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Surprise pour futurs vassaux

Julien du Moutier
Une fois Emeline et Ulrich anoblis, Julien se releva, il venait enfin de comprendre qu’il y avait juste besoin de témoins à cette cérémonie…il venait d’être témoin de l’anoblissement de ses neveu et nièce, il en était très fier. Dieu merci, il ne s’était pas agi d’être le triste témoin d’une triste nouvelle comme il se l’était imaginé de prime abord.

Il se dirigea vers Emeline, qu’il prit dans ses bras avec un sourire…


Non ma douce nièce rassures toi, les témoins n’ont pas obligation à embrasser…je voudrais simplement te rendre hommage et te dire ma fierté. Je voudrais te dire qu’en l’absence de ton papa, il serait sans aucun doute lui aussi bouleversé de ce qui vient de se passer, il me revient de m’incliner devant toi. Porte haut les couleurs de la famille et n’oublie jamais que tu peux compter sur moi, quoi qu’il arrive !

Ce disant, il s’inclina humblement devant la jeune fille…puis se dirigea vers Ulrich.

Alors toi aussi ? Bien, j’en suis très fier, au même titre. Sache que mon défunt frère te considérait comme son fils, le jour où il a épousé ta maman, il t’a adopté, devant Dieu et les hommes, il a participé à ton éducation, comme un père…il serait très certainement très fier de voir ce que tu es devenu…pour moi, tu es mon neveu, et tu pourras compter sur moi, toi aussi.

Il lui donna l’accolade avec un grand sourire.

Voilà, Julien allait pouvoir enfin souffler un peu, l’air parvenait à nouveau librement à ses poumons, peut être allait il enfin pouvoir trinquer à l’anniversaire de sa cachotière de belle sœur…il lui jeta un regard plein de complicité…de joie…essayant ainsi de lui faire comprendre à quel point il était soulagé.

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Emeline
Emeline était très heureuse de voir sa mère ainsi, bien il faut parfois oublier un peu ses convictions pour le bonheur de ceux que l'on aimait. Et puis après tout, elle pourrait toujours rester elle-même, elle l'espérait. Comme le disait si bien feu son père et telle en était la devise de sa famille...

"Être je peux, paraître ne veux" , c'est dans cette optique qu'elle continuerait à avancer, elle murmura ces quelques mots du bout de lèvres regardant à présent son frère passer à son tour. Une fois fait elle lui sourit et vint doucement glisser quelques mots à son oreilles.


Je vous félicite mon seigneur, protégez nous toujours.

Son oncle s'était levé, venant de la prendre dans ses bras, elle rit aux paroles, oui un baiser était grandement suffisant, de plus elle préférait garder celui avec un homme pour plus tard tout de même. Emeline offrit un magnifique sourire à son oncle pour le remercier.

Je ne l'oublierais pas mon oncle, soyez en sûr et la réciproque est valable.

La jeune femme toussota ensuite quelque peu pour montrer à son oncle et son frère que visiblement la cérémonie allait continuer encore un petit peu. Elle resta donc fière et droite, n'ayant d'égale que sa mère pour retourner son regard vers elle.

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Arianrod
Arianrod était heureuse du cours des évènements, sa fille et son fils semblaient très heureux, et leur oncle encore plus, il était très fier surement de les avoir comme neveu et nièce. Mais une chose gêna la Baronne, il s’était redressé alors que ce n’était pas finit ?! Ahummm Arianrod cacha sa réflexion, elle trouverait bien le moyen de lui faire plier genou encore une fois. Pour le moment elle le laissa comme il était, heureux et pensant que plus rien pourrait lui arriver à lui. Chose encore des plus étrange, le regard de sa fille sur elle, son toussotement, comme si elle avait lu en elle la suite des évènements, c’était vraiment très fusionnelle entre la mère et la fille au point que bien souvent elle n'avait pas besoin de parler à sa fille pour qu'elle sache ce que le mere pensait, toutes les fois que la Baronne posait son regard sur sa Princesse elle croyait se voir elle à son âge.

Bien il fallait continuer, nouvelle respiration, regard sur le Vcimote qui semblait écrire encore, puis elle regarda son ami.

