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[Rp] Réception de l’ambassadrice et des frérots rochers

L0velune
Comme pas mal de monde, Marylune avait reçu l'invitation. Disposant du carrosse de Gaelant, elle s'y rendit seule après avoir attendu son homme un peu trop longtemps à son goût. Plusieurs suppositions lui étaient venues à l'esprit concernant son absence: Son travail de maire, ses engueulades au Conseil et le calva. Bien sûr, la troisième était la plus probable.

Le hic, c'était que son fiancé avait oublié sa carte d'nvitation à la maison. Ce qu'il pouvait avoir la tête en l'air celui-là! Ne pouvait-il pas se montrer responsable un peu? Enfin bref... La rouquine avait laissé sa Charlotte au soin d'Anette, la nounou, le temps d'une soirée. Pas question de trainer sa bestiole pleurnichante à une réception...

Arrivée à destination, Marylune se demanda si l'endroit était le bon. À l'entrée, elle reconnue une masse maintenue au sol par la force. Elle n'entendit rien, mais devinait que ça n'allait pas très bien. Au départ, un sentiment d'inquiétude s'empara d'elle. Mais pourquoi devait-on le maintenir au sol? Dans quelle histoire s'était-il embarqué? Il avait peut-être voulu tuer le garde - ah non, aucune épée sur lui - ou alors il avait fait une bêtise monumentale. Elle soupira, marchant dans sa direction avec un sourire en coin. Il méritait sûrement ce traitement. Tant pis!

Sans aucun regard pour son fiancé, elle tendit son carton d'invitation au garde - qui était fortement occupé avec son ours plaqué au sol.


Marylune De la Mirandole.

Était-ce une bonne idée que de donner son nom de famille à l'entrée? Paraitrait que certaines personnes détestaient Flex, le fils bâtard de son cousin Vaxilart. Était-ce une chance que de partager son indifférence pour ce snobinard de Flex? En fait, elle avait un truc sur le coeur depuis que son amie Vulya lui avait dit que Flex disait qu'elle était la honte de la famille. Et pourquoi? Parce qu'elle n'était pas assez snob? Ajoutons le fait qu'ils se connaissaient à peine. La prochaine réunion de famille allait barder!

Elle allait ajouter qu'on ne choisit pas sa famille quand elle se rappela la présence de son chien qui se débattait au sol. Elle n'allait sûrement pas dire ce genre de choses devant Gaelant. Elle avait un orgueil tout de même. Et mis à part cet abruti de Flex, les Mirandole avaient de la classe. Surtout qu'une nouvelle était parvenue à ses oreilles... Vaxilart allait épouser la fille de la princesse Armoria. Elle n'osait pas croire à une telle chose et grimaçait à l'idée. Vaxilart avait... 38 ans.

Marylune fit quelques pas pour entrer dans la salle quand le remord ou la pitié, elle ne savait pas en fait, l'envahit, tourmentée par les cris de Gaelant. Elle soupira et fit demi tour, lui jetant son carton d'invitation, se demandant ensuite s'il allait pouvoir le rammasser, saoul comme il était.


Tu pues le calva mon chéri.

À la façon des Mirandole, elle l'ignora complètement et pénétra dans la salle. Nul doute que sa bête apprivoisée allait la rejoindre à quatre pattes avec un air suppliant. Cette idée lui plut, en vérité.

Son regard se posa alors sur... une drôle de silhouette mal vêtue et drôlement... enfin... c'est que... Lynette???

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Zender
Pour Zender plus la soirée avançait et plus il n’y comprennait rien. Surtout avec son esprit a jeun il avait bien trop de difficulté à suivre sans alcool. A un point tel que pour lui les derniers événements était flou et tout se passait tellement vite qu'il en perdait presque des moments.

D’un côté le groupe de Mainois s’agrandit encore, la vicomtesse et le vicomte se joignit à eux. C’était avec plaisir que Zender pu revoir Lysesl et tak, qu’il n’avait croisé que brièvement en taverne depuis sa dernière visite de montmirail.

Mais il allait enfin pouvoir remédier à la situation avec l’alcool qu’il s’était accaparé. Rasta le remercia et le complimenta sur sa technique. L’homme lui était bien fière de sa prise rapide pour sauver la situation avant qu’une révolte ne s’enflamme et ne gâche la fête. Et de plus la bretonne parla encore de la ceinture de Zender. Elle semblait avoir prévu un étrange plan pour trouver de l’alcool qui incluait la ceinture de l’innocent mainois, mais par chance il avait trouvé des verres et la ceinture était sauf pour un moment. Surtout qu’elle n’était pas la que pour faire jolie, mais qu’elle lui était bien utile, si on la lui vole il serait bien forcé de constamment tenir ses braies.

