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[RP]Funérailles de Jossc,Baronne du gros Theil

Crypto1
C’est avec tristesse que crypto, apprit le décès de sa Baronne, par un message envoyé par Alix. Il prit aussitôt la route pour ce recueillir une dernière fois, auprès de sa baronne. Les yeux plein de larme, il se perdit en chemin qu’il fallu qu’Alix et son ami Galahad le remette sur la bonne route. Une fois sur place, tout en saluant les personnes présente. Crypto s’avançant et s’agenouilla, devant le corps de Jossc. Ma Baronne le jour ou vous nous avez quittés, la Normandie a perdu sa fille et les compagnons ont perdu leur mère. Avec les compagnons, nous prendrons soins de votre famille. Tout en regardant le Baron et Alix, puis il fit une dernière révérence à sa Baronne, avant de repartir rejoindre sa tanière, le cœur blésé, par ces dernières images.
--Ylanis_is_dead


[Irrémédiablement clamsé, tête et pieds loin du sol]


- Dis donc mon Prince c’est formidable d’être mort…. On lit dans les pensées.
- Hum.

Fût la réponse onomatopéique de celui que l'on nommait l'imbibé de son vivant, bien plus concentré à déguster le calva qu'à s'inquiéter des pensées de ceux qui s'agitaient en bas. Soudainement, alors qu'il se remplissait de nouveau son verre, le drame arriva.
De ses réflexes surhumain en telle situation, d'une poigne sans faille il rattrapa in-extremis la blonde qui se laissait aller au mode de vie du même nom. Ainsi il sauva l'essentiel : le verre de calva qu'elle tenait à la main. Bien sûr, elle aurait pu chuter, cela n'était pas bien grave vu son état de santé actuel... mais le calva ! Ça ne poussait pas sur les arbres ! ... enfin, presque pas.


- Oh mon prince tu te dévergondes en ces lieux….

Lui, yeux exorbités braqués sur le verre, se rassurant de constater qu'aucune goute n'eût été renversé faisait fi d'avoir laissé trainer sa main sur le noble postérieur.
Elle, insouciante de ses actes que l'ont pu qualifier de torture post-mortem envers le tripoteur : Ou l'art délicat de provoquer un arrêt cardiaque chez un pervers trépassé.

Son cœur battant bien trop fort, Yla n'entendit pas le commentaire que Christos souffla à son compère, ni la réponse que celui-ci lui fit.

- Regarde-le le pauvre, toujours bien trop émotif.
- Il est des trésors qui ne doivent se perdre, et j'avoue que ce jus de pomme n'est pas mauvais.

Remarques qui n'avaient non plus atteint les esgourdes de l'inconsciente défunte, qui, tout à sa découverte, affichait un flegmatisme insolent. Nonchalamment campée sur ses pieds, une main sur la hanche elle continuait de commenter.

- T’as vu ce qu’il pense le casqué…. " pas parfaite non plus " rhoo j’en étais pas loin tout de même.
Allez ressert nous un coup pour faire passer la pilule. Dis donc y a du monde hein ? je me savais pas si apprécié j’aurai dû en profité plus moi……Mais que veux-tu…..


Finissant de se remettre du terrible drame, le Prince reprit consistance à la mention de la douceur liquide, sitôt occupant ses pensées tellement il faisait soif.

- Hummm Fameux ce petit calva, y a pas à dire elle à du goût cette Garance….
- En effet, elle a eut fortement raison de t'offrir ce cadeau pour la route mais... le casqué ?
L'homme aux cheveux de jais - enfin l'homme... le fantôme - se pencha sur la scène qui se déroulait sur terre puis reprit.
- ...Je me disais bien... le casqué... j'l'ai vu passer ici pourtant.

Ylanis eût un instant de nostalgie pour un énergumène casqué décédé, son ami l'Amiral, qui n'avait pas eût pour sa part la courtoisie de monter du calva. Son attention fût encore accaparée par l'enterrement, le Prince, resta perplexe à la vue d'un être de l'outremonde rôder autour des endeuillés ; puis sourit au commentaire de la blonde.
Pensées... pensées... sont trop atteins par le chagrin, z'ont tous la tête vide si on en juge par le démon qui grommelle.
Laissant là les amis de Jossc à leur chagrin, il se resservit un verre... encore.


