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[rp] Verger de Vaudémont

---fromFRAnonymous
Pommedapi félicita ses deux amis.
J'ai faim ! dit-elle
Nous n'allons pas faire que des félicitations aux amoureux, passons au casse-croûte !
Attaquons le saucisson et la jambon.
Ajariane
aja regarda pomme..en souriant..

Moi aussi j'ai faim..toute ces émotions me creuse..et en dessert..g justement avec moi..une belle tarte aux pommes..

[/img]
---fromFRalsdair.
Ah oui, j'approuve Pommi et Ajariane, commençons donc à nous restaurer c'est pas que, mais j'ai un peu faim. Alas salua Ajariane et Aeriss qui étaient arrivées entre-temps content que vous vous joignez à nous, installez-vousAlas prit le petit panier qui contenait du pain et celui remplit de charcuterie et fit le service. [b]Allez-y, ne faîtes pas les timides, mangez.Alas regarda vers le bosquet où il avait vu Cyl pour la dernière fois Hey Cyl viens donc grignoter, y a à boire aussi et crois- moi c'est une bonne cuvée qui nous attend.
---fromFRAeriss de vaudemont
aeriss sourit a alas puis allat faire la bise a ses amis et s'approcha de loupm et rosana

je suis contente pour vous , vous faites un couple parfait , toute mes félicitations aeriss contente comme tout , fit la bise a ses amis puis elle alla chercher trois verres de vin et en tanda deux a ses amis

a la votre elle sourit et trinqua
Suppremejulien
Julien ayant eu un peu de temps vena près de la fête et évita d'aller les rejoindre pour eviter de les deranger mais il resta a l'ecart pour les regarder en souriant.
Cylouan
cyl passa la tete du buison

mmmmmmmm du bon vins ou ca j arriveeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee

cyl acouru vers alasdair une bouse de vache bien fraiche en main puis sauta sur alas le barboullant a la figure.

oups desoler j ai glisser mmm du vin ba j en boirais bien un cou

vas y sert moi
---fromFRAnonymous
Je propose qu'on ficelle Cylouan et qu'on l'accroche en haut d'un arbre. Avant on va lui faire manger ses bouses de vache. On le barbouillera bien et il sèchera en compagnie des mouches.
Pommedapi fit un clin d'oeil à Trage, Julien, Alasdair et tous firent tomber Cyl à terre. Pomme le saucissonna avec une corde, ils le barbouillèrent de bouse, le baillonnèrent pour ne pas entendre ses cris et le hissèrent en haut d'un grand et beau marronier et purent boire et manger en toute quiètude.
---fromFRalsdair.
Alas après avoir bien rit alla se débarbouiller puis rejoignit ses amis. Il prit une chopine et se servit du whisky que sa fée avait apporté. Il se dirigea devant l'arbre ou était accroché Cyl, il leva les yeux vers lui alors tu t'ennuies pas trop ? Alas vit quelques mouches posées sur Cyl, ah ben non, tu as de la compagnie on dirait bien ah à la tienne Cyl, dommage pour toi il leva son verre, le soleil filtra à travers le verre où l'on voyait le magnifique liquide ambré, Alas but une gorgée, claqua sa langue ah il est divin amuses-toi bien Cyl. Alas rejoignit ses amis, l'ambiance était gaie et chaleureuse.
Rosana45


comme dirait certain et pour me faire du bien

"une rose parmis des roses"
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Ajariane
ajariane sourit..au bonheur de ces amis..son bonheur à elle serai complet si...mais non...il ne faut pas qu'elle pense à cela..vite vite..elle pense à d'autres choses...et profite du soleil..et de sa douce chaleur..

c'est une magnifique journée .. il faut en profiter..

aja sourit de voir rosa si heureuse..
---fromFRAnonymous
Pommedapi et Secret se rendirent au verger.
Par ce bel après-midi ensoleillé, elles allaient ramasser les dernières noix. Secret s'amusait à les chercher sous les feuilles mortes et elle grattait avec une pattes pour fureter. Quand elle en trouvait une, elle la prenait dans sa gueule et venait l'apporter dans le panier en osier de sa maîtresse.
Au bout d'une heure, Pomme décida qu'il était grand temps de se reposer. Elles s'installèrent un peu plus loin sur un banc que Julien le maire avait fait installer. Elles se mirent à rêvasser au soleil.
Rosana45
Rosana ne pu s empecher de revenir dans le verger . Dans ce lieu qui avait été témoin de tant de bonheur avec les deux hommes qu elle avait aimé .

deux fois fiancée est deux ésseuler. Elle s'était promit a l avenir d être moin sentimentale , moin douce , moins naive .

