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[RP] Expédition punitive, plus de picole! Gniark!

--Zig
Zig, pas Zag hein, Zig. Pourquoi ce nom? Parce qu'il est pas tranquille le garçon, un peu fou comme on dit, barjot, zin zin...C'est bon z'avez compris?Complètement dérangé le petit gars mais surtout saoulard.
Son rêve? Picoler à outrances, se faire exploser la bidoche à coup de vinasse. Et pas du vinaigre hein! D'la vinasse et d'la bonne et c'coup ci il a un plan.Il a regardé les allers et venues, y a des moments où les tavernes elles sont désertes!

Haaaaaaa taverneeeeee...
Le v'là qui bave rien que d'y penser...

Retour au moment X:
Lyon désertée en après midi, tous aux champs, occupés, le village est presque mort. Hop la charrue est mise en place, un abruti lui fait le pêt et hop on charge.Deux caisses, trois caisses, douze, la rugissante est vidée de son breuvage. Hop la voisine.

Sont un rien pourrites leurs chaines de caves tssss savent pas c'que c'est qu'un soulard ça se voit!
Chaine qui rompt rapidement.
Yeurk c'est quoi c'truc orange là. Jauge la bouteille, en ouvre une, renifle.Ca pue c'truc! Lichette pour voir. Allez hop on charge aussi ça se boit! Adieu la carotte rieuse, tu peux pleurer tes caves sont vides.

Toujours personne mais c'est quoi cette capitale déserte? allez la dernière, en plus y a que trois tavernes, jeu d'enfant. Et même rituel, chaine qui pète, caisses qui se font charger.
Tiens l'abruti v'là ta part!Une caisse reposée au sol et la charrette qui démarre à toute allure.
Y a plus d'alcool, z'avez plus d'alcool et moi j'vais m'beurrer! Ca c'est ce qu'il chante en rentrant chez lui, sa cabane près du verger.Personne pensera à lui et qu'est ce qu'il va se baffrer! A Lyon par contre vont peut être pleurer...

Bon voyons si Lyon se réveille quand on la vide d'alcool
Maybee
[Un matin bien avancé, quelque part dans une rue de Lyon en direction du verger]

Norf de norf mais comment ça meule sa maman!! JE HAIS L'HIVEEEEEEEEEERRRRRR!!! pis en plus j'ai oublié mes gants à Moulins, y a pas idée un temps pareil, la neige, ça devrait juste être joli, pas froid!


A force de vivre avec un râleur, ça déteint, à force de vivre avec un cinglé, aussi, alors quand on vit avec un mélange des deux ça donne ça: une folle en train de râler à voix haute, ne faisant pas attention aux regards plus éberlués des gens qui la croisaient.
Après un tour à la mairie pour voir les offres, un soupir prononcé parce qu'il n'y en avait aucune (forcément en se levant à 13h du mat'... mais bon, c'est à cause du froid, l'hiver on hiberne ho! comment ça on n'est pas des ours ou des marmottes?! zavez vu la touffe de poil de mon homme et son caractère?! c'ets pas un ours ça?! ah??? ouais bin ça y ressemble! donc, vu qu'elle s'est le levé à 13h du mat' le temps de se décaniller de l'auberge, il était bien 16h du mat') Maybee avait décidé de se dégourdir un peu les pattes en cherchant ailleurs et c'est au verger que ses pas la guidaient.
"la guidaient", oui, au passé, parce que d'une le temps de la narration est au passé et ensuite parce que le froid venait de réveiller brusquement son cerveau. Son cerveau lui fit donc faire un détour par la taverne la plus proche, histoire de réchauffer un peu son corps, et d'anesthésier ses sens.
Et hop! aussi tot pensé, aussi tot fait, elle se retrouva en moins de deux devant le comptoir d'un tavernier pas très avenant, mais bon, pas grave hein, c'est à boire à boire à boire! c'ets à boire qu'il lui faut! pas besoin d'un bellâtre aimable à souhait pour ça (bah non, ça ralentit la vente des boissons, les dames sont en pâmoison et ne pensent plus à boire tandis que les hommes jaloux ne pensent qu'à lui faire la peau)

Alors m'dame, j'vous sers quoi?!