- Allez, santé ! Remercions tes piètres talents de médecins et la présence d'esprit de ton amie pour cette bouteille.

Les trois hommes levèrent leur verre et le vidèrent d'un geste que l'on pu croire orchestré. L'ancien plus grand buveur des Royaumes rajouta sur un ton plus intimiste à la morte.

- Alors dis moi, j'ai cru apercevoir ta descendance, et j'avoue, je m'interroge. Qui est donc le père ? Ou s'il s'agit bien du Baron... combien as-tu dépensé en cierge pour que - Ô miracle - elle n'hérite point de sa tête !

Le Prince eût une pensée pour son ami, l'ancien Lieutenant-Général, qui devait subir ce deuil. Son cœur se serra en le voyant pleurer. Finalement en ce triste évènement, il se trouvait humain... L'ancien célèbre avocat, en fit le reproche à la Dame du Gros Theil.

- Une grippe... ah vraiment... regardez donc votre époux ! Qui s'occupera du linge, du ménage et de la cuisine maintenant ? Voyez comme le supplice de cette interrogation lui arrache des larmes !
--Lepetitchat
A la mort de la gentille dame, lepetitchat c'était pelotonné dans un coin.

Des dames s'étaient agitées autour d'elle, il les avait regardés faire, les yeux mis closent soupirent de temps à autre.
Elles avaient fini par mettre la dame dans une boite, drôle d'idée ça, mais les humains on parfois de drôles d'idées. Soupir
Ils changent de peau comme les serpents, ils changent même d'odeurs et parfois ça sent pas bon il fronce le museau quelle idée de couvrir son odeur, comme font' ils pour se reconnaitre ?
Enfin les humains sont comme ça soupir.
Des gens étaient venus prendre la boite, lepetitchat les avait suivi de loin jusqu'à une clairière.
Il était monté sur la branche d'un grand chêne un peu à l'écart et observait la scène.
Comme il y avait du monde pour lui dire adieu, en fait ça ne l'étonnait pas vraiment, elle avait été si douce avec lui.
C'est sur, le grand chat recevrait sa gentille dame dans son jardin, il lui offrirait un grand bol de lait frais et mousseux à son arrivée, il ne pouvait en être autrement. Miahouuuuuuuu "à bientôt gentille dame".
Rassuré, presque heureux pour celle qu'il appelait sa gentille dame lepetitchat s'endormit.

Il la rêvât souriante, regardant ceux qu'elle aimait les yeux pleins de tendresse, comme quand elle avait prononcé ces derniers mots à la jeune fille qui tenait sa main.
Bourrike
Les arrivées ne cessaient pas, les amis affluaient. Nul doute que le baronne, de par son dévouement sans limites l'avait mérité

Le clerc vint se placer ente le cercueil et l'autel improvisé et toussotta afin de s'éclaircir la voix

"Mes chers amis, mes frères, mes soeurs
Je ne doute pas, que, comme moi, vous ayez le coeur étreint de tristesse en ce jour où nous nous réunissons afin d'accompagner notre amie Joss vers sa dernière demeure.
Avant tout, que vos coeurs se sentent libres de la faire revivre en vos esprits.
Nous allons réciter pour elle la prière des défunts.


http://i88.servimg.com/u/f88/11/68/42/16/caramo19.jpg
Veutdelot
Il arriva enfin! Enfin, il arriva…Tout confus, un peu, et passablement même, tout perdu au milieu d’une invocation particulière qui le glaça net en pleine taverne.

-Dieu du Ciel !

