nestor
Il les vit passer un à un.
Fiers Seigneurs du Lyonnais Dauphiné, nobles Dames au port altier , citoyens libres et courageux, fidèles et respectueux.
Tous pénétraient dans le lieu saint, se présentant un à un devant la dépouille mortelle du Seigneur, du grand homme, de lami et témoignaient leur compassion à cette femme, si digne dans sa douleur, à cette enfant si belle si touchante malgré son malheur.
Nestor aussi était entré dans léglise. Mais il navait réussit quà faire quelques pas jusquà la première rangée de banc près du porche dentrée.
Il avait néanmoins réussit à croiser le regard plein dune infinie tristesse de Freyelda qui lui rendit un frêle sourire plein de grâce comparé à la grimace quil navait pu, lui, que réussir à produire malgré sa volonté.
A cette place, à la lueur des bougies et candélabres, à travers les volutes dencens ,bercé par les prières récitées, il se laissait aller à un hébétement intemporel, plein de souvenirs.
Cest un visage qui len sortit.
Un visage sévère et inexpressif surmonté de cheveux blonds remontés en un chignon serré et haut placé.
Un visage que baignaient des larmes.
Un visage dont les yeux fixés sur lui en une supplique silencieuse attendait de lui un geste de réconfort.
Il se redressa et prit Maïlys dans ses bras dans une étreinte pleine de chaleur et de réconfort.
Et nul naurait pu dire finalement qui des deux réconfortait lautre.
Fiers Seigneurs du Lyonnais Dauphiné, nobles Dames au port altier , citoyens libres et courageux, fidèles et respectueux.
Tous pénétraient dans le lieu saint, se présentant un à un devant la dépouille mortelle du Seigneur, du grand homme, de lami et témoignaient leur compassion à cette femme, si digne dans sa douleur, à cette enfant si belle si touchante malgré son malheur.
Nestor aussi était entré dans léglise. Mais il navait réussit quà faire quelques pas jusquà la première rangée de banc près du porche dentrée.
Il avait néanmoins réussit à croiser le regard plein dune infinie tristesse de Freyelda qui lui rendit un frêle sourire plein de grâce comparé à la grimace quil navait pu, lui, que réussir à produire malgré sa volonté.
A cette place, à la lueur des bougies et candélabres, à travers les volutes dencens ,bercé par les prières récitées, il se laissait aller à un hébétement intemporel, plein de souvenirs.
Cest un visage qui len sortit.
Un visage sévère et inexpressif surmonté de cheveux blonds remontés en un chignon serré et haut placé.
Un visage que baignaient des larmes.
Un visage dont les yeux fixés sur lui en une supplique silencieuse attendait de lui un geste de réconfort.
Il se redressa et prit Maïlys dans ses bras dans une étreinte pleine de chaleur et de réconfort.
Et nul naurait pu dire finalement qui des deux réconfortait lautre.