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[RP/IG] Jugements du Tribunal du Maine

Anorion2
Avis à la population ...

Le jugement suivant relève de l'Ordre Public



Par jugement du Tribunal du Maine, le sieur Mackiavel, conforménent au verdict rendu en date du dix-huitième de janvier de l'an de grâce 1458, est condamné à :
- une amende de 2 écus
- 6 jours d'emprisonnement
- l'interdiction de fréquentation des tavernes du Maine pour une durée d'un mois à compter de la date du rendu de justice, soit jusqu'au dix-huitième de février inclus.

Les taverniers sont donc invités à lui refuser l'accès de leur débit de boissons et à faire appel à la maréchaussée pour le cas où le sieur Mackiavel en forcerait l'entrée.


Anorion2,
Juge du Maine
Cl0e
Revenue une nouvelle fois d'Alençon, mais ce coup-ci pour repartir définitivement vers son Sud, elle ne put s'empêcher de se renseigner sur le procès qu'elle avait lancé contre Mackiavel.
Elle était pas du genre à jouer les justicières, la blondinette, mais là, ç'avait été plus fort qu'elle. Preuves à l'appui, témoignages, coups et blessures, il était cuit d'avance, elle le savait, il le savait, il ne comprenait toujours pas. Pauvre de lui. Elle lui avait pourtant promis, devant public, qu'elle comptait fermement le pourrir.
Et, ce matin là, en passant devant le tribunal, elle vit le verdict final, rendu après son passage à la barre. Ô joie, il allait la détester !

- Une amende de 2 écus ? Quelle calembour ! M'enfin, une petite semaine à l'ombre lui permettra de se faire des amis parmi les rats. Quoiqu'il est capable de les étriper à vif ou de les manger, qui sait. C'la dit, on va pas chipoter.

Quand à l'interdiction de fréquentation des tavernes, c'était exactement ce qu'elle avait demandé. Un mois de paix pour les habitants. Pourtant, aucun n'avait envoyé de pigeon pour la féliciter ou la remercier.

- Bande d'ingrats, marmonna-t-elle. Déjà qu'ils avaient même pas osé s'en prendre à ce malotru, par peur de représailles ?
M'enfin bref, au moins, elle avait bonne conscience. Et le juge avait aimablement affiché en grand, en énorme, le verdict final.

COUPABLE

Rire machiavélique de la blonde lectouroise.

- Je t'ai eu, pourriture bouseuse.
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Meltreize
Elle connaissait le jugement, elle avait assez pesté comme ca en l'apprenant!! le procureur n'avait apparemment pas tenu compte des témoignages en faveur de Mack dont la lettre quelle avait envoyée à Monsieur le Juge et cela enervait profondemment Mel! et voila Mack en prison pour des raisons qui auraient très bien pu se régler en une bonne lice boueuse mais apparemment les nouvelles bonnes manières de Cléo l'en avait empéché et c'est en dame outrageusement choquée qui avait bien fait rire Mel quelle était apparue au tribunal!

Justement elle la voyait en train de lire le jugement et à son regard on pouvait se douter quelle atteignait le paroxysme du plaisir !! et bien tant mieux pour elle au moins pour une fois c'est elle qui en prend rigola Mel pour elle seule!!

Elle se dirigea vers la prison pour peut etre apercevoir Mack , l'assurer a nouveau de son soutien,et lui remonter le moral. Elle allait partir mais sa raison l'abandonna et de toute facon ca la chatouillait trop depuis quelle avait vu l'expression sadique et ravie de Cléo.

Et bien Cléo je suis ravie de te voir aussi gaie devant ce jugement!!!! en meme temps je ne suis pas trop étonnée de ta réaction.. on le serait a moins.. pour une fois que ton plaisir ne coute que 2 écus à ton partenaire!! bon et bien je te souhaite une bonne soirée j'ai un ami en prison a visiter moi !!
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Sasousem
il est jugé enfin mais que 2 écus d amende c est peu

et vit cloe et sourit
Cl0e
Tiens tiens, une rageuse mécontente. C'est ça de faire de mauvais choix ... M'enfin chacun son truc hein !

- Alors d'abord, donzelle, on est pas assez intime pour se tutoyer. Merci. Et puis moi, c'est Cloé. A bon entendeur.
Ensuite, oui, je suis gaie. La vie est si belle, vous ne trouvez pas ? Ah ben non, votre compagnon est à l'ombre. Oups.


Cloé souria de plus belle devant la tronche qu'elle tirait. Elle aurait bien aimé savoir ce qu'elle pensait comme horreurs sur elle tiens, ça l'aurait faite rire.

- Ensuite, que savez vous de mon bon plaisir ? Et à deux écus ? C'est tellement mal me connaître ...
Non, vraiment, je ne vois pas ce que je vous ai fait. Nous ne nous sommes jamais rencontré auparavant, alors calmez-vous je vous prie, n'allons pas faire un esclandre en public. Ce serait tellement gênant.
Bonne visite en tout cas !