S’exclama-t-il du haut de son étonnement. C’est que Jossc lui avait récemment donné rendez-vous dans une taverne. Le jour venu, il y avait pensé toute la journée, se préparant fébrilement à rencontrer sa bonne amie, astiquant énergiquement son écu pour ensuite mieux s’en servir afin d’arracher les quelques poils qui frisottaient de par l’encolure de sa camisole. Malheureusement, ce fut peine perdue…enfin, pour le rendez-vous. Retenu par un imprévu, il n’avait pu s’y rendre. La mort dans l’âme et l’imagination fertile, il envisagea le pire.


-Dieu du Ciel ! Elle est morte à m’attendre !!! JOOOOOSSSSCC !!!!


Elle a certainement dû attraper un miasme malsain. C’est pas possible ! se répétait-il en boucle.

Puis, spontanément il s’écria :

- Tavernier ! Tournée générale ! Pour Jossc !

Et puis…apportez-moi une bière…que je me colle à ses côtés.
Amboisyne


Les yeux baissés , EStoile la main toujours dans celle d'Attalus recita à voix basse la prière des défunts .

Seigneur,

Daigne accueillir en ton paradis solaire Dame Jossc qui, sa vie durant, fut une femme sage , engagée dans la vie de sa cité ainsi qu'un juge impartial de par son esprit, et soucieuse de la charité et de toutes les autres vertus. Si elle fit parfois preuve de maladresse dans l'expression de sa foi, elle ne manqua pas de vertus et chercha toujours le pardon. Ainsi, son existence fut marquée par la recherche constante, presque désespérée, de l'amitié et de l'amour.

C'est pourquoi, Seigneur, je prie avec ferveur pour que l'âme de Jossc rejoigne celles de nos glorieux qui ont l'honneur et la chance de vivre éternellement en ton paradis aux côtés de nos vénérés prophètes Aristote et Christos.

Ainsi en soit-il pour elle aussi !


Le lieu saint était noir de monde et la baronne pouvait de là où elle était en Acadie être fière qu'un tel hommage lui soit rendu.

_________________
*Una Luce Divina Sulla Strada*
--Jossc_fantomette




Voilà grace à la présence d'esprit de son ami le Prince, rien n'avait été perdu du fameux breuvage.

--- Alors dis moi, j'ai cru apercevoir ta descendance, et j'avoue, je m'interroge. Qui est donc le père ? Ou s'il s'agit bien du Baron... combien as-tu dépensé en cierge pour que - Ô miracle - elle n'hérite point de sa tête !Pointant l'index vers son ami, un sourcil levé.

--Hé ne m'insulte pas s'il te plait, biensur que ma filliote ressemble à son père elle a ses yeux, sinon je te reprends le calva......


Là elle était sure de faire mouche. Le connaissant buveur professionnel et patenter par toutes les tavernes du royaumes pour avoir testé leurs boissons.

--- Une grippe... ah vraiment... regardez donc votre époux ! Qui s'occupera du linge, du ménage et de la cuisine maintenant ? Voyez comme le supplice de cette interrogation lui arrache des larmes !

Jossc se pencha de nouveau pour voir et oui elle en avait le mal d'être partie d'un coup, le tableau était déchirant...

-- nonnnn, il a la bonne pour la lessive entre autres choses ^^, allons ressert nous.

Les quatre compères continuait à siroter tranquillement.
Namaycush
C’est un homme qui a trop vu,
C’est un homme qui connaît la mort pour l’avoir trop fréquentée et défiée,
C’est un homme qui a connu trop de femmes,
C’est un homme qui a été aimé comme peu l’ont été,…


C’est un Capitaine de Talus, de coquelicot au Carmin exacerbé par la passion qui s’approche d’une démarche chaloupée, sûre et inébranlable. Il a défait le ceinturon qui porte à présent la lame frappée à sa base des armes de Ste Anne, le passe sur son épaule gauche ainsi que son écu aux couleurs de « Memento Mori »…Certains arborent le deuil en baissant les armes, ce qui s’appelle paradoxalement en lance haute en terme de guerre….

C’est une porte qui s’ouvre dans un lieu saint rempli….c’est un courant froid qui s’engouffre….et une ombre qui grandit….

C’est des bottes qui claquent sur le sol pendant que les prières s’élèvent….