Elle tirait un trait sur tout cela . Elle avait aimé et avait fait confiance doux reve de l innocence . Elle se dit qu elle était vivante et humaine . Elle n en voulait pas a ses deux hommes de son passé car il avait été honnete avec elle .

Rosana se dit que les épreuves étaient faite pour tester la solidite des liens de l amour et pour rapprocher les êtres qui doivent l'être.


Elle se dit aussi qu elle était la pour rapprocher des coeurs ésseuler comme elle l avait toujours fait .....................Son bonheur a elle était en attente .

Elle regardait ce vaste verger et se dit que se lieu pouvait encore voir de doux moment d amities, de joies, de rires et pourquoi pas de moment romantiques.............

Elle murmura doucement:


Moi aussi je serait heureuse un jour..........J Y CROIS FERMEMENT!!!!!!!!!! J EN FAIS LE SERMENT

Sereine elle repris le chemin du village . Elle avait tant a faire.............
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---fromFRJoseph Luas
Voilà que Vaudemont était plus calme et tranquille que Joseph ne l'avait prévu! Au moins, après quelques jours de marche pour faire Saint-Dié/ Vaudemont, ce n'était pas ce qui allait le faire bruyamment râler. Qui plus est, un certain Raymond Barre le harcelait de poires dans la trogne durant son sommeil rien qu'pour... Non, c'est vrai, pourquoi au fait? Bref, il se retrouvait avec un charisme du tonnerre, et des morceaux de poire entre les dents.

Allant ça et là dans le village lorrain, Joseph remarqua, plus loin devant son sentier, un verger qui s'étendait au-delà des maisonnées et des échoppes. Un nuage de chaleur précédait les lèvres de Luas lorsqu'il marchait et respirait à souffle fort. Décembre n'était pas un mois commode, c'est pourquoi il allait arrêter un peu d'picoler et économiser pour pouvoir s'acheter d'autres vêtements, plus chauds que ce qu'il portait déjà, afin d'affronter l'hiver.

Voilà, il était arrivé dans ce verger! Foulant l'herbe humide de son pied dynamique, Joseph se demandait bien si son pote Raymond serait ici pour y trouver de providencielles poires... Au mois de décembre!! Il balayait du regard les arbres morts et mordus par le vent froid d'hiver, et marchait d'un pas plus lent et flâneur, lorsqu'il s'aperçut qu'il n'y avait que lui dans ce verger paisible.

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* Vagabond irlandais.
* Aimeur de la vie, et de tous ses petits rameaux.
* Sans carte.
* ... La patate!
---fromFRFaustynn
Une petite silhouette fluette déambulait dans les rues de Vaudemont... Elle portait braies vertes encore neuves, chemise en lin ceintrée à la taille par un long rectangle de tissu rouge noué sur le côté, et qui retombaient en deux pans flottants sur sa cuisse gauche. Dans le dos, des cheveux bruns foncés noués sur toute leur longueur dans un ruban rouge cerise. La jeune femme aimait mettre un peu de couleur dans ce monde si terne...

L'hiver se faisait bien sentir, mais elle lui faisait insolence en étant si peu couverte. Rien qu'une écharpe en laine pour tenir sa gorge du froid, et des gants en agneau. De toute façon, son pas toujours très vif lui réchauffait les sangs. Mains fourrées dans les poches, elle était arrivée là où les maisons se faisaient plus rares et où les champs commençaient. Tiens, là-bas, un paysage familier... Elle s'arrêta pour s'accouder sur une barrière en bois qui clôturait un champ de vaches. Un peu plus loin, elle voyait des silhouettes aux membres levés vers le ciel et biscornus. Tous squelettiques, et alignés les uns derrière les autres. Un verger, et des arbres dénudés...


* Voilà donc à quoi doit ressembler Dole maintenant... *

Une petit nuage blanc s'échappa de ses lèvres lorsqu'elle soupira. Puis, en se rendant compte de ce soupir, elle en fit un deuxième. Elle aimait penser à Dole, sans le vouloir. C'était bien la première fois qu'elle s'attachait vraiment à un endroit, ce n'était pas bon pour elle. Ce voyage était censé l'aider à oublier un peu, mais elle avait du mal. Pas d'attaches pas de lien.


* Chaque attache est une faiblesse ! *

Elle se répéta une énième fois ce principe, mais depuis quelques temps, elle y croyait moins lorsqu'elle le disait. Ses poings se serrèrent au fond des poches. Elle devait y croire. Elle devait ! La jeune femme prit un air déterminé que personne ne verrait, étant seule. Mais quand même, l'idée de voir ce verger de plus près la tentait trop... Allez, juste cette fois-ci… Elle reprit son chemin en direction des arbres nus.


