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Surprise pour futurs vassaux

Arianrod
Voila la journée était là, cette journée qu'elle avait tenue à tant gérer elle, mais qui fut largement dépassée par la joie de ses enfants à préparer pour leur mere son anniversaire. Si simplement ils savaient que la vrai raison n'était point celui ci, apres tout, ca ne les avaient meme pas étonné qu'elle veuillent le fêter alors que jusqu'à présent jamais elle ne l'avait fait ?!

Elle avait demandé quelques gens d'Ouillie de venir avec elle, et de se faire des plus silencieux, et surtout qu'ils leur étaient interdits sous peine d'etre congédié sans salaire de meme en parler aux autres domestiques.

Il fallait mettre en place la salle, deux grands fauteuils furent placés sur l'estrade, puis face à ceu ci nombreuses chaises furement installés de façon à ce que tous puissent voir ce qui se déroulerait dans quelques heures ici.

Apres quelques petites heures à surveiller, aider, et meme à rire avec ses domestiques, elle regarda la salle, elle était parfaite. Derniers détails.

Pensez à mettre du bois en continu dans la cheminée, je ne veux pas que cette pièce refroidisse.

Sur ces mots, elle sortit du salon pour rejoindre enfin sa chambre pour se préparer.

Ah oui et postez un garde à l'entrée de ce salon, nul doit y entrer meme les jeunes maitres !

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Baronne d'Ouillie, Dame d'Huest
Maman d'un garnement, d'une princesse
et d'un ange Hugues... Veuve d'un Blondinet
Reposez en paix mes Anges, je vous aime tous les deux
Arianrod
La Baronne avait quitté le salon au bras du Vicomte qu’elle avait fait exprès de ne pas présenter, elle lui souriait de temps à autre pour cacher une angoisse qui lui montait de plus en plus au fur et à mesure que ses pas frôlaient le sol du couloir puis de la grande salle car elle allait devoir faire une très grande annonce à ses cotés.

Combien de fois en secret elle s’était récité le discours qu’elle allait devoir faire devant tous les amis de la famille, elle voulait que cette journée soit la plus belle pour elle, pour lui, pour eux. Jamais elle n’avait du faire ce qui allait arriver, jamais elle n’avait du prendre la parole pour annoncer cette grande nouvelle qu’elle avait gardé secrète depuis si longtemps. Des missives échangées en secret, rendez vous donné, et voila, il était là à ses cotés, le Vicomte d’Avize, pour la conduire à sa nouvelle vie, vie qui changera pour toujours dans quelques minutes et pour longtemps car elle ne reviendrait jamais sur les promesses qu’elle allait faire, là, devant tout le monde.

Aidée de la main du Vicomte, la Baronne prit place dans un des deux grands fauteuils qu’elle avait fait placer spécialement pour le Vicomte et elle. Une fois qu’il fut assis, elle demanda que le silence se fasse. Une fois celui-ci de fait, elle regarda la salle, puis le Vicomte, puis ses enfants, son beau frère, tout cela allait bouleverser leur vie à tous ça elle en était sûre.

Elle se leva, prenant tout son courage dans certains yeux posés sur elle.

Comme vous le savez tous, nous sommes là pour fêter mon anniversaire, quelle chance pour moi que cette date tombe si bien. La raison de votre venue à tous, n’est pas la date de ma naissance loin de là même, mais c’était une très bonne excuse pour avoir auprès de moi toutes les personnes chères à mon cœur, et à celle de mes enfants car ce jour sera jour de fête.

Elle laissa un moment de silence s’installer lui reprit.

J’ai une grande annonce à faire, mais avant de faire celle-ci je voudrais vous présenter le Vicomte d’Avize, personne des plus importantes pour moi ce jour, mais avant d’aller plus loin j’aimerais que mon fils, ma fille et mon beau frère s’approchent de nous s’il vous plait.

Elle continua pendant que ceux-ci approchaient d’eux.

Je dois vous avouer que c’est bien la première fois que je prends parole de la sorte, et même pour annoncer mon mariage avec Aristide nous n’avions pas procédé comme cela, aussi ce jour est très intense pour moi en émotions car la nouvelle est tout aussi grande.

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Baronne d'Ouillie, Dame d'Huest
Maman d'un garnement, d'une princesse
et d'un ange Hugues... Veuve d'un Blondinet
Reposez en paix mes Anges, je vous aime tous les deux
Julien du Moutier
Gédéon avait semble t’il eu des consignes, nous passèrent tous dans la pièce à côté, les oreilles encore endolories de son appel.