Sans un regard alentours, hiératique, naturellement il passe, arrive devant le cercueil, se penche…caresse de l’index le visage de Celle qui l’appelait Mon Baron…..et dépose un baiser sur ses lèvres désormais froids, aussi léger que le battement d’aile d’un papillon, rendant ainsi le dernier qu’elle lui avait offert…..

Il se redresse, se retourne vers le mièvre à genoux, jambes écartées, yeux étincelants, il le toise de toute la stature de l’officier avec l’arrogance de ceux qui défient…


Elle t’a été fidèle….mais …elle m’a aimé !

Sans plus de mots, il reprend l’allée centrale…jette un œil à la gamine en laquelle il devine déjà un œil coquin….sourit légèrement en pensant qu’il est intervenu pour elle auprès des roms….tourne la tête vers Azurely, sa couze pour toujours qu’il adore…clin d’œil et deux doigts sur la tempe pour la saluer…avant d’arriver à la porte…..
_________________
Alix_du_vivier


Un homme arriva fier et imbu de sa personne surement pour oser tel geste envers sa mère.
Alix le regarda faire et s'adresser à son père sur un ton qui en d'autres lieu, le Baron lui aurait coupé la langue pour tenir de tel propos sur l'amour de sa vie, sur la mère de ses enfants.

--Non monsieur, dit-elle froidement si ma mère vous à aimé ce n'est surement pas dans le sens ou vous le sous-entendez.

Le vent se leva d'un coup sur la petite clairière ou reposait la jolie Baronne. Comme une colère froide et sourde venu d'on se sait où.

La jeune fille se retourna vers l'assemblée après cet intermède et s'adressa en termes clairs. Elle avait réussi a redter digne jusqu'au bout, mais encore une épreuve l'attendait.


--Tout d'abord merci a tous d'être venu lui rendre un dernier hommage, ma mère était une femme formidable tout comme mon père l'est aussi.

Un regard vers son père abattu par le chagrin.

-- J'ai reçu une missive d'u grand homme qui ne peut être présent ici ce jour, mais qui m'a demandé de vous lire ceci.

Elle déplia le parchemin .

Expéditeur : Nkhan de Saint Sa�n, Seigneur de Mesnil-Mauger
Date d'envoi : 2009-10-01 22:37:48
Damoiselle,

Je vous remercie de me rendre ce service.
Voici donc le contenu du mot que je souhaiterais vous faire lire :

"Normand un jour, Normand Toujours,
Celle là en été une, une de ces magnifiques femmes de Normandie, qui ravie les c�urs et les esprits, par sa beauté et sa fougue.
Je me souviens des jours d'antan, où je prenais sous mes ailes de vieux bougre, un jeunot du nom de Reaver. Je me souviens avoir été impressionné par sa volonté de bien faire, et sa volonté de rassembler le plus de monde pour faire de sa caserne la plus forte de Normandie.
Je me souviens aussi de la première fois où ce jeune, devenu vieux maintenant, me parla de la belle Jossc.

On se rencontra, et par le truchement des connaissances communes, nous nous apprécièrent, et nous devinrent amis.
Et ce fut l'heureux événement, le bonheur pour Reaver et Jossc. Puis ce fut l'heureux événement pour moi, de leur confier une terre, la première qu'il ait eu, et de célébrer notre amitié dans un lien plus fort, celui qui unit un Seigneur à son vassal.
Et nos chemins se séparèrent ensuite, avec l'assurance que l'amitié resterait forte. Comme ils se reroisèrent ensuite quand le couple devint famille, et vient rallier le Sud à la demande d'un vieux barbu.

Aujourd'hui le chagrin m'étreint. Il me porte un coup sévère, alors que je m'étais promis de me reposer au monastère, me voilà torturer par un soudain malheur.
Toute l'expérience du monde, celui des champs de bataille, ne vous apprend en rien comment réagir à la perte d'un être chère.
Aujourd'hui cela en est un qui nous quitte, et malgré mon absence, j'imagine les mines tristes de l'assemblée qui doit être nombreuses aujourd'hui, tant la Dame était aimée.

