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Mariage d'Alyanne et Walan.

Walan
Walan échangea un regard avec Freyelda lorsqu'il vit la réaction d'Aliénor et lui glissa, amusé.

Elle a beaucoup grandie, je crois qu'il va falloir que je revois mes surnoms.

Le Capitaine accueilli Le_troll lorsqu'il arriva.

Messire bourgmestre, félicitations pour ta nouvelle élection.
Le stress monte doucement ... et j'ai bien peur que cela ne fasse que commencer, mais cette journée s'annonce fort belle et heureuse.

Le regard du seigneur de Meyrieu fut à nouveau attiré ailleurs, pour voir sa filleule en plein numéro de charme à l'intention de Max. Il eut un léger sourire en voyant la mine du seigneur de Mions, tout en ajoutant pour lui même.

Oui, beaucoup grandie ...
Max69lyon
A la réplique audacieuse de la vicomtale blondinette, Max manqua de s'étouffer de surprise.
T'...t'épouser? Moi? A vrai dire ce serait un honneur, mais nous ne sommes pas du même rang demoiselle. Tout au plus pourrais-je te prêter allégeance, et mettre mon épée à ton service... si tu daignais l'accepter bien sur
répondit-il dans un sourire
Réfléchissant à la dernière question de la jeune fille, il eut un fugace pincement au coeur en pensant à celle qui, il l'avait cru un temps, partagerait sa vie...mais les évennements les avaient séparés, et de fiançailles, il n'était plus. Inspirant pour cacher son trouble, il s'accroupit pour faire face à la fillette

Mon coeur est prit en effet... Les terres et les gens que j'aime l'occupent en grande partie, et Aristote prend les parcelles restantes. Vois tu, si je devais n'avoir qu'un amour, ce serait notre duché. Vois comme il est beau, vois comme ces montagnes sont la définition de la majesté et de la noblesse. Chaque personne régnant sur des terres ou des hommes devrait chercher à être une montagne. Calme. Placide. Mais vois aussi nos torrents, nos fleuves. Ta volonté doit être comme eux. Implacable. Accepte d'être détournée, mais toujours, va vers ta mer, vers ton océan.
Mais je me doute que mes métaphores de la vie des notables t'ennuient au plus au point, et que ce n'est pas ce que tu attendais.
Pour ce qui est des personnes, je n'ai que des amitiés...passionelles certes, dévorantes, mais des amitiés. Ta mère est de celles ci... le seigneur de la garde ducale aussi, ton parrain...et tant d'autres
ajouta-t-il avec un signe de tête vers l'église, derrière eux, et un clin d'oeil à la jeune fille.
Aliénor
Ainsi baissé, Max faisait face à la jeune fille, lui faisant remarquer qu'elle avait encore quelques pouces à gagner pour ressembler à une femme, ce qui bien évidemment agaça un tantinet Aliénor. Mais non d'une pipe en bois, qu'avaient-ils tous à vouloir qu'elle reste une enfant ???? Ils leur fallaient en avoir à leur tour pour que ces messieurs puissent voir en elle la femme qu'elle était.... enfin qu'elle serait bientôt... si Dame Nature ne tardait pas trop à lui donner les attributs nécessaires.

La blondinette était partager entre le gifler pour cet affront, mais cela ne se fait pas, lui tirer la langue ce qui serait plus de son âge mais peu gracieux pour une jeune fille de son rang ou alors.... lui offrir un baiser et ainsi lui montrer qu'elle n'était pas aussi naïve qu'il ne se l'imaginait....

Moment de réflexion bref et la fillette se contenta de hausser les épaules


Tu cherches à embrumer mon esprit avec tes métaphores?

Elle lui fit signe de se relever avant qu'il n'attrape des crampes


Donc tu n'as pas l'intention de te marier hein?