Zender s’apprêtait a enfin s’altérer le gosier quand une blonde à forte poitrine fit irruption du sol. Une totale inconnu, mais la dame elle le connaissait. Ce genre de situation n’était jamais bon signe en temps normal, mais c’est Lynette qui lui avait a priori parlé de lui et elle le complimenta même sur ses talents de souleurs. Des choses qui était plutôt rare, depuis quand l’ex cap’taine lynette parlait de lui déjà… Puis quand elle prit son verre se fut la panique, Zender fronça les sourcils et s’apprêtait à se fâcher malgré les compliments sur ses talents de souleur. Car hors de question qu’il abandonne sa prise si durement gagner. Même si elle demandait a un certain anatooole de leur apporter a boire en retour, rien ne lui garantissait qu’il allait venir après tout.

Et tout juste au moment ou il s’apprêtait à répliquer, un cri d’homme se fit entendre et la blonde voleuse de verres d’orka sauta au cou de Zender et lui quémanda de l’aide car il y aurait quelqu’un qui veut la tuer. Quelle était encore cette folle histoire qui lui tombait dessus. Et en plus dans tout ca le verre pour lequel il avait si durement travaillé venait d’être renversé sur le sol par la blonde, quel sacrilège

Et pour tout arrangé il y avait rasta qui découvrais que le contenu du verre était du Calva et qui l’éjecta sur le sergent. C’est bien sûre uniquement à ce moment que Zender se rappela que la bretonne détestait le calva et pas à moitié. Mais même s’il s’en serait rappelé, il ne savait pas lui-même ce qui était dans le verre. La catastrophe aurait tout de même arrivé.

Le grand blond se retrouvait embarrasser et bien désolé pour ce qu’il donna a la bretonne et ce qui en sortit sur marvix. Avec en plus une demoiselle inconnu se retrouvait pendu a son coup qui cria a l’aide dans ses oreilles au point de presque le rendre sourd et le sergent qui avait été bien triste que Zender n’ait rien pu lui apporter et qu’y était ensuite la cible de la chef médiatrice. Et le pire, son verre gaspillé sur le sol… même si c’était du calva , lui il l’aurait bu à défaut de n’avoir rien de mieux.

Il fallait prendre les choses en mains et comme toujours pas troupes mainoises pour lui venir en aide, il aurait pu rapidement tout régler avec un régiment de soldat sous ses ordres! Il se devait de régler chaque chose à la fois en commençant par le poids aux courbes féminines qui mettait son pauvre cou à l’épreuve et qui éviscérait ses oreilles avec des cris aigus et sans payer le loyer!!! Zender prit orca et la redéposa de façon galante au sol mais sans lui laisser le choix.


Et bien mam’zelle dont je ne connais pas le nom mais qui connait bien mes exploits de soules et j’en suis ravis, déjà si je dois vous protéger ce sera plus facile sans vous a mon coup, alors cachez vous plutôt derrière les gens c’est plus efficaces. Et évitez aussi de crier quand vous êtes accroché au coup de quelqu’un Rhalalaaa mes pauvres oreilles innocentes. Et sinon c’est simple je vous offre un marché, si vous trouvez de l’alcool à moi et a mes amis. Et si ya vraiment un anatoooole qui nous offre ce qu’il a de meilleur tant que ce n’est pas du calva! Et bien soyez rassurez ya personne qui va vous faire du mal, moi et même le sergent(pointant marvix du doigt) on va vous protégez!

Sans alcool pas de protection, voila son dernier recours pours réussir a trouver à boire dans cette folle soirée. Même s’il devait avouer que dans cette anarchie il se divertissait bien, un peu comme un débat d’élection mainoise… En attendant la réponse de la blonde a forte poitrine qui allait peut-être le sauver de sa sécheresse. Zender se tourna vers la bretonne a kouette.

Vraiment désolé rasta, j’aurais peut-être du vérifier ce que c’était finalement, mais en même temps gaspiller c’est mal et Marvix a raison faudrait t’apprendre à boire… D’ailleurs Marvix je crois que c’est la partie ou il faut avaler qu’elle n’a pas encore maitrisé la chef. Mais t'inquiète pas rasta je gère! Et puis arrête d’essayer de te faire dégueuler s’il reste du calva dans ta bouche… bah…euh… j’irai le chercher voila!

Et t’inquiète pas je m’occupe de tout. Ya déjà anatooole qui devrait être en route avec autre chose à boire pour te faire passez le gout.


Zender se retourna vers la blonde orka qui avait abusé de son corps.


Alors ou est c’est anatol et cet alcool!? Il faut sauver la bretonne du calva en le diluant avec un autre alcool au plus vite.
The_undertaker
Citation:
Elle répondit ensuite à Tak.

- Oui, je ne fréquente plus trop les tavernes, voyez vous, j'ai déjà beaucoup de mal à remplir mes poches d'écus pour m'acheter un second champ, alors je préfère distiller mon propre Chouchen.
J'pourrais vous en donner une fois si vous le souhaitez !