Jossc, mon amie, puisse Aristote t'accompagner. Tu nous laisse dans un profond chagrin, alors que nous avons encore et toujours besoin de toi...le vide m'envahit, et les larmes me montent pendant que j'écris ces quelques lignes.
A toi, mon amie, toutes mes pensées vont.
A toi Reaver, mon ami de toujours mon âme et mon coeur t'accompagne, comme ils t'accompagneront toujours.
A ta famille à qui j'espère tu as transmis tes valeurs et ta fougue, ta gentillesse et ta droiture.

Puisse le Très Haut t'accueillir dans son Royaume.

Ton ami,


Bien à vous,
Prenez soin de votre père.
Nkhan

Puis lapetit Alix du haut de ses dix sept ans replia son texte et se tût dans un recueillement complet.

--Jossc_fantomette


[Quelques part on ne sait où mais très en colère]




Elle était penchée de nouveau pour regader son tendre aimé, lorsque un homme arriva à sa grande surprise, encore plus grande lorsqu'il annonça a son amour de toujours.

--Elle t’a été fidèle….mais …elle m’a aimé !


En disant ces mots il lui donna un baiser sur ses levres mortes.

--Beurkkkkk, Regarde Ylanis rhoooo je suis outrée. Tes potes là les deux comment tu les appelle déjà ils ne peuvent pas l'envoyer en enfer directement celui-là?

Jossc faisait les cents pas et chercha une façon de le faire taire. Elle qui n'avait eu qu'un seul amour, un seul Baron dans sa vie, le sien, le père de ses enfants. Surement parcequ'elle avait toujours refusé ses avances, il se vengeait a sa façon


Une idée saugrenue lui vint à l'esprit elle leva la bouteille de calva et visa la tête de cet idiot, imbu de sa personne, lui qui ne pensait qu'a agrandir son tableau de chasse en collectionnant les femmes, surtout celles des autres.
Une main forte et ferme empoigna le bras de la défunte.


--Sacrilège malheureuse!!!! tu te rends compte de ce que t'allais faire.

la belle haussa les épaules elle ne décolèrai pas. que savait-il d'elle ce namaycusch, qui passait son temps à se servir des gens qui pouvait lui être utile.

--Bon dis-moi toi, une idée pour faire taire ce couard? Tu as vu pour qui il nous fait passer? Moi pour avoir cocufié le seul homme que je n'ai jamais eu dans ma vie. jamais je n'ai aimé une autre personne que mon homme. Et ma petite écoute comment elle lui a cloué le bec....


Rouge écarlate par la rage qui bouillonnait en elle désormais, elle continua a parler seule en tournant autour de la table.

--Reaver qui est effondré, lui fera manger ses mots, je disais tout à mon homme, il savait exactement le pourquoi de cette pseudo amitié avec ce fourbe, je suis en colère, je suis en colère.
J'espère voir ou le jour a genoux il le suppliera de lui laisser la vie. Aller ressers moi un grand verre, non tiens donne.


Elle lui reprit la bouteille des mains d'un geste brusque et bu directement au goulot une bonne rasade, afin de se calmer.




Polissonne


Polissonne qui se recueillait en disant la prière des défunts, fut outrée par la manière de faire de ce rustre personnage, comment osait il dire cela d’une femme droite comme était sa marraine adorée, elle qui ne vivait que pour ses amours son époux seul homme de sa vie et ses enfants la prunelle de ses yeux.
Elle était révoltée par tant de méchanceté, elle se redressa pour…. . Son frère Frizt la retient du bras, devinant sa pensée, lui chuchota "calme toi, cela ne sert à rien, pense que le monde est petit ".
Polissonne se rassie avec difficulté tant la colère grondait en elle. Elle qui avait perdue son époux tué sur les routes de Normandie, par des brigands sans foie ni loi, savait ce que pouvait ressentir son parrain et ses enfants.
Polissonne prit une grande inspiration afin de se calmer, elle tremblait de colère, elle n’en croyait pas ses oreilles, comment osait il cet homme d’insulter ainsi son parrain et ses enfants, franchement on aurait du lui couper la langue.
Que de méchanceté sur nostre monde et de personnes malfaisantes, alors qu’il est plus simple de faire le bien autour de soi..
--Ylanis_is_dead


