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[RP CULTE] Eglise Notre-Dame de Sion

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Roland avait entendu les cloches sonner, étant tres curieux il partit à l'eglise voire la cérémonie qui s'y déroulait en simple public désirant prier. Il reconnut Elanore ainsi que messire Brutanus et le père Jlam. Roland pris un feuillet et se rendit compte qu'il y avait plusieurs baptemes de célebrés. Dont celui de Brutanus. Roland s'avanca salua lesn personnes présentes et partit s'asseoir sur un banc.
---fromFRAnonymous
Le jeune homme arriva à pas vifs sur le parvis de l'église, pestant intérieurement, et prenant garde tout de mesme à ne point jurer, d'arriver en retard le jour-mesme de son baptême. Il se composa une mine de sage jeune homme, ramassa tout la piété dont il pouvait faire preuve et la calqua sur son attitude. Ensuite, il entra dans l'église voir le père JLam et se confondit en excuses pour son retard.

- Quant à ma marraine, elle ne devrait plus tarder je pense. Je... Elle va arriver.

Lanfranc tourna un regard désespéré vers les lourdes portes en bois de l'église, guettant du regard l'arrivée d'une chevelure rousse et furieuse.
---fromFRElanore
Lorsqu'elle vit Lanfranc arriver, Elanore lui adressa un sourire complice et tendre. Elle ne dit mot. Tout le monde était déjà très recueilli.
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Johanara
La Dame de Lignières en Berry avait fait un long voyage jusqu'au petit bled paumé où le sieur Lanfranc avait décidé de devenir honnête homme devant le tout puissant. Qu'est ce que c'était encore que cette mascarade? Le court séjour du jeune homme en berry avait permis à la belle rousse d'apprendre à le connaître et elle aurait pu jurer , Foi de Lignières , que cet animal là n'avait rien d'aristotélicien! Elle l'avait même traité à maintes reprises de suppot du Sans nom , notemment lorsqu'il l'avait éconduit lors d'un bal berrichon. Et pour parfaire cette jolie comédie -Gageons qu'il ne se baptise que pour pouvoir épouser une quelquonque gueuse qu'il aurait séduit fortuitement- il lui demandait à elle d'être sa marraine! Bien que flattée la madone était quelque peu perplexe : une femme comme elle , on l'a demandait en épousailles , ou bien d'être l'amante ou la passion d'un soir. Mais marraine ! Elle qui n'allait à la messe que pour se donner bonne figure et qui durant tout le temps du sermon baillait aux corneilles ou se demandait ce que le prêtre cachait sous sa soutane!

Le coche aux couleurs de sa Seigneurie arriva enfin devant le parvis de l'Eglise. Elle houspilla son cocher , donna quelques ordre au laquais qui s'empressa de lui ouvrir la porte et de l'aider à descendre.

Puis les lourdes portes en bois s'ouvrirent , et la noble Dame fit son appariton , flamboyante , et en grand apparas si bien que certains invités se demandèrent si ce n'était pas là une mariée qui s'était fourvoyée en cette église : Robe de mousseline écru , retenue à la taille par un large ruban de satin bleu , pierres précieuses étincelantes en ses boucles rousses soigneusement relevées. Elle espérait que ce petit village n'était pas un bouge rempli de loqueteux et de coupe jarrets qui l'a briganderaient sans vergonde! A tous les risques qu'elle prenait pour son ami Lanfranc!

Elle arrive devant lui , déposa un rapide baiser sur le coin de ses lèvres , se rappela qu'elle était dans une Eglise , s'empourpra , jette un regard courroucé au prêtre qui avait l'air ulcéré et préfèra prendre les devant avant que le Lanfrance ne l'accable de reproches pour son retard:


Vos routes ne sont même pas praticables! J'ai vécu l'enfer pour arriver dans votre patelin !
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---fromFRAnonymous
Alors que Johanara jetait un coup d'oeil ulcéré au prestre, Lanfranc fit pendant une seconde cruciale un grand signe d'excuse à Elanore pour le léger baiser, yeux écarquillés, air désespéré et touchant du masle pris en faute contre son gré sur le visage et bras ballants. Sa très chère marraine l'apostropha, prenant les devants, mettant à mal les nobles voies de circulations lorraines. Il lui répondit d'un ton doucereux, où germait une pointe d'exaspération amusée :

- Certes ma chère, je devine aisément que vous avez vécu l'enfer pour arriver jusque dans cette petite église de bourgade insalubre. C'est mesme parfaitement logique si mes souvenirs de vostre brute de cocher saoul et grossier sont exacts. Les cahotages ont dus estre, d'aillleurs, bien éprouvant pour une dame si précieuse. Néanmoins, je vois qu'au moins cette fois, vous n'aurez pas perdu vostre pendant d'oreille. Mais prenez donc place, vous devez estre totalement esquintée.

