[RP] Concours de Ripailles

Nane rejoint la place le Nain en remorque derrière elle.

Elle lui désigne sa place d'un air toujours aussi furibond qu'à la fin de leur discussion et va chercher le cochon de lait qui lui revient.



Vous pouvez manger messieurs et je vous conseille d'y aller de bon cœur d'autres plats vous attendent.

Pendant que les concurrent dévorent leurs cochons Nane fait apporter un gros tonneau pour faire glisser toute cette mangeaille.



Pour ceux qui le désire elle retourne ensuite quérir de grands paniers remplis de miches dorées à souhait, charnues et bien appétissante.



voila messieurs ! C'est assez complet je crois !

Se tournant vers Nola elle lui demande discrètement :

Peux tu m'aider à mettre les sangliers que j'ai préparer à réchauffer sur les feux de bois ?
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Nolanna regarde et sourit à son amie qui revient avec le sieur Artabas, il est plus que temps, car le brave Cyclopède commence s'impatienter à en croire les fréquent coup d'oeil derrière lui et ses yeux lorsqu'il regarde les cochons de lait juteux à souhait

Nane et le nain sont enfin de retour et tandis que celui se réinstalle à la tablé Nane lui souffle qu'elle a besoin d'un petit coup de main pour la suite ..

Je te suis Nanou lui dit elle en lui emboîtant le pas

lorsqu'elles arrivent à l'écart ou Nane a laissé tous les plats qu'elle a mis la nuit entière a préparé Nolanna découvre les énormes sangliers qu'elles doivent mettre sur les feux

Boudiou dit elle avant de regarder son amie et dire qu'après cela ils continueront a mangé

elle se place d'un côté de la première broche et aidé de Nane mets le premier sanglier au-dessus du feu et ainsi de suite pour les deux suivants


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Heureusement que tu ne dois pas cuisiné ainsi tous les jours Nane le comté n'aurait plus un seul gibier dans ses bois et les étales des marchés seraient vide aussi ....
Elles repartent vers la table et laisse le serviteur que Nane a emboché pour l'occasion trourné les broches et les prevenir lorsque se sera pret
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La petite dame qui crie sans cesse était revenue, suivi du nain... Sur qu'il avait du en entendre, celui-là. Alors le géant jugea bon de garder sa moquerie, pour une fois, mais la marmotte sans poil ne perdait rien pour attendre. Cyclopède se jeta donc sur le cochon, l'ordre étant donné de poursuivre.

Cette brave bête n'était morte pour rien, et le colosse avait besoin de se remplir. Il lui rendit donc les derniers honneurs en enlevant d'une bouchée les deux tiers d'un postérieur qui aurait fait pâlir plus d'une drôlesse ! Une seconde, une image lui traversa l'esprit, mais il failli s'étouffer tant elle était cocasse, et il reprit le repas, essayant de ne pas s'étrangler de rire, à nouveau. La concentration revenue, il avisa une belle miche qu'il coupa en deux, dans la largeur. Quel bonheur de pouvoir se faire un tartine digne de ce nom : un quart avant sur un toast, arrosé d'une bonne pinte, et voilà que Cyclopède s'attaquait au reste du héros rôti.

Théo constata avec une satisfaction évidente que le nain n'était pas resté insensible aux ... charmes de Nane. Il reprit donc place auprès du géant et ne se fit pas prier pour entamer le cochon de lait.... et le terminer en un temps record.
Saisissant le bord de la nappe, il s'essuya la bouche et fit signe qu'on lui ammène un peu du contenu de ce tonneau. Puis se tournant vers Dame Nane qui revenait avec Dame Nolanna, il lui dit :

Dame Nane, vous êtes une cuisinière hors pair, j'ai hâte de passer à la suite du repas...

Accompagnant sa dernière phrase d'un sourire, il se leva pour faire quelques pas et aider à la "descente".

