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[RP CULTE] Eglise Notre-Dame de Sion

Joce_rr
C'est ma passion et mon devoir que de répondre aux questions de mes paroissiens mon Fils.

On peut tenir la discussion ici si vous le souhaitez mais il serait peut-être plus propice de se déplacer chez moi (mon adresse est sur la Halle).

Vous pouvez aussi m'envoyer une missive si vous le préférez mais c'est moins personnel...

J'espère que vous avez apprécié le sermon d'aujourd'hui... Maintenant, que puis-je pour vous ?

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[Signature hors normes retirée par Bottée Féline]
pnj
Schuriken écoutait le Père parler puis a la fin, il sourit légèrement

Mon Père, comme vous l'avez dit je pense aussi qu'il serait plus propice de se rendre chez vous et là je vous exposerai mes questions

Sinon votre sermon était fabuleux et j'ai compris que l'homme est faible devant le péché, mais notre Dieu nous rachète toujours malgré nos transgressions.

Bon je pense qu'il est tant que nous nous rendions chez vous mon Père. Je vous suit !
Zahra.2


Zahra était arrivée de Toul , son voyage l'avait fatigué, elle était mourrante, sa foi l'aida à garder éspoire en la vie... elle ne cessait de pleurer , puis elle qui était souvent forte aux épreuves , elle avait du mal , ses amis et groupes armées étaient entrée à vaudémont depuis longtemps... Arrivait au porte de l'eglise elle entra, et s'agenouilla devant l'autel, priant et méditant... Remerciant de très Haut... ce qui s'était passé elle ne savait pas, aucune idée, c'était un appel de loin ce vendredi 14 novembre 1456 restera à jamais graver en sa mémoire... une tristesse , une peur inconnue, elle revenait silencieuse de Toul, heureuse de retrouver son amour , ses amis... elle regarde son médaillon, elle était revenue à la vie... squeletique surement, mais elle était là.... ses amis s'inquiétaient pour elle , elle en était triste...

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Joce_rr
Les portes ouvertes de l'église laissent sortir une musique religieuse qu'on entend partout au centre du village.

À l'entrée de l'église, le prêtre vous serre la main avant de rejoindre l'autel de façon solennelle.



Mes Amies et Amis,
Commençons la célébration en reconnaissant nos fautes.



Proclamons maintenant ensemble notre Foy.



Lecture du Livre des Vertus.
Livre 1 - 3e Partie L'Éclipse.

Citation:
Chapitre VII: Le Paradis

Les sept anges se tenaient face à moi. Ils arboraient un grand sourire plein de gentillesse que venait souligner leur regard plein de tendresse. Pour la première fois depuis que j’avais laissé mon chien seul dans le champ, je me détendis et m’emplis de la sérénité qu’ils dégageaient. Ils m’aidèrent à me lever et Michel, le plus robuste, me fit monter sur son dos. Je rougis à l’idée de chevaucher un Archange comme un cheval. Mais ils rirent tous, voyant la gêne s’afficher sur mon visage. Ces rires n’étaient pas moqueurs, mais pleins d’amitié.

Alors, sept grandes paires d’ailes magnifiques s’étendirent. Ils s’approchèrent du bord et se laissèrent tomber. Je hurlai de terreur, mais mon cri s’étouffa lorsque les Archanges redressèrent leur vol et s’envolèrent vers la soleil. Je pus voir sous moi l’ensemble de la lune et me promis intérieurement, si l’occasion m’en était donnée, de toujours vivre dans la vertu, suivant les préceptes d’Aristote et de Christos, afin de ne jamais plus retourner dans un endroit aussi sordide. Galadrielle me lança un sourire complice et me dit: “C’est bien. Tu as pris une judicieuse décision. Puissent les autres vivants faire la même.”

Je me demandai comment elle avait pu connaître aussi bien le fond de mes pensées. Mais mon esprit fut bien vite plutôt intéressé par le spectacle qui s’offrait à moi. Nous venions de quitter la lune et nous volions dans l’espace qui la sépare du soleil. Les étoiles s’offraient à mon regard comme autant de spectacles magiques. Je pouvais même discerner de nombreux autres astres dont je ne connaissais pas l’existence, ne pouvant être vus depuis le monde. Mais l’essentiel de ma vision était occupé par ce soleil immense, brûlant, que je n’avais jamais vu d’aussi près. Je me sentais comme une mouche face à une vache: minuscule.

