginez un instant. Vous vous trouvez dans un endroit que vous voyez pour la première fois. A votre gauche se trouve une ville de taille raisonnable. A votre droite, votre regard se perd dans une grande étendue de champs, de haies et de forêts. Devant, il y a la mer à perte de vue. En dessous de vous, une pierre sur laquelle vous vous êtes assis. Autour de vous, le vent souffle de toute sa fraicheur - comme pour montrer qu'il s'est bien lavé les dents -, vous obligeant à resserrer votre chemise, dans l'espoir illusoire de garder un peu de chaleur. Normalement, vous ne devriez pas être seul, mais force est de constater, que nul membre de votre groupe ne se trouve à proximité.
C'est ce que vivait Mertin à ce moment. Pourtant tout c'était bien passé... au début. Ils étaient parti à six de leur village. Six voyageurs qui pendant plusieurs jours avaient marché ensemble. Bon, tout n'avait pas été rose, mais ils étaient ensemble, s'entraidant, se soutenant et plaisantant. Puis, ils étaient entrés dans une ville.
Ce n'était pourtant qu'une ville comme les autres, d'ailleurs Mertin avait déjà oublier son nom. Mais... tout étais parti de travers. C'est comme si, soudainement, chaque membre s'était rappelé des obligations à accomplir de suite. Était-ce du à la fatigue du voyage? A une malédiction? A une épreuve que le Très Haut leur avait destiné? Il ne le savait pas. Ce qu'il savait en revanche, c'est que le groupe s'était comme dissout.
Mertin avait bien essayé a ce joindre à quelques uns de ses compagnons, afin de ne pas être seul. Manque de chance, son faucon, Espoir, avait lui aussi décidé d'en faire qu'à sa tête et il n'avait pas voulut le laissé en arrière. C'est donc avec beaucoup de retard, qu'il s'était précipité vers les portes de la ville. C'était bien trop tard, qu'il avait remarqué que la ville n'avait pas qu'une seule porte. Alors, il en avait rejoint une, au hasard. Là, il y avait vu des marques de charrettes sur le chemin. Persuadé que c'était là une trace de ses compagnons il les avait suivit.
Il avait vu deux levés de soleils depuis et toujours aucune trace de ses compagnons. Il soupira. Depuis sa fuite de chez son ancien maître, c'était la première fois qu'il était si désemparer. Il n'avait aucun pigeon à lui - de toute façon Espoir l'aurait mangé depuis belle lurette. Il ne savait pas ou il se trouvait. Il lui suffirait d'aller en taverne pour se renseigner... mais il avait peur des inconnus. Que feraient ces derniers si jamais ils voyaient sa marque? Comment réagiraient - ils?
Subitement, il sauta sur ces deux pieds. Non, il ne devait pas abandonné. Il fit face à l'entrée de la ville et avança...
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Description RP
C'est ce que vivait Mertin à ce moment. Pourtant tout c'était bien passé... au début. Ils étaient parti à six de leur village. Six voyageurs qui pendant plusieurs jours avaient marché ensemble. Bon, tout n'avait pas été rose, mais ils étaient ensemble, s'entraidant, se soutenant et plaisantant. Puis, ils étaient entrés dans une ville.
Ce n'était pourtant qu'une ville comme les autres, d'ailleurs Mertin avait déjà oublier son nom. Mais... tout étais parti de travers. C'est comme si, soudainement, chaque membre s'était rappelé des obligations à accomplir de suite. Était-ce du à la fatigue du voyage? A une malédiction? A une épreuve que le Très Haut leur avait destiné? Il ne le savait pas. Ce qu'il savait en revanche, c'est que le groupe s'était comme dissout.
Mertin avait bien essayé a ce joindre à quelques uns de ses compagnons, afin de ne pas être seul. Manque de chance, son faucon, Espoir, avait lui aussi décidé d'en faire qu'à sa tête et il n'avait pas voulut le laissé en arrière. C'est donc avec beaucoup de retard, qu'il s'était précipité vers les portes de la ville. C'était bien trop tard, qu'il avait remarqué que la ville n'avait pas qu'une seule porte. Alors, il en avait rejoint une, au hasard. Là, il y avait vu des marques de charrettes sur le chemin. Persuadé que c'était là une trace de ses compagnons il les avait suivit.
Il avait vu deux levés de soleils depuis et toujours aucune trace de ses compagnons. Il soupira. Depuis sa fuite de chez son ancien maître, c'était la première fois qu'il était si désemparer. Il n'avait aucun pigeon à lui - de toute façon Espoir l'aurait mangé depuis belle lurette. Il ne savait pas ou il se trouvait. Il lui suffirait d'aller en taverne pour se renseigner... mais il avait peur des inconnus. Que feraient ces derniers si jamais ils voyaient sa marque? Comment réagiraient - ils?
Subitement, il sauta sur ces deux pieds. Non, il ne devait pas abandonné. Il fit face à l'entrée de la ville et avança...
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