Umondel mon ami, tu as été là souvent pour moi, souvent à mes cotés, me soutenant par tous les temps, tu as su me faire sourire et rire à un moment de ma vie ou je venais de tout perdre. Fidele tu l’as été envers moi, ton bras tu l’as toujours mis à mon service, tes conseils furent tous les bienvenus.

Aussi ce jour ainsi que m’y autorise mon titre de Baronne, je donne à Umondel, jouissance des pouvoirs et terres sur la seigneurie de Saint Laurent du Buisson, située en mon domaine d’Ouillie.

Jure moi, Umondel de servir loyalement, fidèlement et sans dissimuler ton seigneur
?

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Baronne d'Ouillie, Dame d'Huest
Maman d'un garnement, d'une princesse
et d'un ange Hugues... Veuve d'un Blondinet
Reposez en paix mes Anges, je vous aime tous les deux
Umondel
Umondel la regarda dans les yeux.
Ces paroles, il les savaient d'application depuis longtemps, mais à titre informel.
Qu'elle l'entende donc clairement maintenant !


Je te jure fidélité, assistance, soutien et conseil en tous temps, en tous lieux et en toutes circonstances.

Dussé-je périr dans d'atroces souffrances si ce serment je parjure !

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Arianrod
Arianrod sourit chaleureusement à son ami, bien sur qu’elle le savait, il lui avait déjà dit de nombreuse fois en privé, mais ce jour devant témoins il venait de le dire haut et fort.

Redresse-toi maintenant s’il te plait.

En échange de ces vœux, je t’octroie terres. Moi, Arianrod du Moutier de Cénorel, Baronne d’Ouillie, Dame d’Huest, je te confie les terres de Saint Léger du Buisson, afin que tu y conduises la politique qui te semblera la meilleure et que ce domaine prospère comme il se doit. Je te laisse choix sur l'orientation et les décisions. Que ces terres de Saint Léger du Buisson soient le terreau du bon développement de ta future famille et future descendance mon ami.

En échange de ces vœux, je te promets protection, aide, justice et subsistances. Tu rentres, ce jour dans le lignage nobiliaire d'Ouillie. Quiconque attaque tes intérêts attaque par la même occasion les miens. Qu'il soit donc connu et rapporté cet état de fait.


Un regard sur les invités.

Qu'il soit maintenant connu qu’Umonde de Virloinval, devienne le Seigneur de Saint Léger du Buisson.

Désormais, il portera en ayant droict et devoir les couleurs de ce domaine, le blason.


Elle s'approcha de son ami, posa ses deux mains sur les épaules de celui-ci et lui fit le baiser vassalique comme elle venait de faire à sa fille, son fils. Elle lui sourit à nouveau et lui tendit une petite poche de cuire ou se trouvait de la terre de Saint Léger du Buisson.

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Baronne d'Ouillie, Dame d'Huest
Maman d'un garnement, d'une princesse
et d'un ange Hugues... Veuve d'un Blondinet
Reposez en paix mes Anges, je vous aime tous les deux
Umondel
Umondel tenta de se redresser, mais s'étala de tout son long.
Dame, c'est que cette position lui avait été pénible.
Il s'accrocha au bras du Seigneur d'Hermival et reprit une attitude digne


Merci, ma désormais suzeraine.

il se demandait quel était ce goût de menthe qu'il percevait sur ses lèvres.
Quelle tisane avait-elle donc bue auparavant ?
Il sourit.

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Ulrich
Ulrich se pencha vers Julien...

Je n'oublierai jamais ce qu'Aristide fit pour moi, il fût comme un second père; et la reconnaissance que je n'ai pu lui témoigner ne peut que se reporter sur vous; vous pouvez donc compter sur moi comme un fils!

Puis il se retourna vers Umondel...

Félicitations, vieille canaille!
Pour le reste, mon frère, cela se paiera!


Il avait envie de dire quelques mots à sa soeur, mais il attendrait pour cela d'être en privé...