Quelques minutes plus tard, elle passait le muret de pierre qui délimitait l'entrée du verger. L’air un peu amer. Elle n’avait pas su résister à la tentation… Mais quel soulagement soudain, qui lui libérait les épaules ! Pour une fois elle marchait un peu plus lentement, pour une fois, elle avait le droit de se souvenir.


* Dole... après la Lorraine, on se reverra. Peut-être pas longtemps, mais j'ai au moins de l'argent placé chez moi à récupérer là-bas...
Ensuite... ensuite, peut-être à nouveau les chemins. Ou peut-être à nouveau la vie en ville.
Ou peut-être quelque chose de plus palpitant encore, de plus risqué. Peut-être que j'ir... *


Faustynn laissa là ses pensées et resta en suspens. Au fond du verger, une silhouette entre les arbres décharnés. Un homme qui ne lui était pas inconnu.

* Luas. Vaudemont est trop petit, comme chaque village de Lorraine d'ailleurs... *

Un sourire se dessina sur ses lèvres. Voilà une bonne raison de ne plus se triturer les méninges ! Car s'ils voyageaient ensembles, une fois arrivés en ville ils vaquaient chacun de leur côté pour se retrouver le plus souvent en taverne. D'où ils repartaient toujours la main dans la main vers l'auberge la plus proche. Faustynn se dirigea discrètement vers lui… il avait l’air aussi songeur qu’elle, lorsqu’elle était arrivée. Elle se faufila en douce derrière les minces troncs, qui ne suffisaient pas à la cacher tout entière. Mais c’était toujours plus furtif que de rester plantée au milieu du verger. D’arbre en arbre, à pas étouffés par les herbes, elle arrivait à hauteur de Luas. Prenant son inspiration, elle se posta juste derrière lui.

Son bras se leva sans bruit, sans le moindre bruissement d'étoffe, et ses doigts chatouillèrent si légèrement la nuque du vagabond, que peut-être penserait-il que ce ne serait que le vent. Ou en doutant, peut-être se retournerait-il, intrigué … Faustynn était assez habile de ses mains, et Luas commençait à connaître la jeune femme. Même s’il ne s’attendrait sûrement pas à la voir ici, elle espérait qu’il devinât qui était derrière son dos; et cette caresse…

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L'Etrangère.
[IG: Lady_faustynn]
---fromFRJoseph Luas
Perdu dans ses songes, car rêvasser était ce qu'il faisait de mieux, après ... Bref! Luas sentit néanmoins une douceur, une caresse exquise, glisser sur sa nuque dans la fraîcheur de la journée, et ressentit un frisson parcourir son échine. Il n'y en avait qu'une pour lui faire cet effet, depuis Luxeuil, et cela ne pouvait être que...

... Faustynn?

Il n'y avait qu'elle pour pouvoir se permettre de faire ça, du moins, sa compagne était la seule à en avoir le droit. Des petits doigts frais comme des glaçons et pourtant légers à courrir sur la peau du cou de Joseph. Sous l'effet du frisson, l'Irlandait roula des yeux, si bien... Et se retourna aussitôt, voir le visage de sa brunette de compagne. Il était si sûr de lui qu'il en aurait mis sa main à couper! Lorsqu'il découvrit, peu étonné, Faustynn se tenir là, devant lui, levant les yeux vers lui, il ne put s'empêcher de sourire à s'en fendre la face en deux. Eux deux, dans ce verger paisible et désert... S'ils n'étaient pas en hiver, Dieu sait ce qu'ils auraient fait contre un des arbres de ce grand verger.

Alors, Joseph avança une main vers la joue de Faustynn, et de son revers, l'effleura délicatement comme s'il avait peur de la froisser. Leur souffle s'envolait dans d'onctueux nuages chauds, et le silence avait remplacé les frissons pour laisser Joseph dans cette situation de bien-être. L'avait pas besoin de beaucoup d'choses, l'Irlandais, mais des simples.

J'imaginais marcher dans ce verger avec toi, justement. Tu tombes à pic, ma belle.

L'attirance qu'il avait pour elle se fit plus forte, irrésistible. Il glissa ses mains le long des joues de Faustynn, presque dans ses cheveux sombres, et s'approcha d'elle dans un même mouvement. D'un coup, ils étaient proches, dans l'intimité et le trouble des prémices d'un baiser.

J'crève d'envie de t'embrasser, là, maintenant.

La fixant droit dans les yeux, il les referma doucement en se penchant vers elle, la baillonnant du plus tendre hommage qu'était à présent leur baiser. Sa seule présence lui faisait oublier la dureté de l'hiver, l'herbe humide qui lui trempait les chausses, les croassements des corbeaux au loin... Le voyage, même.
Après tout, n'était-ce pas elle, le voyage tout simplement?

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* Vagabond irlandais.
* Aimeur de la vie, et de tous ses petits rameaux.
* Sans carte.
* ... La patate!
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