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[RP] L'hostel de Malemort

Nicotortue
[Dans l'un des salons de l'hostel, au moment de l'entrée de Stannis]

Aristote, ce jour-là, ne devait pas être du côté des Poitevins puisque le Comte ne put manquer l'arrivée impromptue de son beau-cousin. Il ne l'avait croisé que rarement à la chapelle Saint-Antoine, aussi ne le reconnût-il pas, surtout nippé ainsi. Il était qui plus est assis juste face à la porte et il aurait été difficile de rater le nouvel arrivant.

Croyant encore avoir affaire à un soldat ou à un nouvel importun, îl étouffa un soupir d'exaspération. Quand donc pourraient-ils être ici tranquilles, sa cousine et lui ? Le regard vert jusque-là chaleureux se mua instantanément en glace et c'est d'un ton tout aussi gelé qu'il fit remarquer la présence de l'intrus à Neb.

Ma cousine,
Je crois qu'un nouveau quémandeur se trouve derrière vous. Encore eût-il fallu, pour obtenir ce qu'il désire, qu'il sache comment s'annoncer et frapper à la porte ! Cela me semble pour l'instant difficile, vu sa façon cavalière de pénétrer ici comme en terrain conquis.
Nebisa
Entrée

Le valet prés de la porte pose un regard globuleux sur la Dame gouvernante, tentant de se reculer par mesure de précaution et cherchant un expédiant avant de se rendre compte qu'il n'y coupera pas... La Comtesse a laissé des ordres pour qu'on l'informe de l'arrivée de la gouvernante... C'est donc avec un semblant de sourrire qu'il salue l'arrivante.

Dame, nous vous attendions, Sa Grandeur.... les "grasce" c'est pour les ducs et si la patronne croit que vous la traitez de "grasse" elle risque de s'emporter et sa Grandeur qui s'emporte c'est pas bon pour nous aut'... Hum... Sa Gandeur est au salon ... Je m'en vas vous escorter !

Précédant la Dame, le valet s'engouffre vers le corridors, passant portes et couloirs alors que pendant ce temps au salon...

Salon

Un sourrire amusé aux lévres, Neb croise les bras sur sa poitrine, dardant ses sombres prunelles sur sa fille et son cousin... Ces deux là complotaient et elle comptait bien savoir quoi ... parce que les leçons, elle n'y croyait pas une seconde...

Mon cousin, avoir le plaisir de jouir de ta présence est le seul dédomagement qu'il me sied de recevoir. Pries plutot pour que je ne sabote pas les travaux de l'hostel de Brassac afin de te garder plus longtemps... Quoi de nouveau à Limoges... Hum... les aléas habituels, mon mandat est quasiment achevé et j'ai hate de me refaire une santé en profitant des bonheurs simples de la vie... un peu de prune, quelques visites aux tisserands et la présence des miens...

Nouvelle interruption ? Le visage de Nico est une vrai sonnette... Son masque mondain se matérialise instantanément hors de la sphére intime et elle se retourne, prête à rembarrer l'arrivant qui brise l'intimité familliale avant d'émettre un hoquet de surprise en reconnaissant son époux sous une couche de poussiére et de poils à faire de l'ombre à un ours pyrrénéens...

Sta... nnis... Mais... Que... je... STANNIS !

Baffouillante Malemort qui ne sait comment réagir... Revoir son mari c'est une chose mais elle n'est pas préparée a de telles retrouvailles... Il aurait tout de même put prendre le temps de se débarbouiller ! Et de se raser ! Et de lui acheter des fleurs !
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Boisé forever !!!
Nicotortue
Hoquet de stupeur du Comte au nom de l'époux de Neb. Comment... derrière cette couche de poils, de poussière et sûrement de crasse, se cache le nouveau maître de maison ?! Impossible. Un nouveau regard incrédule va et vient entre Neb et l'être qui semble être le nouveau Comte de Ségur. Quel contraste ! D'un côté, le raffinement et le vernis d'une aristocratie sûre de sa place et de sa puissance, de l'autre... et bien, de l'autre... un semblant d'ours ou, du moins, quelque chose d'approchant puisqu'il n'y a pas d'ours en Poitou.