Artabas pris donc place et remarqua l'air contrarié du géant. Il lui sourit et, le voyant ingurgiter d'une bouchée un bon quart du cochon, il ne put s'empêcher de dire:



Ben mon gros, fais gaffe tu vas finir par avoir des gaz toué! R'marqu' ça m'étonnerai pas qu't'en ai déja vu comme t'es boudiné! Faut qu'tu t'détendes mon gros! Pis tu vas faire peur à ces deux donzelles là!


Puis lui donnant un coup de coude il lui dit en marmonnant:


Tu crois qu'le freluquet va arriver à nous suiv'


Puis il se mit à rire en regardant l'autre homme et continua à manger tranquillement.
Il arriva donc à engloutir le goret et sauta par dessus table pour aller se servir une bonne rasade d'alcool.

Le porcelet était vite tombé dans les entrailles de Cyclopède, et ce dernier se tourna vers le nain, qui venait de lui filer un coup dans les côtes. Il était content de son retour, mais ne voulait pas trop le montrer. Alors il décida de s'emporter un peu, juste pour le plaisir !

Il va falloir que tu fasses entrer une idée dans la noix qui te sert de caboche, mon mignon ! Juste pour voir si ya assez de place... je ne suis pas gros, je suis vaste ! Et puis ce qui peut bien sortir de mon ventre ne regarde que moi... Quoiqu'il m'est arrivé, en poussant à peine, d'en faire un qui te ressemblait trait pour trait...

cyclopède lui décocha son plus vil sourire, et se baissant vers lui, lui murmura si bas que personne ne put entendre :

En tout cas, content que tu soille de retour... ça aurait pas été drôle de manger tout seul !

se redressant pour attraper une autre miche, et essuyer ses doigts dedans comme dans un mouchoir, un énorme rôt fusa de la montagne de chair. Visiblement ravi de cette interruption sonore, il fit couler une autre pinte, et la coiffa d'une mousse de crême !

Pendant que les lourds sangliers réchauffent lentement sur le feu qu'ils prennent une jolie teinte dorée lentement arrosé par la sauce a l'huile et au piments généreusement étalée par le serviteur engagé a la hate pour l'occasion, Nane prépare le plat suivant il s'agit pour chacun des mangeur d'avaler une viande blanche supplémentaire.

De belles oies de son poulailler ont fait les frais de cette ripaille. Une fois plumée et vidées rôties et entourées de pommes les bêtes ont fière allure avec leur peau croustillantes luisantes de graisse.



Nane prend les plats un à un et les dépose devant les concurrents et retourne, pendant que ceux ci bâfrent préparer la suite, en gémissant tant le poids de toute cette mangeaille en trois exemplaires lui allonge les bras et lui casse les reins.
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Pat se promenait avec sousou dans les rues d'Albi , les ruelles étaient désertes , il faut dire que le froid n' envisageait guére de sortir le bout de son nez.

Il y avait pourtant au milieu de la place une certaine agitation,on distinguait de la fumée et quelques badaus qui agitaient les bras , pat pris sousou dans ses bras et activa le pas pour y voir du prés .

Se frayant un chemin a travers la foule , il reconnu nane revêtu de son tablier affairé a cuisiner de biens beaux sangliers qui lui donnait l'eau a la bouche ainsi que trois hommes attablés , les yeux rivés sur de biens belles oies
a la peau dorée .

sousou dit : pat gade le ptit bonhomme , il a un gros ventre il a pedu un bouton a sa smise et pis il a de la iande dans sa barbe , beurkkkkkkkkk, euh le grand monsieur il a bu tout son verre

OUI ma sousou ce sont des ogres , ils vont tout manger mais le nain a l 'air d 'etre bien entrainé , je suis sur qu'il va gagner , allez sousou rentrons il se fais tard

Impressionnée par la vitesse avec laquelle les candidats avalaient ce que Nane avait mis toute la nuit à préparer, la rouquine, qui n'écoutait plus les encouragements de son fils qui suivirent le retour du nain, était plutôt occupée à observer avec envie les différents plats que l'on allait servir aux trois gourmands...et se demandait si, sans se faire remarquer, elle pourrait piquer de quoi faire taire son estomac qui n'allait pas tarder à grogner son envie...et d'ailleurs pour couvrir un début de gargouillement, Ally n'hésita pas à s'opposer à son petit garçon.

