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[RP CULTE] Eglise Notre-Dame de Sion

Domi2309
La garde épiscopale et pontificale sous le commandement du Marechal Mun et l'évêque Mayella avait choisi, le ville de Vaudemont pour leur prochaine étape.

Le campement était monté, l'endroit était calme et facile à garder car la ferme n'avait qu'une entrée, une grande baille de bois.

Les élèves connaissaient leur tour de garde pour la journée qui naissait.

Elle était fraîche mais belle et le soleil commençait à montrer ses rayons.

Après la revue quotidienne de la garde,par l'aspirant vidames Mun, la garde se scindat en deux, une partie vers l'eglise et l'autre au campement

Pour ceux qui restaient au campement, la journée fut faite d'exercice, un peu de maniement d'hasp, d'épée et d'arc.

Le programme était chargé, l'entretien des tenues, des chevaux, des tentes et de la bonne tenue de la cuisine.

Chaque élève savait ce qu'il devait faire et le faisait de son mieux.

L'apres -midi, quelques exercices de souplesse otèrent toutes les courbatures des jours passés.

Avec le soir, la quiétude et le silence règnaient sur la cour, parfois brisés par les hennissements des chevaux et des hullulements des chouettes.
Mun
La fatigue des jours ou le manque de sommeille, le Premier Maréchal arriva dans le ferme carrée, enveloppé dans une grande cape noire ou était brodé les marques de la Garde Episcopale
Saluant le Garde Elève Domi qui veillait sur leur sécurité, serrant les flancs de sa monture, s’avança à hauteur du feu qui illuminait le campement.
Prenant sa respiration pour descendre de sa monture tout en se penchant vers l’avant senti une douleur sur son torse, serrant les dents, laissa son cheval à un garde qui le regardant remarquant sa souffrance mais qui ne dis rien.
Mun leva un des cotés de la tente regardant la table ou les parchemins étaient couchés, baissant la tête , se dirigea vers le lit aménagé .
De paille et d’une étoffe blanche tirée dessus, se laissa tomber fermant les yeux tout en posant sa main sur son armure au niveau du cœur.

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pnj


Je me promenais toujours avec mes Moutons dans cet sous bois et cueillais çà et là des champignons pour une omelette matinal que j'affectionnai tout particulièrement.
J'étalai une nappe et me mis a déguster pain et confiture et un pot de lait
Qui venait de mes Brebis.
Quand j'entendis des plaintes et gémissements qui venaient d'un plus loin mais n'osais bouger de peur du Loup qui rodait m'avait on dit dans ces sous bois. Prêtant une oreille je devinais que se n'étais pas un loup mais des gémissement d'homme.
Je rangeais tout dans mon sac et aller voir et porter secoure si il y avez
lieu, car je ne pouvais pas laisser une personne en détresse
Je m'avançais pas a pas furtivement et je vis un homme adosser a un arbre la main sur le coeur en sang.
Sortant ma nappe pris un coin que je mouillais avec de l'eau que j'avais toujours sur moi et lui nettoyais délicatement ça plaie qui était assez importante et avec des mots rassurant je lui fis un bandage avec ma nappe autour de son torse et lui donnait à boire.
-Voulez vous que j'aille chercher du secoure ou bien je vous amène chez moi et j'appelle une personne spécialisé en blessure il y en a au village qui vous guérirons de votre blessure ou je vous laisse là et vous ramène du secoure sur place.
Il ne répondis pas il c'était évanoui, je laissais l'eau et mon sac et aller chercher du secoure et de l'aide pour le porter.
Si jeune et déjà la mort qui rôde autour de lui il fallait lui sauver la vie a tout pris. Je parti en courant en direction du village mis mes Moutons a l'abri et continuais ma course à en perdre alêne. Dans quelle aventure que je m'étais fourrée encore.
Quand je suis revenue il ni était plus.

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Domi2309
Le Maréchal à peine rentré, s'en alla vers sa tente, sans mots déliés.

Sur le moment, Domi ne comprend pas, mais prenant une torche et allant vers le cheval pour le soigner, il vit une tache rougeâtre au sol.

Vif comme l'éclair, il sonna l'alarme et réveilla les gardes.

