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[RP] Que s'ouvre le bourgeon de la foy

--Marielou


La Marie-Lou avait donc accéléré le pas mais elle fut stoppée en pleine avancée par un nouveau boulet. Celui-ci était en armure et percuta de plein fouet le drôle qui semblait plutôt satisfait de suivre la Lucette. Eberluée la follette contempla d'un oeil inquiet la ruelle noire qui émergeait sur les quais ... Jamais deux sans trois dit-on ... Et le troisième boulet elle ne voulait pas se le prendre ... Quoique s'il était du gabarit des deux premiers cela lui ferait une chouette occupation ...

Une sourire étira ses lèvres pulpeuses puis elle reporta son attention sur le méli-mélo qui gisait au sol. L'étranger se débattait comme un beau diable tentant d'assomer la bonne centaine de kilos du lieutenant de police. La scène eut été risible si Lucette, cuite et bourrée, n'avait pas été entraînée dans une chute qui approchait dangereusement les combattants du bord du quai.

Au secours les filles ce type veut m'enlever ! Aider moi à l'assommer, vite !

Prend-moi pour une cruche ...
Quand on vit depuis gamine autour des docks et que l'on a passé une bonne partie de son enfance à grapiller deci-delà chez les braves marchands du port, on sait reconnaître un homme de loi et on sait aussi qu'il ne vaut mieux pas s'y frotter.

Son regard avisé allait de l'un à l'autre, de l'autre à l'un, s'arrêtant parfois sur la brunette qui tentait de se dégager.
Bon primo : On sauve la copine.

Sitôt dit sitôt fait. La Marie-Lou choppa le poignet de l'éméchée qui semblait légèrement dégriser et la tira de toutes ses forces.
Après quelques coups de pieds et de poings elles aterrirent toutes deux sur l'arrière-train près des deux hommes qui continuaient à se taper dessus.

Secondo : On observe et on cherche qui assommer.

Avisant deux cagettes la jeunette s'en approcha et s'assit sur la première, invitant la brunette à s'assoir près d'elle. Tant qu'elles étaient là, autant profiter du spectacle. Et puis la tension montait dangereusement car ces deux idiots se rapprochaient de plus en plus de l'eau ...

Un joli saut en perspective songea la Marie-Lou.
--Lucette


[Quand y en a pour deux, y en a pour quatre !]

Alors qu'elle commençait à s'éloigner en tirant avec elle le charmant jeune homme ... V'là t'y pas que la Marielou pointe le bout de son museau. La brunette grommelle :

Humpf toujours là quand il faut, elle ... Dès que y a un homme faut qu'elle se pointe ...

Sourire faux-jeton qui se dessine sur les lèvres de la brunette.

Oh tiens donc Marielou ! Qu'est-ce que tu fais là ?

A peine eut-elle fini sa phrase, qu'ils se firent percuter par un boulet de canon on ne sait sortit d'où ! Seule la Marielou y échappa.
Le jeune homme se retrouva affalé sur elle, l'écrasant à moitié, mais leur corps l'un contre l'autre avait quelque chose d'assez sensuel, malgré le poids du projectile.
Après ce qui semblait être une hésitation, alors que le jeune homme braillait pour qu'on assomme le shooter de quilles, la Marielou vint enfin porter secours, s'occupant que de la brunette, laissant les deux hommes jouter.

Voyant que son homologue ne semblait pas prendre part aux ébats, la Lucette elle prit son courage à deux mains et retourna dans la bataille, non sans avoir saisit au passage un bout d'amarrage avec à l'extrémité une belle pomme de touline. S'en servant comme d'une massue elle en asséna un coup violent sur l'homme armé qui les avait agressé.


Lâchez- le !!!!!!!!!!
--Benoit


Se débattant comme un beau diable pour rétamer l'opposant, Benoît s'attendait à lui coller un pain et que ce soit régler, ou alors que la chose inverse se passe. Mais non en fait ce fut la dite Lucette, celle qui devait l'emporter dans son bateau, au précédent épisode qui écrasa un sacré truc sur le haut de son crâne. Bon il risquait pas de mourir, loin s'en faut, tout juste aurait-il un bon mal de crâne pendant un temps mais au moins il était assommé.