Bah j'sais pô moi, zavez quoi comme truc qui réchauffe bien à part de l'eau chaude?! un truc qui ramone bien quoi, qui reveille un bon coup!

J'ai du calva en provenance directe de Normandie, du poiré de Bretagne, de la prune de poulet et de la poire berrichonne.


Ah bah j'veux bien un cercueil!

Vous vous êtes trompée de boutique, l'croque mort l'est à coté...


Nan mais un cercueil c'ets un mélange de tout... pffff faut tout leur apprendre!


Bon, les fûts sont en bas.. bougez pas je r'viens!

Ca... elle n'allait pas bouger! et pas de sitôt! (ni de Citeaux, vu qu'elle n'y est pas) Nameho, comme si qu'elle était du genre à se faire la malle avant d'avoir consommer! Elle tenait à l'avoir son cercueil!
Et là... c'est le drame à Mufflins.. euh.. Lyon.... Un cri effroyable sort de la cave de la taverne, un cri strident, un cri cri pas d'amour, un cri hard, un cri d'âme, un cri blanc... bref, Le tavernier hurlait comme un cochon qu'on égorgerait. Craignant plus pour son cercueil que pour la vie du pauvre hère, prenant son courage à deux mains (c'était le nom qu'elle venait de donner à sa chaise) elle dévala les escaliers menant à la cave et failli s'évanouir à la vue de ce spectacle:




Le tavernier était figé, sa cave était lugubre à souhait et n'ayant presque rien mangé de la journée, elle avait la tête qui tournait légèrement après cet effort de marche accélérée.
Il ne lui fallut pas longtemps pour avoir la même expression que celle du propriétaire de la cave... La demoiselle se rendit vide compte que la cave était vide de tout son sens!!! Il ne restait plus un fût!! disparus, envolés!!!


MAIS QU'EST CE QU'ON VA DEVENIR PAR ARISTOTE ???!!!!

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Aliena.
Rentrant chez elle après avoir travaillé à la mine, Aliéna arpentait les rues de Lyon, se dépêchant afin d'avoir le temps de se refaire une beauté, avant d'aller en rejoindre son chéri en taverne.
Soudain, un cri s'échappa d'une taverne. Aliéna n'était pas très courageuse, mais elle se dit qu'elle devait tout de même aller voir ce qui avait provoqué ce cri. Elle entrebâilla la porte de la taverne et vit ... rien. Elle ouvra plus grand, fit un pas à l'intérieur ... toujours rien, ni personne dans cette taverne.
Alors qu'elle était en train de se demander si elle ne devenait pas folle, un hurlement surgit d'en bas:


MAIS QU'EST CE QU'ON VA DEVENIR PAR ARISTOTE ???!!!!


Voyant que ça venait de la cave, elle 'avança doucement vers la trappe et, trouvant un peu de courage, alla voir ce qui se passait.
Arrivée en bas des marches elle vit un homme, visiblement le tavernier, l'air hébété, et Maybee, une chaise à la main. Elle hésita à remonter vit e fait et partir, se remémorant l'accueil que lui avait fait la dame la première fois qu'elle l'avait vu. Mais l'air de détresse qui se lisait sur le visage des deux protagoniste l'en dissuada.


Heu ... qu'est ce qui se passe ?

Elle regarda alors autour d'elle et constat que, à part eux trois, il n'y avait rien dans la cave. Rien du tout ! Pas un seul tonneau ni une seule bouteille !

Oh !
_________________

Et Aliénor devint Aliéna ...
Maximien
Max s'était absenté de sa taverne une ou deux heures, le temps de passer a la mairie pour s'occupe un peu de sa filière...

Il retourna après a sa taverne municipale, la porte était ouverte.... rooo, le chauffage! coute cher les buches de boit quand même ....
Il entra alors et ne vu personne.... encore un presser qui est partit sans fermer la porte...

Il se dirigea alors vers son comptoir, il défait son casque qu'il posa derrière le comptoir ainsi que son écus et sa bastarde

En sortant du comptoir Max senti comme une odeur...
Il regarda a ses pied Et voie une bouteille de beaujolais brisé et tous le vin sur le sol...


