[Salle d'Attente] Buffet, Pomme, Armagnac et Cetera.

stephandra

Stephandra qui était revenue près de la petite, regarda amusée la sucette tendue par Emeline. Son regard allait d'Emeline à Maëlya puis à la sucrerie qui à son avis était une sucette au calva.

La jovente se demandait si Maëlya allait apprécier le goût particulier, alors elle adressa un sourire et lui dit au creux de l'oreille:

Hum...Damoiselle Maëlya , si vous n'aimez point n'hésitez pas à me le dire, je vous en débarrasserai sans mot dire...je connais cette friandise c'est un peu fort vous savez. Au fait vous pouvez me dire tu et m'appeler Steph.

Steph regarda Emeline qui se bouchait les oreilles en observant Gédéon. La jovente resta non loin de l'enfant qui se demandait certainement si cette sucette serait à son goût en terminant de se régaler de son fruit confit à l'orange.

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Julien du Moutier

Julien était en train d’essayer de comprendre ce qui avait bien pu changer à ce point dans le crâne d’une enfant qu’il avait connu nourrisson et qu’il retrouvait presque femme….il lui avait tendu un verre de Calva, sentant en elle la presque femme….devant sa moue il avait remplacé le verre de Calva par une sucette au Calva…et voilà qu’elle semblait offensée qu’on la traite en enfant… était-ce le fait de la femme ou de l’enfant ?

Il était vraiment grand temps qu’il passe un peu de temps avec Emeline afin de comprendre…à moins qu’elle n’aime vraiment pas le Calva…boisson d’ancêtre ça, il est vrai qu’en taverne, de nos jours on trouve des boissons enivrantes bien plus…pétillantes de jeunesse !

Et Arian qui file comme ça, sans rien dire au bras d’un autre inconnu, Ulrich qui aurait presque fusillé le dit inconnu si ses yeux l’avaient pu et Emeline qui décampe et se débarrasse de cette relique familiale qu’est la sucette au Calva de mon frère…et où va-t-elle aussi…Julien venait de prendre conscience que tout devenait morne soudain sans le bras d’Arian…Il fut tiré de ses « réflexions » par le hululement de Gédéon…ah, une nouveauté…les mains de Julien devenaient moites….

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Riwenn

Tandis que Riwenn approchait de sa petite dont il ne voyait que les bouclettes, sa vision disparut. Sa petite avait quitté les bras d'Ulrich.

Il se mit sur la pointe des pieds mais cela ne l'aida en rien à retrouver son petit bout de chou. Il avança donc au hasard parmi la foule.

Après de longues minutes de recherche, et le cri d'un homme, qui devait sans doute estre un domestique, invitant la foule à se rendre au Salon, il aperçut son enfant, en compagnie de deux jeunes femmes, l'une lui présentant un boite, sans doute de confiseries, vu ce que sa petite engouffrait, et l'autre tenant une sucette devant la fillette.

Quelle gourmande il avait là !

Il demeura à distance et regarda la scène, sourire aux lèvres.

leovigild

Leo tenait la main de passion tout en lui expliquant ce qu'il avait vécu ici les soirées arroser au calva avec Aristide les parties de lancer de tomates entre Ulrich et lui ..les caches caches entre lui et Cunégonde. quand il repensait à cette pauvre femme qui le poursuivait partout dans Lisieux ca le faisait rire

Ils arrivèrent enfin dans la salle il y avait énormément de monde des têtes connus d'autre pas du tout ..enfin qu'il connaissait pas. voyant les gens qui se déplaçait il regarda son ange ....

Bon je crois que Rapide était pas a son top on est arrivé en retard ou alors j'ai trop trainé pour te raconté mes souvenirs enfin je te ferai rencontré Arian tout a l'heure il pris la main de Lady et suivi le mouvement de foule

estainoise

Au début, elle essayait de suivre les présentations, mais peu à peu l'ennui l'avait gagnée et elle s'était réfugiée auprès du buffet.
Esta au milieu de cette foule inconnue s'occupait alors à se servir des verres.

Elle aurait souhaité échanger quelques mots à Stéphandra, finalement seule personne qu'elle connaissait,... si peu mais un peu, mais celle ci ne semblait pas l'avoir vu ou même la reconnaitre.

Alors elle s'enfilait des verres de ce breuvage doré qui commençait sérieusement à lui chauffer les oreilles.

Tout à coup...une annonce tonitruante la fit sortir de ses rêvasseries vaporeuses....
Il fallait passer à coté....

Elle suivit alors le troupeau, la tête haute en essayant de ne pas trop tituber déjà....

jason

Jason fut introduit dans la salle par le Garde, et une fois que sa mission fut atteinte, il s'effaça.

Jason vit des personnes qu'il connaissait, la baronne, son fils Ulrich, Orléans, le juge juge Umontel, et son ami Kaoticgroup, les autres lui était totalement inconnus.
Il essayait de ne point se faire remarquer, il était inconvenant d'arriver en retard; mais La Baronne comprendrait que Paris l'avait retardé.

Il était à peine arriver que la troupe changeait de pièce, jason prit la queue du Cortège, toujours pour ne pas se faire remarquer.
dans ce cas là, surtout suivre

Warthe

Et bah lui qui voulait se faire petit... Warthe espérait que peux de monde aient entendu les éloges faites par Ulrich. Et voila qu'Arianrod faisait une révérance.

L'pitchot resta bouche bée à la fois par l'élégance de sa Pitaine mais aussi et surtout par la révérance. Jamais on lui avait expliqué ce qu'il devait faire dans ce cas là... Warthe ne bougeait plus mais sa tête surchauffait, ou pouvait tout de même voir ses lèvres bouger mais on ne pouvait entendre sa voix. Garde à vous ? Révérance ? Inclinement de tête ? Le salut habituel des tavernes quand il croise une Dame ? Garde à vous ? Révérance ? Inclinement de tête ? Le salut habituel des tavernes quand il croise une Dame ? Garde à vous ? Révérance ? Inclinement de tête ? Le salut habituel des tavernes quand il croise une Dame... ?

Après pas mal de temps, il finit par bouger, lever son chapeau et s'incliner poliment.

Adishats Pitaine et joyeux anniversaire ! Je n'aurai pas pu ne pas venir pour un tel évènement.ajout d'un sourire sur ses lèvres pour boucler la phrase

Finalement, il trouvait qu'il avait assuré la fin. Déjà ça pour une première... Puis il regarda le Sieur qui était avec Arianrod.

Enchanté Messer. Inclinement à nouveau mais uniquement de la tête, c'est qu'il va pas se fatiguer non plus à trop se baisser !

Et enfin, il finit par se tourner vers son ami.

Ulrich, content de te revoir. J'attends toujours ta visite en Gascogne...
Hop, ça l'obligera à venir un d'ces jours...

Warthe se dirigea par la suite dans un des coins de la salle. Pas habitué à voir autant de monde, surtout autant d'inconnu, qu'il préférait se faire le plus discret possible...

Il remarqua l'arrivée de son futur parrain ainsi que de celle de Deubs et de sa future marraine. Faudrait qu'il pense à leurs dire que son bâptème est pour bientôt...

Bref, c'était pas le moment de toute façon, Warthe entendit qu'il fallait changer de salle. Le meilleur moment allait-il enfin se faire voir ? C'est qu'il commençait à le désirer le Warthou...

Rochefort

Rochefort déposa discrètement sa hache à l'entrée du salon, derrière un rideau, puis s'avança vers le buffet, d'un pas lourd et brutal... Il ne connaissait pas les convives, du moins pensait-il, c'est pourquoi il ne s'y intéressa pas de suite.

Le garde à l'entrée l'avait mis de mauvais poil... Et après une telle route il avait la soif et la faim à étancher...

Il prit donc un large verre, et s'y versa de l'un des alcools proposés, tremblant et grognant puis il le vida d'un trait.

AHHHhhh...

Il s'essuya la barbe et repensa à sa querelle dehors... Il en avait oublié de remettre en ordre sa tenue. Aussi discrètement qu'il le put, il prit un mouchoir et épongea le sang étranger sur son visage et sur sa main... Puis, le fourrant dans l'une de ses poches, il réajusta sa fourrure et l'epousta d'un geste brusque...

Déjà il s'intéressait à la bectance déposée sur la table...

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Rochefort en musique

Tequila

Elle fit son entrée tenant par la main sa petite Orlane. Elle reconnut ses frères de l'Ordre, des amis de missions et elle leur adressa un signe de tête mais n'osa pas les déranger.

Elle regarda autour d'elle et chercha du regard son merveilleux époux.

Orlane

Orlane tenait la main de sa mère fermement pour ne pas la perdre. Il y avait tant de monde que la petite ne savait plus où mettre ses pieds? Et puis surtout plein de monde qu'elle ne connaissait pas, ce qui accentua son mutisme et sa timidité. Elle reste donc collé au jupon de sa mère en regardant, avec de grand yeux avide de savoir, les gens qui l'entouraient

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Ladypassion

Lady écoutait Leo et se laissait guider jusqu'à une salle emplie de monde. Coup d'oeil rapide, elle ne connaissait personne et se rapprocha instinctivement de son chéri.

En effet, faut croire que Rapide n'a pas été si rapide que ça..

Elle lui sourit. Mais la foule s'était mise en mouvement et les entrainait vers une autre salle. Lady restait tout près de lui, tenant fermement sa main, son unique point de repère dans cette marrée humaine. Au passage elle crut voir Keur.. et une personne qu'elle avait connue il y a bien longtemps maintenant.. dans le sud..

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Maëlya Gwenn

Elle mâche la sucrerie sans se lever de sa chaise regardant la Dame s'éloigner; occasion rêvée de s'approprier la boite. Puis après le bonheur de cette perspective sucrée vint la crainte que ses dents ne tombent; les grands évoquaient souvent cette possibilité en la regardant s'empiffrer de fruits confits à longueur de journée; crainte vite balayée par un mouvement de tête et un haussement d'épaules tandis qu'elle songe à replonger sa main dans le coffret pour se resservir. Stephandra revenait en même temps que la fille de la Baronne, fille qui se pencha vers elle et lui tendit une sucette. Elle n'en avait jamais vu, jamais mangé non plus, mais puisque la jeune femme affirmait que c'était bon et qu'elle avait passé l'âge, la petite ne se fit pas prier non plus. C'est qu'elle finira carrée si elle persiste à s'empiffrer de la sorte... Elle tend sa main et attrape le petit bâton au bout duquel trône un magnifique bonbon; bonbon qu'elle examine longuement.

Merci ma Demoiselle; lui lance-t-elle souriante, attendant d'avoir terminé avec les politesses pour pouvoir y goûter. Moi, c'est Maëlya! Et toi? C'est Emeline c'est ça? ...

Hum...Damoiselle Maëlya , si vous n'aimez point n'hésitez pas à me le dire, je vous en débarrasserai sans mot dire...je connais cette friandise c'est un peu fort vous savez. Au fait vous pouvez me dire tu et m'appeler Steph.

Leurs voix furent coupées, voir recouvertes, par celle d'un homme qui braillait quelque intimation concernant le fait de changer de salle, la petite n'insista pas. Pour réponse à Steph, elle lui sourit, avala précipitamment ce qu'elle mâchait et se fourra le bonbon en bouche -on ne sait jamais qu'elle se mette en tête de le lui reprendre- après une courte grimace trahissant la surprise provoquée par le goût, elle se leva sans y renoncer pour autant.

Les gens commencèrent à se diriger vers l'autre salle, elle put alors découvrir son père non loin de là. Elle lui sourit, le bâton dépassant de ses lèvres. Mais ce ne fût pas tout, elle put aussi apercevoir, non sans joie, une autre petite fille...

Riwenn

Alors que tous se dirigeaient vers le salon indiqué par le domestique, Riw vit sa fille lui sourire, la sucette en bouche. Mieux encor, il aperçut une autre fillette non loin de là, chose qui le fit sourire autant que sa fée.

Il s'approcha près de sa progéniture et lui prit la main après lui avoir baisé le front.

Viens ma gourmande, allons voir ce qu'il y a à manger dans l'autre salle !

Un coup d'œil à l'autre petite fille, espérant que Maëlya le voit faire

Tu auras sans doute l'occasion de t'y amuser...

[Salle d'Attente] Buffet, Pomme, Armagnac et Cetera.

Hardy

Hardy accompagna les invités dans un salon adjacent à la salle de réception...

Nous y voilà, Messire!
Le maître d'hotel ne tardera pas à arriver, en attendant, prenez vos aises

...dit-il en désignant les sièges...

Puis il repartit aussi vite qu'il était arrivé...

legrandalsacien

L'accueil était des plus convivial ce que ne nous doutions point.

Merci Messire , c'est avec plaisir que nous vous suivons.

Tenant par la main sa dulciné , nous nous dirigions vers l'endroit désigné.
Les tables étaient magnifiquement décorées avec goût et sans luxure exubérante. Mon regard se détournait de temps a autres vers les fenêtres pour apercevoir les paysages recouverts d'une couverture blanche ou les arbres dénués de leur feuillage semblaient y tenir en équilibre.