Pfafya ! Je suis trop fort j'ai sût m'en débarrasser !

Ah oui n'oubliez pas le détail non anodin Benoît est misogyne à souhait et reconnaître qu'il doit son salut à une femme lui écorcherait la figure. Se relevant de là-dessous, poussant un peu le soldat au sol il regarda les deux jeunes femmes, la première tenant son arme en main, la seconde visiblement surprise de la réaction de la première.

Benoît était sûr, la cavalerie ramènerait ses fessiers aussi rapidement qu'il le craignait. Ils n'avaient qu'une maigre chance en ville. Le mieux était de quitter le port au plus vite.


Il faut partir vite ! La barque elle est où ? Vite sinon ils nous auront !

La cavale ne faisait que commencer, mais cette fois ils auraient un peu d'avance.

--Marielou


Bon, il était devenu évident que la Lucette avait complétement dégrisée.
Quoi que ...
Pour ne pas avoir reconnu ce drôle de lieutenant ...
Et puis pour avoir en plus osé l'assommer ...
Non, en fait, elle était complétement décalée ...

La Marie-Lou assista donc à toute la scène. L'assommage du l'importun, le cri de l'éméchée et la remontée glorieuse du dessert.
Lorsque l'homme se mit à les enjoindre de fuir et lorsque la jeunette vit l'empressement avec lequel la Lucette répondait, elle comprit soudain que son dessert était convoité, idée qui pour le moment ne lui avait même pas traversée l'esprit.
La serveuse reprit immédiatement du poil de la bête. Si il y avait bien quelque chose qu'elle n'aimait pas c'était pas partager son dessert, ou tout simplement en être privée.

Il voulait fuir, très bien ! On allait fuir et tant pis si elle se faisait avoir aprés. Après tout la nature ne l'avait pas pourvue de ses yeux si enjôleurs pour rien, il fallait bien les mettre à l'épreuve de temps en temps.
Elle se redressa donc et alla attraper le bras du drôle.

Impressionant ! Quelle poigne !

Marie-Lou afficha cet air admiratif et béat que les hommes affectionnaient tant lorsqu'ils croyaient avoir accompli une action d'éclat.
En fait non, ils l'affectionnaient constamment car il les confortait dans leur situation de mâles supérieurs et dominants, mais là n'est pas le sujet, revenons à nos desserts.
Toujours agrippée au bras de l'étranger, elle tourna un visage pressant vers la Lucette.

Oui Lucette ! Où elle est ta barque ? Tu traînes !!! Tu pourrais faire un effort et te bouger un peu hein !

Ah elle voulait le dessert pour elle toute seule ?
He bien d'accord !
La joute était ouverte et la Marie-Lou savait que la bataille serait rude. La Lucette n'avait absolument rien d'un laideron et était aussi expérimentée qu'elle en matière d'hommes.
Mais comme un chien conserve son os, la Marie-Lou jalousait ses desserts, surtout que c'était elle qui l'avait trouvé en premier !
Xedar
Xedar se débattait avec l'individu, quand tout d'un coup.

Vlam !

S'en suivi un bourdonnement dans les oreilles, la vue qui se brouille et le corps qui commence à descendre. Enfin c'est la tête qui vient dire bonjour au sol des quais. Et un bonhomme qui souffre un ! C'est donc la tête mal fichu, dans l'égarement total, à moitié assommé, que notre lieutenant passa cinq bonnes minutes.

Il entendait des éclats de voix, des bruits mais sans parvenir à déterminer leurs auteurs et l'endroit d'où ces voix venaient. Le brouillard envahissait ses yeux.

Ainsi donc après quelques minutes, le bourdonnement commença à s'estomper, l'homme retrouvant peu à peu sa vision.

Difficilement il se releva pour voir partir en direction d'un bateau l'homme et deux femmes.

Il se passa la main sur le crane.


Aie...

Va y avoir un meurtre dans pas longtemps... Ou peut être bien trois...

Il voulu s'avancer vers eux, mais sa vue se brouillant il opta pour s'asseoir sur une bite d'amarrage, espérant reprendre ainsi toutes ses facultés.

