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[RP CULTE] Eglise Notre-Dame de Sion

Gogosse
goosse entra dans l'Église extremement serein. c'Étai sla première fois uq'il venai a l'Église, il prit une place et attendit lily. elle lui avait promis qu'elle viendrai avec lui.
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Zahra.2
Zahra arriva tardivement à l'Eglise le père joce était de retour à Vaudémont, elle l'avait croisé rapidement à Epinal, il avait la bougeotte le vicaire, elle entre salut Gogosse qui était là, puis s'approche de Joce qui était en train de préparer sa messe pour le saluer.

Elle s'assit au premier banc, puis attend le sermon du vicaire; elle devait peut être un jour se confesser , mais attendant d'avoir le courage de le faire, elle était en train de méditer silencieusement comme toujours. Elle apperçoit de loin Rosana, elle était presente aussi la salut, puis se reconcentre pour faire le vide dans sa tête, et ne penser qu'à sa prochaine vie au Soleil sûrement au près d'Aristote et de Christos, peut être qu'elle les ferait rire aussi par ses taquineries ou bien les enervera -t-elle, pour se retrouver dans la Lune à côté du sans Nom et des hérétiques du Royaume.

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Joce_rr
Les portes ouvertes de l'église laissent sortir une musique religieuse qu'on entend partout au centre du village.

Lorsque vous entrez, une douce chaleur règne en Notre-Dame.Le prêtre était de retour ou plutôt de passage dans son patelin.À votre entrée, il a sa soutane et vous attend paisiblement à l'autel.


Mes Amies et Amis,
Je suis content de vous revoir si nombreux en ce dimanche.
Commençons donc la célébration en reconnaissant nos fautes.


Proclamons maintenant ensemble notre Foy.

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[Signature hors normes retirée par Bottée Féline]
Joce_rr
Lecture du Livre des Vertus.

Livre 2 - La Vita d'Aristote - Chap. XI - Le songe.

Citation:
Un matin, Aristote avait une mine préoccupée. Son fidèle Sargas, qui fréquentait le lycée depuis des mois, vint à sa rencontre pour s’enquérir de son sort. Le maître lui fit cette réponse…

Aristote : "Cette nuit, mon cher disciple, j’ai fait un rêve."

Sargas : "Ah oui, maître ? Racontez-moi."

Aristote : "Certes oui. J’ai songé qu’en orient existait une cité merveilleuse."

Sargas : "Quel genre de cité ?"

Aristote : "Une cité idéale, parfaite, où tous vivaient en une fabuleuse harmonie. L’équilibre y était si solide que nul n’aurait pu le rompre, pas même la venue d’un étranger comme je l’étais dans mon imaginaire. J’y ai fait intrusion, y ait importé mes mœurs, que je dirais à présent corrompues, mais j’y ai été accueilli comme un frère."

Sargas : "Quels étaient ses principes, maîtres ?"

Aristote : "Cette cité est organisée selon le principe de trois cercles concentriques, ou trois classes de citoyens si tu préfères.

Je commencerai par te décrire ce qui constitue la plus basse de ces classes, à savoir celle des producteurs, la classe d’airain. Ils constituent la majorité, et vivent paisiblement de la culture de leurs champs et de l’élevage de leurs bêtes. Ils prennent ce qui est nécessaire à leur subsistance, et à celle de leurs familles, dans leur propre production, et donnent le reste aux classes supérieures. Si ces hommes constituent la base de la cité, leur sort est cependant enviable. Ils connaissent les joies de la tranquillité, d’une existence simple au service de la collectivité. Ils s’adonnent à l’activité physique qu’exige un travail régulier, et qui maintient leur corps en condition, meublent leur temps libre par la contemplation des choses de la nature, par l’éducation des enfants que ces gens là placent en très haute considération, et par la prière, adressant leurs louanges à Dieu qui leur a donné les plaisirs dont ils sont bénéficiaires.

La seconde classe de citoyens, la classe d’argent, est celle des gardiens, des soldats. Ceux là sont autorisés à l’oisiveté, et profitent, en temps de paix, d’une subsistance gratuite qui leur est fournie par les producteurs. Ils philosophent, admirent eux aussi les bienfaits de la nature, s’instruisent quel que soit leur age, s’entraînent au maniement des armes. En temps de guerre, ils se font les plus fervents défenseurs de la cité. Leur courage n’a pas d’égal, et ils donneraient leur vie, sans hésitation, pour la conservation de la communauté, ou pour défendre leur foy qu’ils placent en très haute estime. Et au retour des combats, ils sont accueillis comme des héros. On dépose sur leurs têtes des couronnes de lauriers, on les traite comme des princes, et de fabuleux festins sont tenus en leur honneur. Ils sont portés en triomphe par le peuple, et aimés par les femmes.