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Meltreize
Et la dame se retourna et la... Mel se figea! vite un trou de souris un puit un abreuvoir.. quelque chose où se jetter et disparaitre a jamais!!

surtout garder l'air digne et sur de soi.. enfin pas trop Mel car la tu viens de faire la boulette du siècle alors la ramène pas trop hein.. deja tu t excuse! quoi? ha non jamais... si tu dis pardon a la dame Mel et tu fais un sourire... et enleve ce froncement de sourcil obstiné en plus...

Il est possible Chère dame que j'ai commis une toute petite erreur de personne ...allez Mel.. tu t'excuse... oui roooo ca va hein je vais le faire pffff

Vraiment je vous prie d'accepter mes excuses et je vais de ce pas aller voir ailleurs si j'y suis! un sourire bien franc a la dame et Mel prit sa conscience sous le bras et fila en lui intimant l'ordre de pas la ramener
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Cl0e
Ah c'était plus clair maintenant.

Alors comme ça, vous aussi vous m'confondez avec Cléodora ? Mais c'est pas possib' ça ! Mon nom c'est Cloé. CLOE. Naméoh.
Bon, excuses acceptées, mais que ça se reproduise pas hein.

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Meltreize
Arrêt sur image, demi tour droite et haussement de sourcil de Mel !!

mais dame vous me tancez?

Sachez donc que s il est vrai que des excuses sont de rigueur pour ma méprise, il n'en demeure pas moins que je méprise votre accusation délibéremment mauvaise et gratuite! Messire Mackiavel est effectivement un ami et il sera toujours le bienvenu chez moi ne vous en déplaise. Je suis outrée que vous soyez si prompte a détruire la réputation d'une personne sur une seule envie de nuire et pour quelques faits et gestes que vous auriez pu arreter vous meme par quelques injures que je viens de vous entendre cracher et que vous maniez si bien.

Si d'aventure vous deviez partir de Mayenne prévenez moi donc très chère que je festoie a cette nouvelle.

Une dernière chose avant que je ne parte....la prochaine que vous vous adresserez a moi, si je n'ai pas la chance d' évitez ce déplaisir, évitez donc le donzelle je vous prie! ou bien prenez la peine juste avant de vous mouchez le nez du lait que je vois couler voulez vous!

Sur ce je vous salue dame. je vais effectivement rendre visite a un ami...compassion , compréhension et empathie sont des mots qui vous échappent!! je vous laisse a vos rires qui ne vous avantagent pas Dame.. un soupcon d'humanité dedans aurait pu peut etre changer cela.


Haussement d'épaules.. Mel n'avait plus rien a faire ici et donc se dirigea vers des occupations plus importantes. Nanmého.
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Missnyny.
(si je puis me permettre je suis pas sure qu'on ai le droit d'interdire les gens d'aller en taverne... il a normalement au moins le droit de se creer sa propre taverne... a verifier. Moi je trouve pas ça juste comme peine pour un joueur tamago, autant l'interdire d'aller sur les RR ça ira plus vite.)
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--Cloe


Haussement de sourcil, celui de la lectouroise cette fois-ci.

- Vous tancer ? Du tout, je n’en ai que faire. Quand à votre méprise, cela m’est tout autant égal. Vous ne me connaissez pas, et vous n’étiez pas présente lorsqu’ il a levé la main sur moi. Alors je vous prierais de ne pas parler sans connaissance de cause, Dame, puisque vous aimez à être appelée ainsi. Merci également de ne pas remettre en question mon âge, vous serez aimable. J’ai depuis longtemps délaissé mes langes, contrairement à ce que vous insinuez …
Et contrairement à vos convictions, ce portrait si peu flatteur de moi que vous dressez ne me ressemble nullement. Comme je vous le dis, et je vous le répète, vous ne me connaissez pas pour me juger ainsi. Alors je vous serai gré de me témoigner un tant soit peu de respect.
Pour votre grand plaisir à n’en pas douter, je quitte en effet Mayenne. Vous serez ainsi soulagée si je comprends bien. Quelle tristesse. Nos échanges ô combien amicaux me manqueront. Et ne doutez pas de mon humanité, de ma compassion, de ma compréhension et de mon empathie, bien au contraire, je n’ai pas à faire mes preuves sur ce terrain. Et j’ai laissé sa chance à votre ami. Vous m’en voyez vraiment navrée, mais je ne supporte que l’on lève ainsi la main sur moi, surtout sans maison. Il me semble que c’est justifié, m’enfin bon.
Sur ce je vous laisse, j’ai de la route à faire. Au plaisir.


Ne laissant à la femme le temps de répondre, elle tourna les talons, direction son sud, la chaleur de ses habitants, moins prompts à rabaisser ou frapper les honnêtes gens.







Je ne sais pas si c'est possible, mais ils l'ont fait. Cela dit, je sais pas si la façon qu'il a de parler aux gens en taverne est très juste aussi Mathilde
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