Me retournant vers nos deux accompagnateurs

Voila un domaine magnifique , j'imagine qu'il demande beaucoups de travail pour entretenir une maison et des jardins avec tant de goût.
Désolé de ne pas répondre à votre attention de m'assoir , non pas que les fauteuils ne me semblent pas confortable mais le voyage sur ma monture a été pénible

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http://www.youtube.com/watch?v=ZwY___hhhX8

siaam

Siaam admirait les lieux, tout paraissait bien paisible. Les tentures avaient été choisies avec goût.

Elle se tourna vers son fiancé, tout en lui tenant la main, elle s'approcha de lui et lui murmura

Justement moi la balade à cheval m'a fort éreintée donc je vais m'assoire un peu sur ces fauteuils qui m'ont lire bien plus confortables que la selle du cheval.

Siaam sourit et prit place

stephandra

Stephandra suivit sans mot dire, d'ailleurs que dire?
Stephandra regardait tout en détail et trouvait tout cela splendide, après quelques couloirs traversés les voilà arrivés.

Merci pour votre amabilité messire.

A peine dans la pièce où elle admirait l'ensemble avec un léger sourire, Stephandra vit Siaam et Alex, elle ne pu s'empêcher d'aller les retrouver tout sourire.

Bonjour Siaam et Alex, quel plaisir de vous revoir, vous avez fait bonne route?

Steph après avoir salué Siaam et Alex allait rapidement retrouver Arianrod dans ses appartements.

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Mimmome

Un homme de noir Vêtu, en signe de deuil, arrive à la cérémonie. Avec son valet à sa suite, il salua les présents, en maintenant bien sur son capuchon. En marchant avec une allure de mercenaire, mais avec la portance d'un diplomate, il alla saluer tout ceux qui étaient présent en la salle.

Salutations, dame Stephandra,comment s'est passé votre voyage avec dame Armoria? Salutations, Messire Legrandalsacien, alors, cet homme qui devait aller en Provence, il y est arrivé? O dame Siaam, alors, vous vous etes reconvertie en quoi?

Mais avant que n'importe qui puisse rèpondre, un mal de jambe le fis un peu flancher.

DERRICK, search a ...

Et en disant ces mots, Derrick, toujours prèvoyant, pris une chaise et lui porte. Mimmome, alias l'homme en noir avec un beau capuchon grisaillant, s'assit.

legrandalsacien

LGA salua tour à tour les différents invités qui se présentaient dans la salle.
Bonjour Dame Stephandra , ravi de vous revoir icelieu.

Se retournant il ne reconnu point l'homme encapuchonné qui s'adressait à lui.

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stephandra

Alors qu'elle discutait avec Alex et Siaam, elle reconnu Mimmome, le salua en lui répondant qu'effectivement elle avait fait un bon voyage et rencontré des personnes forts intéressantes. Puis elle le regarda prendre place sur une chaise.

Veuillez m'excuser je vous laisse, je vais rejoindre notre hôte, je vous dis à très bientôt.

Stephandra souriante salua Siaam et Alex ainsi que Mimmome puis pris congé en suivant Laurel.

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galahad*

Galahad fut dirigé vers le salon, accompagné de Laurel.

Merci pour votre bienvenue et les soins que vous porterez à mon cheval. Voilà un bel accueil qui me laisse présager un excellent séjour.

Il rencontra Hardy à la porte de la salle d'attente qui prenait le relais de Laurel à la porte du château. Salué, Galahad fut invité à prendre siège dans le salon et à se restaurer quelque peu où une chaleur bienfaisante accueillait les invités. Il salua les trois personnes présentes.

Je me présente, Seigneur de Monterolier. Je vois que nous ne serons pas les derniers à assister à l'anniversaire de la baronne. dit-il en souriant.

Laurel laissa les convives et répéta qu'ils pouvaient s'asseoir. Mais Galahad s'approcha d'une des fenêtres pour admirer le parc et les arbres ployant sous le poids de la neige. Il aperçut de nouveaux arrivants patienter devant la porte du château. Il fut heureux de reconnaître des visages connus, Matouminou et Horloger.

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estainoise

Esta n’avait pas fait tellement attention, mais il est vrai qu’il y avait du monde qui attendait aux portiques ! Elle s’était alors tournée vers les uns et les autres en les saluant doucement lorsque le garde arriva enfin.
Lorsqu’elle entendit le nom de Robinettedesbois, elle se retourna vers la dame en question. Sans pour autant connaître cette dame, en effet ce nom, elle le connaissait ! Tiens, une bourguignonne se dit-elle encore en lui souriant de plus belle.

Esta laissa conduire sa jument aux écuries et suivit le petit groupe d’invités qui suivait lui-même le garde.

Dans le dédale de couloirs, c’est avec surprise mais non sans plaisir qu’elle croisa une dame qu’elle connaissait et avec laquelle elle avait eu le loisir de discuter à plusieurs reprises en taverne. Elle s’arrêta à sa hauteur.
Dame Stéphandra, quel plaisir de vous rencontrer à nouveau ! Si je m’attendais !

Après avoir échangé quelques paroles, elle se dépêcha de rejoindre le groupe....et pénétra dans le salon.

Laurel

Arrivant au salon, Laurel se rapprocha du duc de Normandie...

Non, non, pitié, Messire, n'en faites rien, elle me congédierait!
C'est que j'ai une famille à nourrir, moi!

Laurel aurait en effet aimé avoir une famille... toujours était-il que ce travail était sans risque, et qu'il pouvait se pavaner auprès des gens d'Ouillie... Il tenait donc à garder sa place...

Keur

Le garde menait le couple jusqu'au Salon...et sa réponse à l'interrogation du Duc était sans surprise.

Bien, je n'en dirais rien
mais je féliciterais la Baronne de votre accueil

Un sourire au coin des lèvres pour répondre au garde avant que celui ci ne retourne à sa tache.

Le regard du duc se portait ensuite sur cette salle soigneusement préparée, de nombreux mets et autres gourmandises décorés une table prête à satisfaire les moindres désirs des invités. De nombreux tableaux et autre tapisseries apportaient un côté chaleureux au lieu.
Des gens étaient déja présent, mis à part des normands, le Duc de Thorigni ne connaissait personne.
E bien, il ne restait qu'à se fondre dans la foule, et se présenter lorsque l'occasion viendra.

Demetrio

Le chemin ne fut pas long et le garde resta assez silencieux, ne lui en apprenant pas plus sur les raisons qui l'avaient amenées sur ces terres.
Une fois arrivé, Il remercia son guide avant que celui-ci ne reparte, jetant alors un coup d'œil dans le salon.

La salle était somptueuse comme il s'en doutait, et offrait une ambiance chaleureuse accompagnée des échos de discutions par ci et par là. Cependant, ce qu'il craignait était bien réel: Demetrio ne connaissait pas la moindre des personnes présentes. Il se glissa donc dans la salle au milieu de tous, restant discret et attendant la suite.

Laurel

Laurel se demanda si ce n'était pas le moment de demander un pourboire à sa grâce, puisqu'il allait vanter ses services...

Mais il n'osa pas...

Il repartit donc vers le poste de garde...

ericlebon

Ericlebon, après avoir remercier Laurel de ses bon soins, se mit en quête de visage connus.

Il y avait foule, ce qui ne faciliter pas la tache dans sa recherche, n'ayant pas envie de passer son temps en une recherche incertaine, et de plus n'étant pas très à l'aise dans le beau monde, Eric se mit dans un coin de la salle, le regard dirigé vers la porte.

De son poste de guet improvisé il pourrait ainsi voir les aller et venue.

kaoticgroup

Kaotic accompagné du garde fut tout heureux de rejoindre le salon a l'occasion de l'anniversaire de la Baronne Aranriod

il ne connaissait personne et il en profita de se presenter

Bonjour mes amis je suis kaotic Destroisponts seigneur de la Verladiere

en attendant de faire plus ample connaissance il profita d'admirer les somptueux tableaux du salon

Emeline

Emeline avait finit les préparatifs pour le repas, elle avait toutefois oublié quelques détails, visiblement en passant devant la salle où les convives avaient été convié elle n'y vit pas son frère non plus.
Etrange où était-il passé encore celui là il aurait pourtant du estre icelieu.
Enfin soit elle se devait de finir de remplir une dernière tache que mère lui avait confier, c'est donc accompagnée de deux suivantes qu'elle parcourait les couloirs. Une tenant un grand vase contenant un liquide couleur ambré et l'autre un nombre de bouteilles.

Emeline passa donc les portes d'entrées, s'éclaircit la gorge pour que le bruit des conversations cesse quelques peu et qu'elle puisse se présenter à tous.
Une fois les conversations un peu atténuées elle sourit s'inclinant dans une petite révérence.

A tous! Je vous souhaite la bienvenue et la bonne journée et vous remercie de vostre présence.
Je suis Emeline du Moutier et voici pour vostre attente.

La jeune femme se redressa et laissa place aux suivantes qui allèrent installer le grand vase et les bouteilles sur un bout de table vide.

- "Cela ira ainsi jeune maîtresse ?
- Bien sûr, disposez je vous remercie"

Emeline sourit à nouveau laissant aux suivantes le temps de s'éclipser.

Mère m'aura confié qu'un certain groupe affectionnerait un certain mélange portant le doux nom de "Dame du Lac".
Il semblerait également que voici un certain Calvados de nos distilleries et quelques liqueurs de poire.

A ces mots elle regarda les personnes déjà installés il y avait vraiment beaucoup de monde. Jamais elle n'aurait osez le dire mais c'était peut être un peu trop pour elle, elle n'avait pas l'habitude et n'était pas à l'aise.
Puis elle le reconnu parmi la foule, voilà donc pourquoi mère lui avait demandé qui était les amis auxquelles elle tenaient chez elle. Elle était bien contente alors car d'autres arriveraient sous peu elle avait hâte de pouvoir montrer la neige des jardins aux filles.
La jeune femme remplit un verre de Rhum et se dirigea donc vers Demetrio qui semblait ainsi se trouver au milieu de tout.

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Umondel

Le vieux Juge fit son apparition, le dos complètement éreinté par ces chemins chaotiques et ces lames de soit-disant amortisseurs flanques a la mors-moi-le-noeud sur son attelage par un forgeron certainement vendu a ses ennemis politiques.

Il regarda dans la salle qui il connaissait

Hardy

Hardy ouvrit la porte, puis tendit la main en direction de Lylla...

Tips...

dit-il, imitant fièrement un groom anglais qu'il avait entendu, un jour...

Julien du Moutier

Julien avait fini de s’habiller, il descendit tranquillement, regardant ça et là ce qu’il n’avait eu le loisir d’observer en arrivant.

Des tableaux, portraits, nombreux souvenirs de famille….il se laissait guider par le bruit des voix, si bien qu’il se retrouva devant la porte du salon de réception.

Il entra discrètement, il y avait déjà du monde, cela lui permit de passer inaperçu…il se posta dans un coin et entreprit de passer en revue toutes les personnes présentes.

Certes, il y avait peu de chance qu’il reconnut qui que ce soit…et pourtant.
Emeline était là, magnifique jeune femme, habillée avec beaucoup de goût, pleine de grâce…elle était le portrait craché de sa maman…et la digne fille de son papa, la ressemblance était si frappante qu’elle lui tira quelques discrètes larmes qu’il essuya rapidement d’un coin de mouchoir.
Il décida d’aller lui dire bonjour…

Emeline ? Nous n’avons pas encore eu le temps de nous croiser…je viens d’arriver, ta maman m’a reçu ce matin même et…voilà, je suis Julien, ton oncle…

Julien était bouleversé, tant d’émotions pour une seule journée…il tâta machinalement la bouteille de Calva sous sa chemise…

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Ulrich

Ulrich suivait Julien...
Il avait hésité jusqu'au dernier moment
pour s'orner d'une plume de paon; mais il avait jugé que puisque
c'était l'anniversaire de sa mère, il lui revenait de se faire
remarquer...
Il remit un peu son col, puis s'essuya le front...
Il n'avait eu de cesse de donner des ordres aux gens d'Ouillie...
C'est donc avec la voix cassée qu'il s'annonça...

Le bonjour!

Je suis Ulrich, le frère de la douce Emeline...
Nostre mère ne devrait plus tarder...

Puis regard agacé en direction de Julien... le loup était dans la bergerie...

Il se tourna ensuite en direction d'Umondel, grand sourire forcé de mise: deux loups pour une bergerie, c'était beaucoup trop à son goût...

Le bonjour, mon frère, c'est un plaisir de te voir,puisse Aristote te conserver aussi longtemps que possible...

"...dans un tonneau hermétiquement fermé, et rempli à ras-bord de saumure", pensa Ulrich...

Puis il donna l'accolade à son "frère", qui lorsqu'il était en difficulté l'avait "aidé" avec un livre des Vertus...

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Lylla

Parcourant les couloirs à la suite du rougeaud en compagnie de son frère et de sa belle soeur, Lylla posait un oeil appréciateur sur toutes les merveilles dont recélait la demeure.

Arrivée à destination, la blondinette déposa la fourrure qui la couvrait avant d'entrer dans le salon qu'on leur désignait courtoisement.
Alors que la porte de la pièce s'ouvrait devant eux, la belle passa une main nerveuse sur ses cheveux, glissant une mèche vagabonde derrière son oreille, avant de chasser une poussière invisible de sa jupe. Chacun de ses gestes trahissant la nervosité qui était la sienne au fur et à mesure que les minutes défilaient.

