Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, ..., 73, 74, 75, ..., 102, 103, 104   >   >>

[RP CULTE] Eglise Notre-Dame de Sion

--Mirabellelafolle


Mira était derriere un pilier. Elle avait vu le vicaire pénétré au sein de sa demeure. Elle tremblait , regardant la distance qui la séparait de la fenêtre. Elle entendit le discours du "Père", elle resta caché, le vicaire doutait de son état d'esprit, elle était fatiguée, elle admétait haut et fort être hérétique mais face à cette bande de fou armé, elle n'avait qu'un envie c'est de sortir de cette situation sans blessure, qu'elle homme voudrait d'une fille bléssée.

Elle ne bougeait plus, attendant que tout le monde quitte ce lieux, ou elle se sentait en paix. Elle se préparait psychologiquement et physiquement à courir vite... sans se retourné, on lui avait brulé ses belles robes , sa maison , elle ne voulait plus rien perdre
[/code]
Frederic*guillaume
Devant les portes de l'église, le jeune aspirant lieutenant vit le père Joce venir à leur rencontre. Il avait l'air soulagé de les voir.
Il les salua et leur expliqua que la femme était toujours à l'intérieur de l'église ne semblant pas posséder toute sa tête.

Mon père, nous allons tenter de la raisonner ou du moins lui expliquer qu'elle ne peut pas rester dans l'église.

Le père finit par ses mots : Si je peux vous être de quelqu'utilité que ce soit, je suis à votre disposition.

Considérant notre première rencontre en la chapelle Saint-Abysmo, je considère que vous m'en devez une.


Frédéric baissa les yeux, géné, se rappelant de son attitude vis à vis de lui dans la chapelle Saint Abysmo.
Vous.... vous pouvez mon père.... Je suis confus.
Je viendrais vous voir à la citadelle et nous tacherons de repartir sur d'autres bases.


Ne voulant pas s'apesantir sur la situation de gêne qu'il avait occasionné de lui même quelques jours plutôt en faisant une plaisanterie douteuse au dépend du curé, l'aspirant lieutenant se tourna vers les gardes.
Nous entrons ! Restez sur le qui-vive mais pas de violence inutile.
Je vais tacher de parler avec elle.


Ils entrèrent dans l'église. Elle était déserte.
Frédéric laissa ses yeux s'habituer à la pénombre scrutant les lieux à la recherche de la femme.
Il demanda à Arghun de rester à la porte.

Ne laissez entrer personne !

Ambre était entrée avec eux. Elle s'était agenouillée et mise en prière.
Fedy n'avait pas très bien compris. Le Très Haut pourrait surement leur venir en aide mais le dicton ne disait il pas : Aide toi, le ciel t'aidera.

Il demanda à Elou de le suivre ainsi qu'au père Joce. Un mouvement derrière un pilier avait attiré son regard.
Se dirigeant vers la personne qui semblait se cacher, il vit que l'élève garde Ambre ressortait de l'église.


Dame....? Montrez vous ! Nous ne vous voulons pas de mal.
Je m'appelle Frédéric-Guillaume Von Frayner et je suis aspirant lieutenant de la garde épiscopale. Je suis le garant de la tranquilité de ses lieux.
Si vous pouviez vous montrer que nous discutions ensemble. Vous avez surement vos raisons pour vous être introduite ici et j'aimerais qu'on en parle.


Frédéric repensait, à cet instant, au cours qu'il suivait actuellement à la citadelle sur l'apôtre Khyrène, fondatrice de la première garde épiscopale.
Il allait justement pouvoir mettre en pratique ses enseignements.

_________________
Frédéric-Guillaume* von Frayner d'Azayes
Baron de Dounoux et d'Ancerville

(IG : frederic*guillaume)
Bannière en cours de réfection
--Mirabellelafolle


Mira avait bien compris, cette garde était venu pour elle, elle tremblait de peur. Elle ne croyait pas du tout en ce dieu, et encore moins en ces hommes armés, elle disait haut fort être hérétique, mais aujourd'hui c'était diférent, elle était trop proche de ce qui la menace depuis fort longtemps.... ce jugement. Elle regardait le vicaire et le soldat.

