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[Don Ducal]Et si vous aidiez la Guyenne d'une autre manière?

Clemence


Pas le temps de répondre pour Louise, que Clémence se fait interpeler par un homme qui pourrait faire parti de ceux qui ont de quoi donner, vu la qualité de ses vêtements. La jeune Maledent ne compris pas bien tout ses propos et le rapport avec ce qui se faisait actuellement.
Elle retenu simplement un rapport avec l'Hydre, certainement l'affaire de la pierre. Pour le reste nada niet...
Alors qu'elle tente de faire le tri pour traduire les paroles, une dame prend parole, tout en tendant quelques écus au garçon chargé de collecter...par contre elle ne comprend pas ce qu'il y a de courageux et d'admirable dans ce qu'elle a fait. Afin de la remercier brièvement avant l'intervention d'une autre personne, Clémence hoche la tête en sa direction afin qu'elle comprenne que message est reçu.
Vint ensuite un dernier homme qui semblait arriver en jouant des coudes.

dite voire ma tite dame !! ce que vous annoncez d'autres personnes l'ont fais avant vous et je m'étais avancé de donner 1 000 à 1 500 écus de monnaie sonnante et trébuchante , mais on m'a ris au nez en me disant qu'il en fallait 100 fois plus

Froncement de sourcil de la jeune fille, trouvant inconsevable que quelqu'un est pu traiter ainsi cet homme.
Cette affaire étant la plus importante et la dernière, elle décide de la traiter en première.

Messir je ne me vante pas d'être la première à le faire. Je ne suis en Guyenne que depuis le début de ce mois et je ne sais tout ce qui a été fait avant mon arrivée, n'étant point le Très Haut.
Cependant, sachez que je trouve bien étrange si l'on vous a ris au nez. Les personnes qui vous ont traité ainsi préfèrent-elles que le Duché reste dans la situation actuelle et que les habitants de Guyenne ne se sentent pas concerné par les caisses ducale? Sachant que le peuple, les mairies et le Conseil forme un cercle, chacun à besoin de l'autre pour bien fonctionner...c'est se tirer une flèche dans le pied que de démotiver les gens comme vous.


Reprenant la bouteille de lait pour boire une gorgée, avant de la poser au sol, afin de reprendre la parole. C'est que parler donne soif...

Ce ne sera point un seul Homme qui sortira les caisses du négatif. Mais chaque don mis bout à bout peut faire beaucoup. Imaginons 200 personnes qui donnent 1 écus...nous obtenons 200 écus. Par rapport à la dette de la Guyenne c'est peu, mais n'est ce pas déjà merveilleux que 200 personnes aient fait cette effort? Après, si tous nous le faisons régulièrement...200 plus 200 plus 200...au final cela augmente la somme et deviens non négligeable, même avec 100 000 écus à trouver.

Se demandant bien la raison de la moquerie contre un tel homme qui mériterai une médaille plus qu'autre chose.

Je ne sais de qui il s'agit, mais peut-être qu'ils sont simple d'esprit...ou que sais je d'autre.
En tout cas, pour le moment je n'ai vu personne rire ici. Et si mon action en fait rire certain...eh bein je dirai tant mieux.
Il vaut mieux rire que pleurer. Pendant ce temps là, certain continu d'offrir et c'est cette argent en moins que le CaC aura à trouver.

Prenant les écus amasser, elle les compte rapidement, avant de les mettre dans une bourse qu'elle déposerai plus tard à la Sénéchaussé.

41 écus en plus! Nous en sommes à 61 écus offert par la Guyenne à la Guyenne elle même.

se tournant vers la Dame de Malemort. La mariage ne sont pas la tasse de thé de Clémence, ce genre d'évènement ayant tendance à lui rapeler de mauvais souvenir. Cependant, elle ne pouvait refuser invitation.

Enchantée Dame Shushi! Je suis effectivement la soeur de Monseigneur Aurélien. un regard vers les écus qu'elle vient de ranger avant de revenir sur la Dame.

Je suis certain que la Guyenne vous remerciera pour ce geste.
indiquant le don d'un discret signe de main Je prierai pour vous et longue vie à votre mariage, auquel je me rendrais si je puis quitter l'université à temps pour rejoindre Agen. nouveau hochement de tête..un sourire? non toujours pas -elle est têtue-

Il lui fallait à présent mettre au clair cette histoire de pierre et d'Hydre, ainsi regardant l'homme qui arbore une drôle de broche en or.

Je ne sais qui vous êtes, et n'ai pas tout compris à vos propos, mais je crois comprendre de quel affaire de "spéculation" parlait Dame Lorca.

Donc pour cette affaire de pierre, mon valet n'a fait qu'acheter de la pierre sur le marché. Il a pour ordre d'acheter tout échange étrange à mon nom.
J'ai bien vite reçu un courrier d'un certain Thoros me demandant de la rendre, me menacant. Peu de temps après, j'ai également eu l'étrange surprise de voir arriver un courrier de la CaC de Bretagne et un second courrier du personnage membre de l'Hydre.


Peu à peu au vu des propos qu'il avait tenu, il devait être l'un des membres de l'Hydre. Ainsi par prévention, elle dépose main sur la garde de son épée. Droite, prête, bien qu'il ne semble pas là pour se battre...simplement pour parler et dire des choses pour beaucoup incompréhensible ou mensongère.

Ensuite, avant de dire les choses...il faut des preuves. Prouver que j'ai fait spéculation et nous en reparlerons. Sachez que j'ai encore la pierre chez moi.
Et certes, elle a été remise sur le marché pendant un cours laps de temps, dans un but précis....but qui a fonctionner à merveille, vu le second courrier reçu.
Par contre, pourquoi parlez vous d'Anjou? Je pensais que c'était du Poitou que je devais m'inquiéter...


Ce n'était pas la première fois qu'elle avait affaire à un groupe de brigand. Quelques années plus tôt, elle avait été enlevé par le Lions de Juda. La jeune fille avait appris à connaitre Kartouche et ses motivations lors de sa capture. Bien qu'elle n'adhère pas à sa façon de voir les choses, elle avait appris à le respecter et d'une certaine manière l'apprécier-ce qu'elle cache à son frère-, comme il l'avait fait avec elle.

Que pouvait être l'Hydre?

Enfin! Si vous savez ou je peux revendre mes 40 quintaux de pierre pour 12,65 écus. Il ne me sont guère utile...à présent que les preuves sont entre les mains qui se doivent de juger de cette affaire.

Je n'ai fait que mon devoir de sujet du Roi.


La jeune fille sait que cette affaire pouvait mener à rien. Mais elle avait fait ce qu'elle devait faire, remettre les preuves aux autorités compétente. Ce n'est pas à elle, fille de vicomtesse de juger et de prendre les décisions qui incombent quant à ce que fait la traitre de Bretagne dans le dos du Roi.

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14 ans,Description
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