Son manque total d'appétit ces derniers jours avait encore affinait sa silhouette lui donnant un air aérien malgré le lourd tissu de sa toilette, le vert profond de celle ci faisait toutefois admirablement ressortir son délicat teint de blonde, même si sur la porcelaine de son visage, se distinguait un léger cerne d'ombre mauve sous ses yeux.

A defaut de toper malicieusement dans la main du garde, elle adressa un adorable sourire de remerciement au malchanceux qui avait du parcourir le chemin en leur compagnie, et Lylla s'avançât dans le salon.
La décoration délicate et harmonieusement travaillée apparaissait aux yeux de tous comme l'œuvre d'une personne de goût.

Ses iris noisette parcouraient l'assemblée, ni reconnaissant comme elle l'avait prévu aucun visage connu quand soudain son pas de figea et ses joues de pales prirent la couleur de la craie. Un peu plus loin devant eux, la jeune femme venait de reconnaitre Redyane... Celle à qui elle devait sa venue en ce lieu tendait un verre à celui qu'elle n'avait plus croisé depuis des jours maintenant... Demetrio... Par instinct ses mains vinrent entourer le pendentif qui reposait habituellement dans la douce vallée de sa poitrine, puis s'admonestant intérieurement à ne surtout pas penser, elle plaqua son habituel sourire sur ses lèvres avant de suivre le mouvement.

Hardy

Hardy repartit vers la porte, en grommelant...

pince!

Il prit quelques gâteaux qui trainaient sur une table, puis repartit à son poste...

Emeline

Emeline se raidit tout d'un coup entendant son nom, ce nom si familier qui venait de la dernière personne qu'elle pensait voir icelieu. Détachant son regard elle le retourna vers Julien et lui sourit.
Qu'allait il penser de la voir ainsi un verre d'alcool fort à la main sont visage se teint de rose quand lui faisant fasse elle cacha le verre d'une main dans son dos.

Pourvu qu'il n'ai rien vu pensa t-elle, enfin cela aurait sûrement était bien pire si ce fut sa mère qui soit tombé sur ce malentendu. Elle soupira tout de même ayant du mal à ne pas garder cette contenance quelque peu figé de surprise.
Lui offrant son plus beau sourire pour essayer de noyer le poisson, la jeune femme inclina doucement la tête. Elle ne pu que constater qu'il avait lui aussi revêtu de magnifique atours, il n'avait pas pris une ride non plus depuis l'époque.

Enchantée mon oncle, je ne vous attendez pas encore, vous me voyez en joie de vous revoir enfin après tant d'années!

Ulrich arrivait à sa suite, Emeline en profita pour lui lancer un regard de supplication en espérant qu'il comprenne la situation.

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uriel

A priori, juste à temps, la baronne n'était pas encore arrivée.
Entant dans la salle, il avait abandonné son lourd manteau en peau de chèvre des montagnes, certes pas très esthétique, mais au moins très chaud.

Uriel salua les personnes présentes, cherchant du regard au moins quelqu'un qu'il connaissait.
Il s'arrêta ainsi sur deux personnes : Emeline, qu'il avait eu comme élève en pastorale et Umondel, comme estudiant en médecine.

Il se dirigea donc vers eux pour leur remettre ses saluations.
En passant, il vit le jeune Ulrich, qui lui aussi était arrivé à Noirlac, il en avait entendu parler.

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Ulrich

Ulrich s'éloigna un peu d'Umondel...
Il constata qu'un verre de rhum passait devant ses yeux...
Puis il remarqua que c'était sa sœur qui le portait...

Ulrich sourit, qu'elle était bonne, il regrettait ses pensées mauvaises qu'il avait eues à son égard un peu plus tôt...
Il prit le verre, lui déposa un baiser sur la tête, puis lui murmura...

Voilà pourquoi vous resterez toujours dans mon coeur, doulce Emeline, vous estes si attentionnée vis à vis de vostre frère!

Puis il se tourna vers le nouvel arrivant...

Bienvenue en ces murs, Messire, je suis Ulrich, et voici la tendre Emeline, ma soeur, et fille de nostre hôte...

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Hardy

Hardy entra, suivi de Warthe.
Le garde continuait sa litanie...

T'as de l'armagnac pour moi, hein, tu m'en donne? dis, tu m'en donne?
hein? alors? une tite bouteille? sois sympa! hein? allez! T'as de l'armagnac pour moi, hein, tu m'en donne? dis, tu m'en donne?
hein? alors? une tite bouteille? sois sympa! hein? allez! T'as de l'armagnac pour moi, hein, tu m'en donne? dis, tu m'en donne?
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hein? alors? une tite bouteille? sois sympa! hein? allez! T'as de l'armagnac pour moi, hein, tu m'en donne? dis, tu m'en donne?
hein? alors? une tite bouteille? sois sympa! hein? allez! T'as de l'armagnac pour moi, hein, tu m'en donne? dis, tu m'en donne?
hein? alors? une tite bouteille? sois sympa! hein? allez! T'as de l'armagnac pour moi, hein, tu m'en donne? dis, tu m'en donne?
hein? alors? une tite bouteille? sois sympa! hein? allez! T'as de l'armagnac pour moi, hein, tu m'en donne? dis, tu m'en donne?
hein? alors? une tite bouteille? sois sympa! hein? allez! T'as de l'armagnac pour moi, hein, tu m'en donne? dis, tu m'en donne?
hein? alors? une tite bouteille? sois sympa! hein? allez! T'as de l'armagnac pour moi, hein, tu m'en donne? dis, tu m'en donne?
hein? alors? une tite bouteille? sois sympa! hein? allez! T'as de l'armagnac pour moi, hein, tu m'en donne? dis, tu m'en donne?
hein? alors? une tite bouteille? sois sympa! hein? allez! T'as de l'armagnac pour moi, hein, tu m'en donne? dis, tu m'en donne?
hein? alors? une tite bouteille? sois sympa! hein? allez! T'as de l'armagnac pour moi, hein, tu m'en donne? dis, tu m'en donne?
hein? alors? une tite bouteille? sois sympa! hein? allez! T'as de l'armagnac pour moi, hein, tu m'en donne? dis, tu m'en donne?
hein? alors? une tite bouteille? sois sympa! hein? allez!

Warthe

Mais c'est qu'il sarrêtait plus !!

Non mais j'suis sur qu'il y a quelqu'un pour vous a l'entrée.. Peut être avec de l'armagnac ?

Hop, à tout les coups ça devrait marcher.. L'pitchot entra puis regarda autour de lui, un peux perdu...

Hardy

Hardy laissa son "invité" sans le saluer, pour courir à la porte...

Umondel

Umondel rattrapa Ulrich et lui fit une très amicale tape dans le dos.

Mon ami, je suis en paix avec la terre entière aujourd'hui, donc... même avec toi !

Arianrod

Elle avait traversé les couloirs du château au coté de son amie, puis elle s’immobilisa devant la porte du premier salon. Elle prit une grande bouffée d’air, puis posa ses deux mains sur les poignets de celle-ci. Elle tremblait quelque peu, stressée, priant pour que tout se passe pour le mieux.

Elle regarda Stephandra, lui sourit. Dernier regard sur sa tenue, une magnifique robe blanche qu’elle avait spécialement fait confectionner pour ce jour. Elle n’avait voulu porter autre couleur, le blanc, deuil, pour son feu époux et pour son fils décédé, pour eux serait donner dans son cœur cette soirée.

Elle n’avait plus le choix, il fallait y aller maintenant. Elle appuya donc sur les poignets et ouvrit en grand les portes de la salle ou nombreux invités étaient déjà présents. Elle regarda rapidement pour voir si elles les connaissaient tous, chose impossible puisque nombreux étaient des amis à ses enfants qu’elle ne connaissait pas encore.

Elle fit quelques pas puis aperçut ses enfants, Umondel tres pres d'Ulrich, Julien qui tentait surement de passer inaperçu, mais ce ne serait pas ce jour que cela arrivera. Elle lui sourit tendrement. Puis d’une voix qu’elle tenta de hausser le plus qu’elle pouvait sans que l’on pense à des cris, elle salua.

Bien le Bon Jour à tous !!!

Et dans une révérence elle s’inclina.

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Baronne d'Ouillie, Dame d'Huest
Maman d'un garnement, d'une princesse
et d'un ange Hugues... Veuve d'un Blondinet
Reposez en paix mes Anges, je vous aime tous les deux

Demetrio

Beaucoup semblaient arriver derrière lui, et Demetrio se doutait que ce n'était pas finit.
Au fur et à mesure des arrivés, il reconnu enfin quelqu'un, celle qui était surement à l'origine même de sa présence en ces lieux. Après avoir prit la parole devant toute l'assemblée, Redyane sembla se diriger vers Demetrio, mais n'eut apparemment pas le temps d'arriver jusqu'à lui. Un premier homme l'interpella, puis un deuxième qui se présenta ensuite comme son frère et comme fils de la propriétaire des lieux. Écoutant avec attention ce qu'il disait, Demetrio pensa alors que ce n'était pas le moment pour aller voir son amie.
Peu de temps ensuite, il aperçu Lylla qui arrivait, elle semblait elle aussi perdue et ne savoir ce qu'elle faisait réellement là; au moins, Ils seraient deux dans ce cas. S'en suivit aussitôt une nouvelle entré, bien moins discrète que toutes les autres, et une femme dont il ne savait encore le nom mais dont il se doutait de l'identité les salua.

stephandra

Stephandra suivit de peu l'entrée de son amie Arianrod et maîtresse des lieux. Elle l'avait observée entrer dans le salon où bien des invités étaient déjà présents.

Elle la regardait superbe dans cette robe blanche et s'installa non loin d'elle dans un coin de la pièce afin qu'elle puisse profiter de chacun tout en la sachant dans les parages.

En ce jour d'anniversaire la Baronne, après sa révérence, allait sûrement être chaudement accueillie.

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legrandalsacien

LGA observa les convives lorsqu'il entendit les portes du salon s'ouvrir.
S'écartant peu à peu , les invités laissèrent entrer la Baronne tout de blanc vêtue ainsi que Dame Stephandra

Il s'inclina respectueusement

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Emeline

Emeline murmura un merci a son frère, bien qu'il ne se soit pas vraiment rendu compte de la situation toutefois, dommage pour ce verre.
Après son oncle arriva bientôt auprès d'eux son professeur, elle lui sourit à son tour quand elle vint le saluer et opta pour une légère révérence ses mains étant à présent tout de libre.

Professeur c'est un plaisir de vous avoir parmi nous.

Le sourire de la jeune femme s'éclaira à l'entente de la voix familière de sa mère, elle se tourna donc en direction des portes d'entrées pour la regarder. La camériste avait du goût, la robe était vraiment très jolie, elle eu plaisir à contempler sa mère un instant dans cet atour. Puis son regard se dirigea vers Lylla, Love et Dreng tout trois non loin des portes. La première avait le teint bien pâle, elle espérait qu'il n'y avait rien de grave et son sourire se fana quelque peu. Elle soupira.

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Julien du Moutier

Julien allait gentiment tirer les oreilles des deux jeunes gens quand la baronne fit enfin son entrée, elle était tout simplement magnifique, sa robe, sa tenue pleine de….il aperçut le médaillon et manqua de défaillir…sa belle sœur lui faisait l’honneur, l’insigne « amitié » d’arborer son humble présent…ah ça, pour sûr que Stephandra avait œuvré pour le mieux !

Il n’avait que l’envie de se jeter sur elle mais se retint de son mieux, il prit un peu de recul, répondit à son sourire et alla se placer à l’écart…mais pas trop loin quand même, il ne pouvait s’empêcher de veiller jalousement sur la belle brune.

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galahad*

Les portes s'ouvrirent et la baronne Arianrod apparut dans une magnifique robe d'apparat. Elle pouvait faire pâlir les plus belles étoiles tellement elle rayonnait.

Galahad regardait autour de lui. Mis à part, le Duc Keur qu'il alla salué respectueusement, il avait reçu de ses mains la croix d'Or en juillet 1456 honorant ainsi sa conduite à la énième guerre avec la Bretagne, il ne connaissait personne ou presque.

C'est donc, toujours près d'une des fenêtres que Galahad observait les invités.

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legrandalsacien

LGA et sa compagne s'approchèrent pour rejoindre les différents invités.
Observant l'un d'entre eux près d'une fenêtre ils se présentèrent

Enchanté, LGA , Frère de l'ordre equestre du St Sépulcre, et voici ma compagne Siaam , ravi de faire votre connaissance

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Maëlya Gwenn

"Ô rage! Ô desespoir!" Se serait-elle surement écriée, si seulement elle avait la moindre idée de ce que cela pouvait signifier, comme ce n'était absolument pas le cas, elle se contenta d'un simple "pffff" de circonstances lorsque son père la tirait un peu plus fort par le bras pour la forcer à avancer quand elle avait le malheur de s'arrêter pour admirer chose et autre des multiples composant la décoration des couloirs qui les amenaient là où ils devraient aller. C'est qu'il y en avait des choses à voir: des belles qui brillent, d'autres nettement moins jolies, voir moches à faire peur; si ça n'avait tenu qu'à elle, elle aurait sans doutes fait placer un peu partout des boites de fruits confits et de jolies tapisseries de chats sur tous les murs -les goûts et les couleurs ça se discute pas; encore qu'heureusement, on laisse rarement l'occasion à une gamine de 5 ans de choisir l'intérieur de qui que ce soit, surtout pas d'autrui. Des choses à voir, mais jamais le temps de prendre le temps pour les regarder -peut-être même toucher, lorsque personne ne pointe à l'horizon- jamais le temps les grands! Vous avez remarqué?
Ils pénètrent dans la salle, accompagnés l'un de l'autre; salle qui comporte déjà son lot de convives à en juger par le nombre de bassins que la petite peut admirer; pas un seul enfant dans le lot. Elle serre plus fort la grande main de son père de sa menotte et le regarde.