Faisant preuve d'initiative et sans perdre son calme, il envoya chercher un soigneur.

Il pénétra dans la tente, le Maréchal était couché.

Dame Elou, s'empressa d'oter son armure et laissa apparaitre une trainée rouge, elle vascilla, on dut la ranimer avec des sels.

Sur ce, le medecin arriva en courant, il grommelait quelque chose.

"Voulez-vous répéter, sieur? "demanda Domi.

"Il me faut une aide et personne dans cette tente"vociféra-t'il.

Prenant les choses en main, Domi installa un garde à demeure, envoya chercher l'évêque et sachant qu'il y aurait du monde qui se présenterais prit place à la baille.

Cela faisait déjà quelques temps, que le toubib était là et toujours pas de nouvelles, on essayait de réconforter Dame Elou.

Domi vit arriver un carrosse, et reconnut la Garde qu'il avait dépéché.

Voyant, l'évêque, il dit:" Désolé, Monseigneur, le Maréchal n'étant pas disponible, j'ai pris sur moi, de régler la garde."

"Le médecin est auprès du Maréchal et il vous attend".
Zahra.2
Zahra était en train de méditer lorsqu'elle sentit une main se poser sur son épaule, elle se retourna et trouva son amie Joce_rr:
Bonjour mon cher ami, je suis heureuse de savoir que tu es terminé ton seminaire, oui j'ai croisé notre evêque accompagnée de deux hommes et d'une jeune femme lors de ma douane.

Je suis persuadée que tu seras un bon diacre et que tu nous guidera vers le bohneur , quant à la reflexion je pense que ton choix a été fait depuis longtemps Joce, je me suis toujours dit que tu serais un excellent pretre pour ce village...


J'ai reçut mon troisième cours de Notre seigneur Mayella... Elle doit être épuisée par son voyage...
entre nous mon ami j'ai un peu honte j'essais d'apprendre la prière du Credo , et j'ai un peu de mal tu sais .... j'espère que je l'aurais appris pour mon baptême...
Elou
Elou avait suivit pendant plusieurs jours la Garde Episcopale, suivant surtout son aimé, marié depuis quelques temps aussi. Il amenait l'Eveque afin qu'il soit protéger.
Arrivé à Vaudémont, ils s'arrêtèrent pour se reposer un peu. Descendant plus loin, elle s'était occupée toute la journée dans la ville, la visitant encore une fois.

Quand elle rentra au campement, on l'a previent que Mun avait des problèmes. Elle accouru à sa paillasse. Elle retira la main de son aimé posée sur son armure et retira cette dernière. Une grosse tache rouge foncée, voir noire, s'était accumulé sur ses vetêments. Rien que le fait de savoir son mari blessé, elle vascilla et finalement tomba dans les pommes.
Après quelques temps, elle se réveilla, se souvenant de ce qu'il se passait. Elle se redressa rapidemment. Un soldat se tenait là.


Où est Mun ? Il faut que je le vois.

Le soldat était désolé mais, il ne pouvait pas la laissée entrer... Un médecin était arrivé et soignait déjà Mun. Ce dernier a demander qu'on le laisse seul. Elle calma son sentiment d'inquiètude et prit celui de sévèrité.

Je suis Médecin-Major à l'armée. Je ne tolèrerai pas qu'on soigne mon époux sans que je puisse voir de quoi il en retourne.

L'homme semblait ne savoir que dire, et il osa se présenter au médecin. Après quelques secondes, il previent qu'elle pouvait rentrer dans la tente.
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Domi2309
Il était douze heure et le changement de garde éffectué, Domi s'en alla ,demander des nouvelles à l'évêque Mayella.

Depuis le matin qu'il était de garde, il n'avait aucunes nouvelles, le maréchal allait-il s'en sortir, qu'allait-il devenir et dame elou?

Il avait vu le medecin s'en aller mais, sur ordre du Marechal, il n'avait dit mot.

Comme tout bon garde, il fit comme d'habitude ne laissant rien apparaître de ses questions.

Une fois, le diner prit, les soins aux bêtes et les exercices se succédèrent, pas question de flemmarder.

Il partit aux devant de la Dame qui avait aidé l'aspirant vidâmes.