Allez le géant, faites honneur à votre taille !!!
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Nane c’était affairée depuis la veille au soir, a préparé le banquet et MarcJ avait humé les bonnes odeurs qui émanaient de la cuisine.
Il décida donc de faire un tour a ce fameux concours de ripaille, voir si il n'y aurait pas quelques restes.
En arrivant il aperçu quelques personnes qu’il salua, d’autres a qui il serra la main ou fit la bise, puis en arrivant prés de la table, quelle surprise.
Il découvrit trois hommes attablés autour d’un festin digne des plus grands banquets.
Et quels hommes, l’un était fort grand et d’une corpulence impressionnante, le deuxième paraissait tout à fait dans la norme au regard du premier, mais avait un sérieux appétit et le troisième, certainement le plus surprenant, était un nain !
Mais que faisait un estomac aussi petit dans un concours d’ingurgitation de victuailles ?
Pourtant les trois hommes avalaient des morceaux du cochons de lait a une vitesse affolante, puis du pain, et encore du cochon suivi d'une bonne rasade d'alcool pour faire descendre l'ensemble ...

Marcj s’approcha des concurrents avec le sourire.

Il aperçu Nane et Nolanna qui s’activaient à amener plats après plats pour tenter de rassasier les trois convives.
Tous trois s'attaquaient maintenant a des oies rôties dont la couleur comme l'odeur aiguisaient l'appétit de tous.
Voyant les mains du nain arracher des pièces entières de l'oie rôtie, une cuisse par-ci une aile par-là ...et engloutir le tout avec un appétit démesuré.

Il se tourna vers le petit homme, et lui glissa :

Messire montrez a tous que la taille ne fait rien a l'affaire!

Cyclopède venait à peine de finir sa bière et d'attraper une oie délicieusement luisante de sucs, qu'une voix lui fit tourner la tête. Dans l'assemblée, une belle rouquine l'avait encouragé, lui ! Et bien, en voilà une journée, bougrebleu ! Il lança un sourire majestueux à la jolie dame, les moustaches ornées d'une mousse épaisse et lui lança un clin d'oeil de remerciement. Se tournant vers le nain, il paradait !

Et de deux... ça t'en bouche un coin, hein, mon mignon ! D'abord l'aubergiste, et maintenant cette belle dame... Ha ça, faut dire que tu fais pas le poids !!!

C'est d'un rire franc, causé à la fois par le bon mot et par un sentiment de bonheur, que la montagne humaine écarta les cuisses de la volaille, d'un coup. Le deux pilons en main, il nettoya les os en un clin d'oeil tant la cuisson était parfaite. La chair s'en détacha aussi facilement qu'un oeuf sort de sa coquille brisé. Une douzaine de pommes plus tard, le géant s'amusait encore avec la belle carcasse et lachait de temps à autre des soupirs de régal.

Artabas allait attaquer son oie en éructant bruyamment (ben oui, faut bien faire descendre et s'était sa manière à lui!) lorsqu'il vit la rouquine épouse de son ami encourager le "vaste" qui en profita pour parader.



Ca mon vast'ami, c'est-y l'épouse d'mon pote. Et si tu veux savoir, ben elle peut pas m'blairer depuis qu'j'me suis perdu dans ses miches. Pas d'ma faute tention! C'était un cas d'extrême urgence quand c'est arrivé.


Puis répondant aux encouragements du petit garçon et de l'homme qui semblait suivre la tavernière de près, il leur dit tout fier:


Z'inquiétez pas! C'est pas l'vaste qui m'fait peur et pis c't'une question d'honneur là!


Il continua à ingurgiter son oie lentement, tout en laissant échapper quelques rots bien sonores sensés impressionner son géant adversaire.