L'homme avait remarqué sa cachette, elle devait être courageuse, elle était loin de toute sortie, les fenêtres , l'église était entourée de gardes.

L'aspirant lieutenant se dirigeait vers elle, il se présenta...


Citation:
Dame....? Montrez vous ! Nous ne vous voulons pas de mal.
Je m'appelle Frédéric-Guillaume Von Frayner et je suis aspirant lieutenant de la garde épiscopale. Je suis le garant de la tranquilité de ses lieux.
Si vous pouviez vous montrer que nous discutions ensemble. Vous avez surement vos raisons pour vous être introduite ici et j'aimerais qu'on en parle.



Elle sort de sa cachette, elle n'a pas trop le choix.

Enchantée... vous êtes le garant de la tranquilité de ce lieux, je suis... Mirabelle ... la folle, je suis en quelque sorte, une voyageuse, cette Eglise est peu fréquentée, personne ne la garde habituellement...

Cela, va faire plus de deux semaines que je suis ici, c'est la première fois que je vois autant de monde, je me suis habituée à être seule Messire, c'est pour celà que je suis restée derrière mon pilier... ce monde est remplie de "fous", je n'ai confiance en personne.

Aussi, à la vue de votre armée, j'ai pris peur. La garde Episcopale, c'est la garde pour les fous

Elle salua le vicaire, qu'elle connaissait de vue. Elle essayait de cacher sa peur avec beaucoup de mal.

Elle se pencha vers lui, et lui murmure:

Messire le vicaire, cette armée... elle me veut du mal?

je n'ai rien fait, à part dormir ici, je n'ai pas de sous pour louer une chambre, je me sens plus en securité dans votre eglise que dans un bordel . Je ne crois pas en Dieu, mais je crois en la mechanceté de l'homme, vous me blâmez parceque je suis une "hérétique"?
je pourrais vous dire que je suis croyante mais ça ne serait pas sincère


Elle se retourne vers l'aspirant de la garde.

Je vous demande pardon, mais je suis ici parcequ'il fait pas beau dehors j'attend le beau temps et je me sauve de cette ville, promis



Elle espérait que la dame blonde ne revienne pas, si elle témoignait avec le dit "père", elle allait se retrouver dans une galère
























pnj


Je me précipitais a l'église, très inquiété pour cette jeune personne
mon sac avec des provisions pour elle en attendent qu"elle aille mieux
je vis le père Joce_rr et lui dit pour me rassurer quelle était malheureuse
et un peu perdu que sa maison avait était bruler elle avait faillie mourir dedans ce pour quoi elle était perturber la pauvre malheureuse, voyez

-Mon père je lui est apporter quel que victuailles, 2 bouteilles de lait, 2 épis de mais, 2 morceaux viande, et quel que fruits de cette saison tout frais cueilli ce matin et quels que miches de pains, pour quelle se remette sur pieds, je peu vous le confier mon père.
J'entends dit, L'aspirant lieutenant lui dire avec une voie rassurante,

Dame....? Montrez vous ! Nous ne vous voulons pas de mal.
Je m'appelle Frédéric-Guillaume Von Frayner et je suis aspirant lieutenant de la garde épiscopale. Je suis le garant de la tranquillité de ses lieux.
Si vous pouviez vous montrer que nous discutions ensemble. Vous avez surement vos raisons pour vous être introduite ici et j'aimerais qu'on en parle.

Elle sortie de sa cachette, elle n'avait pas trop le choix.
Elle se retourne vers l'aspirant de la garde et lui dit d'une petite voie.

-Je vous demande pardon, mais je suis ici par ce qu'il fait pas beau dehors
j'attends le beau temps et je me sauve de cette ville, promis Rolling Eyes

je l'a vis partir entourer de six gardes elle l'est suivait, sans résistance, suivi du Père Joce_rr
Joce_rr
Le vicaire avait pitié.
Mais il n'avait rien oublié.


Dame, vous seriez venu me voir chez moi pour humblement demander asile comme vous semblez maintenant le faire, que je n'aurais pu vous laisser dehors. Eussiez-vous demander une croûte que vous auriez reçu un repas.