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Lucette, incarné par Forth_with
LJD Lucette ne pouvant posté je poste son message




[Lucette versus Marielou, présage de crêpage de chignon pour un mignon]

La pomme de touline encore en main, elle regarde la forme allongée au sol, puis l'inconnu qui s'extirpe de dessous le poids mort. Il se redresse triomphal tel un coq de basse-court.
Et v'là que la Marielou le brosse dans le sens du poil à coup de brosse à reluire, pour le faire mousser encore plus. Ah çà elle savait y faire pour enjôler les hommes, les monter en épingle pour leur donner de l'importance. Elle s'agrippe à lui comme une sangsue avide du chaud liquide carmin qui coule dans les veines. Pas partageuse la Marielou ... La Lucette, elle ça ne la dérange pas de partager, mais de voir cet égoïsme, cela la met en rogne. Pas pour autant qu'elle va faire la moue, au contraire, la chasse est lancée ... Elle entre à son tour dans la danse.


Il faut partir vite ! La barque elle est où ? Vite sinon ils nous auront !

Elle ne savait pourquoi il était aussi pressé, mais elle n'e avait cure. Cette situation commençait à l'amuser fortement, même si elle aurait préféré que cela se passe en duo plutôt qu'en trio ... Et v'là qu'elle en rajoute une couche ...


Oui Lucette ! Où elle est ta barque ? Tu traînes !!! Tu pourrais faire un effort et te bouger un peu hein !

Un léger sourire narquois se dessine sur ses lèvres, puis elle glisse sa main dans celle du mignon, y enlace ses doigts et enfin se hisse sur la pointe des pieds pour déposer une tendre bise sur sa joue, juste au coin des lèvres.

Suis moi je t'y conduis ...

Sans nul doute que la Marielou allait les suivre, mais la Lucette avait déjà un plan dans sa caboche pour l'évincer ... Elle sera alors les doigts du mignon et le tira, pour l'entrainer vers les pontons à la fin des quais, non loin des dunes.
--Benoit


C'est dans ces moments là que mince, on pourrait avoir une minute ou deux de pause. Décider que là top, à ce moment précis tout le monde s'arrête et on peut faire ce qu'on veut. Car Benoît en était sûr, s'il n'y avait pas eu cette foutu course-poursuite il se faisait les deux sans problèmes et en plus il était même sûr qu'entre elles... Oh...

Même en courant une bosse commençait à se dessiner à son entrejambe. Le plaisir de la course sans nul doute. Il devait apprécier l'air frais fouettant sur son visage.

Non sérieusement c'était pas tout à fait du jeu. Lui galérait souvent et qui devait parfois payer pouvait en avoir deux gratuitement et là paf un idiot de soldat qui se traînait à ses fesses. Mince il y a rien dans les règles de la cavale à ce sujet ? Heu même pas sûr qu'il y est une règle de la cavale.

Donc le pauvre Benoît bien déçu et certainement avec une douleur d'ici quelques minutes si ça continuait ainsi dans son esprit pervers se laissa traîner en direction des quais. Il fallait qu'ils embarquent au plus vite. L'animal se réveillerait c'est sûr mais quand. En tout cas le temps en mer serait toujours gagner. Car pour les y rejoindre correctement il faudrait qu'ils appareillent des plus gros navires qui demandaient plus de monde et de temps pour partir.

Ils n'avaient que peu de chance de s'en sortir, mais c'était le moment où jamais de la saisir. Ils arrivèrent donc aux pontons et se dessinaient dans l'obscurité les navires. Benoît espérait que la capitaine fin bourrée tout de même saurait se répérer.


--Marielou


Suis moi je t'y conduis ...

La Marie-Lou fronça ostensiblement le nez lorsque sa chère amie posa une bise à peine pudique sur la commissure des lèvres de son dessert.
Elle tempêta en silence.
Non mais c'est vrai quoi !!!
Est-ce que vous apprécieriez que quelqu'un fourre son doigt dans la crème de votre part de gâteau pour "goûter" ?
He ben la Marie-Lou elle aimait pas ça !
Et pourtant c'est exactement ce que venait de faire la Lucette.
Du coup lorsqu'elle sentit le corps du drôle se tendre en direction de son adversaire, la follette monta sur le ring.

Nous te suivons !!!

Inutile de préciser qu'elle agrémenta le "nous" d'un ton légèrement appuyant. Lorsque la calvacade reprit, l'étranger était encadré de deux sucubes aux aguets.