Nous nous approchâmes si près de l’astre divin que des flammes de plusieurs lieues de long nous frôlèrent. Je me demandai si je n’allais pas partager avec les sept Archanges une bien funeste fin. Mais Michel, sur lequel j’étais toujours juché, me dit: “N’aie crainte et regarde.”. Je vis alors les flammes qui couvraient le soleil s’ouvrir, pour laisser place à un magnifique spectacle. Sous cette couche brûlante se trouvait ce dont j’avais entendu parler depuis ma plus tendre enfance, sans jamais savoir ce en quoi cela consistait : le Paradis!

Nous atterrîmes dans un lieu magique. Tout était baigné d’une douce lumière. Où que je regardais, je ne trouvais pas la moindre obscurité. A perte de vue, il n’y avait ni habitation, ni la moindre construction. Ceux qui avaient faim se servaient sur les arbres fruitiers. Ceux qui appréciaient les plaisirs de la détente s’allongeaient dans l’herbe. Des enfants jouaient innocemment, riant et courant à travers les hautes herbes. Les sept Archanges me prévinrent qu’ils devaient me laisser, leur mission étant terminée. Je les remerciai grandement et leur dis au revoir.

Je décidai de visiter ces lieux enchanteurs. Tous ceux que je rencontrais me souhaitèrent la bienvenue en me souriant. Je leur rendais leur sourire et les remerciais. Tout respirait le bonheur, la bonté et la joie. Alors que je m’approchai d’une petite fontaine où l’eau semblait si claire que je ne résistais pas à l’envie de m’y désaltérer, je vis deux hommes discuter. Ils me remarquèrent et me firent signe de venir. J’eus alors en face de moi rien de moins qu’Aristote et Christos. Ils m’accueillirent avec la plus grande gentillesse. Ils me demandèrent si les lieux me plaisaient et si j’avais fait un bon voyage. J’étais si ému que je ne savais pas quoi répondre. Je bafouillai quelque vague parole, alors que j’essayai encore de réaliser qui se trouvait devant moi.


Depuis plusieurs semaines, je vous montre de mon mieux comment être virtueux et mériter le Paradis solaire. Tout commence par le baptême bien sûr. Puis, on vient à la messe pour se faire rappeler quelles sont les vertues et comment les appliquer dans sa vie et vivre en bon fidèle aristotélicien. Puis, on doit reconnaitre ses fautes comme nous l'avons fait en début de célébration et demander pardon aux yeux de Dieu.
Voilà la voie pour rejoindre Dieu à la fin de notre vie et célébrer le bonheur au Paradis pour l'Éternité. Vous voyez, nous avons tous des moments plus difficile à vivre. Même les prêtres Je suis débordé ces temps-ci et j'ai été peu disponible pour mes paroissiens et j'en suis désolé.
En ces moment-là, il est bon de prendre un peu de recul. Méditer et prier. Et se rappeler pour quoi nous vivons. Et pour quoi nous voulons vivre une vie de vertue. Pour bâtir autour de nous un monde meilleur et trouver grâce qux yeux du Tout-Puissant...Et rappelons-nous que dans nos malheurs et dans nos bonheurs, Dieu est à nos côtés. et qu'il nous aime !


Maintenant Amies, Amis, communions ensemble :


Concluons avec cette courte prière:


Bonne semaine à tous, Vivez l'Amitié Aristotélicienne et :


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[Signature hors normes retirée par Bottée Féline]
--Mirabellelafolle


