Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, ..., 23, 24, 25, ..., 43, 44, 45   >   >>

[RP] La Plume Normande

Plum
Revenant du necadas, les habitudes ne se perdant pas, Plum rentra dans la bastise accompagné d'une demoiselle. A peine entré, et voyant la tête de sa chère et tendre, il souria lui donna un baiser et comprit bien que cela ne suffirait pas.

Euh Isu Art Art Isu, elle est de passage par Guéret depuis une semaine et personne n'a encore daigné lui offrir le gîte. J'ai donc pensé qu'on pourrait remédier à celà. sourire confus espérant qu'elle ne le prendrait pas mal.
Tu sais bien comme c'est agréable de retrouver une couche de temps à autres.

Sourit et se dirige vers Plumeau pour le prendre dans ses bras
Arthaud


Art sourit en voyant l'air géné de son cher et tendre .

"mais bien sur mon amour cela ne me pose aucun problème,je ne vois d'ailleurs pas pourquoi cela m'en poserait ?. AH si parce que cette jeune femme est charmante et bien si Aristote la doté d'un si beau regard c'est que son âme doit être belle non?
Puis se tournant vers la jeune femme

"entrez belle damoiselle , notre demeure et la votre ,le temps qu 'il vous plaira d'y rester. je suis décue que mes concitoyens ne vous aient pas offert l'accueil qu'il se doit à toutes personnes étrangères"

Et elle sourit à Plum se disant qu'il était plus sensible aux yeux d'une jolie femme étrangère qu'à celle de certains messires de leur connaissances

_________________
Isuky
Il n'était pas encore très tard quand Isu suivit le Messire qui avait avec grande générosité lui offerait le toit pour la nuit.

Elle était malgré tout quelque peu gênée, son parrain lui ayant apprit à toujours se débrouiller sans ennuyer les gens.

Ils arrivèrent donc en la demeure du couple et eu un sourire amusée quand elle remarqua l'air ennuyé du Messire qui la présenta à sa compagne.


Bien le bonsoir Dame, je vous remercie de m'accueillir moi une étrangère dans les murs de votre humble demeure, mais afin de ne point vous gêner, j'ai vu avec votre compagnon et me contenterais de votre grange ou écurie.

A ces paroles, elle joignit un pas afin d'accepter l'invitation de la Dame, elle entra donc dans la maison et reprit paroles.

Vous savez Dame, je n'en veux à personne et je comprend très bien qu'il n'est simple pour personne d'inviter une ou un étranger en sa maison, et puis il fait bon et chaud dehors c'est pourquoi dormir à la belle étoile ne me dérange guère

Elle les regarda avec envie *qu'il devait être bon de pouvoir se blottir dans les bras de celui qu'on aime*

Je vais vous laisser et allé m'installer, j'ai de la route à faire demain et je suis assez fatiguée et j'ai aussi tout l'impression que vous avez le besoin de vous retrouver.

Elle pris donc son petit baluchon et sortit de la maison tout en les remerciant une nouvelle fois et les saluant.

Le matin venue, elle s'en alla sur le marché et revenant déposa devant la porte de la demeure de ses hôtes un beau jambon et une belle miche de pain, elle fut heureuse de leur offrir cela pour les remercier grandement de leur hospitalité et s'en retourna sur les routes.
Arthaud


Arthaud avait grandement apprécie la dame et ses présents .

les jours avaient passés depuis ,chacun avait repris sa vie .Tout deux avaient des projets trés différents mais la vie à deux suivaient son cours .Ils etaient en parfaite harmonie

même si Arthaud avait ouïdire que Plum passait beucoup de temps en taverne avec les jolies venues à guéret ,elle n 'y prenait point garde car elle savait que leur amour pouvait resister à beaucoup et elle se sentait suffisamment forte pour deux

_________________
Arthaud


Arthaud rentra chez elle épuisée .elle venait de placarder son annonce à la mairie annoncant sa candidature aux prochaines elections municipales et déjà le doute l'assaillait ;
"suis je capable , n'ais je pas trop dambition .Oh que le trés haut m'aide dans cette tache " soupira t'elle

Elle poussa la porte contigu à sa boulangerie afin d'entrer dans la taverne que Plum venait d'ouvrir. il avait tout simplement agrandit le ian's qui tombait en desuetude depuis la tragique et soudaine disparition de cette trés chère witch.Elle espérait que celui ci s'y trouverait ,elel avait grna dbesoin du réconfort de ses bras.......

