Poste de garde : une surprise party, le 11 janvier 1457...

SaintDiou! Quelle journèe Abbominable. De la neige, encore de la Neige et de la fischtrue Neige.Il vit un garde et envoya son serviteur Derrick parler au garde.

DERRICK: Gaarde, (avec un accent anglois) je suisss le servitur de Messsire MimmomE. Opennnnn la porte.

Laurel accourut, il venait de recevoir des consignes très strictes d'Ulrich à propos d'un invité dont le nom commençait par "U"...

Ouiiiiiiii?

Bonjour, comment s'appelle votre maître?
Ce s'rait pas Umondel par hasard?

[ Arrivée de LGA et de Siaam de l'Ordre Equestre du St Sépulcre ]

Le départ avait été précipité à la lecture de l'invitation que la Baronne avait adresse à LGA et à Siaam. Juste le temps de passer à la chancellerie du Castel pour emporter une carte ou tout du moins les indications nous permettant de trouver le domaine. Après plusieurs jours de voyages qui n'étaient que quelques uns de plus après le périple en Hélvétie , nous arrivâmes en Baronnie d'Ouillie, contrée pour la première fois foulée.
L'étendue du domaine était fort impressionnante et c'est a pied que nous nous approchions de l'entrée du domaine.

La sentinelle de faction venant à notre rencontre , je lui tendit le parchemin

Bonjour mon ami , veuillez annoncer à la Baronne l'arrivée de Legrandalsacien et de ma compagne Dame Siaam de l'Ordre Equestre du St Sépulcre.

Hardy, qui revenait à peine, constata la présence d'un nouvel arrivant...
Hors de question de laisser Hardy le prendre en charge! Qui plus est, il avait l'air fortuné; s'il le servait bien, peut-être que l'homme lui laisserait un pourboire?

Laisse, Laurel, je vais vous y conduire, Messire, par ici!

Jack arriva assez décontracté et lentement, il était arrivé spécialement en avance pour ne pas rater la cérémonie. Ensuite il se dirigea vers le garde.

Bonjour mon ami, je me présente je suis Jacklepetit Ambassadeur de Bourgogne en Armagnac, je suis venu pour la cérémonie Voilà.

Il s'inclina puis entra

Ericlebon, habitant de Dijon, avait reçu une invitation pour une cérémonie se déroulant bientôt .

Il se rendit donc au lieux indiqué sur l'invitation, bravant le froid et la neige.

Arrivé au poste de garde il attendit qu'un garde veuillent bien lui indiquer le chemin, ne connaissant pas du tout les lieux.

Après s'être fait porter par son père pour descendre de la monture, Maëlya se posta à ses côtés, sa main dans la sienne; tandis que son paternel décline leur identité, la gamine s'amuse à souffler et à observer la fumée qui s'échappe de sa bouche comme des narines du cheval; Exercice extrêmement drôle lorsque l'on à tout juste 5 ans et que l'on attend que les adultes en finissent avec leurs histoires de manières fort ennuyeuses, manières desquelles elle compte bien ne pas s'encombrer tant qu'elle ne le jugera pas strictement nécessaire! Qu'est-ce qu'ils pouvaient se compliquer la vie les grands... Elle observe le garde, en silence, en attendant qu'il se décide à ouvrir.

Didier etait en vue du domaine ,avec sa petite famille il repondaient a l'invitation ,la route avait ete assez agreable depuis Vienne ,mais ils etaient comtent d'arriver

Tout juste Laurel revenait du salon que déjà il devait en conduire d’autre, mais sur les quatres hommes présents seul deux s’étaient présentés. Ben ils n’iraient nulle part ses deux là s’il ne se présente pas, consignes avaient été donné par la Baronne et une liste d’invités avec des noms précis.

Bienvenue à Ouillie Messire Riwenn de Castel Vilar, vous avez là une belle enfant.

Se tournant vers le l’homme à la cape blanche de neige.

La Baronne sera très heureuse de vous recevoir Seigneur de Monterolier, elle doutait fortement de votre venu. Soyez le bienvenu à Ouillie, en espérant que votre séjour sera parfait. Pour votre monture, nous en prendrons soins n’ayez crainte pour elle.

