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Poste de garde : une surprise party, le 11 janvier 1457...

Laurel
Laurel trouva qu'Hardy abusait: il était plus ancien dans la maison, mais tout de même, il n'était question que de quelques jours...

Non, vas y, toi, je te laisse cet honneur.


Puis il souffla à l'oreille de son collègue...

Si tu n'y vas pas toi, je te taille les oreilles!
Hardy
Laurel soupira...

Bien, messire, suivez-moi, je vais vous conduire, il est vrai que mon accolyte n'est pas très compétent, et qu'il pourrait se perdre, voyez-vous, il n'a pas l'habitude des grandes demeures...

Cette pique lancée, Laurel estima que l'honneur était sauf...


Je vous mène au salon, messire, par ici!
Demetrio
Demetrio, voyant les deux gardes se quereller, ne pu s'empêcher de sourire, en suivant un ensuite jusqu'à l'endroit convenu.
Lylla
Assise en tailleur sur son lit, ses longs cheveux blond cascadant dans son dos, Lylla avait mis bien du temps à choisir la tenue qui conviendrait le mieux à cette journée si particulière. Elle avait en effet reçue quelques jours plus tôt un courrier qui l'avait fortement étonnée, ne connaissant son expéditrice que de nom. Si la lecture de la missive lui permis de mieux appréhender la cause de cet envoi, sa surprise ne s'en était pas pour autant atténuée, aussi malgré un emploi du temps des plus hasardeux avait elle pris sa plume, acceptant avec plaisir cette invitation.

Quand la jeune femme porta finalement son choix sur la lourde robe de brocard émeraude, le temps était déjà fort avancé et la blondinette du se dépêcher pour être sure d'arriver à temps en lieu et place.
Alors qu'elle posait une lourde cape de fourrure sur ses épaules et couvrait de douceur sa gorge nue, la voiture fut avancée.

Le voyage malgré le froid qui prenait en son sein de glace la campagne environnante, fut moins glacial que prévu grâce aux braseros qui apportaient une douce chaleur dans le cocon de l'équipage. Durant le chemin, Lylla laissa ses pensées voyageaient au gré des méandres de ses réflexions qui ces derniers temps envahissaient sans cesse son esprit, sans toutefois trouver de réponses à toutes ses questions.
C'est ainsi que finalement les grilles du domaine s'élevèrent devant eux.

Lorsque la voiture stoppa, la jeune femme attendit que le conducteur vienne ouvrir la portière et lui tendre une main bienvenue afin de s'extraire du véhicule. Son invitation dans une main, l'autre soulevant délicatement ses jupes afin de ne point les souiller, Lylla se présenta au garde en faction à l'entrée du somptueux bâtiment.

Un gracieux sourire aux lèvres à l'égard de celui qui avait la tache ingrate de rester dans le froid à attendre, la blondinette lui tendit le vélin.


Bien le bonjour, je suis Lylla d'Eirbal,j'arrive de Troyes, pourriez vous m'indiquer le chemin à suivre ?
Laurel
Révérence obséquieuse devant le joli minois...

Le bonjour à vous, dame Lylla d'Eirbal ! Mon collègue va vous conduire!

Regard noir en direction de son acolyte...


Tu y vas, ou ça va dégénérer! c'est ton tour maintenant!
Hardy
Coup de coude dans la panse de Laurel...


Tututu, môooossieur, moi, je n'irai pas, c'est ton tour!
LOVE
Love ayant reçue quelques jours auparavant un message l’invitant à se rendre a une surprise party, elle était ravie d’y assister bien que ne connaissant pas la personne qui les avait eu la gentillesse de les inviter elle s’y rendit avec son mari , mais le plus dur de fut pas de s’y rendre mais de trouver une tenue convenable pour cette soirée, elle mit son armoire sans dessus dessous une fois qu’elle eu trouvé la tenue parfaite s’habilla se coiffa avec soins fit atteler un carrosse et tranquillement dans la froidure de l’hiver s’en alla avec son éspoux les cartes d’invitations dans son manchon pour ne point les perdre et ainsi rejoindre le domaine de la famille de sa chère amie.


La route fut assez longue mais le voyage agréable c’est au petit matin qu’ils arrivèrent devant une superbe bâtisse, elle descendit du carrosse défroissa de ses mains sa robe de cendal rouge et blanche se recoiffa prit le bras de son mari et fit un grand sourire lorsque elle aperçue sa sœur de cœur l’embrasse bien fort et sortit les invitations de son manchons en adressant un large sourire au garde.


Bien le bonjour nous sommes Drengin et Love nous arrivons de Troyes, pourriez vous s’il vous plait nous montrer le chemin à suivre merci.
Coco Mademoiselle
Qui qu'a qui qu'a vu coco...

Ce qu'elle faisait à Ouillie?
Nul ne le savait vraiment..
.

Toujours était il qu'elle se dirigeait vers la grille en sifflotant un air parisien...

Elle toucha du bout de l'index le nez d'Hardy...