AHHHH, Si je l'attrape celui là !

Il regarda l'étiquette et vu que c'était l'une de ses bouteilles, qui était a la cave

Max se releva et fonça a la cave, la porte était fracturer et entre ouverte
Il rentra et laissa échapper un grand cri quand il alluma la lampe a huile
Il ouvra grand les yeux, plus rien !

Il remonta l'escalier d'un pas lourd, attrapa son casque en le posant sur sa tête, accrocha sa bastarde et prit son écus a l'avant bras

Puis il sortit, voir si se brigand était partit ou non

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--Zig
Grand nuage de poussière sous la vitesse de la charette. Et le poivrot aux rênes qui se pense pilote.
J'ai d'la bibine, plein de bibine, j'ai d'la bibine j'ai d'la bibine lalalala.Et v'là le cheval qui fait une embardée, manquant de peu d'écraser une femme. Eh dégage de la morue! pas un regard sur la femme mais en revanche un crachat, qui la manque de peu. ah mierde! Et le zig qui se retourne pendant que la femme l'insulte, lui se met droit sur la charrette et là, son premier bras vient rencontrer le deuxième pour un geste pas très aristotélicien. La prochaine fois j'te raterai pas morue!
Plaisir sur les lèvres le voila enfin chez lui. En forme le bougre quand il s'agit de décharger les caisses. Porte qui se ferme derrière lui. Alors y a quoi de bon, d'la vinasse, d'la poire, du génépi. Mouais pas mal! Pas mal? Le voila qiu bave à nouveau en ouvrant une des bouteille.
Ah qu'ils sont couillons les lyonnais. Et son rire qui résonne dans le verger.
Sweetmoon


Occupée par des écrits, parchemins à outrance, son pigeon volant, avec des allés et retour sans pause, la pauvre bête commencait a fatiguer... Sweet n'avait pas quitter sa chambre de la journée, perdues dans ses pensées sur son avenir... Lorsqu'elle descendit les escaliers du Clair de Lune, elle découvrit la porte grande ouverte, se qui la fit grimacer, en scrutant les lieux prudement, s'armant d'un coutel qui trainait sur le comptoir. D'un pas de chat, elle descendit à la cave sachant ce qui avait put se produire...
Elle était devant son scellier, qui était presque vide... Une partie des grands crus avaient disparus. Un peu plus loin, elle s'approcha de sa mâle et l'ouvrit... Un grand OUF sortit de la bouche de Sweet, sa réserve personnelle ainsi que les bouteilles d'eaux de vie rares, avaient étés épargnées...

Pfff, se dit elle... Un novice celui là... !!! Même pas capable de voler le meilleur... Elle rit en y pensant, et s'affaira à déplacer sa fameuse mâle dans un endroit bien caché de sa grande cave...

Elle remonta toujours coutel en main, et vérifia si d'autres vols avaient été causés... Sweet se dit que le pauvre bougre devait avoir bien soif....

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Nitorn
Soleil tapant et dos cuisant... Rude journée de labeur pour Nitorn, un champ pousse tranquilou mais faut bien l'entretenir ! Blessé à la tête, la peau en feu, les mains pleines de cloches, bref une journée ou l'on se mande si se lever était vraiment la bonne solution...
Tout cela pour dire que le paysan n'était pas en très grande forme quand il rentra dans sa demeure... Ou plutôt devrait on dire sa cabane?!Il ouvre la porte qui grince abominablement, réveillant sous son crâne sa migraine lancinante...Tourne la tête et aperçoit le pain moisi sur la table... Regard dégouté...S'assied sur le tabouret qui craque, faisant basculer son propriétaire cul par dessus tête...Air ahuri, un peu fou sur les bords diront certains...



Sacrévindjudinondidju ! dit il en se relevant et en se massant le postérieur... Bourricot passant sa tête d'âne par la fenêstre se mit à braire joyeusement...Se moquait il de lui? Bien possible on ne sait jamais avec ce bougre d'âne...Mais le pied de tabouret envoyé par le maistre des lieux à son âne fit se taire celui ci...Joyeuse atmosphère dans la hutte...Soupir...