Il s’approcha d’un des hommes qui ne c’était pas nommer.

J’imagine que vous êtes un des 45, je vous ai reconnu à votre tenue.

Je vais vous conduire tous les trois au salon.

Se tournant vers Hardy.

Hardy, je te laisse t’occuper de celui qui ne s’est pas présenté, tu connais les consignes on se présente sinon tu ne fais entrer personne.

Ericlebon voyant un garde approché, l'interpella.

Bonjour messire, je me présente, Ericlebon de Dijon, j'ai reçu une invitation pour assister à une cérémonie donnée par Dame Arianrod.

Pas le temps de partir que l'homme se présenta, ce qui le fait sourire, lui au moin il voulait y etre à la réception de la Baronne.

Le Bon Jour Messire Ericlebon de Dijon, attention on doit dire Baronne Arianrod, vous pourriez avoir des soucis sait on jamais.

Puis se tournant ver le Seigneur qui venait d'arriver également.

Seigneur de la Verladiere, bienvenu à Ouillie, attention vous aussi, Baronne et non Dame, bien qu'elle le soit aussi

Il riait de l'intérieur.

Allez on y va tous cette fois, direction le salon.

Après avoir erré dans la campagne et s'être trompés deux fois de route, ils arrivèrent enfin devant les grilles de la demeure d'Arianrod.
Il stoppèrent la carriole au niveau du garde:

Bonjour! Nous sommes Horloger, Procureur de Normandie et Matouminou, son épouse. Voici notre invitation...

Matou tendit au garde le parchemin et ils attendirent.Le froid était vif, ils avaient hâte de se réchauffer au coin d'une cheminée en buvant un verre de calva

Esta avait reçu un pigeon des plus étranges il y a quelques jours, du fin fond de sa nouvelle domiciliation en Savoie. Elle était très surprise d’être invitée à une cérémonie d’anniversaire d’une personne qu’elle ne connaissait aucunement, une baronne en plus.
C’est en lisant et relisant cette missive et en voyant qu’il y aurait des personnes qu’elle connaissait et appréciait tout particulièrement qu’elle s’était finalement décidée à accepter cette invitation surprenante.
Il faut dire aussi qu’Esta aimait les voyages, qu’elle était de nature curieuse et que cette invitation flattait son égo.

Elle avait prévenu bien entendu son époux Montmayeur de son voyage et celui-ci avait levé les yeux au ciel en sachant qu’il ne servirait à rien de lui interdire ce départ.

Le voyage avait été très long ! Traverser tout le Royaume de France ne se fait pas en un jour. Sans relâche, du haut de sa monture, sa jument Frisonnette, elle avait affronté un temps épouvantable, tempêtes de neige et des températures extrêmement froides, oui très froid...Brrr....et c’est exténuée qu’elle arriva enfin aux portes du château de la Baronnie d’Ouillie.

Elle posa pied à terre et c’est en claquant des dents qu’elle s’annonça, non pas sans timidité et en cherchant dans sa besace la lettre d’invitation qu’elle avait reçu....

Garde....
Veuillez, je vous prie, annoncer Estainoise....

Laurel était las de tous ces aller-retours vers le salon...
Il allait rapidement écrire à la CGT (Confédération des Gardes Terrestres), pour faire part de ces traitements; et exiger qu'on lui fournisse un cheval, ou une chaise avec porteurs, pour ces trajets...

Le bonjour, dame Estainoise, dame Robinettedesbois, dame Matouminou, dame Myladybe, vostre grâce, et Messire Horloger!
Je vais vous mener au salon...
Suivez moi!
Puis doucement, il souffla aux hommes...

Vous n'auriez pas une 'tite goutte de calva? Ces trajets m'donnent soif, vous savez! Et j'suis un mal payé!

Hardy grimaça... encore un visiteur...il allait falloir l'accompagner lui aussi...

Soyez le bienvenu entre ces murs, Messire!

Laurel, accompagne monsieur au salon, je te prie; moi, j'ai des choses à faire!

Laurel trouva qu'Hardy abusait: il était plus ancien dans la maison, mais tout de même, il n'était question que de quelques jours...