Il sourit et lui repondit :

Rasta, je prendrai tout l'alcool que vous pourrez me fornir, ma taverne est toujours en manque !...
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Arnaud_giboint
Légo s'était liberé de quelques occupations pour venir à la réception aynat promis à dame Erwelyn de faire un passage.
Il pénétra dans la grande salle ou pas mal de monde séjournait déjà, apperçu parmi la foule quelques têtes connues et d'autres parfaitement étrangères, parmi elles sans doute la fille au casque trop grand qui etait parait il l'Ambassadrice et l'epèce d'arbres aux écureuil morts croisés dans le bureau du maire.
Nulle doute que débarassées de leurs accoutrements les deux filles devaient être méconnaissable.
Sans plus attendre il se dirigea vers le buffet et regarda les breuvages bon nombre de bouteille de calva déjà vide s'entassaient à côté d'autres encore pleines.
N'étant pas grand buveur d'alcool même à vrai dire pas du tout il attrapa un verre de chouchen, son estomac plus habitué au lait et jus de fruit mis à part quelque très bons hypocras qu'il buva de temps à autre, c'etait encore ce qu'il puisse supporter comme boisson dans ce genre de sauterieet encore sans abus.

Verre à la main il s'apuya contre le mur près d'une fenêtre quelque peu perdu dans on ne sait quelles pensées. Il etait venu là sans envie réelle ni quelconque motivation et se positionnait donc en attente de voir ce que pourrait être les événements, quelles rencontres il pourrait faire.

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Matpel
Bientôt veuf vous m’avez dit ? J’en suis fort désolée… une maladie qui frappe votre dame peut-être ?


Ne souhaitant pas plus que ça développer une histoire à dormir debout, Matpel ne répondit pas. Autant un petit mensonge par omission, voire l'emploi de certains mots à double sens, ne le dérangeaient que moindrement, autant tricoter une fable plus grosse que Pet-Gaz, ça n'était pas du tout son truc.

Leur attention fut soudain attirée par les cris de désespoir de Myrimilinisme, rapidement suivis d'une série de taloches, ma foi fort bien placées et très distrayantes, puis d'un crac qui servit de point final à la scène, que tous les invités jugèrent trop courte.


Oh, le spectacle est déjà fini ? Dommage… je trouve que la petite est vraiment douée pour la diplomatie.
Alors hmmm, pour revenir à nos moutons, enfin, à nos poules…


Il aquiesça en souriant.

Je ne sais pas si… enfin j’hésite… si vous connaissez le vieux rougeaud, je n’ai aucune envie que cette histoire arrive à ses oreilles vous comprenez ? Déjà qu’il a du faire une crise quand il a du apercevoir l’état des remparts de son château. S’il est au courant pour les poules, il risque de rendre l’âme avant même d’avoir épousaillé la petite Mahaut.

Noooooooooooooooooon, jamais je n'irai répéter cela ! Bon, il n'est pas impossible que je ... taquine un peu Mahaut sur le sujet, mais jamais je n'irai le répéter à un tiers, c'est promis. Et surtout pas à un vieux rougeaud. Deja que le pauvre, comme vous dites, doit faire avec les remparts abimés de son chateau ... abimés par Mahaut aussi, si je comprends bien, n'est ce pas ? ... enfin ... moi à sa place, je serais énervé. Vraiment très énervé. Donc non, je n'irai pas remuer le couteau dans la plaie du pauvre baron. Il détesterait la pauvre Mahaut après ça.

Il capta comme un moment d'inattention chez son interlocutrice.

J’la vois plus ! Vite, aux abris !

Matpel se laissa de nouveau embarquer et manipuler comme une poupée. Il se retrouva cette fois sous une table.
A ce moment précis, alors qu'il faisait face à Lynette, assis par terre en tailleur, il se sentit comme ... en danger.
Il y avait dans la tête de Matpel, outre des stratégies militaires à foison, ses amis imaginaires, et une mémoire de poisson rouge qui défrayait la chronique, une série de voyants lumineux. Pas le genre de voyant lumineux qui vous apporte le réconfort dans les ténébres, non, plutot le genre alarme avant l'apocalypse, celui qui vous donne envie de courir dans tous les sens en agitant les bras en l'air et en criant avec une voix de fille.
Ben là, en regardant dans l'oreille du Baron, on aurait pu voir de la lumière.

Il était là. Caché sciemment de la vue de tous, face au Chambellan du Maine, jeune femme brillante et célibataire que tout le monde cherchait à caser, malgré son manque de gout vestimentaire manifeste.
Il voyait deja la nappe se relever et ses oreilles sifflaient deja de subir un assourdissant :

"CORNECUL ! MATPEL, ESPECE DE ... " je vous passe la suite, vous avez saisi le sens.