Les mots de Lunedor encore en tête, le Comte ne bronche pas. Pas un geste, pas une parole. D'ailleurs, il n'a pas à le faire puisque, officiellement, il ne sait pas la nouvelle place de Stannis dans la maison Malemort. Aussi, le regard vert demeure aussi glacial, tandis que le masque de hauteur et de dédain qu'il affecte en société ne bouge pas d'une ride.
---fromFRLunedor
Salon

Lunedor se tait (sisi, elle sait) et laisse faire le cousin qui s'y prend bien mieux qu'elle pour mentir. Elle essaie juste de se faire oublier alors qu'ils entament les inévitables discussions d'adultes rapport à la politique. Fiche! Il fait vraiment chaud ici.

Elle a un petit sourire à l'annonce du séjour de cousin Nico mais il s'efface bien vite quand il semble que l'époux de sa mère vient d'entrer, attirant toute l'attention sur lui.

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Stannis
Le Comte, entendant le commentaire glacial de l'invité mystérieux de son épouse, ne peut retenir un petit sourire en coin... C'est vrai qu'il doit avoir bien piètre mine, en regard de celui-ci, si richement vêtu. Et de se demander une fois encore qui il est, avant de repenser à ce qu'il a dit... "Ma cousine"... Rapide passage en revue mental de l'arbre généalogique enchevêtré que lui avait donné son épouse, avant d'en arriver, au moment où son épouse se retourne, à la conclusion que "l'individu" est Nico de Brassac, l'ancien Grand Ecuyer de France. Splendide. Pour des présentations avec celui qui n'avait pu être présent au mariage, ça commençait pour le moins délicatement...

STANNIS !

Le cri de son épouse le ramène brutalement à des considérations plus immédiates que les présentations à la belle-famille, comme, par exemple, trouver un moyen de survivre sans trop de dommage à ce retour dans des circonstances aussi défavorables qu'imprévues. Il allait vraiment le regretter dans les minutes à suivre, de ne pas avoir trouvé cette chambre avant le salon... Une rapide toilette, le temps d'égaliser sa barbe, et une tenue fraîche auraient quand même bien simplifié les choses, mais il était maintenant évident qu'il devrait faire sans, pour son plus grand malheur.

Eh oui, c'est bien moi... Je voulais te faire la surprise de mon retour, mais ces crétins de domestiques m'ont orienté directement ici au lieu de m'emmener dans une chambre, pour que je puisse enfin reprendre figure humaine...

Puis, se tournant vers le fond de la salle, s'adressant aux deux personnes qui s'y trouvaient:

Le bonjour à toi également, Lunedor.

Et se tournant enfin vers De Brassac, amusé encore par son attitude, mais s'efforçant de le masquer alors qu'il le salue - formellement, en l'absence de présentation - d'une inclinaison de tête:

Et à vous aussi, messire.
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---fromFRJehanne de Cassagnes
-« Bien sûr que je le sais ! » S'exclama Jehanne, furieuse de son faux-pas. Autant aller jusqu'au bout :
-« J'étais persuadée qu'elle était Duchesse de Ségur... Peut-être sa prestance qui m'a fait voir un port digne d'une duchesse. » Broaf, de toute façon, était-ce utile de se justifier face au majeur dome ? L'air pincé, la vieille rombière le suivit à travers les couloirs, vers un salon où manifestement se jouait un drame familial...
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Nicotortue
Puisque le nouveau Comte le salue d'une inclinaison de tête, l'ancien Comte y répond. La politesse l'exige, à défaut de l'envie et c'est aussi formel que son interlocuteur qu'il s'incline à son tour.

La merci à vous, messire. Le bonjour également.