Non, vas y, toi, je te laisse cet honneur.

Puis il souffla à l'oreille de son collègue...

Si tu n'y vas pas toi, je te taille les oreilles!

Demetrio, voyant les deux gardes se quereller, ne pu s'empêcher de sourire, en suivant un ensuite jusqu'à l'endroit convenu.

Révérence obséquieuse devant le joli minois...

Le bonjour à vous, dame Lylla d'Eirbal ! Mon collègue va vous conduire!

Regard noir en direction de son acolyte...


Tu y vas, ou ça va dégénérer! c'est ton tour maintenant!

Love ayant reçue quelques jours auparavant un message l’invitant à se rendre a une surprise party, elle était ravie d’y assister bien que ne connaissant pas la personne qui les avait eu la gentillesse de les inviter elle s’y rendit avec son mari , mais le plus dur de fut pas de s’y rendre mais de trouver une tenue convenable pour cette soirée, elle mit son armoire sans dessus dessous une fois qu’elle eu trouvé la tenue parfaite s’habilla se coiffa avec soins fit atteler un carrosse et tranquillement dans la froidure de l’hiver s’en alla avec son éspoux les cartes d’invitations dans son manchon pour ne point les perdre et ainsi rejoindre le domaine de la famille de sa chère amie.


La route fut assez longue mais le voyage agréable c’est au petit matin qu’ils arrivèrent devant une superbe bâtisse, elle descendit du carrosse défroissa de ses mains sa robe de cendal rouge et blanche se recoiffa prit le bras de son mari et fit un grand sourire lorsque elle aperçue sa sœur de cœur l’embrasse bien fort et sortit les invitations de son manchons en adressant un large sourire au garde.


Bien le bonjour nous sommes Drengin et Love nous arrivons de Troyes, pourriez vous s’il vous plait nous montrer le chemin à suivre merci.

Hardy rougit jusqu'aux oreilles...

Non point damoiselle! Je suis né pour vous servir!

Puis se retournant vers les deux invitées... Il vérifia sur sa liste tout de même, des amis de la demoiselle.

Suivez-moi, je vais vous conduire au salon!

Le professeur avait chevauché une bonne partie de la journée pour arriver à l'heure, mais tout semblait augurer que cette fois, il y arriverait.
Il n'était pas un spécialiste des retardataires, mais quand même, c'eût été grande impolitesse.

Sur la route, il réfléchissait encore à tout ce qu'il devait faire à son retour, deux baptêmes, un mariage, des corrections, et répondre aux questions du séminaire supérieur. Il priait pour ne pas avoir une affaire à traiter à l'officialité !
L'esprit bien occupé, le cavalier ne vit pas le temps passer et c'est rapidement que se dessinèrent les tours du château, au loin ... le ciel était encore bien bas, normal, pour la saison.

Arrivé près de la grille, il se présenta humblement aux gardes, n'étalant pas toute la série de charges et de titres qu'il possédait.

Mes salutations,
Je suis Uriel, j'ai reçu ... cette invitation de la part de Madame la Baronne.

Il attendit patiement que l'un des accueillants lui réponde.

Le Premier Archidiacre de Trèves ne mit pas longtemps pour être reçu icelieu.
Quelle célérité, la famille n'avait pas à se plaindre du service, voilà déjà une certitude.

Fort bien, je vous remercie grandement, messire.
Je m'en vais suivre vos directives.

Qu'Aristote éclaire votre voie.

Pénétrant dans la cour, il laissa son cheval à un palfrenier avant d'être guidé vers le fameux salon.

Hardy sourit en voyant le nouvel arrivant...

Il le connaissait de réputation...

Le bonjour, messire!

Je vais vous conduire au salon!

Ce faisant, il se mit en route, suivi du fier gascon... il n'eut de cesse de murmurer pendant le trajet...

T'as de l'armagnac pour moi, hein, tu m'en donne? dis, tu m'en donne?
hein? alors? une tite bouteille? sois sympa! hein? allez! T'as de l'armagnac pour moi, hein, tu m'en donne? dis, tu m'en donne?
hein? alors? une tite bouteille? sois sympa! hein? allez! T'as de l'armagnac pour moi, hein, tu m'en donne? dis, tu m'en donne?
hein? alors? une tite bouteille? sois sympa! hein? allez!