_________________
Mancanza
Mancanza se réveilla courbaturé. Il faisait encore nuit, il n'avait dormi qu'une heure tout au plus.


Allez courage, quelque chose me dit que mon périple touche à sa fin. Que mon courage et mon audace seront récompensés. Que j'atteindrai bientôt la terre ferme.

Cela faisait maintenant presque deux mois qu'il cravachait jours et nuits sur son radeau de fortune. Il avait quitté les cotes d'un pays lointain, dont personne ne connaissait l'existence. Cette idée folle de braver les mers pour découvrir les terres au delà de l'océan lui était venu lors d'un rêve. Ce rêve lui avait semblé tellement réel...

Dans ce songe, il se voyait vêtu d'un accoutrement étrange qui lui recouvrait tout le corps. Il voyait autour de lui des centaines de passants vaquant à leurs occupations, tous vêtus comme lui. Autour de lui s'élevaient des remparts, constitués de pierres qu'ils n'avaient jamais vues.
Mais ce qui le marqua le plus dans ce rêve, était cette sensation étrange qui le pétrifiait. Il n'avait jamais ressenti cette sensation auparavant. Il avait froid !
C'est à ce moment qu'une voix lui chuchota : "Au delà de l'océan, le salut tu trouveras".


Au vue de son existence sans but qu'il menait depuis sa naissance, il ne lui en fallut pas plus pour se jeter à l'eau !
En quelques jours, son radeau était prêt. Il avait chassé quelques gibiers : Maipouri, Caïmans, Pacari... et avait maladroitement fabriqué une petite canne pour pêcher le poisson lors de sa traversée. Et c'est ainsi qu'il prit la mer.


Il ne s'était pas trompé, deux heures après son réveil, il entrevis les abords d'une cote. Il ne savait pas où il allait atterrir mais il avait foi en son rêve.
Cette vision lui fit redoubler d'effort et c'est en larme et en sueur qu'il atteignit la plage.

Abandonnant son radeau il se jeta dans le sable et le fi ruisseler le long de ses cheveux et de sa barbe...


Enfin ! J'y suis ! J'avais raison !

Il entrepris de partir droit devant découvrir ce que cachaient ces contrées inexplorées. Il ne s'attendait pas à devoir marcher durant deux jours avant de trouver un village.
Ce village était Gueret. Il y arriva exténué, sale, puant et maigre comme un clou.

A bout de force, il poussa la porte du premier édifice qui lui fi face. Il leva les yeux et vis écrit en grosses lettres "La Plume Normande".
Arthaud


la plume normande était encore en travaux quand la porte s'ouvrit laissant passer un homme qui semblait harasser ,^prêt à s'écrouler.

Arthaud se précipita à son devant . Le destin surement l'avait pousser à venir chez elle ,l'étudiante en médecine;

Son accoutrement , sa mine n'était point ne de mise dans ces contrés et tout en lui montrait qu 'il venait de faire un long voyage.

"oh messire entrez ,venez donc vous asseoir ,vous me semblez prêt à vous trouver mal. mais heureusement vous avez pousse la bonne porte " dit elle le soutenant ,un sourire aux lévres

une fois le messire assis ,elle se précipita vers le comptoir ,servit un verre de calvados et revint le porter à l'homme

"tenez buvez cela ,il n y a rien de plus fort pour redonner de la vie dans le corps"
Et pendant que l'homme buvait et que la couleur revenait un peu à son visage ,elle se présenta

"je suis dame Arthaud et je vous souhaite la bienvenue dans notre village"

_________________
Mancanza
Mancanza était déjà très solitaire par nature, mais ce voyage n'avait fait que renforcer ce trait de caractère.

Il entra donc dans la taverne tête baissée. Il s'attendait à y trouver un tas de pochtrons sans intérêt.