Pas un mot de plus, pas de ton radouci. Il n'y a pour l'instant aucune raison valable de le faire. L'orgueil quasi-démesuré des Turenne lui interdit formellement de faire le premier pas et de déroger à la sacro-sainte règle des présentations. C'est donc toujours (presque) aussi muet qu'il se tourne vers Neb et lui jette un regard faussement interrogateur pour savoir qui est le quidam qui, vêtu de la sorte, ose lui adresser la parole, avec les formes certes, mais quand même !
Nebisa
Au moins il avoue être mortifié par sa tenue et son allure, la cause n'est pas désespérée et elle parviendrait à l'éduquer cet homme... En plus il dit qu'il avait hate de la revoir et qu'il voulait lui faire une surprise... Elle adore les surprises... Puis il va peut être rester cette fois aussi... la Malemort s'adoucit, ses envies d'étranglements décroissent, remplacer par une fugace tendresse dans le regard avant qu'elle ne se reprenne... Il va pas l'embobiner si facilement quand même !

Poussant un profond soupir, la Comtesse s'avance au devant de son mari, cherchant sur ses joues un endroit ou déposer ses lévres, une cible sans boue ni poussiére... Et n'en trouve point... Se rabattant sur le protocole, elle finit par lui tendre courtoisement sa main à baiser...


Et bien... nous ferons avec... Mais je manque à tous mes devoirs... Mon cher cousin, j'aurais préféré que les cirscontances fussent moins... rocambolesques mais hélas, je suis contrainte de me plier aux aléas du sort... Nico, voici donc mon époux devant Aristote et les hommes, Stannis Le Ray, Baron Poitevain, faut l'excuser . Stannis, voici mon cousin dont je parle si souvent, Nico de Brassac, présentement Comte de Turenne, Baron de Neuvic et Chevalier de Fontenay...

Regard glacial au chieur pour lui signifier que toute moquerie envers l'ordre de St Ouen serait synonime d'une longue et douloureuse explication conjugale...

Mais je ne doute pas que tu désire à présent gagner la salle d'eau avant que de prendre un verre et une collation avec nous...

Elle s'approche de la porte et va pour l'ouvrir quand la gouvernante apparait, manquant de la renverser...

Dame Jehanne ! Quelle heureux hasard, je m'inquiétais de vostre sort ! Les enfants brulent de faire vostre connaissance ! Approchez donc que je vous présente !

Avisant le valet...

Médard ! Faites préparer un bain pour le Comte... regard du valet qui va de Nico à Stannis... pour mon époux... même réaction... Celui qui semble avoir besoin de se nettoyer voyons ! illumination du laquais... Et n'oubliez pas les essences parfumées et de quoi oter cette couche de poils sur les joues... Nous avons bien un valet capable de faire office de barbier je présume...

Retour aux invités présent...

Permettez que je vous présente Dame Jehanne de Cassagne, mére de sa Grasce et Pair le Duc du Nivernais qui a accepté ma proposition de veiller sur l'éducation de ma descendance. Dame Jehanne, voici mon cousin le Comte de Turenne, Messire Nico de Brassac. Je vous présente également mon époux, le Comte Stannis et voici ma fille Lunedor dont je vous ai déjà parlé...
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Boisé forever !!!
---fromFRJehanne de Cassagnes
Hop, une porte qui s'ouvre, une Comtesse manifestement ravie de trouver là moyen à faire diversion, et une Castelmémère tout sourire qui avançait de son pas encore vigoureux, mais craignant pour son dos le moment où il faudrait se courber en révérence.
Une Comtesse et deux Comtes à saluer... Ca valait bien trois révérences, décuplées en douleur dans les articulations dorsales de la rombière. Ouïe !

Elle tâcha de masquer sa douleur par un sourire malgré elle grimaçant, et ne put retenir un souffle de soulagement lorsqu'elle eut fini de se courber.