La troisième classe de citoyens est celle des philosophes rois, la classe d’or. Ceux là sont les plus anciens, recrutés parmi les gardiens qui se sont montrés les plus braves, les plus aptes au commandement, et les plus doués en matière de philosophie. Leur seul bien est la raison, car ils sont délivrés de leurs possessions terrestres. Leur foy en Dieu est leur seule arme. Ils s’illustrent par la pratique des vertus de la manière la plus parfaite. Ils sont un exemple pour tous, et le peuple est heureux de sacrifier un peu de sa propriété pour assurer la survie de ses maîtres. Les philosophes rois constituent le gouvernement de la cité. Ils décident collégialement de ses destinées. Ils sont également les ministres du culte rendu au Tout-Puissant, et là réside leur légitimité. On tient leur pouvoir comme inspiré par le Très-Haut, de part leur condition de prêtres. Ils organisent l’ensemble de la cité, planifient la production, rendent la justice, et légifèrent."

Sargas : "Par ma foi, voilà une formidable cité que vous me décrivez."

Aristote : "Certes, c’est vrai. Et j’ai la conviction intime qu’elle doit exister, quelque part."


Mon sermon cette semaine: Si cette cité n'est pas la nôtre, interrogeons-nous à savoir comment peut-elle le devenir ?
Ça fait réfléchir n'est-ce pas. Qu'importe auquel cercle nous appartenons et nous avons appartenu, avons-nous fait ce qu'il fallait pour nous doter de la cité parfaite ? Je vous laisse y songer...


Comme vous avez pu le constater, des changements ont lieu dans le clergé ces jours-ci.
Nous avons un nouvel évêque du diosèce de Toul. Monseigneur Écaterina est de retour parmi nous.
De mon côté, comme Vicaire diocèsain, j'ai comme mission de me promener dans notre diocèse pour donner la messe et les sacrements et pour m'assurer que le culte est en bonne santé partout en Lorraine (sauf à Verdun )
Si vous avez besoin de moi, ne vous gênez en aucun cas pour m'envoyer missive.

Avant de terminer, je vous annonce ou vous rappelle qu'il y aura mariage de deux Vaudémontois cette semaine. Notre nouveau duc Gwendarion épousera Anios. Je vous invite à venir célébrer avec eux en la Cathédrale de Nancy ce mercredi 25...

Je vous souhaite à tous une bonne semaine.
Gardez la foy et ne vous gênez pas pour venir prier aussi souvent que vous le pourrez.
Poursuivons la cérémonie.




Maintenant Amies, Amis, communions ensemble :


Concluons avec cette courte prière:


Bonne semaine à tous, Vivez l'Amitié Aristotélicienne et :


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[Signature hors normes retirée par Bottée Féline]
Herodia
Arrivée au dernier moment à la messe, Herodia s'assit dans le dernier banc et écouta avec attention Père Joce. Elle revait à cette cité parfaite, si bien décrite dans le livre saint.
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pnj
Lilyrus était entrée dans l'église pendant le sermon, elle avait aperçu Zahra mais celle ci était si concentrée qu'elle ne la vît pas, par contre Gogosse était assis au fond et lui fît signe. Elle se mit à côté de lui et lui murmura

Ca va Gogosse ? tu as su venir ? Pour ma part, j'essaye de décoder un peu tout ça et peut être que je me ferai bâptiser un jour.

Puis elle se tût et écouta les paroles du Père Joce.
A la fin les gens se levaient pour aller communier, elle se demandait si elle pouvait y aller mais elle n'en fit rien.


Puis quand tout fût fini, elle se leva, s'approcha du père et lui dit :

Bonjour et merci Père Joce, ce sermont comme vous l'avez dit fait réfléchir, mais ne pensez vous pas que la cité parfaite n'est qu' une utopie ? pour ma part, je le pense, rien n'est parfait en ce monde mais on peut tous faire des efforts pour s'en approcher à condition que les gens le veuillent bien sûr. Mais comme on dit "tant qu'il y a de la vie, il y a de l'espoir'"

Puis elle lui fit un grand sourire malicieux.
Gogosse
Gogosse n'Avait rien compris. En plus il s'était presque endormi durant le sermont. Il comprenait l'importance de croire en dieu et ses prophète mais ne comprenai pas l'importance de venir ici a la messe. Ne suffisait-il pas de croire. A la fin il ce leva alla remercier le pere joce et atetndit lily a la porte de l'église.
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Zahra.2
Zahra avait entendu attentivement la messe, elle aimait ecouter la lecture du livre saint, car losqu'elle le lisait seule elle avait tendance à le refermer une minute après...

L'eglise s'etait rempli , elle attend la fin du sermon, pour aller remercier le vicaire et luis souhaitait une bonne continuation, puis elle salut Lily , elle avait des question... après tout c'etait dans cette demeure qu'on pouvait tout apprendre sur la foy.