Aliénor esquissa un sourire qui en disait long sur ce qu'elle pensait
Thegoldendragon
Golden était entrée à la suite de son parrain dans l'Eglise. Celui-ci l'avait à peine salué, ce qui l'avait profondément agacée. Elle lui avait jeté un regard courroucé mais la joie de le revoir l'avait bien vite effacé.
Lorsqu'il s'agenouilla pour se signer, Golden afficha des yeux de merlan frit. Elle avait du louper quelques épisodes, mais après tout, son parrain s'était engagé dans la garde Episcopale et avait montré une volonté sans faille à défendre sa foi et sa religion durant sa croisade. Elle croisa son regard qui avait prit une lueur amusée et le regarda sortir rejoindre la mini-vicomtesse. Elle avait beaucoup grandit depuis la dernière fois qu'elle l'avait aperçue et son caractère semblait s'être bien affirmé. Elle sourit aux paroles qu'elle adressa à Max et se détourna de leur conversation.
Elle s'approcha de l'eau bénite et se signa lentement en murmurant quelques mots, comme elle le faisait lors de ses séjours au couvent.

Enfin elle alla se placer dans un coin derrière les bancs, attendant que les autres convives entrent pour prendre place. En attendant, elle resta là, songeuse à les observer, le sourire aux lèvres.
Max69lyon
Aliénor fixa l'aspirant capitaine épiscopal de ses grands yeux bleus, milles émotions semblant la traverser.
Puis elle lui répondit simplement, lui laissant comprendre ce qu'elle pensait de ses conseils, avant de lui faire signe de se relever.

Damné bavard que je suis, voilà que je deviens plus rébarbatif que devrait l'être ton parrain.

Le temps qu'il se relève, et elle revenait à la charge avec toute l'innocence dont elle pouvait faire preuve. Une nouvelle fois, il déglutit difficilement.

Me...marier? demanda-t-il avec un regard incrédule
Non ce... ce n'est pas vraiment dans mes projets immédiats...j'ai...encore beaucoup à faire avant de pouvoir me consacrer à une femme...même aussi merveilleuse que toi. conclut-il
Freyelda
La vicomtesse, qui observait sa fille du coin de l'oeil, le regard à la fois contrarié, bienveillant et inquiet. Elle soupira.

Cette enfant me rendra folle...

Elle tourna un regard interrogateur vers Walan et soupira de nouveau.

Vraiment... Mais de qui peut-elle bien tenir ce caractère si... ? Je ne trouve même pas le mot. Son défunt père -que le Très-Haut ait son âme- était une homme fier, certes. Mais cette vanité...vraiment... je ne sais... Juste ciel...

Elle secoua doucement la tête, lasse.

Enfin, les réprimandes attendront : ce n'est ni l'heure, ni le lieu... Je te laisse à tes invités mon ami.

Regard en direction de sa blondinette de fille.

Et Max dans les griffes de Salomé... dit-elle d'un ton amusé.

Elle leva les yeux au ciel et soupira une dernière fois, avant de s'en aller saluer tous ceux qu'elle n'avait pas encore eu l'occasion de voir. Arrivée à hauteur de Naltéa et de son époux, elle retrouva un sourire plus franc.


Et bien mes amis, vous êtes en beauté aujourd'hui. Vos tenues s'accordent à merveille... Mon intendant m'a dit que vous étiez passés à Maubec, il y a peu. Je suis navrée de n'avoir pu vous accueillir moi-même... Je suis également navrée de voir voir partir si loin de nous tous... mais... c'est ainsi. Je suis persuadée qu'un avenir radieux vous attend, où que vous soyez, vous et vos enfants. D'ailleurs, comment se porte le petit Guillaume ? Et sa soeur ?
Vanack
Il venait d'avoir finis de présenter sa recrue los de la cérémonie. Il s'était attablé à une table dans la taverne de la jeteuse de cruche et avait feuilleté la gazette de Voya en sirotant sa bière. Quand il apercu le petit mot de Voya concernant le mariage du Seigneur de Meyrieu......zut, il avait oublié.

En deux temps trois mouvements il avait jeté quelques pièces sur le comptoir de la tavernière qui n'était déja plus la, sans doute partie se faire un beauté, et enfourcha son destrier pour retourner jusque chez lui s'arranger un peu et prévenir Péné, occupée à trancher du Breton.
La route de la Bretagne à Maubec était plutot longue, heureusement elle loua un cheval et lui mis des sabots Prior, qui permettaient au cheval de parcourir la route en une journée sinon on était remboursé.
Evidemment ce ne marchait pas à tout les coups et de nombreux chevaux furent perdus ou réquisitionnés par des palefreniers malhonnète.......mais c'est une autre histoire qui n'a en réalité aucun rapport.