Vous avez profité de mon absence un dimanche pour décréter que l'église était inoccuppée et en faire votre tanière d'hérétique pour boire et vous y pavaner à demi nue.

J'ai eu pitié, et je vous ai offert support pour votre corps et votre âme. Vous avez tout rejeté de votre plein gré. Vous êtes même restée è l'église pour perturber la prière des fidèles lors de la messe de ce dimanche. Vous ne m'avez pas laissé le choix.

Que vous soyez non-croyante, je peux comprendre. Que vous vous proclamiez hérétique à l'intérieur de ces murs, je ne peux l'accepter. L'hérétique, dame, est celui ou celle qui prêche les vertues contraire à celles de la foy aristotélicienne qui est la foy du Royaumes. C'est celui qui vit pour le Sans Nom et l'hérétique n'a pas sa place en ce lieu.

C'est pourquoi le Lieutenant et sa garde sont ici. Pour redonner à ce temple sa vocation. Pour redonner aux paroissiens, un lieu sacré où se recueillir et prier le Tout-Puissant.

Malgré vos gestes et vos dires, hérétique, je ne souhaite pas que mal vous soit fait. Mais vous ne pouvez rester ici à profaner ces lieux et faire la tâche du Sans Nom à tenter de pervertir les bonnes gens de ma paroisse.
S'il n'en tient qu'à moi, vous partirez d'ici pour ne plus jamais revenir mais, pour l'avoir appeler, je laisse le lieutenant prendre la décision finale en ce qui vous concerne. En autant que ces lieux retrouvent la paix qu'ils méritent, je me verrai satisfait.

Pour le salut de votre âme, peut-être le bûcher est-il la seule solution ?

Lieutenant.


Il fit un discret clin oeil complice au lieutenant Frédéric, espérant et se doutant qu'on n'en arriverait pas là...
_________________
[Signature hors normes retirée par Bottée Féline]
--Mirabellelafolle


Mira écoute la dame Blonde et le vicaire. Elle choisit le silence, elle qui est habituellement bavarde. Elle regarde le lieutenant dans les yeux. Puis rien à dire. Elle pensait que ce groupe de fous était près à juger et brûler une personne au nom d'une Chose et d'une "Foy" qu'elle ne comprenait pas, elle avait expliqué la raison de sa présence, ce n'était pas pour les provoquer, mais elle voulait simplement se reposer, être au chaud cet hivers, embéter quelques personnes , mais bon depuis son arrivée, elle n'avait croisé personne dans ce maudit village.


Mon "père", excusez moi, ce jour là, j'étais ivre, puis je dors souvent en petite tenue, je n'ai aucune envie de froisser mes vêtements, vous savez combien une tenue correcte coûte? Puis vous êtes rentré, je dormais, vous ne m'avez pas laissé le temps de me revétir, j'ai pensé que vous étiez interessé par ma chair

Mon "père" vous avez appelé une armée entière pour juste une personne qui cherche à dormir et boire tranquilement au chaud. Ce dimanche, je me suis assise au fond de cette salle, afin de vous laissé prêcher , j'ai eu quelques fourires, mais silencieux, je vous assure, et Dame blonde ne cessait de me fixer, donc je lui ai parlé sagement, mais je ne pousse pas vos fidels à quitter cette demeure.


Celà faisait des jours qu'elle n'avait pas parlé, elle se sentait mal, elle avait eu le temps de mettre ses bottes, elle sentait que ce coup ci, elle allait devoir être plus rapide que la fois dernière, courir sans se retourner, et mettre une croix sur l'eglise de Vaudémont... puis sur sa jolie robe qu'elle n'avait pas eu le temps d'enfiler, sans oublié son casque et ses armes sous l'autel. Elle se prosterne devant le vicaire et le lieutenant et dit d'une voix claire:
Je quitte ce lieu, je ne veux en aucun cas brûler, je vais prendre du temps , et me "repentir" pour le fait d'être rentrée dans votre Eglise, laissez moi juste le temps de prendre mes bouteilles, et mes vêtements , et quelques armes pour chasser le gibier.
Elle se dirige vers l'autel, sous l'oeil vigilant de l'assemblée et prend ses effets personnels. Par politesse elle resta face au lieutenant qui paraissait novice en la matière, peut-être allait-il être clément avec elle.
euh... vous pouvez me raccompagner jusqu'à la sortie de la ville si vous voulez, puis je vois que vous avez des chevaux... vous me parlerez de votre foy, peut être en vous écoutant je serais plus convaincu que ...Il existe...