Nitorn n'est pas un grand médecin, il sait guérir un bouton, en l'éclatant, une cloche, en l'éclatant, une plaie béante, en la cautérisant... Vous aurez compris, la finesse ne fait pas partie de ses nombreuses qualités... Dans ce domaine du moins...Mais il y a un remède universel, qui se transmet de père en fils et de fils en père (Y en a qui ont suivi ?), un remède assez efficace contre la morosité affichée... Une sortie en taverne, si possible accompagnée d'un certain nombre de tournées... Le mieux est tout de même quand lesdites tournées sont offertes par d'autres mais bon...

C'est ainsi que Nitorn posa le bout de son orteil sur les pavés de Lyon...Le froid transperça sa peau...
Frisquet ce soir hein Bourricot?dit il à l'âne, qui, semblait il, ne semblait pas se soucier de problèmes aussi terre à terre... Nitorn rentra dont à l'intérieur et ressortit quelques instants plus tard, une casserole sur la tête... Voyant le regard interrogatif de son âne il retourna la casserole...Plus à la mode pensait il...

C'est ainsi qu'il arriva à la taverne de Max... Comme toujours des cris en sortait... Cris de joie? Pas spécialement non...

Mais c'est qu'y égorgent un porc ou qué?dit il en se régalant à l'avance des futures ripailles..

Max ! Une bière et sa 'tite soeur s'teplait bien ! silence... Max!! Ou c'est qu'il est encore passé çui là?

Sacrévindjudinondidju !!! s'écria t il... En effet, la porte menant à la cave était entrouverte... Des effluves de vins remontaient à ses poils de nez, traversant difficilement cette muraille épaisse avant d'arriver à son sens olfactif...Ce tas de chair en plein milieu du visage...Regard ébahi devant cette porte représentant pour lui un paradis (Remarquez les rimes), la langue pendante et salivant déjà à l'avance, Nitorn tourna la tête.... La taverne semblait déserte... Personne ne pourrait le voir descendre...Mais au sous sol des cris de détresse rebondissaient sur la casserole qu'il arborait et le rendait d'humeur assez irritable...

Il arriva plein d'espoir dans la cave... Dans la cave...VIDE!!!!et sortit aussitôt pour voir s'il était possible de s'arranger avec le malandrin ayant fait le coup afin qu'ils partagent le butin..
Bragon
[dans la chambrette, à peine sorti de sous la couette, un homme ...]

Sifflotant, l'âme légère, les orteils dans le baquet trempant et batifolant, un homme, habillé de sa barbe qu'il lissait, laissait ses pensées vagabonder vers les nuits passées, souriant d'une vie qui lui semblait douce. Le plat d'argent bosselé, posé devant lui, reflétait mal un visage buriné, et un regard dur masquait deux yeux plein d'un amour incomparable. Le peigne d'os blanchi tel l'ivoire se perdait dans la blancheur d'un poil maintes fois brossé par les soins de son aimée. Qu'il est dur pour un homme de sortir de la bienveillante torpeur qui suit une nuit agitée de passionnantes discussions muettes.

Par les crocs du borak il est déjà tôt dans la soirée! Je vais devoir prendre un jambon au petit déjeuner!

Empressé, Bragon sauta du baquet, et...
Et il n'avait plus vingt ans... Ses pieds autrefois habiles profitèrent de la mince pellicule qui se trouvait dessous pour fausser compagnie, et se dérober avec élégance. Ce qui eu pour effet sonore et douloureux de causer la rencontre entre un bord de lit et le menton du vieil homme.


PAR LES CROCS DU BORAK! La journée commence bien! Grumpf de Grumpf....Journée de meeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeerdeeuuuuuuu.

Se redressant, Bragon enfila ses habits, sangla "Faucheuse", la hache de guerre à la lame rutilante, et sorti en ville pour trouver un bon vin du Rhône qui pourrait accompagner son jambon du matin de 18h00, un de ses bons vins au corps ténu, qui vous rappelle que même une jeune fille peu avoir du caractère entre les mains d'un homme.