Il enfila un beau pourpoint, d'un bordeaux profond, quelques broderies d'or, très fine venaient décorer les manches ainsi que le col.
Des collants noir de jais venait mettre en évidence le bordeaux et des poulaines de la même couleur que le pourpoint venaient accorder le tout.
Il enfourca son cheval et avec Péné se rendit à l'église Saint bonaventure, ce n'était pas la première fois, il connaissait le chemin, même quelques raccourcis.


Arrivés devant l'église, il ouvrit tranquillement la porte et passa discrètement sa tête, pour voir s'il n'était pas en retard ou s'il ne s'était pas trompé de jour.
Il y avait déja plusieurs personne. Il laissa entrer Péné et lui suivit pour saluer tout le monde
Il se dirigea en premier lieu vers le héros du jour, joliment décoré.


Bonjour mon Capitaine, alors prêt pour le grand combat, le passage de la force Neutre à la force Association............moi j'en suis toujours à la force D, pas encore rassasié ma soif de sang malheureusement. (une minute de silence pour Bernard^^).
Tout mes félicitations en tout cas, puissiez vous faire un mariage heureux et plein de petits soldats qui viendront remplir ma garnison.


Il dit ensuite bonjour aux autres convives Naltéa ,Titile, Voya, Max, Frey, Golden, Le_troll......sans oublié la "plus ou moins grande " Alienor.

Bonjour à tous, belle journée n'est ce pas, c'est déja une bonne chose, j'ai bien failli louper ce grand jour.......il murmura à Voya...ta gazette me l'a rappelé.....merci

Il regarda l'homme avec qui parlait la jeune fille.....Ca alors Max, je t'avais à peine reconnu, et bien ce petit voyage pour exterminer les Lion t'a changé dis moi, tu as l'air plus...........beau^^.
Aliénor
Aliénor sourit satisfaite, sans quitter Max des yeux

Eh bien voilà qui me rassure... j'aurais vraiment été peinée si tu avais voulu prendre en épousailles une autre femme que moi !

Elle avait répondu cela spontanément sans chercher à savoir si cela prêtait au ridicule et c'est tout aussi naturellement qu'elle continua

Et puis je ne pourrai jamais t'épouser, tu es trop gentil ! Une de mes amies au couvent m'a dit que les jeunes filles de mon rang ne font pas de mariage d'amour mais des mariages de raison...mais tu sais ça a des avantages, comme ça on peut avoir plusieurs amants !Dis, quand je serai plus grande tu voudrais pas être un de mes...

Elle n'eut pas le temps de terminer sa phrase qu'une personne était près d'eux. Elle toisa Vanack du regard prête à lancer une réplique cinglante si il osait prononcer les mots "petite, enfant " ou autres termes du genre. Ne voyant rien venir, son visage se radoucit

Je m'en vais retourner auprès de mère.... messieurs...

Elle s'inclina puis s'éloigna
Enguerrand
Le Vicomte était de retour en son domaine pour l'occasion. Il avait voyagé des nuits depuis la lointaine Flandre, laissant là-bas son tuteur de la Licorne aux soins attentifs des médecins, lui ne pouvait plus rien pour cet homme désormais.

Finalement le retour dans ce cher château des Roches lui faisait grand bien de temps en temps. Revoir des paysages familiers, sortir de la discipline militaire de l'Ordre et de l'austérité de la forteresse était rafraichissant... et puis malgré tout il était encore jeune, trop peut être, pour rester si loin de sa famille si longtemps. Le domaine était resté comme il était dans son souvenir, mère s'en était parfaitement occupée même si elle préférait résider dans ses terres guillestroises.

Alors qu'il se recueillait sur la tombe de son défunt père, l'intendant vint le sortir de ses prières pour l'informer que le mariage était sur le point de commencer. Enguerrand se leva alors et fit irruption dans l'église. Il ne connaissait pas Walan aussi bien que sa mère ou sa sœur mais il n'en demeurait pas moins lié avec lui par un serment vassalique et il était également important d'être présent pour le mariage d'un ami de la famille.