Mira, continuait la visite de la ville sortant du parc , elle se dirigea vers l'eglise... un triste lieu ou les gens venaient se recueillir... Mira était excommunié, traité d'hérétique, une jolie blague... presque la moitié des precheur disant suivre la route du bon Aristote et du bon Christos, était passé par l'hérésie ... la luxure, la gourmandise, la soif de boisson... la folie qui disait... elle signait volontié ses documents par un jolie "Mirabelle la folle, l'hérétique..."... Elle était assez mavaise dans le fond, elle avait séparé une trentaine de couples , que par plaisir, des nobles et des paysans... mariaient à l'eglise, se promettant fidelité jusqu'à la mort... Bien , Mirabelle portait aussi le nom de Mort... oui souvent menacé d'être brulée au bucher, pour purifier son âme...ou par les femmes jalouses et incapables de garder leur homme fidel... Elle riait, au sein de cette demeure dite de dieu... quelle bétises ... elle fixait l'autel... un jour elle avait juré fidelité au sein d'une eglise... ce jour avait signé sa fin en l'union sacré du mariage, et l'union avec le bon dieu... adieu à l'amour , et bonjour les aventures... Mirabelle était une jeune femme tentatrice... elle se demandait si ce village compter de beaux jeunes hommes , ou jolie couple à briser...

Petit seigneur, je me demande bien si tes croyants vaudemontois sont nombreux... quel plaisir aurais-je de les guider vers mon sentier... vers le Sans Nom... ou tonton Satan... je recherche des âmes desespérés dans ce patelin... ou un curé à embété ... vive la lune qui sera ma demeure dans le futur... je serais entouré de quasiment tout mes semblables de ces royaumes... car Tu sais que déja dans ce duché la plupart des personnes te tournent le dos... chose aisé qu'est de les pervertir...il pense qu'a une seul chose, pouvoir et argent... et une autre plaisir...plaisir... je suis là petit seigneur... attrape moi si tu le peux....
--Mirabellelafolle


Mira squatait l'église, elle dormait sur les bancs ou même sur l'autel, depuis qu'elle était là , personne n'avait mis les pieds dans "la demeure de dieu", elle en riait, à ne plus tenir debout. Elle ne savait pas si cette ville avait un curé ou un diacre, mais visiblement le mercredi était passé sans messe, même pas un croyant pour faire une vielle priere. Elle faisait un petit plan, cette ville va être sa capitale des hérétiques, pas un seul croyant, que du bohneur, pas de leçon de moral, ou de dictons et encore moins des menaces " tu vas bruler sales sorcières", elle riait fort, puis elle chanter dans l'église et se saouler seule, elle avait renversé des fûts de bières, et avait consommé tout le vin qui était stocké pour les messes surement, elle s'eclairait avec les cierges....

MMMMMMMMMMM QUEL*hips* BOHNEUR *hips*SEULE DANS TA GRANDE MAISON SEIGNEUR DES HYPOCRITES, OU SONT DONC PASSES TES ESCLAVES TES BOUFFONS moi qui voulait les embété....je metterais dehors les *hips*curés et*hips* ferais de cette demeure une maison de joie, de rire et délire; des aventures, un lieu du vice ! non pas de tristes prieres, ou de fausses unions *hips*sacrés "mariage" qui se termine par une*hips* relation extra-conjugale, mon paradis sera l'enfer la*hips* lune ecrit dans ton Livre adressé aux vrai *hips*fous et aux traitres *hips*qui se maquillent d'une "foi "... en recitant bêtement *hips*des prières dont ils ne connaissent *hips*même*hips* pas le sens *hips*je suis née baptisée, mes *hips*parents avaient un médaillon aristotelicien je ne tiens pas à ce qu'ils se retournent*hips* dans leur tombes , je suis seule ici avec Toi*hips* l'invisible *hips*oula*hips*tout est flou,*hips**hips**hips**hips*
Elle ne termina pas sa dernière phrase, elle tomba ivre morte près de l'autel.
Zahra.2
Celà faisait quelques semaines que Zahra ne s'était pas rendu à la messe, elle n'avait pas fait de "méditations" depuis longtemps à l'église de Vaudémont. Elle entra, il n'y avait personne, pourtant tous les cièrges étaient allumés, elle se dirigea vers l'autel, pensant que le père Joce était caché dans une pièce de l'Eglise. Lorsqu'elle remarqua une jeune femme couché au sol, elle ronflait, des chopes étaient renversées , l'odeur de l'alcool infestait l'église, elle s'approcha de la dame:

Madame,

Vous ferez mieux de vous lever, tenez buvez le contenu de cette fiole made in atelier de Gogosse, idéale pour les lendemains de fêtes!


Elle aida à se relever, la femme était visiblement souffrantes.