Mais il s'était totalement trompé. En entrant, il eut une vision de Paradis. Toutes ses tables en bois, ces bouteilles d'alcool, cette odeur de viande... et surtout cette femme d'une beauté incomparable ! Il n'avait jamais vu une Dame avec autant de classe. De part chez lui, les représentantes de la gente féminine avaient pour habitude de se promener nues ou uniquement vêtues d'une peau de bête. Mais cette Dame qui lui faisait face portait une tunique Noir et Rouge, était parfumée et avait des yeux à vous transpercer le cœur.


Bonjour Madame, fit-il en entrant dans l'établissement.

Oh ! Mais que vous est-il arrivé s'exclama t-elle en le voyant entrer.

Ce serait trop long à vous expliquer, et de toute façon vous ne me croiriez pas dit-il.

A votre guise, rétorqua t-elle. Je prénome Dame Arthaud et vous ?

Mancanza, Répondit-il

Vous avez l'air de mourir de faim. Je vous aurais bien offert une mie de pain, mais malheureusement j'ai tout vendu hier soir. Il faut dire que mon pain est tellement bon !

En fait, c'est exactement pour cela que je suis là. En chemin, j'ai croisé un homme à Cheval, Messire Toinos. Il m'a recommandé votre taverne pour la qualité de son pain et de sa bière et m'a dit qu'il vous arrivait d'en offrir généreusement aux vagabonds de passage.

Ce chère Toinos vous à bien renseigné. Comme je vous l'ai dit, je n'ai plus de pain pour le moment, mais mon bien aimé Plum est parti au marché m'acheter les ingrédients pour le préparer. Si vous n'êtes pas pressé, patientez un peu dans notre belle taverne. Je vous sers une bière !

Mancanza accepta de bon gré et bu sa choppe cul sec. Il avait l'habitude de boire de l'alcool, mais le manque de nourriture et la fatigue qu'il trainait depuis des mois ont amplifié les effets de l'alcool. C'est ainsi qu'il s'endormit sur la table de la Taverne.

Il fut réveillé par des éclats de rire. Il vit autour de lui quatre personnes en train de discuter.

Tiens, il se réveille s'exclama Dame Arthaud.

Mancanza senti l'odeur du pain chaud. Un Homme s'avança vers lui.
Tenez Messire, nous vous l'offrons de bon cœur.

Mancanza se jeta sur le pain comme le mort de faim qu'il était. Tous le regardèrent, béats, et quand il eut fini, il rirent tous de bon cœur.


Merci Messire, je vous en serais éternellement reconnaissant. Je me présente, je suis Mancanza, un pauvre vagabond, dit-il en s'inclinant.

Relevez-vous Sire. Je suis Plum et voici ma chère et tendre, Dame Arthaud. Vous êtes ici chez vous.

Mancanza ne savait pas encore que cette rencontre allait changer le cours de sa vie...
Arthaud


L'homme avait fini par s'endormir,épuisé surement par son voyage et le calva plus la biere avait eu raison de ces dernieres forces

A son réveil,Plum lui tendit un pain que l homme devora . Il semblait affamé .

une fois rassasié ,l'homme se présenta à Plum faisant un grand sourire à Art

celle ci lui dit que pendant son sommeil elle lui avait préparé une chambre où il serait bien mieux et dans laquelle un bac plein d'eau chaude l'attendait afin qu il puisse se revigorer

"je vous ai fourni également uen chemise propre car je crains que votre tenu n'est souffert de votre voyage"

Avec un large sourire ,elle lui montra où se rendre

_________________
Plum
Plum, chapeau sur la caboche malgré l'absence de soleil, tapait tant qu'il pouvait sur des clous, tentant de faire ce qui pouvait s'apparenter à des renforts pour tenir l'étage. Les tables étaient déjà à peu près disposées, le bar était encore vierge de toute beuverie.
Soudain, un bruit, la porte qui s'ouvre. Moment d'inquiétude, les portes sont les points faibles des tavernes. Tout semblait bien se passé, tant mieux !
Il vit donc un espèce de serf noirci probablement par le travail de la mine pénétré dans l'établissement.
Sa pour un premier client grommela t'il entre ses dents.. Il dévisagea donc cet énergumène tapis dans l'ombre. Il déposa lentement son marteau, s'éclipsa discrètement par la porte de derrière pour aller chercher un peu de farine.
Voir que sa chère et tendre, toujours très accueillante allait encore s'exclamer et s'empresser de le réconforter lui aurait été intolérable et il aurait encore à coup sur été taxé d'ours grognon. Il prit donc la brouette et se dirigea pour acheter de la farine sur le marché.