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Arianrod
La Baronne n’avait pu étouffer son rire en voyant son vassal s’étaler au sol, c’est qu’il se faisait vieux le Umondel !! Ou Alors le Tout Puissant venait de le punir d'avoir profiter des levres de la Baronne. Ou tout simplement les deux.

Ne me remercie pas mon vassal, tu le mérites crois moi.

Et voila encore quelques minutes et tous pourraient féliciter les personnes pour qui ils avaient tous garder le secret, que ca avait du être dur pour des amis de ne pas dire la raison de leur venue en plu de l’anniversaire de la Baronne. Elle était heureuse car ses vassaux avait des amis formidables sur qui ils pouvaient tous compter, il n’y avait là aucun doute.

Elle regarda tendrement son beau frère, le sachant maintenant encore plus soulagé elle lui mettrait le coup de grâce, coup qu’elle prendra le plus grand plaisir à mettre. Elle ne lui dirait pas tout de suite de plier genou devant elle encore, laissons lui croire encore que c’est finit.
D’une voix un peu plus forte car le brouhaha commençait à se faire dans la salle, elle continua.


Comme vous le savez, enfin mes amis, je suis une du Moutier, enfin épouse et veuve du Moutier, quand j’ai épousé mon Aristide c’était pour le meilleur et pour le pire, malheureusement le pire à voulu que cela nous arrive, il a trépassé bien trop jeune à mon gout me laissant seule avec 3 enfants dont un est décédé il y a quelques mois maintenant.

Aussi cette journée est donné en mémoire de mon époux, je veux que de son petit nuage il puisse voir ce qu’est devenu sa famille, son épouse, ses enfants, et son frere.


Elle plongea son regard dans celui de Julien

Oui oui je parle bien de vous mon Julien, je veux qu’il voit ce que vous êtes devenu, ce que vous allez devenir. Il se dit qu’on n’épouse pas la famille mais l’homme ou la femme, mais on devient père s’il y a des enfants, et si on est chevalier on épouse même la famille, on lui doit aide, fidélité, protection. Et pour ma part je vois la vie comme cela, en tout temps, en tout heure vous le saviez vous pouviez compter sur moi, comme moi je suis sur à ce jour que c’est votre cas.

Il y a peu vous m’avez dit "mon temps sera vôtre désormais ma Dame". Vous m’avez promis de vivre pleinement votre vie à la seule condition que ce soit à mes côtés... Vous avez fait à mon époux donc votre frère avant que le mort l’emporte une promesse, celle-ci était que vous veilleriez toujours sur moi et les enfants, chose que vous avez faite sans jamais faillir à votre parole.

Vous êtes mon dévoué et je le sais très bien, et comme je vous l’ai souvent dit aussi, je suis votre dévouée également. Comment vous remercier pour tout cela, comment vous remercier de tout ce que vous avez fait sans que personne ne le sache ? Vous avez tout quitté de votre vie pour enfin venir tenir cette promesse, laissant derrière vous travail, maison, amis… pour vivre à mes cotés, aux cotés de votre nièce et neveu.

Aussi mon cher beau frère, posez genou à terre face à moi s'il vous plait.


Elle planta ses émeraudes emplis de tendresse dans les siens tout en lui souriant elle attendit.

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Baronne d'Ouillie, Dame d'Huest
Maman d'un garnement, d'une princesse
et d'un ange Hugues... Veuve d'un Blondinet
Reposez en paix mes Anges, je vous aime tous les deux
Riwenn
C'estait donc cela...

À peine Riw et sa fille avaient-ils pénétré dans le salon qu'ils purent assister à la cérémonie. Bien entendu, la fillette ne pouvait rester en place, mais Riw devait la retenir pour le moment. Il s'accroupit près d'elle afin de lui chuchoter quelques mots. Un plus grand sourire lui vint avant de prendre la parole, en voyant le baston de sucette dépasser d'entre les lèvres de son enfant.


Si tu es sage quelques instants, nous irons à la recherche de la petite fille que nous avons vu dans la salle précédente.

En faict, il avait déjà entr'aperçu l'autre fillette avec un couple, qui devait sans doute estre ses parents. Il irait se présenter, ainsi que Maëlya, d'ici quelques instants.