Julien eut juste le temps d’apercevoir Arian se présenter au bras de l’inconnu devant deux fauteuils, prendre l’un d’eux et demander le silence.

Du regard, elle chercha ses enfants, lui même, son voisin de fauteuil…mais rien dans son regard n’avait pu éclairer Julien sur ce qui se tramait ici, et pourtant ses yeux avaient été si…expressifs auparavant…Julien sentait la moiteur gagner son corps.

Jour de fête pour elle….Vicomte d’Avise…Ulrich et Emeline…mais qu’était il en train de se passer ? Le sang quittait peu à peu la tête de Julien, son front perlait d’une sueur glacée…son beau-frère ?
C’est un peu chancelant, tout pâle que Julien fendit les rangs des invités pour rejoindre les enfants…son mariage avec Aristide…mais où diantre voulait elle en venir à la fin ???...s’apercevant qu’il avait toujours son verre à la main, que le dit verre était plein, qu’il n’allait pas se tenir comme ça devant tout le monde le verre à la main alors que l’heure était à l'agonie pour lui…il vida le verre, cul sec, le posa sur un plateau qui passait…et tenta de se donner bonne contenance en priant de tenir sur ses jambes à l’énoncé de cette « nouvelle tout aussi grande que son mariage »

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Ulrich
Ulrich suivit le mouvement de la foule, puis il écouta sa mère...
"Vicomte gnagnagna par-ci , vicomte gnagnagna par là", se dit-il... il chercha la main de sa soeur, pour la rassurer, pensait-il, quoi que c'était plus lui qui en avait besoin pour l'heure... Tout concordait dans son esprit... le discours de sa mère lui semblait limpide...

Et voilà qu'elle l'invitait à s'avancer, lui, ainsi que les personnes qu'elle chérissait le plus au monde...
Le jeune Lasteyrie palpa discrètement sa dague, à travers sa botte... son père s'était trompé, en lui écrivant qu'il n'aurait jamais plus à faire couler le sang d'un proche... Si on peut considérer que "beau-père" soit un parent proche...
Ulrich s'avança tête baissée, d'un pas déterminé. Il était prêt à en finir rapidement, avec le fameux "vicomte"... Il savait qu'il aurait l'avantage de la surprise... En s'avançant vers sa mère, Ulrich vit défiler de nombreuses images dans sa tête, à commencer par Lucrèce, puis, l'assassinat de César... Aurait-il la chance de plaider sa cause avec autant de verve que Brutus?
Il pensa que non: on se saisirait rapidement de lui, et il aurait la tête tranchée... Vicomticide, ca devait aller chercher loin...
Peut-être qu'on l'exilerait: il reviendrait en ce cas chercher sa soeur, et ils vivraient en paix, comme Cicéron, sur les bords du Pont-Euxin...

Ulrich laissa retomber son envolée lyrique... Il fallait être pragmatique: et s'il se trompait? Si le fameux Vicomte n'était qu'un oncle retrouvé, comme le bon Julien?

Arrivé en face de sa mère, il décida d'attendre un peu...
Sa raison avait-elle vraiment pris cette décision?
C'était probablement plus son instinct de fils, qui, voyant sa mère, plus rayonnante encore qu'à l'habitude, n'avait pas le coeur de lui ôter se bonheur qui se lisait dans ses yeux...

Il la regarda gravement, comme un père qui fait comprendre à son fils qu'il ne doit pas faire la bêtise qu'il est en train de préparer...

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Umondel
Le vieux Juge suivit le reste du groupe, fort intrigué par la nouvelle que la baronne était sur le point d'annoncer.

Qui était ce vicomte dont il ne cessait d'entendre parler ?

il soupira

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Emeline
Emeline avait regardé ses amis les uns après les autres avant de partir de la salle où le buffet se déroulait. Devant le regard de certains qui lui souriait elle n'avait su que penser et avait simplement haussé les épaules. Puis enfin Ulrich était revenue auprès d'elle glissant sa main dans la sienne.
Il ne lui avait dit aucun mots, elle n'avait su que penser, que se passait il donc, sa mère pourtant rayonnait de bonheur, en cela elle était heureuse mais... que venait faire ce Vicomte auprès d'elle.

Emeline n'était guère à l'aise quand ils entrèrent tout deux dans la seconde salle. Levant la tête elle jaugea la hauteur ce celle-ci et les murs sobre, tournant le regard elle observa la grande pièce avant de se reporter face à elle. Au loin devant sa mère était là fière et droite, le Vicomte à ses côtés surplombant la salle du haut d'un estrade de pierre, derrière eux il y avait deux grands fauteuils ouvragé.
La jeune femme prit peur, resserra légèrement l'emprise sur la main de son frère, son pas toujours aussi léger qu'une plume battait la mesure en une parfaite harmonie avec celui d'Ulrich.