Bref. Là il était mal. Dans une situation qui le mettait dans l'embarras alors que la situation devrait être inverse.


Voilààààà, maintenant on est tranquille. On en était où déjà ?

Arf, il ne pouvait pas abandonner si près du but.

Vous décidiez finalement de ma parler des hilarantes frasques de Mahaut dans le chateau du Baron rougeaud.
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.mahaut.
A moitié accrochée à Raoul, Mahaut continuait à fouiller l'assemblé de son regard perçant. Interdiction de rire. Ça alors, la chambellan avait disparu ! Voilà qui était facheux. Pas de chambellan, pas de traité signé. Pas de traité signé, pas de bénédiction. Pas de bénédiction, pâques au tison.
Raoul, certainement sous le choc de voir Mahaut débarquer en rampant, restait sans voix.


- Bon, je vais reprendre mon chemin. Qui m'aime me suive !


Elle se rabaissa et reprit son chemin. Petit regard en arrière, personne.


- Tsss, sont d'un vexant ici, des fois... Aieuu ! C'était ma main ! Vous, là ! Ouais, j'vous parle ! En bas ! Baissez la tête ! Coucou. Donc j'vous disais c'est ma main sous votre pied, là. Amusant, non ? Oui je suis ambassadrice. Oui, je suis par terre. Y'a une loi qui interdit aux ambassadrices d'être par terre, peut-être ? Comment vous vous appelez ? Mac Doom ? C'EST UN ECOSSAIS, FOUTEZ LE DEHORS ! Il a même pas de kilt. Ah si, tiens. Bon, permettez, je reprends mon chemin.

Elle réussit à passer sous une table. Enfin un endroit à l'abri. Personne, pas de pieds agressifs, Lynette et son roudoudou, bref, un coin calme.


*....*


Les deux avaient l'air absorbés dans une discussion. A voix basse. Histoire de bien se rapprocher l'un de l'autre. Ils ne l'avaient même pas vue. Le sang de la brune commença à s'échauffer. D'abord, une vulgaire servante dans un bain chez son propre père. Ensuite le fâcheux "oubli de cadeau d'anniversaire". Après le "ah mais je ne peux pas venir, j'ai croisade". Et maintenant, le très risqué "ah oui, je suis content de te revoir, mais tiens, et si j'allais sous la table avec une de tes amies habillée en presque prostipute ?". D'un côté, elle appréciait la prise de risque... Décidément, Matpel était joueur.
Elle capta quelques mots. "Poules" "remparts". Houlaaaa

*Vite, Mahaut, réagis ! Tu peux encore t'enfuir, changer d'identité, te faire appeler Juanita Banana et inventer une danse exotique qui t'emmènera sur les routes et...tu perdras ton titre. Hors de question.*

* Détourner la conversation. "oh, vous avez vu ? Mais si, là ! Une réception ! J'vous laisse !" mais aucune satisfaction personnelle, et cela ne fait que déplacer le problème dans le temps.*

*Bon. La meilleure des défenses, c'est l'attaque. Vas-y.*


Elle s'avança à quatre pattes vers eux, les yeux brillants de colère et alla foutre une baffe magistrale au baron. Ok, elle l'emporterait peut-être pas au paradis, mais bon... au point où elle en était... Elle pourrait jouer le quiproquo devant Aristote. Sur un malentendu ça peut marcher.
Elle toisa ensuite Lynette.


- Lynette ! Je sais que tu cherches à tout prix un mari, mais de là à piquer le futur des autres, c'est petit ! Tout petit !

Elle tourna le dos et s'en alla à grands pas. A quatre pattes, mais à grands pas. Avant de soulever la nappe, le coup de grâce.


- Papapair va être très déçu par ton comportement, Matpel.


Sortie, elle se redressa, brossa sa robe et rejoignit Aimbaud, l'évêque et tout le monde, en poussant les invités sur son passage.


- Mon père, problème ! Le traité d'amitié est compromis. Ça vous dit une petite guerre ? Aimbaud, tu crois que ça intéresserait l'Anjou ? On pourrait écrire une chanson, là dessus, un hymne. Bordel, une réception si bien préparée...

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Erwelyn
De son côté, aucune lumière qui clignote, parce qu’elle n’avait aucune idée qu’elle se trouvait sous une table avec le Roudoudou de Mahaut. Juste une envie de préciser deux ou trois petites choses avant de s’embarquer dans le récit poules/remparts.

Ah non, non, non, vous vous trompez, l’histoire des remparts, Mahaut n’y est pour rien. Elle voulait simplement faire un cadeau à son Baron vous comprenez ? Alors elle a fait venir un italien… di carotti… d’augistini… de carpaccio… enfin, un truc dans le genre… pour redécorer le château du vieux rougeaud avant qu’il revienne de la guerre.