Love regarda sa sœur de cœur magnifiquement vêtue et coiffé comme à son habitude elle était aux_anges de la voir son visage se mit à rayonné de bonheur les deux personnes qu’elle aimait le plus au monde était avec elle. En arrivant ils avaient entendue des haussements de tons, mais Love n’y avait pas prêté attention sur le moment trop heureuse de voir sa sœur de cœur elle eu vite compris ce qui se passa lorsqu’elle vit arriver une jeune demoiselle calmer les deux gardes qui s’emblaient s’être querellés, elle regarda son mari et sa sœur de cœur et partie à rire. Quand elle s’arrêta net en voyant arriver un homme assez imposant leur dire.

Suivez-moi, je vais vous conduire au salon!

Le vicomte d'Avize arriva jusqu'en Normandie dans la baronnie d'Ouillie dont la dame l'avait invité à venir pour requérir ces services puisqu'il était en charge de la Normandie depuis quelques temps. Après une longue chevauchée vers l'occident, il atteignit le château et se présenta donc au poste de garde pour s'annoncer :

Je suis le vicomte d'Avize, Rhân de Crocy, actuellement maréchal d'Armes de France. Votre maitresse m'attend normalement.

Laurel s'empressa de venir ouvrir les lourdes grilles, le froid commençant à se faire sentir et la neige s'étant remise à tomber. Il s'excusa auprès des hôtes pour son retard.
La soirée promettait d'être bien froide pour le garde mais c'était son travail et il l'aimait.

Bienvenue à Ouillie Vicomte, votre grâce Nennya.

Entrez je vous en prie je vais vous conduire tout deux de ce pas au salon.
En effet Vicomte j'ai ordre de n'en rien dire mais la Baronne vous attend avec impatience.

Hâtons nous j'imagine que vous ne devez pas avoir bien chaud.

Laurel sourit, il allait pouvoir se réchauffer un peu à l'intérieur...

Le bonjour, Dame Amellinia, ma jeune maîtresse sera ravie de vous voir!
Je vais vous accompagner jusqu'au salon, si vous le permettez...
Suivez-moi!

Cela faisait dix jours qu'il était maire de Bayeux et il avait reçu un pigeon de la part de son Amie Arianrod qui l'invitait a une "surprise party"... Il avait renvoyé dans la foulée le pigeon qui disait qu'il sera la pour la pour la fête et qu’il sera accompagné par la femme qu’il aimait …


Il avait hâte de faire rencontré Lady à Arian. Ils étaient partis au petit matin dans la chariote que Leo avait gardé lors de son premier mariage Lady avait dormi une bonne parti du chemin elle aidait beaucoup notre homme à la mairie le chemin fut difficile la neige, le froid et cette hantise de retournée a Ouillie.


La dernière fois qu'il était venu à Ouillie c'était pour annoncer son mariage avec Eldarwenn et demander à Arian d’être son témoin une Amie fidele pour qui il donnerai sa vie et son âme.

Ils arrivèrent enfin devant le grand portail Leo réveilla Lady qui dormait sur son épaule protégé d’une couverture pour éviter qu’elle attrape froid … Mon ange on est arrivé il faut te réveiller. Elle le regarda avec un grand sourire plein d’amour et de tendresse il l’embrassa tendrement et descendit de la chariote. Il alla à la rencontre du garde posté devant la grille.

Bonjour Leovigild et Ladypassion nous sommes attendus pour la surprise party organisé par la Baronne …

Le bonjour à vous!
Soyez les bienvenus à Ouillie!
Je vous propose de vous diriger vers le salon, où se trouve la baronne...

Puissiez vous passer une soirée agréable!

les dames toujours pas en vue !? Didier prit la dirrection du garde

Bonjours ,voulez vous bien annoncer , Didier de sars seigneur de Bédéilhac ,lieutenant d'etat majors ,menbre des 45 , et commandeur du saint Esprit ouf terminé

Hardy frissonna, le rapport de force était inversé, il avait intérêt à faire vite un choix: laisser passer, ou non?