La jeunette courrait sans fatigue, sa main légère glisser dans celle du dessert. Ils finirent par arriver à l'extrémité du quai et la Marie-Lou commença à se demander comment elle allait mettre KO la Lucette, s'octroyant d'office la ceinture de la gagnante et la récompense allant avec.
Lucette, incarné par Forth_with
LJD Lucette ne pouvant posté je poste son message




[Mise en orbite d'une blonde par une brune égocentrique]


Dos tourner à la blonde, un sourire narquois étire les lèvres de la brunette, elle avait touché la blondinette dans son orgueil et elle s'en réjouissait.
Doigts enlacés à ceux du bel apollon, elle courait, ses boucles brunes voletant au vent et sa croupe légèrement rebondie ondulant à chaque foulée.
Le trio se dirige rapidement sur le dernier ponton, il passent en courant devant la dite barque de la Lucette,n mais celle-ci le sait très bien. Pas folle non plus la guêpe, elle vient de l'acheter sa barque, pas question de la perdre. Surtout avec le petit plan qu'elle a mijoté dans sa petite caboche qui se désembrume doucement.
Le pas de course se ralentit et ils s'arrêtent au bout du ponton face à une barque pas tout à fait de première fraîcheur.


Vous avez vu comme elle est grande ? Certes pas toute neuve, mais j'ai fait une bonne affaire et puis on aura assez de place à nous trois.

Mentant comme une arracheuse de dent, rien ne transparait sur son visage quasi-angélique, elle sourit même largement, toute fiérote.
Elle se penche et retire les rames en les glissant sur le côté et détache l'amarre qu'elle garde en main.


Marielou, à toi l'honneur, t'es la plus légère alors tu vas à la proue, moi j'irais à la poupe.

Elle s'abstient bien aussi de préciser qu'IL fera le rameur, enfin si toute fois ils prennent la mer ...
A peine la Marielou engagée sur la barque, la Lucette lâche l'amarre et pousse avec force la barque à l'aide de son pied, propulsant cette dernière sur l'eau et sans les rames.
Elle glousse de s'être débarrassée de la gêneuse, puis reprenant la main du belâtre, elle lui souffle au creux de l'oreille.


Suis moi ... J'ai un petit coin secret pour nous cacher ... Vite pour ne pas que l'on nous rattrape ...

Elle lui claque un clin d'oeil en le tirant par la main.
--Marielou


Dans sa course, Marie-Lou voyait du coin de l'oeil le popotin de la Lucette qui se dandinait allègrement. Elle eut un sourire narquois pour ses effets de cheveux mais pensa en son fort intérieure que si un jour l'idée lui venait de créer un nouveau produit pour l'entretient des chevelures, elle lui piquerait ce mouvement de tête, peut-être même que cela deviendrait une référence en la matière.

Ils passèrent devant de nombreuses embarcations, plus ou moins grandes, plus ou moins en bon état. Lorsqu'ils parvinrent au bout du quai la brunette leur présenta toute fiéraude son achat.
La Marie-Lou jaugea la barque d'un air sceptique. Pas top quand même ...
Mais bon, la Lucette les enjoint à se dépêcher et elle monta sans plus réfléchir dans la barque.
Quelle gourde quand elle voulait !!!

La follette ne comprit son erreur que lorsqu'une brusque secousse la propulsa au fond de la barque qui émit un craquement inquiétant.
Elle se redressa dans l'instant et son premier réflexe fut de chercher les rames.
Rien !
Un bref coup d'oeil sur le ponton lui confirma qu'elle était partie, mais que les rames, elles, étaient restées.
Elle maudit la Lucette et l'injuria en son fort intérieur.
La jeunette aurait bien crié, mais personne à part les deux tourtereaux ne l'aurait entendu et elle doutait fort qu'aucun d'entre eux ne lui vienne en aide.

Garce de Lucette !

La Marie-Lou s'assit donc au fond afin de ne pas risquer de chavirer et se mit à réfléchir.
Un peu tard, c'est vrai, mais là c'était pas le moment d'en rajouter une couche.
La serveuse isolée dans sa barque était aussi piquante que de l'huile bouillante et il n'aurait pas été bon de se frotter à elle en cet instant.