Encore heureux que le père Joce ne sois pas là, aller du courage !! debout , avant qu'on vous surprenne ici dans cet état.

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--Mirabellelafolle


Mira dormait profondément, lorsqu'elle entendit une voix, lorsqu'elle ouvrit un oeil, elle trouva une femme qui lui tendait une fiole, elle ne comprenait rien à ce qu'elle lui racontait, elle prit la fiole sans reflechir, et la bu d'un trait. Elle avait un mal de tête inimaginable. Elle remercia, elle était debout, elle soupira:

Wouhhhhhhhhhh, merci à vous! Je crois que j'ai bu un coup de trop, dites vous êtes sûre qu'on est dimanche? où sont passés tous les fidel

Sûre qu'il n'y en a pas par ici.... Je me nomme Mira, je viens de loin mais je sais plus d'où je suis pas croyante du tout, je suis entrée dans cette église car il fait froid dehors, je suis ici depuis 5 jours, vous êtes la première âme que je vois! je pense bien que cette ville est morte bon merci encore je dois me sauver!
--Mirabellelafolle


Tenant dans ses mains plusieurs bouteilles de bières, se dirigeant vers l'eglise , chantant une douce mélodie, elle pousse la porte de l'eglise toujours vide, ce mercredi saint héhé, pas de fidel , pour Mira c'etait jours de fête...

Elle s'était habitué à cette église qu'elle avait décoré avec soins, elle avait acheté des cierges pour s'éclairer , car elle était seule dans cette demeure, et elle avait quelques fois peur; elle espérait ne pas avoir de visite du curé , elle n'avait pas la force d'embéter qui que se soit, elle se déshabilla, et enfila son haillon pour dormir, de quoi allait-elle réver, prince charmant, ou de fraises, ou de mirabelles Elle avait rangé ses bouteilles, ayant assez bu à la taverne de la Halle en compagnie de Coco le videur.
Joce_rr
Suite aux dires de Zahra, le vicaire se dirigea vers l'église, n'ayant pu y passer depuis près de 2 semaines.
Lorsqu'il entra, il constata le désordre et trouva une femme en haillons endormie sur un banc. Elle semblait bien et confortable.
Il remarqua les bouteilles et les ramassa sans faire de bruit et alla les porter à côté de la porte du fond.
Il s'approcha de la dame et la réveilla en la secouant doucement.


Madame, je suis le vicaire de cette paroisse. Je dois vous demander de prendre vos affaire et de sortir, à moins que vous ne souhaitiez vous habiller et rester prier avec moi. Cela me fera plaisir. Notre bedeau devrait venir nous rejoindre sous peu pour tout remettre en ordre, pour la messe de dimanche.

Nous pouvons essayer de vous trouver un refuge si vous n'avez nulle part où aller.

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[Signature hors normes retirée par Bottée Féline]
--Mirabellelafolle


Mira se reveilla encore une fois secouée, cette fois c'était un jeune homme, bien habillé , qui disait être "vicaire", elle rochonna...

Bonjour Messire; enfin le père je crois que c'est comme ça que l'on doit vous appeler!

Bien je n'ai pas de domicile, celà va faire 2 semaines que je couche ici,
vu l'absence de croyants , cette demeure peut être occupée par une voyageuse non?
Vous allez vous plaindre? n'est-ce pas?
bien je reste ici...

elle bougonnait, tout en s'habillant, elle jetta un oeil sur l'homme..

Bé !!! vous détournez le regard ! profitez en, je suis seule avec vous et c'est peut être l'unique fois de votre vie que vous verrez une femme aussi bien faite que moi!
Je me nomme Mira, je suis de loin et ne prenez pas la peine de me faire un cours de pastorale, vue que je crois plus en l'homme que "Dieu" et tout ses esclaves...
euh... où avez vous mis mes bouteilles?

hein????????????

Elle s'était levée du mauvais pied...
Joce_rr
Le prêtre ignora complètement la provocation de la femme apparemment dérangée et la fixa dans les yeux avec un petit sourire.

Vous avez raison ma Fille, je me suis absenté la semaine dernière. Toutefois, vous êtes dans la maison de Dieu et vous ne pouvez rester ainsi pendant que nos frères et soeurs viennent se recueillir et prier pour le salut de nos âmes...