Et puis pour les poules, à vrai dire, c’est quand même ma faute. C’est juste qu’il y a eu quiproquo. Ben oui, culinaire ça ressemble tellement à capillaire ! Bref… je voulais faire des essais de plat pour leur futur mariage, histoire de leur faire un cadeau.

Elle rajouta pour elle même.

Sauf que j’ai jamais été très douée en cuisine

Avant de continuer.

Oui donc, finalement, et vous m’assurez que vous ne lui répéterez rien hein, ce qui s’est passé avec les poules, c’est plutôt ma faute… Quoique je ne comprends toujours pas comment on peut autant adorer ces bestioles. Le pire, c’est que le vieux a du refiler sa maladie à sa future femme parce qu’elle y tient maintenant elle aussi comme à la prunelle de ses yeux.

Ah tiens justement, y’a Mahaut ! Regarde, j’ai trouvé un ami à to…


Yeux écarquillés, elle observa la gifle magistrale envoyée à son interlocuteur, dans l’incompréhension la plus totale. Enfin, le regard de la brune tomba sur elle, avec une réplique cinglante. L’information mit quelques instants avant de monter au cerveau, puis elle sortit comme une furie de sous la table.

Dis donc, j’ai jamais cherché un mari moâ, mada…
Haannn ! LE ROUDOUDOU DE MAO !


Deuxième effet kisscool, elle venait de percuter. D’un geste rapide, elle se pencha à nouveau et attrapa fermement le bras de Matpel pour le faire sortir de sa cachette.

Sortez de là vous !

Elle pointa son doigt sur sa poitrine, le regard noir.

Cornecul ! Espèce de vil menteur ! Alors comme ça vous êtes le Roudoudou de Mahaut et vous me l’avez même pas dit ! C’est… c’est… c’est…. Ça s’fait pas ! Ignoble fourbe, tout ça pour que je vous parle des poules !

Et hop, elle lui colla une gifle retentissante sur l’autre joue, laissant une jolie marque rouge. Et se tourna vers Mahaut, de plus en plus énervée.

Comment t’as pu croire que je ferai une chose pareille à un poney ! Surveilles plutôt ton futur « veuf » et ses histoires à dormir debout au lieu de cracher sur tes amies.

Ben puisque c’est comme ça, moi aussi je déclare la guerre au Périgord !

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Lotx, incarné par Orkaange7876


Bien, il était enfin entré, le tout était maintenant de réussir à nouer contact avec l'autochtone. Attrappant un verre, il entreprit alors de le vider.

Eh! Mais c'est mon verre!
-Ah excusez-m...


Il se stoppa, le péquenaud! Il avait oublié de parler le péquenaud!

Aheum... Moua domander excuses à vous. Moi croire que vous pas vouloir finir verre, aussi moi aider vous dans rude tâche.
-Je vous demande pardon?
-Vous péqu... Mainois, pas avoir bon foie, être devoir de moi d'aider vous.


L'interlocuteur cligna deux fois des yeux s'interrogeant sur sa consommation d'alcool.


Vous avoir beau être pas civilisationnés, nous bien nous entendre hein?
-...
-Ben si un peu quand même?
-.........
-Aheum... Moua aller voir quesque Mahaut fait hein?


Bon, le premier contact, n'était certes, pas une réussite absolue, m'enfin il avait connu pire hein? Au moins n'avait-il pas Sifflard avec lui qui demandait s'il pouvait "introduire" les invités...
Le gamin se mit donc en recherche de Mahaut, histoire de bien faire voir qu'il était là, que ça serve à quelque chose qu'il se soit déplacé, voyez? Bon, ce n'était, certes, pas comme si elle était difficile à trouver mais nous ferons tout comme pour sauver les apparences..


Bon. Changement de programme. D'abord, je signe les traités et APRES, une fois que môssieu Myrmillmze aura passé sa hargne sur Orka, on fera la bénédiction. Pfff. Aucun respect de l'art.


Il sursauta et se tourna vers sa sœur de foie.

"On"? Comment ça "on" fera la bénédiction? Ah mais nan, mais nan! Si quelqu'un doit bénédictionner ici smoua! J'te rappelle que j'suis le seul et l'unique prêtre trucmachinchosiste reconnu par l'église aristobidulienne! Et presque relaxé par l'inquisition... Alors si quelqu'un doit faire ÇA et doit procurer les attouchements nécessaires à la pénétration du Grand Machin pour éviter les bretelles sur le chomin du bikini, ça doit être moua! Pis d'ailleurs j'suis l'seul à savoir expulser l'Grand Truc alors hein!

Oui, le trucmachinchosisme était un culte... particulier...

Et donc forcément personne de mieux que moua ne pourrait me... eh mais! EH! TU M'ÉCOUTEUH?