Alors qu'il aidait Johanara a prendre place il lui murmura sobrement mais sincèrement qu'il était heureux qu'elle soit venue. Le jour de son baptème, il avait bien le droit de se départir de son allure détestable pour un murmure que diable ! Enfin... Bref. Il échangea un bref regard avec Elanore, lourdement chargé de tendresse. Il se rappella un jour la phrase qu'il lui avait écrite comme quoi sa poitrine était le point de fuite de la perspective ecclésiastique et trouva que la phrase était justifiée. Puis, il se remémora honteusement qu'il était dans une église il reporta son regard vers le curé, regard qu'il fit progressivement moins, beaucoup moins tendre, et beaucoup plus réservé et solennel. Il avança jusqu'à l'autel et s'éclaircit la voix.

- Bien, mon père, le jeune homme regarda les deux femmes qui se tenaient derrière lui et se demanda où Choderlos pouvait bien estre. Bah, elle les rejoindrait plus tard... Il croisa calmement ses mains devant lui, je pense que nous sommes... au complet si je puis dire. Nous pouvons commencer.
---fromFRJLam
Monseigneur JLam était quelque peu décontenancé. Jamais de toute son existence, il n'avait vu pareil comportement dans une église. Il avait bien vu Roberta du lampadaire, tenancière de l'auberge des bons plaisirs située au 44 rue poissonnerie à Brignoles, faire irruption dans une église de façon tout à fait inopportune... Mais là, il voyait cette dame aux allures un peu trop sophistiquées se comporter comme si elle était le centre de toute l'attention. Certes, il fallait bien reconnaître que les mirettes des fidèles étaient toutes dirigées vers elle.

Il avait connu une femme qui disait tout le temps :

"C'est pas ma faute
Et quand je donne ma langue au chat
Je vois les autres
Tout prêts à se jeter sur moi"

Et sans aucun doute, cette Johanara la lui rappelait étrangement...

Mais, il fallait que cessent là les rêveries, et l'évêque introduisit alors la cérémonie :


Ah ! Voilà enfin tous les participants ! Nous pouvons débuter.
Brutamus, Lanfranc, veuillez vous asseoir sur ces deux sièges. Les marraines peuvent s'asseoir à côté de leurs filleuls.


Le prêtre fit alors signe à l'organiste pour que celui-ci joue un morceau, le temps que tout se mette en place.
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Monseigneur JLam, Evêque de Toul

---fromFRAnonymous
Convaincu qu'en ce jour particulier il devait faire preuve de sagesse d'esprit et d'humilité plus qu'à l'ordinaire, Lanfranc ne rechigna pas à s'asseoir à costé du messire Brutamus. Les notes à la fois grandioses et mesurées de l'orgue eurent tost fait de plonger le jeune homme dans une ambiance religieuse doucement froide, et son esprit se détacha pour aller se perdre contre les pierres vieillement usées de l'église. Il avait une main posée sur un genou et accompagnait machinalement les notes de ses doigts nerveux. Peut-estre qu'après tout, cette cérémonie représentait plus pour lui qu'il ne voulait bien se l'admettre. Bah, il fallait faire fi de ses considérations nombrilistes, il savait bien que mesme avec toute la mauvaise foi dont il pourrait faire preuve, il n'arriverait jamais à se mentir à lui-mesme en toute conviction. Il avait pourtant déjà essayé avec volonté, mais rien n'y faisait. Trouvant toute cette réflexion inappropriée pour l'instant et le lieu, il fit taire son monologue et adressa une dernière prière de brebis égarée au saint Aristote avant le grant saut.