Elle tremblait de peur.

MAIS PAS LE BUCHER S'IL VOUS PLAIT... j'ai peur du feu, le feu a tout emporté, tout même ma tête et le bon Dieu n'a rien fait pour moi...
Elou
Ils étaient enfin arrivés à Vaudémont après quelques jours de voyage. Ville où ils s'arrêtèrent, pour nourrir leur cheval, mais aussi se remplir le ventre pour certains. Mais à peine étaient là, qu'apparament, il avait déjà du travail. Après tout, c'était la raison de leur venue. Elle cru comprendre en écoutant les paroles du Père Joce_rr qu'une femme semblait vouloir rester cloitrer dans le lieu saint. Pourquoi... Il ne le savait pas, pas plus qu'eux. Elou suivit, comme demandé, le Lieutenant Frédéric. Ils rentrèrent alors dans l'église, devant toutefois resté vigilant même si il s'agissait de la demeure du Seigneur. Elou se signa puis posa sa main sur le pommeau de son épée. Elle ne comptait pas s'en servir. Pas ici. Mais par habitude et pour éviter qu'elle ne la gene dans sa marche. L'élève- garde Arghun surveillait l'entrée, tandis qu'Ambre priait. Peut-être qu'un signe de croix ne lui suffisait pas. En tout cas, cela ne regardait pas Elou, chacun faisait ce qu'il voulait... En tout cas, si ils n'avaient pas d'ordre.
Soudain, Frédéric s'adressa vers un pillier. Elou aperçut alors une jeune femme. Elle n'avait pas l'air bien méchante, au contraire. Elle semblait même perdue. La demoiselle demanda alors si la Garde Episcopale était la garde pour les fous. Quand on y pense, c'est un peu ça... Puis elle chuchota quelque chose au Père Joce_rr. Elle écouta alors les échanges qui se faisait. Le Lieutenant faisait de même, se devant de trouver une solution à la fin de cette discussion.
En ce qui concernait l'armée... L'entièreté de l'armée... C'était un peu fort. Il n'était pas si peu, mais bon... Elle ne pouvait savoir. Elle écouta alors les xcuses de la jeune femme face aux paroles du Père Joce_rr. Et sa dernière phrase résonna un peu dans l'église. Elou comprit par ceci qu'elle avait la foy avant, mais par un accident, elle l'eut perdu. La jeune Elève-Garde se dit alors qu'il ne fallait pas tout mélanger. Le Seigneur nous protège, certes, Il nous surveille. Toutefois, il arrive qu'il y ait des accidents du aux hommes eux-même. En clair, Dieu nous protgère, nous surveille, nous guide par ses paroles. Mais Il ne sait certainement pas nous sortir du pétrin sans que nous ne bougeons pour le faire. Entrement dit, il ne faut pas confondre les actes du Tout-Puissant et ceux des êtres humains.
A présent, la décision revenait au Lieutenant. Elou détacha son regard de la conversation, pour regarder Ambre, ainsi qu'Arghun. Puis, elle observa l'église. Elle était rarement venue dans celle de Vaudémont, autant en profiter tant que la situation n'était pas "critique".

_________________
--Mirabellelafolle


Mira s'était habillée, elle avait pris sa cape, mis son masque, mis sa ceinture, son épée dans son étuis, elle s'était un peu calmée, elle ne tremblait plus, elle attendait sagement la réaction de ce groupe armée. Elle avait hâte d'être loin de cette ambiance menaçante, une jeune femme était au côté du lieutenant, elle avait la main sur son épée. Mais Mira, avait l'impression, que ces personnes avaient compris qu'elle n'était pas une menace. Elle resta silencieuse, incapable de faire le moindre pas face au regard de ses interlocuteurs.
Frederic*guillaume
La femme semblait raisonnable. Elle expliqua sa situation.
Le père Joce lui répondit à son tour mettant l'accent sur des points indélicats de sa part qu'elle avait omis d'avouer.