Grommelant, pestant, persiflant et faisant sans doute tout un paquet d'autres synonymes, il tenta alors de la suivre parmi la foule de poivrots qui le draine, l'entraîne, écrasés les un contre les autres, ne formant qu'un seul corps. Se retenant de justesse de laisser la joie éclaboussée par son sourire transpercer et rejaillir au fond d'un Mainois (quand je vous dit qu'elle est tendancieuse cette chanson d'abord!), quand soudain il entend un cri parmi les rires, quand une baffe éclate non loin de là.
Le gamin se dégagea alors de la foule -non sans en rester épanoui, enivré et heureux- pour se ruer vers le lieu du drame.. Mais trop tard comme Mahaut venait encore une fois par lui fausser compagnie... Soupirant, bras ballants et se sentant un peu bête, le garçon se décida à rompre le silence affreusement gênant qui venait de s'installer. Il se tourna alors vers la dame et demanda innocemment.


Alors comme ça vous cherchez un mari?


Matpel
Ses lanternes intérieures l'avaient pourtant prévenu. Plan foireux assuré d'avance. Il y faisait pourtant attention d'habitude, mais là ... l'erreur. Mais qu'allait il faire dans cette galère ?
Un moment de déconcentration. La tenue d'Erwelyn surement. Ou son maquillage peut être. Autant d'éléments qui vous rappellent à quel point les femmes sont belles au réveil. Dès lors qu'on fait l'impasse sur l'haleine. Bref, je m'égare.

Matpel avait écouté le discours du Chambellan avec grande attention. Finalement, le massacre de ses poules lui incombait à elle, et non à Mahaut. Même la chute d'une partie des remparts ne pouvait lui être reprochée. Deux arguments de moins à rétorquer donc. Ca partait mal. Quoique le chateau était bien sous la responsabilité de la Cruche, nonméo. C'était donc sa faute. Entrièrement sa faute. Et c'est tout.


Ah tiens justement, y’a Mahaut ! Regarde, j’ai trouvé un ami à to…

Matpel sursauta et se fracassa la tête sur la table.

*Ah naaaaaaaaaaaaaaaaan*

Bon, la suite vous la connaissez. Le double effet kisskool. Triple si on compte la table. Quel succès avec les femmes, pfiouuuuu.
Il attendit que l'orage, grondant des "HAN" et des "CORNECUL" à tout va comme il l'avait prédit, passe finalement.


Ben puisque c’est comme ça, moi aussi je déclare la guerre au Périgord !

Ben voyons. Drole de façon de retourner la situation.

Meuh naaan, pfff tout de suite ... en plus vous prendriez une raclée.

Là il sentit qu'il n'avait pas marqué un point. En même temps, au point où il en était ...

Bien, je vous remercie pour ces éclaircissements. Votre aide m'a été fort précieuse.

Ca c'était juste pour qu'elle se sente un peu coupable...
Ben quoi ? Elle voulait déclarer au PA maintenant, nonméo. Après ce qu'elle avait fait à ses poules AOC en plus.


Je vais donc hum ... prendre congès.
J'ai été enchanté de faire votre connaissance.


Matpel sortit de sous la table, accompagné par la dignité qui lui restait. Oui, seul donc. Esquissant un sourire poli à ceux qui le regardaient en se demandant s'ou il sortait, il se tourna vers la table couverte de bouteilles et se servit un verre. Un grand verre. D'alcool.
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Honore.saint_cyr
Honoré essayait tant bien que mal de suivre ce qui se passait autour de lui, ça finissait par lui donner le tournis de voir gesticuler l'Ambassadrice du Périgord sur le tonneau qui lui servait d'estrade, d'ailleurs, ça commençait sérieusement à craquer, le prélat ne crut pas si bien penser,soudain, il vit SE sur le quinquin, telle la tour de Pise, elle pencha dangereusement, d'un coup, le dessus du fût s'éventra, Honoré qui ne voulait pas lâcher sa canne rattrapa l'ambassadrice comme il le put, d'une main peu alerte, il n'avait pas envie de réitérer l'expérience de la dernière bénédiction, si bien qu'il lui toucha le sein sans ménagement, les anglois se seraient mis à chanter...REFLEX...REFLEX...FLEXFLEXFLEX
u gone too far this time
But Im dancing on the valentine
I tell you somebodys fooling around -
With my chances on the dangerline
Ill cross that bridge when I find it...


Mais ce n'était pas le moment de causer cette langue, l'évêque n'avait pas spécialement l'intention qu'on le prît pour un irlandais sauf s'il comptait filer à l'angloise, dans ce cas, il chuchoterait quelques mots à l'oreille d'un des cerbères de garde...