Mais les enfants brûlaient de la connaître, c'était bon signe, et ô combien réciproque ! Son instant maternel, si longtemps insatisfait... Elle trépigna en regardant la petite Lunedor, au visage espiègle, et dit :


-« C'est un honneur, Vos Grandeurs, vraiment, de faire votre connaissance. » Petit instant de flottement : continuer les salamalecs ou accaparer la petite ?
-« Et, mademoiselle, c'est un plaisir de vous rencontrer enfin. Si vous saviez ce que madame votre mère m'a dit à votre sujet ! »
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---fromFRLunedor
Et non, elle n'a pas réussi à se faire oublier. Voilà qu'arrive la fameuse gouvernante. Soupir intérieur. Etre courtoise. Une parfaite demoiselle.
Elle se lève et fait une gracieuse révérence en direction de la voix.


Bonjour Ma Dame. Soyez la bienvenue céans. Ne pas en faire trop. Ca paraitrait louche. Je veux bien savoir ce qu'elle vous a dit sur moi. On gagne toujours à savoir ce qu'on dit dans notre dos.

Elle lui dédie son plus beau sourire pour atténuer ses dernières paroles. Au moins, elle lui a permis d'éviter de saluer le poitevin. Un bon point, la vieille.
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---fromFRJehanne de Cassagnes
Maligne, la gniarde ! Elle semblait à première vue n'avoir rien à apprendre question bienséance. Mais gare à l'eau qui dors ! Jehanne toutefois n'avait pas à l'idée que ce puisse être une teigne.
Ravie d'engager la conversation, elle s'approcha un peu de la blondinette et articula, d'un ton qu'elle voulait engageant et sincère :


-« Oh, ma demoiselle ! On ne dit que du bien de vous, dans votre dos, soyez-en sûre ! Madame votre mère dit que vous adoooorer la musique, qu'on louera dans les ans à venir votre talent, et que vous serez la fierté de votre maison. » La comtale comtesse avait-elle affirmé de telles choses ? P'têt ben qu'oui, p'têt ben qu'non. La vieille avait des trous de mémoire. Mais même si ce n'était pas vrai, la mère n'oserait pas démentir devant sa fille de si tendres compliments... Enfin, espérons.
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Nicotortue
Décidément, on entre dans cet hostel comme dans un moulin. Après un Baron poitevin crasseux, devenu Comte limousin par son mariage, voici qu'arrive une vieille rhumatisante devenue gouvernante par ennui ou par souci de s'éloigner de son Pair de fils. Quand donc pourra-t-on être en famille, enfin en vraie famille s'entend ?! Les pièces rapportées doivent d'abord faire leurs preuves avant d'être considérées pleinement comme de la famille et d'en bénéficier ainsi de la confiance et de l'amour.

Nebisa, qui semble mal à l'aise, lui présente enfin son époux, avant de l'engager à se retirer afin d'aller se rendre plus présentable. Pourtant, avant qu'il ne tourne les talons, il ajoute, toujours aussi glacial :

Enchanté, Baron. Bienvenu dans la famille. Je ne dirai pas que vous avez été fou de vouloir y entrer mais la réalité n'en est pas loin.

Cela fait, il salue courtoisement la vieille qui semble avoir au moins le sens des convenances et qui s'incline malgré son âge et la douleur apparente de ses génuflexions. Comme elle s'approche immédiatement de Lunedor, le Comte se renfonce dans son fauteuil et attrape un nouveau biscuit.
Stannis
Bon, il s'en est bien sorti, une occasion de s'éclipser, et de revenir en ayant meilleure allure... Bien qu'il semble que cela soit déjà fort compromis pour essayer d'améliorer l'image que le nouveau cousin s'était déjà faite de lui. Cousin qui, bien que ne bougeant pas de son fauteuil, le "salua" fort "aimablement", tout en lui parlant - tiens, lui aussi? - de sa folie, à s'être ainsi joint à la famille. Quoique ses yeux semblent plutôt dire à ce moment que c'était son épouse qui était folle d'avoir accepté... Enfin, il ne pouvait lui en tenir rigueur, non? Le temps de saluer la gouvernante d'un signe de tête, il rajoute à destination du Brassac:

Enchanté également, Comte. Quand à ma folie, ne vous en faites pas, je suis prévenu depuis longtemps... Feu le Comte Rassaln me l'avait déjà dit en m'autorisant à courtiser votre cousine.