C'est en entrant dans une taverne où il voyait entrer une silhouette connue qu'il vit la salle désertée, et la porte de la cave ouverte, laissant présager d'un grand malheur...
Il descendit alors.

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Appolline


Ballade ballade, la blondinette est de sortie. aujourd'hui le soleil est là, ça change..Et comme une envie d'un bon verre avant une ballade en rive du Rhône.
Comme souvent elle flâne, rêvasse, pense à ses derniers jours, beaucoup de changements hein notamment...
Pas le temps de réfléchir plus qu'une charrette lancée à vive allure l'évite de peu.

Eh dégage de la morue!
Yeux de la jeune Kenndedy qui s'arrondissent, il a dit quoi? Pfiouuu ce coup ci c'est pas une charrette qu'elle évite mais bel et bien un glaviot.
Et là, nous censurons ce passage, ce n'est pas d'elle ce genre de mots... Avalanche de jurons à l'attention du manant tandis qu'il lui promet le prochain coup de ne pas la rater en lui faisant un signe qui fait rentrer la demoiselle en fureur.

Oh l'est temps que Geoffroy m'apprenne à casser des nez je vous le dis moi...
Et là voilà raleuse en direction de la rugissante, ce coup c'est plus un verre qu'elle veut mais deux ou trois, histoire de se calmer.
.

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Nitorn
Sortant de la cave, Nitorn papillonna un peu des yeux, ce qui, combinée à la casserole "visière arrière" qu'il arborait fièrement, lui donnait, il faut le dire, l'air quelque peu niais... Mais soit...
Il vit donc arriver sur le chemin une demoiselle, qu'il reconnut pour être Appolinne, qu'il avait de nombreuses fois croisée en taverne... Mais apparemment le moment n'était pas à la plaisanterie...Le timide bonjour que l'homme tenta de faire passer n'arriva pas à traverser ses lèvres, tant l'air furieux qu'esquissait la dame était impressionnant...Il se contenta donc d'une révérence, laquelle eut pour seul effet de faire basculer son couvre chef sur le sol...


Y tomb'ra pas plus bas ! dit il avec un air de franche résolution..

Quand il se redressa, son ustensile sur la tête, il vit entrer Appolinne dans la taverne... L'on ne vas pas dire "le sourire aux lèbres et le coeur en joie" parce que... Ben parce que c'était pas vrai... On sentait qu'elle mourait d'envie de fracasser quelque chose... Nitorn pria pour les habitués restants en taverne... Ils allaient avoir à faire à forte partie...

Et là bas, dans le lointain, un chariot s'éloignait...
Appolline


Juron au bord des lèvres, yeux grisés par la colère, regard qui se pose sur Nitorn et mouvement de tête pour le saluer, histoire de rester polie, toujours.
Main qui se pose sur l'encadrement de la porte alors qu'elle allait rentrer, mais regard interrogateur qui se repose sur Nitorn.
Agacée elle le reste souvent peu, et là, face à l'homme qu'elle a soigné et qui la fait rire, elle perd ce visage d'agacement, laissant ses yeux retrouver leur bleu azur naturel.
Elle fait demi tour et s'approche de lui.

Ben vous faistes quoi dehors et pis c'est quoi cette tête? C'est vostre blessure, elle vous fait mal?
Elle s'est approché de lui, venant poser sa main sur son bras.
Si vous avez mal j'ai de quoi vous soigner hein.
Et là enfin elle laisse paraitre un sourire en regardant l'homme à la casserole.

_________________
Nitorn
Après s'être péniblement redressé... Fichu dos !... Nitorn suivit des yeux Appolinne chez qui, apparemment, la colère commençait doucement à refluer...Peut être un sourire? Ah ben non pas encore...Faut pas rêver ! La voit hésiter, la main sur la porte, se tourner vers lui, qui tente de prendre un air plus aventurier... C'est à dire, gonfle le torse, ce qui à pour seul effet de faire sauter un bouton... Bref rien ne vas aujourd'hui...