Selon toute vraisemblance, les traités allaient être signés....ça donnerait au religieux le temps de se préparer...les échanges oraux continuaient entre les-uns et les autres, quand brusquement, le ton se fit plus tranchant entre le chambellan et SE, une histoire de fesses était au centre de la conversation, c'était tout ce qu'il fallait pour ternir l'ambiance, peut-être même les relations entre le Périgord et le Maine, l'alcool aidant, les propos n'étaient pas des plus réjouissants, l'ambassadrice se mit subitement à causer de guerre, Honoré allait devoir tempérer...c'était sans compter sur un homme que l'évêque avait déjà croisé en place d'Aristote, voilà qu'il n'était pas d'accord que ce fut Honoré qui se chargeât de bénir la troupe, il braillait comme un âne d'une manière totalement incohérente...Honoré, se dit il suffit et se rapellant ce que SE lui avait suggéré, il s'"égodzilla" de sa voix fluette :


- JACADDIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII!!!!
_________________
Evêque du Mans
*rastakouette*
Les doigts au fond du gosier, la pauvre bretonne ne put même pas se défendre lorsque Marvix s'essuya sur sa robe du dimanche.
C'était de bonne guerre bien sûr, mais tout de même, sa robe du dimanche !
Elle faillit s'étouffer lorsqu'elle l'entendit dire qu'elle ne savait pas boire.
Rasta essuya ses doigts sur la nappe, après tout Marvix était dans un sale état et elle n'avait pas envie de salir Zender et sa magnifique ceinture, quant à Lys et Tak, cela faisait trop longtemps qu'elle ne les avait vu pour mal se comporter avec eux et elle ne voulait salir la belle robe de juge d'Anorion.
Tout à son nettoyage de gosier, elle ne s'était pas rendue compte qu'une femme s'était suspendue au cou du Médiateur.
Il la posa au sol et rejoignit l'avis de Marvix.


- M'apprendre à boire à moi ! Quoi !? J'suis tombée dans la marmite de Chouchen quand j'étais p'tite moi ! C'est pour ça que je ne peux boire autre chose !

Quand il proposa d'aller lui chercher le Calva au fond de la bouche, elle resta interdite, se demandant s'il allait lui enfoncer une cuillère ou une fourchette jusqu'au fond de la gorge.
Elle fut un peu plus rassurée quand elle entendit parler d'un autre alcool pour faire passer le mauvais goût d'la boisson normande.
La remarque de Tak la fit sourire.


- Si on m'ressert du Calva, j'essayerais de me retenir et de ne pas le jeter à la figure de celui qui me l'aura apporté et je vous le laisserais pour votre taverne.

Puis pendant que Zend guettait le fameux Anatole, elle se mit à chuchoter à destination des autres membres du petit groupe.

- Dîtes, s'il veut m'enfoncer une cuillère ou un autre couvert dans la bouche pour faire sortir le Calva, vous l'en empêcherez hein !?

L'Evêque se mit soudain à craquer et pour qu'il ne se sente pas seul, la jeune bretonne cria à son tour.

- Jaques a dit ASSIS !!

Elle pourrait toujours dire par la suite, qu'il lui restait du Calva et qu'elle n'était plus maîtresse d'elle-même !
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Cmyrille
Du bruit et de la fureur à tribord!
Cible en vue mon commandant! Cible en vue!!
Tirez!! Pas de quartier!!!!!

Il sauta à bas du tonnestrade et fendit la foule tel un Moïse de la haute société. Arrivé devant un groupe de péquenauds, il reconnu vaguement une ou deux têtes de souleur, mais alors très vaguement. S'approchant du grand échalas sobre au bout duquel pendait l'infame objet d'ignominie il lança:


Sieur, je vous prierai, si cela ne vous dérange pas trop, de me restituer cette... chose pendue à votre cou. Il me tarde de lui expliquer les bonnes manières. Et veuillez accepter, en son nom, mes plates excuses.
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"Bienheureux celui qui a appris à rire de lui-même : il n'a pas fini de s'amuser!"
Joseph Folliet
Honore.saint_cyr
Un homme s'approcha de l'évêque et lui demanda de lui rendre ce qui pendait à son cou, durant un moment Honoré songea à la croix d'Aristote mais il ne la portait pas, il se demandait d'ailleurs où elle était passée? Il ne s'agissait donc pas de ça... puis il comprit, il s'agissait de l'ambassadrice, sans aucun doute, le pauvre Honoré avait dû la rattraper à l'insu de son plein gré...et tel que ça se présentait, son propriétaire la réclamait, pour peu on se serait cru aux objets perdus, mais en bon religieux, l'évêque ne pouvait considérer un humain comme un objet, et encore moins une Dame, c'est donc naturellement qu'il répondit:

- Mais cher Sieur, si vous parlez de SE, sachez qu'elle ne s'est pas pendue à mon cou, elle est comme qui dirait descendue de son piésdetal un peu forcée et contrainte, le Tout Haut dans sa grande mésiricorde a certainement voulu lui rappeler l'humilité sans qu'elle soit blessée, c'est donc son serviteur qui la soutenue dans cette épreuve, je suis certain qu'elle retiendra la leçon pour la prochaine fois!