Saloperie de Lucette !

Alors qu'elle observait le paysage qui défilait autour de son navire en dérive, la jeunette aperçut dans la direction que prenait son un-mât les cordes d'amarrage d'un vaisseau plus conséquent.
Elle se redressa, releva ses jupons qu'elle ceintura à sa taille à l'aide de son châle.
Dès qu'elle fut à porté des amarres elle sauta de la barque et ... Manqua son coup.
La Marie-Lou atterrit, ou du moins amerrit, à quelques centimètres de son objectif. Elle franchit cette distance en quelques secondes et commença son ascension de la corde lisse et graissée avec ses vêtements trempés qui s'étaient mis à peser une tonne.

Gourde de Lucette !

La Marie-Lou lutta un moment pour parcourir un quart de la corde puis, épuisée, elle retomba à la flotte.
Reprenant doucement son souffle elle comprit que si elle voulait se sortir de ce mauvais pas et aller botter les fesses de sa chère Lucette elle allait devoir faire un sacrifice.
La mort dans l'âme elle délassa sa robe et ôta tout ce qui était superflu, se retrouvant simplement vêtue d'une robe de dessous et se jurant que l'autre brune allait payer pour cette robe qu'elle aimait tant.
Considérablement allégée la jeunette reprit son ascension, cette fois avec succès. Lorsqu'elle fut sur le pont du bâtiment elle prit à peine le temps de se reposer avant de courir vers le quai.
De sa position elle réussit à apercevoir la traîtresse et son dessert qui embarquaient dans ce qui devait être la véritable propriété de la Lucette.

Dinde de Lucette !

Aussitôt pensé, aussitôt fait. La Marie-Lou se laissa glisser jusqu'au quai le long d'une autre corde graisseuse, finissant de détériorer sa robe de dessous, qui était quand même d'une qualité fort enviable.
Ca aussi la croqueuse d'hommes, l'escamoteuse de desserts, le lui paierait.
La follette se mit à courir sur le quai espérant les rattraper.
C'est qu'elle était pleine d'espoir la Marie-Lou !
Au final elle arriva trop tard, essoufflée, décoiffée, à moitié nue et fort remontée.

Truie de Lucette !

Sautant dans une petite barque amarrée là elle s'arcbouta de toutes ses forces et lança son petit vaisseau de guerre vers le lourd navire marchand qui transportait son dessert et la cause de tous ses ennuies.

Maudite Lucette !
Xedar
Et pendant que tout ce beau monde commence à prendre la mer, vous vous dites surement, qu'est ce qu'il fout le lieutenant? Et bien le lieutenant il réfléchi, apercevant au loin les embarcations prendre l'eau mais sans couler....
Avisant un garnement qui passait par la.

hep toi la!

Il l'attrapa au col.

Va à la grande taverne plus haut, demande Mackx et silverstaff, tu reconnaitra Silverstaff c'est une boite de conserve.
Quand tu les auras trouvé dit leur ceci.

Individus dangereux-STOP-m'ont assomé-STOP-venez au port-STOP-la saison de la pèche au gros vient de commencer-STOP-signé:Xedar.

T'as compris?

Il lui lance quelques pièces.

Oui, oui

Ainsi donc l'enfant parti encourant, se dirigeant vers la taverne. laissons ici notre lieutenant et suivons le mioche.
L'enfant court à travers les rues et après quelques rues, arrive face à la taverne, certainement peuplé de gens peu fréquentable. Il se fit donc tout petit pour y rentrer. Dedans, il fit un tour d'horizon et apercu un homme en armure assis à une table avec un autre homme.

Sa doit être lui que je cherche ce monsieur.

Il se glissa parmi les tables pour arriver à celle qui l'interessait. Il tira l'homme par la manche?

Vous êtes monsieur Silverstaff?

Hochement de tête.

J'ai un message du lieutenant.
Heu...c'était quoi déjà....sa disait quelque chose comme....

venez au port-STOP-individus pas beaux-STOP-
Et me demandez pas pourquoi il m'a hurlé des STOP...
ha si, il avait aussi une grosse bosse sur la tête.


Ainsi le message délivré, il sortit de la taverne vaqué à ses occupations, heureux d'avoir gagné si rapidement de l'argent.

