---fromFRJLam
Le curé était triste ce matin. Il avait froid aux jambes et froid dans le coeur. Malgré tout, la vue du beau vitrail de l'église lui redonna de la joie et lui donna la force d'aller voir les paroissiens.
En entrant dans l'église, il constata que son ami Flabillard avait dormi sur les bancs de l'église pour être à l'heure pour la messe. Cela lui fit chaud au coeur. Ce témoignage d'amitié lui faisait le plus grand bien en ces jours difficiles.
JLam se saisit de son sceptre puis monta au clocher pour sonner le carillon. Dans le clocher, il y avait plein de fientes de pigeons. Eh oui, lorsqu'ils ne travaillaient pas à délivrer des courriers à travers le Royaume, les pigeons se retrouvaient là pour roucouler en paix et faire connaissance...
Une fois sorti de sa rêverie, le père JLam descendit dans la nef, fit commencer le chant d'entrée et remonta l'allée centrale en saluant les rares paroissiens qui avaient fait l'effort de se lever aussi tôt en ce dimanche.
Bienvenues frères et soeurs,
La vie nous réserve parfois bien des surprises. La vie est source de joie comme de malheurs. Quand la vie nous paraît dure et que nous ne savons pas comment nous allons nous en sortir, rappelons-nous toujours que nous sommes aimés du Très-Haut. Le Très-Haut est celui qui nous aime tout le temps, quelle que soit notre situation.
Nous pouvons être sûr de cet amour parce qu'il nous a envoyé deux prophètes : Christos et Aristote. Ceux-ci nous ont parlé de l'amitié. Cette vertu que je considère être la plus importante.
Une amitié pure demande que les amis soient sincères l'un vis-à-vis de l'autre, qu'ils se disent la vérité et sachent ouvrir leur coeur sans avoir peur de dévoiler ce qui s'y trouve. Il n'y a que comme ça que nous vivrons l'amitié aristotélicienne dans toute sa vérité.
Commençons cette célébration par un petit moment de silence, et que chacun demande dans son coeur au Très-Haut le pardon de ses fautes.
La chorale entonna alors un chant de supplication et de demande de pardon au Très-Haut. la foule reprenait avec ferveur les refrains.
Ensuite, le père JLam lut un bref extrait du livre des vertus.
En entrant dans l'église, il constata que son ami Flabillard avait dormi sur les bancs de l'église pour être à l'heure pour la messe. Cela lui fit chaud au coeur. Ce témoignage d'amitié lui faisait le plus grand bien en ces jours difficiles.
JLam se saisit de son sceptre puis monta au clocher pour sonner le carillon. Dans le clocher, il y avait plein de fientes de pigeons. Eh oui, lorsqu'ils ne travaillaient pas à délivrer des courriers à travers le Royaume, les pigeons se retrouvaient là pour roucouler en paix et faire connaissance...
Une fois sorti de sa rêverie, le père JLam descendit dans la nef, fit commencer le chant d'entrée et remonta l'allée centrale en saluant les rares paroissiens qui avaient fait l'effort de se lever aussi tôt en ce dimanche.
Bienvenues frères et soeurs,
La vie nous réserve parfois bien des surprises. La vie est source de joie comme de malheurs. Quand la vie nous paraît dure et que nous ne savons pas comment nous allons nous en sortir, rappelons-nous toujours que nous sommes aimés du Très-Haut. Le Très-Haut est celui qui nous aime tout le temps, quelle que soit notre situation.
Nous pouvons être sûr de cet amour parce qu'il nous a envoyé deux prophètes : Christos et Aristote. Ceux-ci nous ont parlé de l'amitié. Cette vertu que je considère être la plus importante.
Une amitié pure demande que les amis soient sincères l'un vis-à-vis de l'autre, qu'ils se disent la vérité et sachent ouvrir leur coeur sans avoir peur de dévoiler ce qui s'y trouve. Il n'y a que comme ça que nous vivrons l'amitié aristotélicienne dans toute sa vérité.
Commençons cette célébration par un petit moment de silence, et que chacun demande dans son coeur au Très-Haut le pardon de ses fautes.
La chorale entonna alors un chant de supplication et de demande de pardon au Très-Haut. la foule reprenait avec ferveur les refrains.
Ensuite, le père JLam lut un bref extrait du livre des vertus.
Citation:
Les disciples disaient à Christos : " Maître, ces marginaux ne nous apportent rien, et Aristote nous met en garde contre ceux qui fuient la cité ! "
Christos leur répondait : " Disciples ! Vivez pour les autres au lieu dattendre des autres quils vivent pour vous. Cest à la cité daccueillir les marginaux, et non aux marginaux daider la cité."
Christos leur répondait : " Disciples ! Vivez pour les autres au lieu dattendre des autres quils vivent pour vous. Cest à la cité daccueillir les marginaux, et non aux marginaux daider la cité."
La chorale entonna alors un chant. pour que chacun puisse méditer le texte qu'il avait écouté.
Chers amis,
Ce texte dit tout ! Acceptons-nous les uns les autres, ouvrons nos coeurs ! Et disons-nous ce que nous ressentons avant qu'il ne soit trop tard... Je pense notamment, en ce moment, à Ponssubor qui nous a quittés trop tôt.
Demandons au Très-Haut de nous aider à avancer sereinement dans la vie.
JLam se rendit à l'autel pour préparer la communion pendant que la foule constituait deux files dans l'allée centrale.
Allez en paix, mes enfants ! Que le Très-Haut nous garde et nous guide sur les chemins des vertus et de l'amitié aristotélicienne.
Sur ces paroles, le curé remonta l'allée centrale afin de saluer les paroissiens à leur sortie de l'église.
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Monseigneur JLam, Evêque de Toul