Il la trouvât et lui demanda: " bonjour gente dame, pourriez-vous m'éclairer sur ce qui s'est passé, si vous avez entendu quelque chose, quelqu'un, une dispute peut-être?

Et pourriez-vous me dire si sa blessure était profonde , si péril il y avait et si il avait perdu beaucoup de sang"


quand il revint, il chercha l'évêque.
Domi2309
Aujourd'hui, dimanche, la garde se scinda en deux, car c'était jour de messe.

La revue passée, tous étaient impeccables, nulles traces des événements ne devaient se voir sur les visages, ni sur les tenues.

Les premiers furent envoyés à l'escorte de Monseigneur l'évêque Mayella.

L'autre partie oeuvra au campement, le soin au chevaux et la préparation des malles car on devait être prêt à partir à tout moment.

une calèche arriva, elle fut inspectée soigneusement.

Elle était envoyée pour le Maréchal Mun, elle venait du domaine du Maréchal.

On soignat les chevaux, et offrit le couvert aux cochers.

Dame Elou avait passé la nuit a veillé le Maréchal car on ne l'avait pas vu à part ,pour les repas , depuis hier.

Et quand à la santé de l'aspirant Vidâmes, rien ne filtrait pour ne pas inquièter inutilement, la garde l'avait bien compris.

Ensuite laissant 2 gardes au campement , la garde se réunit à l'église, car comme chaque fois après messe, elle se devait de remercier ses hôtes en faisant le tour de la ville.
Elou
Entrée dans la tente, elle vit un homme accroupis auprès de son aimé. Elle s'approcha et se mit enface de lui de l'autre côté de la couche. Elle regarda le visage de son époux, devenu pale. Son coeur se serra.

- Comment va-t-il ?

- Apparament, il s'est endormi...Il a perdu beaucoup de sang, je pense... Je ne sais pas par quoi il a été touché...


Elle descendit doucement son regard vers la blessure dites. Le médecin avait prit de soin de poser un linge mouillé sur la blessure qu'il maintenait en compression pour faire arrêter l'écoulement du sang, ainsi que de la nettoyer. Elle se demanda comment et quand cela avait-il pu se produire... Elle n'avait rien vu, et il ne lui avait rien dit... La voix de l'homme brisa le silence à nouveau.

- J'ai été prevenu en vitesse, je n'ai malheureusement pas tout mon matériel pour le soigner... mais on m'a dit que vous étiez médecin également...

- Oui, à l'armée... J'ai prit quelques affaires avec, peut-être que cela nous sera utile.


Le médecin hocha positivement la tête. A deux, ils ne seraient pas de trop pour soigner Mun. Elou se releva et alla chercher la besace de sa famille, celle qu'elle prends toujours avec elle en voyage. Elle revient à sa place. Elle sortit un pot d'onguent à base de plante. Ceci pour arrêter l'hémorragie. L'homme comprenant, continuait maintenir le linge le temps qu'elle prenne l'onguent sur ses doigts. Il retira le linge et Elou appliqua le produit. Le sang se mélangeait au médicament. Elle soupira. Jamais elle n'avait du faire ce genre de chose, elle espèrait que cela fonctionnerait. Ils remirent le linge sur la plaie. Elle regarda le médecin, puis le visage de son aimé. Celui exprimait quelques airs de mécontentement et de douleur. Cela peinait Elou. Par certains moments, il semblait se réveiller.

- Il ne reste plus qu'a bander tout cela...

Le médecin hocha à nouveau la tête.

- Vous avez des bandages ? Je n'en ai point avec moi... Au pire, il faudra maintenir la compression...

Elou esperait en avoir dans sa besace, elle regarda mais rien... malheureusement... Mais ne manquant d'idées, elle se leva et sortit de la tente. Elle demanda à un soldat un linge propre. Celui-ci n'e, avait pas non plus... En effet, après plusieurs jours de voyage, comment avoir un linge propre... Toutefois, il se proposa d'aller en ville. Elou le remercia et lui demanda de faire vite.
Quelques instants plus tard, il revient essoufflé avec le linge demandé. Elle le remercia, jusqu'à même lui faire une bise sur la joue. Puis repartit dans la tente. Le médecin placa correctement le ligne mouillé et grâce au linge approté, ils firent un bandage.
Après tout ce travail, Elou regardait tendrement Mun, esperant tant qu'il se réveille sans souffrir et espérant que l'onguent fasse effet. Le médecin se leva.