Dis, pourquoi on est venu?

Arianrod

La Baronne se redressa apres sa révérence, et rendit quelques sourire qu'elle avait pu appercevoir. Oeil discret sur son beau frère, le voila qu'il reculait encore, comment faire... Il n'allait tout de meme pas fuir ? Quoiqu'elle l'aurait surement fait elle, si elle était dans la meme situation, aussi il fallait prendre les devant.

Nombreux me connaissent d'autres non, aussi je me présente, je suis la Baronne Arianrod du Moutier de Cénorel, la Maitresse des Lieux. Vous avez tous reçu missive de moi, vous conviant ce jour à une réception donnée en mon honneur car il semblerait que c'est mon anniversaire.

Elle sourit à l'assemblée.

J'aimerais avant de continuer, vous présenter à tous, mon fils ainé, Ulrich Milambert de Lasteyrie qui se trouve au coté de Messire Umondel de Virloinval. Vous avez ma cadette Emeline Catherine Anne du Moutier qui se fait appeler par ses amis Redyane, qui se trouve par là.

Maintenant fallait présenter celui qui se cachait.

Et la bas dans le coin vous avez le jeune frere de mon feu époux Aristide, Julien du Moutier.

Elle lui sourit tendrement, lui faisant comprendre par un léger mouvement de tete qu'il la rejoigne, elle voulait lui présenter ses amis.

Mes enfants, pourriez vous me présenter vos amis s'il vous plait ?

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Baronne d'Ouillie, Dame d'Huest
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Raphael83

Raphael83 venait de faire son entrée, précedé du garde qui l'avait acompagné jusqu'en cette pièce qui grouillait de monde. Il se melangea à la foule des convives inclinant à chaque fois de la tête par politesse pour dire bonjour à des personnes qu'ils ne connaisait point. Il chercha en vain une connaissance....mais dans cette foule , ce n'était pas évident.

La Baronne qui venait de faire son entrée etait d'une grande beauté, et tous les yeux des invités étaient tournés vers elle. Elle avait egalement un atout majeur: sa jeunesse . Ce qui la rendait encore plus radieuse.

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Ulrich

Ulrich était gêné, un seul de ses invités étaient arrivé... bien que quatre se fussent présentés au garde...
Il se demanda si d'autres viendraient; mais surtout, il commença à douter de lui: il pouvait compter ses ennemis, mais ses amis...
Tant mieux, il pourrait plus aisément faire connaissance avec les autres invités, et, même s'il connaissait pas mal de têtes, il n'avait guère eu l'occasion de discuter avec eux...

Alors, il y a...

Le sieur Warthe, ancien procureur de Gascogne, garde royal, réputé pour sa grande patience, et son amabilité;

dans la salle, doivent se trouver quelque par la famille de Castel Vilar, composée de Reine, de son fils Damien, et du chef de famille, Riwenn, sous les ordres de qui je servis en tant que sergent de police; alors qu'il fût lieutenant, puis procurador de Gasconha, il est droit; mais juste...

Sourire d'Ulrich, à l'idée de ce qu'il va dire...

Vous le reconnaitrez aisément avec sa moustache fine comme une lame, quand vous le verrez!

Quelque part se trouvent aussi Matouminou, ancien maire de Fécamp, que vous reconnaitrez aisément quand vous la verrez, à cause de son sourire; et son époux Horloger, procureur...

Ulrich s'arrêta, il venait de se rendre compte que sur les quelques personnes qu'il avait conviées, il y avait trois procureurs, dont un encore en exercice... Cela lui donna à réfléchir...

...procureur de Normandie; respecté par les accusés, comme de la Normandie, car il n'hésite pas à donner de sa personne pour que ceux contre qui il requiert puissent réparer leurs crimes, et se réinsérer dans la société au plus vite, afin de servir au mieux son Duché

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Nennya

Le garde indique le lieu des festivités, furtivement, elle pressa le pas...
Nennya entra discrètement, rougissante d’être aussi en retard, elle s’introduisit dans la foule. Retardée par son escapade au milieu des vertes prairies normandes, elle se fit petite. Elle observait attentivement les personnes présentes, au milieu se trouvait la maîtresse de maison. Certainement, qu’elle n’avait pas le début des conversations, point facile donc de se faufiler au milieu d’un dialogue, la Duchesse de Mortain se voyait mal arriver et dire « ce n’est pas faux ce que vous dîtes Messire », ou bien «quel froid ! », d’ailleurs, elle souffla doucement sur ses petits doigts pour essayer de les raviver un brin.

Gênée par la situation, Nennya se positionna stratégiquement près de l’âtre, et écouta d’une oreille attentive ce qui se disait, elle n’osa pas aller déranger Arianrod pour la saluer, elle attendrait un petit peu plus de calme, la jeune femme restait l’éternelle intimidée…

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Umondel

Elle était là, belle et sublime comme toujours, dans sa tenue de soirée.
Il la regardait aller et venir, dans une classe propre à elle.

kaoticgroup

tout le monde l'admirait c'était la reine de la soirée

Arianrod était resplendissante dans sa robe blanche, elle n'arrêtait pas de serrer des mains et de saluer ses convives.

très intimidé par le nombre de personnes je restais un peu a l'écart , en attendant un moment propice pour aller lui souhaiter un joyeux anniversaire.

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Arianrod

Arianrod écouta son fils ainé, lui souriant au fur et à mesure qu’il lui présentait ses amis, car certains elle avait déjà eu la chance de les rencontrer. Elle regarda Julien qui venait de la rejoindre, elle lui sourit et posa son bras sur le sien puis se dirigea vers les amis de son fils accompagnée des deux hommes.

Mon fils, j’ai la chance de connaitre certains de vos amis dont Messire Warthe, qui est sous mes ordres depuis peu à la Garde Royale.

Elle s’approcha de celui-ci, lui sourit tout en lui faisant révérence.

Bien le bonjour Warthe, heureuse que vous ayez pu vous libérer pour vous joindre à nous.

Elle chercha du regard si elle apercevait l’homme à la moustache fine mais ne le vit pas, point grave, elle le verrait plus tard.

Quelques pas vers dame Matouminou et Messire Horloger.

Je suis heureuse de vous revoir tous deux, il y a bien longtemps. Ainsi donc vous êtes amis avec mon fils également, ce qui me fait plaisir. Je vous présente Messire Julien du Moutier, le jeune frère de feu Aristide.

Elle resta là un petit moment discuta avec eux, puis se tourna vers sa fille.

A vous ma Princesse, auriez vous la gentillesse de me présenter vos amis ?

Tout en disant ca, la Baronne vit entrer sa Grasce de Mortain, un sourire amicale à son égard, elle irait la saluer des que possible.

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Baronne d'Ouillie, Dame d'Huest
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Emeline

Emeline retrouva son sourire radieux quand sa mère arriva enfin près d'elle, la jeune demoiselle s'avance, prend une des douce mains de sa mère et la presse contre sa joue. Elle aimait ressentir cette douce chaleur, cela lui rappelait la douce chaleur d'un feu de cheminée entre autre chose vas s'en dire. Elle écouta les paroles de sa mère et acquiesça de la tête.

Mère vous estes superbe dans cette robe.
Bien sur ! c'est avec grand plaisir que je souhaite vous présenter mes amis.

Voici déjà mon professeur à Noirlac, Uriel, il est Doyen du séminaire voyez.

Emeline sourit en pensant à tout ce qu'elle avait appris et apprendrait encore grâce à Uriel.
Elle avisa donc ensuite la personne pour laquelle était destiné le verre que son frère avait prit, qui était le plus près du groupe et emmena donc sa mère face à Demetrio qu'elle salua d'un sourire et d'un signe de tête.

Bonsoir Demetrio, je vous souhaite tout d'abord la bienvenue et suis heureuse de vous présenter ma mère la Baronne d'Ouillie Arianrod.

Se décalant un peu de côté pour laisser libre place Emeline continua.

Mère je vous présente Demetrio, il est notre Tribun de Troyes, je vous en avez déjà parlé.

Puis elle attendit, Lylla, Love et Drengin étant plus loin près de la porte, elle accompagnerait mère juste après pour les présenter à leur tour comme il se doit.
Emeline avait grand hâte également de présenter les filles à sa mère.

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myladybe

Myladybe admira comme tout un chacun la baronne faire son entrée dans la somptueuse salle de réception

Elle présenta ses enfants, elle en connaissait deux déjà,
Ulrich qui avait oeuvré pour elle,
et Reydane avec qui elle venait juste de faire connaissance
La jeune fille avait juste omis de lui mentionner sa parenté avec la Baronne

Elle jeta un coup d'oeil discret aux tables du banquet pour voir si elle apercevait quelques petites pistaches à se mettre sous la dent ...
Elle prendrait bien garde de ne point abandonner ses coquilles partout sur le sol ^^

et soudain un flots de souvenirs rejaillirent du fond de sa mémoire ...

Amellinia

Elle avait suivi le souriant garde et se faufille dans la salle après l'avoir remercié.

Tant de monde, et si peu de visages connus pour elle. Peu habituée à se retrouver dans ce genre de réception, elle maudit silencieusement ses maigres économies de n'avoir pu lui permettre de se vêtir plus convenablement.

Elle repère facilement, celle à qui elle devait d'être là aujorud'hui, son amie Red comme elle l'appelle, mais la voyant entourée, préfère rester sur le coté encore un moment.

Riwenn

Riwenn pénétra avec sa fille dans la grande salle où déjà moultes personnes se trouvaient à discutailler et converser entre elles. Sa petite avait traisné dans les couloirs, émerveillée ou surprise, agréablement ou non, par les divers décors du domaine. Ah les enfants ! Il avait dû la tirer quelque peu mais ils avaient fini par arriver là où l'on les guidait.

La Baronne prit rapidement la parole.

Là sa fille, impressionnée par tant de monde, et sans doute déçue de ne voir personne de son asge, s'adressa à lui.

Dis, pourquoi on est venu?

Le père la regarda avec un immense sourire alors que la parole estait laissée à Ulrich qui parla de lui et de sa famille. La response fut murmurée.

Pour voir cet ami que j'ai, messer Ulrich.

Bien qu'il ait oublié de citer parmi les membres de sa famille la seule personne avec qui il put venir. CE qui, pensa-t-il, ne plairait guère à celle-ci.

Demetrio

Ainsi, la femme resplendissante qui venait d'arriver était bien la maitresse des lieux; après s'être présentée elle et ses enfants, elle demanda à ces derniers de présenter à leur tour les amis qu'ils avaient convié à cette cérémonie.
Ce fut le fils qui commença, listant ses convives et les présentant à sa mère un par un, les décrivant tous par un caractère physique permettant de les reconnaitre. La Baronne semblait alors ravie, et pendant qu'elle s'adressait maintenant à sa fille, de nouveaux invités arrivèrent encore.
C'était au tour de Redyane maintenant de présenter ses amis, et sa façon semblait être différente que celle de son frère, puisque Demetrio la vit elle et sa mère se diriger tout droit vers lui:

- Bonsoir Demetrio, je vous souhaite tout d'abord la bienvenue et suis heureuse de vous présenter ma mère la Baronne d'Ouillie Arianrod.

L'homme prit alors la parole, souriant:

- Bien le Bonsoir mon amie, j'espère que vous allez bien; je suis heureux de vous voir, et pour commencer, mille merci pour cette invitation. Puis se tournant vers sa mère:

- Enchanté Baronne Arianrod, ravi de vous rencontrer; Je tenais à vous remercier pour cet accueil si chaleureux sur votre domaine.

Arianrod

Arianrod caressa tendrement la joue de sa fille tout en lui souriant.

Je vous remercie ma fille, mais c’est bien grâce à notre amie Stephandra, elle est une camériste parfaite, elle a même mis à la porte Cunégonde avant que nous arrivions.

Elle cacha un rire sous sa main de libre qu’elle venait de porter à sa bouche.

Messire Uriel, mes hommages, ma fille m’a parlé de vous et de votre apprentissage, elle est heureuse de vous avoir comme professeur, à ce sujet, faudra que vienne m’entretenir avec vous quelques minutes une fois que j’aurais du temps de libre, j’ai quelques questions personnelles à vous poser. Je vous présente mon beau frère Julien du Moutier, il est nouveau dans la région.

Elle le regarda, essayant d’être discrète, son visage ne lui était pas inconnu, mais impossible de se souvenir d’où. Quelques pas sur le coté et voila quelle se dirigea vers un jeune homme tout en demandant très discrètement à Julien si tout allait bien pour lui.

"- Enchanté Baronne Arianrod, ravi de vous rencontrer; Je tenais à vous remercier pour cet accueil si chaleureux sur votre domaine."

Révérence à l’homme en lui souriant.

