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[RP CULTE] Eglise Notre-Dame de Sion

Ingeburge
Ingeburge frissonna légèrement en sortant de l'église. L'air s'était rafraîchi et elle resserra les pans de la cape qu'elle avait passée avant de se retrouver sur le parvis.
Suivie des deux enfants de choeur et du bedeau portant chacun un cierge, elle se dirigea lentement vers le cimetière qui jouxtait l'édifice. Les fidèles suivirent de près.
Hormis le crépitement des flammes et le bruit des pas, le silence régnait. Chacun était recueilli, conscient qu'il allait devoir bientôt dire adieu à leur amie.

Le cercueil fut déposé près d'une fosse creusée dans l'après-midi.
Ingeburge s'avança de quelques pas. Elle reprit la parole :

_ " Nous allons maintenant confier à la terre le corps de notre soeur dans ce lieu où reposent déjà tant de défunts de nos familles. Le moment est venu de lui dire "à Dieu".
C'est un moment de tristesse, mais il faut que l'espérance reste forte en nous car nous espérons revoir Elanore quand Dieu nous réunira, dans la joie de son Royaume. "


L'Archevêque fit un signe de la main et les six porteurs commencèrent à descendre le cercueil dans la fosse. Elle dit:
_ " Recueillons-nous en pensant à tout ce que nous avons vécu avec Elanore, à ce qu'elle est pour nous, à ce qu'elle est pour le Très-Haut. "
Elle joignit les mains et resta recueillie pendant la descente du corps. Toute l'assistance resta silencieuse, émue.
Ingeburge se saisit alors d'une coupelle d'eau bénite, y plongea les doigts et aspergea le cercueil :

_ " Cette eau, souvenir de ton baptême, nous rappelle que Dieu a fait de toi Son enfant. Qu'Il te reçoive aujourd'hui dans Sa paix ! "

Elle se tourna vers l'assistance :
_ " Je présente mes plus sincères condoléances aux proches d'Elanore Je penserai à vous dans mes prières. "

Ingeburge prit alors de la terre dans le tas situé à côté du trou et la jeta sur le cercueil. Elle y joignit une fleur. Elle invita d'un signe les proches à faire de même.
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---fromFRAnonymous
Pommedapi avait gardé quelques épis de blé glanés après la récolte dans un des champs qui avaient appartenus à Elanore. Elle les lança sur le cercueil ainsi qu'un petit bouquet de fleurs séchées.

Ces graines germeront peut-être un jour, qui sait, dit-elle en souriant.

Elle s'imagina une dernière fois la dame à la jolie natte blonde comme les blés.
Enorig
Elle avait suivi la cérémonie, la procession.
Le corps descendait, la terre recouvrait, la chair partait, seuls les souvenirs resteraient.
Elle rentrait à présent.
Elle n'avait que peu connu Elanore et dans des circonstances plutôt désagréable mais elle en avait entendu parlé en bien tout le temps. Maintenant une partie de la famille s'en allait. Il faudrait s'occuper des deux petits qui restaient. Elle enverrait des gens dès demain aller voir ou ils étaient et ce que l'on pourrait faire pour eux.
Silec
Silec à la sortie de l'eglise avait suivi le cortege en silence. Il etait tres triste.
Machinalement il S'approcha du cercueil, regarda la tombe, se signa et resta un long moment immobile pour rendre un dernier hommage à Elanore.

Il se tourna vers les amies, et amis d'Ela, leurs fit un sourire qui se voulait amical de comprehension, mais le coeur n'y etait pas. Il esperait que ce sourire un peu crispé ne serait pas pris dans le mauvais sens.

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---fromFRMarie Augustine
MA arriva enfin, après moultes péripéties.

Le cortège passa là sous ses yeux qui aussitôt s'embuèrent, NON! il était impossible qu'Elle fût là, dans cette "boîte", si indigne d'elle! NON! c'était une erreur, sa chère marraine ne pouvait être morte!
Elle ne put s'y résoudre!
Elle vit passer Paulhaguétois, et avec lui le souvenir de leur mariage dans cette petite église de Mûat où elle les avait accompagnés avec bonheur autrefois.

Du fond de son coeur elle dit à Elanore... combien elle allait lui manquer et combien elle lui avait apporté dans sa vie.
Son bonheur, son audace, ses amours, elle lui devait tout celà et tellement encore...

Merci Elanore, je t'aimerai...
A jamais.