Bien le Bonjour Dame ! Oho, courtois ça, se dit il en souriant A vrai dire, je tente de trouver le maraud qui à osé s'en prendre aux tavernes de notre belle ville ! Mais je crains que dans mes nombreux talents ne figure point celui de détective...

Sur la question de sa tête, Nitorn se frotta pensivement la casserole, censée protéger son crâne, à demi fracturé, du froid... ( Blessure causée à cause d'une sombre histoire de pêche à l'âne mais passons...)

L'homme médecine ( ) m'ayant inspecté à déclaré que aujourd'hui cela devrait être à peu près propre... Mais vous connaissez mon faible pour les soins féminins, ce serait avec un grand plaisir que j'accepterais votre offre Dame !
Maybee
[Eux, dans la taverne vide, dans la cave vide, qui passent la nuit à se rappeler, cet alignement d'fûts qui était si beau et qui les remplissait d'une allégresse infinie...]

Elle était coi, elle en avait oublié sa chaise dans la main, le tavernier ne valait pas mieux, si ça avait été un film on aurait dt que la scène était mise sur "pause" . La stupeur donne parfois un air stupide aux gens et parfois les mouches en profitent, tenez, regardez celle là qui s'introduit dans la bouche du tavernier pensant y trouver un logis bien chaud... ah bin pas d'bol pour elle, il vient de refermer la bouche et d'avaler difficilement sa salive... paix à son âme.
Le tavernier, plus que désolé, voyant que la donzelle ne bougeait plus, tétanisée par le cauchemar éveillé qu'elle faisait (il fallait reconnaitre ce mérite au voleur, il avait réussi à la faire taire, et c'est pas rien!) se dirigeait vers elle pour lui reprendre son courage et s'asseoir dessus. C'est alors qu'une femme entra. Maybee ne la vit même pas, le tavernier si étant donné qu'il avait repris un peu ses esprits, c'est le "OH" de stupeur d'Aliena qui mit fin à celle de May en la faisant sursauter. Sursaut qui d'ailleurs faillit couter un nez au tavernier qui était prêt à saisir la chaise et s'en trouvait donc un peu trop près.


OH MAILLE DE GODET DE MICHE! ALIIIIIIIIII !!!!! MAIS QU'EST CE QU'ON VA DEVENIR?!!!! t'as vu ça!!!! enfin non, justement! y a pu rien à voir! c'est la FIN DU MONDE !!!! c'est donc ça la peau d'Calipse!!!


Ce disant elle se jeta sur la pauvre Ali qui n'avait rien demandé à personne et pleurnicha à tout va sur son épaule, une scène tragique inventée et jouée n'avait rien à envier à cette situation bien réelle.
Et là arrive la scène clef de la tragédie antique, ce qu'en littérature on nomme le "deus ex machina" , Dieu qui prend ici la forme massive d'un Bragon plutôt inquiet. Pour les néophytes sachez que le Dieu en question (celui de la tragédie, pas celui de notre situation) est censé résoudre le problème (c'est pour ça que je précisait, parce qu'à mon avis, à part tenter d'apaiser le désarroi de May, il ne va pas arriver à grand chose, loin de moi de mettre en doute ses capacité, mais faut être un peu réaliste!).


Par les crocs du Borak! Mais qu'est ce qui se passe ici?!!!

Pour ceux qui n'auraient pas suivi, voici ce que Bragon voit à son arrivée:

- Un tavernier à moitié estourbi par la chaise sur laquelle il a fini par s'asseoir
- Maybee en train de pleurer sur l'épaule d'Aliena
- Aliena plus désemparée par la folle que par la situation et qui cherche surement à s'en défaire


Alors forcément, y a quiproquo, le vieux pense que le tavernier est une saoulasse qui a voulu faire du mal à deux pauvres femmes. Le sang ne fait qu'un tour et, remontant ses manches, grognant comme un ours, il se dirige alors vers le tavernier... C'est alors que May reconnu le cri de l'ours qui résonnait dans la cave et se jeta en travers de son chemin pour pleurer sur son torse (oui, elle fait plus d'une tête de moins que lui, pleurer sur son épaule est donc délicat)

BRAGOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOONNNNN BOUHOUHOUHOU!!!!! *tend l'index derrière elle* regardez c'est infâme!!!