Puis, alors qu'il s'apprête cette fois à s'éclipser pour de bon, s'adressant à Nebisa:

Je suis bien entendu pressé de la gagner, puisque c'est ce que je comptait faire avant de te retrouver... Cette tenue a l'avantage de ne pas attirer l'attention des routiers quand on voyage seul pour aller plus vite, mais rassures-toi... Même au Poitou, on se se revêt pas ainsi pour des rencontres mondaines. Sisi, je t'assure.

Il sort alors, ne s'arrêtant sur le seuil que le temps de rajouter une petite phrase, histoire de rappeler à son épouse qu'il n'était pas précisément là-bas pour le plaisir, et n'avait donc pas emmené ses meilleurs habits.

La mode y est plutôt à l'armure, en ce moment.
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---fromFRLunedor
Lune ne peut retenir un nouveau sourire.

J'espère que qu'est-ce vous dites est vrai. J'aime beaucoup la musique en effet. Sa mère a-t-elle vraiment dit ça? En même temps, dès qu'il s'agit de ses enfants...

Avez-vous fait bon voyage Madame? Vous venez d'où?

Connaître un peu mieux la bonne femme peut être un atout pour après. Mais...qu'est-ce qu'il a dit Poitou? l'armure là-bas? ... et messire Gauvhin? Une ombre passe sur son visage.
Il faut qu'elle prenne des nouvelles, et vite. Même si elle doit adresser la parole au mari de sa mère? Grave question.

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Nebisa
Un léger sourrire aux lévres, elle observe la gouvernante débuter les manoeuvres d'approche envers Lunedor... Elle fera chercher Louis et Elisa tout à l'heure...

Son attention se reporte sur Nico et Stannis... "Feu le Comte Rassaln me l'avait déjà dit en m'autorisant à courtiser votre cousine"... Mouais... D'ailleurs, d'une la cour façon Stannis lui donnait fréquement des envies d'étranglement à l'époque, toujours a la vouvoyer sans jamais tenter de la culbuter.... Pas vraiment la façon dont elle était habituée à vivre ses rapports humains... et la réaction de Rass face la "demande" ! Ah ça... elle n'était pas ravie de voir son frére démarrer des pronostics sur les chances qu'avait le Poitevin de partir en courant... Enfin quoi, c'est si fou que ça de penser qu'un homme sain d'esprit veuille l'approcher et ne finisse pas par prendre la porte de sortie en douce au bout de quelques temps ?

Quoi que... n'était ce pas ce qu'il avait fait pour gagner Thouars ventre à terre justement ? Et voilà qu'il la provoque en plus...


Les troupes sont plutot du coté de Saumur maintenant mon cher mari... Et je doute qu'un héraut fusse envoyé en premiére ligne... Tu as certainement fait venir ton armure, mais je doute que tu l'eusse endossé durant ces derniéres semaines...

S'il croit lui faire peur non mais... Et puis de toute façon si jamais il lui était arrivé le moindre soucis... Le poitou aurait dut faire face a une véritable chieuse en fureur et ça... Bon en tout cas c'est pas tout mais même pas il dit qu'il revient pour de bon et pis son baise main elle peut se gratter... Trés bien ... tant pis..

N'accordant plus la moindre attention à son Comte, elle va s'assoir prés de son cousin, leur servant à tous deux une coupe de prune.


Nico, tu ne devineras jamais ! J'ai déniché la semaine derniére une étoffe venue d'Antioche dont la douceur et la tessiture évoque le contact d'une plume d'ange sur la peau ! Le travail des couleurs est tellement chatoyant... les broderies si fines... Je ne regrette pas mes 300 écus vraiment ! Une fois travaillée, la toilette sera renversante !
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Boisé forever !!!
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