[Ça picole en Schéol]


Tout souriant, l'Ylanis n'eût guère à patienter sa réponse cinglante.
- Hé ne m'insulte pas s'il te plait, bien sur que ma filliote ressemble à son père elle a ses yeux, sinon je te reprends le calva......
Mais c'est qu'elle bouge encore la bougresse, on est loin du calme plat de l'au-delà. Le Prince grommelle quelque chose du genre : on touche pô au calva ; mais personne n'entend, la remarque aussitôt recouverte par de la compassion.
Mais que voulez-vous, se dit-il, d'ici on voit mal les détails... Ah, mais qu'elle malchance d'avoir une enfant bigleuse rajouta-t-il intérieurement, sincèrement navré pour la pauvre enfant.


- Nonnnn, il a la bonne pour la lessive entre autres choses de son regard toujours vif, bien que trépassé - ce qui est en soit un exploit quand on voit tant de vivant avec leur regard de bœuf mort - , elle appuya ses dires d'un mouvement de sourcil. allons ressert nous.

L'homme aux cheveux de jais acquiesça, comme s'il savait quelque chose au sujet de la bonne... n'allez pas croire ça, en fait, il pensait à tout autre chose... bien qu'évidemment il approuvait fortement le comportement de la Baronne, après tout, si on ne peut plus tromper son épouse sans qu'elle soit au courant où va-t-on ! Yla avait toujours été attristé du comportement détestable de certaines femmes qui, par ce fait, obligeait leur époux à les cocufier sans leur avouer. ... Ben oui, bon, revenons-en à la préoccupation de l'ancien juriste qui se trouvait être un débat sur un détail d'expression linguistique : je dis bœuf mort, mais en croise t-on tant que ça dans la rue ? Certes non ! Et dans nos cuisines ? Même pas ! ... Bon, je vais pas m'étaler dessus mais tout de même...

Toujours à ses pensées, l'alcoolique se resservit comme les autres, quand soudainement la Baronne, sensée goûter au sommeil éternel, le ramena sur terre à coups de décibels démontrant ainsi qu'elle était loin d'être endormie.


- Beurkkkkk, Regarde Ylanis rhoooo je suis outrée. Tes potes là les deux comment tu les appelle déjà ils ne peuvent pas l'envoyer en enfer directement celui-là?

Le décédé se demandait lui - oui c'est ça quand on est mort, on a du temps pour les grandes questions existentielles - comment peut-on ramener sur terre quelqu'un qui a la tête dans les étoiles quand, comme moi, on est dans les astres à des pensées bien terrestres ? Encore une expression qui n'allait pas...
L'énervement de Jossc lui fit porter un intérêt à la scène qui se déroulait en bas. Il approuva avec tendresse. Comme cet individu devait l'aimer profondément pour vouloir être enterré avec elle en ce jour... stupide, stupide, mais romantique.

Le drame survint alors. La Baronne se saisit de la bouteille pour jouer à un célèbre divertissement de tavernes appelé "prend toi une bouteille dans la tronche" ; jeu tellement ancien qu'on en sait guère plus si c'est lui où une autre version dérivée, le non moins célèbre "lancer de sandale" , qui fut inventé le premier.
D'un réflexe surhumain - agilité qui ne concernait uniquement que ce qui touchait à l'alcool - , Ylanis saisit le bras fou et cria sur sa propriétaire.


- Sacrilège malheureuse !!!! Tu te rends compte de ce que TU fais. *t'allais faire* tsss tu crois vraiment esquiver ça comme ça toi ? Veuillez pardonner, chers lecteurs, cette honteuse erreur de typographie de la Fantômette.