Ils escoutèrent - surtout Riwenn - les paroles de la Baronne, envolée lyrique pour un mémorial consanguin et révérenciel envers le Seigneur qui se faisait là anoblir.
Julien du Moutier
Emeline et Ulrich furent exemplaires avec leur maman, durant toute la cérémonie, adorables avec leur oncle lorsqu’il était venu les féliciter…leur paroles lui avaient réchauffé le cœur, mais il n’eut pas le temps d’en profiter, il semblait en effet que tout ne soit pas encore fini…ce fut le tour d’Umondel, très à l’aise, il était manifestement de ceux qui partageaient la vie d’Arian depuis longtemps….le pauvre, pas si à l’aise que cela, il manqua de se faire mal en s’étalant devant sa Suzeraine…cela eut au moins le mérite de détendre un peu l’atmosphère.

Julien resta debout, le sourire aux lèvres, il était heureux pour sa belle sœur, il la regarda quand elle reprit la parole….et voilà qu’elle en remettait une couche dans le mélodrame, pourquoi avait elle besoin de lui parler d’Aristide ? Et pourquoi parler de tout cela maintenant…il avança…


Mais Arian, il n’est point besoin de me dire ceci devant tout le monde, mes promesses ne regardent que nous…oui, je le sais bien…mais vous avez dores et déjà fait tant pour moi, vous m’avez si généreusement accueilli parmi vous…tout ceci suffit amplement à mon bonheur…

Plus les paroles d’Arian lui parvenaient plus il se sentait mal à l’aise, une drôle de sensation s’emparait de lui maintenant…on était bien sensé lui faire sa fête aujourd’hui non ? Et là, elle distribuait joie et bonheur à qui mieux mieux tout autour d’elle…

Pffff, voilà qu’elle lui demandait à nouveau de s’agenouiller…


Mais Arian…soit, je le fais parce que c’est à vous, à vous seule que je veux rendre hommage !

Il vint se planter devant elle, soutint son regard, il était si beau, si tendre, si plein de bonté, de joie, qu’il ne put faire autre chose que de laisser tomber un genou au sol. Il était juste devant elle, quasiment à ses pieds, les yeux toujours vissés dans les siens…

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Emeline
La jeune femme étouffa un petite rire discret entre ses mains, le pauvre juge avait eu visiblement son compte de genoux à terre. Elle regarda son frère souriante qui l'avait aidé et paraissait à présent tout à fait calme.
Emeline prit la main de son frère et le tira un peu par le bras pour qu'il aille se poster derrière leur oncle à présent de nouveau à genoux.
On ne sait jamais qu'il ai des envie de fuir en courant comme elle y a peu, elle savait aussi au fond d'elle-même que jamais il ne voudrait défère le sourire radieux de sa mère en ce jour.

Toutefois on était jamais trop prudent!

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Maëlya Gwenn
La main dans celle de son père juste le temps d'entrer dans la salle. Passer une main autour de la jambe de son père qu'elle enlace tandis qu'elle suce bruyamment la dicte sucette au Calva. Et sa tête qui se met doucement à tourner et ses muscles à ramollir, l'effet de l'alcool sans doutes. Son père lui intime gentiment de rester sage, du moins pendant la cérémonie, intimidée par tout ce cérémonial, elle s'exécute; enfin presque. Elle gigote, se tortille dans tous les sens, joue avec le bonbon et le bâton dépassant de ses lèvres, tout en regardant attentivement la petite fille, songeant à la promesse que lui avait faite son père, celle d'aller la retrouver lorsque ce serait fini.

Elle se perdit à rêvasser de jeux avec celle qui était désormais haut perché dans les bras de son père. Pfff que le temps pouvait être loooooooong des fois...

Un œil vers la cérémonie, où en étaient les grands? Julien, il avait un genou à terre faisant face à la baronne. Mais à quoi jouaient-ils là?
Arianrod
Voila il avait un genou à terre son beau frère, et en plus il lui soutenait le regard, on aurait dit son frère à Evreux le jour ou elle fut Dame d’Huest.