Enchantée également Messire Demetrio, depuis le temps que j’entends parler de vous, il me languissait de vous rencontrer. J’espère que vous y serez bien encore longtemps, notre maison vous sera ouverte quand vous aurez envie de rendre visite à ma fille.

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Demetrio

- Enchantée également Messire Demetrio, depuis le temps que j’entends parler de vous, il me languissait de vous rencontrer. J’espère que vous y serez bien encore longtemps, notre maison vous sera ouverte quand vous aurez envie de rendre visite à ma fille.

- Encore merci pour cette invitation dans ce cas, sachez que vous serez également la bienvenue à Troyes si vous désirez y passer.

Maëlya Gwenn

Et à peine la réponse était-elle parvenu à ses minuscules esgourdes que la voix d'Ulrich supplanta celle de la Baronne d'abord, celle de son père ensuite; elle l'entendit donc énumérer et citer chacun des membres de sa propre famille à elle: Papa, Maman, Mino (Damian) et... et... et??? Et alors?? Elle se tourne tout d'abord sourcils froncés, bouche toute béante vers son père:

Et moi alors??

Et avant que son père n'ait pu y répondre quoique ce soit, en même temps que la demoiselle présentait ses amis à son tour, Maëlya se dirigea à grands pas vers Ulrich, tapant de ses pieds le sol, les poings serrés le long de son corps, les bras se balançant tout en cadence et en opposition avec le membre inférieur correspondant -très militairement en somme; Front et nez plissés, regard incendiaire, elle se poste devant le jeune homme à qui elle entreprend de tirer violemment la manche.

Hey! Et moi alors?

Ulrich

Ulrich n'était pas mécontent de lui, il avait présenté ses amis en des termes qui les définissaient bien; il avait besoin maintenant d'un grand verre de calva... Il chercha du regard celle qu'il avait embauché, ou plutôt débauché, en Berry... une slave... absente ce soir, car si sa mère l'avait rencontrée, c'eut été lui qui n'aurait pas été présent...
Il allait arrêter Gédéon pour avoir un verre quand...

La p'tite bête qui monte...qui monte... qui monte!

...Elle n'était guère montée haut, puisqu'elle n'avait fait que lui agripper la manche, la jeunette...
Le problème était surtout qu'elle avait parlé fort... il était impossible que les gens autour n'aient pas entendu...

Ulrich, persuadé que la jumelle de Damian était la fille de Warthe, se maudit intérieurement...
Pourquoi n'avait-il pas pris le temps de consulter l'hérauderie avant de lancer les invitations? Et lui? Avec qui s'était il acoquiné encore?

Puis il chercha des yeux Matou et Horloger... eux aussi avaient un enfant, mais il n'en savait guère plus...

Il valait mieux prendre des gants...

Ulrich prit la petite dans ses bras, la souleva, et la mena jusqu'à sa mère...

Mère, je crois avoir commis un impair, je me permets de vous présenter l'enfant la plus ravissante de la salle, la jeune...

heu...

Jeune fille? Comment vous nommez-vous?

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Emeline

Emeline fut fort ravie, bien qu'elle trouvait que ça mère en rajoutait un peu trop là tout de même, ce n'est pas comme si il n'y avait pas de monde autours. Enfin soit soit elle se contenter de regarder de côté trouvant soudain une admiration pour un vase posé sur un rebord de fenêtre.
Une fois l'échange terminé, elle sourit, inclina à nouveau la tête, s'excusa auprès de Demetrio de le laisser à nouveau mais elle avait encore du monde à présenter.

La jeune femme entraîna donc sa mère de part la salle pour rejoindre les portes d'entrée. Elle vit Amel qui venait d'arriver et son sourire s'agrandit un peu plus, dans ses yeux se déroulait déjà une amusante bataille de boules de neiges!

Bienvenue Amel,
Mère je vous présente mon amie Amellinia! Elle est de Troyes également et je passe de très agréable moment en sa compagnie.
Amellinia voici ma mère la Baronne d'Ouillie Arianrod.

Elle sourit et murmura discrètement à sa copine tout en lui envoyant une bise, qu'il y avait des montagnes de neiges dehors pour faire une armée de bonhomme et de boules!
Pour poursuivre elle se tourna vers Love qui était à côté avec son mari. Puis qu'importe les convenances comme à son habitude vint lui sauter au cou pour lui faire une gros bisous. Emeline regarda Lylla à côté le teint pâle cela l'inquiétais vraiment beaucoup et lui fit une grosse bise également.

Heureuse de vous voir vous trois, la bienvenue, j'avais grand hâte de vous présenter.
Je vous présente enfin ma mère la Baronne des lieux Arianrod.

Mère voici Love dont je vous ai beaucoup parlé également c'est cette amie qui m'a tant aidé et continue. Son mari Drengin est tout aussi charmant.

Et voici enfin Lylla, elle me fut présenté par Love c'est sa soeur de coeur voyez, c'est également une personne adorable qui m'a énormément soutenu dans le passé et continue dans le présent. Ses conseils me sont toujours d'une grande aide.

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Hardy

C'est la voix tremblante qu'Hardy annonça...

Le Vicomte de Frejus et de la Vicomtesse de Biscarosse!

Il espéra n'avoir pas annoncé un imposteur, car outre le ridicule, le congédiement était assuré...

estainoise

Hum...perdue au milieu d’innombrables inconnus en dentelle, Esta se demandait bien ce qu’elle faisait ici et pourquoi elle avait été invitée, elle qui n’était rien et qui ne connaissait pas la baronne. D’ailleurs elle n’en avait même jamais entendu parler, de cette baronne.
Pour l’anniversaire, elle avait pris une bouteille de génépi, découverte qu’elle avait faite dans cette nouvelle région qui était devenue la sienne, la Savoie. Mais là, c’est certain qu’elle ne la sortirait pas ! Ca n’était pas vraiment de convenance. Elle se dit que quand elle partirait, elle l’offrirait aux gardes, ça les réchauffera, c’est sure !
Elle avait bien vu quelques visages Bourguignons qui ne lui étaient pas totalement inconnus, mais c’était loin d’être des intimes ! Il y avait dame Siaam avec laquelle elle s’était entretenue il y a de cela tellement longtemps ! Esta faisait une chronique sur Nevers et Siam en était la Bourgmestre. Il est certain qu’elle ne devait même pas se souvenir de son existence, depuis tout ce temps. Elle aperçut aussi Mimmome qu’elle avait embauché comme pâtissier pour le gâteau de son mariage et qui avait failli empoisonner tous ses invités si le maitre qisineur Celeste ne s’en était pas rendu compte. Il semblait être devenu bien imbu de lui-même !

Esta s’approchait inexorablement du buffet, attirée par les innombrables victuailles qui ne demandaient qu’à être goutées.
Enfin, proche du but et mine de rien, elle se servit un bon verre d’alcool doré et commença à siroter tranquillement en observant l’assistance.
Il y avait tellement de monde maintenant, que les rares personnes qu’elle souhaitait saluer comme Umondel lui paraissaient totalement impossible à atteindre.

La baronne fit enfin son entrée et présenta son monde.
Très belle femme, il faut bien en convenir!
Esta était toute ouïe en essayant de garder en mémoire les noms et rang des personnes présentées, tout en continuant à siroter ce breuvage divin, en priant en silence la Boulasse !

Et ainsi de suite....les présentations allaient bon train, des allées et venues, les uns et les autres se saluant....
Mais bon sang, que faisait-elle là, se disait Esta ?

Peut être une erreur de pigeon ?

Houla....encore une entrée de dentelles....
Esta se tourne vers la porte d'entrée

Laurel

Laurel guida le seigneur jusqu'aux portes et annonça celui ci à la baronne qui était non loin avant de se retirer pour reprendre sa garde.

Baronne voici Didier de sars seigneur de Bédéilhac, lieutenant d'etat majors, membre des 45 et commandeur du saint Esprit.

Il souhaita une bonne soirée non s'en avoir repris son souffle plusieurs fois.

Maëlya Gwenn

Au moins, il daigne poser son regard sur sa grande et "importantissime " personne (GIP); mieux même, la soulever et la prendre dans ses bras; tout de suite, la mine se renfrogne un peu moins pour adopter une attitude un peu plus "courtoise"... Waaaaah c'est qu'il sentait bon en plus!... Elle pose fièrement l'une de ses mains sur l'épaule du jeune homme tandis qu'il marche et la présente à sa mère; Tout de suite, elle fait moins la maligne et reprend ses airs de petite fille timide et craintive -mais pas trop longtemps quand même surtout lorsqu'on la présente comme étant ravissante... Elle attends que la Baronne ait du temps à lui consacrer pour se présenter:

Moi c'est Maëlya Gwenn de Castel Vilar! Dit-elle tout en inclinant la tête tout poliment avec un large sourire adressé à la Baronne. Je suis toute ravie de vous connaitre Ma Dame! Vous avez une très jolie robe! Quand je serais grande j'en aurais aussi des aussi jolies!

Petit regard en coin, réprobateur, à Ulrich et d'ajouter tout en murmurant:

Pff... Vous aurez pas de fruits confits! Ça vous apprendra!

Deubs

suivant le garde qui les avait courtoisement mene jusqu'au salon, ils entrerent....

Bref apercu, des tetes connues, d'autres inconnues, tous a deja converser semble t il....

ils avancerent, vers les hotes, attendant un instant qu'ils soient plus disponibles...

Riwenn

Et Riw avait raison, la petite lui lascha la main et se faufila dans la foule, sans doute en direction de son ami. Il avança prudemment, estant donné qu'il estait moins facile pour lui d'atteindre Ulrich que pour sa petite.

Il ne la vit pas pendant quelques secondes, mais continua sa route vers l'homme. Puis soudain, il vit la teste toute ronchon de Maëlya, qui finit par devenir plus sage lorsque le fils de la Baronne qui la portait sans doute emmena la fillette près de sa mère.

Mais les invités estaient nombreux et Riw n'estait pas encor arrivé jusqu'à eux. Cependant il ne perdit aucunement le sourire, sa fille estait ainsi, la famille qui les avait invités allait devoir en faire les frais...

Arianrod

Apres avoir laisser Messire Demetrio pour suivre sa fille vers une nouvelle vague de présentation, son fils la stopa net dans son élan et lui présenta une tout ptite jeune fille.

Arianrod amusée, recula de quelques pas pour faire sa plus belle révérence à l'enfant, tout en écoutant l'arrivée du Vicom de Fréjus et de sa compaggne.

Enchantée jeune fille, vous trouvez aussi qu'elle est belle ? Alors la Dame la bas en coin, elle s'appelle Stephandra, vous devriez aller la voir, c'est elle qui m'a aidé à m'habiller peut etre vous donnera t elle quelques petits secret d'habillage.

Elle lui caressa la joue tendrement.

Je ne doute pas que vous en aurez des bien belles aussi.

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Baronne d'Ouillie, Dame d'Huest
Maman d'un garnement, d'une princesse
et d'un ange Hugues... Veuve d'un Blondinet
Reposez en paix mes Anges, je vous aime tous les deux

Julien du Moutier

Mais comment détacher les yeux de cette femme ? Comme la quasi totalité des hommes présents, comme ainsi, d’ailleurs, une bonne majorité des femmes, ne serait-ce que par envie, Julien était captivé, presque captif de ce charme naturel.

Ah, et cette voix, elle savait si bien user de ses différentes tessitures…en effet, Arian prenait la parole, tout le monde se tut.

C’est le sourire aux lèvres que Julien l’écouta se présenter, présenter ses enfants…et c’est blême qu’il l’écouta le présenter, lui…lui qui instinctivement s’était mis en léger retrait, pour observer.

C’est cramoisi qu’il s’avança, répondant à son appel, et c’est avec un sourire radieux de fierté qu’il lui proposa son bras.
La contrepartie à ce moment de bonheur ? Faire avec elle le tour de tous les invités ! Là pour le moins, plus besoin de dévisager discrètement tout le monde en captant des bribes de conversation afin de reconnaître les personnes dont il avait entendu parler.

C’est Ulrich, en tant qu’ainé qui ouvrit le bal, présentant ses amis et invités, puis Emeline suivit, toujours aussi tendre et aimante…sourires, inclinaisons, il était difficile de se rappeler de tous.
Sans doute Julien avait il l’air de peiner quelque peu, aussi Arian lui demanda gentiment si tout allait bien. Rien que pour cela il espérait que ces présentations durent encore…ce qu’Emeline semblait avoir compris aussi…et entreprit de faire, somme toute heureuse d’éloigner maman de certains amis.

Oui très chère, je me sens de mieux en mieux, sans doute votre présence apaisante…ou la fierté de vous avoir à mon bras…et vous même, vous sentez vous plus sereine maintenant que c’est commencé ? Il me faudra complimenter votre camériste, elle le mérite…et merci, ce pendentif vous va…on eut dit qu’il fut fait pour vous !

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Arianrod

Discrètement elle sourit à Julien évitant de rougir à ses compliments mais elle sentit ses joues se réchauffer, trop tard, espérant seulement que cela passerait inaperçu. Et d’une voix tres basse elle lui répondit.

Je me sentirais certainement mieux après avoir bu un verre de calva, j’aurais du le prendre avec vous une baie 1455 se refuse jamais, mais je n’avais point le temps encore désolée et merci pour votre cadeau, il est magnifique, vous avez bon gout, il s’accorde tres bien avec ma robe.