MA laissa ses larmes perler le long de ses joues comme autant de témoignages de son amitié.
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---fromFRsiouzou
Siouzou vit passer le cortège..
Son coeur se crispa et ses yeux s'embuèrent..
Elle se dirigea vers la grande porte..
En y pénétrant..
Fut saisie par un silence lourd..
Siouzou se sentait vidée..
Se dirigea vers les cierges..
Son premier serait pour cette jeune femme..
qu'était partie si bètement..
Siouzou soupira.. et se retira..
En sortant.. elle regarda vers le ciel..
un ptit coin bleu se dessinait..
Kemaille
Kémaille ne voyait plus rien. Ses yeux étaient tellement pleins de larmes que sa vision en était brouillée. Elle ne pleurait pas à gros sanglots donc personne ne l'entendit. Mais ses larmes ruisselaient sur ses joues, et elle ne pouvait les arrêter.
Elle regarda le cercueil descendre en terre, et sentit une violente douleur dans son coeur. C'était fini. On parlerait d'Ela au passé désormais. Non, elle ne voulait pas. Ela qui avait eu autant d'importance à Vaudemont. Son nom ne pouvait pas ainsi disparaitre.
Kémaille finit par sécher ses larmes, car se rendit compte qu'Ela devait certainement avoir retrouvé Blue, là-haut, et qu'elle devait être heureuse maintenant.
Elle se baissa et ramassa une poignée de la terre qui était destinée a recouvrir le cercueil de son amie. Puis s'adressant à Ela, à voix basse, elle murmura :


Ela, je sais que ton âme m'entend.
Je ramasse aujourd'hui un peu de cette terre qui est désormais la tienne, pour la mettre chez moi, et qu'il en renaisse de la vie. C'est un peu long à t'expliquer, mais de là-haut, je sais que tu me vois, telle que je suis réellement, et que tu comprends. Ainsi, tu seras encore un peu avec moi, avec nous.
A très bientôt mon amie, puisque plus qu'un adieu, c'est un simple au revoir.

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Epouse de SebastienPirlet Baron de Belrupt, et maman du petit Johann de Belrupt
Ex-Maire-Adjointe de Vaudemont
Ex- Parlementaire et Porte-Parole du Parlement Lorraine

Semper Parati
L'amour pour épée, l'humour pour bouclier
Yanahor
Yanahor qui avait suivit la cérémonie de loin vint se recueillir sur le cercueil d’Elanore, il y déposa une fleur cueillie sur le chemin de Vaudemont pour cette femme qu’il avait jadis aimée.
A l’époque il n’était qu’un jeune Juge ambitieux et ce fut sûrement la plus belle période de sa vie, jeune et insouciant, voilà ce qui l’avait amené au bonheur, l’insouciance qui dans son étrange simplicité l’avait fait émerger dans une véritable volupté.
Et cette volupté il l’avait partagé dans de cours moment volés au temps avec Elanore.
Il pleurait donc de ses yeux qu’il avait eue l’audace de jouer pour pouvoir les plonger dans ceux de sa bien aimée car au delà de l’être chéri qui venait de le quitter il voyait partir avec lui son bonheur de jeunesse.
Il resta là accroupi durant de longues heures à contempler la tombe de son amour perdu
---fromFRElanore
Elanore eut du mal à réaliser ce qui lui arrivait. Elle s'interrogea d'abord sur l'endroit où elle se trouvait soudain parachutée. Elle scruta les lieux, impressionnée. Tout semblait si vaporeux. Elle se sentait tellement légère.

Puis son regard se posa sur une silouhette. Elle fronça les sourcils. C'était Blue... Rêvait-elle ? Oui sans doute...

Elle se frotta les yeux des deux mains et regarda de nouveau. Non il était bien là et il lui souriait... En temps normal, son corps aurait été parcouru d'un frisson. Elle aurait défailli. Mais là, rien de tout cela, bien au contraire. Elle était enveloppée par une douce chaleur. Il l'approchait. Elle était bien... Elle lui tendit les mains et il la toucha. Elle lui sourit... Ils étaient réunis. Enfin...

Elle allait parler pour lui demander ce qui se passait, mais il lui fit signe de se taire en posant l'index sur les lèvres de la jeune femme. Puis il tendit le dit index vers Vaudemont, vers l'église, vers le cimetière. Elle regarda ce qu'il voulait lui montrer et réalisa soudain... Oui elle se souvenait... le cheval, la chute... Puis ce trou noir... Elle était morte...

Il lui passa un bras autour des épaules et regarda avec elle, silencieusement, respectueusement, afin qu'elle puisse voir et entendre ce qui se disait. Lorsqu'elle vit tous ses amis réunis, toutes les personnes auxquelles elle tenait tant, une larme d'émotion vint perler sur sa joue. Tous ces mots si gentils, ces paroles aimantes, ces témoignages d'amour et de sympathie... Elle était bouleversée. Le réconfort qu'elle éprouvait face à toutes ces preuves d'affection la laissait toutefois perplexe... Ils semblaient tous si tristes... Et elle était la cause de cette tristesse...