Ils arrivèrent face à l'autorité familiale, leur mine grave égalait la mine heureuse de leur mère.
Emeline écouta les paroles de la Baronne sa mère, frissonnant elle ne pu s'empêcher de baisser le regard. Elle ne comprenait pas du tout la situation, elle n'aimait pas ne pas comprendre, elle n'aimait pas douter, elle respira un grand coup.
Dit toi que tu es au travail Emeline... Ce n'est peu pas ce que tu penses.
Une fois fait elle oublia ses doutes, se redressa, s'inclina pour saluer une nouvelle fois sa mère et le Vicomte. Puis elle plongea son regard émeraude dans celui de sa mère et attendit les explications qui ne tarderaient sûrement pas à venir.

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stephandra
Stephandra après avoir laissé la petite fille à son père en le saluant, avait suivit le mouvement des invités.

Arrivée dans la salle, elle chercha du regard son amie et sa famille, lorsqu'elle les vit elle se mit un peu en retrait et observait en écoutant l'instant était solennel.

Steph guettait le moment où Arianrod ferait sa grande annonce, tout en scrutant les impressions de chacun de ses proches. Les enfants semblaient un peu nerveux même s'ils étaient fiers de leur mère, Julien semblait défaillir doucement en ce demandant probablement ce qui allait se dérouler là maintenant...

Certes, cela faisait peu de temps que la jovente avait rencontré toute la famille, mais elle les aimait déjà et souhaitait partager leur vie le plus longtemps possible.
C'est donc avec une grande tendresse et attention qu'elle les regardait.

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Arianrod
Les invités entraient un par un dans la salle, certains regardant étonnés de ce qui se déroulait sous leur yeux. Elle plongea ses émeraudes dans ceux de son beau frère, Grand Dieu il avait l’air de se sentir mal, il n’allait pas lui faire un malaise là devant tout le monde quand même ?

Regard attendrissant sur sa fille, elle ne voulait pas que sa petite Princesse à elle se pose trop de questions, regard qui voulait simplement lui dire d’avoir confiance en sa mère coute que coute et dans toutes les situations.

Le regard de son fils qui la fusilla en disait long sur ce qu’il pensait, le voila encore plus jaloux que d’habitude... ce qui fit grandement sourire la Baronne, * hé bien soit mon fils si tu le prends comme cela continuons alors * se dit la brune tout en riant intérieurement.

Elle chercha dans la salle si une des pièces maitresses de cette journée était là, ou si elle était toujours à coté à boire et discuter.

Avant d’aller trop loin encore, je voudrais faire venir à moi notre Juge de Bourgogne, mon ami Umondel de Virloinval, pourriez vous s’il vous plait venir à nous aussi, vous serez le témoin de ce qui va se passer, en tant qu’homme de justice, vous serez parfait pour cela.

Une fois la petite famille rassemblait devant elle, elle sourit au Vicomte comme pour lui faire comprendre qu’elle allait faire ce pourquoi ils étaient tous là ce jour. Elle prit un air sérieux, grave, puis elle s’approcha et dans un chuchotement elle s’adressa aux quatre.

Vous ais je si mal éduqué Ulrich ? Et vous mon beau frère pas de savoir vivre ?! Umondel de même.

Dans un air agacée, enfin le faisait elle croire la brune, mais tellement souriante intérieurement, fallait bien leur faire monter la pression un peu plus.

Bien puisque vous semblez manquer de politesse, mettez un genou à terre tous les quatre et rendez hommage au Vicomte je vous prie...

Ils la connaissaient tous parfaitement bien, elle n’aurait jamais fait cela sans raison. Léger pincement au cœur de "punir" sa fille ainsi, de dire à son beau frère qu’il manquait de savoir vivre... chose complètement fausse en plus, espérant au fond d’elle que sa loyauté et sa fidélité envers la Baronne dépasse les paroles qu’elle venait de tenir à son propos et Umondel comprendrait il sans faire un scandale ? Et pour Ulrich une petit leçon ne lui faisait pas de mal, elle priait qu’il se plis à sa demande sans faire une chose qu’il pouvait regretter plus tard.