Et notre Xedar?? Pendant ce temps il n'avait pas trainer. il a suivi du regard l'enfant puis à toute vitesse à couru vers une de deux tours barrant l'entrée du port. Arrivé il alpagua un garde.


Relevez la chaine et bloquez moi l'entrée du port!!
De dangereux criminels risquent de vouloir sortir.
S'ils insistent, couler les moi, enfin couler la barque pas eux...

Avisant une arbalète.

Hop je prend, j'vais chasser des volatiles qui ne volent pas, à part des l'argent et des caresses...

Il prit l'arbalète et hop retourna vers les quais pour y prendre sa barque, une barque de compétition trop bien , trop belle, trop tout (une barque banal quoi). Il enleva les amarres, a barque commençant à glisser sur l'eau.

_________________
Silverstaff
LA TAVERNE



Entend la porte claquer, et du coin de l'oeil, voit un gamin du port entrer ... Le mioche s'approche de lui après avoir cherché dans la salle commune ...

Vous êtes monsieur Silverstaff?

Silverstaff hoche la tête


J'ai un message du lieutenant.
Heu...c'était quoi déjà....sa disait quelque chose comme....

"venez au port-STOP-individus pas beaux-STOP-"
Et me demandez pas pourquoi il m'a hurlé des STOP...
ha si, il avait aussi une grosse bosse sur la tête.


Puis le gamin détale en souriant ...

Bien ... Mackx, je vais y aller ...

Dépose son verre sur le bar et sort comme un fantôme, son armure n'émettant pas le moindre cliquetis.


VERS LE PORT



Silverstaff avant aisément et rapidement vers le port, d'où lui parviennent des invectives d'une voix féminine ...

Et bien ... il semblerait que je manque la fête ... mais Xedar l'a vu de près visiblement ...

Silverstaff se dirige par des rues bien sombres vers le port ...

Vu l'endroit où se trouve xedar et la provenance des insultes ... ils doivent être encore plus loin ...

Laissant son armure et les clés à la première patrouille qu'il croise :

Amenez moi ça à mon bureau, et re-verrouillez bien en sortant. Je vous retrouve à la Taverne municipale plus tard dans la soirée ... considérez-vous en permission jusqu'à mon retour ... mais vous imbibez pas trop non plus ! Faites vous relever par une patrouille de réserve et envoyez-la au port ...

Puis il continua, léger, vers le bout des pontons ... et vu la barque de Lucette partir lentement avec l'inconnu à son bord, et elle, papillonnant des cils, assise devant lui qui peinait à ramer ...


LE PORT



Silverstaff remonte la pente qui longe la baie du port de La Rochelle, se dirigeant vers la seconde tour de guet protégeant celle-ci.
Arrivé à mi-chemin, avec pas mal d'avance sur la barque, il se laisse glisser dans une barque de fonction et de vérification des navires, se propulsant sur la trajectoire d'interception de la barque en fuite ...

_________________
--Benoit


Allo La Rochelle on a un problème

Résumé des épisodes précédents. On avait donc jusqu'ici laissé le Benoît le atone à regarder passer les bateaux. Euh pardon à regarder la barque. Oui mais voilà il ne pût que subir la sélection naturelle des belles. Comme quoi après on dit que les femmes sont solidaires. Penses-tu dès qu'elle peuvent s'entretuer pour un homme elles le font. C'est dommage Benoît aurait bien aimé les voir très, très proche. Mais bon ce sera pour une autre occasion.

Donc l'animal était dans cette situation plus spectateur qu'acteur. Vous me direz que c'est très surprenant et ben non en fait pas tout à fait si on en revient à sa psychologie initiale



Je laisse mon collègue à ses réflexions philosophiques et je poursuis l'histoire. Donc Benoît grimpe en charmante compagnie dans la nouvelle barque. Ignorant tout de la poursuite non pas d'un mais de deux ennemis. Bon eux était un peu en retard sur eux.

Oui tout de même l'assommé avait à reprendre ses esprits et le chef de port à se débarrasser de son armure et à revenir au port, cela laissait quelques temps aux deux gus pour naviguer. Bon vu leur connaissance maritime ce ne serait pas exceptionnel mais tout de même ils se dirigeaient désormais bonnant-mallant vers la sortie du port.