Blue s'en apperçut. Il la serra un peu plus fort et la réconforta.

- C'est la vie ma chérie. Tu n'y es pour rien. Ils n'y sont pour rien. Ton heure était venue et tu m'as rejoint. Nous sommes ensemble pour l'éternité. Te rends-tu comptes ? Tu vas aussi pouvoir revoir ton frère, ta mère... Ils sont là... Ils t'attendent...

De ses yeux humides elle l'observa l'espace d'un instant.

- Les enfants ? Que vont-ils devenir sans moi.

- Ils ne seront pas seuls bien longtemps. J'en suis certain. Et d'ici nous veillerons sur eux...


Elle lui prit la main et déposa un doux baiser dans la paume. Elle lui sourit. Toute cette plénitude, cette chaleur, ce bien être... Elle n'avait encore jamais connu tel repos. Alors c'était ça le royaume d'Aristote !

A cet instant elle aurait voulu pouvoir consoler ses proches en leur disant à quel point elle était bien là, qu'il ne fallait pas qu'ils pleurent. La douleur, la souffrance, elle ne connaitrait plus. Elle reposerait désormais en paix en attendant chacun des êtres qui lui sont chers et en veillant sur eux d'un oeil bienveillant. Elle était loin mais si proche à la fois. Blue comprit, à croire qu'il lisait dans ses pensées. Peut-être simplement qu'il savait ce qu'elle ressentait pour l'avoir lui-même vécu.

- Cela fait partie des souffrances de ce bas monde. Ils sont tristes comme tu l'étais quand tu m'as perdu. Ils finiront par s'y faire et, un jour, tout comme toi, ils comprendront... Alors leur sera offert le repos éternel...

Elle le serra fort contre elle et plongea son nez tout contre son torse comme elle le faisait si souvent de son vivant. Elle apprécia l'étreinte avec délectation... Une autre vie bien différente s'offrait désormais à elle...




HRP

Je tenais à dire merci à tous les joueurs avec qui j'ai partagé de prés ou de loin un moment de RP ou une conversation en taverne. Vous avez tous contribué à donner vie à Elanore...
Pendant plus de 2 ans, la joueuse que je suis à vibré au rythme de son personnage. J'ai lié de belles amitiés... Certaines uniquement RP. D'autres bien plus fortes...
J'ai en tête tant de gens que je préfère éviter de les citer afin de n'oublier personne. Les muratais, les montluçonnais, les vaudemontois, les nivernais... Et tous les autres... Vous m'avez vraiment offerts de beaux moments !
Une pensée toute particulière à Steve et à Alain. Une pensée aussi à Audrey... Bisous... ^^
Je n'oublies pas les autres. Vous comptez tous beaucoup pour moi, et vous le savez bien... Croyez moi, il faut toujours dire aux gens qu'on apprécie ce qu'on ressent avant qu'il ne soit trop tard ! C'est ce que je m'efforce de faire au quotidien et j'espère que tous avez pu vous en rendre compte. ^^
Merci à Enorig et Ingeburge pour avoir été là jeudi quand j'avais besoin de vous. Je n'oublirai jamais votre geste.
Je ne pensais pas ressentir autant d'émotion en écrivant ces quelques lignes qui peuvent sembler insignifiantes... Elles cloturent la vie d'Elanore mais pas seulement. Je tourne une page. J'y tenais à ma blondinette... Finalement, sans s'en appercevoir, on s'attache bien plus que de raison. Il est temps de passer à autre chose...
Au revoir tout le monde et encore merci pour tout ce que vous m'avez offert. C'était un vrai bonheur !

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---fromFRHubert_De_Rhenanie
Hubert entra dans l'eglise, parcourut lentement les mètres le séparant des premières rangées de bancs, puis s'agenouilla.

Il pensait à son périple jusqu'à Toul, à la demoiselle qu'il a sauvé et dont il pense tomber reellement amoureux.

"Seigneur tout puissant, aide moi à avoir le courage de l'attraper avant qu'elle ne parte car je suis si timide. Je n'ose pas avouer mes sentiments, et j'ai peur qu'elle finisse par m'échapper sans que je n'ai pu rien dire.

Protège là, car elle est encore affaiblie. Amen"



Hubert se leva, alluma un cierge, marqua un temps de silence, et sortit du lieu de prière...
---fromFRArdarín
Ardarín entra dans le lieu de culte de Vaudemont cela faisait longtemps qu'il n'y était pas venu, préférant aller à la basilique du castel pour prier entre deux travaux.

Aujourd'hui qu'il était sur le petit village où il avait une belle maison il pris le temps d'aller prier le tout puissant et ce recueillir sur la tombe d'Elanore.