Quand il entra, nombre d'invités était déjà présents.
Mère pensera encore que je suis en retard, décidément qu'Aristote est cruel, se dit-il, heureusement la cérémonie n'a pas commencée...
Mère était là, bien évidemment en discutions avec le futur marié. Le seigneur de Mions était, quant à lui, accaparé par l'espiègle Aliénor. Qu'est-ce qu'elle avait grandi depuis la dernière fois qu'ils s'étaient vus... et pourtant elle n'avait pas tant changé...

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Freyelda
Francesca regarda sa fille s'approcher, essayant de dissimuler sa tristesse et son inquiétude derrière une indignation à peine feinte. Aliénor, elle sourirait, ravie. La vicomtesse ouvrit la bouche pour signifier son désappointement à la jeune pucelle trop dégourdie qui lui servait d'ainée lorsqu'elle aperçut Enguerrand qui arrivait d'un pas assuré. Elle soupira et retrouva un peu de son doux sourire naturel, à la pensée de voir sa famille réunie.

Nous règlerons ça plus tard, jeune fille. Va donc saluer ton frère qui est de retour.
Aliénor
*Nous règlerons cela plus tard, jeune fille*

Régler quoi? Aliénor ne voyait pas où sa mère voulait en venir... et pour sûr l'enfant n'avait point consience de son comportement quelque peu déplacé. Aliénor était éduquée certes mais avait un don inné pour faire abstraction des enseignements dont elle ne trouvait que peu d'intérêt, comme les bonnes manières par exemple... chose qui devrait plutôt enseigné aux gueux afin qu'ils puisse montrer plus de respect envers les nobles... alors à quoi bon ? Briller en société? Mais elle brillait déjà ! Elle était la plus belle ! Aliénor ne pouvait pas tout avoir, sinon cela laisserait un énorme handicap pour les autres filles !

La jeune fille baissa la tête, on ne devait pas contredire sa mère, une mère à toujours raison, Freyelda d'Avencourt encore plus que les autres...

Elle se retourna ensuite vers son petit frère, le gratifiant de son plus beau sourire. Aliénor était vraiment heureuse de le revoir, d'une part parce que simplement elle l'aimait bien plus qu'il n'en paraissait et d'autre part elle espérait qu'il monopoliserait l'attention de sa mère afin qu'elle oublie rapidement les griefs qu'elle avait envers Aliénor.


Bonjour Enguerrand vraiment ravie de te revoir, tu nous as manqué, as-tu fait bon voyage?

Phrase de politesse sans importance, Aliénor avait déjà fait abstration de la présence de son frère, le regard de la jeune fille était parti à la recherche de Max
Enguerrand
Quel joyeux tableau de famille. Le jeune garçon était de retour et il retrouvait là sa sœur aînée et sa mère. A peine était-il rentré de sa longue absence que les choses étaient revenues comme elles avaient toujours été : Aliénor n'en faisait qu'à sa tête, s'amusant à rendre sa mère folle de rage et indignée, c'était là devenu un véritable sport pour lequel la jeune fille avait un goût particulier et qu'elle maîtrisait parfaitement depuis des années de pratique. Si bien que nombre de gens se demandait si elle était bien l'ainée, elle semblait bien futile et naïve mais ce n'était finalement qu'une façade qu'un trait de sa personnalité excentrique voir égocentrique, jamais mère n'aurait permis telle entorse dans son éducation et son comportement en société. Au fond, Enguerrand savait comment était sa soeur, elle était bien plus d'Avencourt que les apparences ne le laissaient supposées. Si elle savait se montrer désinvolte et creuse, il savait exactement qu'il n'en était rien, qu'elle avait sa sensibilité, il le voyait très bien au travers des nombreuses lettres qu'ils s'échangeaient quand il était à la forteresse de Ryes. Sa plume était fine, profonde, sincère, intelligente, elle aimait sa famille, nul ne pourrait le nier... sauf elle en public. C'est donc amusé et non surpris qu'il laissa son aînée retourner à ses occupations, ils auraient certainement l'occasion de discuter longuement en autre lieu et en autre temps.

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Sancie
Une catastrophe... C'est une catastrophe...