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Baronne d'Ouillie, Dame d'Huest
Maman d'un garnement, d'une princesse
et d'un ange Hugues... Veuve d'un Blondinet
Reposez en paix mes Anges, je vous aime tous les deux
estainoise
Esta se retrouvait donc dans cette autre salle....
Dans son coin, elle observait en souriant bêtement la scène......
Finalement, c'était instructif pour elle de se retrouver au milieu de tant de dentelles...encore un peu, elle aurait pris un bout de parchemin et aurait pris des notes.
stephandra
Stephandra en regardant les invités vit apparaître Estainoise. Alors en souriant elle se faufila doucement et s'approcha d'elle.

Décidément, on se croise partout dîtes moi Estainoise.

Stephandra lui sourit en lui prenant le bras elle la tira un peu en retrait où elles pouvaient papoter un peu, mais toujours avec la possibilité de voir tout ce qui se passe.

Vous êtes invité par qui? si ce n'est pas indiscret.

La jovente la regarda en souriant en attendant sa réponse.

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jason
Jason derrière une jeune, assez bien faite, il en convient, regardait la scéne
et surtout écoutait, cela semblait irréel, comme dans des ethers vaporeux.

Elle demandait à ses enfants de mettre genou à terre, cela ne se faisait que devant son suzerain.

Peut-être se dit il, j'ai du raté un épisode, ce Vicomte n'était pas son suzerain, ou alors il allait le devenir, mystère.

Bon se dit il attendons la suite des événements, il s'adressa à la jeune femme qui le masquait quelque peu ( estainoise)

Madame, vous y comprenez quelque chose, vous ?
O pardon, madame, je ne me suis pas présenté, je manque à tous mes devoirs, je suis Jason de Prie-Montpoupon, enchanté Madame
stephandra
Alors qu'elle parlait à Esta, un homme lui chuchotait à l'oreille.
O pardon, madame, je ne me suis pas présenté, je manque à tous mes devoirs, je suis Jason de Prie-Montpoupon, enchanté Madame

La camériste s'inclina devant le messire et se décala afin de ne pas les déranger en leur adressant un sourire, elle aurait sûrement l'occasion de parler plus tard avec Esta.

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kaoticgroup
Kaotic profita de la céremonie pour serrer des mains et se présenter

Le moment d'émotion etait trés fort, puis Kaotic apercut son ami Jason au loin

messire Jason je suis la, venez me rejoindre

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Julien du Moutier
Nous y voilà, Arian avait demandé à ce que ses enfants, lui-même ainsi qu’un sieur Umondel…inconnu aussi s’approchent de l’estrade.

Julien y était parvenu tant bien que mal, sans doute le petit verre de Calva l’avait il aidé, toujours est il que l’ambiance était lourde et silencieuse.

Ulrich semblait hors de lui, méfiant, l’œil sombre, il avait passé plusieurs fois la main sur sa botte.

Emeline ne quittait pas sa maman des yeux…le sieur Umondel semblait à l’aise, l’habitude du monde peut être.

Puis la voix d’Arian, ferme et douce à la fois le tira de ses analyses, et ce qu’elle leur dit le plongea plus encore dans des affres indescriptibles. Il eut même un haut le cœur en entendant dire qu’il manquait de savoir vivre…mettre un genou à terre ??? Rendre hommage au vicomte ???? Mais….

Julien fit un pas en arrière, médusé de ce que lui demandait sa belle –sœur…lui faire miroiter monts et merveilles pour finir comme ça ? À genoux devant un inconnu, aucune raison particulière de lui rendre hommage et pour couronner le tout, un doute horrible ne le quittait plus depuis quelques minutes…

Julien ne savait plus que faire, il venait à peine de promettre une fidélité sans failles à sa belle sœur que déjà il renâclait.
La mine on ne peut plus sombre, il se dirigea vers Arian, le regard obstinément rivé sur le pied de l’estrade.
Il posa un genou à terre, très lentement, releva le front, et eut toutes les peines du monde à ne laisser paraitre aucun défi dans ses yeux lorsqu’il la regarda…mais le message était clair…allons, si Arian prenait la peine d’une telle mise en scène, c’est qu’elle avait ses raisons…ne restait plus qu’à savoir les quelles et s’il les supporterait……

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jason
La jeune femme ne semblait pas avoir entendu sa question, mais peut-être est elle timide et n'avait pas le droit de parler à un inconnu, fut il le pape,
Quand il entendit une voix l'interpeller, grrrrrrrrrrrr.
Jason faisait de grands gestes pour que son ami parle plus bas, personne n'avait encore remarqué son retard.

Il le rejoigna, et lui dit

Bonjour Messire kao, plus bas, je suis arrivé en retard, et je voudrais pas que ca se voit
Comment allez vous ?
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