Entrant dans l'église il croisa un inconnu qu'il salua, avant que celui-ci ne retourne à la lumière de l'extérieur.

Arrivé devant l'autel il s'agenouilla et fit une prière pour Elanore, puis une pour les hommes en générale. Sa dernière prière fut pour sa famille et les gens qu'il aimait. Il se releva et son regard se perdit dans la petite flamme du cierge qui brûlait déjà. Il mit une pièce d'or dans la boite puis en alluma un second.

Un dernier regard vers la flamme qu'il allumait et il se dirigea vers le cimetière. Il savait où aller. Pomme lui avait dit qu'Elanore reposait aux côtés de Blue. Il n'était pas venu plus tôt il savait que Lanfranc serait là et il l'aurait sabré pour cet unique fait s'il s'était écouté, ce qui ne se fait pas pour un Baron sensé représenter la droiture et la noblesse du coeur.

Passant dans l'allée entre les tombes de nombreux anciens habitants, la plupart de jeunes mendiants morts de froid ou de faim au début de l'hiver dernier et aussi de nombreux soldats morts au champ d'honneur sous Alandaros quand la guerre civile faisait rage, Ardarín se remémora son passé au côté d'Elanore... de bon souvenirs.

Une fois devant la tombe il se recueilli longuement, il avait bien des pardons à demander à cette pauvre Elanore qu'il avait laissé dans les bras de l'ignoble persécuteur. A genoux devant la tombe, sa cape tombant sur sa jambe en retrait, il était à l'image d'une statut encapuchonnée, toute de pierre noire hormis les étincelles et les éclats que le soleil créait sur les dorures et joyaux de sa couronne.

Quand les nuages masquèrent le soleil et que le temps se refroidit Ardarín se releva, resserrant sa cape autour de lui et il rentra chez lui, il ne reviendrait pas au cimetière avant longtemps.

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ici et sur la bannière (liens différents)
Mohakof
un inconnu vena se recueillir devant la tombe d'Elanore....il deposa une fleur sur le cercueil...paix a ton ame !
Puis il reparta aussitot qu'il est venu
Cecekl
Dame Cecekl rentra. C'était la première fois. Elle s'avanca tout en découvrant cette meiveilleuse Eglise. Reims avait une catédrale trop grande mais belle. Elle la trouva toute mignonne et se sentit vite chez elle.

Elle s'agenouilla dans le premier banc et commença à prier :

Aristote,
Donne moi la force de voir clair dans mon esprit. Dois je vraiment m'installer ici ? J'aime les gens qui sont ici et la vie n'est pas aussi dur qu'à Reims. Montre moi le chemin que je dois prendre...et celui de mon coeur.
Amen.



Elle se leva, regarda autour d'elle. L'église était déserte mais magnifique. Elle sortit.

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Ex Lieutenant et Sergent de Reims
Ex Maire de Reims (2 mandats)
Ex Douanière à Reims
Ex Mandataire de la BDC à Reims
Ex Responsable de la Filière Pain à Reims
Ex Adjoint au maire de Reims
Ex Adjoint du commerce de Reims
Herodia
C'était dimanche, assez tard dans l'après-midi. Hérodia était venue après la messe pour allumer deux cierges en memoire de ses parents qui n'étaient plus de ce monde. Elle regardait dans sa mémoire comme dans un miroir ou l'on pouvait trouver ceux qui étaient pour toujours absents.
L'église était déserte, il n'y avait plus personne. Hérodia alluma les deux cierges et le calme s'installa dans son coeur aussi. Elle sortit de l'église sure du fait que ses parents veillaient sur elle.Qu'ils allaient lui montrer le chemin à faire.
---fromFRsiouzou
Siouzou poussa cette lourde porte..
Elle se demanda..pourquoi..était-elle si lourde..
Plissa les yeux et entra..
Siouzou soupira..et partit vers la lumière..
Arrivée devant les cièrges.. elle sourit
Elle en alluma un.. pour sa famille au loin..
que ceux-ci se portent bien..
Elle alluma le deuxième.. pour un être..
Qui l'avait métarphosée..
En prenant le troisième.. pour son hôte..
Elle souriait..
Elle l'alluma avec le quatrième..
Destiné au premier homme de sa vie..
Son soupir vint de loin..
Elle ne comprendrait jamais cet abandon..
Son manque.. Sa tristesse infinie..
Siouzou s'assit.. et attendit longtemps..
Malgré ses larmes.. elle n'eut pas de réponse..
Elle se releva.. fit son signe et s'éloigna..
Sortir.. partir..
La lourde porte s'ouvrit..
Siouzou se perdit dans la nuit..
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