"Car voyez-vous Saint Aristote, lui déclarait-il intérieurement, et écoutez-moi que vous existiez ou non hein ! Quant j'appartiendrai à vostre grande maison aristotélicienne, et entre nous quel nom cela... a-ri-sto-té-licienne, enfin bref passons, je prendrai le pli de prier pour les autres brebis, et mesme tout le troupeau s'il le faut, je trouverai en moi la bonté nécessaire, si si, faites-moi donc confiance. Mais pour la dernière prière de l'impie que je suis, vous permettrez bien que je me l'adresse à moi-mesme et uniquement à moi mesme. J'ai donc, le jeune homme sortit une petite liste mentale de recommandations, quelques petites choses à vous demandez. Rien de bien original en somme, mais c'est important. Premièrement, cette jolie blonde qui est là derrière moi, et bien, c'est beste à dire, mais j'en suis amoureux voyez-vous. Mesme fou amoureux. Oh, je ne nie pas que nous n'avons pas toujours été sages, mais vous excuserez bien que les pulsions des sentiments sincères s'épargnent pour quelques temps la bénédiction maritale. Alors s'il vous plait, ne me l'enlevez pas. Je n'aime pas les caprices, mais si vous me l'enlevez, il se pourrait bien que je vous renie, vous comprenez ?Lanfranc attendit quelques secondes l'acquiescement du Saint Aristote. Bien, nous voilà d'accord. Et protégez-la aussi hein, mon Elanore. Je vous ai dit que je ne priais que pour moi, et c'est vrai. Je suis égoïste quand je vous demande de la protéger. Et, tant que vous y estes, protégez aussi la jolie rousse qui va me faire office de marraine, elle a l'air détestable mais elle n'est pas mauvaise. Elle est mesme meilleure que la plupart d'entre nous. Si fait je m'en porte garant. Et protégez aussi la brune Choderlos, elle a déjà assez souffert dans son passé pour que vous veniez en rajoutez. Et si vous faites mal à une des trois-la, je vais me mettre en colère ! Bon. Je vais vous laissez à présent, mon air recueilli pourrait paraistre légèrement trop emporté, et il serait gesnant que le père me prenne pour hérétique avant mesme le baptesme. Nous nous reverrons quand ils auront peint mon poil de brebis en blanc neigeux et pur. Nous verrons la fin de cette liste après la cérémonie."

Prière close, Lanfranc se signa intérieurement et releva son regard vers le prestre.
Patient, le jeune homme posa l'arrière de sa teste contre le dossier dur.
---fromFRAnonymous
Pommedapi avait promis à son ami d'assister à la cérémonie privée de son baptème. Elle était repassée vite se changer à la maison et n'avait réussi à faire en sorte que Chandi l'accompagne. Il gardait donc la demeure. La petite Secret l'avait suivie comme à son habitude mais Pomme lui avait fait signe de l'attendre à la sortie du bâtiment sacré. Secret attendait donc assise sur son derrière que sa maîtresse ressorte vite.
Pomme entra dans le bâtiment et ne s'étonna pas de son retard. Comme son ami le lui avait dit, il y avait peu de monde convié, aussi s'approcha-t-elle des bancs les plus proches de l'autel.
Pomme ne vit pas qu'une dalle dépassait un peu les autres et elle trébucha et s'étala de tout son long dans l'allée en poussant un cri. Elle se releva et s'assit sur un banc pour regarder la cérémonie.
Elle fit un signe à Elanore pour la saluer. Elle manqua de rire en voyant Eluard se mettre à épousseter la manche de son vêtement sans doute l'émotion de la cérémonie dirigée par l'évêque.
---fromFRJLam


L'évêque était content de voir Pommedapi entrer dans l'église. Il pria le Très-Haut intérieurement pour elle.

L’assemblée se leva au signe du prêtre.


Frères et Sœurs,

Nous voici en ce jour rassemblés pour prier le Très-haut qui dans sa grande bonté accueille sans cesse les hommes et les femmes qui humblement le cherchent.
Dieu ne peut qu’aimer. Nul n’est rejeté par lui. Au contraire, il appelle sans cesse les plus petits à le rejoindre et à porter partout sa parole salvatrice.

Lanfranc et Brutamus, vous avez demandé à entrer dans la famille aristotélicienne et je vous félicite pour cela. Vous allez vous engager à suivre les enseignements du Très-Haut que nous avons reçus de ses deux prophètes : Aristote et Christos.

Ce baptême constitue votre premier pas dans l’Eglise, ce peuple de Dieu. L’eau vous purifiera de vos fautes passées. Et vous chercherez sans cesse à vivre l’amitié aristotélicienne.


Les futurs baptisés suivirent alors monseigneur JLam vers le baptistère.



La foule écouta alors le diacre qui s'était rendu au pupitre pour faire la lecture du Livre des Vertus.

Citation:
Nous sommes certes enchaînées à la matière, certes soumis à ses lois, mais notre but est de tendre vers Toi, l’Esprit Éternel et Parfait. Donc, selon moi, le sens que Tu as donné à la vie est l’amour.” Alors Dieu dit: “Humain, puisque tu es le seul à avoir compris ce qu’était l’amour, Je fais de tes semblables Mes enfants. Ainsi, tu sais que le talent de ton espèce est sa capacité à M’aimer et à aimer tes semblables. Les autres espèces ne savent aimer qu’elles-mêmes.


Mes amis, approchez-vous donc du baptistère. Et vous, chères marraines, veuillez vous approcher et mettre votre main sur l'épaule de votre filleul.