C'est une Sancie éreintée, aux jupes poussiéreuses et aux cheveux en bataille qui court à en perdre haleine vers l'Eglise Saint Bonaventure. Pas le temps de s'arrêter, ni de s'extasier devant les couleurs mêlées de Meyrieu et Saint Clément Sur Durance, les convenances sont oubliées.

Fendant la masse des invités sans même prendre le temps de s'excuser, chose qu'en temps normal elle ne se serait jamais permis, elle rejoint le Seigneur de Meyrieu, encore toute essouflée et en proie à une peur bien visible, facilement décelable sur son visage.Les mains sur les genoux, sans reprendre son souffle, elle lève un regard complètement paniqué vers son maître.


C'est Madame... On l'a.. Sur la route... Des ibères... Je n'ai pas compris ce qu'ils disaient... Madame s'est débattue... Ils l'ont emmené avec eux... Je me suis enfuie mais...

Le Capitaine en face d'elle semblant avoir tout de suite compris le pourquoi de l'affolement de Sancie, la servante reprend enfin une inspiration qui lui semblait qu'elle ne s'était pas offerte depuis une décennie.

Monsieur, je pense que.. que l'on peut encore les rattrapper.. Mais il faut se presser, vite.
Naltea
Naltéa saluait tout le monde mais son esprit était ailleurs. Que diable faisait Alyanne!

Citation:
Et bien mes amis, vous êtes en beauté aujourd'hui. Vos tenues s'accordent à merveille... Mon intendant m'a dit que vous étiez passés à Maubec, il y a peu. Je suis navrée de n'avoir pu vous accueillir moi-même... Je suis également navrée de voir voir partir si loin de nous tous... mais... c'est ainsi. Je suis persuadée qu'un avenir radieux vous attend, où que vous soyez, vous et vos enfants. D'ailleurs, comment se porte le petit Guillaume ? Et sa soeur ?


Naltéa sourit à Frey.

Merci de ta gentillesse Frey. Nos enfants grandissent et ton filleul va très bien ainsi que sa sœur. Nous iront les chercher après la cérémonie, tu pourras le constater toi-même.

Naltéa regarda les enfants de Frey

Les tiens ont bien grandit. Ton fils a l’air aussi sérieux que ta fille espiègle. Elle est charmante et fera une femme remarquable et remarquée...

Elle n’eut pas le temps d’achever sa phrase Sancie arrivait catastrophée.

L’Espagnol? Non impossible pas aujourd hui…

Titile on y va?

Elle s’approcha rapidement de Walan. Il avait l’habitude de commander. Il donnerait les ordres. Elle pouvait se changer rapidement. Tout se bousculait dans sa tête. Ils devaient la rattrapper, la ramener.

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Walan
D'ouvert, chaleureux et rayonnant, le visage de Walan devint instantanément glacial et résolu lorsqu'il entendit les paroles de Sancie. Posant une main sur l'épaule de la servante, il lui parla d'un ton neutre dissimulant à grand peine la tempête qui venait de se lever dans l'esprit et le cœur du Capitaine.

Reprend ton souffle et reste ici, tu as largement fait ton devoir.

Sans un mot de plus -après tout le silence s'était fait lors de l'irruption de la domestique et tous avaient pu entendre ses paroles- le seigneur de Meyrieu se dirigea d'un pas vif vers les portes de l'église.

Avisant Naltéa qui s'approchait, il leva la main et déclara d'un ton qui ne se prêtait à aucune contestation.


Les femmes et les enfants restent ici, ce qui se passera lorsque je les aurai retrouvés ne se prête pas aux robes et aux jeunes regards.
Les hommes ... les hommes peuvent me suivre, si toutefois ils arrivent à se préparer assez vite et à me rattraper.

N'attendant pas de réactions, le Capitaine s'engagea vers les écuries, y sella rapidement Aistulf sous le regard interloqué du palefrenier et s'élança au galot sur la route reliant Maubec et Meyrieu.

L'heure n'était pas à la réflexion pour le Capitaine. La simple pensée que la femme qu'il aimait plus que tout était en danger de mort occultait toutes les autres, notamment celle lui disant que foncer seul, sans armure et avec une simple épée sur un groupe de brigands à l'effectif inconnu n'était pas une idée des plus raisonnables ...
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