- Voilà... je crois qu'il n'y a plus rien à faire... Il faut qu'il évite les mouvements brusques et qu'il se lève surtout ces derniers jours.

Elou aquiesca.

- Je lui donnerai du prêle à son réveil pour être sûre que l'hémorragie cesse. Par chance, la plaie n'est pas assez profonde pour une cautérisation.

- N'oubliez le baume tous les jours sur la blessure.

Le médecin serra la main d'Elou, ramassa ses affaires et s'en alla. Elou resta quelques instants auprès de son époux. Elle regarda Mun, en pensant...

Pourquoi ne m'as-tu pas dis que tu étais blessé... ? Comment t'étais-tu fait ca...?

Elle soupira, puis se pencha, déposant un baiser sur ses lèvres. Elle se releva et sortit de la tente afin de prendre un peu l'air. Elle s'avanca un peu dans l'allée, jusqu'à ce faire intercepter par un soldat. Soldat qu'elle avait déjà vu et rencontré.


- Bonjour gente dame, pourriez-vous m'éclairer sur ce qui s'est passé, si vous avez entendu quelque chose, quelqu'un, une dispute peut-être?

Et pourriez-vous me dire si sa blessure était profonde , si péril il y avait et si il avait perdu beaucoup de sang


Elle regarda l'homme, apparament, par ces questions, il ne savait pas non plus ce qui s'était passé, cela la desespérait encore plus...

- Bonjour messire. Je ne sais absolument pas ce qu'il s'est passé... Il faudra attendre son réveil...
Concernant sa blessure, elle n'est pas assez profonde pour la refermer nous-même, cela se fera avec le temps... Bien évidement, il faut qu'il se repose, qu'il reprenne des forces.


Elle lui sourit gentillement avant qu'il ne parte, le rassura.

- Il s'en sortira, ne vous en faites pas. Je vais le surveiller cette nuit.

Il partit, et elle, elle retourna à son poste auprès de son aimé. Elle restait près de lui, attendant son réveil. Seul un soldat passait le temps des repas pour apporter la nourriture.
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Mun
La douleur était présente puis lentement le Premier Maréchal sombra dans le vide, le noir l’enveloppant ne ressentant rien, ferma les yeux comme si il était attiré vers les profondeurs
Les premiers rayons du soleil entrèrent dans la tente réchauffant doucement son visage.


Se poussant sur son bras pour regarder, ne comprenant pas, une douleur le fit grimacer portant sa main sur son torse, sentant les bandages froid, voyant son armure sur le sol et Elou son amour devant lui.
De vagues souvenir lui revinrent et puis ce visage ces marques sur son corps Amragedon


Sentant la chaleur de son aimée près de lui
Tendrement la regarda

je t’aime Elou
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Elou
Alors qu'elle regardait les diférents produits de soins que contenait sa besace, afin de soigner la plaie de son aimé, elle entendit...

- Je t’aime Elou

Elle releva la tête et regarda son aimé, presque relever. Elle s'appuya sur ses épaules.

- Mon amour, reste couché s'il te plait.

Celui-ci l'obéissant, elle lui sourit. Elle était heureuse qu'il soit réveillé. Elle le regardait tendrement, deposa un léger et furtif baiser sur ses lèvres. Elle se redressa un peu, lui caressant la joue.

- Moi aussi, je t'aime.

Pour l'instant, elle oubliait ses questions par rapport à sa blessure. Rien que le fait qu'il soit éveiller, lui faisait plaisir. Puis, elle se souvient du prêle à donner pour la plaie.

- Je reviens...

Elle se leva et demanda de l'eau. Un soldat lui apporta et elle revient avec un bol d'eau auprès de son aimé.

- Tu vas boire ce que je vais te donner, c'est pour ta blessure...

Alors qu'elle versait un peu de poudre de la plante, elle repensait à ses questions concernant la plaie. Surtout que celle-ci ne ressemblait pas à une plaie normale. Elle fit légerement mélanger le liquide puis le tendit à son aimé en souriant. Elle attendit qu'il eut fini d'ingurgiter le mélange avant de lui demander les faits passés.