Il lui mit la main sur l'épaule et doucement, d'une voix apaisante:
Priez avec moi ma Fille, vous vous sentirez mieux.





Si vous souhaitez demeurer avec nous, notre bedeau va vous accompagner vers l'arrière où vous pourrez continuer à vous recueillir.

Le prêtre fit un signe au bedeau qui s'approchait depuis l'arrière puis se dirigea vers l'autel pour finir de préparer sa messe.
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[Signature hors normes retirée par Bottée Féline]
Joce_rr
Le prêtre demanada à Menot si tout était en ordre dans l'église. Puis, il se dirigea vers le pavé pour acceuillir les paroissiens.
Les portes ouvertes de l'église laissent sortir une
musique religieuse qu'on entend partout au centre du village.

À l'entrée de l'église, le prêtre vous serre la main avant de rejoindre l'autel en chantonnant tout bas.



Mes Amies et Amis,
Commençons la célébration en reconnaissant nos fautes.




Proclamons maintenant ensemble notre Foy.



Lecture du Livre des Vertus.
Livre 1 - L'univers.

Citation:
Au commencement, il n’y avait que Dieu.
Il n’y avait encore ni matière, ni énergie, ni mouvement. Il n’y avait ême pas le vide, comme celui qui aujourd’hui sépare le monde des étoiles, car même le vide est quelque chose. Non, ce qui Le composait alors, c’était le Néant. Cela ne se définit pas comme l’absence de toute chose car, lorsque l’on dit de quelque chose qu’il est absent, nous avons conscience de la possibilité de son existence. Le Néant, c’est lorsque même l’idée de l’existence est impossible. Sauf pour Dieu.
Mais Dieu est supérieur à tout, y compris au Néant. Il n’a pas de commencement ni de fin. Il est donc l’Infini et l’Eternel. Il est l’Être Parfait, sur qui rien n’a de prise, rien ne peut agir, rien ne peut interférer.
Il Lui suffit d’une simple pensée pour que quelque chose passe du Néant à l’Existence et d’une autre simple pensée pour que cela retourne de l’Existence au Néant. Tout Lui est donc possible et tout Lui doit donc
son existence.
Dieu est la Matière Première à partir de laquelle tout est créé. La matière, l’énergie, le mouvement et le temps sont eux-mêmes composés de Lui. Ceci fait que tout ce qui existe, ainsi que le Néant lui-même, fait partie de Lui. Il est aussi le Créateur de toute chose. C’est Lui qui crée tout ce qui existe et lui donne sa forme et son contenu. Il est enfin le Très Haut, car Il est la cause même de l’existence de toute chose, y compris du Néant.
De ce fait, Dieu sait tout, car le savoir même fait partie de Lui, est créé par Lui et trouve sa cause en Lui. On dit ainsi qu’Il est omniscient. De plus, Il est partout car, aussi loin que l’on aille, on se trouve toujours en Lui. On le qualifie donc d’omniprésent. Enfin, Il peut agir partout car, étant partout et sachant tout, rien ne peut entraver Son action.



Lors de mes cours de pastorale, j'enseigne au futur fidèle qui est Dieu. Cette semaine, j'ai pensé qu'il serait bon de nous le rappeler. Imaginons seulement ce qu'une telle puissance couplée à un amour infini peut donner. Cela Dieu nous l'offre. À condition d'être virtueux et de lui montrer notre amour. Ça vaut la peine d'y penser lorsqu'on se demande si la voie que nous avons choisie en vaut la peine



Maintenant Amies, Amis, communions ensemble :


Concluons avec cette courte prière:


Bonne semaine à tous, Vivez l'Amitié Aristotélicienne et :


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[Signature hors normes retirée par Bottée Féline]
Zahra.2
Zahra s'était levée un peu tard, elle entra à l'église, salua le père Joce et la dame qui était toujours là. Elle alluma un cièrge , et alla prendre place pour écouter la messe. Celà faisait longtemps qu'elle n'y avait pas assisté.
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Herodia
Herodia écoutait la messe.

"Dieu sait tout"...
"Il Lui suffit d’une simple pensée pour que quelque chose passe du Néant à l’Existence."

Les paroles du Père Joce allaient droit au coeur.
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