L’avait elle vexé en parlant de tout cela devant leur amis ?! Le doute la refroidi complètement, la Baronne se referma sur elle-même tout en gardant le sourire pour ne pas faire voir ce changement de sentiment qui c’était emparé d’elle.

Elle souffla, presque déçue d’elle ? de lui ? Avait elle bien comprit ce qu’il avait voulu lui dire par "il n’est point besoin de me dire ceci devant tout le monde, mes promesses ne regardent que nous... " Pincement au cœur, elle qui voulait le remercier, avait en fait tout simplement réussi à vexer l’homme... bien mais il fallait continuer, cela ne changerait pas sa décision.

En ce jour ainsi que m’y autorise mon titre de Baronne, je donne à Julien, jouissance des pouvoirs et terres sur la seigneurie de Saint Léger du Houley, située en mon domaine d’Ouillie.

Jurez vous, Julien de servir loyalement, fidèlement et sans dissimuler votre seigneur ?

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Baronne d'Ouillie, Dame d'Huest
Maman d'un garnement, d'une princesse
et d'un ange Hugues... Veuve d'un Blondinet
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Julien du Moutier
Julien était abasourdi, son extrême pudeur lui rendait la situation pénible, il entendit les mots d’Arian comme dans un rêve, son esprit était devenu cotonneux…était-ce Dieu possible qu’elle ait parlé de lui en ces termes ? Avait-elle compris qu’il serait resté à ses côtés quoi qu’il arrive, que rien ne comptait plus à ses yeux que d’être là, tout simplement.

Son menton était retombé sur sa poitrine, accablé de se donner en spectacle de la sorte.

Relevant la tête, il parvint à sourire, prit les mains d’Arian dans les siennes, resta un moment comme ça, à réfléchir, à choisir ses mots…


Ma si chère Arian, c’est un honneur immense que vous me faites là…vous savez pour me l’avoir entendu dire que ma vie vous est dorénavant dédiée…vous savez aussi à quel point je suis pudique sur certaines choses et qu’il m’est parfois difficile d’exprimer ce que je ressens au fond de moi…

Le regard devenant plus…vert, il ajouta

Arian, oui, je fais le serment de vous servir, de vous protéger, de coller à vos bottes, partout, en toutes circonstances, je vous jure de vous chérir, tous les jours que Dieu fait, de vous aimer même…de la façon que vous m’autoriserez, d’être un père pour vos enfants…je serai…….pourvu que ce soit à vos côtés !

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Arianrod
La Baronne pensait l'avoir vexé mais non, juste de la pudeur, comment avait elle pu oublié cette qualité ou défaut, tout dépend de quel coté on se place.

Elle plongea son regard au fur à et mesure que les mots du beau frere sortaient de sa bouche, ses mains devinrent mouattes, elle senti une grosse fievre au joues, elle venait de devenir rouge, surement aussi rouge qu'un champ de coquelicot qui venait de fleurir.

Elle voulait fuir ses émeraudes, d'aileurs c'était bien la premiere fois qu'elle n'arrivait pas à tenir un regard, ses yeux intérrogateurs passerent sur tous les invités rapidement puis de sa fille, à son fils, de son fils à Stephandra au fond de la salle, puis de Stephandra au Maréchal, puis du Maréchal à Julien, elle commencait a avoir le tournis.

Elle serra ses mains dans celle de son beau frere comme pour éviter de défaillir, Grand Dieu que cette journée était lourde en émotion, elle qui pensait faire une surprise à des personnes chers à son coeur, voila qu'elle se retrouvait devant tous à entendre une déclaration d'amour de la personne la plus pudique du Royaume.


Ju... Julien s'il vous plait... je... vous...

Elle ne savait plus quoi dire, comment les dire, elle était toute chamboulée mais il manquait une chose. Elle s'accroupi face à lui, puis tres doucement au creux de son oreille elle lui glissa d'une voix tres émue de ce qu'elle venait d'entendre.

Votre serment....

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Baronne d'Ouillie, Dame d'Huest
Maman d'un garnement, d'une princesse
et d'un ange Hugues... Veuve d'un Blondinet
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