Il fut surpris par les derniers mots du curé à l'intention de la femme.

Pour le salut de votre âme, peut-être le bûcher est-il la seule solution ?
Lieutenant.


Mais il vit son clin d'oeil complice dans sa direction. L'homme méritait à être connu.
La femme quand à elle n'apprécia du tout et se mit à trembler de peur.
Frédéric la prit en pitié.

Et bien Mirabelle, vous semblez raisonnable. Ces lieux n'aspirent qu'à la quiétude pour recevoir les fidèles qui pourront méditer et prier en paix et sereinement.
N'ayez crainte.... Pas de bucher !
Je ne vous demande pas de partir de la ville. Peux être qu'un lieu plus adéquat pourrait vous servir d'asile......


Le jeune aspirant lieutenant regarda le curé. Lui était bien placé pour savoir si un hospice ou un asile existait ici et pourrait la recevoir.
Nous allons vous aider à prendre vos affaires et à sortir de ce lieu.

L'élève garde Ambre entra de nouveau dans l'église et confia au père Joce des vivres pour la jeune femme.
Décidément, elle n'arrêtait pas de surprendre Frédéric. Il lui sourit, content de cette initiative.
En tant que garde épiscopale, on se devait de faire respecter les lieux de culte mais on était aristotélicien et on devait par ses gestes, ses actes et ses paroles montrer cette amitié aristotélicienne et inciter par là même chaque homme à rejoindre la Grande Famille d'Aristote.


Quelques ordres donnés et les gardes prirent les effets de la femme. Frédéric vit des regards de la jeune femme vers l'autel.
Il s'avança et soulevant la nappe, il y découvrit un casque et des armes.
Il les sortit de leur cachette en fronçant les sourcils et s'avança vers la femme et le prêtre.


Femme, tant que vous serez dans cette ville, vous n'aurez pas besoin de cet armement. Je vais donc le confier donc au père Joce.
Le jour ou vous déciderez de poursuivre votre route, vous irez les chercher chez lui.


Le père Joce devant, Frédéric le suivant munis des armes, la femme entourée des élèves gardes Elou et Ambre et Arghun fermant la marche, ils sortirent enfin de l'église.
_________________
Frédéric-Guillaume* von Frayner d'Azayes
Baron de Dounoux et d'Ancerville

(IG : frederic*guillaume)
Bannière en cours de réfection
--Mirabellelafolle


Mira suivait le groupe armé, elle était soulagée, de ne pas finir bruler, elle jette un regard au vicaire et à la dame blonde.
Merci de votre "hospitalité" Monsieur le vicaire, et merci à vous Ste Ni Touche pour cette nourriture que Votre Dieu vous bénisse...
Elle baisse la tête, et pense à sa prochaine destination. Regardant de temps à autres ses armes, se disant qu'elle n'en aurait certainement pas besoin.Elle fixait, le lieutenant, et se disait quelle gachit, un homme si charmant serviteur d'une cause perdu...




dernier regard sur sa demeure
Joce_rr
Je crains Lieutenant que si quelqu'un avait voulu héberger la dame, il ou elle se serait déjà manifesté(e).

Malgré que je me considère de bonne nature, je sens toujours le sarcasme dans son propos et bien que je ne sois pas doté du jugement divin, je doute de la sincérité de son repentir. Je ne peux lui accorder ma confiance et ne l'hébergerai pas moi-même. Si elle est sincère, qu'elle cherche Dieu et regrette ses gestes, le Tout-Puissant aura pitié d'elle et il saura mettre sur son chemin, le clerc qui la baptisera et sauvera son âme.

Je suis émerveillé (et c'est le juste mot) de constater la générosité de l'Élève-Garde Ambre. En les circonstances, elle montre plus de valeur que je ne peux le faire. Puisse son bon geste trouver place dans le coeur de la dame et lui faire voir la lumière...

Si personne ne se manifeste, je suggère que la dame soit reconduite à l'entrée du village... et Dieu ait pitié d'elle.