Hé bien, mes guerriers, on se querelle?

Il y a des invités qui attendent me semble-t-il...


Et elle repartit en sifflotant la même rengaine...
Hardy
Hardy rougit jusqu'aux oreilles...

Non point damoiselle! Je suis né pour vous servir!


Puis se retournant vers les deux invitées... Il vérifia sur sa liste tout de même, des amis de la demoiselle.

Suivez-moi, je vais vous conduire au salon!
Lylla
Si l'homme qui lui répondit le fit avec un sourire digne des grands courtisans, il ne semblait toutefois pas très heureux de devoir quitter son poste vu le coup de coude et le regard noir que reçu son acolyte que la jeune femme n'avait pas aperçu derrière lui au premier abord.

Ils en étaient là de leur échange, à la faire poireauter dans le froid quand le bruit d'une voiture la fit se retourner. Sa surprise fut grande en voyant son frère et sa sœur de cœur en descendre. Aussi élégants l'un que l'autre, Love et Dreng, étaient au moins des figures familières dans l'inconnu où elle s'avançait. Les embrassades furent chaleureuses, pendant qu'une jeune damoiselle venait remettre les idées en place au deux querelleurs.

Aussitôt l'un deux, rouge comme un coquelicot de la plus fière espèce, s'empressa de les guider vers l'intérieur.


Suivez-moi, je vais vous conduire au salon!

Inutile de dire que la belle qui commençait à ne plus sentir ses pieds ne se fit point prier !
uriel
Le professeur avait chevauché une bonne partie de la journée pour arriver à l'heure, mais tout semblait augurer que cette fois, il y arriverait.
Il n'était pas un spécialiste des retardataires, mais quand même, c'eût été grande impolitesse.

Sur la route, il réfléchissait encore à tout ce qu'il devait faire à son retour, deux baptêmes, un mariage, des corrections, et répondre aux questions du séminaire supérieur. Il priait pour ne pas avoir une affaire à traiter à l'officialité !
L'esprit bien occupé, le cavalier ne vit pas le temps passer et c'est rapidement que se dessinèrent les tours du château, au loin ... le ciel était encore bien bas, normal, pour la saison.

Arrivé près de la grille, il se présenta humblement aux gardes, n'étalant pas toute la série de charges et de titres qu'il possédait.


Mes salutations,
Je suis Uriel, j'ai reçu ... cette invitation de la part de Madame la Baronne.


Il attendit patiement que l'un des accueillants lui réponde.

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Laurel
Alors décidément il en mettait du temps Hardy, encore en train de traîner dans les couloirs au chaud celui là.
Non honnêtement c'était parfois désespérant il fallait bien le dire. Le garde n'était pas de retour depuis la demie heure que du monde arrivait encore.

Il sortit la liste, c'est vrai qu'il y en avait un paquet quand même, fallait espérer que ce ne serait pas ça tout les mois sinon il demanderait à être augmenté ou avoir les clefs de la distillerie à disposition!
Ouvrant la grille il salua l'homme qui venait d'entrer et se présenter sous le nom d'Uriel.
Un coup d'oeil à la liste lui fit voir qu'il était le professeur de la cadette du château.


Bienvenue à vous, je vais vous conduire au salon.
uriel
Le Premier Archidiacre de Trèves ne mit pas longtemps pour être reçu icelieu.
Quelle célérité, la famille n'avait pas à se plaindre du service, voilà déjà une certitude.


Fort bien, je vous remercie grandement, messire.
Je m'en vais suivre vos directives.

Qu'Aristote éclaire votre voie.


Pénétrant dans la cour, il laissa son cheval à un palfrenier avant d'être guidé vers le fameux salon.

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Warthe
Whaaaa, c'était loin.. Tout ça pour une surprise. Fallait vraiment être motivé !

Cette fois, Warthe n'avait pas eu a prendre de bouteilles, 'fin, il avait jugé que sa simple présence serait suffisante...

Après plusieurs jours de route, il arriva enfin devant les grilles. Il ne s'était pas perdu cette fois. Faut dire qu'il avait pas besoin de se cacher.

Il alla parler au premier homme qu'il vit.


Bonjour. J'm'appel Warthe. Y parait qu'y a une surprise ici..

Il montra le carton d'invitation pour le coup.
Hardy
Hardy sourit en voyant le nouvel arrivant...

Il le connaissait de réputation...

Le bonjour, messire!


Je vais vous conduire au salon!

Ce faisant, il se mit en route, suivi du fier gascon... il n'eut de cesse de murmurer pendant le trajet...

T'as de l'armagnac pour moi, hein, tu m'en donne? dis, tu m'en donne?
hein? alors? une tite bouteille? sois sympa! hein? allez! T'as de l'armagnac pour moi, hein, tu m'en donne? dis, tu m'en donne?
hein? alors? une tite bouteille? sois sympa! hein? allez! T'as de l'armagnac pour moi, hein, tu m'en donne? dis, tu m'en donne?
hein? alors? une tite bouteille? sois sympa! hein? allez!
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