Puis d’une voix plus haute, elle se tourna vers les amies de sa fille.

Enchantée Dame Amellinia, je suis heureuse de rencontrer une amie de ma fille, surtout n’hésitez pas à vous faire servir si vous avez soif ou même faim. Je vous présente l’oncle paternel de ma fille, Julien du Moutier.

Une fois un échange de fait, elle continua avec sa fille qui venait de sauter au cou d’une amie, la Baronne fut amusée de voir ca et c’est avec grand sourire qu’elle les salua.

Ainsi vous êtes Dame Love, tres heureuse également de vous rencontrer enfin, elle me parle beaucoup de vous, enchantée Messire Drengin. Dame Lylla, mes hommages, je vous remercie tous les trois de prendre soins de ma fille.

Puis elle approcha assez près de la dernière dame pour lui parler au creux de l’oreille. Dame vous êtes tres blanche, cela ne va pas ? Dois-je faire appeler un médicastre ? il y en a un dans la salle présent parmi les invités.

Puis elle fit signe à un valet de venir vers elle, elle lui donna quelques consignes pour préparer une chambre des fois que la Dame soit trop fatiguée.

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uriel

Uriel n'était pas habitué aux très grandes réceptions, pourtant, ce n'était pas faute de parfois se retrouver face à quelques dizaines de personnes, sauf que là c'était lui qui faisait le sacrement.
Ou encore dans un auditoire, les élèves l'écoutaient.

Ainsi, la salle se remplit bien vite.
Le jeune homme, qui devait être le frère d'Emeline, lui adressa la parole :

Bienvenue en ces murs, Messire, je suis Ulrich, et voici la tendre Emeline, ma soeur, et fille de nostre hôte...

Il s'inclina.

Enchanté, messire Ulrich, je me nomme Uriel.
De fait, je connais un peu votre soeur pour avoir été son professeur de pastorale, et qui sait, peut-être lui enseignerais-je la théologie.

C'est alors que fit son apparition la maîtresse des lieux ; elle ressemblait fort à sa charmante fille.

Professeur c'est un plaisir de vous avoir parmi nous.

Je vous remercie, c'est également un plaisir pour moi d'être ici. Excusez si je suis un peu taiseux, je n'ai guère l'habitude d'être autant entouré.
Vous savez, le calme des églises, des abbayes et des livres, ... on s'y fait vite.

Et tandis qu'il parlait à Redyane, la Baronne en personne vint le saluer.

Ayant un sens profond de l'étiquette, il fit la révérence qui convenait à une dame de son rang.

Messire Uriel, mes hommages, ma fille m’a parlé de vous et de votre apprentissage, elle est heureuse de vous avoir comme professeur, à ce sujet, faudra que vienne m’entretenir avec vous quelques minutes une fois que j’aurais du temps de libre, j’ai quelques questions personnelles à vous poser. Je vous présente mon beau frère Julien du Moutier, il est nouveau dans la région.

Mes respects, baronne, merci de votre invitation.

J'ai été, moi-même fort heureux d'avoir votre fille comme élève, non seulement douée, mais également intéressée par le cours, posant des questions fort à propos et désireuse de ne laisser aucune zone d'ombre sur son enseignement.
Si Dieu le veut, nous le poursuivrons un jour avec une matière plus ardue, mais non moins intéressantes : la théologie. Mais ... chaque chose en son temps.

Je suis à votre disposition, Madame, si vous avez quelque question ou sujet à m'entretenir, je pense vous avoir aperçu en les couloirs de Noirlac, à moins que ce soit la soeur portière qui m'ait parlé de votre visite.
Quoiqu'il en soit, j'ai une cellule, certes fort austère et pleine de courants d'air.

Mais éventuellement, je puis également vous recevoir à l'Archidiocèse de Trèves, en un bureau privé ... mais c'est plus loin.

Il salua également le sieur Julien, avant de laisser tout un chacun reprendre présentations et obligations.

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Lylla

Love, Dreng et Lylla étaient encore près des portes quand leur hôtesse fit son apparition. Cette femme si belle, magnifiquement vêtue était l'exemple parfait de tout ce que notre beau pays pouvait compté de splendeurs et de raffinement, après son élocutions elle suivit ses enfants qui faisait la présentations de leurs amis. D'abord le fils, puis vint ensuite le tour d'Emelyne que Lylla connaissait mieux sous le nom de Redy.

Inconsciente de la pâleur qui avait envahit ses joues en remarquant la présence de Demetrio, la blondinette serrait entre ses doigts le médaillon qui imprimait ses ornements dans sa chair. Un vague bourdonnement à ses oreilles l'empêchait d'entendre la discution, Ressaisis toi Lylla, ne te donne pas en spectacle, tu es une Eirbal, soit à la hauteur ! Toute ses pensées étaient tournées vers l'effort fournit pour résister au malaise qui l'assaillait, cela faisait si longtemps que ce genre de chose ne lui était pas arrivé... La jeune femme ferma un court instant les yeux et prit une lente et profonde respiration quand les voix soudain furent là toutes proches.

La présentation d'Amellinia lui offrit un dernier moment de répit, une vague de culpabilité l'envahit cependant en remarquant le regard inquiet de la jeune fille quand à son tour elle l'embrassa.
Essayant de la rassurer, Lylla mit dans son accolade toute la sympathie et le réconfort qu'elle pu. Mais déjà sa voix s'élevait

Mère voici Love dont je vous ai beaucoup parlé également c'est cette amie qui m'a tant aidé et continue. Son mari Drengin est tout aussi charmant.

Et voici enfin Lylla, elle me fut présenté par Love c'est sa soeur de coeur voyez, c'est également une personne adorable qui m'a énormément soutenu dans le passé et continue dans le présent. Ses conseils me sont toujours d'une grande aide.

Autant un sourire éclaira son visage en entendant parler de Love, autant le propos de la jeune fille la troublèrent profondément à nouveau.
Lylla malgré des jambes flageolantes effectua une courte mais parfaite révérence devant la maîtresse de maison.

Ainsi vous êtes Dame Love, très heureuse également de vous rencontrer enfin, elle me parle beaucoup de vous, enchantée Messire Drengin. Dame Lylla, mes hommages, je vous remercie tous les trois de prendre soins de ma fille.

Relevant le menton vers son interlocutrice, la jeune femme retrouva assez de maîtrise pour répondre d'une voix douce mais ferme.

Madame la baronne, permettez moi de vous remerciez pour votre aimable invitation, sachez que la compagnie de votre adorable fille est un plaisir pour nous tous.

Elle achevait à peine ses mots espérant qu'un peu de couleur serait revenu entre temps à ses joues quand la Baronne s'approcha d'elle et lui glissa à discrètement à l'oreille. Dame vous êtes très blanche, cela ne va pas ? Dois-je faire appeler un médicastre ? il y en a un dans la salle présent parmi les invités.

Au comble de la confusion, cette fois Lylla fut certaine que la rougeur de la honte atteignit sans faillir ses pommettes. Avant que son hôtesse ne s'éloigne, elle lui glissa à son tour à voix basse. Madame je vous suis gréé de votre sollicitude, mais n'ayez crainte, une émotion de part trop vive m'a fortement ébranlé. Veuillez m'excuser de l'avoir ainsi laisser paraitre en ce jour de fête, cela va rentrer dans l'ordre très vite.

Afin de conclure ce petit aparté sans provoquer de nouvelle inquiétude chez ses hôtes, Lylla évita de porter son regard vers le fond de la pièce et adressa un délicat sourire à ses hôtes d'un jour.

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Arianrod

Arianrod sourit à son Eminence, elle savait ce que c’était de vivre une émotion forte qui pouvait ébranler et pour preuve, depuis le début de cette journée la Baronne était toute émue, elle posa machinalement sa main sur son pendentif, puis avec un nouveau sourire elle s’adressa à l’amie de sa fille.

Ne vous excusez pas Eminence, ce sont choses qui arrivent, je vous pensais malade, mais non, voila qui me rassure. Je vous souhaite de passer une excellente soirée en notre compagnie.

Main qui se pose sur celle de son beau frère, émeraudes se fixant tendrement.

Julien, mes enfants, je vais vous présenter mes amis à mon tour, car j’aimerais que vous les connaissiez tous.

Elle se dirigea vers Alex et Siaam, souriante, heureuse de les revoir et qui plus est chez elle, dans sa demeure. Révérence envers ses deux amies.

Alex, Siaam, quelle véritable joie pour moi que de vous revoir. Je vous présente à mon bras, mon beau frère Julien du Moutier, puis le jeune homme Ulrich mon fils ainé et cette belle princesse est ma cadette Emeline.

Puis se tournant vers sa famille, apres qu'Alex lui ait fait son baise main légendaire, bien plus facile ce jour puisque pas de heaume à oter, ce qui la fit doucement sourire à la Baronne.

Je vous présente Messire Legrandalsacien, commissaire de l’Ordre du Saint Sépulcre et Dame Siaam sa fiancée. Nous avons pu renforcer notre amitié lors de la croisade avec Alex et à notre retour il m’a présenté sa promise.

Puis doucement au creux de l’oreille de Julien pour pas que son fils entende, quoique quand cela parle de boisson se ne sont plus des oreilles mais des radars qu’il a.

Il fait un vin chaud excellent, je lui demanderais recette s’il veut bien ainsi nous pourrons en boire quand il fera trop froid, cela changera du calva.

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Baronne d'Ouillie, Dame d'Huest
Maman d'un garnement, d'une princesse
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Ulrich

Ulrich sourit à la jeunette, la déposa, puis lui murmura...

bien, j'assumerai ma punition avec le sourire, damoiselle, puisque vous me l'imposez!

Puis il se tourna vers le professeur de sa soeur...

Ravi de vous rencontrer, Messire! Peut-être que nous nous reverrons bientôt, puisque je désire passer ma licence de théologie, une fois de retour à Noirlac...

Ulrich s'inclina ensuite devant Alex et Siam...

ravi de vous rencontrer, Messire! Mère m'a dit comme vous étiez bon avec elle... Un jour, il faudra que je passe à vostre Ordre, qu'on dit très présent...

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Julien du Moutier

Julien prenait de plus en plus de plaisir à arpenter la salle de réception au bras de sa baronne de coeur. Elle ne manquait pas de lui présenter foule de gens pationnants, avait toujours un petit mot agréable pour tous.

Il est certain que rien n'avait été épargné à Arian au cours de sa vie, elle avait tout connu y compris les pires heures, Julien en prenait conscience au fil du temps en glanant par ci par là l'une ou l'autre information.

A ce moment précis il aurait donné sa vie pour elle, pour les enfants.
Profitant d'une discussion de sa belle soeur avec le précepteur de pastorale d'Emeline, Julien adressa une sourde prière au très haut...puisse t'il lui donner la force, le courage, l'amour, de veiller sur ce qui lui restait de famille.

Les présentations continuèrent par les invités d'Arian. Julien était ravi de faire la connaissance des personnes qui comptaient pour elle, sans doute certains avaient même par leur protection, permis qu'elle fut là ce soir à son bras. Il les salua tous avec le plus profond respect.

Se penchant légerement, il écouta sa belle soeur lui chuchoter et accueillit la nouvelle avec un sourire qui ne trompait pas sur l'état de son gosier. Sec comme le visage de la bonne Cunégonde.

Ma chère, ce sera avec le plus grand plaisir que je goûterai ce fameux vin au coin du feu. De plus, il me semble me souvenir que c'est un breuvage bien sucré, peut être pourrons nous en faire profiter les enfants et parfaire ainsi leur éducation...après tout ils furent tous élevés au calva de la baie...non ? A ce propos, si le coeur vous en dit et quand vous aurez fini d'explorer les contours de cet ambre...j'ai là sous ma chemise le reste de la bouteille que vous me fites porter dans mon bain...

Ce disant il sortit le flacon de sa cachette, le déboucha et en offrit à la baronne en baissant les yeux.

A votre santé très chère baronne, à votre éternelle beauté...

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Maëlya Gwenn

Déjà ses pieds frôlent le sol à nouveau. Un sourire à Ulrich, décidément bien conciliant, avant de n'avoir à sa hauteur que des bassins à nouveau. Elle se tourne, pivote sur elle même et se retourne encore; son père, où est-il? Elle se met à errer sans but dans la foule à sa recherche, se faisant coincer entre les larges jupons de ses Dames qu'elle pousse et bouscule pour se frayer un passage; ce n'est pas qu'elle panique, mais presque.
Papa? Murmure-t-elle tout en se déplaçant et en guettant tout autour, Papa?

Elle porte son index à son menton et s'arrête pour regarder tout autour; profitant de même pour chercher un compagnon de jeu, car elle commence à comprendre qu'elle risque fort de s'ennuyer parmi tant de convenances et surement d'invités de prestige; autant chercher, mieux encore, trouver un moyen de passer le temps et de s'amuser, à n'en point douter, seule. Dans sa robe rouge courte de petite fille, que ça maman avait tant tenu à lui faire porter, elle aura vite fait d'oublier toutes ses recommandations. Faisant virevolter les boucles, dont elle avait été coiffée au petit matin, elle se mit à courir en direction d'un siège qu'elle avait repéré et finit par s'y asseoir puis par s'y percher pour observer le déroulement des événements... devait bien y avoir quelque chose pour s'occuper, là quelque part.