Tandis que la blonde rougissait de rage et de colère ; le Prince lui rougissait aussi... enfin ,ses yeux. Déjà les larmes le gagnait, son regard triste et affligé visant le précieux liquide répandu au sol.
Comment ? Comment pouvait-on commettre pareil crime !
Inconsciente de l'atrocité commise, insouciante de l'horreur de son vil forfait, la colérique cadavérique s'épanchait sur son cas, ou plutôt sur le cas de son supposé amant. Mais bien que les mots soient forts et clairs, Yla n'entendit que très partiellement ce qu'il se disait. Tout était flou, confus, le brouhaha, le drame... ça peine et son chagrin sans égal à celui du cortège d'en-bas. Comment pouvait-on comparer la perte de quelques centilitre de calva avec ça ? Non, la nécrophilie et une quelconque médisance détruisant l'acte de deuil auprès de la famille des amis, non, cela n'était rien, absolument rien comparé à la perte d'un verre du liquide. Du moins, la vision d'Yla était telle.
Frizthecat
Frizt récitait la priére des defums
http://i88.servimg.com/u/f88/11/68/42/16/caramo19.jpg,
quand il vit Polissonne se dressait ,la retint calme toi cela ne sert a rien,pense que le monde est petit.
Frizthecat regarda vers le malautru se disant "il ne l'emportera pas au paradis".
Ho que oui il pouvait comprendre sa soeur, son chagrin , elle lui avait dit un jour par missive qu'elle avait rencontré une Dame fort aimable qui l'avait aidée à son arrivée a Rouen, elle était Maire de cette ville à l'époque, une grande Dame certe était la défunte la baronne Jossc.
Il regarda sa soeur effrondrée, lui serra la main pour la soutenir, il devra être encore plus proche d'elle, le malheur l'avait frappée par deux fois en peu de temps, son époux Juju et sa marraine Jossc, il baissa la tête pour caché sa tristesse, oui il sera près d'elle.
Russocarine
[quelque part en Languedoc]

Une missive scellée d'un sceau qu'elle ne reconnait pas. Un décès. Jossc. Le nom ne lui est ni vraiment étranger, ni vraiment familier. Gascogne. Elle l'aurait surement croisée du temps des balbutiements de la défunte Alliance du Sud.
Un nom pas assez familier en tout cas pour venir à l'enterrement pour balbutier des propos incohérents en cherchant à comprendre qui était vraiment la défunte.

Russo prit donc la plume, et rédigea une réponse qu'elle fit ensuite porter par un messager.


Citation:
De Nous, Russocarine, Vicomtesse de Salvagnac, Baronne de Privas et de Chateau-Verdun
A Vous Alix du Vivier

En ce triste jour qui arrache votre mère Jossc à notre terre, vous présentons nos sincères condoléances.
Prierons pour qu'Aristote lui ouvre la porte du Paradis Solaire d'où elle pourra veiller sur Vous.

Fait en Languedoc, le 29 septembre 1457


_________________
Lacsap
Lac trouvant la cérémonie un peu trop cérémonial pour une grande dame pleine de vie, s'en retourne à son chariot laissé aux abord de la clairière.
Il revient avec un tonneau de calva du domaine du Vivier, remerciement de Reaver à sa personne. Il le pose sur une table et invite les convives à venir trinquer à l'entrée de la baronne au paradis.


Hoyé Hoyé braves gens, ne soyez pas si triste, venez trinquer à l'entrée au paradis de notre bonne baronne !!!!!!!!!!!

il remplit un flacon et deux guindals de se fabuleux calva, parmi les meilleurs. Il s'approche du cercueil pour y déposer le flacon, mouille un de ses doigt de ce breuvage et en humecte les lèvres de Joscc. Puis se tournant vers Alix, lui tend un des guindal

Tenez Dame Alix, si les anges sont comme notre bonne curette Bourrike, votre mère doit bien s'en jeter un derrière la cravate la haut. Ne soyez pas si triste, trinquons à sa place parmi les anges près du soleil. Buvez cela va vous réchauffez le coeur.

Lac lève son godet et aval d'un coup sec le calva......
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