Fabrizio05
Le lendemain matin.
Waterloo...Waterloo,morne plaine.
Et ben non nous sommes point en Flandre.
Mais à Guéret charmante ville.
Où le calme à prit ses quartiers.
En ce matin les oiseaux chantent et sifflent.
Tous n'est que harmonie, tout n'est que beauté.
Le soleil darde ses rayons à travers les vitres d'une taverne.
La chaleur matinale pénètre tout doucement dans ce lieu.
Mais le bruit de la nature, de la beauté reste au dehors.
Car à l'intérieur il n'y a rien...Rien qu'un silence profond.
Un corps d'un homme est allongé sur le comptoir, les bras et jambes en croix.On peut croire qu'il ne respire plus.
Ses jambes ne bougent plus ; Elles pendent de chaque côtés du meuble qui sépare la salle des bouteilles.Mais une botte manque à son pied dextre.
Il reste là sans bouger enfin presque, son ventre se lève doucement et s'affaisse .
Oui il respire, oui il vit.
Il vit...
Soudain il se redresse, son buste se porte en avant dans un geste brusque.
Lui qui dormait il y a encore quelques secondes, le voici bien réveiller.
Une main se porte sur le sommet de son crane, caressant sa chevelure dans un mouvement circulaire mais désabusé.
Vérole de Moine...j'en tiens une bonne.Dit un Fabrizio avec la teste des grands jours, des lendemains de cuites.
Les yeux ouverts comme deux soucoupes, la mine ravagée par l'excès de vinasse.Il est plié en deux sur ce comptoir essayant de retrouver ses souvenirs de la veille.Tandis qu'une main caresse la pointe qu'il a au dessus de son crane.
Et l'autre qui s'accroche au meuble, essayant elle aussi de le maintenir droit et donc de sauver les apparences.
Mais lesquels ?
Le sol de la taverne est joncher de cadavres de bouteilles vin, quelques tables sont déplacées, quelques chaises au nombre de trois sont couchée par terre.
Des choppes d'étains gisent parmis des bris de verre.
La sciure du sol est répandu mais n'importe comment.
D'une façon anarchique.
Fabrizio regarde ça et déclare tout bas tout en cherchant du regard sa fille et Ana.
Pute vierge... ça pour faire la feste on sais y faire.
Il veut se souvenir, il veut se rappeler mais il n'y arrive pas.
Il glisse ses jambes vers la senestre du comptoir, en direction de la salle.
Une botte apparente et encore au pied.
Il prend son temps, oui c'est dur, très dur et quelle biture !
Il glisse doucement vers le sol, pieds en avant.
Petit pas pour l'homme...Immense effort en ce début de journée.
Il se tient debout , relâchant l'attention qu'il a vouloir être débout, mais très vite ses instincts reviennent.
Sa langue est râpeuse dans sa bouche, un arrière goût de vin et de bière y traine.
D'ailleurs tout le monde vous le dira...les mélanges c'est pas bon.
Il redresse la teste y découvre encore mieux le spectacle qui se dresse devant lui.
Pains et croutons à terre, reliquats de terrines de sangliers, sur le comptoir à l'autre bout où il dormait, enfin où il cuvait.
Morceaux de jambons par terre, son os plus loin.
Morceaux de viandes par terre ou planté sur un mur par de fléchettes.
Oui les même que celles du jeu.
Une botte au loin dans un coin de la salle ainsi que des chausses.
Bordel c'est nous qui avons fais ça ?.Dit il d'un ton triste voir las.
Puis son visage s'éclaire dans un sourire radieux.
Pas peu fière d'avoir mis un tel barouf dans cette ville qui dort.
Et puis...Et puis une main va vers son ventre, laissant aucun choix à Fabrizio que celle de marché vite vers une fenêtre et de vomir son du.
Deux...trois poussées en avant et tout ressort.
Dans un grand un large bruit, tel un évier qu'on débouche;Mais à l'envers.
Enfin il revient vers le centre de la pièce, essuyant le reste sur ses lèvres par une manche tâchée de...Va savoir.Tout comme le devant de son tabard et de ses braies.
Comme si le haut et le bas s'étaient disputés le droit d'avoir le plus de tâches de toutes sortes surtout le plus incongrues.
Ben au moins on sais s'amuser de part chez nous.S'écrit un Fabrizio conquérant et content.
Oh debout la dedans...J'ai faim et soif et c'est ainsi que l'on traites les clients ?
Ana bougresse t'es où ...Bouge toi!, femelle de l'Enfer.
Violetta ma chérie ,..ça va ?
Papa est là !Crie-t-il tout d'un coup.Afin de savoir où elles se cachent.
Ah les femmes ça tiens pas l'alcool...
Et oui les jours se ressemblent mais pas les circonstances.