Sauf que déjà il avaient une femme éconduite, deux barques aux fesses, une chaîne qui ne tarderait pas à se fermer et un certain soucis capital mais ignoré de beaucoup des protagonistes. Benoît ne sait pas nager.



Et donc sa mère qu'il n'a pas connu a beaucoup influé sur son comportement auprès des femmes...

La suite au prochain épisode.


Lucette, incarné par Forth_with
LJD Lucette ne pouvant posté je poste son message




[Bateau sur l'eau ...]

Toute fière d'elle la Lucette entrainait avec elle le dessert de Marielou.

Lucette 1 - Marielou 0

Echec et mat.

Knock Out par coup bas.

Bon d'accord, j'insiste plus tout le monde a compris ...

Bref les voilà qui filent vers SA barque cette fois-ci, elle recommence la manoeuvre, pose les rames de côté, détache l'amarre et le laisse monter avant non pas de le pousser, mais de lui tendre les rames.


Je suis sûre qu'un aussi bel homme que toi, fort avec de beaux muscles saillant, doit ramer comme un dieu ... Tu veux bien me montrer ?

A son tour, elle se glisse dans la barque, lui tournant le dos un instant pour exposer à sa vue, sa charmante chute de reins, juste le temps de prendre appui sur le ponton et propulser l'embarcation sur les flots. Puis à son tour elle s'assied, papillonnant des cils et lui adressant un magnifique sourire enjôleur doublé de malice.

Montre moi à quel point tu es virile ...

Au fait, je m'appelle Lucette ... Quel est ton prénom mon mignon ?


Elle se concentre sur lui, le flattant tant qu'elle le peut pour qu'il rame. Car les hommes dans son genre, elle connait bien, il faut les brosser dans le sens du poil pour ensuite faire ce que l'on en veut.
D'ailleurs elle est tellement concentrée sur lui, qu'elle ne prête aucunement attention à ce qui se passe aux alentours, elle ne voit que lui ...
--Benoit


Comment résumer la scène en quelques mots sans être si graveleux que l'on pourrait choquer le jeune public ? Et bien le mieux est de prendre une image très... jardinière.

Donc le coquelicot faisant beaucoup bouger son pistil depuis un moment afin que l'étamine de l'autre se trémousse mais surtout que le coquelicot fasse tout pour permettre aux petites graines de s'en aller sans difficulté. Le deuxième coquelicot ne se fit pas trop prier et déjà à fond, à fond il redoubla d'effort, près à héler des oiseaux, des insectes. Un peu plus même à force il s'en ficherait que des brebis et des chèvres bêlent non loin de là. Même si les deux coquelicots devaient mourir après il aurait bien envoyer toutes ses graines sur le pistil de l'autre. C'est que tout de même elle avait de jolis pétales, qu'elle mettait bien en avant. Évidemment il n'était pas innocent et savait très bien que la couleur, les bruissements, tout ça c'était que pour qu'il se démène plus fort et qu'il fasse tout les efforts. Et alors à la fin les graines partiraient quand même ? C'était ça l'essentiel.

Hein quoi comment ? On a pas de jeune public ? Génial.

Donc la greluche faisant boutique son cul pour que le pépère un peu benêt se démène comme un taré sans la barque et bien sûr poussé par son instinct stupide de mâle le Benoît qui commençait tout de même à monter le chapiteau y allait franco. Résultat c'est avec bientôt trois bras (n'oubliez pas qu'il est prétentieux, n'oubliez pas) qu'il ramait vaille que vaille pour se tirer de ce coin et se trouver un petit endroit pénard ou la culbuter tranquillement, en relevant jupons et tout le tralala. Fallait pas gâcher une bonne préparation qui commençait à monter. Alors évidemment quand on pense avec son entre-jambe , on ne pense pas à grand-chose. Mais on en est sûr. Ce qui fait que peu à peu l'animal en quasi rut commençait sérieusement à oublier les alentours et surtout les ennemis qui s'étiraient tout autour d'eux.

Malgré tout il ne ralentit pas le rythme et arrivait de plus en plus prêt de la sortie du port.




[HRP]L'expression est une adaptation personnelle de celle de Jean-Marie Bigard. Je préfère ne pas vous la répéter tout de même.[/HRP]
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