Il décida que oui, mieux valait risquer d'offenser sa maîtresse pour avoir laissé entrer un opportun, que d'insulter un de ses invités en le laissant demeurer dehors pas ce froid...

Il inclina servilement la tête...

Au salon, Vicom, je vais vous y conduire, et vous annoncer...

[L'arrivée de la Von Wittelsbach]

C'est en retard qu'elle arriva en la Baronnie de son amie la Baronne, elle avait fait presser au maximum ses pauvres betes afin d ene point trop arriver en retard mais à cause de cette fichue guerre en gascogne c'etait chose manquée

Elle descendit de son carrosse et alla s'annoncer au garde.....Bonjour Mon brave, pouvez vous annoncer à votre Maitresse que Kassandra Von Wittelsbach vient d'arriver je vous prie.....

La brunette essaya de garder un ton aimable malgres le froid qu'il faisait

Laurel pensait que ca allait se calmer mais non, des Dames arriverent, il bomba le torse passant rapidement les mains dans ses cheveux pour les recoiffer et grand sourire il s'adressa aux dames.

Bien le bonjour mes Dames, soyez les bienvenues à Ouillie. Je regrette réellement n'avoir que deux bras tout de suite.

Veuillez donc me suivre à défaut de vous conduire à mon bras à la salle ou tout les invités se trouvent pour l'occasion.

Cela faisait un moment que le calme était revenu aux grille d'Ouillie. Ah ben en voila un qui a du retard se dit Laurel amusé.

Bonjour Vicomte, il semblerait que la réception a commencé au salon , mais si j'ai pris compris la cérémonie a commencé ou va l'atre d'ici peu, veulliez me suivre

Laurel revenait de la salle de cérémonie quand une chose, oui oui oui chose si... grande... l'interpella comme s'ils étaient sur un marché ou dans une arriere rue non fréquentable de Normandie. Bon maintenant c'était plus la meme chose, la Baronne n'était pas là pour entendre trop occupé avec ses invités, il pourrait etre lui.

Dis moi mon Grand, alors déjà tu te présentes !!! Ensuite tu poses ta hache sinon tu vas nul part !! de deux si tu remplies pas tout de suite la deux je vais devoir te faire gouter de mon épée au lieu de calva.

Il le fixa, se sentant quand meme tout petit à coté de ce monstre humain, ca existe des grands comme ca ?! Ou elle avait bien pu le rencontrer la Maitresse. *Ah non elle n'a pas le droit de fréquenter les mauvaises rues la Baronne !!! * Sa colere se fit encore plus grande, il aura deux mots à touché à la Maitresse.

L'Ogre de Sémur dévisagea l'homme et fronça les sourcils...

Hé, je pensais pas que je m'amuserai dès l'entrée !

Je suis Rochefort, et j'aime pas trop ta façon de me parler... Alors quoi ? Les loufiats se sentent plus pisser ?

Si je la lache celle-là... Rochefort montra du regard sa hache C'est pour t'en foutre plein la poire, à coup de bourre-pif...

Sans attendre la réponse, il jeta son arme contre le mur, et s'approcha, la bouche ouverte, le visage menaçant.

Trois chevaux... Trois cavaliers. Guère plus, il n'en fallait pour venir à Ouillie. La dame montait en amazone pour ne pas trop froisser la robe qu'elle portait, la toute dernière de sa collection qu'elle mettait pour la première fois en public. Une couturière aux fines mains la lui avait faite avec précision et doigté qu'elle était restée abasourdie en voyant la robe. A ses côtés, un duc. Pas un simple Duc...

Ils arrivèrent à l'entrée du château.