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Waterloo...Waterloo,morne plaine.
Et ben non nous sommes point en Flandre.
Mais à Guéret charmante ville.
Où le calme à prit ses quartiers.
En ce matin les oiseaux chantent et sifflent.
Tous n'est que harmonie, tout n'est que beauté.
Le soleil darde ses rayons à travers les vitres d'une taverne.
La chaleur matinale pénètre tout doucement dans ce lieu.
Mais le bruit de la nature, de la beauté reste au dehors.
Car à l'intérieur il n'y a rien...Rien qu'un silence profond.
Un corps d'un homme est allongé sur le comptoir, les bras et jambes en croix.On peut croire qu'il ne respire plus.
Ses jambes ne bougent plus ; Elles pendent de chaque côtés du meuble qui sépare la salle des bouteilles.Mais une botte manque à son pied dextre.
Il reste là sans bouger enfin presque, son ventre se lève doucement et s'affaisse .
Oui il respire, oui il vit.
Il vit...
Soudain il se redresse, son buste se porte en avant dans un geste brusque.
Lui qui dormait il y a encore quelques secondes, le voici bien réveiller.
Une main se porte sur le sommet de son crane, caressant sa chevelure dans un mouvement circulaire mais désabusé.
Vérole de Moine...j'en tiens une bonne.Dit un Fabrizio avec la teste des grands jours, des lendemains de cuites.
Les yeux ouverts comme deux soucoupes, la mine ravagée par l'excès de vinasse.Il est plié en deux sur ce comptoir essayant de retrouver ses souvenirs de la veille.Tandis qu'une main caresse la pointe qu'il a au dessus de son crane.
Et l'autre qui s'accroche au meuble, essayant elle aussi de le maintenir droit et donc de sauver les apparences.
Mais lesquels ?
Le sol de la taverne est joncher de cadavres de bouteilles vin, quelques tables sont déplacées, quelques chaises au nombre de trois sont couchée par terre.
Des choppes d'étains gisent parmis des bris de verre.
La sciure du sol est répandu mais n'importe comment.
D'une façon anarchique.
Fabrizio regarde ça et déclare tout bas tout en cherchant du regard sa fille et Ana.
Pute vierge... ça pour faire la feste on sais y faire.
Il veut se souvenir, il veut se rappeler mais il n'y arrive pas.
Il glisse ses jambes vers la senestre du comptoir, en direction de la salle.
Une botte apparente et encore au pied.
Il prend son temps, oui c'est dur, très dur et quelle biture !
Il glisse doucement vers le sol, pieds en avant.
Petit pas pour l'homme...Immense effort en ce début de journée.
Il se tient debout , relâchant l'attention qu'il a vouloir être débout, mais très vite ses instincts reviennent.
Sa langue est râpeuse dans sa bouche, un arrière goût de vin et de bière y traine.
D'ailleurs tout le monde vous le dira...les mélanges c'est pas bon.
Il redresse la teste y découvre encore mieux le spectacle qui se dresse devant lui.
Pains et croutons à terre, reliquats de terrines de sangliers, sur le comptoir à l'autre bout où il dormait, enfin où il cuvait.
Morceaux de jambons par terre, son os plus loin.
Morceaux de viandes par terre ou planté sur un mur par de fléchettes.
Oui les même que celles du jeu.
Une botte au loin dans un coin de la salle ainsi que des chausses.
Bordel c'est nous qui avons fais ça ?.Dit il d'un ton triste voir las.
Puis son visage s'éclaire dans un sourire radieux.
Pas peu fière d'avoir mis un tel barouf dans cette ville qui dort.
Et puis...Et puis une main va vers son ventre, laissant aucun choix à Fabrizio que celle de marché vite vers une fenêtre et de vomir son du.
Deux...trois poussées en avant et tout ressort.
Dans un grand un large bruit, tel un évier qu'on débouche;Mais à l'envers.
Enfin il revient vers le centre de la pièce, essuyant le reste sur ses lèvres par une manche tâchée de...Va savoir.Tout comme le devant de son tabard et de ses braies.
Comme si le haut et le bas s'étaient disputés le droit d'avoir le plus de tâches de toutes sortes surtout le plus incongrues.
Ben au moins on sais s'amuser de part chez nous.S'écrit un Fabrizio conquérant et content.
Oh debout la dedans...J'ai faim et soif et c'est ainsi que l'on traites les clients ?
Ana bougresse t'es où ...Bouge toi!, femelle de l'Enfer.
Violetta ma chérie ,..ça va ?
Papa est là !Crie-t-il tout d'un coup.Afin de savoir où elles se cachent.
Ah les femmes ça tiens pas l'alcool...
Et oui les jours se ressemblent mais pas les circonstances.
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