Elle sortit de l'eglise, l'âme en paix....

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Joce_rr
Merci à tous d'être venus aussi nombreux.
Je ne promet plus d'être ici toutes les semaines mais bientôt vous aurez un curé et vous n'aurez plus besoin de mes services

Ma chère Lily, Aristote semblait croire que cette cité existait.
Il en était assez convaincu pour abandonner ses charges de professeur de séminaire et tout quitter pour partir à sa quête... On pourra en reparler bientôt si vous le souhaitez...

Et bien honnêtement, si ne c'était qu'une utopie vers laquelle nous pouvons naviguer en nous appliquant à bien vivre nos valeurs de croyants tous les jours, dans notre ville avec nos concitoyens, ne croyez-vous pas que le jeu en vaut encore la chandelle ?

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[Signature hors normes retirée par Bottée Féline]
Sabifax
Sabifax avait assisté à la messe comme d'habitude.
Les cloches et la musique l'avaient conduits jusqu'au lieu et il avait écouté attentivement le discours du père Joce.

Il attendit la fin de la cérémonie pour aller parler au pére Joce.


Mon père, je crois que nous avons un hérétique au village. Il prône la foie réformée dans les tavernes de la ville. Je ne sais pas ce qu'est cette croyance. Je vis avec Aristote depuis que je suis tout petit. Mais j'ai pensé que mon devoir de baptisé était de vous en parler.
Ai je eu raison mon père ?




Joce_rr
Oui mon fils. Je vais tenter de lui parler.

Il est libre de ses croyances mais il ne peut pas prêcher en Lorraine autre chose que l'aristotélisme qui est l'unique religion reconnue.

Quant à vous, mes paroissiens, si vous conservez votre Foy et ignorez son discours d'hétérodoxe, il ira prêcher dans le désert.

Ceci dit, n'oubliez pas ce qu'est un hérétique.
S'il ne prêche pas des vertus contraires aux nôtres, on peut le traiter d'hétérodoxe mais pas hérétique. Un hérétique est un ennemi de l'Église.

Oui l'hérétique est hétérodoxe mais tous les hétérodoxes ne sont pas hérétique...(J'ai en ce moment cette argumentation en Gargote si cela vous intéresse...dans Politique du diocèse de Toul. J'invite tout le monde à y aller jeter un coup d'oeil !)

Si vous pouvez me donner son identité (par courrier, si vous préférez), je vais tenter de le rencontrer.

Bien à vous.

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[Signature hors normes retirée par Bottée Féline]
Sabifax
Oui, mon père j'ai bien suivi vos explications en Gargotte et je les ai trouvé très intéressante. Elles nous permettent de mieux comprendre la position de la Lorraine par rapport aux autres religions.

Mais le gueux m'a dit qu'il ne reconnaissait que la vraie foie: la réformée.
Mon père, je dois vous prévenir qu'il ne semblait pas du tout ouvert à la discussion.

Bon, je vous laisse à vos affaires. Vous me semblez assez occupé.


Sabifax se sentait soulagé d'avoir parlé au père Joce. Il repartit en direction de se maison en souriant à l'idée que le père Joce irait peut être faire un tour au bal masqué... Ça serait amusant qu'il lui pince les fesses caché derrière son masque.

pnj
Lilyrus avait apperçut Zahra et l'avait saluée, tout en écoutant le père Joce "religieusement"

Oui vous avez raison père Joce, il faut y croire, j'ai entendu dire que la foi déplaçait les montagnes, ça me paraît un peu excessif mais si ça marche pourquoi pas !!!!! En tout cas, je suis désolée que vous ne veniez plus nous faire la messe ! Enfin si c'est votre choix, mais sachez que vos sermons vont me manquer, peut être que nous nous reverrons un jour et pourrons discuter à nouveau de tout cela.

ELle le salua puis rejoignit Gogosse qui l'attendait dehors.

On rentre chez nous Gogosse ?
Joce_rr
Ce n'était pas ma dernière messe à Vaudémont, ne vous en faites pas, vous n'êtes pas débarassés de moi

Pour l'instant, étant un des derniers prêtres en Lorraine, et étant maintenant vicaire diocésain, un grand honneur, je dois me déplacer pour prêcher, ce qui fait que je serai moins présent à Vaudémont mais je n'ai pas encore de déménagement de planifié...mon champs et mon échoppe sont toujours ici.

Et tant qu'il n'y aura pas de curé à Vaudémont, mes supérieurs auront un mal de chien à me faire partir et à vous laisser derrière moi.


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[Signature hors normes retirée par Bottée Féline]
Joce_rr
Le prêtre passa à l'église de Notre-Dame pour s'assurer que tout était propre et en ordre pour le marige de ce soir.

Il relut ses notes pour être confiant , fit une courte prière et partit souper...

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[Signature hors normes retirée par Bottée Féline]
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