Proclamons maintenant le Credo. Que vous tous, baptisés et marraines, le répètent après moi :



Les marraines et les baptisés sont priés de reprendre le credo dans leur réponse :
Code:
[img]http://img107.imageshack.us/img107/3203/credo6zkwp3.png[/img]

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Monseigneur JLam, Evêque de Toul

---fromFRbrenus54
bonjour,
blablabla, et toujours aucun curé à Vaudémont !!!!! Mais que fait l'église ?
RIEN.
Mes respects du soir, allez en paix.
---fromFRAnonymous


Tandis qu'il récitait son credo, la main de Johanara sur son épaule, Lanfranc se retourna et jeta un regard noir à l'importun Brenus. De quel droit venait-il crier sa complainte, vilainement d'une part, en plein coeur de son baptesme ? Il lui aurait bien lancé le credo à la figure, si tant est que ledit credo puisse estre une arme. Lentement, toujours psalmodiant, Lanfranc évacua en une inspiration sa haine qui n'avait pas lieu d'estre, du moins en apparence, et reposa un regard serein sur la cérémonie.
---fromFRElanore
Comme demandé par l'évêque, Elanore suivit son filleul jusqu'au baptistère et posa la main sur son épaule. Se faisant elle sourit à Lanfranc puis lança un regard perplexe vers sa fulminante marraine. Quand celle-ci leva les yeux vers elle, Ela se résigna à prier pour Brutamus sans se laisser distraire par cette femme exhubérante.
Il lui fallut quelques secondes pour reprendre ses esprits et se recueillir à nouveau avec ferveur. Finalement elle ferma les yeux et prononça les mots de ce credo qu'elle connaissait désormais par coeur.


_________________
Johanara
Bla bla bla ... Le facheux qui avait vociféré quelques paroles douteuses avait eu au moins le mérite de la faire sourire . Ah que les cérémonies religieuses étaient ennuyeuses ! La rousse tentait de prendre un air absorbé , et de paraitre pieuse autant que possible : pas facile avec cette poitrine qui manquait jaillir de son bustier à chaque respiration.

La jeune femme blonde lui lança un regard des plus circonspects. Sans aucun doute la compagne de Lanfranc. Belle , élégante , ce petit avait toujours eu du goût. Elle fit un charmant sourire à la jeune fille avant de dire à son futur filleul , assez haut pour que sa compagne l'entende


Félicitation , elle est exquise.

Le prêtre la regarda à nouveau de travers . Il eut droit à un regard des plus vert et des plus profonds à travers ce longs cils noirs et à une petite moue désolée. Bon ce stupide credo à présent...


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---fromFRJLam
Décidément, cette cérémonie réservait bien des surprises à l'évêque ! Maintenant, un malautru qui se prétendait croyant était venu crier dans l'église. Il se plaignait que la paroisse n'aie pas de curé, alors que lui-même officiait en tant que tel.
Aucun des étudiants de l'université, dans la voie de l'église, ne s'était manifesté pour reprendre la cure de Vaudemont. L'évêque ne pouvait pas pondre un curé !

Il attendait désormais que Brutamus dise à son tour le Credo et alors, il procéderait à l'immersion dans l'eau.

Il fut cependant très troublé par le regard que lui adressa Johanara... Que se passait-il donc ici ?

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Monseigneur JLam, Evêque de Toul

---fromFRAnonymous
Dans l'attente que l'autre messire récite enfin sa prière, lors que Johanara récitait sagement son propre crédo, le jeune homme lui répondit audiblement, mais sourire figé et dents serrées ;

- Certainement qu'elle est délicieuse. J'ose espérer que vous n'en attendiez pas moins de moi.

Il échangea avec elle un regard complice et amusé, sachant qu'ils se sentaient tout deux bien décalés dans une église. Puis excédé dans l'attente, ignorant si le messire Brutamus était trop illettré pour déchiffrer son missel, où trop submergé par l'émotion pour articuler un traitre mot, il le toisa curieusement quelques secondes et tenta de deviner ce qui lui arrivait. Cette minute d'empathie passée, le jeune homme poussa un léger soupir, discret mais impatient et fixa à l'hypnose le vitrail qui trosnait devant lui. Il était parfaitement conscient que le soupir avait été entendu de tous. Après avoir répertorié mentalement chaque couleur du vitrail narratif, il sourit. Lanfranc réalisait que la présence de sa marraine ravivait en lui les réactions les plus mondaines et les plus exécrables.

Il se pencha légèrement, décemment, jusqu'à son oreille, non sans jeter un coup d'oeil rieur à ce décolleté en dangereuse posture et lui murmura gravement ;


- Voyez marraine, pas déjà baptisé et vous avez encor de bien mauvaises influences sur moi. Puis, sur un ton de reproche, c'est à cause de vous si je suis impoli.

Sous l'oeil vigilant du prestre, qu'il admirait malgré tout, hormis le fait qu'il ne le comprennait pas toujours, il revint à sa position initiale, droit comme un i, mains proprement croisées.
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