Juliette se rappela alors de leur discussion au sujet de cette invitation. Elle avait d'abord laissé un message pour savoir s'il accepterait de l'accompagner en sous entendant les incidences que cela pouvait avoir. Mais aucun message en retour ne lui était adressé. Elle était alors parvenue à le croiser et commis alors... un petit, tout petit pécher. Cela n'était pas le premier mais à l'égard du Duc, cela était bien rare. Elle lui fit croire qu'elle avait invité une autre personne pour l'accompagner puisqu'il n'y avait pas eu de réponse. Le Duc ne semblait pas convaincu et conclu qu'il avait bien compris ce que souhaitait la Baronne : qui pouvait-elle vraiment invité d'autre ? il n'y avait que Lui dont elle acceptait la compagnie, la protection ou la courtoisie. Certes, des prétendants elle en avait, et si le Duc avait répondu par la négative, elle aurait été prête à faire de ce mensonge une réalité. Ils venaient donc ensemble à cette fête. Juliette lançait par moment des regards vers le Duc, cherchant un signe d'insatisfaction, de gêne... ou mieux, de bien être, d'apaisement, d'assurance. Ils étaient en Normandie et il y aurait probablement des normands ... paraitre ensemble ici rendait d'autant plus officiel les liens qui avaient nourri un temps les rumeurs.

Ils se présentèrent aux gardes.

Bonjour, nous sommes ...

Elle n'en dit pas plus. la garde semblait bien occupée par un homme aux allures de brute. Juliette se dit qu'elle patienterait un peu ne voulant pas s'immiscer dans l'affaire des deux hommes.

[hrp: obligé d'éditer pour rester dans le contexte du rp présent - Edit bis pour oubli d'un détail ]

Passion avait reçu un carton d'invitation, elle arriva seule, son époux étant deja partit

Bonjour je suis Passion de Prie Montpoupon, , pouvez vous m'annoncer je vous pries?

Rochefort lança un sourire à l'autre garde et acquiessa.

Plus d'histoire, c'est promis...

Il entra donc, suivant les nouveaux arrivants, jetant un dernier regard à Laurel... A coup sûr, cette histoire n'était pas fini, il avait hate d'en découdre davantage avec cet homme...

Laurel s'était rapidement la lèvre d'un linge propre avant de revenir, vraiment étrange que cette homme enfin soit, si la cérémonie restait calme toutefois...
Il aurait peut être le temps de se reposer un peu et de de boire un coup quand tout le monde festoierait par la suite. Il alla ouvrir la grille aux arrivant tardifs et les salua.

Bienvenue au château, la surprise fût dévoilée et la cérémonie à commencée je vais vous conduire.

Hardy sourit en voyant arriver encore un ami de la Baronne.

Bonjour Seigneur, bienvenue à Ouillie, mais dépechons nous, la cérémonie a commencé depuis un bout de temps déjà.

Un regard vers le palefrenier pour la monture, puis il accompagna l'invité à l'intérieur du chateau.

Encore plus en retard que le plus en retard Pierre s'avanca vers le garde ayant prit soin de laisser Fouc le Camp II aux écuries.

D'un pas rapide il se posta devant le garde

Bonjour, Je me sais affreusement en retard, j'espère avoir encore le temps de voir la Baronne. Pouver vous annoncer Pierre de Roanne d'Azayes je vous prie.

Le chemin depuis Paris avait été fait d'une traite.
Lamri, le cheval noir, avait l'habitude des départs quelques peu intempestifs liés souvent au manque de mémoire de son maître pour les horaires et dates de festivités.
Ils étaient rentrés sur les terres normandes depuis quelques heures déja et approchaient maintenant de la Baronnie.
Theran ne put s'empecher d'avoir un bref pincement au coeur en observant les terres qu'ils traversaient au grand galop... Quel idio avait-il encore été ?

Le manoir n'était plus qu'a quelques minutes, il en distinguait les toits.

Un peu de poussière se souleva dans l'obscurité de la soirée alors que Theran mettait pied-à-terre.
Un garde lui barra la route.

Veuillez annoncer, Theran de Terrail, Maréchal et Ecuyer de l'Ordre du Saint Esprit, Garde Royal, Gouverneur Militaire de Muret et Lieutenant d'Etat Major Royal aux maîtres des lieux. Il me semble que je suis quelque peu en retard...

Le Garde lui annonca que comme "retard" c'était plusieurs heures de non-présence.

Il prononca le mot de "cérémonie" ce qui eu quelque peu don d'intriguer le jeune homme... Cérémonie ? pou un anniversaire ?* pensa-t-il.

Il pénétra à l'intérieur du batîment, en compagnie du garde armée.