- Comment as-tu cette blessure ? Qui t'as fait cela et quand... ?

Elle espérait qu'il saurait lui répondre. Que ces coins sombres seraient illuminés et qu'on saurait retrouver l'agresseur.
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Domi2309
La journée était maussade mais grâce aux nouvelles de dame Elou, la garde était gonflées à blocs.

Une fois, la messe terminée et la bénédiction reçue.

La parade se passa normalement, si ce n'est que, la liesse d'une parade n'était pas au rendez-vous.

Une fois, de retour, au campement, il fut décidé de doubler la garde, Il fut aussi dit que la garde devait être prête à partir à tout moment.

Le strict nécessaire à la bonne tenue était sortie, le reste devait être prêt, en malles, les armes devaient êtres soignées et les bêtes aussi.

Deux gardes furent assignés à la tente du Maréchal.
Mun
-Mon amour, reste couché s'il te plait.
Mun se recoucha ne comprenant toujours pas.
Prenant le verre que Elou lui tendait tout en lui rendant son sourire.

Tu vas boire ce que je vais te donner, c'est pour ta blessure...
Mun le porta à ses lèvres sentent l’odeur et grimaça, mais le bu sans rien dire de plus.
Déposant le verre, Mun mis sa main sur celle de Elou,

quelle chance que tu sois là.
- Comment as-tu cette blessure ? Qui t'as fait cela et quand... ?

Mun essaya de rassembler ses idées
Je revenais de ma ronde comme tous les jours lorsque j’ai rencontré une personne que j’avais déjà vue il y a bien longtemps.
Portant sa main sur le bandage, une douleur et puis je,…. Ne sais plus

Regardant la tente ou il était, nous ne pouvons rester ici, il faut que nous partions dés ce soir. Sa voix était presque tremblante
S’asseyant sur sa couche pour se redresser
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Domi2309
Une fois n'est pas coutume, le coq fut réveillé par la Garde.

Après l'appel, elle déjeuna, puis conformément aux ordres reçus, on fit les malles car on quittait Vaudémont.

Domi avait reçu l'ordre , par Dame Elou, elle même transmettait les ordres du Maréchal.

Ne révélant point cela aux autres, il fit les tours de garde pour la nuit.

Il voulait voir combien de temps mettrait la Garde pour être prête au départ.

Dés la revue passée, on mit le Maréchal dans sa calèche.

La Garde ne savait où on partait car comme prévu, il ne révélerait l'endroit qu'au sortir de la ville.

l'étendard fièrement dressé et la première partie de la garde s'avança suivi du carrosse de l'évêque Mayella puis de la calèche de Monseigneur Mun en fin le restant des Gardes fermait l'escorte.

Comme un seul homme, la Garde quittait cette ferme qui leur avait servi de base.

Après quelques temps, on ne vit plus que le clocher de l'Eglise de sion et puis comme les maisons l'avait fait avant, il disparu.

Maintenant, les champs succédait aux vergers, la journée était belle.

Le calme régnait si ce n'est le bruissement des carrioles qui écrasaient les pavés.
Elou
Elou regardait Mun lorsqu'il lui repondit. Elle voulu savoir qui était la personne dites, mais elle pensait qu'il devait d'abord se reposer de cette attaque. Elle lui sourit comme pour le rassurer.

- Nous ne pouvons rester ici, il faut que nous partions dés ce soir.

Sa voix était tremblante comme si il avait peur de quelque chose. Elle en fut surprise, mais ne dis rien. Puis, réfléchit à la façon dont son aimé allait se deplacer. En effet, il devait se reposer après cela, le temps que sa blessure guérisse un minimum...

- Très bien. Je le transmetterai. Toutefois, fait attention à toi, les soins que nous t'avons apportés ne sont pas les meilleurs car nous avons manqué du matériel.
Si tu sens quoi que ce soit, il faut que tu me prévienne.


Après un sourire, un autre léger baiser, Elou allait prévenir les soldats qu'il fallait lever le camp.
Le soir même la troupe parti, Elou surveillait les mouvements de son aimé, n'oubliant la plaie et ses paroles dites sous la tente.

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