Quand il réapparut dans la taverne, l'inconnu c'était endormi et la taverne s'était quelque peu remplie. Il alla signalé à sa douce en lui déposant un baiser que la farine était là.

Les heures passèrent, les choppes se vidèrent et se remplirent quand enfin l'inconnu daigna se réveiller. Il lui apporta alors une miche de pain. Palsambleu, il me viderait toutes mes réserves à ce rythme..

Il le regarda ensuite monté à l'étage et sourit à sa douce.
Et moi tu m'as préparé une chambre ?
Arthaud


Arthaud sourit à son cher amour. Il avait du encore avoir du mal à la voir si affable avec un inconnu. Elle savait qu'il n'appréciait point sa manière si naturelle à être aimable avec tout le monde mais c'etait un trait de son cractère qu'elle ne pouvait point renier.

"oh pour toi la chambre est toujours prête et je veux bien te remplir de quoi faire un bain " et puis un petit peu plus bas

"à condition de le prendre avec toi"

et elle rit d ele voir rosir légérement de ce rire cristallin et juvénile qui la caractérisait et qui la faisait se distinguer dans une réunion même quand elle ne cherchait point à attirer l'attention.
[/code]
_________________
Plum
La question n'était pas si anodine qu'il y paraît. La taverne prenait beaucoup de temps et Plum aspirait à se reposer un peu, en compagnie de sa petite famille.

La proposition d'un bon bain par sa douce retint toute son attention. Tout en rougissant de plus belle, il lui murmura à l'oreille:
[b]attendons d'abord d'avoir fermé ma douce[/b] et il lui donna une petite fessée tout en regagnant la tablée.

Il amena alors un pichet de bière tout droit tiré du fut et proposa une tournée générale qui recueillit tout les suffrages.

La soirée s'était déroulée comme toutes les autres, Faf à sa place avec sa bière, des gens de passage, des amis. Ils fermèrent donc l'établissement à une heure très avancée de la nuit, soufflèrent les bougies, passèrent un coup de balai.
Plumeau s'était endormi à l'étage, art prit donc le couffin et il se dirigèrent vers leur battisse.
Arthaud
[22 juillet 1457]

Arthaud se leva de bon matin . A peine était elle debout qu'elle reçut un pigeon

Citation:
vous avez été élu maire ,félicitation


Même si la nouvelle n'était pas une surprise ,le voir écrit noir sur blanc était tout de même impresionnant

elle s'assit

"Alea Jacta ex"
_________________
Plum
Plum arriva en vue de la rue de la bière dans la matinée. Il était partit aux aurores de Bourganeuf avec des voyageurs se dirigeant vers le Nord. Pas très bavard eux non plus, le voyage fut calme et reposant. Machouillant un épis de blé, il s'arrêta devant sa demeure, arrangea ses cheveux comme il put et rentra.
Palsambleu, rien pas âme qui vive. Il rentra déposa donc son couvre chef sur la table et remarqua un amas de plume vers la fenêtre donnant sur la rue. Il se gratta la tête et demeura interdit.
Bon, je vais allé jeter un coup d'oeil à la mairie alors ..


[A la mairie]

Il arriva et tambourina à la porte du bureau en beuglant, c'est un scandale, vous devriez prendre du repos m'dame la bourgmestre !!!
Arthaud


Arthaud était plonge dasn ses dossiers quand elle entendit ces paroles .elle sursauta porta la main à sa garde quand tout à coup elle reconnu cette voix

'mon amour te revoila " dit elle se precipitant vers lui pour l'embrasser
"oui je sais je travail trop tu as raison en plus c'est une magnifique journée .si nous allion sau bord de la riviere avec alexandre cela nous ferait du bien non?"

et elle l'embrassa à nouveau tandis qu 'il lenlacait pour la mener chez la nourrice chercher le petit

_________________
See the RP information <<   <   1, 2, 3, ..., 23, 24, 25, ..., 43, 44, 45   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)