Quelques jupons sous lesquels se cacher? Un buffet sur lequel se pencher? Un feu ouvert sur lequel jeter quelque menu objet puis le regarder se consumer? Un chat à embêter?

Nennya

La Duchesse regardait en retrait l’ensemble des convives, elle se souvenait de quelques uns, dont un professeur du séminaire médical, mais n’avait point connaissance de la moitié d’entre eux. Elle hésita un long moment, avant de se décider à aller saluer Arianrod, qui était fort bien entourée. Le médecin chercha quelques mots bien prononcés à glisser inopinément…Nennya, avec l'attrait d'un chat, se faufila jusqu’à l’hôte et dit distinctement :

-Baronne, permettez moi de vous saluer, et de dire ces quelques mots latin Felix dies natalis, vous gardez la santé au vu de votre teint rosé, et le médecin que je suis, est ravie de cette perspective

Nennya avait dit cela d’un trait, parfois, il lui semblait qu’avec timidité, elle était capable de dire tout ce qui lui passait par la tête. Dire qu’elle avait le teint rose et que c’était signe d’une bonne santé…et pourquoi pas parler des canards aussi.

Vite, il était urgent de trouver un verre de calva, juste pour réchauffer son corps, et elle aussi, mettre un peu de rose sur son teint de neige.

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Rhân

Après que les gardes l'aient laissé entré, le vicomte suivit les personnes qui se trouvaient également par ici et invités à la réception de la baronne d'Ouillie jusque dans une salle ou les boissons et les victuailles étaient largement servis.

Il prit un verre et regarda un peu l'assistance parmi laquelle il ne connaissait pas grand monde. Peut-être juste la duchesse de Mortain qui discutait plus loin.
Autant profiter un peu de la réception et se rassasier après la chevauchée vers Ouillie en attendant que son hôte fasse appel à ses services.

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Arianrod

Se penchant légèrement elle écouta son beau frère lui répondre, puis rougit un peu plus à ses paroles, il l’avait donc surprise à caresser son présent, nouveau chuchotement à Julien.

Cet ambre est si beau, de plus ca a tellement était vite dans ma chambre tout à l’heure quand vous me l'avez offert, que je n’ai pas pu prendre le temps de l’admirer réellement, prendre le temps de voir chaque détails de celui-ci hormis ce Lys qui se trouve à l’intérieur de cet ambre.

Le questionner sur ou il avait trouvé le Lys là tout de suite ou attendre d’être seule avec lui, êtes ce possible que ce soit Le lys qu’elle lui avait envoyé lors d’une missive entre eux ?! Sorti de ses pensées en le voyant sortie le flacon de Baie 1455. Pas le temps de lui dire de cacher ce luxueux breuvage que Nennya ce planta devant elle. Elle l’écouta, hummm la Duchesse avait remarqué son teint rosé, vite trouver une excuse à cela.

Votre Grasce, mes hommages, mon teint est surement du à la promenade de santé que j’ai pu faire en Savoie avec votre époux et d’autres amis Normands dernièrement. Je suis heureuse que le grand médecin que vous êtes en soyez heureuse, car je n’aurais pas voulu venir vous voir encore une fois blessée, même si vous avez presque fais des miracles sur moi à chaque fois.

Arianrod savait que ce qu’elle venait de faire la Duchesse était pour vaincre sa timidité aussi comme bonne Normande elle devait souhaiter boire un verre de calva. Ni une ni deux, elle prit le flacon de Julien et le tendit à la Duchesse.

Voici Duchesse, un calva qui arrive de ma cave personnelle et non des distilleries d’Oullie, il était calva de la Baie des Anges un cru de 1455, taverne que mon feu époux tenait. A propos d’Aristide, je vous présente son frère cadet, Julien du Moutier.

Puis se tournant vers son beau frère et ses enfants, elle leur présenta la Duchesse.

Julien, Ulrich, Emeline, voici la Duchesse de Mortain, Vicomtesse du Mont Saint Michel, Baronne de Saint Paer entre autres, elle est Rectrice de l’Hôtel Dieu de Paris et bien d’autres fonctions.

Elle leva la tête discrètement, elle avait vu entrer le Vicomte, voila que l’invité clé venait d’arriver. Elle s’excusa auprès de Nennya, de ses enfants, de Julien à qui elle lâcha le bras en lui souriant.

Excusez-moi, je reviens tout de suite.

Elle se dirigea vers l’entrée, ou elle vit le Vicomte avec un verre en main déjà, sourire se dessina sur le visage de la Baronne et dans une révérence elle le salua.

Vicomte mes hommages, heureuse de vous voir là, Bienvenue à Ouillie. J’espère que vous avez fait bonne route jusqu’à nous.

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Baronne d'Ouillie, Dame d'Huest
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Emeline

Emeline une fois ses présentations terminée avait suivit sa mère à son tour, non sans une inquiétude au fond d'elle même toutefois. Avait elle fait au mieux, elle l'espérait toutefois.

Elle salua toutes les personnes que mère lui présentait d'un petite révérence et d'un sourire.
Puis il sembla que sa mère eu vu une personne qu'elle attendait visiblement avec impatience, celle-ci s'excusa auprès d'eux de devoir les laisser.
Cela devait sûrement estre très important pensa t-elle et Emeline resta donc sagement aux côtés de son frère et de son oncle.

Ses amis ne lui en voudrait certainement pas de ne pas les rejoindre pour l'instant, de toute façon il semblait que la situation n'était pas des plus propice et en cela elle était toutefois un peu mal à l'aise.

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Julien du Moutier

C’est au moment précis ou Julien tendait sa précieuse bouteille à Arian qu’une invitée s’immisça. Votre Grasce avait dit la Baronne…fichtre, plus les présentations avançaient, plus les invités étaient prestigieux, une duchesse maintenant…et c’est sa Grasce qui hérita de la bouteille…il sembla à Julien que sa main suivait la bouteille quand Arian la lui prit des mains !!!
C’est en plus à ce moment là qu’Arian décida de les laisser pour aller tenir son rôle d’hôtesse.
Faisant contre mauvaise fortune bon cœur, il garda le sourire, attrapa Gédéon qui passait par là, se saisit de 5 verres sur le plateau, changea d’avis, saisit le plateau en entier.

Votre Grasce, si je puis me permettre…

Il récupéra la bouteille et emplit les verres.

Je serais très honoré de vous faire goûter ce nectar de chez nous Votre Grasce, peut être que nous voyant boire la Baronne nous reviendra…

il tendit un verre, puis regardant les enfants, il en fit autant, certes à moitié plein mais un verre quand même.
Ulrich ne parvint pas à rester maître de son désir, il avança sa main tremblante, un sourire malin aux lèvres…Emeline ne savait trop si elle devait…pouvait…il la rassura.

Allez mon enfant, je sais pertinemment que pour te calmer étant bébé il arrivait à maman de glisser quelques gouttes dans ta chopine…il me semble même que….

Farfouillant dans sa poche, il en tira une sucette…au calva, vieille recette de famille qu’il tendit à la jeune femme avec un grand sourire.

Tient ma grande, c’est un cadeau qui ne sied plus forcément à ton âge, mais c’est avec ça en bouche que je t’ai vu la dernière fois, alors si l’envie de trinquer avec nous te perturbe tant que cela…tu n’as qu’à te venger sur la sucette.

Chacun étant servi, Julien leva son verre.

A la santé de madame, de ses enfants, au plaisir de vous retrouver tous…à votre santé Votre Grasce !!!

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Ulrich

Ulrich s'inclina devant la duchesse de Mortain, qu'il avait déjà croisée en gargote...

Puis il vit sa mère partir vers ledit Vicomte... Il eut mieux compris qu'elle coure vers le Vicom Von Wittelsbach, du fait de leur passé, mais là...
Ulrich prit la main de sa soeur, instinctivement, pour se calmer... Elle lui avait donc caché un autre chapitre de sa vie...
Il serra plus fort, sans y prendre garde la main de sa soeur, en pensant qu'entre lui, son père, son grand père, feue sa tante, et sa mère, la famille Lasteyrie-Cenorel n'était guère reluisante au niveau de la vertu...
Il décida qu'il devait protéger sa soeur de cet océan de péché, et l'emmener loin de tous ces gens... Mais pour cela, il devait d'abord se laver de ses propres fautes...

sa décision était prise...
...du moins le croyait il...

Il se pencha vers l'oreille de sa soeur...

N'oubliez jamais que quoi que je fasse, je le fais parce que je vous aime, et je ne tolèrerai jamais que l'on vous nuise d'aucune manière, j'en fais serment!

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Lylla

Des spasmes dans l'estomac lui rappelaient que celle qui abhorrait se retrouver dans la lumière venait de se faire remarquer de la plus détestable façon ! Maudissant le trouble violent qui s'était emparé d'elle à son arrivée dans le salon de réception, Lylla se traiter mentalement de tout les noms d'oiseaux qui lui passaient par la tête. Non mais qu'elle idiote elle faisait, se donner ainsi en spectacle pour un... pour cet... enfin pour trois fois rien !

Une main posée sur son ventre, elle s'en voulait d'avoir troublé le regard de la belle Emeline, la jeune fille n'avait rien fait pour mériter cela et il lui faudrait présenter des excuses au plus vite... Certes cela devrait attendre un peu, le lieu ne s'y prêtant pas.
Après tout la chère enfant ne pouvait savoir...

Son frère et sa belle sœur, témoins de tout cela et connaissant parfaitement la cause du malaise qui avait manqué la dépasser, lui lançaient des regards emplit d'encouragement. Dans les plis de leurs robes, Love lui serrait la main, lui communiquant sa chaleur, simple façon de lui dire, on est là et tu vas y arriver !
Dreng plus pragmatique et connaissant parfaitement sa sœur revenait vers elles, après un slalom parmi les invités et colla derechef entre les mains de son ainée, un verre à demi emplit d'un nectar ambré. Bois un peu, çela va te faire du bien.

Un sourire empreint de reconnaissance éclaira le visage féminin et alors que la Baronne continuait à saluer un à un ses invités, Lylla porta le verre à ses lèvres. Si la chaleur de l'alcool se répandit immédiatement dans son corps et ramena doucement le calme dans son esprit, sa force amena aussi quelque larmes à ses yeux et des couleurs à ses joues.

Le médaillon avait repris sa place initiale et c'est d'un regard posé que Lylla parcouru la salle, il était temps qu'elle affronte présent et avenir hors le présent aujourd'hui se nommait Emeline.

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stephandra

Stephandra observait chacun des gestes de son amie, mais aussi chacun des invités certains semblaient heureux, d’autres perturbés. La jovente en son fort intérieur espérait qu’aucun d’entre eux aller avoir le toupet en ce jour si exceptionnel de lui gâcher sa fête ou voire de lui voler la vedette.
Méfiante de nature et observatrice, la camériste se souciait de quelques regards qu’elle avait perçu et peut être quelques mal êtres, ceci sans fondement Steph ne pouvait rien y faire de plus ce n’était pas son devoir.

Mais protéger le bonheur de la baronne lui était important, personne ici à part Arianrod ne savait ce qu’il se tramait. Stephandra fût subitement prise d’un pic de nervosité, il n’était point question de le montrer bien entendu.

Cette fête devait rester joyeuse, hors la joie même de part l’innocence était présente en la personne d’une petite Damoiselle en robe courte rouge, elle alla donc retrouver l’enfant assise sur un siège qui se demandait sûrement ce qu’elle faisait là. En y allant, la jovente souriait à chaque personne qu’elle croisait ou s’inclinait selon.

Arrivée à la poucinette, elle s’accroupit lui sourit et lui dit :

Bonjour damoiselle, tu dois trouver bien ennuyeux ce genre de regroupement de grand…un fruit confit ça te tenterai en attendant la suite ?

Connaissant un peu les enfants, sans attendre la réponse Steph lui tendit une petite boite contenant des fruits confits.

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legrandalsacien

LGA sourit lorsqu'il entendit parler du baise main légendaire et se permis avec amusement de poursuivre l'adage.
A peine relevé , la Baronne lui présenta son fils Ulrich que je saluai tout aussi respectueusement.

Vostre Grasce c'est un honneur de nous trouver en votre compagnie et autour des êtres que vous portez dans votre coeur.
Puis se retournant vers son fils.

Il serait en effet fort plaisant comme j'en n'avais fait la proposition à vostre mère lors de notre retour de Genève de pouvoir vous recevoir en notre Castel.
La proposition est donc maintenue et j'espère qu'elle sera très vite honorée

Se retournant , il aperçu son le chancelier de l'Ordre son excellence Raphael qu'il salua en se courbant légèrement

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http://lesaintsepulcre.forums-actifs.com/forum.htm
http://www.youtube.com/watch?v=ZwY___hhhX8

Demetrio

Peu à peu, la salle s'était remplie, et de présentation en présentation, les choses avaient évoluées: Certaines personnes discutaient entres elles, tandis que d'autres attendaient et observaient, préférant rester à l'écart.

Demetrio, faisait parti de cette deuxième catégorie de personnes, prit un des nombreux verres présents sur le buffet et s'appliqua à y prélever quelques gorgées. La salle était devenue bruyante par le nombre d'invités, mais plus chaleureuse encore qu'à l'arrivée de tous. L'homme pour sa part se recula du centre, verre à la main, et prit position à l'écart, son attention se détournant alors vers une petite fille semblant bien perdue en parcourant la salle.