Oui,justement,j'le vois cet infâme, laissez moi m'en occuper Petitcoeur!

Quoi?!! vous allez resoudre ce mystère?!

Quel mystère?! y apas de mystère, ce saoulard a voulu abuser de deux jolies femmes comme vous et grâce à Aristote, vous avez su le maitriser, mais vous êtes encore sous le choc, j'm'en vais lui infliger une bonne correction!

Gné?! mékékidi l'monsieur?! Le tavernier n'y est pour rien! Regardez autour de vous!!! Rien ne voius choque?!! LA CAVE EST VIDE PAR ARISTOTE!!! ça veut dire que nous allons tous mourir de dix centries! même moins si ça se trouve! vous vous rendez compte?!! ne boire que de l'eau froide ou chaude!!! mais c'est mauvais pour la santé ça!!!
_________________
Bragon
On a beau être un homme mur, avoir une certaine fierté, un port robuste, quand une si charmante personne se plaque à vous la larme chaude, on ne peut que retrouver son âme câline. Bragon en avait une, enfuie sous sa carcasse et sa musculature de lutteur et forgeron, et la charmante créature qui enfouissait son regard ensanglotté (copyright) contre lui avait le pouvoir de faire ressortir cette faiblesse qui faisait de lui un homme si ordinaire.

Allons Petitcoeur, il aurait fallu deux régiments de soulard pour boire l'eau bénite ce temple. Soit nous trouvons ses régiments, soit il s'agit d'un vol...
Qui icelieu peut nous apporter quelques renseignements?
Qui aurait intérêt à pareille subtilité?
Qui ici peut voir pareil mouvement?
Qui a de quoi transporter tout cela?
Qui vous porte si tendrement en son cœur?
Qui c'est qui va me faire un gros bisou?


Bragon enlaçait Maybee de ses longs bras, et s'approchait doucement de la charmante silhouette qu'il avait suivie.


Vous n'auriez pas d'idées vous à ces sujets? Alie...na?

_________________
Aliena.
Maybee se retourna, manquant d'assommer le tavernier avec sa chaise et se précipita sur Aliéna. Cette dernière recula d'un pas, puis deux, pensant que la folle voulait encore l'embrasser, puis se retrouva bloquée, le dos contre le mur froid et humide de la cave. Elle serra alors les lèvres, prête à ne laisser entrer aucune langue de quelque sorte dans sa bouche, et fut donc surprise, quand elle constata que la folle n'en voulait pas à sa bouche cette fois ci, mais à son épaule. En effet, cette dernière se retrouva rapidement trempée de larmes.
Émue par la détresse de la jeune femme, elle tenta de la réconforter un peu, en lui caressant le dos.


Allons, allons, calmez vous ...

Par les crocs du Borak! Mais qu'est ce qui se passe ici?!!!

Nouveau sursaut d'Aliéna, alors que la folle se précipite dans les bras du barbu.
Et là s'en suit une scène, où Aliéna reste bouche bée, se demandant lequel des deux est le plus fou
Heureusement que l'unique mouche qui se trouvait à la cave avait déjà trouvé un refuge ...


Vous n'auriez pas d'idées vous à ces sujets? Alie...na?

Heu ...
Moi je suggère que nous allions dans une autre taverne ... La taverne municipal par exemple. Max y a du très bon vin !
Ça vous convient ?


Ni une, ni deux, les voilà tous les trois remontant les marches, puis sortant à l'air libre.
Quelque pâtés de maison plus loin, c'est une Aliéna, sale d'avoir travaillé à la mine, l'épaule gauche trempé de larmes, suivie par deux voyageurs, qui entre dans la taverne municipale de Lyon.


Max ? Maaxxx !!!
Tu es là ? Tu nous sers à boire s'il te plait ?



[J'ai supposé qu'on était dans la taverne de la carotte, puisque que Max a déjà posté pour la taverne municipale, et Sweet pour le clair de lune ]

_________________

Et Aliénor devint Aliéna ...
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