_________________
[Signature hors normes retirée par Bottée Féline]
Elou
Elou se mit sur le départ, se déplacant aux côtés de la jeune femme. Elle ne put s'empêcher de la regarder une dernière fois, lui adressant un léger sourire. Ses armes furent données au Père Joce_rr, mais qui semblait manifestement ne savoir qu'en faire. Ils arrêtèrent tous car ce dernier ne pensait pas l'idée du Lieutenant réalisable. Elle écouta ses paroles, ne trouvant pas cela fort juste... Mais avait-elle le droit de porter la parole ? Droit ou pas, elle devait dire ce qu'elle pensait. Elle s'avanca de quelques pas vers les deux hommes.

- Veuillez m'excuser... Mon Père n'y a-t-il aucune auberge dans votre village ? Je doute fort, que si il y en a, qu'elles soient toutes complètes. Aussi, dans ce cas, nous pourrions faire un geste en lui donnant quelques écus afin qu'elle puisse loger quelque part pendant quelques jours. Après, ce sera à elle à se prendre en main. Si elle veut partir ou rester, ce sera son choix. Toutefois, je pense qu'elle sait que si elle décide de rester, qu'elle doit se soumettre aux lois qui régissent votre village...

Elle regarda la demoiselle, puis à nouveau son Lieutenant et le Père Joce_rr.

...et d'après ce que j'ai vu, cette jeune femme ne semble pas vide de volonté.

Elle se tut alors, attendant une réponse, se demandant si son idée était bonne ou mauvaise, si cela pouvait les aidés à trouver une réponse au problème. Elle voulait dire autre chose concernant les paroles du Père Joce_rr, mais là, elle se retient. Il devait sans doute savoir que le Très-Haut nous juge selon nos actes. Or si cette jeune femme décide de ne pas suivre se chemin, c'est son choix. Il faut juste qu'elle ne nuit pas aux hommes et femmes qui l'ont emprunté.
_________________
Joce_rr
La volonté de cette femme, Élève-Garde, a été de faire le mal pendant les deux semaines précédant votre arrivée. J'ai donc de bonnes raisons de douter d'elle aujourd'hui, mais cela est mon problème. Ce qui ne l'est plus toutefois, est son destin à partir de votre intervention.
Si j'avais voulu intervenir plus directement, je n'aurais pas fait appel à la Garde.

Pour ses armes, je peux les cacher jusqu'à ce qu'elle souhaite nous quitter.

Si le Lieutenant choisit de la laisser errer à sa guise à Vaudémont, je ferai mon devoir de la supporter dans le cas où elle montrerait de l'intérêt à se repentir. Dans le cas contraire, je n'aurai d'autre choix que de vous rappeler pour intervenir de nouveau.

...

_________________
[Signature hors normes retirée par Bottée Féline]
--Mirabellelafolle


Mira regardait la jeune fille armée , qui accompagnait le lieutenant. Elle lui inspiré confiance, son visage était serein, elle était rassurée par sa présence. Elle lui adressa un sourire et lui murmura:
Je quitterais ce village, même sous la neige, les gens y sont inhospitaliés, croyant ou pas croyant d'ailleurs. Quand je vois le visage de leur vicaire, j'ai la chaire de poule, penser au bucher me fait trembler, merci pour vos écus Dame, j'en suis reconnaissante, et votre Dieu l'est plus que moi sûrement. Je n'embêterais plus personnes dans ce village, et ne m'approcherais plus de vos lieux saint, qui m'apportent pourtant une certaine tranquilité.

merci à vous

.


Elle suivait l'armée jusqu'à la sortie de laville, le vicaire les suivaient. Elle se retourna vers lui, lui demanda ses armes. Se prosterna vers le lieutenant et le vicaire pour les remercier. Se releva, leur routes s'étaient séparées. Elle ne savait pas quelle était sa future destination, mais elle allait mettre de côté les provocations dans les lieux appartenant à l'Autre et à ses adorateurs pour un petit moment.
Joce_rr
Le vicaire remis ses armes à la dame.
Dieu ait pitié de vous et qu'il vous ramène à lui...

Se tournant vers le Lieutenant,
Et merci à vous et à votre Lance, Lieutenant.
_________________
[Signature hors normes retirée par Bottée Féline]
See the RP information <<   <   1, 2, 3, ..., 73, 74, 75, ..., 102, 103, 104   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)