Et voilà que tout à coup, Dame *Rastakouette* ne rata pas l'occasion de faire le Jacques en brandissant le verbe, ah ça elle avait de la verve, elle était tellement sur le ton, que le prélat pensa "Dis Jacques, ta bière, avec ou sans mousse ? Avec!!

Quand il s'agissait de mouiller sa soutane, l'évêque n'était pas le dernier, durant quelques instants, il allait tomber la mitre pour faire le pitre...

- Mes amis, mes enfants, si tel est le désir de La Dame rasta, ne la décevons pas...

L'évêque se mit à se dandiner toute canne levée, alors là, il risquait gros..mais bon...et il se mit à psalmodier:

- Allumoooooons le feu, allumoonnss le feu...de camp! Et formons un cercle d'amitié, tout autour, mes frères, mes soeurs, profitons de cet instant pour chanter une ballade, maestro? Musique!

Noter vieille terre est une étoile où toi aussi tu brilles un peu
Je viens te chanter la balladeuuuhh, la balladeuuhh des gens heureux...


TOUS ENSEMBLE!

Toi la star du haut de ta vague
Descends vers nous, tu verras mieux, on vient te chanter la balladeuuhhh, La balladeuhhh des gens heureux..


- EN CHOEUR!

Puis l'évêque s'immobilisa, il regarda et pointa sa canne en direction du Chambellan du Maine puis de l'Ambassadrice du Périgord, il fronçait les sourcils et dit:

- Bon, Mes Dames, oui vous! Faudrait savoir ce que vous voulez? je continue sur ma lancée ou vous signez les traités? on a pas toute la vie et pour vos histoires de jupons, faudra laver votre linge sale en famille, celle des diplomates, hum?
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Evêque du Mans
Spartan31
Nichée dans un coin, elle essayait d’extraire du bout des ongles une écharde qui s’était malencontreusement nichée dans la corne de sa voûte plantaire.
C’était là un exercice ardu, la vilaine écharde s’était bien introduite sans dépasser d’un millimètre.
Elle avait enfumée l’orifice pour asphyxier la bête, puis pressant de chaque côté les extrémités, elle espérait en voir la tête, mais l’animal ne vint pas.
Exercice de patience qui n’était pas la qualité première de Spartan.
De rage elle mit son pied à la bouche, le rogna sanguinairement espérant le libérer de ce parasite.

Concentrée, elle regarda l’assemblée quelque peu hétéroclite.


Oh qu’ils sont bien habillés ceux là
Tiens un ch’val
Oh un prêtre
Ah tiens Optat
Mais que fait Mahaut à quatre pattes ?
Mais qui c’est celui-là
Petit prince Rambo… euh Aimbaud
Eux jamais vus
Tiens Aznavour
Un rejeton un peu simplet perdu au milieu de la foule
Ah ! Les prostituées sont invitées ?
Un crâne d’œuf dissimulé sous un foulard
Une mini-boule argentée de mille feux
Oh un tonneau qui roule
Mais c’est qui sous la table ?
Jacadi ? Un nom à la mode ?


AHHHHHHHHH je te tiens toi !!!!!!!!!!

Elle ôta enfin l’écharde se sentant libérée d’un poids avoisinant le milligramme.

Bon c’est quand qu’on danse et qu’on chante hein !!!!
Idrissela
Blam !

- Flute!!!

Idrissela se retrouva étalée dans la boue, elle s'était prise dans sa robe en descendant du carrosse. Elle se releva laborieusement et entrant dans le fameux carrosse, dit au cocher


- On rentre à l'auberge. Vite !!

Idrissela n'avait pas apprécié le rire du cocher et il était pas question qu'on rie encore d'elle entrant dans la salle avec une robe salie. Elle repartit donc à l'auberge pour se changer. heureusement pour elle qu'elle avait porter plusieurs robes n'arrivant pas à en choisir une.
Voilà pourquoi elle arriva en retard à la réception

Elle avait réussi à limiter les dégâts mais elle n'avait pas pu refaire le chignon compliqué que lui avait faite son amie, Idrissela s'était donc contenter de faire une longue tresse qui lui tombait dans le dos. Ça faisait pas très réception mondaine tout ça. sa jolie robe rouge lui permettait de ne pas se sentir trop mal à l'aise.

Elle s'approcha des gardes et vit un qui avait ce qu'on appelle une discussion animée avec...Gaelant.
Elle ne savait que faire, alors elle dit doucement aux gardes


- Je suis Idrissela de Montfort-Toxandrie, j'ai un invitation.

La tendant

- La voici. Heu..Que faites-vous à mon ami ?

Edit pour les fautes que j'ai vu
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