Raphael83

Raphael qui se sentait bien perdu dans cette foule vit le frère LGA et son amie qui conversait avec la Baronne qui était très entourée.

Enfin une tête connue....

Il souria au salut de son frère de l'Ordre et se dit qu'il aura bien l'occasion de le retrouver au buffet à un moment ou a un autre .

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Lylla

Conformément à ce qu'en avait pensé son frère, le peu d'alcool ingurgité eu le don de rendre à Lylla un peu de couleur et détourna suffisamment l'esprit féminin de ses préoccupations pour qu'elle trouve la force de fendre la foule des invités qui se trouvait là, pour s'approcher de sa jeune amie.

Ayant vu la Baronne s'avançer seule vers un nouveau convive, il lui avait suffit de remonter jusqu'à son point de départ pour retrouver Emeline.
S'excusant de droite, offrant un sourire avenant à gauche, elle se rapprocha d'elle.
Malgré les deux hommes présents à ses côtés la demoiselle ne tenait pas conversation aussi la jeune femme adressa t elle un courtois signe de tête accompagné de son plus ravissant sourire à ses accompagnateurs avant de poser une main amicale sur le bras de son amie.

Lylla était heureuse de se retrouver un court instant en aparté avec Emeline, baissant la voix elle tenait à effacer la trace d'inquiétude qu'elle avait deviné tantôt dans son regard.

Redy... J'espère que ta maman pardonnera mon malaise de tout à l'heure et je te prie tout aussi de m'en excuser. Je viens de passer les dernières quarante huit heures au chevet de Kylian, voir mon fils ainsi me ronge le coeur, je n'arrive plus à me nourrir... Et quand je suis entrée.. Voir Demetrio là... La ressemblance entre eux est si frappante... Je ne te cache pas que cela m'a retourné. Cela va mieux désormais, tu sais je ne voulais nullement t'inquiéter ma jolie et je vous prie encore toi ainsi que ta maman d'accepter mes excuses.

Tout en parlant à la jeune fille, inconsciemment ses doigts était venu chercher le médaillon sur sa gorge, comme si le contact du bijou renfermant une mèche de cheveux de son enfant, pouvait conjurer le mauvais sort et rapprocher la mère et le fils.

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Maëlya Gwenn

Alors qu'elle se demandait ce qu'elle allait bien pouvoir entreprendre pour tuer l'ennui avant qu'il ne la tue, une silhouette, toute en robe s'approcha de sa petite personne, grand sourire aux lèvres. Se demandant tout d'abord, si elle n'allait pas avoir droit à une remontrance pour avoir osé s'asseoir sans y être invitée, elle avait commencé par un regard interrogateur et curieux, de ceux qui posent plein de questions sans passer autrement la barrière des lèvres. Mais il n'en fut rien. Elle regarda la belle Dame s'accroupir devant elle et la saluer; mieux encore, elle avait su lire dans son esprit comme un livre ouvert; ils faisaient ça souvent les grands. Maëlya inclina sa tête pour répondre à son bonjour, puis acquiesça à ses mots, mais le plus beau de tout cela, fut le sourire qu'elle offrit à Stephandra lorsque cette dernière prononça les mots "fruits confis"; effet immédiat, les yeux qui pétillent et tout ce qui va avec lorsqu'elle sort la boite au trésor:

Oooooooooh! Çà oui alors! Merci Madame!

Le moins que l'on puisse dire, c'est que la gamine ne s'était pas faite prier. Regard concentré, tandis que sa main survole la boite à plusieurs reprises; ne pas se précipiter, prendre son temps pour choisir le bon! Elle jette finalement son dévolu sur l'orange, qu'elle attrape du bout des doigts avant de lever la tête vers la jeune femme.

Moi c'est Maëlya et to...Vous c'est comment que tuu...vous vous appelez?

Rien de tel pour nouer des liens, qu'une bonne boite de fruits confits! Pour sûr cette boite allait lui occuper l'esprit un bon petit moment...

Rhân

Son hôtesse, la baronne d'Ouillie, se dirigea vers lui pour le recevoir. Il la salua d'un geste de la tête et lui sourit, le verre à demi-vidé à la main.

Mes salutations baronne. Merci pour votre accueil et ce buffet succulent où l'on peut étancher sa soif après le voyage, qui fut long et malheureusement froid en cette saison avec tout les désagréments que cela comporte. mais une fois au chaud avec un verre de calva, tout va bien mieux.

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Arianrod

Arianrod sourit au Vicomte quand il parla de calva, elle n’avait pas encore eu le temps elle-même d’en boire un et pourtant à plusieurs reprises son beau frère avait tenté de lui en faire boire surement car il avait senti son stress du à cette réception.

Vous avez bien raison, il n’y a rien de tel qu’un bon calva pour se réchauffer, quoique, une Dame du Lac ou une Poire ont le même effet… sur moi en tout cas.

Lui tendant le bras tout en souriant, l’heure était arrivée, les présentations reprendront plus tard.

Que diriez-vous Vicomte de poursuivre dans le salon d’à coté je l’ai fait préparé spécialement pour nous.

Ils sortirent tous deux du salon, une fois dans le couloir elle expliqua à Gedeon ce qui lui restait à faire.

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Baronne d'Ouillie, Dame d'Huest
Maman d'un garnement, d'une princesse
et d'un ange Hugues... Veuve d'un Blondinet
Reposez en paix mes Anges, je vous aime tous les deux

stephandra

Stephandra regardait la petite en souriant, belle comme un cœur le regard pétillant et intelligent tout en observant la Baronne du coin de l’œil. Après qu’elle ai choisit son fruit confit, la petite s’était présentée :
Moi c'est Maëlya et to...Vous c'est comment que tuu...vous vous appelez?

La jovente la trouva fort polie et s’empressa de lui répondre :

Enchantée Damoiselle Maëlya, vous avez un joli prénom, moi je suis Stephandra la camériste de la Dame qui est juste là.

Stephandra doucement dirigeât son regard vers Arianrod qui au même moment quitté la pièce seule avec un homme. Stephandra sourit, son amie lui avait confié dans l’intimité qu’elle attendait un certain vicomte…il était fort possible que ce soit lui.

La camériste revint à l’enfant et lui posa une bise sur la joue, en lui promettant de lui présenter si elle le souhaitait plus tard dans la soirée un petit furet au nom de Snellounet et en lui disant que si elle s’ennuyait elle pourrait venir la trouver un peu plus tard.

Stephandra lui caressa la joue se releva et lui fit un petit signe de la main en se dirigeant vers le buffet voir si tout se déroulait bien.

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Nennya

Un teint si rose ne serait du qu’à une bonne condition physique ?Nennya n’était pas dupe, elle savait que ce teint était d’un caractéristique flagrant. Elle mentionna Alcalnn dans son discours, ce qui eut le don de fermer instantanément le visage de Nennya. Leurs relations n’étaient pas excellentes ces temps ci, l’éloignement, les rumeurs, rien ne passaient. Elle repris le cours de la conversation et dit :

-Fort bien, paraît il que le calva soigne tous les maux !

Et ce n’était un euphémisme, elle s’empara agréablement d’un petit godet de calva, au moment, où avec vilainie, la Baronne la présenta à l’assemblée…et dire qu’elle se voulait discrète, son teint de lait apparut soudain pivoine, les couleurs paraissaient et disparaissaient sur son visage.

-Enchantée Julien du Moutier, Ulrich, ravie de vous revoir, Emeline c’est un plaisir de faire vostre rencontre

Elle trempa ses lèvres rosées dans le breuvage sucré, il avait un goût fort en palais, mais toutefois, le calva diffusait un peu plus de chaleur dans son corps. La Baronne fila à son tour auprès du vassal d’Alcalnn, quel étrange attitude, il semblait avoir un brin de tension dans ce salon. Nennya, se fit à nouveau petite, elle ne savait ni quoi faire ni quoi dire au milieu des personnes présentes.

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Gédéon Vienjetencollune

Gédéon avait regardé l'homme avec sa maitresse * C'est qui celui là encore ?!* Le dernier qui c'était approché si pres d'elle il y a presque un an était un Duc déchu et il ne l'avait jamais plus revu.

Il regarda la Baronne partir au bras du Sire, une tension monta en lui mais il fallait obéir à la Maitresse des Lieux aussi il entra dans la salle.

OYEZ OYEZ !!!

Vous etes tous conviés à rejoindre le salon se trouvant sur votre gauche en sortant d'ici.

Il resta là pres de la porte pour vérifier que tous avaient bien compris.

uriel

Uriel voyait les gens arriver et s'entretenir avec l'un l'autre, il se mit un peu en retrait.

Le Fils ainé de la Baronne, Ulrich, lui exprima sa sympathie:

Ravi de vous rencontrer, Messire! Peut-être que nous nous reverrons bientôt, puisque je désire passer ma licence de théologie, une fois de retour à Noirlac...

Moi de même, messire Ulrich, si Dieu le veut, je vous enseignerai la licence.
Même si l'on ne se dirige pas forcément vers une carrière ecclésiastique, il est toujours bon de savoir les tenants et les aboutissants de notre foi.

Uriel vit arriver Nennya qu'il salua, l'ayant eu pour un très court temps comme élève également, mais en médecine, cette fois.
D'ailleurs, il se demandait ce que faisait Mgr Bombadil, car il l'avait avisé que la rectrice de l'Hostel-Dieu de Paris en avait terminé avec sa formation ...

Mais c'est alors qu'entra un homme et manda les invités de rejoindre le salon.
Empoignant un verre de calva, ne fût-ce que pour le goûter, le Premier Archidiacre de Trèves savoura ce délicieux breuvage avant de se diriger également vers l'endroit.

Décidément, l'on savait recevoir, à la Baronnie d'Ouillie !

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Emeline

Emeline avait regardé son oncle un peu amusée lui tendre... ah oui elle ne se trompait pas, c'était bien une sucette... Eh bien bon ma fois se dit elle, c'était l'intention qui comptait après tout dirons nous, elle ne comprenait pas grand chose non plus aux paroles.
"Tient ma grande, c’est un cadeau qui ne sied plus forcément à ton âge, mais c’est avec ça en bouche que je t’ai vu la dernière fois, alors si l’envie de trinquer avec nous te perturbe tant que cela…tu n’as qu’à te venger sur la sucette."
Ah bon elle ne pouvait plus trinquer comme elle l'entendait, première nouvelle enfin soit, elle rit amusée et pris la sucette dans sa main.

Merci mon oncle! J'ai hâte de goûter à cette heu sucette...

Elle cru que c'est a ce moment là que son frère lui broya sa main libre, grimaçante elle releva la tête et vis que son frère regardait sa mère au loin. Qu'avait il encore imaginé et pourquoi soudain lui murmurait-il ces mots :
"N'oubliez jamais que quoi que je fasse, je le fais parce que je vous aime, et je ne tolèrerai jamais que l'on vous nuise d'aucune manière, j'en fais serment!"
Il devait vraiment y avoir un malentendu, elle se demandait vraiment à quoi pensait son frère.

Mon frère voyons, que vous arrive t'il ?! Venez allons boire un verre...

La jeune femme lui sourit pour le rassurer, elle supposa que ces paroles l'avait détendu également car la pression sur la main s'était quelques peu estompée, où est ce simplement parce qu'elle les avaient si froide qu'elle ne sentait plus rien.
Emmenant son grand frère près de la table des boissons, elle s'arrêta voyant Lylla la rejoindre et passa son bras autours du sien libre.
Mon dieu pourvu qu'elle ne fasse pas attention à la sucette. Emeline tira un peu sur sa main gauche que tenait son frère, pour le stopper. Elle lui sourit espérant qu'il comprendrait qu'elle lui demandait deux minutes pour écouter son amie.
Elle comprenait un peu mieux à présent le pourquoi du comment, bien que quelques points lui fassent étrange, toutefois elle offrit à Lylla un tendre sourire.

Je t'en prie Lylla, je comprend tout à fait ne t'inquiète pas, je suis contente que tu sois venus j'espère que tout iras vite mieux... pour vous deux...
Viens donc prendre un verre avec moi et mon frère Ulrich que voici.

Emeline lui présenta son frère, ils allèrent donc tout trois se servirent un verre, elle servit un verre de "Dame du Lac" à son frère et Lylla, elle se contenterait de cidre... ce qu'elle pouvait adorer ça.
Puis regardant un peu alentours son verre à la main, Emeline vit une petite fille en compagnie de la camériste de sa mère. Regardant sa main droite elle eu une lumineuse idée! Son oncle ne lui ayant pas précisé de vive voix que cette fameuse sucette était au calva, Emeline s'excusa auprès de son frère et Lylla qu'elle revenait vite.
En deux pas gracieux faisant virevolter sa robe au reflets dorés, elle avait rejoint la camériste, la petite et lui tendait la sucette.

Bonjour toi, tiens si tu veux mon oncle me l'avait donné mais je n'aime plus trop en manger comme ça là, je te la donne si tu veux.

C'est à se moment là que quelqu'un, Gedeon sûrement se mi à crier, si bien que Emeline se boucha les oreilles. Qu'est ce qu'il avait à crier comme ça maintenant et pourquoi on changeait de salon.

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